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Monte-Carlo: Steve Darcis sorti au 1er tour des qualifs

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Steve Darcis a été battu au premier des trois tours des qualifications du Masters 1000 de Monte-Carlo. Le Liégeois, 108e mondial, s'est incliné 6-4, 6-4 face à l'Espagnol Albert Montanes, 87e mondial et 9e tête de série des qualifications.
Darcis éliminé, il n'y aura que deux Belges dans le tableau final de ce tournoi sur terre battue doté de 2.646.495 euros: Xavier Malisse et David Goffin.

Xavier Malisse (ATP 50) sera opposé au 1er tour au Bulgare Grigor Dimitrov (ATP 35), qu'il avait battu lors de leur uniqué confrontation passée, l'année dernière sur la terre battue de Bucarest. En cas de victoire, le Courtraisien affrontera au 2e tour le Serbe Janko Tipsarevic (ATP 10), exempté de 1er tour vu son statut de tête de série N.8.

David Goffin (ATP 65) aura quant à lui pour premier adversaire l'Espagnol Nicolas Almagro, 12e mondial et 10e tête de série.

Goffin a perdu ses deux précédents duels contre Almagro, l'année dernière et le mois dernier, à chaque fois à Miami.

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Mark Webber partira le dernier

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GP de Chine L'Australien Mark Webber (Red Bull), 14e temps de la séance de qualifications du Grand Prix de Chine, samedi sur le circuit de Shanghai, partira le dernier dimanche, depuis les stands, en raison d'un problème de pression d'essence l'ayant obligé à enfreindre le règlement.
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Webber, 2e au GP de Malaisie, n'a pas pu défendre ses chances jusqu'au bout de la Q2, sa voiture devant s'arrêter et se garer sur le circuit alors qu'il restait plusieurs minutes dans cette séance de qualification. Après vérification de sa monoplace par les commissaires techniques, il ne restait plus assez d'essence dans son réservoir, à cause de cette panne, mais sans que sa responsabilité soit engagée.

"Ca va faire deux coups du sort", a dit Webber au sujet de ce double problème technique, avant même la décision des commissaires qu'il anticipait. "Garde de l'essence", lui avait dit son équipe sur la radio de bord, quelques secondes avant qu'il gare sa voiture dans l'épingle du circuit de Shanghai, à la surprise générale.

Le seul avantage de la situation, c'est qu'il aura le choix de pouvoir prendre le départ avec des pneus medium et donc de gagner plusieurs places, facilement, quand la plupart des autres pilotes, dont les auteurs des huit meilleurs temps, changeront leurs pneus tendres utilisés à la fin des qualifications au bout de quelques tours en début de course.

La Mercedes de Lewis Hamilton a signé le meilleur chrono des qualifications, et partira en pole position, alors que l'autre Red Bull de Sebastian Vettel, qui a fait l'impasse sur la Q3, partira sur la 5e ligne de la grille, et a priori en pneus medium, comme Webber.

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Gilbert: "Ne pas aller au Tour des Flandres, un bon choix"

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Philippe Gilbert sera très heureux de prendre le départ de la 48e édition de l'Amstel Gold Race, dimanche. D'abord parce que cette épreuve du WorldTour lui rappellera très fort que c'est à Valkenburg, Pays-Bas, qu'il a décroché son titre de champion du monde, ensuite parce que le coureur liégeois de BMC s'estime très bien préparé pour cet exigeant rendez-vous.
"J'ai fait le bon choix de ne pas rouler au Tour des Flandres et d'aller plutôt au Tour du Pays-Basque. J'ai pu grimper des solides côtes et été obligé de faire de gros efforts", a expliqué Philippe Gilbert en conférence de presse vendredi. "On a déjà pu voir mercredi que ce choix était déjà payant. J'ai terminé 2e, ce n'était pas une victoire, mais j'en était tout proche et cela m'a donné confiance."

Lors de la Flèche Brabançonne mercredi, Philippe Gilbert a terminé en effet derrière le Slovaque Peter Sagan, grandissime favori encore de l'Amstel dimanche. L'équipe BMC se présente aussi avec Greg Van Avermaet, 4e déjà sur les routes de Paris-Roubaix dimanche.

"Ce que nous avons essayé à la Flèche Brabançonne a marché, même si au bout c'était une 2e place", s'est réjouit John Lelangue, le manager de BMC. "C'était une bonne course pour voir que nous avions les bons coureurs au bon endroit. Que nous pouvions prendre le contrôle de la course, ni trop tôt, ni trop tard. Que nous pouvions attaquer. Et au bout de tout cela, cela nous donne une grande confiance".

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Hoogerland va faire sa rentrée au Tour de Romandie

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Victime d'un accident à l'entraînement en février, le Néerlandais Johnny Hoogerland (Vacansoleil-DCM) va effectuer sa rentrée au Tour de Romandie du 23 au 28 avril prochain en Suisse, a annoncé son équipe vendredi.
Johnny Hoogerland avait été renversé par une voiture dans du fil de fer barbelé lors du Tour de France 2011 © reuters.
"Sa revalidation s'est très bien passée et il sera prêt. Hoogerland est l'un des 8 coureurs sélectionnés pour le Tour de Romandie", a expliqué le porte-parole de l'équipe néerlandaise.

Johnny Hoogerland avait été renversé par une voiture lors d'un entraînement en Espagne. Il avait été relevé avec 5 côtes cassées, un foie endommagé et des blessures aux vertèbres.

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Tour de Castille et Leon: la première étape pour Urtasun

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L'Espagnol Pablo Urtasun (Euskaltel-Euskadi) a remporté la première étape du Tour de Castille et Leon (cat. 2.1) vendredi sur 194,8km entre Arévalo et Valladolid.
© photo news. © photo news.
Deuxième la semaine dernière de la Klasika Primavera, Urtasun offre à sa formation sa première victoire de la saison. Il a devancé l'Italien Francesco Lasca (Caja Rural) et Enrique Sanz (Movistar).

Urtasun partira avec le maillot de leader au départ de la deuxième étape, samedi entre Villa del Libro de Urueña et Palencia sur 164,1 km. Le Tour de Castille et Leon s'achève dimanche à Palencia.

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Rallye -WRC - Portugal : Ogier enchaîne les scratches

Débarrassé de la forte menace constituée par Dani Sordo (Citroën), sorti de route lors de l'ES 6, Sébastien Ogier (VW Polo R), leader du général, maitrisait la situation ce samedi.




ES 9 : Santana da Serra 2

Sébastien Ogier a remporté sa deuxième ES de suite. A l'issue des 31,2 km, le pilote VW a pris 4"6 d'avance supplémentaire sur Jari Matti Lattvala (pointé à 18"7) et 15"1 sur Mikko Hirvonen (pointé à 52"3). Le seul changement dans le top 10 se fait aux dépens de Michal Kosciuszko, dont la Suzuki recule de deux places, en neuvième position. Le Polonais est sorti et sa Mini était endommagée sur le côté arrière droit.

ES 8 : Loulé 1

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Les résultats








Après deux spéciales durant lesquelles il a été devancé par Jari-Matti Latvala, Sébastien Ogier a remporté sa première ES de samedi au Portugal. Le Français a signé le meilleur temps de l'ES 8, longue de 22 km. Il a terminé la spéciale quatre secondes devant le Finlandais, qui perd un peu plus de temps au général (+14''1). Mikko Hirvonen a perdu 14 nouvelles secondes sur Ogier durant cette ES, il est désormais à 37''2 du pilote VW Polo R.

ES 7: Vascao 1


Sébastien Ogier n'a pas cédé de terrain à Jari-Matti Latvala lors de l'ES7, longue de 25 km samedi midi. Le Français a terminé deuxième de la spéciale, à seulement 0''20 du Finlandais. Il conserve donc plus de 10 secondes d'avance sur son rival au général. Mikko Hirvonen a, lui, perdu trois nouvelle secondes sur les deux leaders. Il compte 23 secondes de retard sur Ogier.

ES 6 : Santana da Serra 1

Alors qu'il était en tête aux intermédiaires de l'ES6, la première disputée ce samedi, Dani Sordo (Citroën) est sorti de route. L'Espagnol, jusque-là deuxième du général perd donc tout espoir de revenir sur Sébastien Ogier (VW Polo R). Le Français a pris la deuxième place de la spéciale, à 1''1 de Jari-Matti Latvala (VW Polo R). Le Finlandais est toujours à plus de dix secondes d'Ogier au général. «La spéciale n'a pas été simple. Je suis toujours leader, mais ça reste fragile. Jari est assez proche de moi et la voiture ne fonctionne pas parfaitement», a expliqué le Français sans préciser quelle était la nature du problème technique. Mikko Hirvonen (Citroën) a, lui, encore perdu du temps. La spéciale a également été fatale à Thierry Neuville, qui a cassé sa suspension sur une pierre.

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Marc Abplanalp: «C’est un but très bizarre»



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Le défenseur de FR Gottéron est malheureux sur le 0-2 accordé samedi soir à Michaël Loichat. Ce but a permis au CP Berne de s’envoler vers un 3e succès dans la finale des play-off de LNA, qu’il mène désormais 3 victoires à 2.
Par Frédéric Lovis. Mis à jour le 13.04.2013 11 Commentaires

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Photo d'archive.
La scène se passe à la 17e minute de jeu. Le puck est bloqué à l’arrière du filet défendu par Benjamin Conz. Ryan Gardner et Marc Abplanalp se battent pour le conquérir. Le Canado-Suisse donne un coup de canne dans le filet qui envoie l’objet de tous les désirs dans les airs. Le défenseur fribourgeois le pousse avec son gant en direction de son gardien, qui le dévie bien malgré lui dans sa propre cage. Tous les experts consultés sur place sont unanimes: cette réussite est parfaitement valable.
Comment Marc Abplanalp a-t-il vécu cette scène? «C’était très bizarre. Je voulais bloquer le puck avec ma palette pour que l’arbitre interrompe le jeu. Au même moment, un Bernois frappe le filet et le puck file dans les airs.» Il marque une pause. «Ce qu’il y a de vraiment bizarre, c’est que tout le monde me demande si je l’ai touché avec mon gant. Il me semble que non.» Les ralentis le prouvent. «C’est allé tellement vite. Je me rappelle juste d’avoir vu le puck toucher ensuite la jambière ou le patin de Benji, puis terminer au fond de notre but. Il faut que je revoie la scène à la télévision.»
Ce but a fait très mal à FR Gottéron. «Oui, d’autant qu’on n’en voit pas tous les jours des comme ça», reprend le défenseur. «C’est quand même beaucoup de malchance.» Quand on lui demande si le Dragon a suffisamment travaillé en début de match, il répond: «Je ne veux surtout pas dire qu’on n’était pas prêt, ce serait contraire à la réalité. On savait qu’ils allaient venir différemment après leurs deux défaites d’affilée. On a peut-être été un peu surpris par l’intensité qu’ils ont mis. Mais avant tout, on a commis des erreurs comparables à celles observées lors des deux premiers matches. Elles ont coûté cher.»
De quoi briser les rêves de titre? «Ah non, on continue d’y croire, sinon on ne va même pas à Berne mardi. On veut gagner cette série et on fera tout pour vaincre lors des deux dernières parties.» Tant qu’il y a de la vie…

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"Langnau en voulait plus que nous"

Hockey sur glace

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L'entraîneur du Lausanne HC regrette que ses hommes n'aient pas marqué en début de match. Son équipe, qui avait l'occasion de monter en LNA ce samedi soir, possède encore deux pucks de promotion, le premier mardi à Malley. Où le boss s'attend à une grosse réaction des Lions.
Par Christian Maillard. Mis à jour le 13.04.2013

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Avez vous été surpris de ce Langnau, qui vous a posé énormément de problèmes au niveau agressif?
Non pas du tout, on savait qu’il s’agissait de leur dernière chance, qu’ils joueraient avec le désespoir. On n’était peut-être pas assez prêt au début. On s’est fait surprendre par leur jeu physique. C’est dommage qu’on n’arrive pas à marquer à ce moment là, car on s’est créé deux à trois bonnes occasions. Cela nous aurait permis de prendre le momentum. Mais Langnau en voulait un peu plus ce soir. Ils ont remporté des batailles «un contre un», gagné des batailles dans les coins et à la ligne bleue. Et c’est un peu ça qui a fait la différence. On ne fait pas un mauvais match mais les Tigres avaient ce petit truc en plus ce soir qui a fait basculer la rencontre.
Les Bernois avaient surtout choisi de vous presser très haut...
Oui, je pense qu’on leur a donné donnés pas mal de pucks et d’occasions au milieu de la zone, sans vraiment prendre de risques. On n’a pas très bien joué notre système. On leur donne beaucoup trop d’occasions. Il va falloir corriger tout ça. On savait qu’ils allaient venir très fort, à nous de réagir maintenant.
Sachant que vous pouviez monter en LNA déjà ce soir vous a-t-il rendu plus nerveux?
Non, je ne pense pas. Comme je l’ai dit, c’est plutôt Langnau qui a très bien joué, très physique et on n’a pas su réagir au début. Sur le premier but, on n’est pas assez proche de l’homme et si on ne contrôle pas bien la phase offensive, ça nous coute cher. La première grande occasion pour eux, ils l’ont mise tout de suite au fond. Après ils arrivent bien à gérer le match.
Vous menez encore 3-2 dans la série et vous avez l’occasion de terminer ce mardi à Malley...
Ce qui me rassure c’est que cette équipe a toujours montré de la réaction après un mauvais match ou un revers. On sait ce qui nous attend et on se préparera en fonction en corrigeant ce qu’on a fait de faux ce soir.

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Alexander Frei part en images

Football

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Meilleur buteur de l’histoire du football suisse, inénarrable tronche de cake doublée d’un battant au grand coeur, le Bâlois met un terme à sa carrière ce dimanche contre Zurich. Le footeux s’en va; l’homme poursuit sa route.
Par Le Matin Dimanche. Mis à jour le 13.04.2013

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1/6 1987
Chez les juniors du FC Begnins. «Le 4 juillet 1987, juste avant de fêter ses 8 ans, Alexander Frei a reçu sa première licence de footballeur à Begnins» (site RTS) Frei est 2e en haut à gauche.
DR




De ses débuts avec les juniors du FC Begnins aux titres remportés avec le FC Bâle, en passant par ses larmes en ouverture de l’Euro 2008: retrouvez en images les moments forts de la carrière d’Alexander Frei, qui dispute son dernier match aujourd’hui contre le FC Zurich.
Lundi matin, il y aura comme un vide, une insondable sensation, à cheval entre tristesse et gratitude. Lundi matin, un homme - et pas des moindres - aura changé de vie, refermé un chapitre doré de seize ans, au cours duquel il aura été difficile à chacun de ne pas le honnir et/ou l’aduler. Lundi matin, au lendemain d’un match ultime disputé contre le FC Zurich au Parc Saint-Jacques, Alexander Frei ne sera plus footballeur. Il enfilera son nouveau costume de directeur sportif au FC Lucerne; et à partir de là, plus rien ne sera comme avant sur la planète du foot suisse.
«Ce départ intervient un peu plus tôt que prévu, mais je pense que c’est OK comme ça. Pour toutes les personnes concernées», a-t-il lâché vendredi, sans en rajouter à propos de ses relations plus que tièdes avec Murat Yakin, le coach qui a osé le reléguer en tribunes. Déçu par cette sortie? «Non, je n’en veux à personne», assure l’ancien buteur de Thoune, Lucerne, Servette, Rennes, Dortmund, Bâle et l’équipe de Suisse. «Je n’ai aucun regret et, quand je regarde en arrière, je constate que je suis allé le plus haut possible au vu de mes qualités. Bien plus haut que ce dont j’avais rêvé.»
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Lausanne-sport perd encore

FOOTBALL

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A Lucerne, la troupe de Laurent Roussey s'est inclinée 1-0.
Mis à jour le 13.04.2013 2 Commentaires

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Stahel inscrit le but victorieux pour Lucerne.
Image: Michael Buholzer/Reuters
Le LS va mal! Il s’est incliné pour la troisième fois en quatre match (pour un nul) face à des Lucernois qui n’avaient plus gagné depuis le... 17 novembre et 11 rencontres. L’arrivée sur le banc de la swissporarena de Carlos Bernegger, l’homme choisi par le futur directeur sportif Alexander Frei, a donc immédiatement porté ses fruits.
Les Vaudois ont peu à peu subi le jeu, parvenant avec peine - ou chance - à repousser les assauts adverses de la seconde période. Ils sont fini par être pris en défaut à la 70e sur un but de Stahel. Les hommes de Laurent Roussey, qui n’ont toujours que six longueurs d’avance sur la lanterne rouge, avaient manqué le coche quand, de la tête, Avanzini avait trouvé la transversale de Zibung (54e).
Lucerne - Lausanne-Sport 1-0 (0-0)
Swissporarena. 10 843 spectateurs. Arbitre: M. Jaccottet.
But: 70e Stahel 1-0.
Lucerne: Zibung; Thiesson (60e Sarr), Stahel, Puljic, Lustenberger; Renggli; Gygax (60e Winter), Kasami, Hochstrasser, Andrist; Rangelov (81e Muntwiler).
Lausanne-Sport: Favre; Chakhsi, Katz, Sonnerat, Facchinetti; Sanogo; Avanzini (87e Tafer), Marazzi (79e Moussilou), Gabri, Kamber (74e Khelifi); Roux.
Notes: Lucerne sans Wiss, Lezcano, Hyka (blessés). Lausanne sans Malonga, Tall, Meoli, Guié Guié (blessés). 54e Tête d'Avanzini sur la latte.
Avertissements: 75e Rangelov, 86e Katz, 91e Sanogo, 92e Kasami.