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Chelsea en 8e de finale de la Coupe d'Angleterre

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Chelsea s'est qualifié sans problème pour les 8e de finale de la Coupe d'Angleterre en battant le club de troisième division de Brentford 4-0, en match à rejouer dimanche à Stamford Bridge.
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Les hommes de Rafael Benitez avaient été contraints de rejouer leur seizième de finale après avoir été tenus en échec 2-2 à Brentford, un autre club de l'ouest londonien.

Chelsea s'est imposé grâce à des buts de Juan Mata (54e), Oscar (68e), Frank Lampard (71e) et John Terry (81e), tous marqués en seconde période.

Eden Hazard a été remplacé à la 65e minute par Moses.

Grands spécialistes de la FA Cup, qu'ils ont remportée quatre fois en six ans, les "Blues" affronteront Middlesbrough (D2) en 8e de finale.

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Foot - Ligue 1 - 25e j. : Un grand bol d'air pour l'OL

Après trois défaites consécutives, Lyon s'est refait une santé dimanche sur la pelouse de Bordeaux (4-0). L'OL reprend la deuxième place à Marseille et revient à trois points de Paris, en visite à Sochaux ce soir (21h00).
Après trois défaites toutes compétitions confondues, les Lyonnais ont repris le sens de la marche en s'imposant de la tête et des jambes à Chaban-Delmas face à Bordeaux (4-0). (L'Equipe)







La série noire s’arrête là. Battu consécutivement en Ligue 1 par Ajaccio et Lille (3-1 les deux fois) et en Ligue Europa jeudi par Tottenham (1-2), l’OL a remporté (4-0) dimanche le «match des européens» dixit Rémi Garde. Heureux sur le terrain du Dynamo Kiev jeudi (1-1), Bordeaux a cette fois vu le vent tourner. Titularisé pour la première fois en pointe, l’Uruguayen Rolan s’est blessé dès la huitième minute. Touché à la cheville, il a voulu reprendre le jeu mais s’est montré bien discret avant de céder sa place à Fahid Ben Khalfallah à la pause. A cet instant, les Girondins étaient déjà menés au score. Sur sa première occasion, l’OL, qui a effectué le voyage direct depuis Londres, a trouvé l’ouverture. Après un contrôle en partie manqué, Bafetimbi Gomis a parfaitement lancé Grenier. D’un plat du pied, le milieu de terrain, titularisé en l’absence de Malbranque, a trompé un Carrasso lâché par sa défense (15e).

Les jeunes lyonnais à la fête

Décidément bien malheureux, Bordeaux a également perdu son leader de défense Marc Planus (mollet) à la mi-temps. Victime d’une béquille en début de rencontre, Sané a serré les dents pour le suppléer en défense centrale. Mais a dû s’incliner face à la jeunesse lyonnaise. En prévision du retour face à Tottenham jeudi, Garde a décidé de sortir Lisandro (55e) et Gomis (61e) pour faire entrer Ghezzal et Ferri (20 ans tous les deux). Le début du récital des bébés Gones. Grenier, le plus âgé des cinq joueurs offensifs (22 ans), s’est offert un doublé sur penalty (3-0, 72e) après une faute de Faubert sur Fofana (21 ans). Quelques minutes plus tôt, ce dernier avait profité de l’appel de Lacazette (21 ans) pour envoyer un missile dans la lucarne de Carrasso (2-0, 65e). Lacazette a achevé le festival d’une reprise du gauche dans le petit filet (75e).

A trois points de Paris


Battue la semaine dernière à Ajaccio sur un superbe geste de Ricardo Faty (0-1), la deuxième meilleure défense du championnat, amputée de ses Brésiliens Mariano et Henrique, a brutalement cédé dimanche et devra retrouver de la solidité jeudi pour contenir le Dynamo Kiev. L’OL fait lui le plein de confiance avant d’accueillir les Anglais de Tottenham, reprend la deuxième place de la Ligue 1 à Marseille et met la pression sur le PSG, en visite à Sochaux ce soir (21h00).

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Tennis - ATP - Rotterdam : Benneteau patientera

Julien Benneteau était trop court face à Juan Martin Del Potro (7-6[2], 6-3) et devra attendre une neuvième finale pour inscrire un titre à son palmarès.
Encore raté pour Julien Benneteau. Il lui faudra attendre une neuvième finale pour espérer inscrire un titre à son palmarès. (L'Equipe)







Julien Benneteau a tenu un set face à Juan Martin Del Potro avant de s'incliner en finale du tournoi de Rotterdam (7-6[2], 6-3). Fatigué par les efforts de la semaine, le Français avait pourtant réalisé le départ parfait. Premier joueur à pouvoir prendre le service de l'Argentin depuis le début du tournoi, Benneteau meanit rapidement 2-0 et tous les voyants semblaient au vert, d'autant que le 7e mondial donnait quelques points gratuits bienvenus. Mais Del Potro n'a pas tardé à retrouver son niveau et à mettre un sacré coup d'accélérateur pour mener 4-2. Le plus dur était-il fait ? C'était sans comppter sur un Julien Benneteau qui ne comptait pas abandonner si vite sa huitième finale. Le Français sauvait ainsi 2 balles de set pour revenir à 5-5. Le set devait se conclure au tie-break. un jeu décisif dominé par l'Argentin qui mettait plus de poids dans ses balles et ne laissait que deux petits points à son adversaire.

Visiblement émoussé, Benneteau laissait Del Potro prendre le large en concédant un break d'entrée (3-0). Mené 5-2, le Français se rebellait une nouvelle fois et sauvait trois balles de match pour revenir à 5-3. Mais sur son service, Del Potro se montrait impérial et terminait sur un ace, son 13e, pour remporter son quatorzième titre.

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Biathlon - ChM (Hommes) : Le dernier titre pour Boe





Tarjei Boe a remporté dimanche la mass-start 15 km, dernière course des Mondiaux de Nove Mesto, en République tchèque. Le Norvégien, qui s'est imposé en 36'15''8, a devancé le Russe Anton Shipulin (+3''7) et son compatriote Emil Svendsen (+7''4). Alors qu'il était en tête, Martin Fourcade a réalisé une faute lors de son ultime tir et a terminé finalement à la dixième place (+36''8), juste derrière son frère Simon, neuvième (+36''3). Jean-Guillaume Beatrix est le meilleur Français avec sa septième place (+19''6).

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Rugby - Top 14 - 18e j. : Retour à l'ordre

Toulon et Clermont assoient un peu plus leur domination sur le classement du Top 14 au terme de la 18e journée. Ils font surtout oublier leurs récentes défaites. L'USAP fait un bon coup à Toulouse et tout reste possible pour les barrages.





Ivan Roux symbolise la jeune garde toulonnaise. (L'Equipe)





Record à Clermont

Après deux défaites de rang, l'ASM a bien redressé la barre face à Mont-de-Marsan (56-3). En inscrivant 7 essais, les Clermontois ont fait une démonstration de force mais le contraire eut été étonnant. Les Montois n'avaient pas l'ambition de mettre un terme à l'invincibilité auvergnate à domicile (55 victoires). La composition de l'équipe, avec onze changements par rapport à la victoire sur Grenoble, ne laissait planer aucun doute sur la question. Clermont en a profité pour signer sa plus large victoire de la saison, se refaire un moral et rester dans les pas du RCT. Tout bonus.




Le FCG s'accroche

Grenoble s'accroche à sa sixième place après sa victoire sur Agen (27-13). Le FCG a su forcer la décision grâce à un changement très rapide de talonneur et à une mêlée retrouvée. Même si les barrages ne font pas partie des ambitions grenobloises, il était nécessaire de l'emporter pour mettre un terme à une série de deux défaites à l'extérieur. A la maison, c'est une autre histoire et les Grenoblois se verraient bien rester invaincus jusqu'au terme de la saison. Et pour cela, il valait mieux emmagasiner un peu de confiance avant la réception de Clermont la semaine prochaine.




Merci "Yach"

Le duel de buteurs entre Dimitri Yachvili et Rory Kockott a tourné à l'avantage du Biarrot (15-9). Quand le jeu du BO ne fait pas la différence, les Basques peuvent toujours compter sur leur artilleur, malgré quatre échecs en seconde période. Du coup, Biarritz n'est pas décroché et peut encore espérer une qualification européenne pour la saison prochaine. Mais le club n'a pas de joker. Le CO se satisfait de son point de bonus qui lui permet d'assurer sa position de barragiste, malgré une nouvelle démonstration d'indiscipline à l'extérieur.





Ici c'est Toulon

Sous le soleil varois retrouvé, le RCT a remis les pendules à l'heure et rangé dans l'armoire à souvenirs l'équipe sans âme ni coeur qui avait été humiliée la semaine dernière à Bordeaux (41-0). Face à un adversaire direct pour le titre, les Toulonnais n'ont pas fait dans la demi-mesure (51-6). En plus des cinq essais infligés à Montpellier, on retiendra une maîtrise de tous les instants et un bel amalgame entre les stars du groupe et de jeunes pousses qui ne demandent qu'à exprimer leur potentiel. On retiendra d'ailleurs les prestations d'Ivan Roux et de Vincent Martin. En tout cas, on a retrouvé le RCT du début de saison.




L'USAP peut y croire

Trois ans que Toulouse n'avait pas été vaincu à domicile. Trente-et-un ans que l'USAP ne s'était pas imposée chez les Rouge et Noir. Par leur réalisme, les Catalans ont mis fin aux deux séries d'un seul coup (18-19). Là où les Toulousains ont de nouveau multiplié les gestes de fébrilité dans la zone de marque, les Perpignanais ont bonifié toutes leurs incursions dans les 22 adverses. Jusqu'à cet essai de Gavin Hume très bien initié par David Marty et où le placement défensif toulousain était aux abonnés absents. Du coup, avec trois points de retard sur le sixième, l'USAP peut se mettre sérieusement à penser aux barrages.




Et de cinq !

«Il y a quelques mois, ces matches-là on les perdait». La vision de Jonathan Wisniewski sur le Racing est très juste. Face à Bayonne, les Franciliens se sont fait peur mais l'ont emporté (15-10) pour signer une cinquième victoire de rang. Les Ciel et Blanc ne sont pas encore dans le groupe des barragistes mais peut-être plus pour longtemps car l'équipe semble avoir franchi un cap et enfin oublié les turbulences internes. Et si la deuxième partie de la saison était celle du Racing ? Réponse la semaine prochaine sur la pelouse de Biarritz.




Paris résiste

La victoire du Stade Français sur l'Union Bordeaux-Bègles (30-14), même dans un match sans relief où ils peuvent s'en vouloir de ne pas avoir accroché le bonus offensif, fait le plus grand bien aux Parisiens qui nourrissent ainsi un espoir d'accrocher les barrages. Ça c'est le bon point de cette 18e journée de Top 14. Le mauvais point, c'est le carton rouge reçu par Sergio Parisse. Le capitaine parisien se retrouve privé du prochain match de l'Italie dans le Tournoi et pourrait manquer d'autres matches avec le Stade Français. Et quand on connaît l'importance du bonhomme...

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Basket - Leaders Cup : Le sacre de Gravelines

Deux ans après un premier succès, Gravelines remporte de nouveau la Leaders Cup (ex-Semaine des As) en dominant Strasbourg en finale (77-69) à Disneyland Paris.
Gravelines remporte la Leaders Cup dans le monde merveilleux de Disney. (L'Equipe)







Gravelines ne fera pas aussi bien que Chalon. Déjà éliminé de la Coupe de France par... Strasbourg (75-87), le BCM ne peut plus imiter son prédécesseur au palmarès de la "Semaine des Leaders", qui avait signé un triplé "As Cup" - Coupe - Championnat. Mais à l'instar des Bourguignons l'an dernier, les Nordistes ont posé des jalons dans le tournoi de mi-saison qui lui permettent de regarder haut et loin. Comme en quarts face à l'ASVEL (78-69), comme en demi-finale devant Le Mans (70-60), l'équipe de Christian Monschau a été un cran au-dessus de son adversaire, ce dimanche dans la très provisoire Disney Events Arena, bondée avec 4500 spectateurs.

Pourtant, la SIG avait récupéré son arrière Gerald Fitch, absent la veille face à Paris-Levallois mais qui était assez remis deux jours après l'entorse subie contre Orléans pour jouer plus d'une demi-heure. Mais même au quasi-complet (Maxime Zianveni était en tenue de ville sur le banc alors que son pigiste médical, John Shurna, devrait être prolongé jusqu'à la fin de la saison), Strasbourg était trop court face à ce qui était bien, comme le disait Vincent Collet, «l'équipe la plus complète du tournoi.» Une formation qui a même pu compter sur un facteur X en finale avec l'ailier Kennedy Winston, un gros CV (ex-Real Madrid, Panathinaikos), une pièce parmi d'autres mais dont le shoot extérieur (14 points à 6/9) a fait très mal à la SIG.

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Foot - Italie - 25e j. : Naples n'en profite pas

Naples, deuxième de la Serie A, pouvait revenir à deux points de la Juventus, battue (1-0) samedi par la Roma. Mais les Napolitains ont été tenus en échecs par au San Paolo par la Sampdoria (0-0) dimanche.
Cavani et Naples ont été accrochés par la Sampdoria. (Reuters)







Avec son nul contre la Sampdoria (0-0), Naples totalise désormais huit matches sans défaite en Serie A. Mais cette belle série ne suffira pas au bonheur des Napolitains. Alors que la défaite de la Juve samedi sur le terrain de la Roma (0-1) avait offert une belle opportunité de recoller, le Napoli a été incapable d’emballer le match face aux Génois. Corrigés en milieu de semaine par le Viktoria Plzen en Ligue Europa (0-3), les partenaires d’Edinson Cavani ont été trop brouillons devant le but et se sont même fait très peur. Si Gianluca Sansone avait été plus adroit (30e, 32e, 42e) et si Behrami ne s’était pas arraché pour contrer Icardi (51e), les visiteurs seraient repartis de San Paolo avec trois points. Romero a bien détourné une frappe de Hamsik (73e) sur son poteau mais il n’a pas été plus inquiété que ça en fin de rencontre. Jeudi, Mazzarri avait envoyé un signe de la main aux supporters pour se faire pardonner. Cette fois, ces derniers ne lui ont pas laissé le temps de se manifester avant de siffler leurs protégés.

Catane dépasse l'Udinese

Septième avant le week-end, l’Udinese perd deux places après sa défaite sur la pelouse du Genoa (0-1). L’équipe de Sébastien Frey et Marco Borriello a pris l’avantage par Juraj Kucka peu après la demi-heure et s’éloigne de la zone rouge. Dans le même temps, Catane fait la bonne opération contre Bologne et dépasse les Frioulans grâce au troisième but de la saison de l’ancien Monégasque Sergio Almiron (1-0). Le duel des mal-classés entre Pescara et Cagliari profite aux visiteurs (0-2). Un doublé de Marco Sau permet à Cagliari de gagner deux places pour se retrouver quatorzième. Enfin, l’ancien grand espoir de la Roma Alessio Cerci et l’ancien Auxerrois Valter Birsa ont aidé le Torino à dominer l’Atalanta Bergame de German Denis (2-1).
A.M.

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Foot - Cup : City n'a pas traîné

Deux buts précoces contre Leeds (D2) ont idéalement lancé Manchester City vers les quarts de finale de la Cup, dimanche (4-0). Un peu de baume au coeur des Citizens...
Sergio Aguero a inscrit un doublé et délivré une passe décisive. (Reuters)







Va pour la consolante. Sa 3e défaite de la saison en Championnat, dimanche dernier contre le promu Southampton (3-1), a relégué Manchester City à 12 points du leader Manchester United et du coup sérieusement écorné ses chances de conserver son titre. Dans ce contexte morose (2 points seulement sur 9 possibles en Premier League lors des trois derniers matches), la visite de Leeds à l'Etihad Stadium pour ce 8e de Cup arrivait à point nommé pour regonfler le moral de Citizens qui se souviennent que leur marche vers les sommets a commencé en mai 2011 par une victoire (1-0) en finale contre Stoke City. Ainsi fut fait : 4-0 !

Match blanc pour les Whites

Ce n'est pas un grand titre de gloire pour lui, mais Roberto Mancini, le coach mancunien, peut se targuer d'être resté invaincu contre une équipe de Championship depuis qu'il entraîne en Angleterre... Leeds, seulement 12e de son Championnat (sur 24), n'a quasiment jamais inquiété Costel Pantilimon, doublure de Joe Hart, cantonné en tribunes pour ce match. Le gardien roumain s'est interposé sans difficulté sur un coup franc de McCormack (45e+1). Pour le reste, les Whites, cueillis d'entrée, n'ont guère pu entretenir le rêve de leurs supporters dont les plus optimistes avaient en tête l'épopée glorieuse de 1972.

Agüero dans tous les coups


Un double une-deux avec Agüero puis avec Tevez a ouvert le chemin du but à Yaya Touré dès la 5e minute. Agüero a ensuite inscrit la première de ses deux réalisations du jour en provoquant le penalty qu'il a lui même expédié dans la lunette (15e). Sans forcer leur talent, les Mancuniens ont ajouté deux nouveaux buts en seconde période. Agüero, dans tous les bons coups, a centré pour Tevez pour un but 100% argentin (52e), avant de boucler la marque à l'orée du dernier quart d'heure avec le secours du poteau (74e). - Rédaction

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Foot - Espagne - 24e j. : L'Atlético pour se relancer

Battu lors de ses deux dernières sorties (Liga et Ligue Europa), l'Atlético Madrid se rend à Valladolid (19h00) avec l'espoir de renouer avec la victoire. Pour relancer la machine en cette période importante.
Radamel Falcao et ses coéquipiers de l'Atletico Madrid connaissent une période un peu creuse. (Reuters)







Il avait, un temps, réglé son pas sur celui du Barça, pour s'imaginer en outsider dans la chevauchée vers le titre. Mais l'Atlético s'est essoufflé, pour en revenir à un quotidien plus "ordinaire" : douze points de retard sur l'intenable leader barcelonais et, désormais, plus que quatre unités d'avance sur le Real Madrid. Dans la course à un billet en Ligue des champions, que les Colchoneros aspirent à disputer, cette période de creux (deux défaites en trois matches de Liga) n'a pas encore causé de dégâts irréparables.

La défaite à domicile contre le Rubin Kazan (0-2), jeudi en 16es de finale aller de la Ligue Europa, a par contre porté une estocade aux ambitions madrilènes en C3, dont ils sont tenants du titre. Le déplacement à Valladolid, ce dimanche (19h00) lors de la 24e journée de Championnat, a avant tout un rôle de piston : se remettre d'aplomb avant d'aller retrouver les Russes en Coupe d'Europe, jeudi. Diego Simeone reste confiant : «Nous devons montrer un meilleur visage et retrouver notre énergie, a déclaré l'entraîneur de l'Atlético. Toutes les équipes ont des périodes un peu moins bonnes. Les comptes seront faits à la fin du Championnat».

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Tennis

«Je me sens mal vis à vis des spectateurs»

Mis à jour le 16.02.2013 4 Commentaires

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Surprise! Le tournoi de Rotterdam s'arrête là pour Roger Federer. Le Bâlois a été battu en quart de finale par le Français Julien Benneteau 6-3 7-5.

Roger Federer, perplexe après sa défaite à Rotterdam.
Image: Keystone
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Tenant du trophée, Roger Federer ne disputera pas les demi-finales du tournoi ATP de Rotterdam. Le no 2 mondial s'est incliné 6-3 7-5 en quart de finale face au Français Julien Benneteau (ATP 39).
«Je me sens mal pour les supporteurs qui ne peuvent plus me voir jouer désormais. Mais Julien a fait un grand match, il s'est créé plus d'occasions que moi. J'ai tout tenté mais il mérite sa victoire», a commenté le Suisse.
Il s'agit de la deuxième victoire de Benneteau face à Federer en six confrontations entre les deux joueurs, le précédent succès remontant à 2009 à Bercy. Le Français avait également mené deux à zéro face au Suisse lors du dernier Wimbledon avant de s'incliner face au futur vainqueur.Au prochain tour, Benneteau affrontera son compatriote Gilles Simon qui a profité de l'abandon du Slovaque Martin Klizan en quart.
C'est la deuxième demi-finale de l'année pour Benneteau après celle perdue en janvier face au Sud-Africain Kevin Anderson à Sydney. Finaliste à sept reprises dans sa carrière, il attend toujours de remporter son premier tournoi.Vendredi, il a dominé à la régulière un Federer qui s'était pourtant baladé dans ses deux premiers matches aux Pays-Bas.
Il a notamment pris le service du Suisse à cinq reprises, un exploit, surtout en salle contre un serveur de sa trempe.Il a aussi gardé ses nerfs lorsque Federer s'est procuré trois balles de break à 5-5 au deuxième set. «Mais j'aurais été chanceux si j'avais réussi à arracher un troisième set», a estimé le Suisse.
C'était seulement le deuxième tournoi de l'année pour Federer qui s'était arrêté en demi-finales de l'Open d'Australie face à Andy Murray.Il s'envolera dimanche pour l'Afrique du Sud, le pays d'origine de sa mère, pour promouvoir sa fondation et où il espère rencontrer Nelson Mandela. (afp/Newsnet)