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Sven Nys remporte le cyclo-cross de Lebbeke

© belga.
Sven Nys (Crelan-Euphony) a remporté samedi le cyclo-cross de Lebekke, signant à cette occasion son 20e succès de la saison.
Le champion du monde a devancé son prédécesseur au palmarès mondial Niels Albert (BKCP-Powerplus). Wietse Bosmans a complété le podium. Bart Wellens s'est classé 4e et Toon Aerts 5e.

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Kvitova remporte le tournoi de Dubaï

© ap.
Battue deux fois au premier tour, la Tchèque Petra Kvitova a mis fin à sa malédiction à Dubaï. La tête de série N.6 et 8e joueuse mondial s'est offert le tournoi de tennis de la WTA doté de 2 millions de dollars, samedi dans les Emirats. Elle s'est imposée en finale aux dépens de l'Italienne Sara Errani (WTA 7/N.5) en trois sets, 6-2, 1-6, 6-1 et 1h40.
La gauchère tchèque remporte son 10e titre WTA à 22 ans et sa 4e victoire en autant de duels face à Errani.

Résultats
Simple dames (finale):
Petra Kvitova (Tch/N.6) bat Sara Errani (Ita/N.5) 6-2, 1-6, 6-1

Double dames (finale):
Bethanie Mattek-Sands/Sania Mirza (USA/Ind) battent
Nadia petrova/Latarina Srebotnik (Rus/Svq/N.2) 6-4, 2-6, 10-7.

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La Belgique s'incline en Coupe d'Europe de rugby

© belga.
La Belgique a concédé sa 2e défaite en trois matches, samedi en Coupe d'Europe des nations de rugby. Les Diables Noirs ont été battus 18-12 par le Portugal à Lisbonne. Ils menaient pourtant 8-9 au repos.
Les Lusitaniens ont marqué deux essais (un transformé) et deux pénalités contre quatre pénalités belges.

En perdant par moins de 7 points, la Belgique a obtenu un point du bonus défensif et en compte désormais 4 et occupe la 4e place .

La Belgique accueillera la Roumanie le 9 mars à l'occasion de son 4e match avant de se rendre en Russie le 16 mars pour son dernier match de la phase aller.

Résultats de la 3e journée de la Coupe d'Europe 2013-2014:
Portugal - Belgique 18-12

Russie - Géorgie 9-23

Espagne - Roumanie 15-25

Classement de la division 1:
1. Géorgie 12 pts

2. Roumanie 12

3. Portugal 5

4. Belgique 4

5. Russie 4

6. Espagne 2

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La Belgique bat l'Italie au Mondial de billard à trois bandes


Les tenants du titre Frédéric Caudron (UMB-2) et Eddy Merckx (UMB-7) ont remporté leur première rencontre vendredi à Viersen, en Allemagne lors du championnat du monde de billard par équipes à trois bandes.

Caudron a battu 30-13 Domenico Mingiardi (UMB-197), et Merckx s'est imposé 30-15 face à Antonio Oddo (UMB-197).
L'an dernier, la Belgique, avec Caudron et Merckx, avait remporté pour la première fois de son histoire en dominant l'Allemagne en finale.

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Cyclisme - Piste - ChM (Hommes) : Pervis passe





François Pervis sera bien au rendez-vous des demi-finales de la vitesse, dimanche à Minsk. Samedi, le champion du monde du kilomètre a réussi le meilleur temps des qualifications (9"879 sur 200 m lancé) avant de sortir l'Australien Matthew Glaetzer, deux victoires à zéro, en quarts de finale. «Je suis en train de taper dans mes réserves, c'est dur, a-t-il relativisé. J'ai déjà grillé beaucoup de cartouches et j'ai affaire à des coureurs frais, donc il ne faudra pas m'en vouloir si je fais quatre.»

Satisfait de son chrono, Pervis, qui a déjà deux médailles alors qu'il en vise trois, a néanmoins ajouté qu'à son avis, il n'avait «jamais été aussi fort.» Il affrontera dimanche le Russe Denis Dmitriev, qui a sorti l'Allemand Maximilian Levy (2-0). Le Néo-Zélandais Sam Webster a réussi, lui, la performance d'éliminer le Britannique Jason Kenny (2-0). Le champion olympique de la vitesse (et récent champion du monde du keirin) avait battu Grégory Baugé en finale en 2012 avant d'être disqualifié.

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Rugby - Tournoi : PSA : «On est tristes»

Philippe Saint-André, l'entraîneur de l'équipe de France ne cachait la frustration du camp français après la défaite en Angleterre (23-13). «On est très déçus bien sûr, mais pas abattus», a-t-il assuré.
Philippe Saint-André attend toujours une première victoire dans ce Tournoi. (L'Equipe)







«Philippe Saint-André, dans quel état d’esprit êtes-vous après ce match ?
On est tristes. On est très déçus aussi bien sûr, mais pas abattus. Je crois qu’on a montré beaucoup d’envie, de solidarité. Mais, on est dans le dur. Il n’y a pas besoin de me dire que c’est le plus mauvais début de Tournoi depuis longtemps, on le sait. On est dans la construction et il y a beaucoup de joueurs qui ont découvert Twickenham aujourd’hui. Seulement, dans les matches de haut niveau il faut savoir appuyer là où ça fait mal. Il faut savoir féliciter les Anglais qui ont été fidèles à leur image, très pragmatiques.

«De bonnes choses pendant 60 minutes»

Pourtant, à la mi-temps, l’équipe de France menait (10-9). L’exploit restait possible…
On a fait de bonnes choses pendant soixante minutes, oui. On a su faire douter les Anglais. Mais, par la suite, on a manqué de lucidité, de précision sur certains ballons, et des ballons importants en plus. Après, sur une mêlée et un temps fort pour nous, on prend un coup-franc contre nous. Louis (Picamoles) manque de réactivité et la seule fois où il n’est pas dans le «R3» (troisième rideau), eux tapent une chandelle. Sur la suite de l’action, je ne commenterai pas le ruck et la décision d’accepter l’essai….

Il reste que la France a baissé et mal fini…
Sur les vingt dernières minutes, sur la fatigue, il y a eu trop de manque de clairvoyance, même si le coaching a été rapide. Les matches de très haut niveau se jouent à pas grand choses. A ce jeu, à ce niveau il faut prendre tous les points qui se présentent. Des situations étaient favorables au mois de novembre, mais en ce moment, elles sont en permanence défavorables. Il faut qu’on aille plus loin. Plus loin dans ce qu’on peut contrôler. En mêlée, en touche, dans les zones de rucks, on a été bons. On a deux matches en Irlande, et contre l’Ecosse, pour gagner, pour valider tout le travail que les joueurs fournissent depuis le début. C’est beaucoup mieux que les deux derniers matches mais c’est une défaite, on ne peut pas se contenter de cela. Il faut que l’on apprenne encore beaucoup.»
Recueilli par Hamid IMAKHOUKHENE, à Twickenham

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Foot - Ligue 1 - Lille : «On se rapproche, mais...»

Lille s'est replacé dans la course à l'Europe après son troisième succès de rang à Ajaccio (3-1), samedi. Mais Rudi Garcia reste prudent.
Rudi Garcia reste prudent malgré la belle série du LOSC. (AFP)







Rudi Garcia (entraîneur de Lille) : «On avait étudié le jeu de l'équipe d'Ajaccio. On savait ce qu'il fallait faire même si on s'attendait à un match difficile face à une équipe invaincue en 2013. Notre première période a été très moyenne malgré l'ouverture du score. On a manqué de mouvement et de liant entre les lignes. Paradoxalement, ça a été beaucoup mieux après la pause. On a été réduits à dix et malgré cela, les joueurs ont été très présents. Ils ont su négocier au mieux les contres. Ensuite, on a su faire preuve de courage pour réussir à garder ce résultat. Cela nous fait trois victoires consécutives. On va continuer à travailler pour finir le mieux possible la saison. On se rapproche de l'Europe mais rien n'est encore joué».

Albert Emon (entraîneur de l'AC Ajaccio) : «Malgré le résultat qui ne nous est guère favorable, je n'ai rien à reprocher à mes joueurs. Ils ont fait le match que j'attendais d'eux. On savait que cette équipe de Lille était redoutable. Le match s'est joué sur des détails et en notre défaveur. Je pense que l'on a donné le bâton pour se faire battre sur le deuxième but. Cela a été le tournant de la rencontre. On va se remettre au travail et préparer, dès lundi, le prochain match».

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Foot - Ligue 1 - Sochaux : Boudebouz : «Si on continue...»

Malgré les deux points perdus dans les dernières minutes à Rennes (2-2) samedi, le milieu de Sochaux Ryad Boudebouz se dit convaincu qu'en affichant la même «mentalité» et la même «agressivité», les Lionceaux se maintiendront. Voire mieux.
Un peu déçu par le nul concédé dans les dernières minutes à Rennes, Ryad Boudebouz se dit toutefois confiant en l'avenir. A condition que Sochaux réédite ce type de prestation. (AFP)







«Ryad Boudebouz, êtes-vous déçu d’avoir concédé le nul dans les dernières minutes ?
Effectivement, c'est dommage de prendre ce but à la 88e car Rennes n'était pas dangereux en deuxième période. Mais c'est bon pour l'avenir car l'équipe joue bien. On a un bon groupe solide. On continue notre chemin sans perdre, cela fait trois matches (0-0 à Troyes puis 3-2 contre Paris, ndlr). Il faudra prendre maintenant trois points contre Nancy samedi pour les mettre à distance et s'éloigner de la zone de relégation le plus vite possible pour vivre une fin de saison plus tranquille.

«On s'est dit sur la deuxième partie de saison qu'on allait arrêter de subir».En vous regardant jouer, on n'a pas l'impression de voir une équipe qui lutte pour le maintien...
Oui, on s'est dit sur la deuxième partie de saison qu'on allait arrêter de subir. Maintenant on joue bien, on a les occasions et on arrive à marquer. C'est bien pour Sochaux. Depuis janvier l'équipe tourne bien (trois victoires, deux nuls et deux défaites, ndlr). On prend aussi du plaisir en jouant comme ça, et pour nous les joueurs offensifs c'est plus facile. On presse plus haut et on joue vraiment notre football. Et comme on est petits, vifs, c'est dur pour les équipes. Le foot, ce n'est pas forcément être grand et costaud. Donc on essaie d'imposer notre jeu et pour l'instant ça va bien.

Giovanni Sio, qui a marqué deux buts en deux matches depuis son arrivée au mercato, vous apporte-t-il l'efficacité qui vous manquait ?
C'est un bon attaquant, il s'entend bien avec les autres et nous apporte ce qu'on n'avait pas en début de saison, oui. Et cela met aussi de la concurrence. Maintenant ils sont quatre pour deux postes (avec Butin, Privat et Bakambu). C'est bien pour l'équipe : plus il y a de concurrence, plus elle va progresser. Si on continue avec cette mentalité et surtout cette agressivité on pourra se maintenir et même voir un peu plus haut.»

Frédéric Antonetti (entraîneur de Rennes) : «C'est un résultat plutôt flatteur, on s'en sort pas trop mal. Les interrogations que j'avais avant le match ne sont pas levées : le retour des joueurs de la CAN (Boye, Cheick Diarra et Pitroipa, ndlr), l'intégration des nouveaux (seul Alou Diarra a joué ce soir, Mensah et Ilunga étaient blessés, Konradsen remplaçant), et qui va remplacer Alessandrini. On a vu que son absence dans le pressing, l'animation côté gauche, a été très préjudiciable. Les interrogations sont toujours là et peut-être même plus importantes. Ai-je fait les bons choix ? A priori non, même s'il faut que je réfléchisse. Ai-je les solutions pour le faire ? C'est autre chose. C'est un résultat positif mais le contenu était très mauvais. Il faut se remettre à bosser et en question comme on a su le faire parfois, et moi le premier. On ne repart pas de zéro mais on est en reconstruction. On a raté notre match collectivement.»

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Basket - NBA : Miami puissance 10

Le Heat a fait une nouvelle démonstration de puissance en atomisant Philadelphie (114-90) et signe une dixième victoire de rang. Les Clippers et les Wizards sont les autres gagnants de la soirée.





LeBron James a réalisé à un énième triple double contre Philadelphie. (Reuters)





Go Wizards

Sans faire grand bruit, Washington est en train de se refaire une belle santé. La victoire des Wizards sur les Rockets (105-103) est ainsi la 10e en 12 matches au Verizon Center. Mieux, c'est la 11e sur les 15 dernières rencontres face à des équipes disposant d'un bilan positif. Pourtant, les Wizards étaient plutôt mal engagés puisqu'ils ont dû effacer un retard de 17 points en deuxième quart-temps. Arrachée sur le fil, la victoire est la conséquence directe d'un rebond offensif de Bradley Beal (21 points, 5 rebonds, 4 passes). En revanche, si les Wizards vont mieux, ce n'est pas le cas de Kévin Séraphin qui ne semble plus rentrer dans les plans de Randy Wittman et qui n'a pas joué.




Panique à Detroit

Déjà largement battus par les Pacers dans la nuit de vendredi, les Pistons se sont de nouveaux inclinés face à Indiana (72-90). Après un départ plus que poussif, les Pistons ont réussi à revenir et même à mener avant de subir une nouvelle fois la loi des Pacers pour arrivé la pause en étant menés 39-28. La messe était dite puisque jamais plus l'écart n'allait se situer sous la barre des dix unités. Il faut dire qu'avec 33,8% aux tirs, Detroit ne pouvait espérer mieux.





Wade au top

Où s'arrêtera Miami ? Porté par un LeBron James une nouvelle fois en état de grâce, le Heat a atomisé les Sixers (114-90) et enchaîne avec une dixième victoire de rang. Sur un nuage et auteur d'un triple double (16 points, 10 rebonds et 11 passes), James a été parfaitement secondé par Dwyane Wade qui engrangeait un maximum de points (33). De quoi franchir la barre des 16 000 points marqués en carrière et intégrer le top 100 des meilleurs scoreurs de l'histoire de la NBA. Dans ses conditions, Philadelphie ne pouvait faire autre chose que profiter du spectacle.




Clippers au rebond

Après une cuisante défaite par 26 points d'écart face aux Spurs jeudi, les Clippers devaient rebondir. C'est chose faite avec cette victoire sur le Jazz (107-94). On notera la participation active à cette victoire d'un Lamar Odom totalement retrouvé avec 51% de réussite et 16 de ses 18 points inscrits en seconde période. Si le début de la rencontre avait été marqué par la hargne de Caron Butler et Blake Griffin, Odom a su mettre la touche finale. Et Utah endosse le costume de victime favorite des Clippers avec une sixième défaite consécutive face à cette franchise.




Denver assure

Quatre défaites de rang à l'extérieur, ça suffisait. Denver a mis fin à la série au profit d'un voyage à Charlotte (99-113). Si le match n'a pas atteint des sommets, on notera tout de même que le prmeier quart-temps ressemblait à un drôle de concours de dunks avec pas moins de 11 réalisations. Autant dire que la défense n'était pas le secteur le plus mis en avant par les deux équipes. Au moins, les spectateurs ont eu droit à un show dans un match somme toute assez oubliable.

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Ski alpin - CM (Hommes) : Fortunes bleues

Les géantistes français ont rendez-vous dimanche matin à Garmisch (1re manche à 10h00), notamment trois d'entre eux - Tessières, Pinturault et Fanara - qui n'ont pas le même verbe à conjuguer.
Thomas Fanara sera l'une des trois chances de podium en géant à Garmisch. (L'Equipe)







SURFER

Gauthier de Tessières sort d’un rêve aux Mondiaux à Schladming. Il ne devait pas y aller. On l’a rappelé au dernier instant. Il a décroché la médaille d’argent, au super-G. Après en avoir bien profité, le voilà tourné vers le géant, son autre discipline, où il avait bien débuté (7e à Sölden) avant de sombrer (trois éliminations en première manche d’affilée). « Mais j’ai retrouvé un gros moral. J’ai eu de la chance d’avoir du nouveau matériel chez Head. J’ai repris exactement celui de Ligety et, effectivement, ça marche bien ! Sur les entraînements, c’est la première fois depuis Sölden que je suis dans le coup avec les meilleurs (Fanara et Pinturault). C’est un très bon signe. »

AVANCER

Alexis Pinturault a épaté le circuit à Schladming. Même Ted Ligety, triplé médaillé d’or, l’a félicité. A 21 ans, le Français n’a pas quitté le top 6 sur quatre épreuves (5e en géant ; 6e en super-G, slalom et super-combiné). Problème : il n’est pas monté sur le podium, son ambition première. Une ambition qu’il n’a pas pu assouvir non plus cette saison en Coupe du monde sur le géant (5e à Beaver au mieux). « C’est ce qui me manque : je suis toujours là mais il manque un petit quelque chose. Je n’ai pas eu de mal à me remobiliser. On a eu une journée à Munich pour visiter et couper un peu. Les sensations sont plutôt bonnes. J’ai envie de terminer correctement, de faire la transition entre la fin de saison et la saison d’après. À l’entraînement, je vais essayer de développer mon matériel pour gagner du temps pour l’été. Mais en course, je n’ai pas envie de m’éparpiller. »

REBONDIR


Thomas Fanara a été le seul à rivaliser avec Ligety, le roi du géant, à Schladming. Mais sur 50 portes seulement. A trois portes de l’arrivée de la première manche, le Français est parti tout droit. Fin de l’histoire. Et grosse déception à digérer. « Tout était réuni : j’étais en bonne forme, la piste me convenait, la neige et le tracé aussi... J’ai fait le bon choix : attaquer plutôt que faire 25e mais c’est hyper con de sortir là. C’est dur à avaler. Il faut repartir, me reconcentrer, me remotiver. J’ai eu besoin de deux ou trois jours pour ça. A l’entraînement, les sensations restent bonnes. Ici, le plat final est quand même super long mais il y a possibilité de faire un résultat. »
J.-D.C., à Garmisch