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Hand - ChM (Hommes) : Le Danemark rejoint l'Espagne

Le Danemark a dominé la Croatie (30-24) et jouera désormais le titre face à l'Espagne.
Mikkel Hansen et les Danois ont pris le meilleur sur la Croatie, vendredi soir, en demi-finale du Mondial. (Reuters)







Le Danemark a donc eu raison de la Croatie (30-24), tombeuse de la France, et s'est ainsi qualifié pour la finale de ce Championnat du monde. Il jouera désormais le titre contre l'Espagne, qui avait auparavant dominé la Slovénie (26-22). Les Danois, finalistes en 2011 et battus en prolongation par la France (35-37), ont fait très forte impression vendredi soir à Barcelone. Ils visent leur premier titre mondial après deux médailles d'argent (1967, 2011).

Le champion d'Europe en titre n'a laissé aucune chance aux Croates, qui n'ont donc pas pu surfer sur la confiance acquise en sortant la France, double tenante du titre. Doté de la meilleure attaque du tournoi, le Danemark a pourtant construit sa victoire sur une défense de fer et un gardien Niklas Landin (16 arrêts) de gala. La Croatie devra donc attendre avant de remporter un nouveau titre, le dernier remontant aux Jeux Olympiques d'Athènes en 2004. Ivan Cupic totalement et Domagoj Duvnjak neutralisés, les Danois ont pu dérouler. La justesse de Mikkel Hansen et le talent d'Anders Eggert ont fait le reste.

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Cyclisme - Cofidis : La course par étapes

Après une triste saison, l'équipe Cofidis a remodelé son effectif en l'axant vers les courses à étapes. Le premier échelon d'un plan pluriannuel qui doit la ramener dans le World Tour.
L'équipe Cofidis est bâtie pour s'illustrer dans les courses à étapes. (L'Equipe)







Avec ses traits de poupon et son français hésitant, Rein Taaramäe aurait presque l'air inoffensif. Mais fin juin, à la veille du départ du Tour, l'Estonien ne machait pas ses mots : «On manque de bons coureurs. Si on arrive à prendre un coleader et encore un ou deux mecs avec de l'expérience, ça peut tout changer.» Voeu exaucé. Cofidis a réussi des jolis coups avec les signatures de Jérôme Coppel, Christophe Le Mével et Dani Navarro. Ces quatre-là seront associés dès Paris-Nice avec l'idée de les emmener ensemble jusqu'au Tour, où Coppel et Taaramäe partiront «à égalité» avec l'idée d'un Top 10, voire sur la Vuelta, où Navarro sera le n°1.

«L'année prochaine, ils se concentreront plus sur les spécialistes de classiques. Chaque chose en son temps.»Cofidis est donc cette saison une équipe de courses par étapes. Pour le reste, cela s'annonce limité sachant que Samuel Dumoulin, tenant de la Coupe de France, est reparti chez AG2R, même si le manager Yvon Sanquer veut croire que Cofidis tient en Egoitz Garcia «notre Flecha à nous». «C'était difficile pour les dirigeants de réunir en une intersaison des coureurs de Grands Tours et de courses d'un jour, résume Coppel. L'année prochaine, ils se concentreront plus sur les spécialistes de classiques. Chaque chose en son temps.» Le temps, Cofidis en a puisque le sponsor s'est réengagé jusqu'en 2016 le 1er juin, alors qu'Eric Boyer était encore en place avant d'être remplacé par Sanquer quelques semaines plus tard.

«Ca fait trois saisons que les résultats ne sont pas au rendez-vous, estime le patron Thierry Vittu. Il fallait renforcer l'équipe. Yvon a fait son travail et a proposé des coureurs. La contrepartie, c'était une petite augmentation de budget, à environ 10 millions d'euros.» «C'est pour ça que je suis arrivé en milieu de saison, même si ça peut surprendre les non avertis, précise Sanquer. Ca donnait une situation peut-être pas simple à gérer humainement .» Elle l'était d'autant moins qu'en plein Tour de France, Rémy Di Gregorio était arrêté pour une affaire de dopage, attirant les caméras. Un événement présenté comme la chute d'un coureur qui «s'est égaré» mais qui faisait rebondir une nouvelle fois l'écho des problèmes passés, de "l'affaire Cofidis" en 2004 au contrôle positif de Christian Moreni en 2007.

Le but : retrouver le World Tour en 2014


C'est donc avec une image dévalorisée, à la sortie d'une saison où aucun coureur n'a obtenu plus d'une victoire (six au total), que Cofidis a monté un nouveau projet sur quatre ans. Objectif annoncé : retrouver le World Tour dès 2014, même si «ce n'est pas une obligation», relativise Sanquer, conscient des réalités. Pour Vittu, «l'idée, c'est de retrouver une ambition.» Ce n'était plus le cas ? «Le résultat sportif n'est pas tabou», dit drôlement Sanquer, comme s'il avait fait le constat que l'équipe avait intériorisé une peur d'attirer les regards sur elle, craignant les sous-entendus malgré le travail de Boyer avant son limogeage. Etape par étape, elle compte donc reprendre un miroir symbolique et espère s'y trouver «claire, structurée, rationnelle, crédible», selon les mots de son manager. A voir.

Durant la présentation de l'équipe, vendredi à Vincennes, l'hommage rendu à David Moncoutié a duré plus longtemps que la présentation des objectifs pour 2013... Symbole de la place éminente qu'a tenu le néo-retraité dans la seule équipe qu'il n'a jamais connue en quinze ans de carrière. Il n'imagine cependant pas y rester en prenant un rôle dans le staff, visant plutôt l'organisation de courses et une vie dans le monde amateur.
Xavier COLOMBANI

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Rugby - Mag : Papé : «Il faut avoir des défauts»

Dans une interview à paraître samedi dans L'Equipe Magazine, le nouveau capitaine du XV de France, Pascal Papé, revient sur sa carrière déjà longue et belle, sur la manière dont il conçoit son poste, trop souvent obscur, de deuxième ligne et surtout sur son nouveau rôle de leader.
Pascal Papé se confie samedi dans L'Equipe Mag. (L'Equipe)







L’ancien joueur de Bourgoin, Pascal Papé, humble et pas bling-bling pour un sou, revient donc en profondeur sur ce travail délicat de capitaine. Rappelant ce que Thierry Dusautoir, son prédécesseur, avait apporté au collectif tricolore, puis expliquant aussi de quelle manière il entend endosser ce costume fait sur-mesure. En initiant, par exemple et il l’a déjà fait, des jeux de rôles avec ses coéquipiers, pour apprendre à mieux se connaître en « s’amusant »... « Parce que, même si on est pro, même si on a la pression du public, des entraîneurs, des médias, il faut toujours avoir une notion de plaisir dans ce qu'on fait. »

« Dans tous les sports de combat, il faut avoir un côté mauvais. »

Le plaisir certes, mais sans oublier aussi, les confrontations physiques sur le pré. Ancien judoka, ceinture noire, Papé sait trouver les mots justes pour expliquer que le rugby reste une forme d’art martial où le contact ne doit pas être tendre : « Dans tous les sports de combat, il faut avoir un côté mauvais. Au rugby comme au judo, il faut beaucoup respecter son adversaire, mais, la première chose à faire, c'est de lui faire mal, de le dominer physiquement, l'agresser, le mettre sur le dos… » Un aveu rare, qu’il justifie rapidement : « Tous les grands compétiteurs doivent avoir des défauts ». C’est une question de tempérament, précise le joueur du Stade français qui place d’ailleurs, au firmament de son panthéon personnel quelques valeureux secondes-lignes. A vérifier en tout cas dimanche prochain à Rome, lors de l’ouverture du Tournoi, face à l’Italie.

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Dominik Paris succède à Didier Cuche

Ski alpin

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La Streif tient son nouveau roi. Après des années de domination de Didier Cuche, c’est l’Italien Dominik Paris qui a été couronné en descente à Kitzbühel (Aut).

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Image: Keystone
La victoire de Paris ne constitue pas une surprise. Le coureur de Haut-Adige n’était certes pas cité parmi les grands favoris. Reste que sa récente victoire à Bormio (It) avait démontré ses qualités.
Le colosse (1m83, 97 kg) peut ainsi s’enorgueillir d’avoir épinglé en un mois les deux descentes les plus difficiles de l’hiver. Pas mal pour un coureur qui avait failli tout plaquer il y a quelques années, travaillant un temps comme maçon avant de se remettre au ski.
Si Paris s’est montré remarquable tout au long de la Streif, c’est surtout dans la traverse finale qu’il a fait la différence. Cela lui a permis de coiffer de 13 centièmes le Canadien Erik Guay et de 36 centièmes l’Autrichien Hannes Reichelt.
Pour s’imposer, Paris a aussi profité de l’incroyable émulation qui règne actuellement dans l’équipe italienne de vitesse, déjà victorieuse cet hiver grâce à Matteo Marsaglia et Christof Innerhofer. Vainqueur la semaine dernière à Wengen, Innerhofer est resté loin du compte cette fois-ci. Il faut dire qu’il n’avait quasiment aucune chance. Pénalisé par la FIS et contraint de partir en 46e position, il a fini loin des meilleurs.
Autre ténor de la descente, Aksel Lund Svindal a dû se contenter d’une décevante 10e place, au lendemain de sa victoire en super-G. A la décharge du Norvégien, il n’a pas pu s’élancer dans les meilleures conditions. Parti juste avant lui, le Français Johan Clarey a chuté, ce qui a contraint les organisateurs à immobiliser la course quelques minutes, durant lesquelles Svindal a sans doute perdu un peu d’influx. Corollaire, Svindal a dû céder son dossard rouge de leader en descente à Paris, nouveau no 1 mondial pour seulement 6 points.
Du côté des Suisses, il n’y a pas eu de miracle. C’était prévu et cela s’est confirmé avec aucun représentant helvétique parmi le top 15. Et dire que la Suisse restait sur cinq victoires consécutives en descente à Kitzbühel (4x Cuche, 1x Défago).
Seul Patrick Küng a très vaguement sauvé les apparences avec sa 16e place. Didier Défago et Carlo Janka ont, eux, été éjectés hors du top 20. Quant à Marc Gisin, qui avait soulevé quelques espoirs lors des entraînements, il n’a pas pu défendre ses chances, perdant un ski en début de course.

les suisses complétement largués

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Le calvaire de Na Li

Tennis

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La Chinoise mérite sans aucun doute la palme de la malchance. Sa cheville gauche a, en effet, lâché à deux reprises lors de la finale de l'Open d'Australie pour chuter très lourdement sur la Rod Laver Arena.

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1/13Image: Reuters



Quelle aurait été l’issue de la rencontre si Li Na n’était pas tombée à deux reprises ? La question mérite d’être posée dans la mesure où elle a su très longtemps s’assurer le contrôle de cette finale grâce à la puissance de son coup droit.
Le deuxième titre du Grand Chelem de Victoria Azarenka n’ajoutera rien à la gloire d’un tennis féminin en crise. D’un tennis féminin qui peine à remplir les stades. Les organisateurs n’ont-ils pas éprouvé toutes les peines du monde à écouler les billets de cette finale? Le jour de la Fête nationale, l’événement était ailleurs dans la capitale du Victoria, à 300 m de la Rod Laver Arena plus précisément avec le premier match d’Alessandro Del Piero à Melbourne.
Avant de s’imposer dans cette finale face à une rivale qui n’a pas vraiment lutté à armes égales, Victoria Azarenka avait témoigné d’un comportement scandaleux jeudi. Saisie par la peur de gagner lors de sa demi-finale face à l’Américaine Sloane Stephens, elle avait prétexté une blessure imaginaire pour obtenir un temps mort médical de 10 minutes. En fermant les yeux devant cette comédie risible, le juge arbitre du tournoi mérite, lui aussi, toutes les critiques.

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La belle revanche de Lindsey Vonn

Ski alpin

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Lindsey Vonn a commis un crime de lèse-majesté à Maribor. Sur les terres et dans la discipline de Tina Maze, l’Américaine a triomphé en géant devant sa grande rivale slovène.

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Image: Keystone
Peu de monde aurait misé sur une défaite de l’enfant du pays. Et encore moins sur un succès de Lindsey Vonn. Il faut dire que la skieuse de Vail était jusqu’ici méconnaissable cet hiver en géant, avec une 21e place comme meilleur résultat.
Déjà surprenante 3e à l’issue du tracé initial, elle a bluffé son monde en deuxième manche en signant un temps canon, malgré de nombreux déséquilibres. En tête le matin, Tina Maze en a été la première victime, elle qui a échoué à seulement 8 centièmes de la victoire.
Ce succès - le 59e de sa carrière en Coupe du monde - doit être particulièrement savoureux pour Lindsey Vonn. Souvent éclipsée cet hiver par sa rivale, elle ne pouvait pas rêver d’une plus belle revanche en s’imposant devant le public slovène.
Tina Maze a toutefois vite trouvé de quoi se consoler. Avec son sixième podium de la saison en géant en autant de courses, elle est désormais assurée de remporter le globe de la spécialité, le premier de sa carrière.
Meilleure Suissesse du jour, Dominique Gisin a dû se contenter de la 19e place. Pour la première fois en lice à Maribor, l’Obwaldienne s’est montrée trop brouillonne pour prétendre à mieux.
De son côté, Lara Gut ne s’est pas rassurée en chutant dès la première manche. Brillante en début de saison en géant avec des 4e places à Aspen (EU) et St-Moritz, la Tessinoise n’y arrive plus dans la discipline avec un 17e rang comme meilleur classement lors de ses quatre dernières sorties. Reste à espérer que la skieuse de Comano retrouve la clef pour le prochain géant au programme, celui des Mondiaux de Schladming (Aut) le 14 février.
Parties avec des dossards élevés, les deux autres Suissesses engagées n’ont pas passé le «cut» de la première manche. Wendy Holdener, qui sera beaucoup plus attendue dimanche en slalom, a dû se satisfaire de la 45e place. Fabienne Suter a fait à peine mieux avec son 42e rang.

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Contador renonce au Giro

Cyclisme

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L’Espagnol Alberto Contador ne participera pas au Giro d’Italie en mai afin de se concentrer sur le Tour de France qui s’élancera à la fin du mois de juin.

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Image: Keystone
Il n’y aura pas de Giro pour moi», a déclaré le vainqueur du Tour d’Italie 2008 en marge du Tour de San Luis en Argentine.
«J’étais sur le Giro 2011 et je garde d’excellents souvenirs de la course, mais cette année je veux arriver à 100% sur le Tour et après cela, je verrai si je vais (au Tour d’Espagne)», a ajouté le coureur de l’équipe Saxo-Tinkoff.
«Le Giro est une course très spéciale pour moi mais le Tour de France est plus important cette année.»
Alberto Contador s’est imposé trois fois dans le Grande Boucle mais son dernier titre, en 2010, a été annulé à la suite d’un contrôle antidopage positif au clenbutérol. Il a fini de purger en août dernier une suspension de deux ans.

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Ammann deuxième derrière Schlierenzauer

Vol à skis

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Simon Ammann a échoué à 0,5 points de la victoire lors de l'épreuve de vol à skis de Vikersund en Norvège.

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Simon Ammann n'a été devancé que par le grand Gregor Schlierenzauer.
Image: AFP
Il a manqué 0,5 point à Simon Ammann pour fêter la 21e victoire de sa carrière en Coupe du monde samedi à Vikersund. Le St-Gallois de 31 ans a pris la 2e place du premier concours de vol à skis de l’hiver derrière Gregor Schlierenzauer.
Gregor Schlierenzauer a signé un succès historique sur le plus grand tremplin du monde, dans un concours extrêmement serré où Andreas Stjernen (No) a échoué au 4e rang malgré un handicap infime de 1,5 point sur le vainqueur. Le Tyrolien a fêté, à 23 ans, sa 46e victoire en Coupe du monde, ce qui lui permet d’égaler le record du Finlandais Matti Nykänen. Il fait par ailleurs le trou au classement général, où sa marge sur son dauphin Anders Bardal (12e samedi) est désormais de 197 points.
Sevré de victoire depuis le 13 mars 2011 - soit 38 concours -, Simon Ammann a obtenu son deuxième podium de l’hiver en quatorze concours, après sa 3e place décrochée à Kuusamo (Fin) le 1er décembre. Il n’a pas grand chose à se reprocher, même s’il pointait en tête après la manche initiale (215,5 mètres): 2e après le premier saut, Gregor Schlierenzauer sortait le grand jeu en finale en atterrissant à 240 mètres. Les 229,5 mètres réalisés ensuite par Simon Ammann ne suffisaient pas pour le quadruple champion olympique.
Une impasse payante
L’impasse faite sur les concours organisés le week-end dernier à Sapporo (Jap) s’est donc avérée payante pour le champion du monde 2010 de vol à skis. Simon Ammann, qui a préféré aller s’entraîner sur le tremplin des Mondiaux 2013 à Predazzo (It), affichait d’ailleurs une joie et un soulagement légitimes après la période de doute qu’il a vécue depuis la deuxième étape de la Tournée des Quatre Tremplins à Garmisch-Partenkirchen (42e place).
Deuxième Suisse en lice, Gregor Deschwanden a inscrit des points pour la quatrième fois de l’hiver. Auteur de sauts mesurés à 167,5 et 195 mètres, le Lucernois a terminé au 26e rang.
Vikersund (No). Coupe du monde de vol à skis. Classement final:
1. Gregor Schlierenzauer (Aut) 418,7 (216,5/240)
2. Simon Ammann (S) 418,2 (215,5 m/229,5)
3. Robert Kranjec (Sln) 417,6 (212/232,5)
4. Andreas Stjernen (No) 417,2 (215,5/232,5)
6. Kamil Stoch (Pol) 413,8 (213,5/232,5)
Puis: 26. Gregor Deschwanden (S) 311,7 (167,5/195)

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CORRIGÉ: Patinage artistique: Fernandez 1er Espagnol champion d'Europe


ZAGREB, 26 jan 2013 (AFP) - Javier Fernandez est devenu le premier Espagnol champion d'Europe de patinage artistique, samedi à Zagreb, avec un total de 274,87 points, devant le Français Florent Amodio, 2e, et le Tchèque Michal Brezina, 3e. Avant Fernandez, 21 ans, l'Espagne n'avait même jamais remporté la moindre médaille dans un grand championnat en patinage artistique. Au terme d'un programme libre éblouissant ponctué de trois quadruples sauts, il a nettement devancé le champion d'Europe 2011 Amodio (250,53 pts) et Brezina (243,52 pts).

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Championnat d'Espagne - La 21e journée en un coup d'oeil (ENCADRE)


Résultats et buteurs de la 21e journée du Championnat d'Espagne de football: Samedi Celta Vigo 1 Krohn-Dehli (32) Real Sociedad 1 Elustondo (59) (17h00 GMT) Levante Valladolid (19h00 GMT) Real Saragosse Espanyol Barcelone (21h00 GMT) Deportivo La Corogne Valence CF Dimanche (11h00 GMT) Real Madrid Getafe (16h00 GMT) Rayo Vallecano Betis Séville (18h00 GMT) FC Barcelone Osasuna (20h00 GMT) Majorque Malaga Athletic Bilbao Atletico Madrid Lundi (20h30 GMT) FC Séville Grenade ./bds/eb. Résultats et buteurs de la 21e journée du Championnat d'Espagne de football:
Samedi
Celta Vigo 1 Krohn-Dehli (32)
Real Sociedad 1 Elustondo (59)
(17h00 GMT) Levante
Valladolid
(19h00 GMT) Real Saragosse
Espanyol Barcelone
(21h00 GMT) Deportivo La Corogne
Valence CF
Dimanche
(11h00 GMT) Real Madrid
Getafe
(16h00 GMT) Rayo Vallecano
Betis Séville
(18h00 GMT) FC Barcelone
Osasuna
(20h00 GMT) Majorque
Malaga
Athletic Bilbao
Atletico Madrid
Lundi
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