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Décès de Soraya Jimenez, première championne olympique mexicaine

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La première championne olympique mexicaine de l'histoire est décédée. L'haltérophile Soraya Jimenez est décédée à 35 ans d'une crise cardiaqque. Jimenez avait remporté la médaille d'or aux JO de Sydney en 2000 dans la catégorie des moins de 58 kg.
En raison de problèmes de santé, elle avait dû mettre fin à sa carrière prématurément. Elle a ensuite travaillé en tant que journaliste sportif à la télévision.

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Une amende record pour Leif Hoste?

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MISE À JOUR La Royale Ligue Vélocypédique belge (RLVB) a infligé une amende record de 300.000 euros à Leif Hoste. Hoste est le premier (ex-)coureur belge à être poursuivi pour des valeurs sanguines suspectes. "Tout va bien, j'ai toute confiance dans mes avocats", a réagi Hoste, vendredi dans De Standaard et Het Nieuwsblad.
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"Les valeurs sanguines suspectes sont très vraisemblablement liées à des substances interdites. Il est peu probable que les valeurs anormales soient dues à d'autres causes", a déclaré Jaak Fransen, le procureur fédéral de la RLVB. Selon lui, et en cela il suit l'Union cycliste internationale (UCI), Leif Hoste a pris du dopage. "Je ne peux rien faire d'autre, conformément au règlement international, que demander une suspension de 24 mois."

Deux ans de suspension est la durée normale à la suite d'une première infraction de dopage. Cela sera sans conséquence pour Hoste qui à 35 ans a mis fin à sa carrière fin 2012 en raison de douleurs dorsales récurrentes.

Une somme record
S'il est reconnu coupable, Hoste devra en revanche puiser dans ses économies. Fransen a infligé une amende de 297.500 euros, plus les frais de justice et la gestion du passeport biologique de l'UCI. Au bas mot, le total s'élève à 300.000 euros. Une somme record.

Que la RLVB, à la demande de l'UCI, attaque Hoste au niveau financier démontre le caractère symbolique que ce cas représente pour la fédération internationale. Même si Hoste n'a jamais été contrôlé positif et qu'aucun produit dopant n'a été trouvé chez lui.

"Dans mon propre intérêt, je ne veux donner aucun commentaire", a déclaré Leif Hoste vendredi. "Tout ce que je peux dire à partir de maintenant pourrait être utilisé contre moi lors de l'instruction. Je me suis mis d'accord avec mon avocat Johnny Maesschalck de ne pas communiquer avec les médias. Désolé, mais je peux pas en dire davantage. J'ai une totale confiance dans mon avocat", s'est-il contenté de dire celui qui porta les maillots des équipes Mapei-Quick.Step, Lotto-Domo, Omega Pharma-Lotto, Katusha et Accent Jobs-Vérandas Willems.

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Miami aura sa finale idéale: Serena Williams-Sharapova

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La N.1 mondiale Serena Williams rencontrera samedi la N.2 mondiale Maria Sharapova en finale du tournoi de tennis de Miami, épreuve Premier de la WTA sur surface dure dotée de 4.195.765 dollars, après sa facile victoire 6-0, 6-3 jeudi face à la Polonaise Agnieszka Radwanska, 4e mondiale qui était tenante du titre mais a été balayée en seulement 1h05.
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L'Américaine de 31 ans visera un sixième trophée à Miami, ce qui serait un record (l'Allemande Steffi Graf compte également cinq trophées) alors que la Russe, qui a battu presque aussi facilement (6-2, 6-1) la Serbe Jelena Jankovic (WTA 24/N.22), convoitera son premier titre pour sa cinquième finale dans un tournoi qui est l'un des plus importants de l'année après ceux du Grand Chelem.

"Je me sentais bien, j'ai réussi à faire un minimum de fautes directes, a indiqué Williams. Je n'ai pas très bien commencé le tournoi, j'avais beaucoup de choses dans ma tête qui me rendaient un peu folle. Je veux tellement bien faire dans ce tournoi, je travaille dur pour ça. J'ai un peu modifié mon service techniquement, depuis bien avant le tournoi, je constate que ça s'améliore."

Williams est devenue en février la joueuse la plus âgée à occuper le premier rang du classement WTA. Elle est assurée de fêter lundi sa 130e semaine sur le trône du tennis féminin même si Maria Sharapova remporte le titre à Miami.

[Norton]

ATP - Miami: Andy Murray en finale contre David Ferrer


L'Ecossais Andy Murray, 3e mondial, jouera dimanche la finale du Masters 1000 de Miami (dur) face à l'Espagnol David Ferrer, 5e mondial, après sa victoire vendredi en demi-finale sur le Français Richard Gasquet, 10e mondial, sur le score de 6-7 (3/7), 6-1, 6-2. Murray, déjà finaliste la saison passée, tentera de remporter un deuxième titre à Key Biscayne (après 2009) alors que Ferrer jouera pour la première fois en finale du tournoi floridien.

[Norton]

Boonen: "Tout se jouera dans la dernière boucle"

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Tom Boonen a évoqué vendredi la 97e édition du Tour des Flandres qui se disputera dimanche. "Je veux tenir mon rang", a déclaré le leader de l'équipe Omega Pharma-Quick Step.
© photo news. © belga.
"Les deux jours de course que j'ai emmagasiné aux Trois Jours de La Panne m'ont fait du bien, je sens que j'ai gagné un petit quelque chose en plus. J'ai en tout cas fait le maximum pour être dans le coup", a assuré le champion de Belgique.

Bien qu'il soit moins en forme que l'année dernière, Tom Boonen n'attend pas de largesses de la part de ses adversaires. "Je manque de rythme, mais ils ne me laisseront tout de même pas partir si j'attaque", estime-t-il. "Je pense que la course ne s'ouvrira que dans la dernière boucle. Ce Tour des Flandres est trop dur pour mener à bien une longue échappée."

"Si Sagan manque d'expérience sur ce parcours? A ce que je sache, il n'y a eu qu'un Tour des Flandres sur ce parcours et il en a pris la 5e place. Cancellara est un peu plus fort, mais je ne pense pas qu'il puisse battre Sagan au sprint", a dit le champion de Belgique.

Boonen, triple vainqueur du Ronde, a confié ne pas penser au record de victoires. "Gagner trois fois, c'est déjà quelque chose. Si je gagne une quatrième fois, ce sera une fois de plus que les autres. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Je ne suis pas focalisé sur ce record. Une célébration spéciale à la Sagan si je gagne? Je ne tenterai en tout cas pas un wheelie, ce serait l'assurance de me retrouver au sol", a conclu l'ancien champion du monde.

[Norton]

Les nouvelles chaussures de Ronaldo


Nike a présenté ce jeudi ses nouvelles Nike CR Mercurial Vapor IX, que porteront Cristiano Ronaldo. Comme d'habitude, la marque à la virgule a choisi des couleurs assez flashy, histoire de mettre encore un peu plus en valeur la star du Real Madrid.

Le logo Nike est d'ailleurs en mode "safari", pour rendre hommage à la vitesse du Ballon d'Or 2008. Le coeur avec une croix, à l'arrière de la chaussure, symbolise la philosophie du "Love to win, hate to lose."

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Ferrer attend Murray en finale de Miami

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L'Espagnol David Ferrer, 5e mondial, a mis fin à la belle aventure de Tommy Haas au Masters 1000 de Miami (dur) en se qualifiant vendredi pour la finale aux dépens de l'Allemand de 34 ans.
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Malgré la perte du premier set, Ferrer s'est imposé 4-6, 6-2, 6-3 en deux heures de jeu face au 18e mondial, dont le jeu s'est érodé à mesure du match.

L'Espagnol, lui aussi trentenaire (31 ans mardi), rencontrera dimanche l'Ecossais Andy Murray, 3e mondial, ou le Français Richard Gasquet, 10e mondial, pour tenter de remporter son troisième trophée de la saison et le deuxième Masters 1000 de sa carrière (après celui de Paris-Bercy fin 2012).

Ferrer, déjà titré à Auckland et Buenos Aires cette année, est le joueur le plus victorieux sur le circuit cette saison (25e victoire).

Grâce à son parcours en Floride, il reprendra la 4e place mondiale à son compatriote Rafael Nadal dès lundi.

Nadal, ainsi que le N.2 mondial Roger Federer, n'ont pas joué ce tournoi de Miami, privé du N.1 mondial Novak Djokovic dès les 8e de finale après que Haas eut créé la sensation en sortant le Serbe en jouant un tennis impressionnant.

Haas, 145e mondial il y a un an à la suite d'une opération d'une hanche, va entrer lundi dans le Top 15 pour la première fois depuis cinq ans.

L'Allemand (35 ans mercredi), qui est le plus âgé du Top 50, était le joueur le plus âgé à atteindre le dernier carré d'un Masters 1000, tournois les plus importants après ceux du Grand Chelem, depuis Andre Agassi en 2005 à Montréal (35 ans).

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Abidal dans le groupe du Barça un an après sa greffe du foie

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L'arrière gauche français Eric Abidal a fait son retour dans le groupe du FC Barcelone, convoqué pour un match du Championnat d'Espagne samedi contre le Celta Vigo, un an après sa greffe du foie en avril 2012, a annoncé vendredi le club catalan.
Le joueur de 33 ans avait été opéré une première fois en mars 2011 d'une tumeur au foie mais, rétabli en un temps express, avait pu participer à la fin de la saison du Barça, couronnée d'une victoire en Ligue des champions. Puyol lui avait d'ailleurs donné le brassard et l'honneur de soulever le trophée en premier, à Wembley.

L'international français (61 sélections depuis 2004) avait ensuite retrouvé l'équipe de France et prolongé son contrat en club jusqu'en juin 2013.

Victime d'une rechute, Abidal avait dû recevoir une greffe du foie en avril 2012. Son retour à l'entraînement collectif en décembre avait coïncidé avec la rechute de son entraîneur Tito Vilanova, réopéré depuis d'un cancer à la glande salivaire.

Le 21 avril, les médecins du club avaient donné leur feu vert pour un éventuel retour du Français dans le groupe du Barça.

Pour le match contre le Celta Vigo samedi, le retour d'"Abi" s'inscrit dans un contexte où les deux arrières gauches habituels (Jordi Alba et Adriano) ainsi que Puyol, qui peut dépanner sur ce côté, ont dû déclarer forfait.

Le milieu Xavi et l'attaquant Pedro seront également absents pour ce match, qui précède le quart de finale aller de la Ligue des champions contre le PSG.

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Soirée parfaite pour le PSG avant le Barça

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Le Paris SG a idéalement préparé son grand rendez-vous de mardi face à Barcelone en Ligue des Champions en battant vendredi le champion en titre Montpellier (1-0), auquel il semble de plus en plus près de succéder avec provisoirement huit points d'avance sur Lyon.
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C'était une soirée parfaite pour les Parisiens, qui peuvent désormais se plonger sans arrière-pensée dans la préparation du choc de mardi, avec peut-être une très tranquille soirée télé dimanche pour voir leur dauphin lyonnais batailler avec Sochaux.

Le but parisien est arrivé tardivement (80), au bout d'une rapide offensive lancée par Beckham, relayée par Ménez et Ibrahimovic et conclue par Gameiro. Mais s'il est étroit, le succès du PSG est absolument mérité, d'autant que les circonstances se prêtaient bien à l'accident de parcours.

L'objectif du staff parisien pour ce match face au champion sortant était simple mais relevait pourtant de la mission impossible: sortir des têtes des joueurs la réception du Barça et de ses étoiles, Messi, Iniesta, Xavi et les huit autres plus celles du banc.

"Le match contre Montpellier peut être la clé de la saison", avait ainsi lancé jeudi Carlo Ancelotti dans un effort louable mais qui paraissait alors un peu vain. Car la veille, Chantôme n'avait même pas essayé de tromper son monde à propos de ce qui sera sans doute pour certains Parisiens plus que le match de la saison. "Je ne vais pas mentir, on y pense tous", avait-il déclaré.

Gameiro en sauveur
Peut-être échaudé par les résultats de son équipe lors des cinq précédents matches pré-Ligue des Champions (quatre défaites), Ancelotti n'avait finalement procédé qu'à un turn-over minime, Van der Wiel et Ménez suppléant simplement Jallet et Lavezzi, respectivement laissés sur le banc et au repos, alors que Lucas était finalement forfait.

Et alors que Matuidi attaquait son 50e match officiel de la saison, Beckham, de retour de ses tribulations chinoises, s'asseyait sur le banc. Au cours d'une première période animée et plaisante, ce n'est pas tant de concentration ou d'envie qu'ont finalement manqué les leaders du championnat, que de précision offensive.

Le ton était donné dès la 45e seconde avec une énorme occasion gâchée par Chantôme après une passe limpide de Maxwell.

Ce sont ensuite Ménez (11), Thiago Silva (13, 30), Ibrahimovic (27, 40) ou Alex (32) qui ont inquiété une défense montpelliéraine gênée par un très bon Pastore et moyennement sereine, à l'image de cette action où Ménez aurait pu obtenir un penalty (25).

Mais le champion de France a eu lui aussi des opportunités et est toujours resté ambitieux, avec sa composition très offensive et son séduisant duo Belhanda-Cabella, souvent efficace et toujours joli à voir évoluer. On a même longtemps pensé que les Héraultais allaient, comme souvent, ramener un bon résultat du Parc des Princes, d'autant que les Parisiens continuaient en deuxième période à manquer consciencieusement le cadre - Ménez (52), Chantôme (65), Maxwell (71), Alex (76) -.

L'entrée de Gameiro, le remplaçant le plus adroit et le plus réaliste de France, a finalement fait la différence. La joie spectaculaire de toute l'équipe parisienne, staff et remplaçants compris, n'a pas laissé de doute quant à l'importance de ce résultat. Pour eux désormais, place au Barça.

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Rugby - Top 14 : Et toujours Yachvili !

Vendredi soir, en match avancé de la 23e journée, Dimitri Yachvili permet à Biarritz de l'emporter, 33-16, face à Grenoble, grâce à une inspiration géniale, cinq buts et une transformation.
Dimitri Yachvili s'est montré très inspiré et réaliste, ce vendredi soir en ouverture de la 23e journée, face à Grenoble. (L'Equipe)







Sous les yeux des Barbarians français (Jean-Pierre Rives, Laurent Pardo, Jean-Michel Aguirre, etc…) présents dans la tribune d’honneur d’Aguilera, Biarrots et Grenoblois ont tenté d’oublier la pluie qui tombait drue en livrant un match vivant à défaut d’être totalement maîtrisé. Quelques fautes de mains sont venues gâcher de belles occasions, nées de relances grenobloises et d’attaques basques. Et parfois l’inverse.

Pluie, terrain glissant, imprécisions, tout était finalement réuni pour qu’un buteur sorte du lot et ce fut, comme on pouvait s’y attendre, Dimitri Yachvili, le demi de mêlée international biarrot. Avec cinq buts à son actif, bien aidé par les deux coups de pied de son trois-quarts centre, Benoît Baby, le canonnier basque a fait carton plein dans des conditions difficiles.

Ngwenya opportuniste

Moins dominateurs, plus rarement en possession du ballon, les Grenoblois, très joueurs et bien organisés, se sont néanmoins offert un essai de pénalité (16e, 6-7) sur une belle mêlée enfoncée à cinq mètres de l’en-but biarrot, et ont même failli inscrire un deuxième essai sur une incursion gagnante dans le camp basque, coup de dague récompensé par un but (62e, 21-16).

On pensait que le FC Grenoble allait au moins tenir le point de bonus défensif, c’était sans compter sur une inspiration de l’ouvreur Pélissié délivrant une passe au pied pour son flanker Bernard, isolé sur l’aile, dans ses 22 m. Tellement isolé que les Biarrots récupéraient le ballon, livré sur un plateau pour Ngwenya (67e, 26-16) qui marquait en coin.

A la façon d'un footballeur


Ce coup du sort boostait les Grenoblois, lancés dans un baroud d’honneur pour récupérer ce point de bonus perdu. Mais la mêlée basque, solide, bloquait les issues, et la touche, intelligente, contrait les velléités iséroises, sans pour autant s’imposer. Puis Lund contrait un dégagement et, à la façon d’un footballeur, Yachvili dirigeait le ballon au pied avant de le talonner pour son deuxième ligne Eric Lund qui avait suivi (76e, 33-16). Biarritz cherchait dans les derniers instants à inscrire un troisième essai mais n'y parvenait pas. Reste que l’addition est lourde pour Grenoble, qui n’a jamais cédé et tout tenté.
Richard ESCOT

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33
16

Biarritz




Grenoble







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