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Les Red Devils champions dès ce soir?

© reuters.
Manchester United sera sacré champion d'Angleterre pour la vingtième fois s'il bat Aston Villa, lundi soir à Old Trafford, lors de la 34e journée. C'est la défaite de Manchester City à Tottenham 3 à 1 dimanche qui a offert cette première balle de match à ManU.

En l'emportant, les hommes d'Alex Ferguson creuseraient un écart de seize points insurmontable pour City, qui n'a plus que cinq rencontres à disputer. Dans la course à la Ligue des champions, Chelsea a fait la mauvaise affaire en concédant le nul 2 à 2 à Liverpool, où Luis Suarez a provoqué une nouvelle controverse en mordant un adversaire.

Renversant
Rapidement mené après une jolie volée de Nasri (5e), Tottenham a renversé la situation en sept minutes à White Hart Lane grâce à des buts de Dempsey (75e), puis de Defoe (79e) et de Bale (82e), les deux derniers coups sur des contres. Tout juste remis d'une entorse qui l'écartait des terrains depuis quinze jours, Bale a été discret pendant plus d'une heure avant de se montrer une nouvelle fois décisif, avec d'abord un centre décisif sur l'égalisation puis son 17e but de la saison en Premier League. Cette défaite devrait rester sans conséquence pour City, qui n'avait de toute façon qu'une chance théorique de revenir sur United et tient solidement sa deuxième place. La victoire est en revanche cruciale pour Tottenham dans la course à la Ligue des champions. Les "Spurs" sont toujours cinquièmes, place qui ne donne droit qu'à l'Europa League, mais avec seulement un point de retard sur Chelsea et deux sur Arsenal, qui a joué un match de plus que ses rivaux.

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Foot - Ligue 1 - 33e j. : Ce qu'il faut retenir

Les grosses équipes n'ont pas trébuché ce week-end : le PSG se dirige vers le titre, l'OM (2e) possède cinq points d'avance sur Lille (4e) et peut rêver de la Ligue des champions. Nancy est sorti de la zone rouge.


Nancy est en train de se sauver ! (AFP)





Le Leader

Paris

Humilié sur le terrain de l’Evian-TG en quarts de la Coupe de France (1-1, 1-4 tab), le PSG se soigne en Championnat. Vainqueur de Nice grâce notamment à deux erreurs d’Ospina (3-0), il vient de prendre 16 points en six rencontres de L1 ! Le leader possède neuf points d’avance sur Marseille (2e) à cinq journées de la fin. Pour Ancelotti, «le titre est proche». «C’est vrai que ça sent bon», se réjouissait Matuidi. Zlatan Ibrahimovic, lui, a inscrit son 27e but de la saison. Personne depuis Jean-Pierre Papin en 1992 n’avait atteint ce total.




Le Top

Clément Grenier (Lyon)

Clément Grenier a remis ça. Buteur et passeur décisif face à Toulouse (3-1) le week-end passé, le milieu de terrain a de nouveau été l’homme providentiel de l’OL vendredi soir face à Montpellier (2-1). A la 29e minute son centre du gauche a permis à Lisandro d’ouvrir le score. Dans le temps additionnel, alors que Lyon semblait condamné à partager les points, il a placé une magnifique demi-volée du gauche sous la barre de Jourdran. Principale conséquence : Lyon reste accroché à sa troisième place.





La Perf

Nancy

A la fin des matches aller, Nancy n’avait que onze points. Personne n’a encore réussi à se sauver avec un tel bilan à la mi-Championnat. Evidemment, la Lorraine n’y croyait plus ! Mais l’ASNL, qui a battu Evian-TG (3-1), est en train de se sauver. «En janvier, pour moi, on était en L2 à 98%. Emotionnellement, c’est exceptionnel. On revient de l’enfer», nous a confié Jacques Rousselot, président du Chardon, sorti de la zone rouge pour la première fois depuis sept mois. Remplaçant de Jean Fernandez, Patrick Gabriel a fait un sacré boulot. Son équipe vient de prendre 16 points en sept rencontres !




La Contre-Perf

Montpellier

Le champion en titre a eu un sursaut au mois de février. Et puis, il est retombé dans ses travers pour finir sa saison en roue libre. Battu à domicile par un Lyon chanceux (1-2), Montpellier (8e) pointe déjà à huit longueurs de la zone de qualification en Ligue Europa. «Les derniers espoirs d’être européens s’envolent», a lâché René Girard après la rencontre. L’entraîneur du MHSC va quitter le club cet été.




Le Flop

Olivier Blondel (Toulouse)

Décidément, Toulouse n’est pas verni avec ses gardiens. Après avoir vu Ali Ahamada lui faire perdre plusieurs points cette saison, le TFC a pu constater face à Lorient qu’Olivier Blondel ne présentait pas davantage de garanties. Aligné depuis deux matches, l’habituelle doublure toulousaine a précipité la chute de son équipe. Sa sortie complètement ratée a permis à Aliadière d’inscrire l’unique but de la rencontre. Le comble ? Il s’est blessé sur l’action, et a été contraint de sortir sous les sifflets.





Les résultats





vendredi 19 avril 201320h30Montpellier1-2Lyon samedi 20 avril 201317h00Marseille1-0Brest dimanche 21 avril 201314h00Bastia1-2Lille17h00Toulouse0-1Lorient Sochaux2-2Bordeaux Reims0-1Valenciennes Nancy3-1Evian TG21h00Paris-SG3-0Nice mercredi 24 avril 201318h30Saint-EtienneAC Ajaccio RennesTroyes






Le classement





PTS+/-1 Paris-SG70402 Marseille6153 Lyon59194 Lille56185 Saint-Etienne54266 Nice5487 Lorient5028 Montpellier4879 Bordeaux47510 Rennes42-411 Toulouse41-212 Valenciennes40-613 Bastia39-1814 Reims37-715 AC Ajaccio35-816 Evian TG34-1017 Nancy34-1618 Sochaux33-1819 Brest29-2220 Troyes25-19

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Rugby - Top 14 - Stade Toulousain : Saison terminée pour Clerc

Touché au genou droit contre Clermont samedi, le Toulousain Vincent Clerc a terminé sa saison. Il ne participera pas à la phase finale et va aussi manquer la tournée d'été de l'équipe de France.
Vincent Clerc fait la grimace, sa saison est terminée. (L'Equipe)







Mauvaise nouvelle pour Vincent Clerc et le Stade Toulousain. Blessé au genou droit samedi lors de la défaite à Clermont (39-17), l'ailier international (31 ans/67 sélections) a indiqué ce lundi sur son compte Twitter qu'il serait absent plusieurs mois. Il manquera donc la fin de la saison avec Toulouse et ne pourra pas prendre part à la tournée d'été de l'équipe de France en Nouvelle-Zélande cet été (28 mai au 24 juin). «Les nouvelles ne sont pas très bonnes malheureusement... La blessure nécessitera plusieurs mois d'arrêt ! Rendez-vous en début de saison prochaine !», a-t-il écrit lundi. Sorti à la 53e minute contre l'ASM, Clerc s'est blessé tout seul sur une tentative de relance. En avril 2008, déjà face à Clermont, il avait été victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche. S'il n'a pas indiqué la nature exacte de sa blessure, une rupture des ligaments croisés du genou droit, crainte par le joueur, semble se confirmer.

-

39
17

Clermont




Toulouse







Voir le film du match





http://medias.lequipe.fr/img-stade:r...e//0-665-0-80/


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Rugby - Top 14 - Bilan : Elus, mais en désordre

A une journée de la fin du Championnat, on connait les six clubs qualifiés pour la phase finale (10 mai - 1er juin) : Clermont, Toulon, Toulouse, Castres, le Racing-Métro et Montpellier. Mais pas encore les oppositions.










Toute la joie des Parisiens, vainqueurs du Racing-Métro, dimanche, au Stade de France, 19-16. (L'Equipe)





Clermont en leader

On n'inscrit pas tous les jours quatre essais au Champion de France en titre, et le premier, signé du centre international Wesley Fofana, au bout de quarante secondes de jeu. Clermont, en mode européen, devenu leader à la faveur de la défaite de Toulon à Grenoble (25-24), est intouchable. Les Auvergnats produisent le meilleur rugby du Top 14, dans le sillage de leurs fusées Nalaga, Sivivatu et Fofana, un trio sans égal aujourd'hui. Le tout orchestré par un trentenaire, l'ouvreur néo-zélandais Mike Delany, tout juste débarqué du Japon pour piger en Auvergne. Surclassés 39-17, quatre essais à eux, les Toulousains n'ont eu que des sursauts à proposer. A noter les blessures de Rougerie coté ASM, de Clerc et Poitrenaud, au Stade Toulousain.




L'USAP sort du lot

Les Catalans pouvaient encore croire à la possiblité d'accrocher, in extremis, une place de barragiste. Mais leur défaite à Agen, 23-15, deux essais partout, en alignant une équipe mixte, sonne le glas d'une sixième place. L'USAP doit compter sur une finale Toulon-Clermont en H Cup, le titre européen d'un de ces deux clubs français ou de son succès en Challenge, pour obtenir un ticket européen, la saison prochaine. Perpignan pensait donc à sa demi-finale européenne, qui se ouera à Aimé-Giral, vendredi, 21 h, face au Stade Français davantage qu'au Top 14, le week-end dernier. Du coup, Agen en a profité pour réussir ses adieux au Top 14 sur la pelouse d'Armandie.





Triste Racing

Incapables de s'imposer dans ce derby parisien, dimanche au Stade de France, qui pouvait leur ouvrir en grand les portes d'un barrage à domicile, mi-mai, les Franciliens sont apparus amorphes, sans projet de jeu, presque tétanisés par l'enjeu historique, à savoir pour la première fois disputer un match de phase finale à Colombes. Mis à part les inspirations de ses deux bons génies, les Argentins Imhoff et Hernandez, le Racing-Métro n'avait pas grand chose à proposer face à l'équipe B du Stade Français, des réservistes parisiens guidés par leur capitaine, le remarquable Sergio Parisse, et vainqueurs sur le fil, 19-16, grace à un essai de Gavin Williams et la botte de Jérôme Porical.




CO, grand gagnant

Les entraîneurs tarnais étaient un peu inquiets, durant la semaine dernière, au point de mobiliser leur troupe et d'aligner leur équipe-type pour venir à bout des Montois, derniers du Top 14. Mission accomplie. Succès 44-17 et bonus offensif, six essais à un. Mais ce ne fut pas aussi facile que ne l'indique le score flatteur. Mont-de-Marsan a mené, 9-8, à Pierre-Antoine, contre toute attente et juste avant la mi-temps. C'est dire s'il fallait prendre les Landais au sérieux. Du coup, avec la défaite de Montpellier à Bayonne et surtout du Racing-Métro au Stade de France, le CO fait a bonne opération du week-end en consolidant sa quatrième place, synonyme, pour l'instant, de barrage à domicile, quatre points devant le Racing-Métro.




L'Aviron à l'unisson

Le club basque fêtait le centième anniversaire de son premier titre de Champion, en 1913. Avec un maillot vierge de tout sponsor. Et un public aux anges qui chantait à l'unisson. Ca n'a pas manqué : les anciens réunis dans le vestiaire bayonnais avant le coup d'envoi ont su insuffler à la jeune génération l'âme de l'Aviron et c'est Montpellier, venu pour réaliser un exploit, qui s'est retrouvé pris dans la vague bayonnaise, battu 32-26, après avoir évolué un temps à treize, la faute à deux expulsions temporaires presque simultanées (Paillaugue et Beattie). Mais avec son bonus offensif, le club de Fabien Galthié est assuré de disputer les barrages, sans doute contre Toulouse.

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Golf - EPGA : Jacquelin : "Lancer notre saison"

On a joint Raphaël Jacquelin ce lundi avant qu'il ne s'envole pour la Corée du Sud. Le Français est revenu sur sa quatrième victoire sur le Tour européen, obtenue après un play-off de neuf trous.
Quatrième trophée sur le Tour pour Raphaël Jacquelin. (D.R)







Un play-off interminable

« Neuf trous, c’est très long. On n’en voit pas la fin. Quand ça se finit bien, la victoire a meilleur goût. On veut terminer vite mais surtout pas de perdre… Je suis fier de ce que j’ai fait, malgré les occasions ratées. Mais bon, les autres aussi en ont raté. On reste concentré pour gagner. Pour ne pas laisser passer sa chance. Surtout qu’à la fin, on n’était plus que 2. Felipe (Aguilar, ndlr) est parti au troisième trou des play-offs. Après, pendant six trous, on était 2. C’est rare de se retrouver dans cette situation dans notre sport. Ça décuple l’envie de gagner. »

9 fois le 18, pas trop lassant ?

« C’est la règle. C’est vrai que c’est lassant, mais bon au moins on connaît bien le trou. J’étais assez confiant sur le coup de wedge. Ça m’a permis d’aller chercher le drapeau assez souvent et d’avoir plusieurs occasions de gagner avant les autres. C’est surtout lassant au neuvième trou (rires). Ça fait 2h de jeu en plus. »

Les occasions manquées


« J’ai eu plein d’occasions, mais les greens étaient difficiles à putter durant toute la semaine. Ils étaient assez lents. Personne n'a beaucoup enquillé. Ça se gagne à -5 sur un parcours pas très long. Et il fallait être patient sur les putts, très durs à rentrer. C’est pour ça que le play-off a duré aussi longtemps. »

Putting, le mal français

« Le putting, c’est toujours le plus dur à faire. C’est plus facile de taper un drive que d'enquiller le coup pour la gagne. Le putting et le petit jeu représentent le mal français. C’est clair, net et encore plus flagrant dans les moments difficiles. Ça permet d’être réaliste et de se rendre compte du travail à accomplir. Il faut progresser sur le petit jeu, car sur le reste on est assez performant. Je parle surtout des vieux, ceux de ma génération. On a des bonnes stats sur le grand jeu. Le petit jeu s’améliore, mais ça prend du temps. Il faut continuer, ça commence à venir (rires). Malgré ça, je suis content d’avoir gagné, et toutes les occasions ratées, tous les putts manqués, donnent encore plus de goût à cette victoire. »

Le meilleur du tee au green

« C’est ma force, je n’ai lâché qu’un drive sur 9 (deux en fait, ndlr). Et puis mes coups de wedge étaient toujours très bons. Rater à gauche sur ce 18e trou, ce n’était pas grave. C’est surtout à droite que le danger résidait, j’ai eu un peu peur de ne pas retrouver ma balle. Mais j’ai eu de la chance, elle était dans le sable et bien placée, loin du green mais bien placée. Heureusement pour moi, Kieffer n’a pas été très bon sur ses wedges. Il en a eu beaucoup à jouer mais il n’a pas été précis. Ce sont ces coups qui font la différence. Avec l’expérience (rires). »


Amoureux des conditions difficiles

« Mon jeu correspond à ce style de scoring, de parcours. J’aime bien m’accrocher pour sauver des pars alors que les autres ne pensent qu’au birdie. J’aime bien ce système. Je pars du principe que si on reste autour du par, on aura toujours une chance. »


Un début d'année modeste

« Je n’étais surtout pas impatient. Je tapais bien, avec de bonnes sensations, j’étais précis, mon jeu allait bien. Seulement, je ne scorais pas. Il ne manquait pas grand-chose pour transformer une trentième place en top 10. Souvent ça se joue à deux coups dans la semaine. Si on joue souvent, qu’on passe les cuts, il ne faut pas beaucoup de choses pour finir la semaine avec un top 15 ou un top 10. Le tout, c’est de ne rien lâcher. On sait tous qu’il faut scorer et rentrer les putts pour rendre une bonne carte. Maintenant, à nous d’être plus précis pour que ça tombe plus souvent. C’est pour ça qu’il faut continuer à bosser. »


Retour dans le top 100 mondial

« Ça fait toujours plaisir, mais l’objectif est de faire mieux. On prend les tournois un par un pour évoluer, pour essayer de grappiller des points. Ça peut aller très vite. Dans un sens comme dans l’autre (rires). On va se concentrer sur le travail à faire et ça va venir tout seul. »


Le clan français

« Je dis toujours "on". C’est mon esprit collectif, je viens du foot (rires). Aujourd’hui, on est assez nombreux sur le Tour. Surtout quand on joue en Europe. L’objectif est de faire évoluer tout le monde et de servir de locomotive. On a besoin de joueurs dans l’élite mondiale. On devrait avoir une bonne saison française. »

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Cyclisme - World Tour : Les équipes françaises pèsent enfin

Abonnée à une stratégie assez défensive ces dernières saisons, l'équipe française AG2R - La Mondiale a brillé lors des Ardennaises avec un Bardet offensif et un Betancur parmi les favoris. Comme Europcar ou la FDJ aux Flandriennes.
Carlos Betancur, révélation du printemps pour AG2R. Ici à l'attaque dans le mur de Huy. (L'Equipe)







C’est une petite révolution pour AG2R-La Mondiale, une équipe qui avait progressivement récolté une image de gagne-petit : des victoires au compte-gouttes (seulement 4 en 2012, 6 en 2011), un maintien dans le World Tour grâce à des recrues exotiques venues d’Iran ou de Russie et l’accent mis sur les classements généraux des courses par étapes. En une semaine, la troupe de Vincent Lavenu a piétiné le cliché. Mercredi, à la Flèche Wallonne, Carlos Betancur avait déjà dynamité les rangs des favoris avant de finir sur le podium (3e), le premier pour une équipe française sur une classique ardennaise depuis 1999 (Vandenbroucke 3e à Liège pour Cofidis). Dimanche, le Colombien a encore remis ça en attaquant dans la dernière grande difficulté, la côte de Saint-Nicolas, puis en restant avec les favoris jusqu’au final (4e) de LIège-Bastogne-Liège.

Derrière, deux de ses coéquipiers, Rinaldo Nocentini et Romain Bardet ont gardé une place dans le top 15. «Nous avons la capacité de peser sur ce type de course, s’est félicité le directeur sportif Julien Jurdie sur le site de la formation. Carlos a la capacité de gagner ce genre de course mais il manque encore un peu d’expérience, de force et de puissance. »

La promesse Bardet

Il n’y a pas que les coureurs étrangers qui ont brillé : déjà à l’avant mercredi lors de la Flèche Wallonne, Romain Bardet s’est encore glissé dans un bon coup dimanche en sortant dans la côte de Saint-Nicolas avec un groupe de costauds. A seulement 22 ans (et 23 pour Betancur), il poursuit son apprentissage express des grands rendez-vous. «Ce résultat donne envie d’être encore plus ambitieux et pourquoi ne pas être placés parmi les favoris dans les années à venir !», annonce Jurdie. C’est peut-être ça la vraie différence : les équipes françaises ne sont plus là pour ramasser les miettes quand les favoris regardent ailleurs ou pour courir en filous.

AG2R 10e du World Tour


Europcar avait déjà couru avec ambition sur les flandriennes, dictant le rythme du peloton au Tour des Flandres et plaçant Damien Gaudin dans le top 5 à Paris-Roubaix. A la FDJ, Ladagnous a également fait jeu égal avec les leader à Gand-Wevelgem (6e) et au Ronde (5e) avant d’être pris dans la malchance collective à Roubaix (abandon). Avec un Sylvain Chavanel toujours présent au printemps (4e), le peloton français revient à l’avant-scène des classiques. Et l’attente d’une première victoire dans un Monument depuis Jalabert (Tour de Lombardie en 1997) semble plus facile à supporter. Le World Tour va désormais se focaliser sur les courses par étapes, un domaine où AG2R devrait continuer à briller avec Jean-Christophe Péraud (3e de Paris-Nice). A l’issue de la première partie de saison, l’équipe est 10e du World Tour.

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Barcelone humilié par le Bayern Munich

FOOTBALL

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Les Catalans n'ont pas pesé lourd face à de brillants Bavarois, vainqueurs 4-0. Ces derniers ont déjà un pied en finale.
Mis à jour le 23.04.2013 12 Commentaires

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League des Champions - Phases Finales

Demi-finale

23.04.Bayern Munich - FC Barcelone4 : 024.04.Borussia Dortmund - Real Madrid- : -30.04.Real Madrid - Borussia Dortmund- : -01.05.FC Barcelone - Bayern Munich - : -État: 23.04.2013 22:33
Ligue des Champions - Groupe A

6e Journée

04.12.Dinamo Zagreb - Dynamo Kiev1 : 104.12.Paris Saint Germain - FC Porto2 : 1État: 04.12.2012 22:54
Classement

NomJVNDButsP1.Paris Saint Germain650114:3152.FC Porto641110:4133.Dynamo Kiev61236:1054.Dinamo Zagreb60151:141État: 04.12.2012 22:55
Ligue des Champions - Groupe B

6e Journée

04.12.Montpellier - Schalke 041 : 104.12.Olympiakos - Arsenal2 : 1État: 04.12.2012 22:35
Classement

NomJVNDButsP1.Schalke 04633010:6122.Arsenal631210:8103.Olympiakos63039:9 94.Montpellier60246:122État: 04.12.2012 22:37
Ligue des Champions - Groupe C

6e Journée

04.12.Malaga - Anderlecht2 : 204.12.AC Milan - Zenit Petersburg0 : 1État: 04.12.2012 22:38
Classement

NomJVNDButsP1.Malaga633012:5122.AC Milan62227:683.Zenit Petersburg62136:974.Anderlecht61234:95État: 04.12.2012 22:43
Ligue des Champions - Groupe D

6e Journée

04.12.Borussia Dortmund - Manchester City1 : 004.12.Real Madrid - Ajax4 : 1État: 04.12.2012 22:36
Classement

NomJVNDButsP1.Borussia Dortmund642011:5142.Real Madrid632115:9113.Ajax61148:1644.Manchester City60337:113État: 04.12.2012 22:37
Ligue des Champions - Groupe E

6e Journée

05.12.Shakhtar Donetsk - Juventus0 : 105.12.Chelsea - FC Nordsjælland6 : 1État: 05.12.2012 22:38
Classement

NomJVNDButsP1.Juventus633012:4122.Shakhtar Donetsk631212:8103.Chelsea631216:10104.FC Nordsjælland60154:221État: 05.12.2012 22:43
Ligue des Champions - Groupe F

6e Journée

05.12.Lille - Valence0 : 105.12.Bayern Munich - BATE Borisov4 : 1État: 05.12.2012 22:34
Classement

NomJVNDButsP1.Bayern Munich 641115:7132.Valence641112:5133.BATE Borisov62049:1564.Lille61054:133État: 05.12.2012 22:36
Ligue des Champions - Groupe G

6e Journée

05.12.FC Barcelone - Benfica0 : 005.12.Celtic - Spartak Moscou 2 : 1État: 05.12.2012 22:37
Classement

NomJVNDButsP1.FC Barcelone641111:5132.Celtic63129:8103.Benfica62225 :584.Spartak Moscou 61057:143État: 05.12.2012 22:43
Ligue des Champions - Groupe H

6e Journée

05.12.Manchester United - CFR Cluj0 : 105.12.Braga - Galatasaray1 : 2État: 05.12.2012 22:37
Classement

NomJVNDButsP1.Manchester United64029:6122.Galatasaray63127:6103.CFR Cluj63129:7104.Braga61057:133État: 05.12.2012 22:43
Ligue des Champions - Qualification

Finale

21.08.Spartak Moscou - Fenerbahce2 : 121.08.FC Bâle - CFR Cluj1 : 221.08.Helsingborg - Celtic0 : 221.08.M'Gladbach - Dynamo Kiev1 : 321.08.FC Copenhague - Lille1 : 022.08.BATE Borisov - Ironi Kiryat Shmona2 : 022.08.AEL Limassol - Anderlecht2 : 122.08.Dinamo Zagreb - Maribor2 : 122.08.Malaga - Panathinaikos2 : 022.08.Braga - Udinese1 : 128.08.Ironi Kiryat Shmona - BATE Borisov1 : 128.08.Anderlecht - AEL Limassol2 : 028.08.Maribor - Dinamo Zagreb0 : 128.08.Panathinaikos - Malaga0 : 028.08.Udinese - Braga5 : 629.08.Lille - FC Copenhague 2 : 029.08.CFR Cluj - FC Bâle1 : 029.08.Celtic - Helsingborg2 : 029.08.Fenerbahce - Spartak Moscou 1 : 129.08.Dynamo Kiev - M'Gladbach1 : 2État: 29.08.2012 23:13

Cette fois, le compte est bon pour le FC Barcelone. Battus 4-0 à l’Allianz Arena par le Bayern Munich, les Catalans sont allés au tapis pour un K.O. magistral.
Dominé par des Bavarois beaucoup plus forts sur le plan physique et trahi par les errements d’un arbitre qui n’aurait jamais dû accorder les deuxième et troisième buts, le FC Barcelone ne disputera pas sa quatrième finale de Ligue des Champions en sept ans. Bien sûr, le 4-0 infligé au Milan AC en match retour des huitièmes de finale peut inciter les Catalans à croire que l’impossible sera possible mercredi prochain. Mais le Bayern n’est pas le Milan et, surtout, Lionel Messi semble à bout de souffle. L’Argentin, qui n’avait plus joué depuis deux semaines, ne fut que l’ombre de lui même lors de ce match.
Le Bayern a failli frapper d’entrée de jeu. A la 2e minute déjà, Victor Valdés devait sauver son camp sur un tir de Robben. Le Néerlandais, que l’on assure être sur le départ mais qui fut bien le grand homme de la soirée, était le plus percutant en ce début de match. A la 25e, il était à l’origine de l’ouverture du score avec son centre qui trouvait la tête de Dante pour une remise sur Müller à l’affût en second poteau.
Gomez était hors-jeu
La réaction ne venait pas après ce but dans les rangs catalans. Incapables de trouver Messi dans de bonnes conditions, Xavi, Iniesta et Busquets étaient à la peine devant Schweinsteiger et Javi Martinez. A la reprise, les Catalans étaient toujours aussi amorphes. A la 49e, ils concédaient un nouveau but après un nouveau duel aérien perdu par Dani Alves. Cette fois, le Brésilien était devancé par Müller dont la remise trouvait Gomez. L’avant-centre ne ratait pas l’aubaine. Seulement, il était en position de hors-jeu. Et le cauchemar n’était pas terminé pour le Barça. A la 73e, Robben concluait de manière impériale une rupture amorcée par Ribéry. Seulement, l’arbitre aurait dû siffler sur cette action une obstruction de Müller sur Jordi Alba.
Le 4-0 ne devait en revanche rien à personne. Il était signé Müller à la 82e qui surgissait sur un centre de Luiz Gustavo. Introduit à la 89e minute pour Ribéry, Xherdan Shaqiri a eu droit lui aussi à son petit moment de gloire.
Bayern Munich - Barcelone 4-0 (1-0)
Allianz Arena. 68 000 spectateurs (guichets fermés). Arbitre: M. Kassai (Hon).
Buts: 25e Müller 1-0. 49e Gomez 2-0. 73e Robben 3-0. 82e Müller 4-0.
Bayern Munich: Neuer; Lahm, Boateng, Dante, Alaba; Martinez, Schweinsteiger; Robben, Müller (83e Pizarro), Ribéry (89e Shaqiri); Gomez (71e Luiz Gustavo).
Barcelone: Valdes; Dani Alves, Piqué, Bartra, Jordi Alba; Busquets, Xavi, Iniesta; Alexis Sanchez, Messi, Pedro (83e Villa).
Notes: le Bayern sans Badstuber, Kroos (blessés) ni Mandzukic (suspendu), Barcelone sans Mascherano, Puyol (blessés) ni Adriano (suspendu).
Avertissements: 37e Gomez. 39e Bartra. 46e Martinez. 86e Sanchez. 87e Schweinsteiger. 89e Jordi Alba. 92e Iniesta.

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Bon un peu de sport?

Ben plus tard la vais me faire à croquer

[Xor]

Envoyé par Norton

Bon un peu de sport?

Ben plus tard la vais me faire à croquer

Et bé, un sacré repas que tu dois faire depuis hier soir !

[kikimike]

Envoyé par Xor

Et bé, un sacré repas que tu dois faire depuis hier soir !

l'apéro a du être costaud