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Roland-Garros (Femmes) : Cornet rate l'exploit

Alizé Cornet n'était pas loin de la n°3 mondiale Victoria Azarenka, samedi à Roland-Garros. Mais la Niçoise n'a pas pu résister à la montée en puissance de la Bélarusse (4-6, 6-3, 6-1 en 2h22').
Alizé Cornet a failli faire tomber la n°3 mondiale, Victoria Azarenka, samedi, au troisième tour de Roland-Garros. Elle s'est finalement inclinée en trois sets. (L'Equipe)







La déception d'Alizé Cornet en sortant du court Chatrier samedi était à la hauteur de l'occasion manquée. Après un superbe premier set, la Française a petit à petit laissé filer ce troisième tour alors que la n°3 mondiale, elle, a su se reprendre avec la manière (4-6, 6-3, 6-1). Dominée pendant un set, malmenée pendant l'autre, la gagnante de l'Open d'Australie a fini par tenir son rang, en commançant déjà par tenir son service. De manière incompréhensible, ''Vika'' a en effet passé la moitié du match a se battre avec sa mise en jeu, accumulant les double-fautes (10 au total, dont 6 dans le premier set). Mais la protégée de Sam Sumyk a su faire le dos rond et retrouver ses bases : une grosse cadence du fond du court et de la prise de risques.

Cornet, titrée à Strasbourg juste avant Roland-Garros, a prouvé qu'elle avait retrouvé son meilleur niveau de jeu. Son coup droit lifté et sa couverture de terrain ont poussé Azarenka à la crise de nerfs pendant deux sets. La Française était sur toutes les balles, contrant à merveille et dictant la cadence : à 1-0 break dans le deuxième set, la 27e joueuse mondiale, avec tout le public derrière elle, semblait très proche d'un exploit.

La détermination d'Azarenka

Mais Azarenka a de l'orgueil et s'est révoltée. Elle a retrouvé du sang froid et compris que si elle ne frappait pas la première elle allait dans le mur. Mal à l'aise en défense, elle a assumé son rang grâce notamment à des séquences de haut vol en revers croisé, une longueur de balle retrouvée et un plan de jeu plus efficace. En prenant la balle encore plus tôt, en s'engageant physiquement sur toutes les balles et en trouvant des angles, elle a progressivement mis Cornet sur la défensive. Une attitude de championne qui lui a permis de recoller à un set partout et de capitaliser ensuite sur la petite baisse de Cornet.

Jusque-là très inspirée dans ses choix (amorties, revers long de la ligne, coup droit de patronne), la Tricolore a perdu sa lucidité en même temps que son intensité. Un peu plus lente sur les jambes, Cornet a beaucoup trop subi pour pouvoir de nouveau faire douter son adversaire. Le break subi en début de manche décisive (1-3) a procuré la confiance suffisante à Azarenka pour dérouler. Les ''Allez Alizé'' tombant des tribunes n'ont rien changé. La panique dans le regard d'Azarenka, vue pendant un set et demi, avait totalement disparu. Irréprochable dans l'attitude, ''Vika'' a passé un vrai test samedi : elle devra véritablement élever son niveau de jeu si elle veut aller loin ici mais elle a prouvé qu'elle en avait la détermination.
Carole BOUCHARD, à Roland-Garros

[Norton]

Roland-Garros (Femmes) : Bartoli balayée par Schiavone

Comme en demi-finales de l'édition 2011, Marion Bartoli quitte la Porte d'Auteuil face à Francesca Schiavone. La Française n'a pas trouvé la solution face à l'Italienne (6-2, 6-1), samedi, au troisième tour.
Marion Bartoli a encore été stoppée par Francesca Schiavone à Roland-Garros. En 2011, c'était en demi-finale ; cette fois, l'Italienne l'a battue au troisième tour. (L'Equipe)







Le jour sans. Marion Bartoli connu un vrai passage à vide au troisième tour et a été dominée par l'Italienne Francesca Schiavone en deux sets secs (6-2, 6-1), samedi, au troisième tour. Face à une adversaire qui ne lui réussit pas et qui mène désormais 6-2 dans leurs confrontations. Très gênée par le jeu adverse tout en variations, la n°1 française aurait eu besoin d'être dans un grand jour pour contrer l'Italienne sur ocre. Mais elle a au contraire coulé à pic, sans sensations. «J'ai bien commencé le match, j'ai gagné les cinq premiers points et puis ensuite je ne sais pas ce qui est arrivé : les jeux se sont mis à défiler et je n'ai pas réussi à me remettre dedans. Evidemment son jeu est toujours gênant pour moi mais là je ne comprends pas. Je ne m'attendais pas à faire un match aussi pourri», a confié la Tricolore, dépitée.

Il y a pourtant comme une certaine logique derrière cette contre-performance, tant Bartoli a semblé payer sa préparation ratée pour Roland-Garros ainsi qu'un début de saison très perturbé par le manque de résultats et les soucis de structure d'entraînement. Blessée à une cheville à Madrid, elle a accusé un énième retard dont elle n'avait pas besoin. Si elle s'est entraînée très dur pour tenter d'être au point à Paris, elle était manifestement encore trop juste. Samedi, elle a aussi eu terriblement de mal à enchaîner un match à forte intensité, elle qui avait laissé beaucoup d'énergie en route la veille.

«J'ai fait un match pourri, j'aurais pu vider le stade tellement c'était nul. Il faut être honnête» Dans ces circonstances, Schiavone - bien que retombée à la 50e place mondiale - était dans la meilleure situation possible. Et avec son expérience, elle a su parfaitement imposer sa filière de jeu. La terre battue reste bien plus son territoire que celui de Bartoli, alors même sans grande confiance elle y possède les automatismes gagnants. L'Italienne, en perte de vitesse depuis des mois si ce n'est pour ce titre conquis à Marrakech, a ainsi décroché son billet pour les huitièmes de finale. Elle y retrouvera la n°3 mondial, Victoria Azarenka.

Peu efficace au service, incapable de tenir à l'échange sans partir à la faute, Bartoli n'a donc fait que subir le jeu de terrienne de la gagnante de l'édition 2010. Si elle ne se cherche pas d'excuse, elle tente de comprendre pourquoi elle n'a pas su réagir aujourd'hui : «C'était mieux à la fin, les jeux étaient plus accrochés mais bon... Peut-être que je paie le fait de ne pas avoir gagné beaucoup de matches depuis le début de la saison. Peut-être aussi que je paie les efforts du match hier et de la semaine de préparation à marche forcée que j'ai dû faire pour compenser le retard dû à ma blessure. Mais quand même, à un moment aujourd'hui je ne savais même plus quoi faire. J'ai fait un match pourri, j'aurais pu vider le stade tellement c'était nul. Il faut être honnête. Maintenant je vais retrouver le gazon, une surface qui me convient mieux. J'ai beaucoup travaillé, ça va finir par payer.» Comme on dit au pays de ce Wimbledon qu'elle a hâte de retrouver, ''wait and see''.
Carole BOUCHARD, à Roland-Garros

[desmolo]

ce soir une course d'indycar à détroit.
http://www.sportlemon.tv/c-10.html
certainement moins de dépassements qu'à indianapolis la semaine dernière, mais vu la course can am de tout à l'heure, il va y avoir de la casse.
simona de silvestro avait bien tiré son épingle du jeu lors de la course d'ouverture à saint petersbourg, un autre circuit urbain.
il y a aussi les franchies, bourdais, vautier et pagenaud en course (les 2 derniers ont bien roulés aux 500 miles d'indy)


édith : ça n'a pas trainé, premier pace car avant la fin du premier tour.

[Norton]

Mourinho sifflé pour sa dernière à Bernabeu

Football

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Le Portugais a été copieusement sifflé par les supporters d’un Real Madrid qu’il quitte après trois saisons surtout marquées par la polémique.
Mis à jour le 01.06.2013

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José Mourinho a pris congé samedi du stade Santiago-Bernabeu sur une victoire 4-2 face à Osasuna, pour la 38e et dernière journée du championnat d’Espagne. Le Portugais, globalement sifflé par le Bernabeu même s’il a été applaudi par le secteur des ultras qui a déployé une banderole en sa faveur, part également brouillé avec certains cadres du vestiaire. La non-convocation de Pepe et du gardien Casillas - alors que le titulaire habituel Diego Lopez était pourtant indisponible - samedi en est la preuve. Pour pousser l’absence de logique un peu plus loin, «The Special One» a aligné le quatrième gardien, Jesus Fernandez, laissant le jeune Adan sur le banc.
Ovation pour Abidal à Barcelone
Le champion Barcelone a lui mis un terme à sa saison par un large succès 4-1 contre Malaga, terminant avec 100 points et égalant donc le record établi par le Real l’an passé. Un match qui a été l’occasion pour le Français Eric Abidal de dire au revoir à son public, lui qui doit se trouver un nouveau club cet été. La dernière place en Ligue des champions a été obtenue, et c’est une première dans l’histoire du club, par la Real Sociedad. Le club basque, vainqueur 1-0 à la Corogne, coiffe sur le poteau Valence, tombé 4-3 chez le FC Séville.
Le suspense de cette ultime journée concernait toutefois d’avantage la lutte contre la relégation. Les trois cancres de la Liga 2012-2013 se nomment Majorque, La Corogne et Saragosse. Le Celta Vigo, en l’emportant 1-0 contre l’Espanyol, a condamné son voisin galicien du Depor et rendu inutile le succès 4-2 des Majorquins contre Valladolid.
Classement: 1. Barcelone 100. 2. Real Madrid 85. 3. Atletico Madrid 76. 4. Real Sociedad 66. 5. Valence 65. 6. Malaga 57. 7. Betis Séville 56. 8. Rayo Vallecano 53. 9. FC Séville 50. 10. Getafe 47. 11. Levante 46. 12. Athletic Bilbao 45. 13. Espanyol Barcelone 44. 14. Valladolid 43. 15. Grenade 42. 16. Osasuna 39. 17. Celta Vigo 37. 18. Majorque 36. 19. La Corogne 35. 20. Real Saragosse 34.

[Norton]

Wawrinka écarte Janowicz et affrontera Gasquet à Paris

01.06.2013 20:21 mise à jour à 22:10
Stan affrontera Gasquet en 1-8 lundi. Le vainqueur de ce duel affrontera sûrement Nadal en 1-4... [Philippe Wojazer - Reuters]

Stanislas Wawrinka

Jerzy Janowicz



6 3
6 2 7 7
6 3
63
- -




Stanislas Wawrinka (ATP 10) n'a guère tremblé en 16es de finale de Roland-Garros. Opposé au Polonais Jerzy Janowicz (23), finaliste à Bercy l'automne dernier, le Vaudois s'est imposé 6-3 6-7 (3/7) 6-3 6-3 et affrontera le Français Richard Gasquet au tour suivant.
Battu trois fois consécutivement en 8es de finale à Roland-Garros, Stanislas Wawrinka (no9) aura une nouvelle chance d'inverser la tendance lundi. Vainqueur 6-3 6-7 (2/7) 6-3 6-3 de Jerzy Janowicz/POL (no21), il affrontera Richard Gasquet (no7).
Mais Stan devra se montrer plus constant face au Français. Contre Janowicz, il a encore connu un "coup de mou" à 6-3 5-4 service à suivre...
Du France - Suisse au programme

Les duels franco-suisses seront à l'honneur ces jours à Roland-Garros. Après le Federer-Benneteau de vendredi, et en attendant le Federer-Simon de dimanche et l'éventuel Federer-Tsonga en 1/4, Stanislas Wawrinka se mesurera aussi à un Tricolore: Richard Gasquet.
Stan aurait pu boucler l'affaire en 3 sets sans un léger "coup de mou". [Caroline Blumberg - Keystone] Le Vaudois, qui atteint pour la 4e année d'affilée les 8es, cherchera à jouer un premier quart de finale à Paris, tout comme son futur adversaire.
Programmé sur le central lundi, ce match vaudra le détour entre deux des plus beaux revers à une main du Circuit. Les deux hommes se sont affrontés une fois, mais il y a très longtemps. Gasquet s'était imposé en 2006 à Bercy.
Stan "a confiance dans son jeu"

"Je suis arrivé à Paris avec beaucoup de doute concernant ma cuisse, donc je suis très satisfait de la manière dont j'ai géré cette première semaine", a déclaré Wawrinka après sa victoire contre le Polonais Jerzy Janowicz.
"A 5-4 dans le 2e set, je fais un mauvais jeu de service, quelques mauvais choix. Mais il faut aussi dire que mon adversaire a élevé son niveau de jeu. Il était beaucoup plus agressif. De mon côté, j'ai moins bien servi dans ce set".
"Je me suis repris dans les 3e et 4e manches et je me sens bien. J'ai confiance dans mon jeu, je joue bien et je n'ai aucune douleur physique".
"Un combat physique et mental"

Comme Stan, Richard Gasquet n'est jamais allé plus loin que le 4e tour à Paris. [Christophe Karaba - Keystone] Le no2 suisse a ensuite parlé avec respect de son futur adversaire. "Gasquet est très talentueux, il a beaucoup progressé depuis un an. Je m'attends à un dur combat, mais je sais que si j'évolue à mon niveau, j'ai toutes mes chances et que je peux le battre".
Même s'il n'a affronté qu'à une seule reprise le Français dans le passé, Stan a déjà une idée claire et précise sur la tactique à employer lundi.
"Je devrai l'engager sur un combat physique et mental, lui montrer que je ne lâcherai rien et que chaque point sera très difficile à gagner. Il devra être prêt pour disputer un long match".
Gasquet ou le blocage des 8es

Richard Gasquet s'attend aussi à un gros match face au Vaudois. "Stan est très puissant, a un gros service et je ne parle pas de son revers. Il est compliqué à jouer et c'est l'un des 5-6 meilleurs du monde sur terre battue".
Le Français, qui va jouer son sixième 8e de finale en Grand Chelem d'affilée, espère enfin passer ce cap. "Je suis plus costaud et plus en confiance qu'il y a une année. Cela fait une grosse différence d'être 15-20e mondial ou no9 comme c'est le cas actuellement".
Dire que Gasquet fait des cauchemars en pensant à un 8e de finale de Grand Chelem n'est sans doute pas usurpé. Sur 15 matches à ce stade, il ne s'est qualifié... qu'une fois pour les quarts!
Paris, Stéphane Altyzer

[Norton]

Le FC Bâle enlève officiellement son 16e titre, Thoune en Europe

01.06.2013 22:32 mise à jour le 02.06.2013 à 00:03
Marco Streller (au centre) brandit la 16e coupe de Champion de Suisse du FC Bâle. [Georgios Kefalas - Keystone]

FC Bâle
1 - 0
Saint-Gall



Vainqueur 1-0 de St-Gall au Parc St-Jacques, le FC Bâle décroche officiellement son 16e titre national, le 4e d'affilée. Dans le même temps, Grasshopper a battu Lausanne 4-1. Dans la lutte pour l'Europa League, Thoune a décroché le dernier ticket grâce à un but de Matic à la 90e (2-2 face à YB). Sion avait pourtant battu Zurich 4-2...
Thoune a arraché le nul 2-2 contre les Young Boys à un moment où Sion avait cru au miracle, puisque vainqueur rocambolesque d'un match fou à Tourbillon contre le FC Zurich (4-2).
Les Sédunois, au visage très M21, avaient pourtant retrouvé un peu de ce caractère qui leur a tant fait défaut durant ce 2e tour calamiteux. Menés deux fois au score (Gavranovic et Drmic), ils ont frappé par Vanczak (malgré une position de hors-jeu de Ndjeng que l'arbitre aurait dû sanctionner), ainsi que par les "gamins" Kololli (61e), Karlen (73e) et Veloso (86e). Las pour eux en vain.
A Sion, on est enfin arrivé au bout de la saison... [Laurent Gilliéron - Keystone] Sion a tout perdu sur la fin

Européen durant 33 rondes sur 36, Sion a tout perdu dans le sprint final. Les trop fréquents remous provoqués par son incorrigible président Christian Constantin y sont pour beaucoup. Avec pas eu moins de cinq changements d'entraîneur cette saison, une qualification européenne aurait tout bonnement été un pur exploit.
Officieusement sacré mercredi, Bâle est devenu - officiellement cette fois-ci - la première équipe à remporter quatre fois le titre consécutivement depuis le grand Young Boys d'Albert Sing (1957 - 1960). Malgré une équipe largement remaniée, le FCB a pris la mesure de St-Gall en ouvrant le score - c'est un événement - par l'Argentin Raul Bobadilla, arrivé de Berne en février, à la 22e.
Grasshopper a tout de même fait le travail

Assommés par l'annonce plus tôt dans la journée du départ de leur entraîneur Uli Forte vers Berne, les Grasshoppers ont quand même fait le travail face au Lausanne-Sport (4-1), dans une rencontre qui pourrait bien être la dernière de Laurent Roussey sur le banc vaudois. Le coach français doit donner sa réponse définitive à ses dirigeants en début de semaine.
Le Servette FC aura décidément bu le calice jusqu'à la lie. Alors qu'ils avaient émis le désir dès jeudi, au lendemain de leur relégation, de tout faire pour terminer leur pensum par une victoire, les Grenat se sont inclinés 4-3 chez eux devant Lucerne et 2379 spectateurs, après avoir pourtant mené 2-0 puis 3-1.
Le but décisif est tombé dans les arrêts de jeu par Neziraj. L'expulsion pour faute grossière de Routis à la 21e a lourdement pesé dans la balance. Et les Genevois, désormais, d'attendre lundi et le verdict de la SFL au sujet de la licence de jeu pour 2013/14.
si/dbu

La fiche du FC Bâle

Président: Bernhard Heusler
Stade: Parc St-Jacques (38'500 places)
Entraîneur: Murat Yakin

Palmarès:
16 fois champion de Suisse (1953, 1967, 1969, 1970, 1972, 1973, 1977, 1980, 2002, 2004, 2005, 2008, 2010, 2011, 2012 et 2013)
11 fois vainqueur de la Coupe de Suisse (1933, 1947, 1963, 1967, 1975, 2002, 2003, 2007, 2008, 2010 et 2012)
1 fois vainqueur de la Coupe de la Ligue (1973)
4 fois en phase de groupes de la Ligue des champions (2002/03, 2008/09, 2010/11 et 8es de finale en 2011/12)
Demi-finaliste de l'Europa League (2012/13)
Finaliste de la Coupe Intertoto (2001)

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Triplé historique pour le Bayern Munich!

01.06.2013 23:01 mise à jour à 23:06
Xherdan Shaqiri (avec la Coupe d'Allemagne) aura tout gagné cette saison avec le Bayern. [Maurizio Gambarini - Keystone]


Une semaine après son triomphe européen à Wembley, le Bayern Munich a complété un triplé historique en ajoutant la Coupe d'Allemagne au titre national grâce à une victoire (3-2) sur Stuttgart en finale, samedi au stade olympique de Berlin. Xherdan Shaqiri est entré en toute fin de match.
Historique! Le Bayern Munich est devenu le premier club allemand à remporter les trois trophées durant la même saison, le 7e sur la scène européenne après notamment Manchester United (1999), Barcelone (2009) et l'Inter Milan (2010).
Non sans avoir tremblé en fin de partie, lorsqu'un doublé de Martin Harnik (71, 80) réduisait le net avantage acquis par les Bavarois grâce aux buts de Thomas Müller (37, penalty) et Mario Gomez (48, 61)...
Seulement 3 défaites en 53 matches

Depuis la victoire en Supercoupe sur Dortmund en août, le Bayern aura tout balayé sur son passage, ne concédant que trois défaites en 53 matches toutes compétitions confondues, dans sa quête du 23e titre national (avec 25 records à la clé!), du 4e titre européen et désormais d'une 16e Coupe d'Allemagne.
Franck Ribéry et Cie ont ainsi complété un fabuleux cadeau d'adieux au coach Jupp Heynckes pour sa dernière apparition sur le banc bavarois avant de passer le témoin à l'ex-guide du Barça, Pep Guardiola.
afp/dbu

[Norton]

"Rafa" gagne enfin en 3 sets, "Nole" en démonstration

01.06.2013 22:07 mise à jour à 22:12
Rafael Nadal n'a réussit que 3 coups droits gagnants au 1er set! [Michel Spingler - Keystone]

Rafael Nadal

Fabio Fognini



7 7 6 5
6 4
64
- -
- -




Rafael Nadal (no 3) a enfin gagné un match en trois sets dans l'édition 2013 de Roland-Garros. Le gaucher majorquin s'est qualifié pour les 8es de finale en dominant Fabio Fognini (no 27) 7-6 (7/5) 6-4 6-4 samedi, juste avant la démonstration réalisée par Novak Djokovic (no 1) face à Grigor Dimitrov (no 26). Tommy Haas, lui, passe à sa 13e balle de match!
Le triple tenant du titre, qui peut devenir le premier joueur à gagner huit fois le même tournoi du Grand Chelem s'il s'impose cette année à Paris, en est désormais à 18 victoires consécutives sur le Circuit. La 19e devrait tomber dès lundi au 4e tour: il se mesurera au Japonais Kei Nishikori (no 13), qui ne possède pas suffisamment d'armes sur le plan offensif pour espérer créer la sensation.
Samedi, Rafael Nadal a été ballotté à l'entame du match, comme lors des tours précédents face à Daniel Brands (ATP 59) et Martin Klizan (ATP 35) quand il avait cédé la première manche. L'Espagnol s'est cependant montré suffisamment solide pour dompter en trois sets un Fabio Fognini égal à lui-même: théâtral et fantasque, l'Italien fut pendant une manche et demie le meilleur joueur sur le court.
L'Italien a cependant singulièrement manqué de rigueur: sans ses 31 fautes directes commises au premier set, il aurait probablement remporté cette manche.
Et de 500 pour Novak Djokovic!

Djokovic se sent pousser des ailes à Paris! [Michel Spingler - Keystone] Adversaire désigné de Rafael Nadal en demi-finales, Novak Djokovic s'est montré bien plus convaincant que son grand rival dans la rencontre qui suivait celle du Majorquin sur le court Philippe Chatrier. On promettait l'enfer au Serbe, mais il a mis les choses au point face à un Grigor Dimitrov encore un peu tendre pour espérer dominer un joueur de cette trempe au meilleur des cinq sets.
Nole s'est aisément imposé 6-2 6-2 6-3 face au "Federer bulgare", prenant ainsi une cinglante revanche sur le revers concédé au 2e tour du récent Masters 1000 de Madrid pour fêter son 500e succès sur le circuit. Il ne courra aucun risque au tour suivant face à l'Allemand Philipp Kohlschreiber (no 16) s'il évolue dans le même registre.
si/dbu
A lire aussi: Vögele pas loin de l'exploit face à Kirilenko et Wawrinka écarte Janowicz et affrontera Gasquet

[Norton]

Sébastien Loeb a largement dominé le Rallye du Chablais. Le pilote français a remporté les 14 spéciales!

01.06.2013 23:52 mise à jour à 23:54

Sébastien Loeb s'est montré intraitable sur le routes du Rallye du Chablais. Le pilote français, nonuple vainqueur du Championnat du monde, a signé 14 victoires en... 14 spéciales, et ce malgré une sortie de route sans gravité lors de la 10e étape, selon "Radio Chablais". Dans des conditions dantesques, Loeb a mis plus de 7' dans la vue de Nicolas Althaus, 2e de l'épreuve.

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Grasshopper a fait le travail, battant Lausanne 4-1. Servette a fini par une défaite 3-4 face à Lucerne

01.06.2013 23:26 mise à jour à 23:29

Assommé par l'annonce, plus tôt dans la journée, du départ de son entraîneur Uli Forte vers Berne, Grasshopper a quand même fait le travail face au Lausanne-Sport (4-1) dans un match qui pourrait bien être le dernier de Lau-rent Roussey sur le banc vaudois. Le Français décidera en début de semaine.Servette a, lui, bu le calice jusqu'à la lie. Alors qu'ils avaient émis le désir de finir sur une victoire, les Genevois se sont inclinés 3-4 devant Lucerne et 2379 spectateurs.Servette attend désormais le verdict - lundi - de la SFL au sujet de la licence de jeu pour 2013/14...