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Zoug corrige Berne

HOCKEY SUR GLACE

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Les Zougois ont égalisé à un partout dans leur série face aux Bernois grâce à une victoire 8-2 jeudi soir.

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LNA

50e Journée

26.02.CP Berne - ZSC Lions2 : 726.02.Bienne - Zoug3 : 026.02.Davos - Ambri-Piotta7 : 326.02.Lakers - Fribourg-Gottéron3 : 426.02.Lugano - Kloten Flyers2 : 126.02.SCL Tigers - Genève-Servette1 : 3État: 26.02.2013 22:09
Classement

NomJVN+N-DButsP1.Fribourg-Gottéron502411510163:123992.CP Berne50273515169:117923.Zoug50263714172:154914.ZSC Lions50247316152:131895.Davos50224717170:152816.Lu gano50215717163:139807.Genève-Servette50234320146:139808.Bienne50195521160:16172 9.Kloten Flyers50168521151:1376910.Ambri-Piotta50144329128:1785311.Lakers50134627139:207531 2.SCL Tigers50103532117:19241État: 26.02.2013 22:10

L’Ours bernois serait-il victime du dérèglement climatique ? En ce deuxième jour du printemps, force est toutefois de constater que le plantigrade bernois a semblé amorphe et sans idées dans ce deuxième acte de la demi-finale. Comme s’il le temps, pourtant clément hier, se prêtait idéalement à l’hibernation.
Partis sur les mêmes bases que la prolongation gagnée de mardi, les joueurs de la capitale semblaient même avoir les crocs plus acérés que les guerriers de Suisse centrale. Un penalty raté à la 3e minute par Scherwey puis un long plongeon dans le sommeil paradoxal. Les Bernois diront que ce fût le tournant du match, les Zougois qu’un épisode anodin dans leur prestation triomphale.
Toujours est-il que les hommes à Antti Törmänen ont subitement disparu de la surface de la glace et laisser des espaces béants à leurs adversaires. En moins de dix minutes, Diem (6e), Holden (8e) et Sutter (15) ont renvoyé l’Ours dans sa grotte. Disciplinés et solidaires autour d’un Markkanen impérial, la phalange zougoise a eu le mérite de savoir gérer le deuxième tiers en résistant aux fébriles offensives bernoises. Mieux, Sutter, encore lui, perçait Bührer sur une action de contre sortie tout droit des manuels du jeune hockeyeur. Sursaut éphémère Alors qu’on croyait les Bernois au fond de leur fosse, ces derniers sont sortis de leur léthargie au début de la troisième période. En deux et trois mouvements, ils sont sont parvenus à revenir à 4-2 grâce à la détermination de Kinrade (43e) et de Vermin (44e).
Le réveil fut cependant de courte durée puisque Holden et Cie ont vite éteint l’ardeur bernoise. Mués dès ce moment en infirmiers, ils ont infligé quatre piqûres anesthésiques dans les douze dernières minutes du match.
Groggy, les Bernois ont deux jours pour se sortir de leur grotte et regarder à l’extérieur. Pour s’apercevoir que le printemps a bel et bien fait son apparition.
Zoug - Berne 8-2 (3-0 1-0 4-2)
Bossard Arena. 7015 spectateurs (guichets fermés). Arbitres: Eichmann/Stricker, Arm/Küng.
Buts: 6e Diem (Helbling, Schnyder) 1-0. 8e Holden (Wozniewski) 2-0. 15e Sutter (Omark, Erni) 3-0. 35e Sutter (Martschini, Wozniewski) 4-0. 43e (42’24’’) Kinrade (Randegger/à 5 contre 4) 4-1. 44e (43’20’’) Vermin (Campbell) 4-2. 48e (47’53’’) Holden (à 5 contre 4) 5-2. 49e (48’11’’) Wozniewski (Casutt/à 5 contre 4) 6-2. 51e Martschini (Omark/à 5 contre 4) 7-2. 60e (59’25’’) Christen (Lammer) 8-2. Pénalités: 3 x 2’ contre Zoug; 5 x 2’ contre Berne. Topscorers PostFinance: Omark; Ritchie.
Zoug: Markkanen; Chiesa, Wozniewski; Helbling, Fischer; Erni, Andreas Furrer; Suri, Holden, Casutt; Schnyder, Diem, Lindemann; Martschini, Sutter, Omark; Christen, Schneuwly, Lammer.
Berne: Bührer (49e Gigon); Collenberg, Philippe Furrer; Roche, Gerber; Kinrade, Randegger; Vermin, Ritchie, Scherwey; Loichat, Plüss, Rüthemann; Pascal Berger, Campbell, Rubin; Alain Berger, Bertschy, Neuenschwander.
Notes: Zoug sans Blaser, Schefer (blessés) ni Pittis (étranger surnuméraire). Berne sans Bednar, Hänni, Höhener, Jobin, Sykora (blessés) ni Gardner (suspendu). 3e Markkanen stoppe un penalty de Scherwey. 44e temps-mort de Zoug.

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Le maître adoube son élève

Hockey sur glace

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FR Gottéron a remporté l’acte II de sa demi-finale des play-off (2-1 ap) grâce à ses deux buteurs (Hasani et Bykov), mais aussi grâce à son organisation sans faille au cœur de laquelle trône Benjamin Conz. Sylvain Rodrigue apprécie.
Par Frédéric Lovis. 1 Commentaire

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Benjamin Conz a encore une fois été décisif dans la cage fribourgeoise.
Image: Patrick B. Kraemer/Keystone
Sylvain Rodrigue, l’entraîneur des gardiens de FR Gottéron, va quitter la Suisse vendredi pour rejoindre l’Allemagne. Chez nos voisins, il s’occupe des derniers remparts des Eisbären de Berlin, engagés eux aussi en play-off. Il pourra le faire en étant convaincu qu’il a réalisé son travail avec Benjamin Conz, tant l’homme a été décisif lors de l’acte II. Mais aussi chanceux, comme tout bon portier qui se respecte. Si le Jurassien encaisse un but en prolongation, personne n’aurait crié au scandale. L’ennui? Morris Trachsler, il est vrai un brin excentré, manquait le but vide à la 62e. Le Lion doit encore s’en mordre les griffes de rage!
«Défensivement, toute l’équipe a bien joué», félicite le technicien québécois. «Benjamin a, il est vrai, bien joué également, notamment en contrôlant parfaitement les rebonds qu’il a accordés. Et puis ça fait partie d’un match de hockey de manquer parfois des buts ouverts. Mais je suis content que Benjamin ait joué un match solide.»
Quand on demande à son mentor quelle note il lui mettrait sur une échelle de 1 à 6, Sylvain Rodrigue ne se mouille pas. «On les cote sur 7 normalement», rigole-t-il. «Je dirais qu’il a fait un match sans grande faute au niveau technique et au niveau de l’approche du match. Les Zurichois ont mis beaucoup de pression en début de partie, il a su la contrôler et calmer le jeu.»
Alors, un 5.8 sur 6? «Je lui mets une bonne note, c’est tout, abrège le Nord-Américain. Le plus important est d’être allé chercher la victoire. Elle est grosse car elle a été acquise dans la patinoire adverse. Après, on connaît l’importance d’un gardien en play-off, où les matches se décident généralement sur un but. Les équipes se connaissent de plus en plus, la ligne est tellement fine entre le jeu parfait et l’erreur qui coûte le match… Je suis satisfait que Benjamin ne l’ait pas commise ce soir.»

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Football champagne à la Praille

Football

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Au terme d'une partie de haute facture, l'Italie et le Brésil se séparent sur un match nul (2-2). Le public genevois en a eu pour son argent.
Mis à jour à 22h38 5 Commentaires

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Mario Balotelli a réussi à marquer la rencontre de son empreinte en trouvant le chemin des filets.
Image: Keystone
Le public genevois a pris un bon bol d'air frais jeudi soir à la Praille. Habituée aux logorrhées footballistique souvent pathétiques du Servette FC, l'assemblée du bout du lac a pu entrevoir, l'espace de 90 minutes, ce que le ballon rond propose de mieux ici-bas.
Dans un stade plein comme un oeuf, ce sont tout d'abord les Italiens qui imprimé leur rythme sur la rencontre. Avec un grand Pirlo à la baguette, les longs ballons transalpins ont à plusieurs reprises déstabilisé une défense brésilienne en panne de mobilité. La charnière David Lui-Dante, si elle est séduisante sur le papier, n'a pas brillé par sa complémentarité.
Au terme de la première demi-heure, le Brésil allait trouver les ressources pour inverser la tendance. Sur un centre à priori anodin de Felipe Luis, dévié par malencontreusement Bonucci, Fred, qui s'était fait oublié au second poteau, plaçait son plat du pied pour tromper Buffon. Dix minutes plus tard, c'est Neymar qui laissait exploser toute sa vivacité pour remontrer le terrain et servir Oscar sur un plateau. Mal payée, l'Italie rentrait au vestiaire la tête basse.
Les hommes Cesare Prandelli n'allaient pas tarder à montrer une belle réaction d'orgueil. Il leur suffira de trois minutes pour remonter la pente et bomber le torse. C'est d'abord Daniele De Rossi, sur un corner tiré par El Shaarawy, qui plaçait astucieusement son pied pour dévier le ballon au fond des filets de Julio Cesar. Dans la foulée, l'inévitable Mario Balotelli, profitant des largesses défensives brésiliennes, s'avançait pour tromper un Julio Cesar trop avancé d'une superbe frappe enroulée.

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Estelle Balet: «Je plane depuis deux jours»

FREERIDE

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La jeune snowboardeuse valaisanne (18 ans) a reçu une wild card pour participer à l’Xtreme de Verbier vendredi, récompense d’une superbe saison sur le circuit Freeride World Qualifier. L’étudiante en 4e année au Collège de Sion (option maths fortes) s’est ainsi assurée une place sur le World Tour l’hiver prochain.
Par Gaëlle Cajeux.

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-Que représente pour vous cette invitation à l’Xtreme de Verbier?
Ce la cerise sur le gâteau. Parce que j’ai déjà eu une saison plus que satisfaisante. J’ai dépassé de loin mes attentes. Etre qualifiée pour le World Tour l’année prochaine c’est déjà un cadeau. Et maintenant de recevoir cette wild card ce n’est vraiment que du bonus.
-Vous ne semblez pas avoir vraiment réalisé?
Cela fait deux jours que je plane! Je ne réalise pas, car depuis toute petite je rêve de disputer l’Xtreme. Pour moi les gens qui sont au sommet de cette face sont des légendes, j’ai l’impression de faire tache parmi eux.
-Mais si l’on vous invite, c’est que vous y avez votre place, non?
Ben… Faut croire. Non, c’est génial! Surtout, ce qui est bien c’est que j’y vais sans pression. Si le résultat suit, tant mieux, mais peu importe. Pour moi ce qui compte c’est de courir avec tous les riders que je regardais l’hiver dernier avec le groupe des juniors.
-Quelles sont les légendes qui vous ont marquées sur ce Bec des Rosses?
Gamine, quand je regardais cette face, les grands noms c’étaient Xavier de Le Rue, Aurélien Ducroz, Géraldine Fasnacht. Et ils sont encore là. Enfin Géraldine a pris sa retraite, mais maintenant elle me coache! Elle ne peut malheureusement pas être présente pour ma première fois à l’Xtreme, mais elle sera avec moi dans la tête.
-Finalement, cet Xtreme c’est…
C’est un rêve qui se réalise! Enfin, je le comprendrais quand je serai en haut. Je me dirai: «C’est moi sur l’Xtreme, mais qu’est-ce que je fous là! En plus j’ai tiré le dossard No 3, c’est super car il n’y aura quasi pas de traces lorsque je vais descendre. J’ai tout pour me faire plaisir. Si le résultat suit, ce sera un bonus. Mais il ne faut pas trop en vouloir à la fois. Il faut savoir savourer ce que l’on a. Et là, j’apprécie.

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Hamilton raconte comment Armstrong se dopait

Cyclisme

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L'émission «Complément d'enquête» sur France 2 a remonté la piste des méthodes de Lance Armstrong. Tyler Hamilton, son ancien coéquipier, explique les techniques de dopage qu'ils utilisaient. Édifiant.





Vidéo: France 2/Complément d'enquête
L'émission «Complément d'enquête» diffusée sur France 2 a réalisé un reportage édifiant: «Lance Armstrong: les secrets d'un parrain». Tyler Hamilton, son ancien lieutenant, reconstitue dans une chambre d'hôtel les techniques de dopage qu'ils utilisaient ensemble.
Ahurissante, la scène «de la chambre d'hôtel» est le moment fort de ce passionnant documentaire.

http://www.lematin.ch/sports/cyclism...story/18420023

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Rodriguez a retrouvé du temps de jeu au bon moment

FOOTBALL

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Laissé de côté cet hiver par Wolfsburg, le latéral s'était préparé à ne pas jouer samedi à Chypre. Mais ses deux récentes titularisations ont changé la donne. Sa période de doute est désormais derrière lui.
Par Renaud Tschoumy, Nicosie (Chy).

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Image: Keystone
Ricardo Rodriguez, malgré votre mauvaise passe à Wolfsburg, tout indique que vous jouerez samedi contre Chypre. Etes-vous soulagé?
On peut le dire. J’ai effectivement traversé une période difficile. Heureusement, ma famille et mon conseiller m’ont toujours soutenu, cela m’a permis de ne pas baisser les bras et de continuer à donner le meilleur de moi-même à l’entraînement. Je me suis toujours investi à fond, en essayant de ne pas trop penser à ma situation. Et là, la roue semble avoir tourné, puisque j’ai été aligné lors des deux derniers matches.
Dans la perspective de l’équipe nationale, on peut dire que cela tombait plutôt bien, non?
Si, effectivement. Lorsque tu ne joues plus en club, tu penses forcément aux conséquences que cela peut avoir en équipe nationale. Je m’étais d’ailleurs fait à l’idée que je ne serais pas aligné, ici à Chypre. Ces deux titularisations successives sont vraiment tombées au bon moment pour moi.
Avez-vous eu des contacts avec Ottmar Hitzfeld durant cette période de doute?
Il m’a simplement envoyé deux SMS. Je ne vais pas vous en dire le détail, mais c’était des messages d’encouragement. C’était important de sentir le soutien du coach, mais je savais aussi que je me remontre avec mon club. C’était le passage obligé.
Que ce soit avec Wolfsburg ou la Suisse, vous avez l’habitude d’avoir Diego Benaglio comme gardien. Mais samedi, ce sera Sommer. Cela fait-il une différence pour vous?
Non, pas fondamentalement. Bien sûr que je m’entends bien avec Diego. Mais Yann Sommer est un très bon gardien, tout le monde le sait.
Et que pensez-vous de Chypre?
Une équipe qui peut être dangereuse si on n’est pas totalement concentré, mais une équipe qu’on doit réussir à battre. Ils sont plutôt forts intensivement, on devra donc mettre du rythme pour les empêcher de sortir trop vite de leur camp.

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«Il ne faut pas trop y penser, ça ne sert à rien»

Hockey sur glace

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En ratant le but vide après moins de deux minutes de jeu durant la prolongation, Morris Trachsler est devenu le symbole de ces Zurich Lions qui n’arrivent plus à battre FR Gottéron. Entretien avec l’ex-Genevois.
Interview: Frédéric Lovis. 1 Commentaire

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Morris Trachsler
Image: Keystone
Morris Trachsler, a-t-il été difficile de trouver le sommeil après l’occasion que vous galvaudez à la 62e minute de l’acte II?
Mark Bastl tire, c’est le chaos devant le but et, tout d’un coup, le puck se retrouve sur ma canne. J’étais excentré, l’angle n’était pas le meilleur. Malheureusement, je rate la cible. Il ne faut pas trop y penser, ça ne sert à rien.
Du coup, cette série de revers concédés face à FR Gottéron se poursuit et se monte désormais à dix. Vous faites un complexe fribourgeois?
Non, franchement pas. Les séries, moi, je n’y réfléchi pas trop. C’est mon avis, mais je suis sûr que, dans l’équipe, personne ne pense à ça. Personne n’est crispé ou tendu à cause de ça.
La ligne que vous formez avec Thibaut Monnet et Mark Bastl peine à se mettre en évidence face à FR Gottéron. D’accord avec cette critique ?
Oui, c’est vrai. Nous avons des attentes plus élevées. Le match à Fribourg, nous n’avons pas livré la marchandise. Jeudi, nous nous sommes quand même créé davantage d’occasions, dont cette grosse évoquée avant. Cette scène reflète bien les problèmes que l’on éprouve contre cet adversaire. Dans l’ensemble, nous faisons un bon match. Malheureusement, nous n’arrivons pas à prendre deux longueurs d’avance et eux égalisent juste avant la fin du 2e tiers.
Les Zurich Lions ont aussi des problèmes avec leurs étrangers. Jeudi, il n’y avait que Matt Lashoff, Ryan Shannon sur la glace et, dans une moindre mesure, Alexandre Tremblay. Est-ce un souci à vos yeux?
Non, pas du tout. Nous avons aussi joué avec deux ou trois étrangers durant une bonne partie de la saison, sans que ça ne nous pose de problème. Ce n’est pas ça qui nous inquiète en ce moment. C’est davantage notre efficacité devant les filets.
Est-ce la faute à Conz?
Lui, il joue bien en ce moment. Peut-être qu’il aura aussi une petite baisse de régime à un moment donné. On verra bien. Il ne faut pas baisser les bras. Le match d’hier nous a redonné de la confiance. Il faut continuer sur cette lancée. Nous avons aussi prouvé, lors de la dernière série contre Davos, que nous ne sommes jamais morts.
Il y a beaucoup de caractère dans cette équipe. Elle l’avait aussi démontré lors de la dernière finale des play-off face à Berne…
Oui, nous ne lâcherons pas l’affaire parce que nous avons perdu nos deux premiers matches.
Un mot sur un centre, comme vous, qui brille dans le camp d’en face. Que pensez-vous d’Andreï Bykov?
Il a beaucoup de talent, il a de très bonnes mains. Il marque deux buts clés lors des deux premiers matches. Mais il ne faut pas non plus sur-analyser les choses. Il ne se crée pas des tonnes d’occasions. Sur ses deux buts, il profite de situations de 2 contre 1 qu’il convertit en goal. C’est plus à nous d’être vigilants pour ne pas offrir aux Fribourgeois ces phases de jeu qui leurs sont favorables. Avec des joueurs comme Andreï Bykov ou d’autres, c’est trop dangereux.

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Kimi Raikkonen déjà aux avant-postes

22.03.2013 09:09 mise à jour à 13:18
Raikkonen a poursuivi sur sa lancée de Melbourne- [Peter Lim - Keystone]


Vainqueur en Australie dimanche dernier, Raikkonen a confirmé tout le bien que l'on pense de lui et de sa Lotus. Le Finlandais a signé le meilleur chrono des essais libres du GP de Malaisie devant Sebastian Vettel et Felipe Massa.
Kimi Raikkonen a établi le chrono de référence de 1'36''569 lors de la séance de l'après-midi, alors que Mark Webber (AUS/Red Bull-Renault) avait signé le meilleur temps du matin en 1'36''935.
Outre Raikkonen, deux autres pilotes ont amélioré la marque de Webber lors de la deuxième séance: Vettel (1'36''588) et Felipe Massa (BRA/Ferrari) en 1'36''661. L'autre Ferrari, celle de Fernando Alonso, a été constante aux avant-postes en se classant au 4e rang lors de chaque session. L'Espagnol est toujours à l'aise en Malaisie, où il s'est imposé en 2005, 2007 et 2012.
Séance perturbée par la pluie

L'écurie Sauber-Ferrari a évolué dans le ventre mou du peloton. Nico Hülkenberg (GER) et Esteban Gutierrez (MEX) ont terminé 14e et 15e le matin, 13e et 14e l'après-midi lors d'une séance qui a été perturbée par la pluie qui est tombée lors des 45 dernières minutes. La météo devrait jouer un rôle déterminant ce week-end, des averses tropicales, fréquentes en Malaisie à cette époque de l'année, étant probables tant pour les qualifications de samedi que pour la course de dimanche.

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Oprandi d'offre Safarova et file en 16es

22.03.2013 08:00 mise à jour à 13:18
Romina Oprandi pourrait se retrouver face à Serena Williams dans un hypothétique 8e de finale à Miami. [David Santiago - Keystone]


Romina Oprandi se plaît à Miami. La Bernoise, matricule 59 au classement WTA, s'est qualifiée pour le 3e tour en sortant la tête de série no 17 Lucie Safarova au terme de trois sets acharnés.
La meilleure joueuse suisse s'est imposée 7-6 (7/4) 4-6 7-6 (7/5) en 2h35' face à la gauchère tchèque, 19e du classement WTA. Elle défiera en 16e de finale la Slovaque Dominika Cibulkova (WTA 14) avec, en ligne de mire, un éventuel 8e de finale face au no 1 mondial Serena Williams.
Romina Oprandi a parfaitement géré les moments décisifs de son duel avec Lucie Safarova, qu'elle avait déjà battue au tie-break du troisième set lors de leur seul précédent face-à-face en octobre 2009 à Ortisei (ITA) sur le circuit ITF. La Bernoise n'avait plus battu de membre du top 20 depuis une victoire fêtée face à Ana Ivanovic à Pékin en octobre dernier.
Un bon coup à jouer

Assurée d'empocher 80 points grâce à son accession aux 16es de finale, Romina Oprandi peut légitimement espérer en remporter 140. Dominika Cibulkova n'a en effet plus gagné deux matches d'affilée depuis son deuxième tournoi de l'année, à Sydney, où elle avait atteint la finale. La robuste et véloce slovaque, qui n'a jamais affronté Romina Oprandi, a depuis enchaîné les contre-performances.

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Déjà sacrés en super-G, Sandro Viletta et Andrea Dettling sont devenus champions suisses de descente

22.03.2013 13:46 mise à jour à 13:48

Sandro Viletta et Andrea Dettling ont remis ça aux championnats de Suisse à St-Moritz. Au lendemain de leurs titres en super-G, le Grison et la Schwytzoise ont remporté la descente. Viletta s'est imposé d'un souffle (6 centièmes) devant Didier Défago, alors que l'espoir st-gallois Ralph Weber a terminé 3e. Chez les dames, Andrea Dettling a dominé Joana Haehlen et Jasmine Flury en l'absence des meilleures descendeuses suisses (Gut, Gisin et Kamer).