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Squash - ToC : Ashour et Gaultier en finale

Grégory Gaultier, qualifié pour la finale à New York. (EQ)







L'Egyptien n°1 mondial Ramy Ashour, champion du monde en titre, et le Français Grégory Gaultier (n°4) se sont qualifiés mercredi soir pour la fnale du Tournoi des champions, première étape des World Series à New York. Ashour, 25 ans, a pour cela disposé de l'Anglais James Willstrop, n°3 mondial, 3 jeux à 2 (5-11, 11-8, 12-10, 10-12, 11-4), alors que le Français a dominé un autre Anglais, le n°2 mondial Nick Matthew, 3 jeux à 1 (11-8, 10-12, 13-11, 11-3). Les deux joueurs se sont déjà imposés à New York, avec un titre pour Gaultier en 2009 et deux pour Ashour (2008, 2011).

La saison passée, l'Egyptien avait atteint la finale de tous les tournois des World Series auxquels il avait participé, soit cinq finales pour trois titres. Il avait en revanche dû renoncer à défendre son titre à New York suite à une blessure. Gaultier, lui, n'était plus parvenu en finale d'un World Series depuis l'US Open en octobre 2012, contre Ashour justement, un joueur qui mène 19-4 dans leurs duels, dont 4-0 la saison passée.

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F1 - Saison 2013 : Pirelli a attendri ses pneus

Pirelli, le manufacturier unique de la Formule 1 depuis 2011, a présenté mercredi une gamme de pneus plus tendres qu'en 2012, espérant plus de performance... et d'usure.
Carl Hallows, membre du staff de Pirelli lors du Grand Prix d'Espagne 2012. (L'Equipe)







Quelque part, c'était la quadrature du pneu. Comment Pirelli allait-il trouver le juste milieu après une saison 2012 compliquée ? Comment ne pas revivre le même début de saison, quand la firme italienne était plus ou moins accusée d'avoir contribué à l'instabilité du plateau, avec sept vainqueurs différents lors des sept premières courses ? Comment éviter d'être critiqué en fin de saison pour avoir développé une gamme n'assurant plus le spectacle sur la durée ? Une partie de la solution, en particulier pour la première partie du problème, est venue de l'extérieur grâce au faible nombre de changements dans le règlement 2013. «Comme les voitures vont rester assez similaires, les équipes partiront d'une solide base de départ sur leur façon de travailler», rappelait récemment à Autosport le responsable de la compétition de Pirelli, l'Anglais Paul Hembery.

«En février, les écuries sont concentrées à 100% sur le développement de leur voiture et se soucient plus de l'aérodynamique que des pneus»Pour la seconde partie du problème, pointant la nécessité d'améliorer la compétitivité des gommes, le manufacturier unique de la F1 a développé une gamme globalement plus tendre, espérant une amélioration globale d'une demi-seconde au tour tout en assumant une usure plus rapide dûe à la montée en température plus rapide. «Les nouveaux pneus durs sont à peu près équivalents aux médium de l'an dernier», résume la marque dans un communiqué. Le but était d'obliger les écuries à pratiquer au minimum deux changements par Grand Prix, là où certaines arrivaient à ne plus en faire qu'un seul à la fin de la saison. «Les courses étaient meilleures quand elles étaient comme ça [plus imprévisibles]. Ce n'était pas injuste, cela récompensait ceux qui comprenaient l'équation et la résolvaient», notait le directeur sportif de McLaren, Michael Hopes.

«Notre gamme rebat les cartes pour aider à plus de dépassements», espère aujourd'hui la firme de Milan, qui envoie 1800 pneus et 55 personnes sur chaque course et revendique 7000 km d'essais pour le développement des pneux 2013, via cinq séances avec des Renault R30 pilotées par Jaime Alguersuari et Lucas Di Grassi. De fait, les écuries ne partiront pas dans l'inconnu puisque les nouvelles gommes ont déjà été testées lors des essais du Grand Prix du Brésil. «Ces premiers retours étaient importants car normalement, lors des tests de février, on a des températures si terribles qu'il est plus ou moins impossible d'en retenir des infos, surtout que les écuries sont concentrées à 100% sur le développement de leur voiture et se soucient plus de l'aérodynamique que des pneus», note Maurizio Boicchi, le directeur technique de Pirelli. Pas faux.
X.C.

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Ski alpin

Didier Défago est radieux: la Streif promet de secouer les descendeurs

Par André Vouillamoz Kitzbühel. Mis à jour à 08h30

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Le champion olympique compte bien faire parler son expérience, samedi, sur la reine des descentes.

Didier Défago sur la piste de la Streif.
Image: afp
«Le vent peut très vite tourner»

Didier Défago, de multiples raisons ont été avancées pour expliquer la crise de l’équipe suisse. Quelle en est, à votre avis, la cause première?

J’ai ma petite idée. On a pu se préparer dans d’excellentes conditions à l’intersaison, mais à mon avis la concurrence manquait au sein de nos groupes d’entraînement. Suite aux blessures de quatre coureurs, au départ en retraite d’un autre (ndlr: Cuche) et à l’incertitude concernant Beat Feuz, on n’a pas su prendre les décisions qui s’imposaient. Ces garçons ne se sont pas blessés ou n’ont pas annoncé leur retraite en octobre ou en novembre, que je sache: il aurait donc été tout à fait possible de réagir en regroupant nos forces pour s’entraîner plus efficacement.

En cette phase critique, comment interprétez-vous votre rôle de leader de l’équipe?

A l’interne, je donne mon avis quand c’est nécessaire. Je pense que c’est d’autant plus important que je suis le seul de l’équipe, peut-être même entraîneurs compris, à avoir déjà vécu de telles situations. Ce que je lis me donne l’impression que l’équipe de Suisse était constamment au top avant cette crise. Or, je me souviens que lors de mes premières années Coupe du monde, les retraits de von Grünigen, Locher, Accola ou Kaelin avaient laissé un sacré trou en géant. Dans les disciplines de vitesse aussi, on n’a pas toujours été très performant ces dix ou quinze dernières années. L’important aujourd’hui, c’est de garder ses objectifs et de continuer à travailler.

L’équipe de Suisse a-t-elle les moyens de se refaire cette saison?

Tout à fait. On fera les comptes à la mi-mars. Beaucoup de gens l’ont peut-être oublié, mais lors de la saison 2008-09, je n’avais obtenu que 20 points en descente avant mes victoires coup sur coup au Lauberhorn et ici sur la Streif. Le vent peut très vite tourner en notre faveur. A.VZ
Tout schuss

Gisin meilleur Suisse Svindal 1er, Reichert 2e. Déjà les plus rapides la veille, le Norvégien et l’Autrichien ont dominé hier le deuxième entraînement sur la Streif. Meilleur Suisse avec sa 9e place, Marc Gisin (24 ans) a fini à 1’’ 01 de Svindal, non sans avoir signé le meilleur temps intermédiaire au tiers du parcours, soit après les redoutables Mausefalle et Steilhang. D’autant plus prometteur que le petit frère de Dominique avait réalisé le 4e temps du premier entraînement.

87 000 francs au vainqueur Le pactole promis aux coureurs pour les quatre épreuves de Kitzbühel se monte à 694 000 francs. La descente et le slalom rapporteront 87 000 francs au vainqueur, le super-G et le combiné 62 000 francs. Le dernier skieur classé dans les points (30e) touchera 615 francs lors du super-G et 740 francs sur la descente et le slalom. A.VZ

La grisaille de la veille ayant laissé place à une avalanche de ciel bleu, il suffisait hier de lever les yeux pour la voir. Pour mesurer la pente et la difficulté du Querfahrt (la traverse ombragée en dévers) et d’un schuss final qui vient mourir entre les premiers chalets, à quelques centaines de mètres du centre-ville de Kitzbühel. Il ne viendrait à l’idée de personne de dénier à la Streif son statut de descente la plus difficile du monde.
Et qui en sont les rois? Il est bon de se rappeler, à l’heure où il n’est question que de crise à Swiss-Ski, que la reine des descentes ne s’est pas offerte à un non-Suisse depuis 2006 (victoire de l’Autrichien Walchhofer). Elle aurait même un faible pour un prénom bien précis. Cuche ayant fait l’an dernier ses adieux à sa piste fétiche sur un troisième succès consécutif et un nouveau record de victoires (5), il ne reste que Défago, vainqueur en 2009, pour contraindre la Streif à prolonger son bail avec les Didier à croix blanche, indéfectibles vainqueurs depuis 2008 (annulation en 2007). Bien qu’il ne soit rentré qu’une seule fois «dans les dix» en descente cet hiver (10e à Beaver Creek), le Valaisan (35 ans) paraît effectivement le Suisse le mieux armé, du haut de son expérience, pour taquiner le podium samedi. Douzième hier du 2e entraînement, le champion olympique de Vancouver était radieux dans l’aire d’arrivée. Un signe?
Aujourd’hui, Didier Défago, vous semblez avoir trouvé la Streif à votre goût.
C’était fantastique à skier avec cette météo. En fait, on était déjà très proche des conditions de course qu’on a l’habitude de connaître ici. Si on pouvait avoir les mêmes samedi, ça pourrait très bien me convenir. On a l’habitude de faire les deux premiers entraînements sur des pistes plutôt «tranquilles». Or, aujourd’hui, ça chahutait déjà beaucoup. Comme il reste encore un entraînement et le super-G à disputer, la Streif risque de nous bousculer sérieusement samedi. On pourrait voir un tout grand Kitzbühel.
Vous terminez aujourd’hui à plus d’une seconde d’Aksel Lund Svindal, auteur du meilleur temps. Vos sensations sur cette piste?
Le feeling est bon. Lors de ce deuxième entraînement, je gagne une seconde par rapport au premier essai. Je pense que je peux en grignoter une supplémentaire d’ici à samedi, car ma trajectoire n’est pas encore idéale sur certains secteurs, en particulier à l’entrée du Steilhang (ndlr: les deux grands virages qui conditionnent la vitesse dans le seul secteur de glisse) . Il faudra être particulièrement à son affaire à l’Hausbergkannte aussi, un passage toujours très délicat. En même temps, comme on s’y envole littéralement cette année, pour moi l’enchaînement se fait mieux.
Lorsqu’on s’est imposé une fois dans cette descente, est-ce qu’on a, en soi, l’impression d’en détenir la clé?
Oui et non. Les conditions sont différentes à chaque fois. En plus, cette saison le matériel est nouveau. Maintenant, c’est vrai que je connais exactement mes limites sur cette piste. Ici, c’est très important, car il faut être très précis à certains passages pour emmener un maximum de vitesse, surtout à la sortie du Steilhang.
Svindal fait logiquement figure de favori.
Svindal est fort depuis le début de la saison, mais il ne faut pas sous-estimer Reichelt, 2e aujourd’hui encore et qui fait des cartons depuis sa victoire à Bormio (ndlr: l’Autrichien s’est encore classé 3e samedi dernier au Lauberhorn) . Ce sera certainement un match entre ces deux-là. Si je pouvais venir jouer les trouble-fêtes, ce serait génial.
Il y a aussi un super-G demain…
Ma performance en super-G risque de dépendre pour beaucoup de mon numéro de dossard. J’ai souvent dû partir avec un numéro élevé cet hiver, ce qui n’a pas facilité ma tâche. Je vous avouerai que je suis plutôt focalisé sur la descente, mais en super-G tout est possible. Surtout qu’ici il est assez typé descente.
Le programme à Kitzbühel.
Vendredi: super-G (11 h 30)
Samedi: descente (11 h 30). Dimanche: slalom (10 h 15/13 h 30)
(TDG)
Créé: 24.01.2013, 08h38

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Au sommet de son art, "Nole" est en route pour la passe de trois

24.01.2013 11:12 mise à jour à 11:48
Triple vainqueur de l'épreuve, Djokovic disputera sa quatrième finale à Melbourne. [Dennis Sabangan - Keystone]


Double tenant du titre, Novak Djokovic disputera une troisième finale de rang dimanche à Melbourne. Pour ce faire, le no 1 mondial a facilement écarté de sa route David Ferrer en trois sets secs 6-2 6-2 6-1 en 1h29'.
Il ne manque plus qu'une victoire à Novak Djokovic pour signer un hat trick historique à Melbourne. Le double tenant du titre a survolé sa demi-finale contre David Ferrer.
Victorieux 6-2 6-2 6-1 du Valencien en seulement 1h29', Djokovic disputera dimanche une quatrième finale à Melbourne Park après ses succès en 2008, 2011 et 2012. Il sera opposé au vainqueur de la rencontre qui mettra aux prises vendredi soir Roger Federer à Andy Murray pour devenir le premier joueur depuis le début de l'ère Open à remporter le tournoi australien trois années de suite.
Un récital extraordinaire

Quatre jours après sa formidable bataille contre Stanislas Wawrinka, Novak Djokovic a livré une véritable démonstration face à David Ferrer. Le Valencien a tenu le choc dix minutes, le temps de gagner ses deux premiers jeux de service, avant de subir l'ascendant total d'un rival au sommet de son art.
Avec son coup droit qui a claqué merveilleusement bien, Nole a fait absolument ce qu'il a voulu sur le court. A défaut d'assister à un véritable match, Rod Laver et le public ont pu admirer un récital extraordinaire.
Ferrer n'a rien pu faire contre ce Djokovic-là. [Aaron Favila - Keystone]"Un tennis incroyable"

"Je ne pense pas pouvoir jouer mieux que ça. J'ai joué un tennis incroyable. J'étais très à l'aise et en confiance dès le début. C'est définitivement une des meilleurs performances de ma carrière", a savouré le Serbe. Impossible à déborder en défense, percutant en attaque, il a frôlé le match parfait, marquant plus de deux fois plus de points que son adversaire (85 contre 41), une statistique hallucinante à ce niveau.
David Ferrer ne gardera donc pas un grand souvenir de sa cinquième demi-finale dans un tournoi du Grand Chelem. Il avait perdu les quatre premières dont une, contre Radael Nadal l'an dernier à Roland-Garros, exactement sur le même score...

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Kitzbühel paye toujours plus

SKI ALPIN

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Les courses du Hannenkham sont les mieux dotées de la saison. Le vainqueur de la descente touchera 84'000 francs.
Mis à jour à 16h30 4 Commentaires

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Il faut avoir dompté la Streif pour toucher le pactole, ce que Didier Défago (photo) avait fait en 2009.
Image: AFP
La Slovène Tina Maze a déjà empilé 436'475 francs cette saison (Image: Keystone )
L'Autrichien Marcel Hirscher a gagné 310'600 francs depuis le début de la saison. (Image: Keystone )

Les primes les plus importantes de la saison de ski alpin seront une nouvelle fois distribuées à Kitzbühel cette année, avec 576'000 francs suisses versés lors des quatre courses, somme record inchangée depuis 2012.
Le vainqueur de la descente sur la redoutable piste de la Streif recevra la somme de 84'000 francs, tout comme le vainqueur du slalom. Les lauréats du super-G et du combiné classique, devront «se contenter de» 60'000 francs de prime.
Pour récompenser les téméraires qui se lancent sur la Streif, l’ensemble des skieurs inscrivant des points Coupe du monde (les 30 premiers) lors de la descente, du slalom et du super-G toucheront de l’argent. Le 30e recevra entre 600 (super-G) et 720 euros (descente et slalom).
Seules trois autres stations offrent chez les messieurs cet hiver des primes aux 30 premiers classés: Alta Badia en Italie, Zagreb en Croatie et Kranjska Gora en Slovénie.
Hirscher et Maze les plus riches
A mi-saison, c’est l’Autrichien Marcel Hirscher, en tête du général de la Coupe du monde, qui domine le classement des primes. Après 21 épreuves sur 36, le jeune skieur (23 ans) d’Annaberg a cumulé 310'600 francs, selon le classement publié sur le site internet de la Fédération internationale de ski (FIS).
Chez les dames, la Slovène Tina Maze, insatiable depuis le début de l’hiver avec 15 podiums en 23 courses (sur un total de 36 cette saison), a déjà engrangé 436'475 francs.

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Plushenko déçoit

Patinage artistique

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Pour son retour à la compétition, le Russe n'a pris que la sixième place du programme court des Européens 2013 de Zagreb. Walker qualifié de justesse.

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Image: AFP
En prenant la sixième place du programme court des Européens 2013 de Zagreb, Evgeni Plushenko a manqué son retour à la compétition, deux ans après l’avoir quittée. Côté suisse, Stéphane Walker s’est qualifié de justesse pour le programme libre de samedi en prenant la 24e place d’un concours mené par le Français Florent Amodio.
Champion olympique 2006, Plushenko a escamoté d’entrée son quadruple saut et chuté sur un triple axel. Le Russe de 30 ans s’est finalement classé 6e (74,82) et devrait manquer le podium d’un championnat d’Europe pour la première fois de sa carrière, lui qui s’est imposé 7 fois en 10 participations et n’a jamais terminé plus loin que la deuxième place.
Champion d’Europe 2011, le Français Florent Amodio a obtenu le meilleur total (89,82 points), devant l’Espagnol Javier Fernandez (88,80) et le Français Brian Joubert (83,93). Amodio, 22 ans, a réalisé un sans faute, passant d’entrée et sans difficulté un quadruple saut sur un programme changé en cours de saison et monté sur des rythmes brésiliens. De son côté, Fernandez (21 ans) a évolué sur la musique du film «Le masque de Zorro» et enchaîné les éléments avec brio.
Triple champion d’Europe et champion du monde 2007, Joubert n’a lui pas démérité avec son programme court de l’année dernière, construit sur des musiques de Daft Punk. Il a également réalisé un sans faute.
En devançant l’Italien Paolo Bacchini de 0,25 point seulement, Stéphane Walker a glané le dernier ticket qualificatif pour le programme libre (24e). Chutant sur son triple axel et manquant l’exécution de son triple flip, le Sédunois peut s’estimer heureux de poursuivre l’aventure croate. Avec un score de 50,93 points, Walker n’en a pas moins, à titre personnel, réalisé une prestation solide et proche de son record de 2008 (51,21). Le titre se jouera samedi après-midi avec le programme libre.
Zagreb. Championnats d’Europe. Messieurs. Programme court: 1. Florent Amodio (Fr) 89,82. 2. Javier Fernandez (Esp) 88,80. 3. Brian Joubert (Fr) 83,93. 4. Michal Brezina (Tch) 79,84. 5. Sergei Voronov (Rus) 78’38. 6. Evgeni Plushenko (Rus) 74,82. Puis: 24. Stéphane Walker (S) 50,93. Les 24 premiers qualifiés pour le programme libre de samedi.

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Federer ou Murray, qui est le favori?

Tennis

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Enjeux, forme du moment, facteur psychologique: questions autour d’une demi-finale qui s’annonce croustillante vendredi (9h30) entre Roger Federer et Andy Murray à l’Open d’Australie.
Mis à jour à 12h03 2 Commentaires

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Quel est l’enjeu de cette demi-finale?
Stoppé ces deux dernières années en demi-finale, Federer espère retrouver la ferveur du dimanche soir à Melbourne où il vise une sixième finale, un cinquième titre et un dix-huitième sacre en Grand Chelem. Murray est, lui, en course pour une troisième finale à Melbourne après 2010 et 2011 avec l’objectif de devenir le premier joueur de l’ère Open à confirmer sa première victoire en Grand Chelem, en septembre à l’US Open, dès le tournoi majeur suivant. Pas d’enjeu en termes de classement en revanche: Federer restera N.2 mondial et Murray N.3.
Qui est le plus en forme?
Andy Murray a été le plus impressionnant jusque-là et reste le seul joueur à ne pas avoir perdu un set. L’Ecossais a tellement dominé que les journalistes britanniques s’inquiètent qu’il n’ait pas été assez testé. "J’ai eu assez de bons matches depuis le début de l’année. Ce serait stupide d’être déçu d’arriver en demi-finale d’un Grand Chelem sans perdre un set", balaye Murray, vainqueur à Brisbane début janvier. Reste qu’il a bénéficié d’un tableau nettement plus facile (Haase, Sousa, Berankis, un "demi-Simon", Chardy) que Federer (Paire, Davydenko, Tomic, Raonic, Tsonga). Le Suisse a traversé les quatre premiers matches sans perdre son service avant d’être poussé dans un cinquième set par Tsonga. "Mais c’est pas mal non plus, gagner ce genre de match donne beaucoup de confiance", estime Federer qui bouge mieux que jamais sur le court, à 31 ans.
Qui a l’avantage psychologique?
Murray mène 10-9 dans leurs confrontations et les deux joueurs sont à 2-2 sur les quatre dernières, "celles qui comptent" selon Federer. Le Suisse a gagné la dernière, en demi-finale du Masters à Londres. Murray s’était imposé à Shanghai et surtout en finale des JO de Londres (6-2, 6-1, 6-4). Mais Federer n’a encore jamais perdu en Grand Chelem face à l’Ecossais qu’il a fait pleurer après la finale 2010 à Melbourne et celle à Wimbledon en 2012. "Jamais perdu en Grand Chelem contre lui? Maintenant que vous m’en parlez ça me revient mais on a joué tellement de matches l’un contre l’autre que ça ne va pas jouer. Mais merci pour les ondes positives", plaisante Federer. Match nul donc.
Murray est-il un autre joueur?
Incontestablement. Federer a gagné leurs trois précédents duels en Grand Chelem, tous en finale, mais c’était avant que Murray ne remporte son premier "majeur" à l’US Open. Depuis, tous ses adversaires disent qu’il n’est "plus le même joueur". "Il déborde de confiance", témoigne Jérémy Chardy, victime de l’Ecossais en quarts. "Je suis plus calme qu’avant", convient Murray. Federer, s’il se "réjouit" du succès libérateur de Murray, préfère insister sur un point technique. "Andy joue de manière beaucoup plus offensive aujourd’hui. Ca se voit surtout en retour où il attaque chaque deuxième balle."
Federer avantagé par la nuit?
Tête d’affiche N.1 et opposé à des adversaires attractifs, Federer a eu le rare privilège de jouer ses quatre derniers matches en session de nuit, au même horaire que la demi-finale (19h30 locale), sur la Rod Laver Arena. Murray lui a le plus souvent transpiré en journée et sur la Hisense Arena, le court N.2 à Melbourne Park. "Ce n’est pas un problème et moi aussi j’aurais mis Federer-Tsonga en night session", a assuré Murray qui, pour s’acclimater aux conditions en nocturne, s’est entraîné ces deux derniers soirs sous les projecteurs. "S’il avait fait 35 degrés tous les jours, ça aurait pu jouer. Mais ça n’a pas été le cas", estime aussi Federer.

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Le ramasseur de balle a-t-il mérité de se faire frapper?

Football

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L'histoire fait grand bruit en Angleterre. Le ramasseur de balle qui a été frappé par Eden Hazard mercredi soir, qui n'est autre que le fils du directeur de Swansea, avait prémédité son coup.
Mis à jour à 10h59 14 Commentaires

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Le twitt de Charlie Morgan où il indique ses mauvaises intentions.
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• La police ouvre une enquête sur Hazard
• Eden Hazard frappe un ramasseur de balle

Depuis mercredi soir, toute l’Angleterre ne parle que de Charlie Morgan, le jeune ramasseur de balle qui a essuyé un coup de pied de la part d'Eden Hazard, après avoir refusé de lui rendre le ballon alors que Chelsea jouait les dernières minutes de la demi-finale de Coupe perdu par les Blues face à Swansea.
Charlie Morgan, qui se trouve être le fils de David Morgan, le directeur du club gallois, avait en effet annoncé sur les réseaux sociaux qu'il ferait tout pour gagner du temps. «Le roi des ramasseurs de balles est de retour #gâcheur de temps» avait-il exprimé sur Twitter.
Examiné par les infirmiers dans une ambulance après la rencontre, Charlie n'a pas été blessé. Hazard a présenté ses excuses au jeune homme, mais affirme qu'il voulait «uniquement toucher le ballon pour le récupérer. Je pense avoir juste frappé le ballon, et pas le gamin.»
Du coup toute l'Angleterre se pose la question: Charlie Morgan a-t-il, en plus d'avoir refusé de rendre le ballon, simulé pour faire perdre un temps précieux à Chelsea?

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Le président du Real Madrid pointe du doigt les médias

Football

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Florentino Perez a démenti l’information du journal «Marca» selon laquelle les joueurs avaient réclamé le départ de leur entraîneur José Mourinho. Il pointe du doigt une campagne de déstabilisation de la presse ibérique.

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Image: AFP
Les capitaines démentent aussi

Les deux capitaines du Real Iker Casillas et Sergio Ramos, dont le journal Marca a affirmé jeudi qu’ils avaient réclamé au président du club Florentino Perez le départ de leur entraîneur José Mourinho à la fin de la saison, ont démenti à leur tour dans un communiqué tout «ultimatum» au sujet de leur coach.

«Face à l’information publiée aujourd’hui (jeudi) par un média, nous tenons à faire la communication suivante: dans la réunion maintenue mardi dernier avec le président et le directeur général du club, il n’a jamais été question d’aucun ultimatum de notre part au sujet de notre entraîneur», ont assuré Casillas et Ramos dans un communiqué officiel publié sur le site du club.

«Comme capitaines de l’équipe (...) nous rejetons catégoriquement l’utilisation de nos noms et ceux du reste de l’équipe pour cautionner une information que nous qualifions de totalement fausse», ont poursuivi les deux joueurs.

LIGA BBVA

20e Journée

18.01.Espanyol - Majorque3 : 219.01.Grenade - Rayo Vallecano2 : 019.01.Real Sociedad - FC Barcelone3 : 219.01.Getafe - Seville1 : 119.01.Malaga - Celta Vigo1 : 120.01.Osasuna - Depor. La Corogne2 : 120.01.Valladolid - Saragosse 2 : 020.01.Atletico Madrid - Levante2 : 020.01.Valence - Real Madrid0 : 521.01.Betis - Athletic Bilbao1 : 1État: 21.01.2013 23:20
Classement

NomJVNDButsP1.FC Barcelone20181166:23552.Atletico Madrid20152342:18473.Real Madrid20124450:20404.Betis20112731:30355.Malaga209 5630:17326.Rayo Vallecano20101927:36317.Valence2093827:32308.Levan te2093824:29309.Real Sociedad2085731:272910.Valladolid2084829:252811.Ge tafe2075825:312612.Seville2065924:292313.Saragosse 20711221:302214.Athletic Bilbao20641024:402215.Espanyol2056923:322116.Grena de20551018:292017.Celta Vigo20541120:251918.Osasuna20461016:211819.Majorqu e20451120:361720.Depor. La Corogne20371024:4216État: 21.01.2013 23:26
21e Journée

26.01.Celta Vigo - Real Sociedad- : -26.01.Levante - Valladolid- : -26.01.Saragosse - Espanyol- : -26.01.Depor. La Corogne - Valence- : -27.01.Real Madrid - Getafe- : -27.01.Rayo Vallecano - Betis- : -27.01.FC Barcelone - Osasuna- : -27.01.Athletic Bilbao - Atletico Madrid- : -27.01.Majorque - Malaga- : -28.01.Seville - Grenade- : -

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Djokovic: «J’ai joué un tennis incroyable»

Tennis

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Novak Djokovic, double tenant du titre, s’est qualifié pour sa quatrième finale à l’Open d’Australie en balayant l’Espagnol David Ferrer en trois sets (6-2 6-2 6-1).

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Image: Reuters
Le N.1 mondial, injouable jeudi, y retrouvera dimanche le vainqueur de la seconde demi-finale qui opposera vendredi les numéros 2 et 3 mondiaux, Roger Federer et Andy Murray (à suivre en direct sur LeMatin.ch).
Djokovic a gagné ses trois premières finales à Melbourne, en 2008, 2011 et 2012, et tente cette année de devenir le premier joueur depuis le début de l’ère Open à remporter le tournoi trois années de suite.
Il lui reste une dernière étape à franchir lors d’une finale qui fait déjà saliver. En attendant, il a démoli David Ferrer, qui va piquer à Rafael Nadal sa place de N.4 mondial lundi mais qui a ressemblé à un petit garçon jeudi.
Ce n’était pas de la faute de l’Espagnol car Djokovic a sorti le grand jeu pour sa onzième demi-finale de suite dans un "majeur", bien reposé visiblement de son marathon de cinq heures face à Stanislas Wawrinka en huitièmes.
"Je ne pense pas pouvoir jouer mieux que ça. J’ai joué un tennis incroyable. J’étais très à l’aise et en confiance dès le début. C’est définitivement une des meilleurs performances de ma carrière", a savouré le Serbe.
Impossible à déborder en défense, percutant en attaque, il a frôlé le match parfait, marquant plus de deux fois plus de points que son adversaire (85 contre 41), une statistique hallucinante à ce niveau.
Autre preuve de sa domination, il n’a perdu que sept points sur son service alors qu’il a pris à sept reprises celui de Ferrer.
L’Espagnol de 30 ans continue donc à courir derrière une première finale en Grand Chelem après avoir perdu sa cinquième demi-finale. Seul Tim Henman, qui a échoué six fois à ce stade, a fait pire depuis le début de l’ère Open.