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Rugby - Top 14 : Un Racing tout neuf

Neuvième succès d'affilée des Franciliens, Basques bondissants (Bayonne et Biarritz) victorieux des cadors (Toulon et Clermont), succès de Montpellier à Grenoble et la certitude que Mont-de-Marsan sera en ProD2, la saison prochaine : ce qu'il faut retenir de la 22e journée.

Avec neuf victoires d'affilée, le Racing-Métro 92 s'impose comme l'équipe en forme de cette fin de Championnat. (L'Equipe)





Toulouse au banc

Accroché à domicile par les Parisiens pendant la première période, Toulouse a fait entrer tôt son banc d'internationaux. Dès la 45e minute, Dusautoir, Picamoles, Kakovin et Tolofua prêtent main-forte à leurs coéquipiers bousculés par l'allant et le culot du Stade Français. 10-9 pour Toulouse à la mi-temps, il y avait de quoi inquiéter le manager Guy Novès. Résultat : derrière une action de plus de deux minutes de temps de jeu, Clerc (50e) inscrit l'essai libérateur. Suivront immédiatement après Huget (55e) et Dusautoir (60e). Au final, six essais toulousains, 43-16, lourde addition pour un Stade Français très joueur. A noter la sortie du talonneur Tolofua, touché au dos et qui n'a joué que quelques minutes, le temps de manquer trois lancers successifs...




Les Landais en ProD2

C'est officiel depuis samedi soir, les Montois évolueront en ProD2, la saison prochaine. Surclassé, 40-7, par l'Union Bordeaux-Bègles au terme d'un match à sens unique, le club landais, avec 21 points de retard sur le premier non-rélegable, l'Union, son adversaire du jour, à quatre journée de la fin, ne peut plus rien espérer. Deux victoires au compteur en vingt-deux matches, c'est trop peu ! Reste maintenant à savoir qui accompagnera les Montois. Agen (13e), battu à Castres (20-9), émarge à neuf points des Bordelais (12e) et semble tout désigné.




L'ASM loupe le coche

Toulon battu par Bayonne, l'occasion était bonne pour Clermont de se hisser à la première place du Championnat. Mais les Clermontois ont raté le coche. Grandement pénalisés (16 fautes sifflées contre eux), maladroits, les Auvergnats ne peuvent s'en prendre qu'à eux-mêmes. La première place leur tendait les bras à la 70e, alors qu'ils menaient 28-22. Révoltés, les Biarrots se lançaient alors dans un baroud d'honneur, Yachvili trouvant d'une longue passe Baby. L'ancien centre international, passé par Clermont, naviguait à merveille dans la défense auvergnate et inscrivait l'essai de la victoire (74e), transformé par l'impeccable Yachvili.





Le Racing se défend

Onzième lors de la 13e journée, le Racing-Métro émarge solidement à la cinquième place, synonyme de phase finale, grâce à son neuvième succès d'affilée. En s'imposant, au forceps, 23-19, face à Perpignan venu à Colombes pour réaliser "un coup", le Racing fait figure d'épouvantail en tête du classement. L'équipe en forme de cette fin de saison n'en finit pas de surprendre alors qu'on sait que son entraîneur, Gonzalo Quesada, rejoindra le Stade Français, la saison prochaine. Même si, à la sirène, le troisième ligne centre samoan Tuilagi pouvait faire basculer le score en faveur de l'USAP, le Racing a su construire son succès sur ses fondamentaux : conquête et défense.




Bayonne à la fête

Trois essais face au leader du Top 14, 28 000 spectateurs dans le stade d'Anoeta, en Espagne, quatre points de plus au compteur : l'Aviron Bayonnais ne s'attendait pas à pareille fête ! Pour autant, ce ne fut pas si facile que cela. Les Toulonnais, privés d'un grand nombre de titulaires, dont Wilkinson, Giteau, Hayman, Sheridan, S. Armitage, Botha, Wulf, Masoe et Bastareaud, ont néanmoins inscrit trois essais, eux aussi, mais en ont raté deux à leur portée sans oublier trois buts. Les Varois avaient tout pour s'imposer. On retiendra surtout le sauvetage spectaculaire de l'ailier bayonnais Marvin O'Connor arrachant la balle de match dans son plaquage sur Lapeyre, qui n'avait plus qu'à plonger dans l'en-but bayonnais.




A Trinh-Duc l'exploit !

Mis de côté par le manager tricolore Philippe Saint-André en équipe de France durant le Tournoi, François Trinh-Duc s'est illustré avec son club, Montpellier. L'ouvreur international héraultais a plongé au coeur de la défense iséroise d'entrée de match (14e) pour inscrire le seul essai de la partie, permettant à son équipe de l'emporter en terre grenobloise, 16-9, et d'assurer une sixième place menacée par Perpignan (7e, à trois points). Imprécis, inconstants, et pour tout dire impuissants, les Grenoblois (8e) glissent doucement dans la deuxième partie du classement, talonnés par Biarritz, le Stade Français et Bayonne.

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La faillite du HC Sierre a été prononcée

26.03.2013 15:21 mise à jour à 16:01
L'aventure se termine pour les Sierrois. [DENIS EMERY - Keystone]


La faillite du HC Sierre a été prononcée vendredi dernier par le Tribunal de district de Sierre, annonce "Le Matin". Le club valaisan a 10 jours pour faire recours.
Le HC Sierre a été mis en faillite par le Tribunal de district de la ville, annonce "Le Matin" sur son site internet. "Nous avons constaté que le club n'arrivait plus à faire face à ses engagements", déclare la juge Florence Troillet, citée sur le site.
Selon la magistrate, le club dispose d’un délai de dix jours pour faire recours, rallongé de quelques jours en raisons des Fêtes de Pâques, soit jusqu’aux alentours du 20 avril. Une conférence de presse est prévue ce mardi à 17h, annonce pour sa part le site du "Nouvelliste".
Le HC Sierre avait terminé à la 11e et dernière place du tour préliminaire de LNB, avec 20 points en 50 matches. Sur son site, le club valaisan se contente d'annoncer les préparatifs pour la saison 2013-14, avec la mise sous contrat de quatre nouveaux joueurs.
En décembre, la presse avait fait état de dettes à hauteur d'environ un million de francs pour le club de la cité du soleil.

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Huber et Hlebayna déjà sur le qui-vive

25.03.2013 21:26 mise à jour à 21:28
Les deux Salzbourgeois ont à coeur de ne pas perdre de temps. [Steffen Schmidt - Keystone]


Rudi Huber (chef alpin) et Walter Hlebayna (entraîneur en chef de l'équipe masculine) n'ont été engagés que vendredi par Swiss-Ski, où leur entrée en fonction est prévue pour le 1er avril. Les deux Autrichiens sont cependant déjà sur le qui-vive.
Hlebayna a "les oreiles qui gonflent" à la suite des innombrables entretiens des derniers jours. Huber affirme, lui, avoir dû recharger deux fois par jour l'accu de son téléphone portable!
Premières décisions

Les deux Autrichiens ont eu droit à de premières prises de contact ce week-end à Davos à l'occasion des championnats de Suisse. L'occasion d'avoir une vue d'ensemble. "Nous avons reçu de nombreux 'feedbacks', de manière très informative. Nous devons maintenant analyser tout cela afin de trouver les solutions adéquates pour la saison prochaine.
Les deux hommes travaillent "main dans la main". [Urs Flüeler - Keystone] Les deux Salzbourgeois ont déjà arrêté leurs premières décisions. Il est ainsi d'ores et déjà acquis que Roland Platzer ne dirigerait plus le groupe de vitesse. "Nous voulons le conserver au sein de notre staff", a cependant affirmé le président de Swiss-Ski Urs Lehmann lundi.
Platzer va laisser sa place

Rudi Huber s'est montré plus concret à ce sujet. "Nous voulons lui proposer quelque chose qui lui permette de se sentir à l'aise. Peut-être un poste au sein de l'équipe féminine", a précisé le chef alpin, dont la durée du contrat n'a pas été précisée, pas plus que celle de Walter Hlebayna.
Le nom du successeur de Roland Platzer n'est pas encore conu. "J'ai des contacts. Mais il serait prématuré de lâcher des noms", a souligné Hlebayna, qui n'exclut pas de procéder également à des changements au sein du groupe des disciplines techniques. Patron du groupe technique, Sepp Brunner pourrait ainsi lui aussi se retrouver sur la sellette.

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Après l'or, le cristal pour Virgine Faivre


Faivre semble en mesure de planer au-dessus de la concurrence à Sotchi. [Stian Lysberg - Keystone]


Virginie Faivre a conclu en beauté la saison de half-pipe à la Sierra Nevada. Championne du monde de la discipline il y a quelques semaines, la Vaudoise de 30 ans a également glané le Globe de cristal de la spécialité. Une 2e place en finale de la Coupe du monde a suffi à son bonheur.
Battue par Rosie Groenewoud lundi, Virigine Faivre a conservé sept points d'avance sur la Canadienne au classement final. Elle aurait dû se contenter de la 2e place finale si elle avait terminé 3e sur la neige espagnole... Ce sacre est le troisième de sa carrière, après ceux de 2008 et 2009.
Virginie Faivre a démontré une belle régularité cet hiver, terminant successivement 12e à Cardrona, 4e à Copper Mountain, 3e à Park City puis 1re à Sotchi avant son 2e rang de la Sierra Nevada. Il fera forcément partie des favorites l'an prochain à Sotchi, où la discipline fera son apparition au programme olympique.

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Suspendu deux matches, Ibrahimovic pourra jouer le quart aller de Ligue des champions contre Barcelone

26.03.2013 17:20 mise à jour à 18:19

Zlatan Ibrahimovic pourra jouer le quart de finale aller de la Ligue des champions contre Barcelone. Sa suspension a été réduite de deux à un match par la commission de discipline de l'UEFA. L'attaquant du PSG avait dans un premier temps écopé de 2 rencontres de suspension après le carton rouge récolté à Valence en 8e de finale aller.

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Les Écossais déblaient le terrain en Serbie

Football

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Afin d'être sûrs que le match entre la Serbie et leur équipe puisse se jouer, les supporter ont mis la main à la pâte. Et la pelle dans la neige!

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1/4 Vêtus de kilts, les supporters écossais ont aidé à déblayer le terrain enneigé à Novi Sad (Ser) où leur équipe affrontera la Serbie ce soir.
Image:



Les supporters écossais ont aidé à déblayer le terrain enneigé à Novi Sad. Leur équipe nationale affrontera la Serbie (groupe A) en soirée dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde 2014 au Brésil.
Vêtus de kilts traditionnels et de maillots de leur équipe nationale, les Écossais ont pris les pelles et nettoyé une partie du terrain en épaulant ainsi les services de déblayage serbes. La neige qui s’est mise à tomber en Serbie mardi matin avait couvert le terrain où le match doit être normalement disputé à 20h30.

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Ces clubs d'oligarques qui dominent le football russe

Football

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Les clubs russes financés par des groupes publics perdent du terrain en Championnat cette saison au profit de formations bénéficiant de fonds privés d’oligarques souvent milliardaires.

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Samuel Eto'o avec ses coéquipiers de l'Anzhi Makhachakala.
Image: AFP
Les mauvaises performances du Zenit montrent que les dizaines de millions investis par Gazprom pour des transferts records ne suffisent pas à assurer le succès du champion en titre, éliminé des compétitions européennes. Après avoir dépensé 100 millions d’euros pour s’offrir les services de l’attaquant brésilien Hulk et du milieu de terrain belge Axel Witsel, le Zenit pointe actuellement à la 3e place, alors qu’il a remporté trois des cinq derniers titres.
Le Lokomotiv Moscou (9e), financé par la société publique des chemins de fer, est confronté lui aussi à une saison difficile dans un championnat où les deux premiers clubs sont contrôlés par des hommes d’affaires: le CSKA Moscou et l’Anzhi Makhachkala.
Du temps de l’Union soviétique, tous les clubs étaient la propriété de l’Etat: le CSKA était alors contrôlé par l’Armée Rouge, le Dynamo Moscou était dirigé par le ministère de l’Intérieur, tandis que le Spartak Moscou a été fondé par des syndicats.
Après la chute de l’URSS en 1991, les capitaux ont fait leur entrée dans les clubs professionnels russes qui peuvent actuellement se répartir en deux groupes: ceux financés par des sociétés contrôlées par l’Etat et ceux aux mains d’investisseurs privés, le plus souvent milliardaires.
Avec neuf points d’avance sur l’Anzhi, le CSKA est bien parti pour décrocher un quatrième titre. Fondé en 1923, du temps de l’Union soviétique, le club est dirigé depuis 2001 par Yevgeny Giner, un homme d’affaires né en Ukraine. Depuis son arrivée à la tête du club, le CSKA a remporté trois titres nationaux, six éditions de la Coupe de Russie et la Coupe de l’UEFA en 2005. L’équipe a été un temps parrainée par Sibneft, groupe pétrolier alors contrôlé par le milliardaire Roman Abramovitch, aujourd’hui propriétaire du club anglais de Chelsea.
Outre les recrues, le CSKA a repris en novembre dernier les travaux de construction d’un nouveau stade de 30.000 places, interrompus en 2009, appelé à devenir la première enceinte sportive privée à Moscou. «Si tout va bien, j’espère que nous pourrons inaugurer le stade d’ici à fin 2014», a déclaré Giner dans une récente interview.
L’Anzhi Makhachakala, club de la république caucasienne du Daguestan fondé en 1991, est sans doute le meilleur exemple de succès des investissements privés dans le football russe. Quasi inconnu avant son rachat en 2011 par le magnat du pétrole et du métal Suleiman Kerimov, l’Anzhi s’est depuis offert les services de la star camerounaise Samuel Eto’o et du champion du monde brésilien Roberto Carlos, devenu directeur sportif.
Le soutien financier de Kerimov a aussi permis au club de recruter cet hiver pour 35 millions d’euros le milieu de terrain brésilien Willian, venu du Shakhtar Donetsk, leader du Championnat d’Ukraine.
L’Anzhi a également rénové son stade et agrandi sa capacité à 30 000 places où il espère disputer pour la première fois la Ligue des champions.
Le Spartak Moscou, club le plus titré du pays avec neuf couronnes de champion, est aux mains de Leonid Fedun, deuxième actionnaire du groupe pétrolier privé Loukoïl. Actuellement 4e du championnat, le Spartak avait fini dauphin du Zenit la saison dernière.
Fedun, dont la fortune est estimée à sept milliards de dollars selon le magazine Forbes, a indiqué avoir dépensé déjà un milliard de dollars en vue de voir le Spartak renouer avec sa gloire de leader incontesté par le passé. Le milliardaire envisage d’introduire en Bourse le club après la fin des travaux du nouveau stade qui accueillera des matches du Mondial 2018 en Russie.
Fedun a investi jusqu’ici 500 millions de dollars dans la construction de cette nouvelle enceinte qui devrait être achevée cette année. «Mon rêve est d’organiser l’introduction en Bourse de Spartak peut-être en 2017 ou 2018», a-t-il dit dans une interview.

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Deux légendes des Canadiens de Montréal à Malley ce soir

Hockey sur glace

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En visite pour deux jours en Suisse romande, deux légendes du hockey sur glace et des Canadiens de Montréal, Guy Carbonneau et Yvan Cournoyer, prendront place ce soir dans les tribunes de la patinoire de Malley.
Par Patrick Oberli. Mis à jour à 13h21 6 Commentaires

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Guy Carbonneau et Yvan Cournoyer
Image: Keystone
Trois Coupes Stanley (deux avec les Canadiens de Montréal et une avec les Stars de Dallas), 19 saisons et 1318 parties en Ligue nationale de hockey (NHL). Le palmarès de Guy Carbonneau, 53 ans, fait rêver plus d’un hockeyeur. Ce soir, le capitaine exemplaire des Québecois sera à la Patinoire de Malley pour suivre l’acte IV de la finale de LNB entre Lausanne et Olten. Une première qui le réjouit: «Je n’ai jamais eu la chance de venir ici en Suisse voir un match de hockey. Cela va être une nouvelle expérience.» Dans l’absolu, celui qui a aussi entraîné la formation de Québec entre 2006 à 2009 aurait bien aimé assister à un match du GE Servette. Seulement, regrette-t-il, les aléas des play-offs en ont décidé autrement.
Ce match à Lausanne, Guy Carbonneau assure qu’il va le regarder avec «un œil de joueur». Néanmoins, si l’un des acteurs devait lui taper dans l’orbite, il promet qu’il attirera l’attention de Kevin Gilmore, manager des Canadiens, qui sera à ses côtés dans les gradins.
Les deux hommes seront accompagnés par un autre mythe du club: Yvan Cournoyer (70 ans), l’ailier droit aux dix Coupes Stanley en seize saisons de NHL, entre 1964 et 1979. Seul son ancien coéquipier, Henri Richard (11 victoires en vingt saisons) a fait mieux que lui.
Aujourd’hui, Yvan Cournoyer, «Roadrunner» pour les fans, est ambassadeur des Canadiens de Montréal, l’unique club pour lequel il a joué. Son numéro 12 est accroché depuis 1982 dans le Hockey Hall of Fame. Un honneur que le petit joueur par la taille continue de savourer et de chérir: « Quand on retire le chandail, je vous assure que c’est une gloire. On sait qu’on est là pour la vie et l’on oublie les quatre opérations dans le dos, les genoux et les épaules cassés ou les commotions cérébrales. »
Les trois hommes ont participé lundi soir à une conférence-débat sur le thème de «Comment grandir et se réaliser grâce au sport?» organisé à Palexpo à Genève par la Fondation Sport for Life, présidée par Hugh Quennec, et la fondation Neva, dont l’objectif est de favoriser les relations russo-suisses.

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http://www.lematin.ch/sports/hockey/...story/13762694


La charge subie par Ronny Keller était un accident

Hockey sur glace

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Le juge unique de la Ligue nationale a décidé de stopper la procédure contre Stefan Schnyder. L’expertise demandée a permis d’établir que la charge subie par Ronny Keller était accidentelle.
Mis à jour le 25.03.2013 23 Commentaires

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La procédure à l'encontre de Stefan Schnyder a été abandonnée. Selon l'expertise, la charge subie par Ronny Keller était accidentelle.
La procédure lancée à l’encontre de Stefan Schnyder (Langenthal), auteur de la charge qui a laissé Ronny Keller (Olten) paraplégique le 5 mars dernier, a été stoppée.
Le juge unique Reto Steinmann estime qu’il s’agissait d’un malheureux accident. «La faute de Stefan Schnyder n’est pas établie, même si les conséquences sont tragiques et à peine concevables pour Keller», souligne le communiqué diffusé par la Ligue nationale. Les arbitres avaient taxé à juste titre la faute de «simple» charge contre la bande, ce qui avait valu une pénalité disciplinaire de match et une grosse amende au joueur de Langenthal.
L’expertise demandée auprès du groupe de travail pour la mécanique d’accident à Zurich a permis d’établir que «l’initiateur du contact est Keller qui se trouve à une distance dangereuse de la bande, et non Schnyder». Le juge unique concède que Schnyder a bien porté un coup de la main droite pendant la phase de collision, mais qu’il «ne pouvait pas savoir dans cette situation que son adversaire était déjà anéanti».
«Le mouvement de la main doit être considéré comme faisant partie de la phase de collision (recherchée et déclenchée par Keller). Il ne peut donc pas être reproché à Schnyder d’avoir voulu sciemment profité d’une situation dangereuse qu’il n’avait pas créée. D’ailleurs, Schnyder n’a checké Keller ni avec le corps ni avec le coude. Il ne l’a pas attaqué de manière non autorisée. Il ne lui a pas non plus fait de croc en jambe», souligne encore le communiqué.

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Nasri ivre en plein match?

Lors du match Aston Villa-Manchester City (0-1 le 4 mars dernier), Samir Nasri, visiblement très dérangé, se comporte bizarrement dans les 16 mètres de l'équipe de Christian Benteke. © (capture d'écran).
vidéo Des images troublantes pour Samir Nasri.
C'est à vous de juger. Mais force est de reconnaître que les images sont accablantes pour Samir Nasri.

Même si la vidéo n'est pas toute récente, elle a été relancée ces dernières heures par plusieurs sites français.

Quel est le problème?
Lors du match Aston Villa-Manchester City (0-1 le 4 mars dernier), Samir Nasri, visiblement très dérangé, se comporte bizarrement dans les 16 mètres de l'équipe de Christian Benteke.

Etait-il ivre? N'avait-il pas bien digéré son repas? Difficile à dire.