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Djokovic répond à Gulbis: "Oui, parfois ça manque de folie"

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Novak Djokovic n'a pas dû puiser dans ses réserves pour sortir l'Argentin Guido Pella (6-2 6-0 6-2). Le numéro un mondial peut désormais se concentrer sur son troisième tour contre Grigor Dimitrov, qui l'avait battu au Masters 1000 de Madrid cette saison.

"A Madrid, c'était un match soutenu, mais il a bien joué en tout cas. Les mois avant, il avait signé quelques belles victoires. Donc, il va être difficile à battre, c'est vrai. Même si, bien sûr, son type de jeu serait meilleur sur des surfaces plus dures. Mais il peut bien jouer aussi sur terre battue. Il a accroché Nadal à Monte-Carlo, il m'a battu à Madrid. Ce sera difficile pour tous les deux (...)", a-t-il déclaré.

"Nous véhiculons une image positive de notre sport"
Interrogé sur les propos polémiques de Gulbis à propos du "Big Four", le Serbe a réagi avec circonspection. "Je n'ai pas entendu les commentaires. Chacun a le droit d'exprimer son opinion. Je ne veux juger personne. Vous savez, nous avons des règles qui régissent notre sport et auxquelles il faut se tenir. Moi, je vois les choses de manière positive. Les meilleurs joueurs respectent beaucoup ce sport, les fans et la presse. C'est un respect mutuel. C'est un image positive que nous véhiculons", explique-t-il.

Cela dit, "Nole" concède que, quelquefois, cela manque un peu de folie, de piment. "Je suis d'accord de dire qu'il manque parfois un peu ce côté divertissant, créatif. D'un autre côté, c'est devenu un sport terriblement exigeant d'un point de vue mental, physique et émotionnel. La saison est longue et éprouvante et il faut garder suffisamment d'influx. Mais oui, on pourrait attirer l'attention avec des choses un peu plus 'fun'. En tout cas, je ne veux blâmer personne", termine-t-il.

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Roland-Garros (Femmes) : Bartoli tient bon

Marion Bartoli (n°13) a sauvé trois balles de premier set face à Mariana Duque-Marino, issue des qualifications, avant de l'emporter en deux manches, vendredi (7-6 [5], 7-5 en 2h11'). La voilà au 3e tour.


Trois balles de match sauvées au 1er tour face à Olga Govortsova. Trois balles de premier set écartées ce vendredi contre Mariana Duque-Marino. Marion Bartoli, initialement programmée en dernier match sur le court numéro 1 la veille, n’est pas à un retournement de situation près à Roland-Garros. Malmenée par le jeu de terrienne de la Colombienne, fait principalement de grands coups droits liftés et d’amorties, la numéro 1 française s’est rapidement retrouvée menée 5-2. Assez lente dans ses déplacements, moins explosive qu’à l’habitude dans ses frappes, conditions obligent, la demi-finaliste de l’édition 2011 a alors pu compter sur le manque d’expérience adverse et sur son inépuisable volonté. «L'expérience d'une vieille, ça sert un peu (rires). Je sais très bien ce qu'elle pense à ce moment-là et si j'arrive à sortir des coups qui l'obligent à faire encore mieux et qu'elle n'y arrive pas, ça va lui trotter dans la tête. Et c'est exactement ce qui s'est passé, même si j'ai encore eu un tout petit peu de chance aujourd'hui» commentera-t-elle plus tard.

«Chez moi, sur terre battue, il n'y a pas vraiment de niveau de jeu intermédiaire : ou je joue très bien ou je joue très mal (sourire)» Pour effacer les deux premières balles de set, la Française a pris les choses en main : un service et une volée de revers gagnants. Sur la troisième, son adversaire craquait en coup droit. Poing brandi, Marion Bartoli virait finalement en tête dans le jeu décisif, à sa quatrième occasion, après 1h11’ de jeu (coup droit dans le filet). Le plus dur était fait ? Pas vraiment, Mariana Duque-Marino menant 5-3 puis 5-4, service à suivre dans la seconde manche. Une ampoule au gros orteil du pied gauche obligeait alors la favorite du public à faire appel au soigneur. Une coupure fatale à la 162e joueuse mondiale, qui ne gagnera plus un jeu.

«Globalement, j'ai mieux joué qu'au premier match. C'était vraiment une spécialiste de terre battue. Pour moi, c'était un peu plus compliqué à gérer avec des hauteurs de balles différentes et coup sur coup du slice, un gros lift qui giclait, des amorties... Il a fallu produire plus et je suis parvenue à le faire quand j'étais un peu plus dos au mur. A la fin du deuxième set, c'était vraiment bien, j'attaquais la balle, je frappais fort. Maintenant, je vais devoir faire ça du début à la fin d'un match, ça serait mieux (...) Chez moi, sur terre battue, il n'y a pas vraiment de niveau de jeu intermédiaire : ou je joue très bien ou je joue très mal (sourire). Sur dur, ça se voit moins parce que je peux compenser par plein d'autres choses. Là, dès que je m'engage un peu moins, je descends à un niveau qui n'est pas compatible avec celui requis ici.» Pour une place en deuxième semaine, la tête de série numéro 13 devra maintenant se défaire de Francesca Schiavone ou Kirsten Flipkens (n°21).
Julien GIOVANELLA, à Roland-Garros

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Voile - Figaro : Desjoyeaux : «L'année ou jamais»

Vainqueur en 1992, 1998 et 2007 de la course, Michel Desjoyeaux est de retour pour participer au Figaro. Pour lui, l'édition 2013, qui débute dimanche, est plus relevée, et donc prestigieuse, que jamais.
Michel Desjoyeaux participe au Figaro non pas pas «par nécessité mais par plaisir». (L'Equipe)







«Michel Desjoyeaux, qu'est-ce qui motive votre retour sur cette course, que vous avez gagnée en 1992, 1998 et 2007?
Ma motivation principale n'est pas d'être le premier à gagner 4 Figaro, c'est plus le plaisir de la course. J'aurais pu rester le c... sur mon canapé, à voguer sur ma notoriété mais ce n'est pas le genre de la maison et ça n'aurait pas été très efficace pour mes projets futurs car je veux continuer à naviguer avec le trimaran (MOD70, ndlr). Je ne reviens donc pas par nécessité mais par plaisir.

«Même le Vendée Globe, à côté, c'est presque facile. C'est sans doute la course au large où l'on dort le moins.» La Solitaire du Figaro est-elle une course difficile et si oui, pourquoi?
On a tous les mêmes bateaux et il y a assez peu de technologie. Ça parait simple parce que ce sont de petits bateaux, assez rustiques. Mais la compétition est très dure sur le plan sportif et même le Vendée Globe, à côté, c'est presque facile. C'est sans doute la course au large où l'on dort le moins mais c'est pas forcément celui qui dort le moins qui va gagner. Il y avait un vieux dicton "le veilleur gagne" mais il faut (aussi) être capable d'aller se reposer, de se ressourcer au moment le plus opportun, quand le bateau sous pilote automatique va aller aussi vite. C'est une alchimie entre le temps passé à faire avancer le bateau et le bon état de vigilance, de lucidité.

Il y a des petits jeunes qui ont à coeur de bouffer du vieux briscard


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Voile - Figaro
Desjoyeaux au départ








Y a-t-il des concurrents que vous craignez plus que d'autres?
Il y a des petits jeunes qui vont bien et qui ont à coeur de bouffer du vieux briscard. C'est peut-être l'année où jamais, où il faut s'arracher... Un Figaro avec un tel niveau, c'est encore plus méritant de le gagner. On est 41 bateaux (au départ), il y a en a donc 40 à surveiller. Il ne faut pas non plus se faire emporter par des contrôles inefficaces car tout concurrent peut être bien ou mal inspiré. Il ne faut pas se laisser embarquer sur une voie de garage. Il faut avoir son libre arbitre, sa propre philosophie de course, bien analyser les phénomènes qui nous entourent.»

Avec AFP

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Vincent Riou en sera...

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Bradley Wiggins ne défendra pas son titre

31.05.2013 18:15 mise à jour à 18:22
Bradley Wiggins connaît des ennuis de santé depuis plusieurs jours. [Gian Mattia D'Alberto - Keystone]


Bradley Wiggins ne défendra pas son titre au Tour de France. Le Britannique connaît des ennuis de santé depuis plusieurs jours, une infection pulmonaire puis une inflammation au genou gauche.
"Avec sa maladie, sa blessure et son traitement, Brad en est au point où il ne peut pas être prêt pour le tour. C'est une grande perte, mais les circonstances ne nous permettaient pas de le sélectionner", a annoncé son équipe Sky.
"Il n'a pas pu s'entraîner avec intensité depuis le Giro, et a encore besoin de repos. C'est une immense déception pour l'équipe, et surtout pour Brad", a déclaré le patron du groupe britannique, Dave Brailsford.
"C'est un soulagement"

La formation britannique, qui avait désigné Christopher Froome comme leader sur le Tour cette année, perd un soutien de taille sur la prochaine Grande Boucle, même si l'investissement de "Wiggo" dans ce rôle était déjà largement mis en doute avant le Giro.
"Je voulais désespérément y participer, pour l'équipe et pour les fans, mais cela n'arrivera pas", a expliqué le tenant du titre. "C'est un soulagement de ne plus avoir à m'inquiéter de ma blessure, et de cette course contre le temps", a-t-il ajouté.
si/adav

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Genève champion de Suisse vingt-cinq ans après

31.05.2013 21:14 mise à jour à 22:18
Premiers de la saison régulière, les Lions sont allés au bout de l'aventure. [SALVATORE DI NOLFI - Keystone]


Irrésistibles Lions de Genève ! Les hommes d'Ivan Rudez se sont imposés vendredi lors du match décisif (74-64) de la finale de LNA face à Lugano. Ils remportent ainsi la série 3-2 et offrent au canton de Genève son premier sacre depuis celui de Champel en 1988.
Comme un clin d'oeil du destin. Battus l'an dernier par les Luganais lors du 5e match disputé au Tessin, les Lions de Genève ont cette fois profité de l'avantage du parquet pour prendre leur revanche. Bien que revenu de 2-0 à 2-2 dans la série, le triple tenant du titre a ainsi fini par plier face au vainqueur de la saison régulière.
Privée du MVP suisse de la saison Dusan Mladjan, la troupe du Jurassien Randoald Dessarzin y a pourtant cru jusqu'au bout. Les Luganais menaient en effet de deux points au début de l'ultime quart-temps, avant que les Genevois ne reprennent la tête à 7 minutes du terme pour ne plus jamais la perdre (57-54).
Ultime rugissement

Rapidement menés par les Lions (19-10 après 7'), les Luganais sont revenus à égalité parfaite au courage (23-23). C'était sans compter sur un Juwann James des grands soirs et auteur de 15 points dans le deuxième quart. Les Lions ont ainsi infligé un sec 12-0 aux Tessinois pour s'offrir jusqu'à 15 points d'avance (après 18') et un joli matelas à la pause (44-34).
Comme bloqués par la perspective de l'emporter, les Genevois ont alors buté encore et encore sur la - très bonne - défense luganaise. Mais, poussés par leur public, les Lions se sont ressaisis pour rugir une ultime fois, la plus importante de la saison.
si/adav

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Un 899e succès pour Roger Federer

31.05.2013 15:50 mise à jour à 19:39
Federer a déroulé face à Benneteau. Prochain cap: les huitièmes de finale. [IAN LANGSDON - Keystone]

Julien Benneteau

Roger Federer



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Roger Federer n'a pas trop souffert pour cueillir son 899e succès sur le circuit vendredi à Roland-Garros. Le Bâlois s'est imposé 6-3 6-4 7-5 au 3e tour face à un Julien Benneteau diminué. Il rencontrera Gilles Simon (ATP 18) au prochain tour.
Julien Benneteau devait être le premier test du tournoi parisien pour Roger Federer. Cela n'a pas été le cas. Diminué par des douleurs aux adducteurs, le Français de 31 ans n'a pas offert la réplique attendue même s'il a pris le service du no 3 mondial d'entrée.
Devant sa famille - ses jumelles étaient présentes dans la tribune malgré une météo capricieuse (17 degrés) -, le Bâlois a vite rétabli la situation pour atteindre pour la 11e fois les 8es à Roland-Garros, un record!
1h20, 1h22 et 1h31: c'est le temps passé par Federer sur le court lors de ses trois premiers tours. Une chose est sûre, il abordera la 2e semaine du tournoi sans avoir beaucoup transpiré.
"Je me sens bien mentalement"

Le Bâlois n'a pas dû puiser dans ses réserves pour battre Benneteau. [IAN LANGSDON - Keystone] MATCH: Ce n'était pas le test que j'attendais aujourd'hui. J'ai toute de suite vu que mon adversaire était handicapé. Il n'a pas joué comme d'habitude et j'ai su en profiter pour prendre l'avantage. J'avais une marge sur lui et j'ai toujours été certain de pouvoir gagner cette rencontre.
FORME: Je suis relax, je me sens bien mentalement et la confiance est là. C'est ce qu'il faut pour espérer aller loin dans un Grand Chelem. Je suis content de n'avoir pas eu besoin d'utiliser beaucoup d'énergie dans mes premiers tours. Cela me laisse des possibilités pour la suite. Tout est ouvert.
"Leur père est un peu fou"

TACTIQUE: Jusqu'à maintenant, j'ai pu jouer de manière assez agressive. Je ne sais pas si j'arriverai à le faire par la suite. Cela dépend aussi des adversaires et des conditions de jeu.
JUMELLES: Mes deux filles savent que je joue beaucoup au tennis, mais elles ne comprennent pas les enjeux et c'est tant mieux. Elles doivent certainement se dire que leur père est un peu fou d'aller autant jouer au tennis (rires)!
PROCHAIN ADVERSAIRE: J'ai battu Gilles Simon à Rome il y a 2 semaines, mais ça ne veut rien dire. J'ai déjà perdu 2 fois contre lui. Même quand j'affronte un Français sur le central, le public me soutient. Ce n'est pas normal, mais j'apprécie beaucoup!
Paris, Stéphane Altyzer
Lire aussi: Wawrinka a su rester zen contre Zeballos

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Simon Niepmann et Lucas Tramèr disputeront dimanche la finale du deux sans barreur aux Championnats d'Europe

31.05.2013 20:45 mise à jour à 20:48

Simon Niepmann et Lucas Tramèr disputeront dimanche la finale du deux sans barreur - classe non-olympique - des Championnats d'Europe de Séville. Le Zurichois et le Genevois ont établi le meilleur temps des séries en 6'46"25.

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Le gros coup de gueule de Nadal: "C'est une blague ou quoi??"

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Vainqueur en quatre sets du Slovaque Martin Klizan (4/6 6/3 6/3 6/3), Rafael Nadal a fait part de sa colère en conférence de presse. Le Majorquin est furieux d'avoir été programmé hier/jeudi en troisième match sur le Lenglen, alors que ses adversaires potentiels s'affrontaient le jeudi matin. Pour rappel, les Nadal et Klizan ont décidé, de commun accord, de ne pas commencer hier et de reporter le match au lendemain.

"Chacun dans cette salle sait que le programme d'hier était mauvais. C'est la réalité. Le directeur du tournoi, le superviseur, les organisateurs ont pris une mauvaise décision. Lorsqu'on fait le programme à 19h, on connaît exactement les prévisions météos pour le lendemain. Je ne peux pas jouer la troisième match après un match masculin et féminin, quand mon adversaire joue en deuxième match, après une rencontre de femmes. Ce n'est pas juste".

"J'ai passé trois heures sur le court aujourd'hui, alors que mon adversaire (ndlr. Fabio Fognini) regardait tranquillement la télévision dans les vestiaires. Mais voilà, il faut que je sois positif et prêt pour mon match de demain. Pour les filles, jouer deux jours d'affilée, ça ne pose pas de problème car elles jouent au meilleur des trois manches. Pour nous, c'est différent".

"Alors, l'excuse qu'on m'a donnée c'est que Lukas Rosol (battu par Fognini) devait jouer l'après-midi en double. Je suis désolé mais c'est une plaisanterie ou quoi ?? Il reste encore une semaine pour disputer les doubles. Pourquoi protège-t-on les joueurs de double? Que dois-je faire la prochaine fois? M'inscrire en double pour avoir priorité? Non, sérieusement, ce n'est pas une excuse valable. Bon, je vais en rester là car je vais passer pour un méchant, mais je pense que chacun sait que j'ai raison".

Bref, l'Espagnol n'a pas dû tout apprécié les choix de l'organisation, c'est le moins qu'on puisse écrire.

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Vers un championnat à deux fois 12 clubs?


La formule du championnat ne changera pas avant 2015-2016.

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Ernst and Young a présenté sept formules de championnat différentes aux 16 clubs de la Pro League, vendredi lors de son Assemblée générale. Une formule à deux fois 12 clubs recueille les faveurs d'Ernst and Young, mais les clubs doivent se mettre d'accord.
Le scénario jugé le meilleur par Ernst and Young est celui d'un championnat à 24 clubs, répartis dans deux groupes, A et B. Les deux groupes joueraient 22 matchs les uns contre les autres.

Les huit premiers du groupe A joueraient pour le titre national et les tickets européens. Les numéros 9 à 12 du groupe A et les numéros 1 à 4 du groupe B se disputeraient les play-offs pour quatre places dans le groupe A la saison suivante. Les numéros 5 à 12 du groupe B devraient jouer pour le maintien.

Cette formule permmettrait de revitaliser la deuxième division. Mais chaque club a son idée et pour valider une réforme, il faudra que 13 clubs (sur 16) se mettent d'accord sur une des formules proposées. "C'est maintenant à nous, en tant qu'experts du football, de voir quelle formule est réalisable économiquement et socialement", a déclaré l'adiminstrateur général de Charleroi Mehdi Bayat.

La Pro League a d'ores et déjà annoncé que la nouvelle formule ne serait pas d'application avant la saison 2015-2016 alors qu'elle était prévue pour 2014-2015.

Qu'ils se aillent se coucher les experts me demande même si ils savent qu'un ballon de foot est rond...........

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L'AS Monaco annonce la signature de Falcao

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Le président de l'AS Monaco, le milliardaire russe Dmitry Rybolovlev, a annoncé vendredi la signature de l'attaquant colombien de l'Atletico Madrid, Radamel Falcao, dans le cadre d'un transfert qui devrait être l'un des plus gros de l'histoire de la Ligue 1, a constaté l'AFP.

"Je voudrais officiellement annoncer que Falcao a signé son contrat", a déclaré M. Rybolovlev, dans un message en français lu à l'occasion d'une fête célébrant l'accession de l'ASM en Ligue 1.

L'article ne dit pas qu'il coûte 60 millions d'euros......