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Azarenka double la mise à Melbourne

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La Bélarusse Victoria Azarenka a conservé son titre à l'Open d'Australie en battant la Chinoise Li Na en trois sets 4-6, 6-4, 6-3 à l'issue d'une finale dramatique samedi à Melbourne. C'est le deuxième titre du Grand Chelem pour Azarenka qui conservera aussi, grâce à cette victoire, sa place de N.1 mondiale au prochain classement lundi.

Elle s'est imposée au terme d'une finale complètement folle, marquée par deux blessures successives de Li Na à la cheville et interrompue pendant dix minutes à cause du feu d'artifice célébrant la fête nationale australienne. Li Na, qui était comme Azarenka en lice pour une deuxième victoire en Grand Chelem après son sacre à Roland-Garros en 2011, s'est tordue une première fois la cheville gauche au milieu du deuxième set. Soignée à même le court, elle s'est fait poser un bandage et a repris le jeu pour revenir de 1-3 à 4-4 avant de finalement perdre le deuxième set.

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© afp.
Déboussolée
Sa cheville a tourné une deuxième fois sur le premier point joué après le feu d'artifice et l'arrière de la tête de la Chinoise, qui menait alors 2-1 dans la troisième manche, a en prime heurté violemment le sol. Visiblement déboussolée, Li Na, qui rigolait de ses propres malheurs, s'est fait soigner une deuxième fois sur le court mais n'a dès lors gagné plus qu'un jeu pour laisser Azarenka filer vers la victoire. Pour le reste, la finale, empreinte d'une grande nervosité de part et d'autre, a été marquée par le grand nombre de breaks réalisés par les deux joueuses qui ont perdu leur service à seize reprises au total.

Azarenka, 23 ans, a fini par avoir la main pour devenir seulement la deuxième joueuse sur les 25 derniers tournois du Grand Chelem à remporter la finale après avoir perdu le premier set, sur une double-faute dans son cas. L'unique précédent ces dernières années avait déjà eu lieu au détriment de Li Na qui avait mené un set à zéro face à Kim Clijsters en finale de l'Open d'Australie 2011 avant de s'incliner en trois manche. La Chinoise n'a pu ajouter un huitième titre du Grand Chelem au palmarès de Carlos Rodriguez, qui en avait remporté sept lorsqu'il entraînait Justine Henin.
© afp.© afp.

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François Gabart se rapproche des Sables d'Olonne

© belga.
Le Français François Gabart (Macif), en tête du Vendée Globe, n'était plus qu'à 567,7 milles des Sables d'Olonne (Vendée) samedi matin et comptait toujours une centaine de milles d'avance sur son compatriote Armel Le Cléac'h (Banque Populaire).

Au pointage de 05h00 heure française, Gabart -qui est attendu dimanche matin aux Sables- marchait à 14 noeuds, un peu moins vite que Le Cléac'h (16,9). Les deux monocoques se trouvaient dans l'ouest du cap Finisterre (nord-ouest de l'Espagne) et avaient commencé à "arrondir" leur route à l'est, vers le golfe de Gascogne et les côtes françaises. Derrière eux, le Britannique Alex Thomson (Hugo Boss) est finalement passé en 3e position devant le Français Jean-Pierre Dick, dont le bateau (Virbac-Paprec 3) a perdu sa quille.

Thomson a annoncé vendredi soir qu'il resterait auprès de Dick quelque temps pour assurer sa sécurité, au cas où. Les deux voiliers approchaient samedi matin de l'archipel des Açores. "Cette nuit et demain (samedi), un front va nous passer dessus avec du vent fort, a expliqué le skipper britannique. Je vais donc rester près de lui pour être certain qu'il y ait quelqu'un pas trop loin". "Jean-Pierre est un grand marin et je sais qu'il peut naviguer en toute sécurité quel que soit l'endroit, mais je sais aussi que si j'étais à sa place j'aimerais que quelqu'un surveille ce qui pourrait arriver", a-t-il dit.

Le 12e et dernier concurrent de la course, le Franco-Italien Alessandro di Benedetto (Team Plastique), pointait samedi matin à 4.467 milles de Gabart et croisait dans l'Atlantique sud, au sud-est de Rio de Janeiro.

Classement à 05h00 heure française: 1. François Gabart (FRA/Macif) à 567,7 milles de l'arrivée 2. Armel Le Cléac'h (FRA/Banque Populaire) à 104,2 milles du premier 3. Alex Thomson (GBR/Hugo Boss) à 829,1 4. Jean-Pierre Dick (FRA/Virbac Paprec 3) à 832,5 5. Jean Le Cam (FRA/SynerCiel) à 2.369,3 6. Mike Golding (GBR/Gamesa) à 2.421,9 7. Dominique Wavre (SUI/Mirabaud) à 2.698,5 8. Arnaud Boissières (FRA/Akena Vérandas) à 2.954,6 9. Javier Sanso (ESP/Acciona) à 3.074 10. Bertrand De Broc (FRA/EDM Projets) à 3.315,7 11. Tanguy de Lamotte (FRA/Initiatives coeur) à 3.656,2 12. Alessandro Di Benedetto (ITA-FRA/Team Plastique) à 4.467

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L'Euro 2020 "pour l'Europe" prend forme

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L'UEFA a posé vendredi les premières balises de son "Euro pour l'Europe" en 2020 qui sera disputé dans 13 villes de pays différents, dont une seule accueillera à la fois les demi-finales et la finale.
© reuters.© belga.© ap.
Cet Euro itinérant sera offert sous forme de 13 lots pour lesquels les villes intéressées pourront se porter candidates à partir du mois d'avril 2013: 12 lots comprenant trois matches du premier tour et un match de huitième ou quart de finale, et un lot incluant demi-finales et finale.

Chaque pays sera autorisé à soumettre au maximum deux candidatures, une pour chaque lot, candidatures qui doivent être confirmées en septembre 2013. Douze mois plus tard, le comité exécutif de l'UEFA fera son choix, soit six ans avant le tournoi.

Aucun critère géographique n'a été fixé, si ce n'est que les équipes devraient jouer leurs matches du premier tour dans des villes à moins de deux heures de voyage. "Nous jouerons dans toute l'Europe, les 53 fédérations nationales peuvent être candidates", a souligné le président de l'UEFA Michel Platini.

"Je leur dis, faites le parce que c'est une excellente affaire. Parce qu'un pays avec un stade pourra avoir l'Euro, cela veut dire que ses supporteurs pourront voir l'Euro. Je pense que c'est une très bonne affaire pour les pays qui autrement ne pourront jamais recevoir l'Euro", a insisté le triple Ballon d'Or.

Pour espérer avoir la finale, une ville devra cependant se doter d'un stade d'une capacité de 70.000 spectateurs. Une capacité de 50.000 est suffisante pour les matches de poules, l'UEFA acceptant même de baisser le seuil à 30.000 personnes au minimum.

"A partir du moment où le comité exécutif a entériné le fait qu'il puisse y avoir deux pays qui reçoivent l'Euro dans des stades de 30.000 spectateurs, cela va élever le nombre de villes qui vont être intéressés par l'Euro", a estimé le président de l'UEFA.

Casse-têtes
Quitte à entraîner de beaux casse-têtes, si les 53 fédérations déposent chacune deux dossiers ou si une majorité de votants ne peuvent pas le faire en raison de conflit d'intérêt.

"Il va falloir maintenant trouver le nombre de personnes pour voter car cela risque d'être compliqué. Car si tous les éléments du comité exécutif sont candidats pour les villes, comment on fait ?", a avancé Michel Platini. Et d'ajouter en souriant: "C'est intéressant !"

A défaut d'avoir la totalité de l'Euro-2020 comme elle le souhaitait, la Turquie pourrait en obtenir au moins une partie, voire les finales, ce à quoi le Français serait favorable.

"Moi, je vote Turquie, s'ils sont candidats et s'ils n'ont pas les jeux Olympiques", a affirmé l'ancien capitaine de l'équipe de France. Ce qui sera chose connue le 7 septembre, jour où le Comité international olympique (CIO) décidera laquelle d'Istanbul, Madrid, et Tokyo organisera les JO d'été de 2020. "S'ils ont les jeux Olympiques, il est absolument hors de question que la Turquie reçoive l'Euro", a prévenu le président de l'UEFA.

Contrairement aux éditions précédentes, aucun pays hôte ne sera automatiquement qualifié.

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Ski alpin - CM : Clarey : «La Streif m'a mangé»

Leader virtuel au dernier chrono intermédiaire, Johan Clarey a fini la descente de Kitzbühel dans les filets, sans blessure mais avec une grosse frustration.
«J?ai la tête qui a cogné donc j?ai un peu mal au cou et au crâne mais ça va aller» a expliqué Johan Clarey. (L'Equipe)















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«Johan Clarey, comment allez-vous après votre chute à haute vitesse ?
Ça va à peu près bien. Je ne me suis pas fait mal aux genoux ni aux épaules. J’ai la tête qui a cogné donc j’ai un peu mal au cou et au crâne mais ça va aller. C’est plus la déception qui est présente.

Que s’est-il passé ?
C’est la grosse lose. Je ne sais pas si je croise un peu le ski ou si c’est la chaussure qui mord un peu, je tombe direct. Je n’ai même pas le temps de réagir. (…) Je casse mes skis de course, je marque zéro point. Je suis dégoûté. J’ai l’impression d’être maudit. Même quand je skie super bien, il m’arrive une bricole.

«Quand je tombe, j'ai peur. Je sais que je vais me prendre les filets assez fort, que ça va secouer. »Sentiez-vous que vous étiez en course pour la victoire avant cette chute ?
J’étais hyper serein au départ. J’avais bien skié sur le haut, j’étais passé où je voulais. A la sortie du chemin, j’étais dans la bonne trajectoire. Tout allait bien. Il a fallu que je me casse la gueule. C’est la Streif, elle m’a mangé aujourd’hui. J’espère que je vais pouvoir me relever assez vite pour les championnats du monde et être dans le coup.

Vous êtes-vous fait peur ?
Quand je tombe, j’ai peur. Je sais que je vais me prendre les filets assez fort, que ça va secouer. Une fois que je me suis arrêté, j’ai senti que ça allait. C’est le métier de descendeur, ça faisait un moment que je n’étais pas tombé. Il faut que je me repose. Je suis vert»
Recueilli par A. T.-C., à Kitzbühel

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Combiné nordique - CM : «Jez» n'est plus leader





Jason Lamy Chappuis a pris la cinquième place de l'épreuve Gundersen de Kligenthal (Allemagne), samedi. C'est bien mieux que ses deux quinzièmes places du week-end dernier, mais cela n'a pas été suffisant pour empêcher Erik Frenzel de le déloger de sa place de leader du classement général de la Coupe du monde pour deux points. Le Français, qui s'était élancé en 8e position avec 34 secondes de retard sur l'Allemand, a réussi à grappiller quelques places tout au long des 10 km de course, mais a terminé avec 52"2 de retard.

L'Allemand, premier après le saut, est resté en tête et a signé sa 6e victoire sur le circuit, sa troisième de rang après les deux succès de Seefeld, le week end dernier. Il a devancé son compatriote Tino Edelman (à 10"4) et l'Autrichien Wilhelm Denifl (+16"6). Le deuxième Français, François Braud, termine 13e (+1'27"5). Le programme se poursuit dimanche avec la penalty race (course à handicap), où les notes techniques sont remplacées par des boucles de pénalité de 150 m (comme au biathlon) déterminées par le verdict du tremplin et incluses dans l'épreuve de fond.

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Voile - Vendée Globe : Pendant ce temps-là...

Alors que François Gabart et Armel Le Cléac'h filent à grande vitesse vers les Sables d'Olonne pour franchir la ligne d'arrivée dimanche, vers 10-11h00 pour le premier, 3 à 6 heures plus tard pour le deuxième, d'autres skippers ont été mis à l'honneur lors de la vacation du jour.
Pendant ce temps-là, Jean-Pierre Dick fait route vers les côtes portugaises. (D.R)







Pendant ce temps-là... Marc Guillemot et Michel Desjoyeaux, invités du jour, évoquent de concert ce à quoi va ressembler leur retour sur terre. «C’est violent même si tout se passe bien, lâche le skipper de Safran. Mais on n’est jamais aussi en forme qu’à l’arrivée. Rien que pour ça, ça vaut le coup de faire le Vendée Globe. » Et Michel Desjoyeaux d'ajouter, lui l'habitué, le seul à avoir remporté la course à deux reprises (2000-2001 et 2008-2009) : «Ils doivent se préparer à basculer intellectuellement au retour à la civilisation et il faut leur laisser le temps de gérer ça.»

Pendant ce temps-là... Dominique Wavre, pourtant rompu à l'exercice puisqu'il a déjà effectué neuf tours du monde et participe cette année à son quatrième Vendée Globe, fait partager toute son émotion de franchir une nouvelle fois l’équateur. Le skipper de Mirabaud en a profité pour offrir quelques images aux couleurs magnifiques qui lui ont valu une gentille boutade de Marc Guillemot : «Tu es sûr que ce ne sont pas des images d’il y a quatre ans ?»


Pendant ce temps-là... Jean-Pierre Dick ( Virbac Paprec 3), privé de sa quille, salue la belle initiative de son collègue Alex Thomson (Hugo Boss), resté sur zone au cas où : «Un acte de courage quelque part car il est aussi dans sa course. Je suis très fier de lui et j’espère qu’il prendra soin de la troisième place. C’est en tout cas un beau geste de marin.» Juste une évidence pour le Britannique : «j’ai déjà été secouru par le passé, je sais à quel point c’est important d’avoir quelqu’un qui surveille vos arrières au cas où.»

Pendant ce temps-là... Jean-Pierre Dick, encore lui, a choisi de poursuivre sa route et de ne pas s’arrêter aux Açores : «J’ai avancé dans ma réflexion. Par contre, je n’ai pas encore décidé d’aller complètement jusqu’aux Sables. Je vais me rapprocher des côtes portugaises pour analyser au mieux les éléments. Vers le 28-29 janvier, je pourrai décider de ce que je fais.»

Pendant ce temps-là... Tanguy De Lamotte (Initiatives-Coeur) poursuit son tour du monde bien à lui, un rien lunaire, en s’offrant une séance de plongée accroché à son bateau par un seul bout avec une caméra sur la tête pour filmer les fonds marins et accessoirement examiner son safran. Ce qui lui a forcément valu de se faire taquiner par ses ainés : «t’as confiance en ton pilote automatique...» signé Desjoyeaux ou encore «la plongée, trop peu pour moi», dixit Guillemot.
I.T.S. aux Sables d'Olonne

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Foot - CAN - Gr. D : La Côte d'Ivoire, avec maîtrise

La Côte d'Ivoire se rapproche des quarts de finale de la CAN. Elle a battu la Tunisie (3-0), samedi lors de la 2e journée, et pris seule les commandes du groupe D. Un nul lors du dernier match lui suffira pour les conserver.
Gervinho a fait la différence en début de match pour permettre à la Côte d'Ivoire de mener au score face à la Tunisie. (Reuters)







On prend les mêmes, et on recommence : Gervinho et Yaya Touré ont à nouveau permis à la Côte d'Ivoire de faire la différence dans cette CAN 2013. Déjà buteurs lors du premier match de leur sélection (victoire 2-1 contre le Togo), ils ont récidivé samedi face à la Tunisie (3-0), lors de la 2e journée du groupe D. Un succès qui permet aux Eléphants d'avoir un pied en quarts de finale, un an après avoir échoué aux tirs au but face à la Zambie pour la quête du trophée.

Lors du premier match, les Ivoiriens avaient souffert, puis soufflé, grâce au but en fin de match de Gervinho. Le suspense, ce samedi, n'a pas été aussi intense. Les Eléphants ont certes dû attendre les dernières minutes et le bel enchaînement de Yaya Touré (2-0, 87e) pour faire le break, mais ils avaient rapidement exercé un pressing très efficace, que la Tunisie n'avait pas réussi à contourner. Cette domination tactique et territoriale, Gervinho l'avait concrétisé après une vingtaine de minutes de jeu. Une fois le sort de la rencontre scellé, Ya Konan a profité du dépit des Tunisiens pour accroître l'écart (3-0, 90e). Une différence de buts qui pourrait être utile au moment des comptes. Une certitude pour les Ivoiriens : peu importe les autres résultats, un nul contre l'Algérie, lors du troisième match, leur assurera de terminer premiers du groupe.

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Cyclisme - Dopage : Tygart : «Armstrong a menti»

Travis Tygart, président de l'agence antidopage américaine, a affirmé dans une émission qui sera diffusée dimanche que Lance Armstrong a menti sur plusieurs points lors de ses aveux de dopage télévisés, la semaine dernière chez Oprah Winfrey.
Travis Tygart, président de l'Usada, affirme que Lance Armstrong a menti. (L'Equipe)







«D'après ses tests sanguins de 2009, 2010, il y a une chance sur un million que (les variations de ses valeurs) soient dues à autre chose que le dopage», a expliqué Travis Tygart dans le cadre de l'émission «60 minutes», sur CBS, dont des passages ont été passés vendredi avant sa diffusion intégrale dimanche aux Etats-Unis. Le président de l'Agence américaine antidopage (Usada) a affirmé qu'Armstrong a menti lors de ses aveux de dopage, la semaine dernière, afin de ne pas s'exposer à des poursuites pénales outre-Atlantique. En effet, le délai de prescription en matière criminelle pour des faits ou déclarations effectués en 2009 court toujours.

«C'était le boss, il est clair qu'Armstrong était un des meneurs d'une conspiration.»Pour Tygart, l'ancien coureur texan a menti à plusieurs reprises, notamment quand il a déclaré qu'il n'utilisait que peu d'EPO («Il en a pris beaucoup, si vous regardez les échantillons du Tour de France 1999, nous n'avons jamais vu un niveau (de positivité) aussi élevé») ou quand il affirme qu'il n'a jamais forcé ses coéquipiers à se doper («C'était le boss, il est clair qu'Armstrong était un des meneurs d'une conspiration qui a permis de tromper des millions de fans et ses concurrents en utilisant des dizaines de millions de dollars provenant du contribuable.»)

Tygart lance un ultimatum


Tygart a maintenu sur CBS qu'Armstrong avait effectivement voulu faire un don d'environ 250 000 dollars à l'Usada en 2004 et qu'une personne qui est «toujours un des plus proches collaborateurs» de l'Américain avait bien approché l'Usada pour un tel versement. Le président de l'Usada lui a fixé la date-butoir du 6 février pour qu'il vienne s'expliquer sous serment devant les autorités antidopage en échange d'une possible réduction de la suspension à vie qui l'empêche de prendre part à des compétitions sportives.
Avec AFP

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Victoire pour FR Gottéron, défaite pour GE Servette

Hockey sur glace

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Après avoir été mené 0-3, le HC FR Gottéron est parvenu à battre Langnau (4-3). De son côté, GE Servette a subi une nouvelle défaite (2-6) contre Zurich. Bienne s'est imposé 6-2 à Rapperswil.
Mis à jour le 26.01.2013

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Image: Keystone
LNA

43e Journée

26.01.Ambri-Piotta - CP Berne1 : 226.01.Fribourg-Gottéron - SCL Tigers4 : 326.01.Genève-Servette - ZSC Lions2 : 626.01.Kloten Flyers - Zoug3 : 226.01.Lakers - Bienne2 : 626.01.Lugano - Davos5 : 1État: 26.01.2013 22:27
Classement

NomJVN+N-DButsP1.Fribourg-Gottéron43211039140:103862.CP Berne43252412143:90833.ZSC Lions43216313131:109784.Zoug42203712142:133735.Lug ano42183714142:117676.Davos42184416140:124667.Genà ¨ve-Servette42202218120:113668.Kloten Flyers42148317124:119619.Bienne41144518129:1465510 .Lakers42133323122:1684811.Ambri-Piotta43122326106:1524312.SCL Tigers439252798:16336État: 26.01.2013 22:30
44e Journée

01.02.Bienne - Genève-Servette- : -01.02.Zoug - Ambri-Piotta- : -03.02.CP Berne - Lakers- : -03.02.Davos - Fribourg-Gottéron- : -03.02.SCL Tigers - Lugano- : -19.02.ZSC Lions - Kloten Flyers- : -

Menés 3-0 devant son public, Fribourg Gottéron a réussi l’exploit de s’imposer 4-3 et de conserver sa première place du classement de LNA. Les yeux encore embrumés après leur victoire à Zoug la veille, les Fribourgeois ont connu une première moitié de partie difficile. Simon Moser, Sandro Moggi et Reber avaient donné trois buts d’avance aux Emmentalois, tout heureux de réussir le «casse» du mois. Mais contrairement à leur «voisin» genevois, les hommes de Hans Kossmann sont capables de réagir même dans l’adversité. Dubé amorçait la réaction à la 32e en tirant dans le dos de Bäumle. Ensuite, Julien Sprunger se déchaînait avec deux buts et un assist. Comme il avait déjà fait la passe à Dubé sur le premier but fribourgeois, l’international - en retrait de l’équipe nationale cette saison - a fait un carton plein. C’est le défenseur Michael Ngoy, qui a donné la victoire à Gottéron à la 54e pour son deuxième but de la saison.
Ce septième revers de Genève-Servette ne laisse d’inquiéter. Quand on joue à domicile et qu’on organise une soirée peluches, on essaie de faire bonne figure devant ses supporters. Las, les Genevois étaient menés 0-3 après 11 minutes de jeu ! Le défenseur Daniel Schnyder aligné comme centre (!) du premier trio zurichois se régalait en ouvrant la marque (7e). Puis Bärtschi abusait Antonietti pour le 2-0 (10e) avant qu’Ambühl ne piège Stephan au premier poteau (11e). Une certaine partie des spectateurs ulcérée par ce début de match misérable s’est mise à lancer des peluches après la troisième réussite des Zurichois... Même le but de Rivera en fin de première période n’a pas entièrement relancé les Genevois, qui ont connu ensuite une bonne période au cours des 15 premières minutes du deuxième tiers-temps. Mais Schnyder dans un jour de grâce «assassinait» Genève-Servette en marquant un but (37e) en contre à 4 contre 5! A 4-1, le match était plié. Les Genevois se retrouvent maintenant à la 6e place eux qui ont longtemps trôné sur la plus haute marche. Il faut toutefois également relever les mérites des Lions de Zurich, qui ont fêté leur sixième succès de suite. Ils sont bien l’équipe en forme du moment avec Fribourg Gottéron.
Bienne reste dans la course aux play-off. Il a remporté une victoire précieuse (6-2) sur la glace des Lakers après avoir pourtant concédé l’ouverture du score à Rizzello (2e). Pour son deuxième match sous les couleurs biennoises, Ryan MacMurchy marquait son premier but sur un service impeccable de Pouliot (4e). Après un but de Beaudoin au deuxième tiers-temps, Wieser dessinait le succès seelandais en marquant dès la 2e minute de la troisième période. Tschantré et MacMurchy encore une fois ont salé l’addition. Après trois défaites consécutives, les hommes de Kevin Schläpfer ont retrouvé le chemin de la victoire. S’ils parvenaient à battre Lugano ce dimanche, ils seraient pleinement relancés.
Lugano a obtenu un succès aisé face à Davos (5-1). Il fallait jouer le ticket gagnant Metropolit - Ruefenacht, auteur chacun d’un doublé pour Lugano. Les Tessinois ont fêté leur septième victoire au cours des neuf derniers matches et occupent désormais la 5e place du classement.
Menés 0-2 par Zoug, Kloten pu réagir grâce à Hollenstein et Lundberg. La décision s’est jouée aux tirs au but en faveur des Flyers. Cette séance a été marquée par une altercation qui a opposé le gardien de Kloten, Rüeger à l’attaquant suédois de Zoug Omark. Le Zougois a légèrement touché le portier après son tir au but. Ce dernier a réagi d’un violent coup de canne dans le dos d’Omark. M. Rochette a infligé une pénalité de 2’ à chacun ce qui a permis à Rüeger de rester dans sa cage. Une certaine entorse à l’éthique du sport...
Berne a rejoint Fribourg Gottéron en play-off avec un succès minimal à Ambri-Piotta (2-1). Un but de Pascal Berger à 59’’ du terme du match a permis aux joueurs de la capitale de remporter un succès «alimentaire» dans une rencontre où il n’y a eu qu’une pénalité de sifflée.

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Nicolas Anelka signe à la Juventus

Football

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L'ancien international français va faire une pige de cinq mois dans le club turinois.
Mis à jour le 26.01.2013

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Image: AFP
L’ex-international français Nicolas Anelka, 33 ans, a rejoint la Juventus Turin, en provenance du club chinois Shanghai Shenhua, pour une pige de cinq mois renouvelable, a annoncé samedi le directeur général du club italien, Giuseppe Marotta. "Il y avait une situation d’urgence (en attaque), c’est un projet à court terme, nous avons un contrat de cinq mois avec Anelka", a dit Marotta. "L’accord devrait être officialisé dans quelques jours", a ajouté le dirigeant interrogé par la chaîne Sky Sport.
Anelka a atterri samedi soir dans la capitale du Piémont et s’est dit "content d’être à Turin" aux journalistes italiens qui l’attendaient à l’aéroport. Anelka quitte la Chine après une expérience d’un an au Shanghai Shenhua et aurait signé pour un salaire d’1,2 millions d’euros sur cinq mois avec la possibilité de prolonger son contrat d’un an, selon la Gazzetta dello sport.
Le champion d’Italie a trouvé le buteur qu’il cherchait après avoir exploré notamment les pistes de Didier Drogba, ex-coéquipier d’Anelka à Shanghai ou de l’Argentin de Lyon Lisandro Lopez. La Juve a également essayé de faire venir dès janvier Fernando Llorente, qu’elle a déjà acheté pour le mois de juin à l’Athletic Bilbao.
Antonio Conte, l’entraîneur de la Juventus, voulait un attaquant pour pallier l’insuffisante efficacité de ses buteurs, Sebastian Giovinco (6 buts en Serie A), Alessandro Matri (4) et Fabio Quagliarella (6).
Qualifié pour jouer la Ligue des champions, où les "Bianconeri" rencontrent le Celtic Glasgow en 8e de finale (12 février-6 mars), Anelka devrait être aligné au côté du créateur monténégrin Mirko Vucinic (5 buts).
Il ne devrait pas jouer tout de suite avec la Juve, qui recevait le Genoa samedi soir. "Anelka n’a pas une condition physique excellente, a dit Marotta, il n’a pas joué de matches depuis quelques mois, mais nous le savions quand nous l’avons choisi."
Le joueur s’entraînait depuis quelques semaines avec son club formateur, le Paris SG.