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Xavier Malisse au 2e tour du double à Delray Beach

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Xavier Malisse, 50e joueur mondial, et son partenaire l'Allemand Frank Moser se sont qualifiés pour le 2e tour du double messieurs dans le tournoi de tennis de Delray Beach, épreuve ATP sur surface dure dotée de 455.775 dollars, mardi en Floride.
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Ils ont battu en deux manches la formation composée du Russe Mikahil Elgin et l'Ouzbèke Denis Istomin 7-5 et 6-3 en 1h08. Au 2e tour, Malisse et Moser seront opposés à la tête de série N.1 la paire formée par le Bélarusse Max Mirnyi et le Roumain Horia Tecau. Malisse jouera mercredi son 2e tour en simple contre l'Espagnol Daniel Munoz-De La Nava.

Derniers résultats de mardi:

Simple messieurs (1er tour):
Go Soeda (Jap) bat Marinko Matosevic (Aus) 2-6, 6-4, 7-6 (8/6)
Kevin Anderson (AfS/N.6) bat Tim Smyczek (USA) 6-3, 6-4
Ivo Karlovic (Cro) bat Kei Nishikori (Jap/N.4) 5-4, abandon
John Isner (USA/N.1) bat Jesse Levine (USA) 7-6 (7/3), 5-7, 6-4

Double messieurs (1er tour):
Xavier Malisse/Frank Moser (Bel/All) battent
Mikahil Elgin/Denis Istomin (Rus/Ouz) 7-5, 6-3

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Norman sorti au second tour du double à Dubaï

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Vainqueurs des frères serbes Novak et Marko Djokovic au premier tour, Dick Norman et son équipier russe Nikolay Davydenko sont tombés au 2e tour du double messieurs du tournoi de tennis de Dubaï, épreuve de l'ATP, disputée sur surface dure et dotée de 1.785.500 dollars, mercredi dans les Emirats Arabes Unis.

Norman et Davydenko ont été dominés sans discussion 6-1 et 6-4 en 58 minutes par la tête de série N.3 de l'épreuve formée du Suédois Robert Lindstedt et d'un autre Serbe Nenad Zimojic.

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Foot - Coupe - PSG : Avec Ménez, Gameiro et Camara

Comme annoncé par Carlo Ancelotti, Ménez, Gameiro et Beckham sont titulaires pour le nouveau "Classique" face à Marseille, qui se présente de son côté avec le même onze de départ que dimanche en L1.






Le onze de départ du PSG



N. Douchez
Z. Camara
M. Sakho
G. Van der Wiel
D. Beckham
B. Matuidi
C. Chantôme
J. Ménez
Z. Ibrahimovic
K. Gameiro
Maxwell

Maxwell







Le onze de départ de l'OM




A. Gignac






Comme annoncé mardi par Carlo Ancelotti, David Beckham va bien débuter le 8e de finale de la Coupe de France entre le PSG et l'OM, ce mercredi soir (20h55). Sans surprise, l'Anglais est titulaire au milieu de terrain, aux côtés de Matuidi. En revanche, si le coach parisien avait prévenu la veille qu'il y aurait «peu de changements» dans son onze de départ par rapport à l'équipe qui a battu dimanche l'OM (2-0) en Championnat, ce sont bien huit nouveaux joueurs qui seront cette fois alignés d'entrée.

En vrac : Camara épaulera Sakho en défense centrale, alors que la charnière était formé dimanche par Alex et Armand. Dans le couloir droit, Van der Wiel et Chantôme sont titulaires, ce dernier devant prêter main forte à Beckham dans le travail défensif. Gameiro sera, devant, le binôme d'Ibrahimovic.

Dans les rangs marseillais, à l'inverse, Elie Baup n'a absolument rien changé. Malgré le retour dans le groupe de Jordan Ayew, suspendu dimanche, et une incertitude concernant Morel, ce sont bien les mêmes onze joueurs qui débuteront la rencontre. Gignac, notamment, sera encore à la pointe de l'attaque olympienne. - H. S., au Parc des Princes

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Foot - Coupe - 8es : Lorient qualifié sans briller

Malgré l'ampleur du score (3-0), Lorient n'a pas survolé les débats, mercredi contre Brest. Les Merlus se qualifient tout de même pour les quarts de finale.
La joie du défenseur lorientais Bruno Ecuele Manga, auteur du premier but des Merlus, ce mercredi, face à Brest en huitièmes de finale de la Coupe de France. (AFP)







Au lendemain de la polémique née de ses déclarations dans France Football sur le niveau de la Ligue 1 et les qualités de ses collègues entraîneurs, Christian Gourcuff a peut-être dû se demander s'il n'avait pas parlé un peu trop vite. Car pendant une grosse heure, son équipe de Lorient n'a pas produit grand-chose mercredi face à Brest en huitièmes de finale de la Coupe de France. Longtemps, on a même cru que cette histoire se terminerait aux tirs au but tellement les deux formations n'ont rien montré dans les intentions et dans le jeu. Et puis soudain, en quelques minutes, tout s'est accéléré, permettant aux Merlus de s'imposer largement (3-0) et de se qualifier en quarts logiquement.

Nouveau doublé d'Aliadière

Face à un adversaire brestois en quête de confirmation après son beau succès à Bordeaux (2-0) le week-end dernier, Lorient s'est montré très prudent en première période. A tel point qu'il a même oublié d'attaquer. Mais après la pause, les combinaisons ont d'un seul coup de nouveau fonctionné. C'est d'abord sur corner que le capitaine Ecuele Manga a ouvert le score de la tête (64e), profitant d'une mauvaise sortie de Hartock. Puis «après le premier but, ça a été plus facile», a reconnu après coup Aliadière, auteur de ses 13e et 14e buts toutes compétitions confondues (70e et 90e+1), avec toujours autant de sang-froid devant le gardien adverse.


Avec les entrées de Raspentino, Ayité et Gueye dans le dernier quart d'heure, Brest a fini fort. Mais son entraîneur Landry Chauvin a sans doute un peu trop tardé pour lancer ses dernières banderilles. De retour comme titulaire, Grougi a bien eu quelques opportunités de marquer (27e, 38e et 88e), mais cette fois la réussite du week-end dernier n'était pas du bon côté. Brest s'incline donc pour la sixième fois de son histoire à ce stade de la compétition et devra patienter jusqu'à l'année prochaine pour espérer disputer son deuxième quart dans l'épreuve. Pour Lorient, l'attente ne sera pas aussi longue. Mais pas sûr pour autant que cette prestation ait totalement convaincu le perfectionniste Gourcuff.

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Tennis-ATP-Dubaï : Un Djokovic aux deux visages

Etincelant jusqu'à 6-1, 5-2, Novak Djokovic (n°1) a finalement eu besoin d'un tie-break pour composter mercredi son billet pour les quarts de finale à Dubaï aux dépens de Roberto Bautista Agut (6-1, 7-6 [4] en 1h30').
Bousculé, Novak Djokovic a su s'éviter un troisième set. (Reuters)







Jusqu'à 6-1, 5-2, Novak Djokovic est en mode Playstation. Mais à 5-3, alors qu'il sert pour une place en quarts de finale, le Serbe voit sa console se gripper (des premières balles de break à sauver, un premier jeu de service perdu). Réduit à un rôle de faire-valoir, Roberto Bautista Agut va alors changer de registre. Au terme d'un dixième jeu long de seize minutes, l'Espagnol, beaucoup plus entreprenant, doit sauver trois balles de match pour recoller à 5 partout sur sa sixième occasion. Le numéro 1 mondial a beau essayer, le joystick ne répond plus.

Contraint de disputer un jeu décisif, il concède le premier mini-break (0-1). Plus habitué aux situations tendues, il s'en sortira finalement sur une double faute (7 points à 4). Supporter de foot, il se souviendra peut-être qu'il a remporté son dixième match de l'année (pour aucune défaite) devant Diego Maradona, présent dans les tribunes. Un Diego Maradona qui a déjà rencontré Roger Federer cette semaine. Djokovic, lui, pourrait retrouver le Suisse en finale. Deux marches les séparent encore de cet éventuel rendez-vous. La prochaine, pour le Serbe, sera italienne avec Andreas Seppi. Un adversaire qu'il a battu neuf fois... sur neuf.

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Rugby - XV de France : «Profiter au maximum»

Le Toulousain Maxime Médard, qui remplace Benjamin Fall, retrouve les Bleus un an jour pour jour après sa blessure au genou. Il se dit prêt à jouer, quel que soit le poste.
Maxime Médard : « Remplaçant ou titulaire, arrière ou ailier je serai content » (EQ)







« Cela fait un an que vous vous êtes blessé au genou…
Ah bon ? Je ne le savais pas. Durant cette année, il y a eu quelques mois de galère suivis de quelques autres pour que je retrouve mon niveau. J’avais pour objectif de revenir ne équipe de France, mais quand j’ai vu les matches de cet automne, je me suis dit que cela allait être extrêmement compliqué. Mais voilà… Cela fait trois weekends où j’enchaîne les matches et où mes coéquipiers me font confiance. Ils m’ont donné beaucoup de ballons pour que je puisse m’exprimer.

Vous allez vous retrouvez avec Yoann Huget. Alors … Arrière ou ailier ?
Remplaçant ou titulaire, arrière ou ailier, je serai content. Quand tu reviens d’une blessure comme la mienne, il faut profiter au maximum du temps de jeu que l’on t’accorde. C’est sûr que j’ai une préférence pour le poste d’arrière. A Toulouse, Clément (Poitrenaud) fait de très bons matches à l’arrière tout comme Yoann en équipe de France. Je prends ce que l’on me donne… »

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Foot - Espagne - Coupe : «Pas d'excuse», ou presque

Que ce soit du côté madrilène ou du côté catalan, la presse espagnole a souligné l'incontestable victoire du Real à Barcelone mardi soir (1-3). «Ronaldo a dansé à Barcelone», souligne As. Mais les médias pro-Barça reviennent tout de même sur l'arbitrage...
Les unes des quotidiens espagnols ce mercredi. (D.R)







«Une déroute» selon le Mundo Deportivo, «un désastre» pour Sport... La presse catalane est sans équivoque au moment de revenir sur la défaite du Barça mardi soir face au Real (1-3). «Pas d’excuse», titre ainsi le premier quotidien, avec une image d'un Messi aux abois, entouré de cinq adversaires. «Il faut se relever», préfère positiver Sport, en se tournant vers le huitième de finale retour de Ligue des champions face à l'AC Milan (0-2 à l'aller). Bien qu'insistant sur les lacunes actuelles d'un Barça «méconnaissable», les deux journaux reconnaissent en substance la supériorité du Real au Camp Nou. Supériorité forcément mise en exergue du côté de Madrid. «Ils ont vaincu», titre ainsi Marca, évoquant même une humiliation en une de son site internet. «Démonstration de Madrid devant un Barça qui se défait», lâche As.

Ronaldo et Messi «à l'image de leur équipe»

Varane «a toutes les qualités de Pepe mais aucun de ses défauts» selon Marca.Les deux quotidiens madrilènes ont évidemment exposé la joie de Cristiano Ronaldo sur ses buts. «Cristiano danse à Barcelone», affiche As sur son site internet. «Cristiano roi dans la maison de Messi, poursuit Marca. Dans une soirée où l'on n'a pas vu Messi, le Portugais s'est montré aux yeux du monde entier avec un doublé et une prestation majuscule.» Son adversaire argentin a clairement perdu le duel à distance. «Messi, reflet d'un délabrement général», reconnait Sport. «Les deux stars ont été à l'image de leur équipe: Ronaldo a été brillant tandis que le 10 blaugrana était absent.» «Messi est resté enfermé dans la cage madrilène», se réjouit enfin Marca, qui souligne la maitrise tactique des Merengue. Au milieu des louanges pour Ronaldo, Varane est également cité en exemple par le quotidien espagnol, autant pour son but que pour sa prestation. Préféré à Pepe, «il a toutes les qualités de son ainé mais aucun de ses défauts», est-il souligné.

«Mallenco est plus pour Madrid que pour Barcelone»



Mais, parce qu'il y a un mais, les médias catalans sont revenus sur l'arbitrage d'Undiano Mallenco, déjà mis sous pression par Jordi Roura avant la rencontre. En cause ? Un penalty soi-disant oublié sur Pedro après une charge de Xabi Alonso à la 34e minute (le score était alors de 1-0 pour les visiteurs). «Comme on le savait, Mallenco est plus pour Madrid que pour Barcelone, lâche Sport. Le Mundo Deportivo évoque même «une grave erreur qui a changé la face du match. Son arbitrage a de nouveau été équivoque et a montré qu'il n'a pas le niveau pour ce genre de match avec une telle pression.» En bref, malgré cette une - «Pas d'excuse» - il semble bien que les médias catalans en aient trouvé une toute faite...

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F1 - Force India : Sutil préféré à Bianchi

Force India a enfin fait son choix entre Adrian Sutil et Jules Bianchi pour accompagner Paul di Resta cette saison, et l'Allemand a été préféré au Français.
Adrian Sutil compte déjà 90 départs en F1. (EQ)







Même si Force India ne l'a pas encore confirmé, un communiqué est attendu dans la journée, c'est Adrian Sutil qui sera le second pilote de l'écurie indienne la saison prochaine aux côtés de Paul di Resta, et non Jules Bianchi, avec qui il était en concurrence. Nicolas Todt, le manager du Français, l'a confirmé à RMC Sport. Il n'y aura donc pas de quatrième pilote tricolore en F1 cette saison, avec Romain Grosjean (Lotus), Jean-Eric Vergne (Toro Rosso) et Charles Pic (Caterham).

Adrian Sutil a l'avantage de bien connaître la F1 (90 départs) et Force India, chez qui il a déjà piloté entre 2008 et 2011. Ecarté des circuits en 2012 suite à des problèmes judiciaires, il retrouve donc un volant cette saison. Il possède plus d'expérience que le Niçois, qui avait pourtant fait du bon boulot comme troisième pilote la saison dernière, et avait signé de bonnes performances lors des premiers essais de présaison. Derrière ce choix se cache aussi une concurrence entre Mercedes, soutien de Sutil et motoriste actuel de l'écurie indienne, et Ferrari, qui est derrière Bianchi, pour fournir les nouveaux moteurs V6 turbo à Force India la saison prochaine. L'avenir de Bianchi est pour le moment inconnu : restera-t-il comme pilote réserve pilote au sein d'une écurie qui n'a pas voulu le titulariser ? Peut-être a-t-il également une chance d'obtenir le second baquet chez Marussia si les soucis financiers de Luis Razia se confirment...

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Cyclisme-Paris-Nice : OPQS avec Chavanel

L'équipe Omega Pharma - Quick Step sort l'artillerie lourde pour Paris-Nice (3-10 mars). Tom Boonen et les Français Sylvain Chavanel et Jérôme Pineau seront de la partie.
Sylvain Chavanel, l'une des armes de Wilfried Peeters. (L'Equipe)







Wilfried Peeters frappe fort. Pour le 71e Paris-Nice, son équipe OPQS (Omega Pharma - Quick Step) pourra compter sur Tom Boonen et les Français Sylvain Chavanel et Jérôme Pineau. Notamment. «Comme d'habitude, la course sera dure. Après un prologue court, les coureurs devront prendre part à quelques étapes nerveuses. Les conditions météo, particulièrement le vent, pourraient jouer un rôle, a expliqué le directeur sportif. Tout se décidera dans les trois dernières étapes. Notre formation est expérimentée. Peter Velits et Sylvain Chavanel joueront le classement général. Nous comptons aussi sur Gianni Meersman. Tom Boonen se servira de cette épreuve pour améliorer sa condition en vue des classiques. Nous disposons vraiment d'une belle équipe (Kevin De Weert, Nikolas Maes et Stijn Vandenbergh garniront également les rangs, ndlr)».

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Ammann 7e sur le grand tremplin

Saut à skis

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Pas de médaille pour Simon Ammann. Le St-Gallois a terminé au septième rang final sur le grand tremplin des championnats du monde à Val di Fiemme.

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Image: Keystone




Pour la première fois depuis 2005, Simon Ammann repartira sans médaille d’une compétition majeure. Il s’est classé 7e de l’épreuve au grand tremplin des Mondiaux de Val di Fiemme, remportée par le Polonais Kamil Stoch, digne successeur d’Adam Malysz.
Ammann n’a pas démérité. Dixième de la première manche, il a effectué le plus long saut de la journée sur la seconde (132,5 m) mais cela n’a pas suffi. Trop de candidats se bousculaient devant, lors de ce concours extrêmement serré, disputé dans des conditions de vent très régulières.
Sorti 16e au petit tremplin au début de ces joutes, le Saint-Gallois n’a donc pas pu ajouter une cinquième médaille mondiale à son exceptionnel palmarès. Il s’est situé à Val di Fiemme au niveau de ses résultats en Coupe du monde cet hiver.
Sous les yeux d’une forte colonie polonaise, Kamil Stoch l’a emporté avec des sauts de 131,5 m et 130 m, et un total de 295,8 pts. Il a devancé de 6,1 pts le Slovène Peter Prevc, déjà médaillé de bronze au petit tremplin, et le Norvégien Anders Jacobsen de 6,7.
Stoch (25 ans) succède dans le coeur de ses supporters à son compatriote Adam Malsyz, quadruple champion du monde entre 2001 et 2007. Il s’agit de son premier podium dans un grand Championnat.
Coté suisse encore, Marco Grigoli s’est classé 42e et Gregor Deschwanden 43e.
Val di Fiemme (It). Championnats du monde. Saut à skis. Grand tremplin. Classement final: 1. Kamil Stoch (Pol) 295,8 (131,5/130).
2. Peter Prevc (Sln) 289,7 (130,5/130,5).
3. Anders Jacobsen (No) 289,1 (129/131).
4. Wolfgang Loitzl (Aut) 284,9 (128,5/132,5).
5. Jan Matura (Tch) 281,4 (127,5/132).
6. Richard Freitag (All) 280,4 (129/128,5).
7. Simon Ammann (S) 279,8 (127,5/132,5).
8. Gregor Schlierenzauer (Aut) 279,2 (125/128,5).