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Pas de contrôles antidopage sur Paris-Nice ?

Pierre Bordry, président de l'AFLD (gauche) et Pat McQuaid, président de l'UCI (droite)© reuters.
L'UCI a de nouveau des soucis. L'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a refusé d'effectuer les contrôles antidopage lors du prochain Paris-Nice qui se courra du 3 au 10 mars, comme le demandait l'organisateur ASO qui veut absolument que ces contrôles soient effectués par un organisme indépendant de l'UCI.
Riccardo Ricco, contrôlé positif à l'EPO en 2008© afp.
L'AFLD refuse de coopérer avec l'UCI, qui a été clairement mise en cause par l'USADA, l'agence américaine antidopage, dans l'affaire liée à Lance Armstrong. L'agence française a justifié sa position "quant aux graves errements qui ont été antérieurement relevés et sur lesquels toute la lumière n'a pas été faite à ce jour" dans un communiqué vendredi.

Le professeur le Pr Michel Rieu, conseiller scientifique de l'instance française, avait déclaré dans une lettre qu'il fallait "interrompre la collaboration avec une organisation dont le fonctionnement a gravement entaché l'image du cyclisme mondial et souillé l'histoire de notre Tour de France".

L'AFLD s'était illustrée en 2008 lorsqu'elle avait assuré seule les contrôles du Tour de France et avait convaincu les grosses pointures comme l'Italien Riccardo Ricco (Ita), l'Allemand Stefan Schumacher et l'Autrichien Bernhard Kohl de dopage à l'EPO.

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Le TAS accorde à Katusha sa licence WorldTour

L'équipe Katusha au Qatar le 4 février© getty.
Le Tribunal arbitral du Sport (TAS) de Lausanne a donné raison à l'équipe cycliste russe Katusha, vendredi. La formation du N.1 mondial en 2012 de l'Espagnol Joaquim Rodriguez, s'était vu refuser sa licence WorldTour en 2013 par l'UCI pour des raisons éthiques liées au dopage, le 18 décembre.
Joaquim Rodriguez© belga.
Les juges du TAS, l'Italien Luigi Fumagalli, président, et les Suisses Luc Argand et Michele Bernasconi ne sont pas arrivés à la même conclusion que la commission des licences de l'UCI. Le TAS a donc accepté l'appel de Katusha.

Grâce à cette décision, Katusha disposera bien de sa licence en D1 et pourra dès lors participer à toutes les principales épreuves de la saison, notamment aux trois grands tours et aux grandes classiques.

Compte tenu de l'urgence du cas, la saison cycliste a déjà débuté, le TAS n'a pas motivé sa décision. Il le fera dans les prochaines semaines.

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Sotchi: Une épreuve de slalom annulée à cause de la chaleur

© afp.
La manche de Coupe du monde de slalom parallèle de snowboard prévue vendredi à Sotchi a été annulée en raison des températures trop élevées, a annoncé la Fédération internationale de ski (FIS).
La mauvaise qualité de la neige, en dépit de l'utilisation de produits chimiques et d'eau, a poussé les organisateurs à interrompre l'épreuve féminine après à peine dix concurrentes. L'épreuve masculine a aussi été annulée pour les mêmes raisons.

"Ici, à Sotchi, nous avons dès le début dû lutter contre les températures extrêmement chaudes qui à la fin ont rendu impossible la préparation de la piste en vue de l'épreuve de Coupe du monde", a déclaré Uwe Beier, le directeur de course de la FIS.

La ville de Sotchi accueille l'an prochain les Jeux Olympiques d'hiver du 7 au 23 février.

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Collet met la main à la pâte

FOOTBALL

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Le président lausannois a aidé les 35 personnes qui s'activent en ce samedi pour déblayer la Pontaise de son manteau blanc. Le stade sera inspecté à 15 h 30.
Par Renaud Tschoumy.

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Le président du FCLS Jean-François Collet (de dos, au centre de la photo) a pris une pelle pour aider au déblayage de la Pontaise.
Image: DR

Preuve de son engagement envers son club, le président du FC Lausanne-Sport Jean-François Collet faisait partie des 35 personnes qui s'activent ce samedi à la Pontaise, pour débarrasser la pelouse de son tapis de neige! En plus de ces 35 personnes, les joueurs de l'équipe M21 ont aussi donné un coup de main.
«Le terrain sera inspecté à 15 h 30, mais je pense qu'on va pouvoir jouer, j'en suis convaincu à, disons, 95%», explique le vice-président Alain Joseph. Tout est donc mis en œuvre pour que le match Lausanne - Bâle de demain (13 h 45) se dispute dans des conditions normales. «Les conditions météo de ce week-end jouent en notre faveur, ajoute Joseph. Il y a du soleil et la température s'est réchauffée.»
Décision définitive peu après 15 h 30. L'équipe rhénane doit être prévenue avant 16 h, heure prévue de son départ de Bâle ce samedi si le match est confirmé

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Frida Hansdotter en tête

SKI ALPIN

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La Suèdoise (photo) mène le bal dans la première manche du slalom dames de Schladming. Côté suisse, Wendy Holdener a perdu 1''59 et Michelle Gisin 3''45.
Par LeMatin.ch. Mis à jour à 09h45

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Frida Hansdotter a été la meilleure lors de la première manche du slalom dames. Mais son avance est infime.
Image: Reuters
La Suédoise Frida Hansdotter s'est montrée la plus rapide dans la première manche du slalom dames, dernière épreuve féminine des Mondiaux de Schladming. «J’ai essayé de faire une belle manche, c’était agréable de franchir la ligne en leader, a-t-elle dit. Mais derrière, c’est très serré: je dois vraiment tout donner dans la deuxième si je veux garder ce rang.»
En effet: Hansdotter précède la Finlandaise Tania Poutiainen (2e) de 0''17, l'Américaine Mikaela Schiffrin (3e) de 0''18, l'Allemande Maria Höfl-Riesch (4e) de 0''20 et la Slovène Tina Maze (5e) de 0''47. Poutiainen déclarait: «J’ai réalisé une bonne manche, en restant relaxe. J’ai fait ce que je pouvais.»
La revenante autrichienne Marlies Schild - elle a été opérée du genou à mi-décembre - pointe à la 10e place, à 1''43 de Hansdotter.
Côté Suisse, Wendy Holdener occupe la 14e place, avec un retard de 1''59. Michelle Gisin, elle, a perdu 3''45. Elle devrait pouvoir s'élancer sur le second tracé (13 h 30), puisqu'elle est actuellement 29e.

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Pas joli-joli, le genou de Lindsey Vonn...

SKI ALPIN

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La skieuse américaine a publié sur son profil Facebook deux photos de son genou opéré. Elle portera des jupes longues cet été!
Par R. Ty.

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Pas de jupes courtes pour Lindsey Vonn l'été prochain! (Image: Keystone )


Lindsey Vonn a publié sur son profil Facebook des photos de son genou droit opéré, depuis son domicile de Vail.
Elle y a joint un commentaire non teinté d'humour: «Mon genou a l'air... hum... pas tout à fait bien. Longues jupes cet été! Ugh!»
L'Américaine s'était sévèrement blessée en chutant lors du Super-G dames, première compétition des Mondiaux de Schladming. Le diagnostic avait fait état d'une déchirure du ligament croisé antérieur et du ligament latéral interne du genou droit, et d'une fracture du plateau tibial externe.
Elle a été opérée dimanche passé à Vail par le Dr Bill Sterett, médecin chef de la Fédération américaine de ski.

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Les symboles de la décadence

Ski alpin

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Les prestations des anciens champions lors du géant des Mondiaux traduisent la profondeur du gouffre dans lequel est tombée l’équipe nationale. Seul Caviezel donne espoir.
Par Gaëlle Cajeux. Mis à jour à 08h58 13 Commentaires

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Image: Keystone
Ski suisse: y’a-t-il encore un pilote dans l’avion?











Janka, DNS. N’a pas pris le départ. Défago, DNF. N’a pas terminé. La réalité ainsi affichée sur les écrans est douloureuse. Honteuse. Le Grison, champion du monde (2009) et olympique (2010) de géant, a renoncé à prendre le départ de la seconde manche du géant des Mondiaux de Schladming. «Trop fatigué, je n'ai plus de force» ( il va passer des tests médicaux ), a-t-il justifié après une première manche skiée avec «deux freins à main», totalement apeuré dans le mur final. Le Valaisan, champion olympique de descente et 4e du géant de Sölden fin octobre dernier, s’est élancé, mais a abandonné après quelques portes, sans pourtant en avoir manqué. «Après ma première manche, où je n’ai pas trouvé le rythme, je n’avais plus rien à perdre. J’ai donc décidé de tester un nouveau ski. Mais cela n’a pas marché non plus. A la hauteur du départ du slalom, j’étais quasiment à l’arrêt, alors j’ai basté. Autant tout perdre que franchir la ligne d’arrivée avec trois secondes de retard supplémentaires.» Bernhard Russi ne peut que déplorer: «Chacun sait que le géant est la discipline de base, lorsque l’athlète la maîtrise, il peut skier partout. La course du jour révèle les faiblesses techniques et montre à quel niveau se situe vraiment l’équipe de Suisse.»
Les entraîneurs à l’hôtel
Mais tandis que les athlètes vont au front, skient comme ils le peuvent, puis doivent se justifier, leurs entraîneurs rentrent à l’hôtel avant même la fin de la course. Esquivant les questions. Evitant d’endosser la responsabilité de cette décadence. «Pourtant c’est bien toute l’organisation qui est à remettre en question, souligne Bernhard Russi. Car au lieu de chercher la solution pour que les skieurs s’adaptent au nouveau matériel (des skis particulièrement difficiles à tourner en géant, qui nécessitent une adaptation de la technique et un renforcement physique), ils se contentent toujours de rejeter la faute là-dessus. Il faut se demander pourquoi le coach en chef n’a pas remarqué ces évolutions? Et s’il les a remarquées, pourquoi il n’a pas pu imposer des changements? Pourquoi ses entraîneurs n’ont pas réussi à franchir cette haie que constituait le nouveau matériel imposé et râlent encore aujourd’hui?»
Didier Défago concède que, personnellement, il doit encore «faire quelque chose au niveau matériel». Mais souligne également un entraînement «sans doute trop classique» dans le clan suisse pour pouvoir régater sur des tracés toujours plus «tordus», auxquels les meilleurs, eux, sont déjà rodés. Et puis les Suisses souffrent de la politique des micro groupes. Défago leader du groupe Coupe du monde 1. Et Janka dans le groupe 2. Mais aucune confrontation entre eux, pas de concurrence entre les meilleurs éléments qui permettrait d’élever le niveau. «Il faut oublier ces histoires de petits groupes!», lance Bernhard Russi. Défago le réclame depuis le printemps. «Si les entraîneurs ne l’ont pas compris après cette saison, je ne sais pas ce qu’il faut faire…» Et Russi de poursuivre: «Qu’on mette tous les skieurs suisses sur une piste et qu’ils montrent comment on skie vite. Qu’il y ait une émulation entre l’expérimenter de 30 ans, et le talent de 18 ans.»
Hier, c’est justement Gino Caviezel (20 ans) qui a apporté la lueur d’espoir au clan helvétique. Bien centré sur ses skis, le haut du corps toujours vers l’avant (alors que ses aînés partent sur l’arrière), il a su conserver de la vitesse malgré les erreurs pour accrocher la 15e place. Le jeune grison a produit le ski moderne inculqué par Jörg Roten, le Valaisan qui polit les talents du groupe Future. L’Autrichien Sepp Brunner, lui, a laissé sa génération dorée (Janka, Feuz, Berthod, Albrecht, Viletta) s’éteindre. Le voir tout sourire congratuler ses compatriotes au passage de Marcel Hirscher alors que Janka, le regard dans le vide, déclarait forfait, a résonné comme un intolérable abandon.

La Beresina pour la Suisse.......

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Federer battu à Rotterdam

TENNIS

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Le Bâlois s'est incliné en quarts de finale face au Français Julien Benneteau 6-3 7-5.
Mis à jour le 15.02.2013 1 Commentaire

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Roger Federer s'est incliné face à Benneteau 6-3, 7-5. Il ne défendra donc pas son titre à Rotterdam et perdra de précieux points à l'ATP.
Tenant du trophée, Roger Federer ne disputera pas les demi-finales du tournoi ATP de Rotterdam. Le no 2 mondial s’est incliné 6-3 7-5 en quart de finale face au Français Julien Benneteau (ATP 39).
C’est seulement la troisième fois en dix-neuf tournois disputés depuis le début de l’année 2012 qu’il n’atteint pas le dernier carré. L’an dernier, il avait échoué avant ce stade de la compétition à Miami (3e tour) et à l’US Open (quart de finale).
Facile vainqueur de ses deux premiers matches dans la cité néerlandaise, Roger Federer aura donc buté sur le premier véritable obstacle se dressant sur sa route. Julien Benneteau possède il est vrai des armes que ni Grega Zemlja (ATP 64) ni Thiemo de Bakker (ATP 123) n’ont dans leur arsenal. Ne s’était-il pas retrouvé à six reprises à deux points de la victoire face au futur vainqueur au 3e tour de l’édition 2012 de Wimbledon ? Comme la veille face à Thiemo De Bakker, l’homme aux 17 titres du Grand Chelem n’a pas pu s’appuyer sur un service suffisamment performant. Avec seulement 57 % de premières balles passées, il fut une proie trop facile pour un joueur autant à l’aise en indoor. Redoutable contreur, Julien Benneteau signait ainsi le break à cinq reprises, en onze jeux de relance... Il s’adjugeait par ailleurs 20 des 30 points disputés derrière les deuxièmes balles adverses.
Roger Federer, dont la seule précédente défaite concédée face au Français de 31 ans l’avait été en salle déjà (Paris-Bercy 2009), a pourtant lutté jusqu’au bout. Mené logiquement 6-3 4-1, il trouvait les ressources pour revenir à 4-4. L’embellie ne durait cependant pas. Dos au mur à 5-6 30/30, il offrait une première balle de match à son adversaire en commettant une double faute. Julien Benneteau tentait crânement sa chance sur le point suivant en s’emparant du filet. Il profitait d’un passing de revers manqué par Roger Federer pour cueillir sa 200e victoire sur l’ATP Tour, après 1h21’ de jeu.

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Serena Williams reprend la place de No 1 mondiale

TENNIS

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Grâce à sa victoire en quart de finale à Doha, l'Américaine est assurée de se retrouver au sommet dans le prochain classement, lundi. A 31 ans et 4 mois, elle sera la joueuse la plus âgée à occuper ce rang.
Mis à jour le 15.02.2013

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Serena Williams est assurée de retrouver le sommet du tennis féminin mondial lundi après sa victoire en quart de finale du tournoi de Doha. L’Américaine sera, à 31 ans et 4 mois, la joueuse la plus âgée à occuper la place de no 1 mondial.
La cadette des soeurs Williams s’est qualifiée pour les demi-finales en battant la Tchèque Petra Kvitova 3-6 6-3 7-5. Elle affrontera au prochain tour le no 3 mondial Maria Sharapova.
Serena Williams délogera de la première place mondiale la Biélorusse Victoria Azarenka et retrouvera un fauteuil qu’elle a déjà occupé pendant 123 semaines au total entre 2002 et 2010. «Je n’ai jamais cru pouvoir retrouver cette première place mondiale», a-t-elle déclaré, au bord des larmes, après sa victoire.
«Je suis tellement sensible en ce moment, je suis toujours en train de pleurer, mais je n’ai jamais cru possible de me retrouver à nouveau dans cette position», a ajouté l’Américaine, qui a détrôné sa compatriote Chris Evert du titre symbolique de no 1 mondial le plus âgé de l’histoire du circuit WTA (30 ans et 11 mois en 1985).
Serena Williams, désormais entraînée par Patrick Mouratoglou, vit en effet une deuxième partie de carrière flamboyante après avoir été éloignée du circuit pendant plus d’un an entre mi-2010 à mi-2011 à cause d’opérations à un pied et d’une embolie pulmonaire qui aurait pu lui coûter la vie. En septembre, à l’US Open, elle était déjà devenue la première trentenaire à gagner un tournoi Grand Chelem depuis 1990 et Martina Navratilova à Wimbledon, confirmant ainsi la fin de la domination des jeunes tout juste sorties de l’adolescence sur le circuit féminin.
Ce retour en tête du classement est aussi logique au vu des derniers mois. Depuis sa défaite au 1er tour de Roland-Garros face à Virginie Razzano, l’Américaine est redevenue la véritable patronne du circuit féminin, remportant Wimbledon, le tournoi olympique et l’US Open, un triplé seulement réalisé avant elle par Steffi Graf (1988) et sa soeur aînée Venus (2000). Elle avait en outre conclu sa saison 2012 sur un succès au Masters.
Entre son revers parisien et son élimination surprise par sa compatriote Sloane Stephens en quart de finale de l’Open d’Australie en janvier, Serena Williams n’avait perdu qu’un match sur 41. Son prochain défi est d’ajouter un 16e titre du Grand Chelem à son palmarès qui compte au total 47 titres WTA. Elle vise notamment un deuxième titre sur la terre battue de Roland-Garros, onze ans après son seul sacre à Paris en 2002. A l’époque, elle n’avait que 21 ans.

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Malaury Martin au LS

FOOTBALL

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Le Lausanne-Sport a engagé le milieu de terrain français jusqu'au terme de la saison.
Mis à jour le 15.02.2013

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Malaury Martin a été international junior avec la France.






Lausanne annonce l’arrivée dans ses rangs du milieu de terrain Malaury Martin (24 ans).
Produit du centre de formation de l’AS Monaco, l’ancien international junior français s’est engagé jusqu’au terme de la saison. Il ne sera pas qualifié pour le match de Super League de ce week-end face à Bâle.
Malaury Martin a joué à Monaco, Nîmes, Blackpool et Middlesbrough.