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Surf - WCT : Florès :«Il faut avoir du style»

Neuvième sur la Gold Coast puis treizième à Bells Beach, Jérémy Florès est arrivé au Brésil, où se déroule en ce moment la 3e manche du circuit pro, avec beaucoup d'ambition.
Jérémy Florès est actuellement 13e mondial. (D.R)














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« Jérémy Florès, quel bilan faites-vous des deux premières manches sur la Gold Coast et à Bells Beach ?
Vu ma préparation et la manière dont j’ai surfé, je suis un peu déçu. J’aurais pu mieux commencer. Mais neuvième après deux étapes, c’est honnête.

A Bells, vous avez été éliminé lors du 3e tour. Que s’est-il passé ?
C’était effectivement moyen. J’étais pourtant bien préparé physiquement, et j’avais une bonne planche. Mais on a terminé dans des vagues super difficiles, dans la tempête même. Il y avait un gros facteur chance et j’ai raté la qualification à 0,4 point... C’était assez dur de perdre pour si peu. Et là où j’ai encore eu plus les boules, c’est que je jour d’après, les vagues étaient parfaites...

«Les finalistes à Bells, Nat Young et Adriano de Souza, ils ne m'ont pas impressionné du tout. Ce n'était pas beau à voir.» Ce début de saison est très ouvert. Comment l’expliquez-vous ?
Sur la Gold Coast, Slater et Parko (Joel Parkinson) ont fait le show. Mais à Bells, les finalistes n’ont pas surfé dans les critères de jugement. Tu te demandes alors ce qu’il faut faire. Moi, j’estime qu’il faut avoir du style. Et je préfère garder mon style que de changer pour que les juges me notent mieux. Les finalistes à Bells, Nat Young et Adriano de Souza, ils ne m’ont pas impressionné du tout. Ce n’était pas beau à voir. Ce sont de très bons surfeurs mais là, sur ce coup, ça casse un peu la beauté du surf.

Que recherchent les juges cette saison ?
Ce sont des combinaisons de manœuvres. Que ce soit des airs, des manœuvres sur le rail… Ils veulent de la variation. Et c’est ce que je travaille beaucoup en priorité. J’ai tout ce qu’il faut dans mon répertoire, c’est parfait, je suis confiant.

«Au Brésil, on ne sait jamais à quoi s'attendre»


Quel surfeur vous a le plus impressionné sur ces deux premières manches ?
J’ai bien aimé Jordy Smith, que ce soit sur la Gold Coast comme à Bells Beach. A Bells, dans les grosses conditions, il avait beaucoup de facilité. Il méritait d’aller au bout.

Que vous inspire cette manche au Brésil ?
On ne sait jamais à quoi s’attendre, les vagues sont très changeantes, donc on verra bien. Il faut être prêt et on doit être capable de s’adapter à toutes les conditions. Il faut, le moment venu, avoir le bon matériel. J’ai fait un point important avec mon shaper d’autant qu’après il y a deux autres épreuves qui s’enchainent à Fidji et à Bali, et ce sont des vagues encore différentes. Le Brésil, c’est un endroit que j’aime bien, je parle le portugais et les Brésiliens me soutiennent beaucoup. C’est un pays que j’adore, je m’y sens bien. »
Propos recueillis par David MICHEL

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Sensation à Madrid: Federer sorti par Nishikori

TENNIS

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Après la sortie de Novak Djokovic, c'est au tour de Roger Federer de mordre la poussière au tournoi madrilène, sorti par le Japonais Kei Nishikori (4-6 6-1 2-6).
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Image: Juan Carlos Hidalgo/Keystone
Classement ATP

RNomP1.Novak Djokovic129002.Roger Federer86703.Andy Murray85704.David Ferrer69205.Rafael Nadal59856.Tomas Berdych47607.Juan Martin Del Potro46808.Jo-Wilfried Tsonga38759.Richard Gasquet326010.Janko Tipsarevic300011.Marin Cilic261512.Nicolas Almagro261513.Tommy Haas237514.Milos Raonic222515.Stanislas Wawrinka216516.Kei Nishikori209017.Gilles Simon194018.Sam Querrey187019.Juan Monaco178520.Andreas Seppi1735152.Marco Chiudinelli349257.Henri Laaksonen180297.Sandro Ehrat149352.Michael Lammer116390.Stephane Bohli95394.Adrien Bossel94671.Yann Marti29677.Joss Espasandin29780.Alexander Sadecky19790.Riccardo Maiga19907.Luca Margaroli121081.Lucas Zweili71185.Alexander Ritschard51311.Jens Hauser31329.Federico Valsangiacomo31455.Patrick Eichenberger21530.Kevin Jordi21671.Daniel Valent11671.Vullnet Tashi11768.Dimitri Bretting11837.Jessy Kalambay1État: 06.05.2013 05:38




Roger Federer (ATP 2) a subi un échec cuisant à Madrid, où il effectuait sa rentrée après une pause de sept semaines. Le Bâlois s’est incliné dès le 3e tour face au Japonais Kei Nishikori (ATP 16).
Battu 6-4 1-6 6-2 en 1h35’ par un joueur pourtant plus à l’aise sur des surfaces rapides, le tenant du trophée cédera sa 2e place mondiale à Andy Murray lundi lorsqu’il perdra 910 des 1000 points conquis l’an dernier. Dixième de la «Race» avant le Masters 1000 madrilène, il pourrait même être dépassé dans le classement 2013 par Stanislas Wawrinka si celui-ci se hissait dans le dernier carré.
C’est cependant bien plus le niveau de jeu affiché face à Kei Nishikori qui devrait inquiéter Roger Federer, auteur notamment de trois grossières fautes en coup droit dans l’ultime jeu de cette partie. Il reste en effet à peine plus de deux semaines au Bâlois pour trouver ses marques avant Roland-Garros (26 mai-9 juin). Or, il ne disputera qu’un seul autre tournoi de préparation avant la quinzaine parisienne, la semaine prochaine à Rome.
L’homme aux 17 titres du Grand Chelem, qui avait toujours atteint au minimum le stade des demi-finales sur la terre battue madrilène, s’est pourtant brillamment ressaisi après la perte du premier set jeudi. Mais il ne trouvait pas le bon rythme dans les première et troisième manches. Trop passif à l’échange et trop lent dans ses déplacements, il ne réussissait ainsi que 8 points sur le service adverse dans le premier set et 7 dans le troisième. Trop peu pour espérer un meilleur sort face à un Kei Nishikori très opportuniste. (SI/Le Matin)

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La Suisse reproduira-t-elle le schéma de 2010?

09.05.2013
Pour Marc Crawford, la Suisse a un excellent système de jeu. [Steffen Schmidt - Keystone]


L'équipe de Suisse a désormais deux jours de pause devant elle avant le duel face au Danemark samedi (12h15) au Championnat du monde à Stockholm. Tous les espoirs, même les plus fous, semblent permis après ces 4 succès de suite.
Mais le spectre de 2010 est là pour nous rappeler que la troupe de Sean Simpson n'est pas à l'abri d'une baisse de régime. En Allemagne, la Nati s'était éteinte progressivement après ses 4 victoires initiales, pour ensuite sortir par la petite porte face au pays hôte en quarts de finale (1-0).
Ce schéma se reproduira-t-il cette année? "Je ne pense pas", répond Dino Kessler (46 ans), journaliste au "Blick" et ex-défenseur international.
"Emmagasiné de l'énergie"

"En gagnant si nettement contre la Slovénie, les Suisses ont emmagasiné de l'énergie, argumente Dino Kessler. Ca leur donne confiance pour la suite".
Il est vrai que par le passé, les Helvètes s'époumonaient à passer l'épaule lors des matches face aux équipes les plus faibles. Ce qui n'a pas été le cas mercredi. "Ils ont gardé leur sang-froid, même après le 1-0 slovène. S'ils continuent comme ça, ils ne sentiront pas la fatigue", affirme le Grison.
"Car dans un tournoi comme celui-ci, tout se passe dans la tête, ajoute Kessler. Simpson sait doser les efforts à l'entraînement et en match en faisant tourner intelligemment son effectif".
Crawford surpris par Ambühl

Marc Crawford est aussi d'avis que la répartition des efforts est bien gérée dans cette sélection suisse cuvée 2013.
Ambühl, en partance pour Davos, ne fera plus le bonheur de Crawford. [Salvatore Di Nolfi - Keystone] "Il n'y a pas un seul trio d'attaque qui fonctionne et qui est plus utilisé que les autres. Tous les blocs jouent bien", constate l'entraîneur des Zurich Lions, qui officie en tant que consultant pour la chaîne de TV canadienne TSN durant ce Championnat du monde.
"Si seulement Andres Ambühl avait joué comme ça durant les playoff avec Zurich!, plaisante, dans un excellent français, l'ex-coach de Dallas en NHL. Je ne le reconnais pas. Le bloc avec Cunti, Hollenstein et Bodenmann me plaît aussi, il est très rapide et pose problème aux autres équipes", dit l'Ontarien.
"Les Suisses jouent avec passion"

Crawford (52 ans) semble vraiment séduit par la troupe de Sean Simpson. "Je connais les joueurs suisses depuis un an, et ils jouent avec passion".
"Tous sont en train de comprendre comment il faut se comporter sur la glace. Et les coaches ont mis les bonnes personnes au bon endroit pour avoir du succès. Les défenseurs sont rapides et font de bonnes passes. Les centres, intelligents, sont assistés par des ailiers robustes qui peuvent récupérer le puck dans la zone neutre", ajoute-t-il.
Reste à voir désormais si ces paroles encourageantes seront suivies d'effets ces prochains jours en Suède. Début de réponse dès samedi face au Danemark...
De Stockholm, Michaël Taillard

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Exploit français face à la Russie

09.05.2013 18:40 mise à jour à 19:41
Grâce à cet exploit, la France assure son maintien dans l'élite du hockey. [Heikki Saukkomaa - Keystone]


La France a signé un exploit mémorable en battant 2-1 la Russie, tenante du titre et no 1 mondial, au Championnat du monde à Helsinki. Les Français ont pratiquement assuré le maintien.
Les plus belles histoires s'écrivent quand tout semble se liguer contre soi. Ainsi, les Français ont aligné leur troisième gardien, Florian Hardy (Angers) en raison de la blessure du vétéran Fabrice Lhenry (40 ans) et du ménagement de Cristobal Huet pour des confrontations face à des adversaires directs dans la lutte contre la relégation (Lettonie, Allemagne).
Hardy, 28 ans, a vécu une journée de rêve à la Hartwall Arena. Il a même arrêté de brillante manière un penalty du fantasque attaquant du CSKA Moscou, Alexander Radulov (27e) alors que le score était de 0-0. Dans la foulée, les champions du monde ouvraient le score par Alexander Perezhogin (Omsk) sur un exploit personnel (27e).
La France assure son maintien

Malgré ce coup du sort, les Français n'éprouvaient aucun complexe. Damien Fleury (30e) puis Antoine Roussel (37e), l'attaquant des Dallars Stars, permettaient à la France de prendre l'avantage.
A moins d'un concours de circonstances très défavorable, la France a assuré son maintien pour la sixième fois consécutive. Un très bon argument alors qu'elle postule à l'organisation du Championnat du monde 2017 avec l'Allemagne.
si/fayet

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Et de deux pour Mark Cavendish

09.05.2013 17:33 mise à jour à 18:58
Mark Cavendish profite pleinement de sa deuxième paire de bisous. [DANIEL DAL ZENNARO - Keystone]


Le Britannique Mark Cavendish (Omega Pharma) a remporté au sprint la sixième étape du Tour d'Italie à Margherita di Savoia, son deuxième succès depuis le début du tour. L'Italien Luca Paolini (Katusha) a conservé le maillot rose de leader.
Cavendish a devancé l'Italien Elia Viviani, déjà deuxième samedi dernier à Naples, et l'Australien Matt Goss.
Une chute massive a coupé le peloton au premier passage sur la ligne, à 33 kilomètres de l'arrivée. Le premier peloton a ralenti ensuite pour attendre les coureurs retardés, parmi lesquels le Britannique Bradley Wiggins et l'Italien Vincenzo Nibali.
Après la jonction effectuée à 22 kilomètres de l'arrivée, aucune attaque n'a pu aboutir sur le circuit contournant les plus grandes salines d'Europe.
12e succès sur le Giro

Cavendish, qui est né sur l'île de Man voici 27 ans, a enlevé sa 9e victoire de la saison, sa deuxième depuis le départ du Giro après son sprint victorieux de Naples samedi dernier en ouverture de la course.
Le champion du monde 2011 compte désormais 12 succès d'étape dans le Tour d'Italie.
Vendredi, la 7e étape, longue de 177 kilomètres entre Marina di San Salvo à Pescara, comporte quatre ascensions, courtes mais pentues, la dernière à 7,4 kilomètres de l'arrivée.
afp/fayet

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Detroit bat de l'aile chez les Ducks

09.05.2013 09:42 mise à jour à 14:48
Anaheim a créé la surprise en battant Detroit. [Mike Blake - Reuters]


Le duel des Suisses opposant Jonas Hiller et Luca Sbisa à Damien Brunner est en train de tourner à l'avantage des 2 premiers nommés. Les Ducks d'Anaheim se sont imposés 3-2 après prolongation. Damien Brunner a, lui, réussi un assist. En vain pour les Red Wings, désormais menés 3-2 dans cette série du 1er tour des playoff de NHL.
A l'image de Jonas Hiller, la Suisse compte d'excellents gardiens. [Mike Blake - Reuters] La 3e tentative aura été la bonne pour Anaheim. Opposés à Detroit au 1er tour des playoff, les Ducks se sont pour la 1ère fois imposés au jeu des prolongations (3-2).
Detroit, qui a touché 3 fois (!) les poteaux de Jonas Hiller (29 arrêts), a été rejoint à 32 secondes de la fin de la 2e période. La "faute" à un tir du poignet de Getzlaf qui a laissé Howard pantois.
Dans le camp des Red Wings, Damien Brunner a réussi 1 passe décisives mais figurait sur la glace lors du but décisif des Ducks à la 62e. Le Zougois Luca Sbisa a, lui, joué 20'32" dans la défense des Ducks avec au final un bilan neutre. Acte VI vendredi à Detroit.

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Miami prend le taureau par les cornes

09.05.2013 10:07 mise à jour à 10:31
Joakim Noah, tout à droite, a été prié de se calmer dans le vestiaire. [Lynne Sladky - Keystone]


Miami a infligé à Chicago la plus large défaite de son histoire en playoff: 115-78! Le Heat revient du coup à 1 partout dans cette série des demi-finales de Conférence Est. Cette rencontre a été marquée par 9 fautes techniques, dont 6 pour les Bulls, 2 exclusions, 1 faute flagrante et la bagatelle de 51 fautes personnelles, avec beaucoup de confrontations entre les joueurs et des mots doux échangés.
A l'image de Bosh (à g.), Miami a fait joujou avec Miami [Joe Skipper - Reuters] LeBron James a compilé 19 points, 9 passes décisives, 5 rebonds et 3 passes décisives et Ray Allen s'est fendu de 21 points en seulement 19 minutes alors que du côté de Chicago, ni Joakim Noah (12 points, 6 rebonds) ni Nate Robinson (11 points à 3 sur 10 aux tirs) n'ont pu rééditer leurs prestations exemplaires des précédents matches de playoff.
Après une entame de match très physique de la part d'une équipe de Chicago encore privée de nombreux éléments (Kirk Hinrich, Luol Deng, Richard Hamilton, Derrick Rose), Miami a commencé à prendre ses distances en fin de deuxième quart temps. Chicago a même compté jusqu'à 46 points de retard dans le dernier quart temps.
Noah a été exclu pour une deuxième faute technique à dix minutes de la fin du match pour avoir pris à parti verbalement un arbitre, Taj Gibson recevant la même sanction quelques secondes plus tard pour la même raison. Le match no3 aura lieu vendredi à Chicago.

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David Moyes à Manchester United, c'est officiel

© getty.
MISE À JOUR Manchester United a annoncé jeudi que l'Écossais David Moyes succèderait à son compatriote Alex Ferguson comme entraîneur du club la saison prochaine. Moyes, 50 ans, a signé un contrat de six ans et prendra ses fonctions le 1er juillet à la place de Sir Alex.




Moyes, un Ecossais de 50 ans, entraînait les Toffees (avec Marouane Fellaini et Kevin Miralles) depuis 2002. Alex Ferguson a annoncé mercredi qu'il prenait sa retraite après 26 ans à la tête de ManU.

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Les Diables Rouges au 15e rang mondial


Il s’agit du meilleur classement FIFA jamais obtenu par la Belgique

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Les Diables Rouges occupent le 15e rang mondial au nouveau classement des nations de football publié jeudi par la FIFA. Un record pour le football belge, puisque jamais la Belgique ne s'était classée aussi haut depuis la création de ce classement en décembre 1992.
Sans avoir jouer depuis la dernière publication du classement le 11 avril, les hommes de Marc Wilmots ont dépassé les Mexicains, qui ont eux partagé 0-0 avec le Pérou, à la mi-avril.

Depuis l'arrivée de Marc Wilmots au poste de sélectionneur national, en juin 2012, les Diables Rouges sont passés de la 54e à la 15e position, un gain de 39 positions en onze mois.

Fin mai, l'équipe nationale partira en stage aux Etats-Unis. Elle y disputera un match amical contre les USA le 29 mai à Cleveland, dernière rencontre de préparation avant le duel contre la Serbie, le 7 juin à Bruxelles, comptant pour les qualifications au Mondial-2014.

La Croatie, 4e mondiale, reste la nations la mieux classée du Groupe A de la Zone Europe de ces qualifications. La Serbie s'est maintenue en 40e position, tout comme le Pays de Galles (49e), l'Ecosse a perdu un rang et est 78e (-1), de même que la Macédoine (84e/-1).

Au sommet de la hiérarchie, l'Espagne a conservé sa première place devant l'Allemagne et l'Argentine. Le prochain classement sera publié le jeudi 6 juin.

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Après Djokovic, c'est Federer qui prend la porte à Madrid

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Le Suisse Roger Federer, tenant du titre, a été éliminé en trois sets 6-4, 1-6, 6-2, par le Japonais Kei Nishikori, 16e mondial, jeudi en 8e de finale du Masters 1000 sur terre battue de Madrid.
© reuters. © epa. © reuters. © ap.
Le Suisse Roger Federer, tenant du titre, a lui été éliminé en trois sets 6-4, 1-6, 6-2, par le Japonais Kei Nishikori, 16e mondial, en 8e de finale du Masters 1000 de Madrid. Le N.2 mondial faisait son retour à la compétition, après avoir fait une pause de sept semaines, depuis son élimination en quart de finale à Indian Wells.

Tsonga sort Verdasco
Jo-Wilfried Tsonga s'est qualifié pour la première fois de sa carrière pour les quarts de finale du Masters 1000 de Madrid, en battant l'Espagnol Fernando Verdasco, 46e mondial, en trois sets 4-6, 6-3, 6-2. Le N.1 français a d'abord eu un peu de mal à trouver ses marques, comme la veille face au Néerlandais Robin Haase. Mais une fois son jeu en place, il n'a laissé aucune chance au Madrilène, quart de finaliste en 2012. Dans une partie de tableau désertée par Novak Djokovic, Tsonga a un bon coup à jouer. Il rencontrera en quart de finale le Suisse Stanislas Wavrinka, ou le Bulgare Grigor Dimitrov, vainqueur lundi du N.1 mondial.

Nadal sans forcer
Rafael Nadal s'est facilement qualifié pour les quarts de finale du Masters 1000 de Madrid, en disposant jeudi du Russe Mikhail Youzhny, 31e mondial, en deux sets 6-2, 6-3. L'Espagnol, N.5 mondial, a fait oublier son élimination l'an passé en 8e de finale du tournoi madrilène. Sur une terre battue couleur bleue et particulièrement glissante qu'il n'aimait pas du tout, il s'était incliné devant son compatriote Fernando Verdasco. Madrid est revenu cette année à une terre battue rouge et de meilleure qualité, qui convient bien mieux au jeu de Nadal. Au prochain tour, il affrontera son compatriote David Ferrer ou le vétéran allemand Tommy Haas.