Toutes New sportives autres que la moto

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Sharapova en finale à Miami pour la cinquième fois

© getty.
La N.2 mondiale Maria Sharapova s'est qualifiée jeudi pour sa cinquième finale au tournoi de Miami (dur) en battant facilement la Serbe Jelena Jankovic, tête de série N.22, 6-2, 6-1.
© ap. © reuters.
La Russe rencontrera l'Américaine Serena Williams ou la Polonaise Agnieszka Radwanska (N.4), tenante du titre.

Sharapova n'a jamais remporté le tournoi de Miami, l'un des plus importants après ceux du Grand Chelem, malgré des finales en 2005, 2006, 2011 et 2012.

La native de Sibérie, qui a enlevé son onzième match consécutif, sans perdre un set, cherche à devenir la troisième joueuse à réussir le prestigieux doublé Indian Wells/Miami dans la même saison, après l'Allemande Steffi Graf (1994, 1996) et Clijsters (2005).

Jankovic avait dominé l'Italienne Roberta Vinci (N.15) en trois sets et 2h31 de jeu dans un match qui s'est terminé mercredi à 21h40 locales et a dû rejouer seulement 15 heures plus tard pour affronter Sharapova.

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C'est fini pour Malisse en double à Miami

© ap.
Associé à l'Allemand Tommy Haas, Xavier Malisse a été éliminé en quarts de finale du double au tournoi de tennis de Miami, Floride, épreuve ATP sur surface dure dotée de 4.330.625 dollars, jeudi.
Xavier Malisse et Tommy Haas ont été battus par le Russe Grigor Dimitrov et le Danois Frederik Nielsen 6-4, 2-6, 10/7 en 61 minutes de jeu.

. Résultats:

* Double messieurs *

- Quarts de finale:

Grigor Dimitrov/Frederik Nielsen (Rus/Dan) battent

Xavier Malisse/Tommy Haas (BEL/All) 6-4, 2-6, 10/7

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Guardiola n'est plus le bienvenu à Barcelone

© belga.
Futur entraîneur du Bayern Munich, Pep Guardiola n'est plus vraiment le bienvenu à Barcelone, malgré son statut de légende du club.
Selon le journal Marca, le FC Barcelone craint que Pep Guardiola ne tente une approche auprès de certains joueurs et membres du staff pour les attirer avec lui du côté de Munich.

Domenec Torrent et Carlos Planchart, qui s'occupent des analyses vidéos du Barça, sont les noms les plus cités. Raison pour laquelle le club catalan veut éviter qu'il n'entre en contact avec les personnes concernées.

Après une année sabbatique, Guardiola reprendra du service dès la saison prochaine au Bayern Munich, où il succèdera à Jupp Heynckes.

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Sylvain Chavanel conserve son titre aux Trois Jours de la Panne-Coxyde

© photo news.
En s'adjugeant l'épreuve chronométrée de 14,75 km à La Panne en deuxième partie de la 3e journée, le Français Sylvain Chavanel (Omega Pharma-Quick.Step) a remporté le classement final des Trois jours de La Panne-Coxyde pour la deuxième année de suite, jeudi.
Sylvain Chavanel, 33 ans, s'est montré plus rapide, de 19 secondes, que le Russe Anton Vorobyev lors du contre-la-montre. Le Néerlandais Lieuwe Westra est 3e à 21 secondes du Français. Premier belge de ce chrono, Guillaume Van Keirsbulck pointe en 10e place à 41 secondes.

Au classement général final, Sylvain Chavanel l'emporte avec 22 secondes d'avance sur le Norvégien Alexander Kristoff et 31 sur le Néerlandais Niki Terpstra. Van Keirsbulck est aussi le meilleur belge, 9e à 58 secondes.

C'est la deuxième victoire de la saison pour Chavanel après avoir décroché la 6e étape de Paris-Nice (WorldTour).

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Cyclisme - OP-QS : Cavendish le centenaire

Mark Cavendish a atteint cette semaine le cap des cent victoires. Un bilan d'autant plus impressionnant que près d'un quart d'entre elles ont été décrochées sur les routes du Tour de France.
Cavendish qui gagne sur les Champs Elysées : un classique de juillet (Reuters)







Lui-même assure n'en compter que 95. Mais Mark Cavendish est bien devenu centenaire depuis son sprint victorieux dans la deuxième étape des Trois Jours de La Panne. Cent victoires chez les professionnels depuis qu'il a signé un contrat à même pas 20 ans chez Sparkasse, l'équipe réservoir de T-Mobile, en 2005. Passé chez les grands en août 2006, il a longtemps été fidèle à la même structure même si le nom a changé (T-Mobile, High Road, Columbia, HTC-High Road) avant de tenter l'aventure Sky puis de rebondir chez les Belges d'Omega Pharma – Quick Step cette saison.

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Rugby - Dopage : «Le mal est fait...»

Interrogé sur les propos de Françoise Lasne, la directrice du département des analyses de l'AFLD, qui a affirmé que «le rugby était le sport le plus touché par le dopage», Serge Simon, président du syndicat des joueurs, ne cache pas sa colère.
Serge Simon : «Nous ne sommes plus dans une cantine d'école» (L'Equipe)







«Serge Simon*, pour quelles raisons Provale a-t-il demandé dans un communiqué un rendez-vous à l’AFLD ?
Pour demander des explications chiffrées. Les déclarations de Françoise Lasne au Sénat ont été un véritable choc. Nous voulons des explications. Le rectificatif de Bruno Genevois (président de l’AFLD ndlr) était nécessaire mais le mal est fait. Elle doit assumer ses propos. Nous ne sommes plus dans une cantine d’école. Il faut mettre l’AFLD devant ses responsabilités.

Toujours dans le communiqué, vous évoquez un combat sur la géolocalisation dans le rugby avec l’AFLD, à quoi faites-vous référence ?
Le système de géolocalisation est un système mis en place pour les contrôles inopinés. Il a été créé pour des sports individuels comme le cyclisme où les athlètes sont éparses. Cela devient aberrant lorsqu’on l’applique aux sports collectifs. Les rugbymen en l’occurrence sont facilement localisables puisqu’ils sont au centre d’entraînement de leur club tous les jours. On sait où les trouver ! Ensuite, ce qu’on demande aux joueurs est proprement délirant. J’invite d’ailleurs n’importe qui à faire une géolocalisation, ne serait-ce qu’une fois. Mais si on ne remplit pas ces obligations, les sanctions peuvent être graves. Un an, puis deux ou trois ans en cas de récidive. Cela peut même priver certains de Coupe du monde.

«Tous les joueurs sont suspects»

«J'invite n'importe qui à faire une géolocalisation» Que pensez-vous du système des contrôles anti-dopage dans le rugby ?
Les contrôles anti-dopage ne sont clairement pas efficaces. Le cas Armstrong dans le cyclisme en est le meilleur exemple. Dix ans d’analyse d’échantillons sans qu’il se fasse prendre une fois. L’obsession du contrôle urinaire n’est pas la bonne à mon sens. Le système actuel est compliqué et surtout très faillible car la charte de la preuve est renversée. Tous les joueurs sont suspects et si vous osez contester cela se retourne contre vous. C’est un blanc-seing pour l’AFLD qui a une grande marge de manœuvre.

Cet épisode remet-il en cause vos relations avec l’AFLD ?
Absolument pas. Nous étions dans le bureau de Bruno Genevois la semaine dernière. Il me semble que nous avons été écoutés. Maintenant le système actuel n’est pas acceptable. Et lorsqu'on le conteste, cela alimente l’incendie. Nous avons pris date avec eux pour trouver des solutions ensemble. Si nous ne sommes pas entendus, nous irons plus loin...»

*Ancien première-ligne du Stade français et de Bordeaux-Bègles, Serge Simon est le président de l'Union des joueurs de rugby professionnels «Provale» de 2000 à 2006 puis depuis 2012.
Propos recueillis par Hadrien LARRIBERE

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Tennis - ATP - Miami : Murray écarte Cilic

Andy Murray a dominé à l'usure un Marin Cilic accrocheur (6-4, 6-3 en 1h41') ce jeudi en quarts de finale du tournoi de Miami. Il affrontera Tomas Berdych ou Richard Gasquet dans le dernier carré.
Après une entame de match difficile, Andy Murray a mis plus d'agressivité dans son jeu contre Marin Cilic. (Reuters)







Seul membre du Top 4 présent en quarts de finale à Miami, Andy Murray compte bien tenir son rang et profiter de l'absence de ses rivaux habituels pour s'offrir un Masters 1 000. Ce jeudi, le Britannique a passé l'obstacle Marin Cilic (6-4, 6-3) sans trembler, mais sans impressionner non plus. Le n°3 mondial a alterné le poussif et le brillant, les relances précises (36/66 en retour) et les services hasardeux (53% en premières balles, 48% dans la seconde manche). Symbole de cette inconstance, Murray a plié la partie au bout de sa septième balle de match. Face à un adversaire qui ne l'avait battu qu'une seule fois en sept confrontations, le Britannique a d'ailleurs tâtonné en début de rencontre, se faisant breaker à deux reprises (2-0 puis 3-1). Mais il a également su recoller rapidement au score (2-1 puis 3-2), profitant des temps faibles du Croate, tombeur de Jo-Wilfried Tsonga au tour précédent.

Au cours d'un jeu acharné qui a duré 15 minutes, Cilic n'est pas arrivé à convertir une seule des quatre balles de break qu'il a obtenues (1-2). Expérimenté, Murray a senti son adversaire faiblir en fin de manche, et en a profité pour accélérer (break à 5-4, set à 6-4 alors qu'il était mené 0-30 sur son service). Le dernier vainqueur de l'US Open a continué à faire déjouer Cilic en début de deuxième manche (2-0) avant de le voir reprendre du poil de la bête. Sentant qu'il était temps de se ressaisir, le Croate a tenté de débreaker Murray à 2-1. Au cours d'un jeu acharné qui a duré 15 minutes, le 11e joueur mondial n'est toutefois pas arrivé à convertir une seule des quatre balles de break qu'il a obtenues, butant sur une superbe défense de l'Ecossais, voyant Murray servir parfaitement ou bénéficier de la bande du filet. L'Ecossais gardait ainsi son avantage avant de le creuser (5-2) et de valider au bout de sept balles de match son ticket pour le dernier carré. Vainqueur à Miami en 2009 et finaliste malheureux face à Novak Djokovic l'an dernier, Murray affrontera en demi-finale Tomas Berdych ou Richard Gasquet.

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Hand - Coupe (Hommes) : Le crève-coeur de Chambéry

Montpellier a éliminé Chambéry en quarts de finale de la Coupe de France, jeudi soir, en s'imposant en Savoie (29-25). Nouveau coup dur pour les hommes de Mario Cavalli, qui voient s'éloigner une chance de se qualifier pour une Coupe d'Europe.
William Accambray (6/8) a aidé Montpellier à éliminer Chambéry en quarts de finale de la Coupe de France. (L'Equipe)







Les traits des Chambériens étaient tirés avant même que ne retentisse la fin d'un match intense face à Montpellier, jeudi soir au Phare. Le classique a cette fois tenu ses promesses, après un premier duel moins passionnant en Championnat cette saison (33-22 pour Montpellier). La prestation de Chambéry dans ce quart de finale de la Coupe de France est finalement à l'image de sa saison : en dents de scie. Les Savoyards ont réussi une très bonne première période, grâce une belle organisation offensive bâtie autour de Grégoire Detrez, Marko Panic et Cédric Paty. Ils ont profité de la faiblesse défensive de Montpellier, accentuée lors d'une infériorité numérique, pour s'envoler au score, claquant au passage un 5-0 (16-11, 27e).

Un trou noir fatal

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Le film du match




Les résultats








Mais avant même la fin de la période, Montpellier avait sonné la révolte, retournant aux vestiaires sur un 3-0 (17-14). Les Chambériens ont ensuite sombré, dominés par des Héraultais à l'agressivité retrouvée, que ce soit en attaque ou en défense, et aidés en outre par les excellentes parades de Mickaël Robin. En douze minutes, le MAHB a enchaîné un 8-1 (18-22, 42e), et malgré des efforts désespérés (25-27, 56e), Chambéry n'a jamais réussi à retourner la situation, perdant une balle au mauvais moment ou se heurtant à l'implacable Robin (25-29).

Un coup dur pour les joueurs de Mario Cavalli, qui visent à tout prix une qualification européenne, et espéraient poursuivre l'aventure en Coupe de France. «Au moins, les choses sont claires, à nous d'aller chercher une Coupe d'Europe d'une autre façon», a résumé, amer, Cyril Dumoulin au micro de Canal+Sport. Il va pour cela falloir mettre les bouchées doubles en Championnat.

Paris et Nantes ont également obtenu leur billet pour les demies, dominant respectivement Mulhouse, club de D2 (40-25) et Créteil (33-25). Dunkerque et Cesson-Rennes se disputeront le dernier ticket vendredi (21h00).
A.R.

[Norton]

Rugby - Top 14 : Grenoble, option fraîcheur

Biarritz (9e) et Grenoble (8e) sont séparés de seulement deux points au classement du Top 14. Vendredi soir (19h), à Aguilera, les Isérois se déplacent sans pression.
Pour ce déplacement à Biarritz, les Grenoblois feront tourner leur effectif. En espérant faire tourner aussi le ballon. (L'Equipe)







A moins d’une série de quatre victoires d’affilée, Grenoble et Biarritz ne disputeront pas la phase finale du Championnat, cette saison. Il y a un mois, les Isérois, promus, étaient dans le bon wagon, à la surprise générale, mais une fois assurés de leur maintien dans le Top 14 la saison prochaine, ils se sont relâchés, encaissant quatre défaites successives face à des gros calibres.

«Jusqu’au match contre Clermont (19ème journée) nous étions dans les clous, mais la défaite à domicile a brisé nos espoirs. A partir de là, tout est devenu plus compliqué…» reconnaît Fabrice Landreau, le manager Grenoblois. Suivront les échecs contre le Racing, Perpignan, Montpellier, concurrents directs à la phase finale.

Fabrice Landreau donne une explication principale à cette chute soudaine, enregistré en février, à savoir «l’accumulation de blessés, certains longue durée, qui ne nous a pas permis d’avoir ce supplément de fraîcheur, celui qui débloque les situations», lâche le technicien isérois, lucide.

Un BO tourné vers Gloucester

Ce vendredi, les Grenoblois se rendront à Biarritz sans autre ambition que de bien figurer, avec une équipe mixte, ce qui en dit long sur leur objectif. Après Biarritz, les Grenoblois se rendront à Bayonne, recevront Toulon et se déplacement à Toulouse, lors de la dernière journée, autant dire que leurs chances de briller sont assez réduites.

«Nous nous sommes promis de ramener un succès à l’extérieur d’ici la fin de saison. Ce sera compliqué», avoue Landreau. Du coup, l’heure est au roulement. «Pour retrouver de la fraîcheur, pourquoi pas contre Bayonne… Mais dans notre esprit, nous préparons déjà la saison prochaine. Il faut penser à régénérer les organismes.» Biarritz, de son côté, profitera de ce match pour préparer son déplacement à Gloucester jeudi prochain en quart de finale du Challenge Européen, compétition dont il est le champion.
R.E.

[Norton]

Votre top 5 des sportifs américains

A l'occasion du numéro spécial USA de L'Equipe Magazine (30 mars), faites votre top 5 des sportifs américains de l'après-guerre.

• 
  K. ABDUL-JABBAR
  
  Basket
• 
  MUHAMMAD ALI
  
  Boxe
• 
  TOM BRADY
  
  Foot US
• 
  JIM BROWN
  
  Foot US
• 
  JOE DI MAGGIO
  
  Baseball
• 
  JANET EVANS
  
  Natation
• 
  CHRIS EVERT
  
  Tennis
• 
  ERIC HEIDEN
  
  Patinage de vit./cyclisme
• 
  MAGIC JOHNSON
  
  Basket
• 
  M. JOHNSON
  
  Athlétisme
• 
  MICHAEL JORDAN
  
  Basket
• 
  EDDIE LAWSON
  
  Moto
• 
  GREG LEMOND
  
  Cyclisme
• 
  CARL LEWIS
  
  Athlétisme
• 
  JOE LOUIS
  
  Boxe
• 
  PEYTON MANNING
  
  Foot US
• 
  JOHN MCENROE
  
  Tennis
• 
  JOE MONTANA
  
  Foot US
• 
  JACK NICKLAUS
  
  Golf
• 
  SHAQ. O’NEAL
  
  Basket
• 
  MICHAEL PHELPS
  
  Natation
• 
  JACKIE ROBINSON
  
  Baseball
• 
  M.-LOU RETTON
  
  Gymnastique
• 
  PETE SAMPRAS
  
  Tennis
• 
  MARK SPITZ
  
  Natation
• 
  MIKE TYSON
  
  Boxe
• 
  S. RAY ROBINSON
  
  Boxe
• 
  LINDSEY VONN
  
  Ski
• 
  SHAUN WHITE
  
  Snowboard et skateboard
• 
  TIGER WOODS
  
  Golf

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Réactions (115)

• 
  Xwing 29 mars à 5:08
  Et les Andretti, Dale Earnhardt pour les courses. Ou est Jerry Rice et Jimmy Connors?... Tom Brady ???? Johnny Unitas, John Elway, Dan Marino ok, but Brady ...???
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  kurah 29 mars à 4:36
  Je ne comprends pas qu'un champion comme Jimmy Connors ne soit pas choisi, il détient le record de tournois remportés en Tennis. Ceux qui parle du foot US, juste paske c'est le sport préféré des américains: on s'en fou, ici c'est totalement inconnu, on est en france le classement est celui des français.
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• 
  oldsport 29 mars à 1:37
  What about Alexi Lalas ?
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• 
  anhniko 29 mars à 1:19
  les champions des 50 dernieres annees, i faut apprendre a lire
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  braziou 29 mars à 0:37
  déjà le choix fait par les américains serait très différent leur sport préféré , et de loin , c'est le Foot US