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Marseille rate une occasion de revenir sur Lyon

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Marseille qui avait l'occasion en cas de victoire de revenir à la hauteur du 2e, Lyon, a été tenu en échec à domicile par Ajaccio (0-0) vendredi en ouverture de la 29e journée et se trouve désormais sous la menace de Saint-Etienne et Nice, ses proches poursuivants.
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Les belles promesses affichées dimanche à Lyon, traduites par un bon nul (0-0) sont donc restées sans lendemain. Et si Elie Baup affichait le même onze de départ que celui aligné à Gerland, il manquait cette fois ce supplément d'âme qui avait permis de dominer les Lyonnais au moins pendant la première période.

De son côté, Ajaccio a empoché un point précieux et confirme son bon résultat contre Lorient (1-0) Les Marseillais avaient décidé cette semaine de travailler leur efficacité devant le but, encore faut-il se procurer des occasions, ce qui a été plutôt rare face aux Corses. Seuls Gignac et Sougou ont sporadiquement mis Ochoa à l'épreuve, sans pour autant le à mettre réellement en danger.

Quant à Mathieu Valbuena, pour son 200e match de Ligue 1 (tous sous le maillot de l'OM depuis la saison 2006/2007), il s'est beaucoup démené mais ses choix n'ont pas toujours été pertinents. Et une nouvelle simulation de faute, dans la surface de réparation ajaccienne, en fin de première période, aurait pu lui valoir un avertissement.

Avant cela, Sougou, bien lancé en profondeur, s'était retrouvé seul face à Ochoa, mais n'avait pas pu correctement contrôler (13). Puis Gignac avait régalé le public, sur un retourné acrobatique malheureusement non cadré (19). C'était tout en première période pour le secteur offensif marseillais, bien maigre pour une équipe qui prétend à une qualification en Ligue des champions.

Les Corses, emmenés par leur entraîneur Albert Emon, de retour au Vélodrome où il a passé 22 ans (comme joueur et entraîneur) défendaient eux chèrement leurs chances. Samaritano, très actif avant de sortir sur blessure à la 80e minute, menait une première incursion dans la surface marseillaise à la 21e minute mais il butait sur Mandanda. Juste avant la pause, Mutu, très précieux, offrait une balle de but à Cavalli après un beau débordement côté gauche. Mais le petit meneur de jeu corse, aux 10 mètres, bien gêné par deux défenseurs, ne parvenait pas à cadrer.

La seconde période repartait sur le même schéma et c'était même les Corses qui se montraient d'emblée les plus dangereux, quand Samaritano, encore lui, profitant d'un gros travail de Belghazouani, était tout près d'ouvrir le score mais son tir de près trouvait le petit filet (55). Seule grosse occasion marseillaise, celle offerte par Barton à Sougou sur une très longue ouverture. Mais l'ailier sénégalais tombait sur un excellent Ochoa qui gagnait son tête à tête (62).

L'OM qui a marqué 41% de ses buts (14 sur 34) dans le dernier quart d'heure ne parvenait pas cette fois à faire la différence et terminait sous les sifflets une partie sans relief. Au total, l'OM a laissé filer 15 points à domicile cette saison, qu'il faudra en partie récupérer lors de la prochaine journée à Nice, un concurrent direct pour l'Europe.

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"Le Mondial-2022 en hiver? Au Qatar de le demander"

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La décision d'organiser le Mondial-2022 en hiver plutôt qu'en juin, défendue par le président de l'UEFA Michel Platini, doit d'abord faire l'objet d'une demande du Qatar, a déclaré le président de la FIFA Joseph Blatter vendredi à Knokke-Heist.
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"La demande de jouer en hiver doit venir de l'organisateur. Or la Fédération internationale (de football) n'a encore reçu aucun requête en ce sens de la part du Qatar", a dit Blatter à quelques journalistes en marge d'une réunion du Comité médical de la FIFA.

"Quand le Qatar s'est vu attribuer l'organisation de la Coupe du monde en 2022, chacun des votants savaient que ce Mondial était programmé en été", a rappelé le dirigeant suisse. Michel D'Hooghe, président du Comité médical de la FIFA, a lui indiqué "qu'il serait préférable de jouer ce Mondial sous des températures acceptables" alors que le mercure peut atteindre les 45 degrés en juin dans cette région du monde.

"On me dit que les stades et les centres d'entraînement seront climatisés à 21 degrés. Pour jouer ce ne serait donc pas un problème. Mais il faut aussi penser aux supporters", a expliqué l'ancien prédisent de l'Union belge. "Il faut veiller au bien-être de tous ces supporters qui vont se déplacer au Qatar sous ces températures inhabituelles pour la plupart d'entre eux", a-t-il ajouté

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Basket - Pro A - 23e j. : Limoges en costaud

Limoges a dominé Poitiers sur son parquet, vendredi soir (88-80 ap.), au terme d'un match haletant. Si le CSP peut respirer, les Poitevins restent premiers relégables. Mauvaise opération également pour l'ancien co-leader Strasbourg, battu par Cholet (65-71).
Malgré un Lamine Kante remarquablement adroit, Poitiers s'est incliné face à Limoges après prolongation. (L'Equipe)










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Le derby de la phase retour entre Poitiers et Limoges a encore une fois tenu ses promesses. Les deux anciens grand rivaux se sont livrés une bataille haletante. Poitiers, qui recevait dans son antre de Beaublanc, vendredi, avait à coeur de prendre sa revanche sur le match aller. Alors qu'ils avaient le match en main, les Poitevins avaient craqué dans le money-time pour s'incliner d'un rien (67-66). Cette issue douloureuse ne leur a visiblement pas servi de leçon. Après un départ difficile (13-20), le PB86 a retrouvé toute son agressivité pour dominer la partie, notamment grâce à une excellente adresse à 3 points (12/29, 41%).


Limoges a tenu bon

Lamine Kante s'est d'ailleurs illustré à ce jeu-là, compilant 29 points (à 6/10 à 3 pts). Sa réussite n'a pas pour autant découragé les hommes de Panagiotis Giannakis, qui se sont accrochés, réalisant une remontée in extremis. Mipoka a passé le tir primé de l'égalisation à 24 secondes de la fin (75-75), sur une contre-attaque. Derrière, les Poitevins se sont raté. En prolongation, ils ne montreront plus le même visage offensif et encaisseront un 8-2 en quatre minutes. Brockman se permettra même un dunk (80-88 ap.). Une fois de plus, Poitiers n'a pas tenu, et cette 11e défaite en treize journée n'arrange pas ses affaires au championnat (15e, premier relégable). Pour Limoges, deux rangs au-dessus, c'est un bol d'air.

La SIG perd les commandes


Strasbourg n'a pas poursuivi sur la lancée de sa victoire à domicile face au Havre samedi dernier. Comme à l'aller, la SIG s'est cassé les dents sur Cholet (65-71) et lâche les rênes de la ProA, qu'elle tenait avec Gravelines. Les Alsaciens conservent tout de même de l'avance sur Chalon-sur-Saône, 3e.

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Cyclisme - RadioShack : Cancellara le sauveur ?

Avec Fabian Cancellara, RadioShack-Leopard va abattre sur les classiques sa carte majeure. Le Suisse, qui sera l'un des favoris de la Primavera dimanche, a la lourde tâche de devoir atténuer à lui tout seul les difficultés de son équipe.
Fabian Cancellara lors de la sixième étape du Tour d'Oman en février. (L'Equipe)














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«Peut-être me manque-t-il une victoire. Mais bon, gagner n'est pas tout.» Depuis 2007, Fabian Cancellara ne s'était plus attaqué à Milan-San Remo sans avoir gagné de l'année. Faut-il s'en inquiéter ? Pas forcément à titre individuel. Replacé dans un contexte collectif, c'est autre chose. Aujourd'hui, c'est toute l'équipe RadioShack-Leopard Trek qui cahote et manque de résultats. La structure américano-luxembourgeoise ne compte que deux succès en 2013, dans des épreuves de seconde zone. Le titre de champion de Nouvelle-Zélande de Hayden Roulston a surtout eu le mérite d'ouvrir le compteur. Quand au succès de Bob Jungels, 20 ans, jeudi lors du GP Niboli, il a «fait du bien à toute l'équipe», concède le Luxembourgeois, mais parle plus d'avenir que de présent. Et si dans les épreuves World Tour, on trouve toujours un "RLT" dans le Top 10 (Hermans et Machado au Tour Down Under, Klöden sur Paris-Nice, Horner à Tirreno-Adriatico, c'est à chaque fois sans se faire remarquer.

«Les objectifs sont Milan-San Remo, le Tour des Flandres et Paris-Roubaix. S'il n'y a pas une des trois de gagnée, ce sera une déception.»Mais où est donc passée la pseudo Dream Team née de la fusion à marche forcée entre Leopard et Radioshack il y a dix-huit mois ? Johan Bruyneel a été poussé dehors, Frank Schleck est suspendu, son frère Andy n'y arrive plus... «On a vu l'an dernier qu'on n'a pas gagné autant de courses (15) que prévu, concède le directeur sportif Alain Gallopin. Ca dépend de la réussite des leaders.» «Dream Team c'est un grand mot. On a des bons coureurs mais pas de finisseurs. On manque de réussite aussi. Je ne sais pas combien on a de places de deux depuis le début de l'année (6)...», ajoute Maxime Monfort. Le Belge est bien placé pour parler : leader sur Paris-Nice, il a chuté dès le prologue. «Ensuite, ça a été difficile mentalement. Je n'étais plus vraiment dans la course comme j'aurais dû l'être», avoue-t-il. Le lendemain, c'était au tour de Tony Gallopin de tomber. «Il était arrivé en grande condition mais il a eu besoin de deux, trois jours pour récupérer, alors que ces jours-là, c'était le bon terrain pour lui», regrette son oncle.

C'est à se demander si l'ensemble n'a pas déraillé avec la fracture de la clavicule de Cancellara lors du Tour des Flandres 2012. Et si le Suisse a voulu quitter l'équipe à l'intersaison avant de voir un proche (Luca Guercilena) être nommé à sa tête, c'est à lui de relancer la machine presqu'un an plus tard. «Les objectifs sont Milan-San Remo, le Tour des Flandres et Paris-Roubaix. S'il n'y a pas une des trois de gagnée, ce sera une déception. Mais si Fabian en remporte une, tout le monde va dire que c'est une réussite», estime Gallopin. «Nous n'avons pas mis trop de pression jusque là, mais je peux vous promettre qu'il y en a pour les prochaines courses. C'est le moment de s'imposer», prévient un autre DS de l'équipe, Dirk Demol. Et ce d'autant plus que l'équipe n'a plus de candidat aux victoires dans les Grands Tours sans les Schleck, ni de sprinteur de premier plan. Les "goleador", «les types qui gagnents des courses, il y en a chez BMC, Quick-Step, Sky. C'est quand même pas par hasard», dit Gallopin. On était persuadé pourtant qu'il y en avait aussi chez RadioShack-Leopard. A Cancellara de le prouver.

En interview dans L'Equipe : «Je dois en gagner une, c'est une obligation, cela fait longtemps que je suis en manque», clame Fabian Cancellara en préambule d'une détonante interview que vous pouvez découvrir ce vendredi dans L'Equipe. «(Peter) Sagan ne me plait pas, avec sa façon d'exhiber sa force aux arrivées, sans aucun respect pour les autres. En tout cas moi, il m'irrite», lâche le Suisse avant de prévenir : «Si je me retrouve avec Sagan dans le final, je ne le relaierai pas, pas lui.»

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Natation - M. Nîmes : Le 50 m dos pour Manaudou












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Pour entamer son week-end de «perfectionnement» sur le dos et le papillon, comme le souhaitait dans les colonnes de notre quotidien l'entraîneur du CN Marseille Romain Barnier, Florent Manaudou est resté à distance de ses meilleurs temps, vendredi lors du Meeting de Nîmes, dernière épreuve avant les Championnats de France (9-14 avril à Rennes). Il a aisément remporté la finale du 50 m dos en 25"90. Camille Lacourt, meilleur chrono des séries (27"22), a été disqualifié pour "nage incorrecte". Il pourra se rattraper ce week-end sur 100 m et 200 m dos et le 100 m papillon.

Meilleur temps des séries du 50 m papillon (24"26), Manaudou n'a pas pris le départ de la finale, enlevée par son camarade d'entraînement Fabien Gilot (24"61) devant Amaury Leveaux (25"69). Son beau-frère Frédérick Bousquet a remporté le 50 m libre (22"57).

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Ski - CM (Hommes) : Pinturault : « De bon augure »

Alexis Pinturault, monté sur deux podiums (1er à Garmisch ; 3e à Kranjska Gora en géant) depuis Schladming, apprécie de s'être rapproché des meilleurs en cette fin de saison. Il sera encore l'un des favoris du géant samedi matin (1re manche, 10 heures).
Alexis Pinturault. (Reuters)







«Alexis Pinturault, comment s’est passée votre courte apparition au par équipes (il a remporté sa manche face au Suédois Hargin) ?
Il y avait de bonnes conditions, ça a donné une belle course mais ça n’a pas fait long feu pour nous (la France a été éliminée d’entrée). Je me suis senti bien mais j’ai fait d’assez grosses fautes, dues à l’accroche du ski. Il aurait fallu en enlever un peu sous la spatule. Deux ou trois fois, ça m’a pris le ski. Ça ne s’est pas joué à grand chose malheureusement…

Ça peut vous donner des indications avant le géant ?
Sur la piste, non, car on n’en a skié qu’une maigre partie. Sur la neige, peut-être. A cette époque, on s’attend à de la neige salée, tandis qu’ici, il fait froid et la neige est agressive, dure. Ça fait du bien ! J’espère que demain (samedi), il fera encore plus beau.

Il y a encore l’envie de marquer un dernier coup sur cet ultime week-end de Coupe du monde (géant samedi ; slalom dimanche) ?
Ce serait bien, notamment en slalom. Si je peux raccrocher le top 7 (il est actuellement 9e de la Coupe du monde, à 10 points de Byggmark, 7e), ce serait idéal.

«Revenir en forme après cette blessure, c'est de bon augure pour la suite»On a l’impression que vous vous rapprochez des meilleurs sur cette fin de saison, notamment en géant.
Il faut que je m’habitue à faire deux manches pleines. Cette inconstance est peut-être due au fait que je ne me sois pas entraîné (d’août à mi-octobre, car il était blessé à la cheville) : des fois, ça passe ; des fois, non parce qu’il manquera le petit entraînement que je n’ai pas eu. Avec une préparation inexistante ou presque, ça fait plaisir de se retrouver parmi les meilleurs en géant (4e) et de les côtoyer aussi en slalom. Revenir en forme après cette blessure, c’est de bon augure pour la suite.

Vous pouvez encore intégrer le top 5 au général. C’est un vrai objectif ?
Non, ce serait juste du bonus. L’objectif, ce sera d’être premier quand il le faudra.»
Recueilli par J.-D.C. à Lenzerheide

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Dario Cologna perd la tête à Oslo

16.03.2013 16:38 mise à jour à 19:05
Ce 50km a paru être un calvaire pour Dario Cologna. [SRDJAN SUKI - Keystone]


Visiblement pas rétabli d'un refroidissement, Dario Cologna n'a pas pu lutter avec les meilleurs lors du 50km d'Oslo (19e), remporté par un de ses grands rivaux, Alexander Legkov. Avec la sixième place de Petter Northug, l'écart en tête du classement de la Coupe du monde est plus serré que jamais. Cologna pointe désormais au 3e rang.
Dario Cologna n'est plus le leader de la Coupe du monde. Affaibli par un refroidissement, le Grison a sombré lors du 50 km d'Oslo remporté par Alexander Legkov. A la faveur de ce succès en Norvège, le Russe s'empare de la première place du général.
Dix-neuvième seulement de ce 50 km, Dario Cologna accuse désormais 15 points de retard sur Legkov et 3 sur Petter Northug, qui a pris la sixième place. Tout reste ouvert pour les trois hommes avant les rendez-vous de la semaine prochaine à Stockholm et à Falun.
"Je crois encore en mes chances"

Dario Cologna a fait la course en tête jusqu'au 40e km avec Legkov et Northug. Mais le Grison a été abandonné par ses forces dans une fin de course qui a malheureusement tourné au chemin de croix. Sur la ligne, il devait finalement concéder 3'17'' à Legkov. "Je ne peux toutefois pas être déçu de ce résultat, explique Cologna. Je ne suis plus vraiment malade mais je dois récupérer d'ici le sprint de Stockhom. Je crois encore en mes chances de gagner la Coupe du monde. Celui qui aura le mieux récupéré de ce 50 km la remportera".
Les quatre dernières épreuves seront un sprint à Stockholm, un prologue, un 50 km classique et une poursuite à Falun.

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Le mauvais temps perturbe les qualifications

16.03.2013 08:56 mise à jour à 18:00
La pluie a empêché le véritable départ de cette saison 2013. [JOE CASTRO - Keystone]
dès 06:50


Les qualifications du Grand Prix d'Australie ont été interrompues après Q1 en raison de la pluie. Q2 et Q3 se disputeront dimanche à 11h00 locales (01h00 en Suisse), avant la course prévue à 07h00 en Suisse.
La pluie a joué les invités indésirables à Melbourne. Les qualications du Grand Prix d'Australie, première épreuve du championnat du monde de formule 1, ont été interrompues après Q1, de sorte que Q2 et Q3 se disputeront dimanche avant la course.
La pluie a donc sérieusement perturbé ces premières qualifications de la saison. En raison d'une piste détrempée suite à un gros orage, le début de la séance a d'abord été repoussé d'une demi-heure.
L'horaire de la course maintenu

En Q1, de nombreuses sorties de route (notamment Hamilton, Massa et Gutierrez) ont été enregistrées. La trajectoire a ensuite un peu séché et certains pilotes ont abandonné les pneus pluie pour les gommes inter avant même la fin de Q1. Les averses ont cependant repris avant le début de Q2, forçant un nouveau report de 50 minutes. Les organisateurs, en raison de la pluie mais aussi de l'arrivée de l'obscurité, ont dû ensuite se résoudre à repousser la fin des qualifications à dimanche. Les pilotes en découdront donc pour Q2 et Q3 dès 01h00 (heure suisse), alors que la course est prévue pour 07h00 (heure suisse). Le meilleur temps en Q1 a été obtenu par Nico Rosberg (Mercedes) devant Fernando Alonso(Ferrari), Romain Grosjean (Lotus-Renault) et Sergio Perez (McLaren-Mercedes). Rosberg a tourné en 1'43''380, bien loin du chrono de la pole 2012 (1'24''922).
Une seule Sauber-Ferrari participera à Q2, celle de Nico Hülkenberg (13e après Q1). Le néophyte Esteban Gutierrez, 18e après Q1, s'élancera donc de la 9e ligne de départ pour son premier Grand Prix.

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OKC souffle le chaud et le froid

16.03.2013 09:23 mise à jour à 09:29
Westbrook (gauche) et Oklahoma ont soufflé le chaud et le froid contre Orlando. [Keystone]


Après une première mi-temps de toute beauté, Oklahoma City a laissé revenir son adversaire du jour, les Orlando Magic, en seconde période pour s'imposer assez largement au final (117-104). Thabo Sefolosha, aligné près de 30 minutes a réussi 5 points, en plus de capté 2 rebonds et offrir 3 assists.
Brillant puis amorphe, Oklahoma City a joué avec le feu vendredi en NBA. Le Thunder de Thabo Sefolosha s'est certes imposé 117-104 contre Orlando mais a tremblé quand il a vu son immense avance fondre comme neige au soleil.
OKC a montré deux visages. Celui de la première mi-temps, terminée avec 73 points au compteur (!) et une avance de 27 unités (!) sur le Magic, puis celui de la seconde mi-temps, avec un total plus maigre de 44 points et un écart qui s'est réduit en fin de rencontre jusqu'à +4. Le Thunder s'est repris dans les ultimes instants en signant un partiel de 11-2 avant le buzzer. Sefolosha, aligné un peu moins de 30 minutes, a inscrit 5 points, capté 2 rebonds et délivré 3 passes décisives.
Miami poursuit sur sa lancée

Miami a de son côté gagné pour la 21e fois consécutive en allant battre Milwaukee 107-94 (28 points chacun pour Wayde et Bosh) tandis que les Los Angeles Lakers se sont imposés 99-93 à Indiana avec 20 points et 12 rebonds de Dwight Howard.

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Swiss-Ski n'est pas encore en mesure d'annoncer les noms de ceux qui devront relancer le ski helvétique

16.03.2013 18:35 mise à jour à 18:38

C'est toujours le flou à Swiss-Ski. Alors que trois postes-clés sont à attribuer, la Fédération n'est pas encore en mesure d'annoncer les noms de ceux qui devront relancer le ski helvétique.Swiss-Ski n'a pas encore trouvé d'entraîneur en chef pour l'équipe masculine, ni de chef alpin pour superviser la discipline. Et même si cela ne concerne pas directement l'aspect sportif, le poste de directeur n'a lui aussi pas été repourvu.Président de la Fédération, Urs Lehmann a affirmé que plusieurs pistes étaient envisagées, mais qu'il était trop tôt pour entériner quoi que ce soit.