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FR Gottéron perd le match et du personnel

Hockey sur glace

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Les Fribourgeois ont perdu 5-2 au Hallenstadion. Ils ont également perdu quelques joueurs dans la bataille. Les deux équipes se retrouveront jeudi à Fribourg.
Mis à jour le 26.03.2013 1 Commentaire

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Image: Keystone
Les Lions de Zurich tiennent enfin leur premier succès face à FR Gottéron en demi-finales des play-off de LNA. Les Zurichois se sont imposés 5-2 et reviennent à 1-3 dans la série.
Les Zurichois ont fêté plusieurs premières grâce à cette victoire indiscutable. Ils ont ainsi battu pour la première fois le Gottéron «made in» Kossmann, après onze défaites consécutives. C’est aussi la première fois que les Lions battent Fribourg en play-off après 14 échecs de rang.
Toutefois, ce premier succès des coéquipiers de Thibaut Monnet doit être tempéré par la cascade d’absents et de blessés qui ont miné les rangs de Gottéron. Ainsi, l’équipe romande a perdu deux topscorers en moins de 30 minutes ! D’abord, Andreï Bykov devait jeter l’éponge après l’échauffement. Une info tenue secrète jusqu’au dernier moment. Puis, son successeur Christian Dubé se blessait dans un choc avec Mathias Seger. Le Canado-Suisse regagnait les vestiaires dès la 27e minute. Pour couronner le tout, le défenseur Abplanalp, lourdement chargé par Ambühl à la bande, était évacué sur une civière après être resté longtemps allongé immobile sur la glace (45e).
Les Fribourgeois devaient encore se passer de Tristan Vauclair et Shawn Heins, annoncés malades. Hans Kossmann lançait ainsi le Russe Sushinsky dans la bataille. Ce dernier, qui n’avait pas encore disputé une partie de play-off, ne fut que d’un modeste apport pour son équipe.
Les Zurichois ont connu cette fois-ci le bonheur de bien entrer dans la rencontre. Dès la 6e minute, Reto Schäppi, au physique et à l’abattage impressionnants, déviait un tir de Geering pour surpendre Conz. Les Romands ont encore limité la casse au cours de la première période. Ils auraient même pu prétendre égaliser en mettant les Zurichois deux fois sous pression.
Le tournant de la rencontre s’est situé à 30e minute quand Julien Sprunger s’est retrouvé deux fois en position favorable pour marquer. Il a échoué deux fois sur un Flüeler impeccable. Le train était passé pour les Fribourgeois qui encaissaient un troisième but par Ambühl, qui devançait Abplanalp pour battre Conz de près (37e).
Deux buts de Cédric Botter au troisième tiers-temps en supériorité numérique donnaient au score des allures plus favorables aux Fribourgeois, qui encaissaient néanmoins un ultime but dans la cage vide. Mais cette fois-ci, ils ont été dominés dans l’engagement par des Zurichois bien plus réalistes que lors des trois premiers matches.
Zurich Lions - FR Gottéron 5-2 (1-0 2-0 2-2)
Hallenstadion. 11 200 spectateurs (guichets fermés). Arbitres: MM. Koch, Kurmann, Espinoza et Kohler.
Buts: 6e Schäppi (Geering, Lehtonen) 1-0. 22e Bärtschi (Seger, Cunti) 2-0. 37e Ambühl (Monnet) 3-0. 44e Lehtonen (Tremblay, Schäppi) 4-0. 52e Botter (Gamache/à 5 contre 4) 4-1. 57e Botter (Birbaum, Mauldin/à 5 contre 4) 4-2. 60e (59’56’’) Wick (Shannon, Geering) 5-2 (dans la cage vide).
Pénalités: 4 x 2’ contre les Zurich Lions; 3 x 2’ contre Fribourg Gottéron. Topscorers PostFinance: Monnet, Dubé.
Zurich Lions: Flüeler; Blindenbacher, Geering; Seger, Lashoff; Schnyder, Maurer; Hächler; Lehtonen, Shannon, Wick; Bärtschi, Cunti, Kenins; Bastl, Trachsler, Monnet; Ambühl, Schäppi, Bühler; Tremblay.
FR Gottéron: Conz (45e Rytz); Ngoy, Birbaum; Abplanalp, Kwiatkowski; Loeffel, Schilt; Lauper, Dubé, Gamache; Sprunger, Jeannin, Plüss; Hasani, Mauldin, Sushinsky; Cadieux, Botter, Knoeplfi; Brügger.
Notes: Zurich Lions sans McCarty, Stoffel (blessés) ni Chris Baltisberger, FR Gottéron sans Bykov, Heins, Vauclair (malades) ni Merola (surnuméraire). 27e Dubé sort sur blessure. 45e Abplanalp sort sur une civière après un choc à la bande. 56e tir sur la transversale de Kwiatkovski. 60e tir sur le poteau d’Ambühl.

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Foot - Coupe du Monde 2014 : L'Espagne reste au-dessus

L'Espagne s'est imposée, dans le jeu, et au score mardi (1-0) grâce à Pedro. Les Bleus n'ont pas démérité mais ils perdent la première place du groupe, et Pogba a été expulsé.
Pedro a inscrit le seul but du match. (Reuters)







Les Bleus ne rêvent plus. Rendu crédible par leur prise de pouvoir dans le groupe I, vendredi soir, l’espoir d’une qualification directe pour le Mondial 2014 a pris du plomb dans l’aile mardi soir au Stade de France. Alors qu’ils abordaient la venue de l’Espagne avec deux longueurs d’avance, les joueurs de Didier Deschamps en comptent désormais une de retard. Principale conséquence de leur défaite concédée face à la Roja (0-1). Si rien n’est encore définitif (les Bleus comme les Espagnols ont encore trois matches à jouer), Benzema et ses équipiers ne sont plus maîtres de leur destin. Il leur faudra faire le plein de points et espérer que la Finlande, la Géorgie ou la Biélorussie aient la bonne idée de freiner la Roja d’ici le 15 octobre et la fin des éliminatoires.

76% de possession de balle pour les Espagnols

Evidemment, il y a ce que disent les chiffres. Comme on pouvait le craindre, les Bleus ont été dominés dans des proportions vertigineuses (76% de possession de balle pour les Espagnols). Mais il y a aussi l’impression visuelle laissée par Ribéry et ses équipiers, les occasions manquées, et le souffle de révolte qui a une nouvelle fois habité le camp tricolore après l’ouverture du score de Pedro. L’absence de Jordi Alba devait favoriser les desseins de l’équipe de France ? En déposant Jallet, son remplaçant Ignacio Monreal a montré que lui aussi pouvait faire mal. Malgré deux tentatives désespérées de Lloris et le retour d’Evra, son centre a débouché sur l’unique but de la rencontre. «Ce n'est que justice», diront peut-être les joueurs de Vicente Del Bosque, privés d’un penalty en première période (31e).

Jusque-là, les Bleus avaient pourtant eu le mérite de minimiser la menace espagnole. A l’exception d’une frappe à bout portant, mais au-dessus de Xavi (5e), et d’une faute de Lloris sur Pedro non sanctionnée, ils n’avaient jamais été vraiment inquiétés en première période. Et s’ils n’ont pas beaucoup vu le ballon, ils ont su faire peser une vraie menace sur la cage de Valdés lorsqu’ils l’ont eu. On retiendra pêle-mêle : un face à face perdu par Ribéry (38e), une frappe trop molle de Matuidi (64e), une reprise non cadrée de Varane alors que le but était grand ouvert (78e) ou encore une dernière tentative d’Evra sortie par le portier de Barcelone (86e). A quatre jours d’intervalle, les Bleus sont passés du rêve à la cruelle réalité. L’expulsion de Pogba à dix minutes de la fin ne fera certainement qu’accentuer le sentiment d’une soirée dure à avaler.
Emery TAISNE, au Stade de France

L'ai dit, l'Espagne.... Un gros morceau

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Tennis - ATP - Miami : Tsonga emporté par Cilic

Jo-Wilfried Tsonga a été éliminé en huitièmes de finale par le Croate Marin Cilic (7-5, 7-6[4]). C'est donc ce dernier qui défiera le n°3 mondial Andy Murray pour une place en demi-finales.
Jo-Wilfried Tsonga, dépité. (Reuters)







Jo-Wilfried Tsonga a été emporté par une tornade. Pas seulement emporté par le vent qui a balayé les courts de Miami toute la journée, mais aussi par le jeu inspiré de Marin Cilic (7-5, 7-6[4]), ainsi que par ses propres démons du moment. Le n°1 français ne retrouvera pas les quarts comme l'an passé et va devoir vite tourner la page en vue du quart de Coupe Davis contre l'Argentine. Face à Cilic mardi, il a semblé tellement se battre avec lui-même et ce dès le début de la rencontre que cela ne pouvait pas passer. Pas face à un adversaire serein et en plus pourvu d'armes qui font mouche dans ces conditions de jeu : un service efficace et un sens de l'attaque.

En mettant constamment Tsonga sous pression, le 11e joueur mondial a frustré le Français. Privé de temps, agacé de ne pas pouvoir développer son jeu, le 8e joueur mondial est souvent parti à la faute (36 au total) et a globalement couru après son timing pendant toute la rencontre. Son service n'a pas claqué, son coup droit était moins saignant et son revers lui a coûté cher, notamment sur le debreak en début de deuxième set (2-2). C'est le seul moment où le Croate a semblé fébrile : mené 2-0 dans le troisième, plus suite à des bourdes que par la faute de Tsonga. Ce dernier n'a pas pu enfoncer le clou et l'a payé, neutralisé par les schémas de jeu adverses : coup droit décroisé, montées à contretemps, revers à plat le long de la ligne. Du très bon Cilic, mais quand même.

Tsonga, ça coince et ça cherche

Si Tsonga avait tenu le mano a mano, s'il avait montré une attitude moins fébrile et irritée à son rival, s'il avait marché dans le court avec plus d'autorité... Avec des si, on aurait vu le vrai Tsonga. Mais le Français, qui s'était dit nul face à Troicki et ni bon ni mauvais face à Nieminen, est trop frustré de ses performances du moment pour parvenir à se libérer. Le grain de sable grippe insidieusement toute la machine. La lourde défaite à Indian Wells en quarts face à Novak Djokovic aurait-elle laissé autant de traces ? Dans les tribunes, son coach Roger Rasheed a donné de la voix pour l'encourager mais manifestement il n'a pas encore trouvé d'où venait le blocage. Il n'y a pas encore urgence. Maintenant, Tsonga a raté mardi une occasion de se confronter de nouveau à un des membres du Big 4. Il a surtout raté l'occasion de profiter d'un Masters 1000 dépourvu de Federer, Nadal ou Del Potro. Arnaud Clément va désormais récupérer son n°1 dans un état de confiance un peu limite, mais la Coupe Davis arrive peut-être au meilleur moment pour transcender Tsonga et le remettre d'attaque. On va vite savoir.
C.B.

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Tennis - WTA - Miami : S. Williams en demies

Serena Williams a encore souffert mardi, mais la n°1 mondial a su serrer le jeu pour dominer Li Na (6-3, 7-6[5] et se qualifier pour les demi-finales.
Serena Williams n'a pas craqué. (Reuters)







Serena Williams n'est toujours pas au mieux mais son mental, lui, reste au top. Après un huitième de finale très compliqué face à Dominika Cibulkova, l'Américaine a encore souffert face à Li Na mais est parvenue à boucler l'affaire en deux sets (6-3, 7-6[5]). Dans un fort vent, les deux joueuses ont évidemment payé leur amour du risque. La n°1 mondiale a en plus dû composer avec une douleur au niveau de la jambe droite qui a nécessité la venue du kiné à la fin du premier set.

La Chinoise, elle, a totalement raté sa chance à 5-2 dans la seconde manche, manquant une balle de set sur service adverse avant de lâcher sa propre mise en jeu sur une double faute (5-4). Plombée par les fautes et un plan de jeu inexistant, elle a fini par voir le set et le match lui filer sous le nez. Serena Williams, elle, sait comment tuer un match et le splendide passing de coup droit sur la balle de match en a été une énième preuve. La patronne du circuit souffre à Miami mais elle s'accroche avec les moyens du jour. Des moyens qui étaient encore bien supérieurs à ceux d'une rival désormais dominée pour la septième fois - de suite - en huit duels. Elle jouera désormais sa place en finale face à la gagnante du match opposant Agnieszka Radwanska à Kirsten Flipkens.
C.B.

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Foot - Coupe du Monde 2014 : Les «gros» assurent

Sixième match et sixième victoire pour les Pays-Bas, qui ont facilement dominé la Roumanie mardi soir (4-0). La route vers le Mondial 2014 est dégagée pour les Néerlandais. L'Allemagne face au Kazakhstan (4-1) et l'Italie à Malte (2-0) ont aussi fait un pas vers la qualification.
Robin van Persie a inscrit un doublé face à la Roumanie. (Reuters)







Les Pays-Bas ne sont pas encore officiellement qualifiés pour la Coupe du monde 2014 mais c'est tout comme. En dominant nettement la Roumanie mardi soir à Amsterdam (4-0), les Néerlandais ont signé une sixième victoire en six matches dans ces éliminatoires. Un nouveau succès qui leur permet de s'envoler en tête du groupe D. Sans Mutu, qui a débuté sur le banc, les Roumains n'ont pas pu rivaliser. Après une première opportunité pour Robin van Persie (9e) c'est Van Der Vaart qui a ouvert le score d'une frappe à ras-de-terre imparable après une remise de l'attaquant de Manchester United (1-0, 12e).

Malgré une réaction des visiteurs en fin de première période, les hommes de Louis van Gaal ont pris le large au retour des vestiaires grâce à leur avant-centre. Sur une magnifique tête lobée décroisée (2-0, 56e) et un penalty (3-0, 64e), Van Persie a inscrit un doublé. Lens a clôturé la marque (4-0, 90e). Avec désormais 34 buts sous le maillot des Pays-Bas, «RVP» dépasse Johan Cruyff (33) et n'est plus qu'à six réalisations de Patrick Kluivert (40). La soirée est d'autant plus réussie pour les Pays-Bas que deux de ses poursuivants, la Turquie et la Hongrie, n'ont pas pu se départager (1-1). Avec 7 points d'avance sur les Hongrois, deuxièmes, à 4 journées de la fin, ils peuvent déjà penser au Brésil.

L'Allemagne remet le couvert


Quatre jours après son succès à Astana (3-0), l'Allemagne a de nouveau dominé le Kazakhstan mardi, à Nuremberg cette fois-ci (4-1). L'affaire était pliée dès la pause avec des buts de Reus (23e), Götze (28e) et Gundogan (32e). Le premier s'est offert un doublé en fin de match (90e). Seul accroc dans cette rencontre maîtrisée: la boulette de Manuel Neuer, dont le crochet trop long a profité à Shmidtgal qui a pu sauver l'honneur (46e). Grâce à ces six points pris face aux Kazakhs, la Mannschaft a conforté son avance en tête du groupe C. Dans l’autre rencontre de la soirée, l’Irlande et l’Autriche ont fait match nul (2-2). Seule la Suède de Zlatan Ibrahimovic, qui n'a joué que 4 matches (contre 6 pour les Allemands), peut encore avoir son mot à dire dans la course à la première place.

L'Italie a fait le boulot


Autre grosse écurie bien partie pour se qualifier directement pour la Coupe du monde: l'Italie, qui s'est imposée sans forcer à Malte (2-0). Mario Balotelli, auteur d'un doublé (8e, 45e), a assuré la victoire des siens face à la plus modeste équipe du groupe B. Dans le même temps, le Danemark et la Bulgarie se sont quittés sur un nul (1-1), ce qui permet aux hommes de Cesare Prandelli de creuser l'écart au classement. A l'instar des Néerlandais et des Allemands, le Mondial 2014 ne devrait pas se jouer sans les Italiens.
R. Be.

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PAYS-BAS




ROUMANIE







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Foot - Coupe du Monde 2014 : Le Monténégro résiste aux Anglais

Le Monténégro a conforté sa première place grâce à son précieux et mérité match nul face à l'Angleterre (1-1), qui a toujours deux points de retard.
Danny Wellbeck et l'Angleterre accrochés au Monténégro (1-1). (Reuters)







Quatre jours après avoir étrillé la modeste équipe de Saint-Marin, l'Angleterre n'a pas réussi à se sortir des griffes du Monténégro (1-1). La plus petite des Républiques de l'ex-Yougoslavie conforte ainsi sa première place du groupe H et conserve du même coup toutes ses chances de qualifications pour la Coupe du monde 2014 au Brésil. Les Anglais sont par ailleurs sous la menace de la Pologne et de l'Ukraine, relégués à quatre longueurs mais avec un match en moins pour les deux nations.

Chacun a eu sa période

La sélection de Roy Hodgson pourra longtemps regretter de ne pas avoir concrétisé ses nombreuses occasions en première période. Cela aurait pu lui permettre de vite tuer le suspense. A la pause, elle aurait pu mener par deux ou trois buts d'écart. Mais elle n'est rentrée au vestiaire qu’avec une avance d'un but, celui inscrit de la tête par Wayne Rooney sur un corner de Steven Gerrard (6e). L'attaquant de Manchester United avait auparavant trouvé le poteau (3e) avant que Johnson ne rate le cadre d'une frappe lointaine (6e). Milner a aussi tenté sa chance (16e). Puis les Anglais ont géré. Tranquillement, trop tranquillement...

La seconde période n'aura rien à avoir avec la première puisque le Monténégro a montré un tout autre visage. Si Joventic et Vucinic ont donné de grosses frayeurs à Joe Hart (48e et 70e), le portier de Manchester City a, à son tour, été sauvé par son poteau (74e). A force de pousser, le Monténégro a fini par égaliser. Suite à un cafouillage dans la surface, Damjanovic, entré à la 46e minute, a poussé le ballon au fond sur sa deuxième tentative (76e). C'est le quatrième but en sélection de cet attaquant qui évolue en Corée du Sud.

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MONTENEGRO
76eD.Damjanovic




ANGLETERRE
6eW.Rooney

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Foot - Coupe du Monde 2014 - Gr. F : Le Portugal s'en sort

Privé de Ronaldo et Nani, le Portugal s'est imposé dans la douleur en Azerbaïdjan mardi (0-2). Bruno Alves (63e) et Hugo Almeida (79e) ont évité à la Selecçao une nouvelle désillusion dans la course au Mondial 2014.
Bruno Alves a débloqué la situation contre l'Azerbaïdjan mardi. (Reuters)







La route vers le Mondial 2014 est encore longue pour les Portugais. Et ce n’est pas en sortant des prestations du genre de celle affichée en Azerbaïdjan mardi soir qu’ils vont voir le Brésil. Trois jours après un nul miraculeux en Israël (3-3), les hommes de Paulo Bento ont en effet eu toutes les peines du monde à venir à bout de la modeste sélection azérie ce mardi à Bakou (0-2). Ce triste succès leur permet de revenir à un point de la première place du groupe F occupée par la Russie, qui compte tout de même deux matches en moins.

Plus d'une heure de jeu pour ouvrir le score...

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Le Portugal ne gagne plus








L’ouverture du score s’est fait longuement attendre face aux hommes de Berti Vogts. Elle a finalement été l’œuvre de Bruno Alves, qui a repris de la tête un corner de Moutinho à l’heure de jeu (0-1, 63e) alors que les locaux étaient réduits à dix depuis quelques minutes et l’expulsion d’Aliyev. Le défenseur central et capitaine aurait pu trouver la faille plus tôt mais son coup-franc s’est écrasé sur le poteau (40e). Celui de Veloso est passé de peu à côté (20e). Helder Postiga a également manqué le coche à deux reprises (27e et 45e+2). L’absence de Cristiano Ronaldo (suspendu) s’est cruellement fait sentir dans le secteur offensif portugais, très peu inspiré mardi soir. La libération est donc venue sur un coup de pied arrêté.

Israël suit le rythme


Entré à la 59e minute, Almeida a ensuite repris victorieusement un centre de Coentrao pour assurer la victoire (0-2, 79e). L’essentiel a été fait mais les supporters lusitaniens n’ont pas de quoi être rassurés alors que la Russie est attendue le 7 juin prochain à Lisbonne. Et ce d'autant plus qu'Israël compte le même nombre de points que le Portugal après sa victoire en Irlande du Nord (2-0, buts de Rafaelov et Ben Basat). Même une place en barrages est encore loin d'être assurée...
R.Be.

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AZERBAIDJAN




PORTUGAL
63eBruno Alves
79eH.Almeida







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Rossini: «Je ne cherche pas la gloire mais des résultats»

Football

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Arno Rossini a pris un congé professionnel pour relever le défi que constitue le FC Sion. Joueur, il était le chauffeur de... Christian Constantin.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour à 14h48 1 Commentaire

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Arno Rossini est le nouvel entraîneur officiel du FC Sion.
Image: Keystone
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Super League

24e Journée

16.03.Servette - FC Zurich1 : 216.03.FC St.Gall - Lausanne3 : 117.03.FC Bâle - FC Thoune1 : 017.03.Young Boys - Sion0 : 017.03.Grasshoppers - FC Lucerne0 : 0État: 17.03.2013 17:51
Classement

NomJVNDButsP1.FC Bâle24147343:20492.Grasshoppers24147329:18493.FC St.Gall24117630:20404.Sion24106829:31365.FC Zurich2496935:28336.Young Boys2487933:32317.Lausanne24671119:28258.FC Thoune24661224:34249.FC Lucerne244101022:332210.Servette24371418:3816État: 17.03.2013 17:56
25e Journée

30.03.Sion - Servette- : -30.03.FC Thoune - Grasshoppers- : -30.03.FC Zurich - FC St.Gall- : -01.04.Lausanne - Young Boys- : -01.04.FC Lucerne - FC Bâle- : -

La vie d’Arno Rossini a radicalement basculé quand il a récemment rencontré Gennaro Gattuso, qui lui a alors demandé s’il voulait venir l’épauler sur le banc du FC Sion. «D’entrée, explique le dernier arrivé sur le banc valaisan, j’ai senti une alchimie. D’ailleurs, la première fois que l’on s’est vu avec Gennaro, on s’est embrassé.» Pour relever le défi qui l’attend en Valais, le Tessinois, concierge dans une école de Bellinzone, n’a pas hésité à solliciter un congé sabbatique auprès de son employeur.
«J’ai pris une pause de 10 semaines qui pourrait, le cas échéant, se prolonger. Je ne cherche pas la gloire, mais à obtenir des résultats. Je ne suis pas venu ici en touriste pour découvrir le Valais. Je le connais déjà pour y posséder un appartement de vacances.» Proche d’YB dont il était l’un des observateurs depuis 4 ans, le nouvel entraîneur du FC Sion avait failli rejoindre Vladimir Petkovic à la Lazio l’été dernier. «J’avais été à Rome mais on n’avait jamais réussi à trouver un arrangement financier. Sans parler que le club voulait aussi conserver un ancrage italien au niveau de ses assistants.»
Comme joueur de LNA sous les couleurs de Bellinzone, l’ancien défenseur avait cotoyé, puis affronté Christian Constantin lorsque celui-ci avait poursuivi sa carrière de gardien au Tessin (Bellinzone, puis Lugano). «Je me souviens qu’il habitait à l’époque Giubiasco. Je venais le chercher pour le conduire à l’entraînement. J’étais son chauffeur! (Rires).
Ce mercredi, Rossini devait diriger son premier entraînement en compagnie de Gattuso, son nouvel adjoint, sur un terrain annexe de Tourbillon. «Arno n’est pas là uniquement pour nous donner sa licence, explique Gattuso. Au-delà de ses papiers, il nous apporte son expérience. Le plus important était aussi qu’il parle français.» L’objectif commun reste l’Europe. «L’équipe a été construite pour l’atteindre. Si l’on devait échouer, ce serait un terrible échec.» Rossini a-t-il téléphoné à Petkovic (ex-Sion) pour savoir où il mettait les pieds? «Oh, coupe Gattuso, il n’a pas eu besoin d’appeler Petkovic pour savoir comment fonctionne Sion et... son président.» Soudain, le portable du nouveau venu sonne. «Ah, ça fera la première amende, et un peu d’argent pour la caisse d’équipe», rigole le champion du monde italien 2006.

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Martigny en fête au moment où Sierre fait faillite

Hockey sur glace

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Pour le tact, les Martignerains repasseront. Alors que le HC Sierre vient d'être déclaré en faillite, le HC Red Ice a décidé de publier un livre sur la belle histoire du club.
Voici le communiqué du HC Red Ice Martigny, daté de ce mercredi 27 mars 2013:
«Il y a bientôt une année, c’était le 31 mars 2012, le HC Red Ice fêtait sa promotion en Ligue Nationale B, écrivant au passage la plus belle page de son histoire, l’une des plus belles des 73 ans d’histoire du hockey martignerain. Pour perpétuer le souvenir de cette étape décisive du développement du club, le HC Red Ice a édité une plaquette souvenir. 34 pages en couleurs pour revivre, en textes et en images, la saison 2011-2012 et l’inoubliable soirée du 31 mars.»
Le communiqué est signé par le club, avec son slogan habituel: «HC Red Ice, le Valais qui gagne».

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Andreï Bykov: malade ou blessé?

Hockey sur glace

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Plusieurs indices récoltés au lendemain de la défaite de FR Gottéron à Zurich (5-2) tendent à prouver qu’Andreï Bykov n’est pas malade, comme annoncé officiellement mardi, mais blessé.
Par Frédéric Lovis.

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Image: Keystone
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Le topscorer fribourgeois ne s’est pas entraîné sur la glace mercredi, mais il est par contre apparu détendu devant les médias, ne montrant aucun signe de maladie. Par ailleurs, il semble qu’il se soit récemment rendu au CIMED (centre d’imagerie médicale de Fribourg) pour se faire ausculter plus précisément la partie de son corps touchée.
Cet entraînement facultatif, auquel ont pris part Shawn Heins et Tristan Vauclair, a été suivi par onze joueurs de champ et deux gardiens. Il a été dirigé par l’entraîneur assistant René Matte.
Les nouvelles concernant Marc Abplanalp, qui a passé sa nuit dans un hôpital zurichois, sont rassurantes. Suite à la charge administrée à la 45e par Andres Ambühl, il ne pourra toutefois pas tenir sa place pour l’acte V. A noter que cette scène violente, même pas pénalisée par le quatuor arbitral, a été observée ce matin par le juge unique. Ce visionnage sera-t-il suivi par l’ouverture d’une enquête ordinaire?