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Rugby - Top 14 : Ne pas perdre le Nord

Pour la première fois, le Top 14 s'affiche à Lille. Le Stade Français et Toulon joueront, samedi, à 15h, sous le toit fermé du nouveau Grand Stade Lille Métropole, et l'arbitre, M. Poite, sera équipé d'une caméra, dont les images seront diffusées en direct.
Sergio Parisse, le capitaine du Stade Français, a hâte de jouer sur la pelouse du nouveau Grand Stade Lille Métropole. (L'Equipe)







Sergio Parisse a déjà joué dans des stades où le toit était fermé. “Avec l’équipe d’Italie, j’ai déjà eu l’occasion de jouer à Cardiff, au Millennium, et à Melbourne, en 2005, explique le capitaine italien du Stade Français. C’est une belle expérience et pour de nombreux joueurs, ce sera une belle expérience”.

Le jeune Lucas Rubio (21 ans), qui effectuera ses grands débuts en Top 14 derrière la mêlée parisienne ne risque pas d’oublier son baptême du feu. Formé au stade Français, Parisien de naissance, Rubio débute sa carrière par un match de gala. “Débuter contre Toulon, dans un stade comme celui là, Lucas va vivre de belles émotions”, prédit Parisse.

Un Challenge à relever

Pour Laurent Sempéré, qui débutera la rencontre au talonnage, ce match est idéal pour préparer le quart de finale du challenge européen que le Stade Français jouera le week-end prochain en Angleterre, à Bath. “L’objectif fixé en début de saison par notre président - Thomas Savare - était une qualification en Coupe d’Europe, explique-t-il. Ca paraît compliqué de parvenir à finir sixième du Championnat, cette saison, alors le Challenge européen constitue notre dernière chance de parvenir à notre objectif. En le gagnant. On la jouera à fond, cette chance !”

Toulon avec ses titulaires


Du côté de Toulon, le manager Bernard Laporte récupérera pratiquement tout son effectif. Les retours des piliers Andrew Sheridan et Carl Hayman, des deuxième-lignes Bakkis Botha et Nicholas Kennedy, des troisième-lignes Juan-Martin Fernandez Lobbe et Steffon Armitage, de l'ouvreur Jonny Wilkinson, du centre Matt Giteau, de l'ailier David Smith et du talonneur Sébastien Bruno peuvent inquiéter les Parisiens. Les Varois veulent effacer leur défaite à Bayonne, samedi dernier (33-28), et régler leur jeu avant le choc du quarts de finale de Coupe d’Europe, contre Leicester, au stade Mayol. Ca promet...
Gilles NAVARRO, à Lille.

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Rugby - Top 14 : Erreur interdite

Entre deux équipes en lutte pour les barrages (samedi, 18h30), les Catalans sont ceux qui ont le plus à perdre. Même si les Castrais ont besoin de points à l'extérieur.
Une fois de plus, Laurent Labit et Laurent Travers, les entraîneurs castrais, jonglent avec les blessés et les absences pour composer leur équipe en cette fin de saison. (L'Equipe)







Au match aller, les Castrais étaient restés maîtres chez eux. Mais d’un rien, un but de pénalité signé Rory Kockott dans le money time. Ils n’ont rien oublié de la force et de la maîtrise affichées par leurs adversaires catalans. «On a gagné avec beaucoup de réussite», reconnaît honnêtement Laurent Labit, l’entraîneur des arrières et porte-parole du CO. Voilà le retour, à Aimé-Giral. Pas pareil qu’à Pierre-Antoine, forcément. Plus rempli, plus fou sans doute et sûrement plus venteux.

Ca doit rapporter des points

«On y va dans nos petits souliers», a dit Matthias Rolland, le capitaine castrais, même si le deuxième-ligne est du genre à chausser du 46. Intox ? Bien sûr. Si les Castrais reviennent bredouilles de Perpignan, ils devront rapporter des points de leur prochain – et dernier – déplacement : à Colombes, face au Racing-Métro, lors de la 26ème journée. Vu le contexte (les entraîneurs du CO, Laurent Labit et Laurent Travers, seront Racingmen, la saison prochaine), on imagine qu’ils préféreraient disputer ce dernier match sans enjeu.

Gagner pour espérer


Mais, pour ça, il faudra passer sur les Catalans, l’équipe en forme du moment (avec le Racing-Métro) même si, justement, elle vient de s’incliner à Colombes. Mais pas de beaucoup et les joueurs de Marc Delpoux, le manager de l’USAP, ont démontré des qualités qui en font des barragistes crédibles. Pour cela, ils devront gagner leurs quatre derniers matches (réceptions de Castres puis Biarritz avant d’aller à Agen et de finir à Montpellier). Mais pour espérer encore, il faudra commencer par gagner le premier.
Christian JAURENA, à Perpignan

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Basket - Pro A - 25e j. : L'ASVEL a le dernier mot

L'ASVEL a remporté un duel fou sur le parquet de Limoges, vendredi soir (70-62), s'offre un peu d'air après deux défaites de rang et se replace en vue des play-offs.
Edwin Jackson a défendu l'ASVEL face aux coriaces Limougeauds. (L'Equipe)







Limoges et l'ASVEL ont enflammé Beaublanc, vendredi soir, dans un match aux rebondissements multiples et incroyables. Malgré le support indéfectible d'une salle en ébullition et une grosse prestation dans le troisième quart-temps, le CSP s'est incliné (62-70). Les deux équipes, qui avaient le même bilan avant cette rencontre de la 25e journée (4 victoires et 6 défaites lors des dix derniers matches) se sont rendus coups pour coups, alternant les séries fastes et les phases d'égarement.

22-4 ou l'incroyable envolée de Limoges

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Basket - Pro A
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L'ASVEL a pris le meilleur départ (13-22 à la fin du premier quart-temps) et a tenu bon jusqu'à la pause (30-35), malgré un 10-0 de Limoges (auquel Les hommes de Pierre Vincent ont répondu par un 6-0). C'est au retour des vestiaires que les joueurs de Panagiotis Giannakis se sont envolés, étouffant les Rhônalpins. Déboussolés, hués sur chacune de leurs possessions, ils ont enchaîné les pertes de balles et n'ont marqué que 4 points (contre 22) dans la période (52-39).

La roue a tourné une dernière fois


Deux minutes plus tard, la roue avait (encore) tourné et c'était au tour de Limoges de ne plus se reconnaître. Edwin Jackson, discret jusqu'ici, a pris ses responsabilités et fait paniquer ses adversaires (20 pts, 4 rebonds). La partie a été très serrée jusqu'au bout, Limoges restant menaçant grâce à Wanamaker (12 pts, 6 rbds) et Brockman (9 pts, 18 rebonds). Mais c'est bien Villeurbanne qui a eu le dernier mot, se relançant après deux défaites de rang en Championnat et se replaçant en vue des play-offs. L'ASVEL, 6e, vise une place dans les quatre premiers pour avoir l'avantage du terrain en quarts de finale.
A.R.

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Hand - Coupe (Hommes) : Dunkerque rejoint Paris

Dunkerque a éliminé Cesson-Rennes en quarts de finale de la Coupe de France, vendredi soir (25-21). Les Nordistes se déplaceront à Paris pour disputer la demi-finale début mai.
Le gardien de Dunkerque Vincent Gérard a contribué à la victoire de son équipe en quarts de finale de la Coupe de France. (L'Equipe)







Cesson-Rennes, emmené par un exemplaire Benoît Doré (9/10), n'a jamais relâché l'effort face à Dunkerque, vendredi lors du dernier quart de finale de la Coupe de France. Mais les Nordistes ont toujours eu le match en main, menant de trois buts à la pause (13-10) et portant l'écart jusqu'à +6 (21-14, 47e). Vincent Gérard, appelé avec les Bleus pour affronter la Norvège les 3 et 6 avril prochains, en matches éliminatoires de l'Euro 2014, a réalisé un gros match dans ses cages (17 arrêts). «Ce soir, on a gagné sans trop trembler», a-t-il estimé au micro de Sport+.

«Il n'y a rien à dire, ils n'ont pas volé leur victoire et nous notre défaite, a pour sa part reconnu le pivot de Cesson Igor Anic. On sait où est notre place.» Actuel 7e de D1, le club breton échoue donc aux portes du top 4 dans cette Coupe. Le quatuor de tête du Championnat se retrouve en effet en demi-finales. Dunkerque se déplacera à Paris pour disputer la demi-finale le 2 ou le 4 mai, selon le tirage au sort réalisé à la mi-temps. Montpellier, qui a battu Chambéry jeudi, recevra de son côté Nantes, qui a écarté Créteil.
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Dunkerque - Cesson : 25-21...

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Il n’y a pas que le foot, le cyclisme ou le rugby dans la vie ! Véritables phénomènes dans certains pays, des sports plus fous, plus insolites et plus impressionnants existent. Focus sur dix disciplines incroyables.

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Le sepak takraw se joue sur un terrain de volley. Mais les joueurs ne peuvent utiliser que les pieds, les genoux, les épaules ou la tête pour contrôler la balle. Cette dernière est réalisée en rotin tressé (du palmier). De même que pour le volley, l’équipe marque un point quand la balle touche le sol dans le camp adverse. En Thaïlande, cette discipline très impressionnante est considérée comme sport national au même titre que la boxe thaïe.
© Mark Avery/Zuma/Visual Press Agency









Le sepak takraw se joue sur un terrain de volley. Mais les joueurs ne peuvent utiliser que les pieds, les genoux, les épaules ou la tête pour contrôler la balle. Cette dernière est réalisée en rotin tressé (du palmier). De même que pour le volley, l’équipe marque un point quand la balle touche le sol dans le camp adverse. En Thaïlande, cette discipline très impressionnante est considérée comme sport national au même titre que la boxe thaïe.
© Mark Avery/Zuma/Visual Press Agency

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Solide performance de Hiller

HOCKEY SUR GLACE

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Le gardien suisse des Ducks d’Anaheim n’a accordé qu’un seul but à Chicago, leader de la Conférence Ouest et a contribué à la victoire (2-1).
Par E.F..

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Jonas Hiller a été une muraille quasi infranchissable vendredi soir.
Image: Keystone
Après quatre défaites de rang, les Ducks d’Anaheim ont renoué avec le succès. La nuit dernière, ils se sont imposés 2-1 à Chicago contre des Blackhawks qui dominent la Conférence Ouest (53 points en 33 matches).
La solide performance de Jonas Hiller n’est pas étrangère à la renaissance de la franchise californienne. Le gardien appenzellois a effectué 25 parades et rendu une carte de 96,2% d’arrêts.
Durant cette rencontre, Luca Sbisa a obtenu un temps de glace de 18’31 dans l’arrière-garde des Ducks, purgé une punition de deux minutes et effectué cinq charges.

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Bolt apprivoise Copacabana

ATHLÉTISME

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Le sprinter jamaïcain s'alignera ce dimanche sur 150 m à Rio de Janeiro. Il a déjà testé la piste qui a été spécialement construite pour l'occasion sur la célèbre plage de Copacabana.
Par Renaud Tschoumy.

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1/15 Mano a Mano
Usain Bolt (à dr.) a testé la piste spécialement aménagée avec son partenaire d'entraînement Daniel Bailey (Antigua). Le 150 m aura lieu dimanche.
Image: AFP




C'est ce dimanche qu'aura lieu l'événement appelé «Mano à Mano» et qui verra la star jamaïcaine du sprint Usain Bolt (26 ans) disputer sa première course de l'année.
L'événement aura pour cadre la célèbre plage de Copacabana, à Rio de Janeiro, sur laquelle une piste de 150 mètres a été spécialement aménagée. «Cela va être ma première course de vitesse de la saison, a déclaré Bolt. J’ai déjà eu l’occasion de courir sur une piste montée dans la rue (ndlr: à Manchester en 2009), mais ça va être intéressant de courir à Copacabana.»
Cette exhibition sur la distance non officielle de 150 mètres verra s'affronter quatre sprinters. Bolt se mesurera à l'Antiguais Daniel Bailey (son camarade d'entraînement avec lequel il a testé la piste), à l’Equatorien Alex Quinonez et à un athlète brésilien dont on ignore encore le nom.
Le «double triple» champion olympique cherchera à battre la marque de référence (14''35) qu'il avait établie à Manchester.

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Sion et Servette se partagent les oeufs de l'enjeu

30.03.2013 19:41 mise à jour à 20:27
Matias Vitkieviez (à gauche) est à la lutte avec le joueur valaisan Gelson Fernandes. [JEAN-CHRISTOPHE BOTT - Keystone]


Le FC Sion et le Servette FC n'ont pas réussi à se départager lors de leur duel à l'occasion de la 25e journée de championnat. Les deux équipes se sont quittées sur un score de 1-1 qui n'arrange personne. Evoluant en supériorité numérique depuis la 62e, les Grenat ne sont pas parvenus à passer l'épaule en fin de partie.
Après ce 1-1 obtenu à la faveur de l'égalisation de De Azevedo à la 77e, les Servettiens accusent cinq points de retard sur Lucerne qui accueille Bâle lundi. Gagner à Sion était presque une obligation pour entretenir l'espoir.
La partie débloquée à bicyclette

Supérieurs dans le jeu face à un FC Sion qui évoluait en 5-2-1-2, les Genevois ont cédé à l'heure de jeu sur un but extraordinaire de Léo. Le Brésilien, qui n'avait pas encore marqué cette année en championnat, a réussi une "bicyclette" tout simplement parfaite pour battre l'excellent Barocca. Mais deux minutes seulement après ce but - sans doute celui de l'année -, les Sédunois se retrouvaient en infériorité numérique après le second avertissement écopé par Adailton. A dix contre onze et surtout avec un maître à jouer, le Tunisien Darragi, au souffle trop court, les Sédunois n'ont pas pu préserver leur avantage.
Gattuso semblait en plein désarroi sur le banc sédunois. [JEAN-CHRISTOPHE BOTT - Keystone] Malgré toutes les belles paroles entendues au cours de la semaine, rien n'a changé dans l'organigramme du FC Sion: Gennaro Gattuso est toujours l'entraîneur et Christian Constantin un président qui n'hésite pas à se tenir à côté du banc après la pause pour décupler encore la pression sur les épaules de ses joueurs. Détenteur du précieux diplôme UEFA, Arno Rossini n'est qu'un prête-nom. Le Tessinois peut-il vraiment "exister" aux côtés d'un Champion du monde et du président le plus atypique du football européen ?
Le doute plane sur Sion

De plus en plus sous la menace du FC Zurich pour cette quatrième place qualificative pour l'Europa League, Gennaro Gattuso et Christian Constantin joueront leur saison le 17 avril lors de la venue du FC Bâle pour le compte des demi-finales de la Coupe de Suisse. Un match que l'entraîneur et le président n'aborderont pas vraiment en confiance. La pauvreté du jeu présenté depuis de début de l'année n'incite pas à l'optimisme.

[Norton]

Shaqiri met en marche le rouleau compresseur bavarois

Samedi, 30 mars 2013 à 20:44




Titularisé, Shaqiri a montré qu'il pouvait faire parler la poudre. [TOBIAS HASE - Keystone]

Avec un Shaqiri en verve, le Bayern Munich s'est livré à une impressionnante démonstration de force contre le SV Hambourg lors de la 27e journée de Bundesliga. Les Bavarois ont gagné 9-2 dans un match où Xherdan Shaqiri s'est distingué avec l'ouverture du score et un assist.
Titularisé pour la sixième fois de la saison en championnat, Shaqiri a totalement justifié la confiance mise en lui par Jupp Heynckes. Il a ouvert le score d'un joli tir du gauche (6e) avant d'offrir le 2-0 à Schweinsteiger (19e). L'international suisse était encore à l'origine du 5-0 juste avant la pause, quand son tir sur le poteau était repris par Pizarro.
Les mauvais souvenirs refont surface

Le Péruvien a été le grand bonhomme de la soirée en signant un quadruplé (31e/45e/53e/68e). Robben (33e/54e) et Ribéry (76e) ont aussi participé à la fête, infligeant au SV Hambourg l'une des plus grosses défaites de son histoire en Bundesliga. Le HSV avait déjà perdu une fois 9-2 à Munich en mars 1964, mais contre Munich 1860...
Le Bayern a fait le plein de confiance avant d'accueillir la Juventus mardi en quart de finale aller de la Ligue des champions. Mais il doit quand même s'attendre à une opposition d'un tout autre calibre.
De son côté, Johan Djourou a participé au succès d'Hanovre 2-0 à Augsburg. Tranquillo Barnetta a quant à lui fait une brève apparition lors de la victoire de Schalke contre Hoffenheim (3-0), entrant en jeu à la 83e.

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Andy Murray a Roger Federer en ligne de mire

30.03.2013 11:03 mise à jour à 15:27
Murray peut redevenir numéro 2 mondial s'il bat Ferrer en finale. L'Ecossais a déjà atteint ce rang en août 2009. [David Santiago - Keystone]


Vainqueur de Richard Gasquet 6-7 6-1 6-2 en demi-finales du tournoi Masters 1000 de Miami, Andy Murray prendra la seconde place ATP de Roger Federer en cas de victoire en finale. Pour ce faire, il doit battre David Ferrer, qui a disposé du "vétéran" Tommy Haas 4-6 6-2 6-3.
Le Britannique Andy Murray a battu le Français Richard Gasquet 6-7 (7/3) 6-1 6-2 en demi-finale du Masters 1000 de Miami. Il affrontera dimanche en finale l'Espagnol David Ferrer, qui a brisé vendredi les espoirs de l'Allemand Tommy Haas, tombeur de Novak Djokovic.
Après un premier set raté, marqué notamment par une double faute alors qu'il servait à 5-4, Murray s'est ressaisi dans les deux dernières manches pour écraser son adversaire. Gasquet avait entamé le match par un jeu inspiré avant de se laisser dominer dans le second set, sans jamais réussir à mettre en danger son adversaire sur les derniers jeux.
Murray pour sa part aura dimanche l'occasion de gravir un échelon dans la hiérarchie mondiale. Une victoire en finale contre Ferrer, numéro cinq mondial, le propulserait en effet au deuxième rang du classement ATP, place actuellement occupée par Roger Federer.
Ferrer en trouble-fête

C'est toutefois un David Ferrer plus dangereux que jamais qui se présentera face à l'Ecossais, qui n'a plus gagné un Masters 1000 depuis Shanghai en octobre 2011.
Depuis quelques mois, Ferrer remplit quasi parfaitement son contrat de membre du top 5 mondial: pendant la longue absence de Rafael Nadal, il a joué les "bouche-trous" dans le dernier carré des deux tournois du Grand Chelem (US Open et Open d'Australie) et a remporté un Masters 1000 (Paris-Bercy).
Sans Nadal ni Federer à Miami et après l'élimination prématurée de Novak Djokovic (no 1), il est logiquement arrivé jusqu'en finale. L'Espagnol au bandeau se ferait bien un cadeau d'anniversaire anticipé, lui qui fêtera ses 31 ans mardi.