Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Le maillot de Messi offert au pape avec "beaucoup d'affection"

© ap.
La collection de maillots de football du pape François s'est enrichie mercredi d'une pièce de grande valeur: celui de l'attaquant argentin Lionel Messi, star du club catalan du FC Barcelone, a annoncé le Vatican.
Le maillot, qui porte la signature du quadruple Ballon d'or et l'inscription "avec beaucoup d'affection", a été remis mercredi au souverain pontife au terme de l'audience générale par le sous-secrétaire du Conseil pontifical pour les laïcs, Mgr Miguel Delgado Galindo, originaire de Barcelone.

Lundi dernier, le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, reçu en audience, avait offert au nouveau pape un maillot rouge de l'équipe nationale de football, signée par tous ses joueurs.

Depuis qu'il est enfant, le souverain pontife est "tifoso" du club de foot de Buenos Aires, San Lorenzo, fondé en 1908 et considéré comme l'une des "cinq grandes" équipes d'Argentine.

Lors des rassemblements place Saint-Pierre, des supporters arborent des maillots ou agitent les emblèmes du club, et le pape leur fait parfois un signe de connivence, pouce levé.

San Lorenzo avait envoyé après l'élection à l'ancien cardinal de Buenos Aires un maillot, sur lequel il était écrit "pape François. Prions pour lui. Prie pour nous".

[Norton]

"Un joueur sépare le Bayern et Barcelone: Messi"

© belga.
Rafael van der Vaart a sa petite idée sur la 1/2 finale de Ligue des Champions entre le Bayern et Barcelone. Pour le joueur de Hambourg, c'est simple: le Bayern n'a aucune chance.
"Un joueur sépare le Bayern et Barcelone: Messi, affirme van der Vaart dans Bild. "Et quand le Bayern va affronter le Barça en demi-finales, ils n'auront que 30% de possession de balle, argumente le milieu international. Barcelone a simplement un système incroyable. Ils ont toujours le ballon, le Bayern n'a aucune chance."

On saura si le Néerlandais a vu clair après le match retour qui est programmé le 1er mai (match aller le mardi 23 avril).

[Norton]

Foot - Coupe : Le PSG douché par Evian

Le Paris-SG a vu ses ambitions de doublé s'évanouir ce mercredi en étant éliminé en quarts de la Coupe de France par Evian-TG (1-1, 4-1 t.a.b.). Zlatan et Thiago Silva ont manqué leur tir au but.
Les Parisiens quittent la Coupe de France par la petite porte. (L'Equipe)







Début de printemps amer pour le Paris-SG. Les hommes de Carlo Ancelotti ont eu beau frôler l’exploit à Barcelone en C1 et se rapprocher du titre en L1, ils ont surtout été éliminés de deux compétitions. Le PSG est sorti de la Coupe de France en quarts, la faute à Evian-TG (1-1, 1-4 t.a.b.). Comme en Coupe de la Ligue à Saint-Etienne, comme en C1, les Parisiens n’ont pas été battus. Mais trop apathiques, ils n’ont pas assez donné pour mériter une demie dans la doyenne des compétitions françaises. Partagé entre la volonté de ménager ses cadres et celle d’aligner ses habituels titulaires, Carlo Ancelotti avait opté pour une équipe mixte, avec Douchez, Armand et Ménez titulaires mais sans Sirigu, Lavezzi ni Verratti.

Splendide but de Pastore

Pastore se retrouvait, lui, sur la pelouse. Et a tenu à se distinguer rapidement, ouvrant le score d’un sublime enchaînement contrôle-demi-volée que Laquait n’a pu qu’effleurer (0-1, 8e). Auparavant, c’était pourtant Ninkovic qui avait ouvert les hostilités (5e). Pas plus perturbés que ça par le but de Pastore, les Haut-Savoyards poursuivaient leur effort face à une formation parisienne à l’aise techniquement mais peu investie. Sagbo (17e), Bérigaud (19e), Rabiu (24e) puis Khlifa (28e) inquiétaient ainsi un Douchez vigilant. Les Parisiens répliquaient sur des éclairs. Thiago Silva plaçait une reprise détournée par Laquait (30e) tandis qu’Alex smashait de la tête un ballon finalement repoussé par… Ménez (42e). En fin de première période, les hommes de Carlo Ancelotti semblaient donc avoir pris en main la rencontre, avec pour objectif de tancer Evian comme lors de la réception de l’ETG au Parc des Princes en L1 (4-0). Et c’est à cet instant charnière que les Haut-Savoyards se relançaient, Khlifa poussant au fond des filets une frappe ratée de Sagbo (1-1, 43e).

Motta expulsé, Laquait multiplie les exploits


Sur la lancée de cette égalisation, Evian mettait en difficulté le collectif parisien, affaibli par le manque d’impact de son entrejeu alors que Verratti était sur le banc (l'Italien est entré à la 106e) et que Matuidi jouait sur le côté gauche. Douchez a donc été mis à contribution sur un nouveau tir de Khlifa (55e) et une tentative lointaine de Sorlin (75e). Côté PSG, la menace portait le prénom le plus célèbre de L1 : Zlatan. Avare de replacements et d’efforts défensifs, le Suédois se réveillait lorsque le ballon approchait du but adverse. D’une talonnade pas assez appuyée (49e), puis d’une volée repoussée par le poteau (57e), l’avant-centre faisait passer un frisson dans les travées du Parc des Sports d’Annecy, qui voyait le spectacle se poursuivre en prolongation. Une superbe parade de Laquait (112e) et une expulsion de Motta pour coup de pied sur Barbosa (117e) ne permettaient pas non plus aux équipes de se départager. C’est durant la séance de tirs au but que les Parisiens ont cédé (1-4), plombés par les ratés initiaux de Zlatan (arrêt de Laquait) et de Thiago Silva (barre transversale). Le PSG ne fera donc pas de doublé cette saison.
Y.S.

[Norton]

Foot - Coupe- Quarts : Bordeaux arrache son ticket

Mené pendant une heure par le RC Lens (L2), Bordeaux a fini par se ressaisir pour l'emporter (3-2), grâce notamment à un doublé de Diabaté. Les Girondins tiennent leur billet pour les demi-finales de la Coupe de France.
La joie des Bordelais. (L'Equipe)







Les Bordelais peuvent encore sauver leur saison. Devenue leur objectif majeur, la Coupe de France reste à leur portée après une victoire arrachée dans la douleur à Lens (3-2). Les Girondins avaient dû attendre les tirs au but face à Raon-l'Etape pour se qualifier pour les quarts, ils ont cette fois fait la différence dans les dix dernières minutes grâce à un doublé opportuniste de Diabaté. Privés de ses cadres, Le Moigne, Touzghar et Valdivia - auteur de 11 buts en L2 cette saison - tous blessés, ainsi que Yahia, suspendu, les Lensois se sont battus jusqu’au bout. Ils ont poussé dès l’entame de match devant leur public venu en masse.

But casquette de Carrasso

A lire aussi

Foot - L2 - Lens
Luc Dayan annonce un repreneur








Les Nordistes ont mis sous pression la défense bordelaise d’entrée de match. Dès la 7e minute, Sow s’est retrouvé devant Carrasso après avoir échappé à Julien Faubert, aligné en défense centrale, mais a buté sur le gardien international. Un portier beaucoup moins inspiré et chanceux quatre minutes plus tard, en poussant du dos le ballon dans ses propres filets suite à un tir de Nomenjanahary qui avait rebondi sur le poteau (1-0, 11e). Les Girondins ont réagi timidement par l’intermédiaire de Cheick Diabaté dont le but a été refusé pour une faute sur Riou (17e). Pour emballer le match face à une défense bien organisée, les joueurs de Francis Gillot s’en sont remis à leurs passeurs, Plasil et Obraniak. Le Franco-Polonais a fait passer une frayeur dans les tribunes de Bollaert en envoyant un centre dangereux dévié par Coeff près de ses buts (38e). Puis Sertic a inquiété Riou d’une frappe lourde (44e).

Diabaté fait la différence


Au retour des vestiaires, les Bordelais ont encore haussé le rythme pour trouver l’ouverture sur un coup franc direct de Sertic (1-1, 59e). C’est finalement dans les dix dernières minutes que le match s’est emballé. Diabaté a été l’acteur majeur de cet acte final, en marquant deux buts en quatre minutes, d’une tête (81e) puis de près (85e). Les Nordistes ont toutefois relancé le suspense dans le temps additionnel lorsque Bergdich, à peine entré en jeu, a réduit l’écart (90e+3, 2-3). Un penalty d’Obraniak repoussé par Riou plus loin (90e+4), les Lensois devaient finalement baisser pavillon. Les Bordelais ouvrent, eux, plus que jamais, les bras à la Coupe de France.

[Norton]

Foot - Italie - Coupe : Un derby romain en finale !

Battue à l'aller (1-2) et décimée par les blessures, l'Inter n'a pas créé l'exploit contre la Roma (2-3). La Louve affrontera son ennemi de la Lazio pour une finale romaine inédite qui promet d'être bouillante.
La joie des Romains, qualifiés pour la finale. (AFP)







Le 26 mai, il fera déjà très chaud à Rome. L’Olimpico sera bouillant pour la finale de la Coupe d’Italie qui opposera la Roma à son ennemie, la Lazio. Ce sera la première fois que les deux voisins se croisent lors d’une finale dont on espère qu’elle ne sera pas le théâtre de tristes débordements.

Handanovic encore impressionnant

Battue à l’aller (1-2), l’Inter était décimée pour ce retour puisque Cassano, Palacio, Milito, Nagatomo, Gargano, Guarin, Obi, Stankovic ou encore Pereira étaient absents… En baisse de forme en Serie A, elle a pourtant cru à l’exploit pendant plus de cinquante minutes. Pas au niveau défensivement, Jonathan avait même ouvert le score sur une action collective magnifique, ponctuée de deux une-deux (22e). Derrière, Samuel et surtout l’extraordinaire gardien Handanovic ont multiplié les exploits devant Florenzi (3e, 34e, 45e) mais ne pouvaient pas tout faire… Surtout quand Juan Jesus ou Schelotto multiplient les maladresses.

Destro punit son club formateur


Très empruntée avant la pause, la Roma a fini par faire plier son adversaire pour la troisième fois de la saison (elle a aussi obtenu un nul en Serie A). Formé et viré par l’Inter, Destro a inscrit un doublé : un premier but sur une passe en profondeur de Lamela (55e) puis un deuxième suite à un triangle initié par De Rossi et poursuivi par l’entrant Balzaretti (69e). Cinq minutes plus tard, Torosidis s’est régalé en enchaînant coup du sombrero – frappe en demi-volée du droit. Finalement aligné alors qu’il était incertain, Alvarez a marqué en solo pour l’Inter à la 80e. Un but inutile pour son entraîneur Andrea Stramaccioni qui pourrait être viré dans les prochains jours.
C.O.

[Norton]

Foot - Coupe - PSG : Ancelotti: «Un désastre»

Furieux après l'élimination du Paris-SG en quart de finale de Coupe de France par Evian-TG (1-1, 1-4 t.a.b.), Carlo Ancelotti a fustigé l'attitude de son équipe. «Nous avons eu beaucoup de suffisance», a-t-il lancé.
Carlo Ancelotti n'a pas apprécié la prestation de ses joueurs à Annecy face à Evian. (L'Equipe)







Une semaine après avoir tutoyé les cimes en Ligue des champions à Barcelone, le Paris-SG a sombré en Coupe de France ce mercredi. Une élimination en quart de finale face à Evian-TG (1-1, 1-4 t.a.b.) qui n'a pas du tout plu à Carlo Ancelotti, furieux après la partie. «Ce soir, c'est un désastre. C'est le pire match de la saison. Je ne sais pas (si c'est une honte)», a-t-ilsouligné. Pour l'Italien, c'est l'attitude de ses joueurs qui les a perdus.


«Certains ont joué individuels, tenté des choses difficiles. Je suis en colère contre toute l'équipe.» «C'est une grande déception, surtout pour l'attitude de l'équipe qui n'a pas été bonne, a affirmé Ancelotti. On peut perdre un match mais nous n'avons pas eu de caractère. Nous avons eu beaucoup de suffisance, nous avons raté beaucoup de passes et manqué beaucoup de ballons. Certains ont joué individuels, tenté des choses difficiles. Je suis en colère contre toute l'équipe. Quelques fois, dans la saison, quand l'équipe est concentrée, nous avons livré de grands matches comme contre Barcelone.»

Et l'Italien estime qu'il a aussi fauté. «J'ai une responsabilité car je suis avec les joueurs. Si l'équipe n'est pas montée sur le terrain avec la bonne attitude, c'est de la faute de l'entraîneur. Tous les matches sont difficiles.» Pour autant, Ancelotti ne veut pas baisser les bras avant la fin de la saison. «La saison n'est pas terminée. Il faut donner notre meilleur sur tous les matches.» Une note d'espoir pour conclure une soirée de cauchemar.
Avec AFP

[Norton]

Cabral: «On veut le doublé»

FOOTBALL

—
Croisé au moment où il allait sauter dans le car pour quitter Tourbillon en vainqueur (1-0), le milieu défensif rhénan – latéral mercredi soir – était ravi du résultat. Moins de la manière.
Interview: Mathieu Aeschmann. Mis à jour à 16h37 1 Commentaire

• Imprimer

Cabral: «Quand tu signes à Bâle, tu sais que tu vas toujours entrer sur le terrain pour gagner.»
Image: Keystone
Alors Cabral, comment c’était cette pige comme latéral gauche (après la blessure de Voser, Yakin n’avait plus de spécialistes à disposition)? Aviez-vous déjà joué à ce poste?
Non, non, jamais. Peut-être quelques minutes en juniors mais je ne m’en rappelle plus. Disons que quand il faut dépanner, on n’a pas le choix. Il faut y aller. Mais il me semble que ce n’était pas trop mal. Même si nous avons livré une performance très moyenne, la qualification est au bout. C’est l’essentiel.
Vous n’êtes pas satisfait de la manière. Mais n’est-ce pas finalement assez normal que le FC Bâle peine parfois à mettre du rythme en jouant tous les trois jours?
C’est compliqué, vous avez raison. Mais d’un autre côté, plus l’équipe gagne, plus elle se sent bien et accumule de la confiance. Alors, même si ce n’est pas facile physiquement d’enchaîner à cette fréquence, je pense que c’est un avantage sur le plan mental.
Justement, où donc le FC Bâle va-t-il chercher cette rage de vaincre, cette culture de la gagne qui lui permet de toujours s’en sortir?
Franchement je n’en sais rien. A Bâle, il n’y a simplement pas d’alternatives à la victoire. Quand tu signes ici, tu sais que tu vas jouer pour le titre, que tu vas toujours entrer sur le terrain pour gagner. En fait, tu n’as pas le choix. On doit gagner chaque match.
Vous êtes donc partis pour un triplé historique cette saison?
(Sourire) On veut le doublé. L’objectif du club, c’est le doublé Coupe-championnat. Le reste, ce n’est que du bonus. (Le Matin)

[Norton]

Mark Webber en route vers le 200e GP de sa carrière

Formule 1

—
C’est un Mark Webber rajeuni de dix ans, par une coupe de cheveux radicale, qui va prendre dimanche à Bahreïn son 200e départ en Formule 1.

• Imprimer

Mark Webber
Image: Keystone
Formule 1: GP de Chine

NomÉquipeTemps1.Fernando AlonsoFerrari1:36:26.9452.Kimi RaikkonenLotus+10.1003.Lewis HamiltonMercedes+12.3004.Sebastian VettelRed Bull+12.5005.Jenson ButtonMcLaren+35.2006.Felipe MassaFerrari+40.8007.Daniel RicciardoToro Rosso+42.6008.Paul di RestaForce India+51.0009.Romain GrosjeanLotus+53.40010.Nico HülkenbergSauber+56.50011.Sergio PerezMcLaren+1:03.80012.Jean-Eric VergneToro Rosso+1:12.60013.Valtteri BottasWilliams14.Pastor MaldonadoWilliams+1:35.40015.Jules BianchiMarussia+ 1 Tour16.Charles PicCaterham+ 1 Tour17.Max ChiltonMarussia+ 1 Tour18.Giedo van der GardeCaterham+ 1 Tour19.Nico RosbergMercedes+ 35 Tours20.Mark WebberRed Bull+ 41 Tours21.Adrian SutilForce India+ 51 Tours22.Esteban GutierrezSauber+ 52 ToursPlus...Moins…État: 14.04.2013 14:09
Formule 1: Classement pilote

NomÉquipeP1.Sebastian VettelRed Bull522.Kimi RaikkonenLotus493.Fernando AlonsoFerrari434.Lewis HamiltonMercedes405.Felipe MassaFerrari306.Mark WebberRed Bull267.Jenson ButtonMcLaren128.Nico RosbergMercedes129.Romain GrosjeanLotus1110.Paul di RestaForce India811.Adrian SutilForce India612.Daniel RicciardoToro Rosso613.Nico HülkenbergSauber514.Sergio PerezMcLaren215.Jean-Eric VergneToro Rosso116.Pastor MaldonadoWilliams017.Jules BianchiMarussia018.Valtteri BottasWilliams019.Giedo van der GardeCaterham020.Charles PicCaterham021.Esteban GutierrezSauber022.Max ChiltonMarussia0


«C’était pendant mon petit break en Australie (après le GP de Malaisie), le coiffeur s’est mis à me parler, il ne s’arrêtait plus, alors je n’ai pas voulu le contrarier», a raconté Webber en arrivant en Chine la semaine dernière. Pas de quoi le perturber outre mesure, après 12 saisons de F1.
Depuis ses débuts remarqués au GP d’Australie 2002, dans une Minardi, il y a trois grandes époques résumées dans un clip vidéo diffusé jeudi par Red Bull Racing, où quelques témoins l’évoquent avec beaucoup d’affection.
Epoque 1: Minardi (2002) et Jaguar (2003-2004)
Quand Webber a débuté en F1, l’Australien Paul Stoddart dirigeait Minardi, la petite écurie italienne: «Mark est spécial, je l’ai vu tout de suite. Je savais qu’on allait vivre une bonne saison, mais je ne pensais pas, dans mes rêves les plus fous, qu’il prendrait la 5e place dès sa première course (en Australie). A la fin, tout le public de l’Albert Park est venu dans les stands, c’était un des moments les plus fous de l’histoire de la F1.» Dans l’euphorie générale, un podium 100% australien a en effet été improvisé, à la demande des fans de Melbourne, après la cérémonie officielle et en toute illégalité, vu le protocole très strict de la F1. C’était «une belle manière d’entamer sa carrière en F1», raconte Stoddart. Ces trois premières saisons, globalement, ont été moins brillantes, puis Webber est parti chez Williams.
Epoque 2: Williams (2005-2006)
«On apprend toujours de Frank. Il est très exigeant sur les performances, de la part de tous ses employés», se souvient Webber. «Mark a toujours été passionné par la F1 et il est très populaire. Tout ce qu’il a obtenu, il l’a mérité, par sa détermination. Je n’ai que de bons souvenirs de lui», résume Sir Frank, qui a permis à Webber de monter sur son premier podium en F1 (Monaco 2005). Après, Mark a continué à se faire remarquer, notamment par Red Bull qui l’a embauché.
Epoque 3: Red Bull (depuis 2007)
«Mark avait le profil idéal pour renforcer notre équipe aux côtés de David Coulthard», se souvient Adrian Newey, l’ingénieur en chef de Red Bull Racing. «Quand il a signé, je ne pense pas qu’il pouvait imaginer combien de victoires on allait remporter, ni à combien de titres il allait contribuer.» Aujourd’hui, Webber constitue avec Sebastian Vettel «la meilleure paire de pilotes de la F1 actuelle», estime son Team Principal, Christian Horner, pour qui «le fait qu’il arrive à 200 GP n’est pas une surprise, car il a toujours continué à progresser, chaque saison» et «a toujours pris soin de sa forme physique, comme (le joueur de football) Ryan Giggs».
Chez Red Bull, Webber a remporté neuf Grands Prix, dont deux GP de Monaco (2010, 2012). La première victoire, c’était en Allemagne, en 2009: «Mark était dominateur ce week-end là, qualifié en pole position, et personne n’aurait pu l’empêcher de gagner», se souvient Horner. «On aimerait toujours avoir 25 ans, mais je suis devenu plus sage, je me sens affûté, j’adore piloter et j’ai toujours faim», sourit Webber aujourd’hui. «Dans quelques années, on sera là pour fêter ses 250 GP», prévoit Stoddart.

[Norton]

Dostoinov s'en va, c'est officiel!

Hockey sur glace

—
L’attaquant américano-russe Alexei Dostoinov (24 ans) quitte Lausanne après la promotion en LNA pour Berne.
Mis à jour à 16h18 1 Commentaire

• Imprimer

Alexei Dostoinov
Image: Keystone
Le joueur à licence suisse a signé un contrat de deux ans avec le CP Berne. Il a joué un rôle important dans la promotion du LHC, inscrivant 50 points (17 buts/33 assists) en autant de matches. Alexei Dostoinov a notamment marqué deux fois dans le décisif 6e match de la série promotion-relégation contre Langnau.
Berne a également acquis pour deux saisons l’attaquant neuchâtelois Michael Loichat (22 ans), qui avait déjà rejoint le club en février en provenance de Bâle. (si/Le Matin)

[Norton]

Andy Murray tombe sur un roc, Stanislas Wawrinka!

18.04.2013 14:47 mise à jour à 18:24
Stanislas Wawrinka s'offre Andy Murray, le no2 mondial. [Antoine Couvercelle - EQ]


Stanislas Wawrinka (ATP 17) se sent pousser des ailes au Masters 1000 de Monte-Carlo. Le Vaudois s'est qualifié pour les quarts de finale à la faveur d'un succès 6-1 6-2 face au numéro 2 mondial Andy Murray, qui n'a plus joué sur terre battue depuis Roland-Garros 2012. Stan affrontera Jo-Wilfried Tsonga.
"Elle fait du bien celle-là !" Une seule phrase suffit à Stanislas Wawrinka pour faire partager son bonheur à ses followers. Le Vaudois n'a fait qu'une bouchée d'Andy Murray au Masters 1000 de Monte-Carlo. Il a atomisé le no 2 mondial 6-1 6-2 pour se hisser en quart de finale.
L'Ecossais, qui disputait son premier tournoi de l'année sur terre battue, est apparu méconnaissable pendant ce match, lors duquel il a multiplié les fautes directes.
Sixième victoire face à top-5

Andy Murray n'a encore jamais disputé de finale sur terre battue. [Keystone] Cela n'enlève toutefois rien à la performance de Wawrinka. Déjà convaincant lors de ses deux premières rencontres de la semaine face à Denis Istomin et Albert Montanes, le joueur de St-Barthélemy a étouffé son adversaire avec la puissance de ses coups.
Hormis une brève alerte au cours de son premier jeu de service (2 balles de break à sauver), Wawrinka n'a pas été inquiété une seconde. Et après 58 minutes de jeu seulement, il profitait d'une énième grossière erreur de Murray pour remporter la mise.