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[Cinquante]

Envoyé par desmolo

tout à fait. ça fait bien un quart de siècle que je n'ai pas acheté de fringues, de soda, ou de sandwishes de marque, mais chaque semaine, je prends les autoroutes des bétonneux, avec le gasoil des mazouteurs et en buvant de l'eau qui asseche les puits au prix du super sans plomb.

à te lire on a l'impression que tu trouves que l'eau n'est pas assez chère

[desmolo]

si-si , surtout depuis qu'elle est privée.

[Norton]

L'Italie débute bien

Football

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Pour leur premier match dans la Coupe des confédérations, les Italiens ont battu le Mexique 2-1.
Mis à jour le 16.06.2013 2 Commentaires

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Groupe A, 1re journée

Samedi. A Brasilia: Brésil - Japon 3-0 (1-0).

Dimanche. A Rio de Janeiro: Mexique - Italie 1-2 (1-1).

Classement (1 match): 1. Brésil 3 (3-0). 2. Italie 3 (2-1). 3. Mexique 0 (1-2). 4. Japon 0 (0-3).

L’Italie a logiquement pris la mesure du Mexique (2-1), lors de la 1re journée du groupe A de la Coupe des Confédérations. Elle rejoint ainsi le Brésil, tombeur samedi du Japon, en tête du classement.
Dans le mythique Maracana flambant neuf, l’Italie a presque fait tout juste en première mi-temps. Dominatrice, peu inquiétée à part quand Guardado a ajusté la transversale de Buffon (11e), elle a maîtrisé les débats et a pris les devants sur un magistral coup franc d’Andrea Pirlo à la 27e. Le stratège de la Juventus a ainsi fêté de la plus belle des manières sa... 100e sélection (13e but), le tout dans une enceinte de légende. «La fée Clochette» a rejoint dans le cercle des centenaires transalpins Fabio Cannavaro (136), Gianluigi Buffon (désormais 129), Paolo Maldini (126) et Dino Zoff (112).
La puissance de Balotelli
Mais la Squadra a eu une absence, ou plutôt son défenseur central Andrea Barzagli en a eu une. Le Juventino a bêtement perdu le ballon puis a fait faute sur Dos Santos dans la surface. Le Mexique, bien emprunté jusque-là, a pu égaliser contre le cours du jeu sur un penalty transformé par le Mancunien Javier «Chicharito» Hernandez (34e).
A l’image de Mario Balotelli, d’abord incisif puis moins en vue, les vice-champions d’Europe ont perdu de leur superbe après la pause, sans pour autant céder l’initiative aux Mexicains. Souvent trop brouillon, Giaccherini a cependant su trouver d’une subtile déviation un «Super Mario» dont la puissance a fait merveille au coeur de l’arrière-garde adverse. L’avant-centre de l’AC Milan ne s’est alors pas fait prier pour offrir la victoire aux siens à la 78e.
La deuxième journée opposera le Brésil au Mexique (mercredi à 21h00) et l’Italie au Japon (jeudi à minuit).

[Norton]

Rose offre un dimanche noir à Mickelson

17.06.2013 02:33 mise à jour à 02:59 Réagir
Rose comptait 6 victoires sur le circuit européen et 5 sur le circuit américain. [Julio Cortez - Keystone]


Justin Rose (32 ans) a remporté le premier tournoi du Grand Chelem de sa carrière en s'adjugeant l'US Open sur le parcours du Merion Golf Club à Ardmore. Il prive Phil Mickelson d'un premier sacre dans ce tournoi.
Premier Anglais à enlever ce "Majeur" depuis 1970 (Tony Jacklin) et un "Majeur" depuis 1996 (Nick Faldo aux Masters), Rose a rendu une carte de 70 dimanche lors du 4e tour pour un total de 281 (+1).
La déception de Mickelson, qui était en tête samedi à l'issue du 3e tour. [Tannen Maury - Keystone] La malédiction de Mickelson

Il a devancé de deux coups l'Australien Jason Day et Phil Mickelson, pour qui la malédiction continue: l'Américain termine pour la sixième fois deuxième de l'US Open. "Pour moi, c'est vraiment déchirant. Je pense que cette semaine, c'était ma meilleure opportunité", a regretté Mickelson.
Celui-ci a notamment flanché au 15e trou, rentrant bogey, avant de manquer un putt à deux mètres sur le 16e trou.
"Un jour chargé d'émotion"

"C'était un jour si chargé d'émotion, je ne pouvais m'empêcher de regarder les cieux et de penser que mon vieux père (ndlr: décédé) y était forcément pour quelque chose", a réagi Justin Rose
Tiger Woods a lui manqué le coche. Le no1 mondial s'est classé 32e, devant le Nord-Irlandais Rory McIlroy (45e), son dauphin dans la hiérarchie.

[Norton]

La centième parfaite d'Andrea Pirlo

16.06.2013 23:05 mise à jour le 17.06.2013 à 03:05 Réagir
Pirlo rejoint dans le cercle des centenaires italiens Cannavaro, Buffon, Maldini et Zoff. [Felipe Dana - Keystone]


Dimanche, à Rio de Janeiro, l'Italie s'est affirmée comme le principal rival du Brésil dans le groupe A de la Coupe des Confédérations. La Squadra a logiquement pris la mesure du Mexique (2-1) grâce notamment à un bijou de coup franc signé Andrea Pirlo. L'Espagne a battu l'Uruguay sur le même score.
Dans le mythique stade Maracana flambant neuf, l'Italie a presque fait tout juste en première mi-temps. Dominatrice, peu inquiétée à part quand Guardado a ajusté la transversale de Buffon (11e), elle a maîtrisé les débats et a pris les devants sur un magistral coup franc d'Andrea Pirlo à la 27e. Le stratège de la Juventus a ainsi fêté de la plus belle des manières sa... 100e sélection (13e but), le tout dans une enceinte de légende.
La puissance de Balotelli

Mais la Squadra a eu une absence, ou plutôt son défenseur central Andrea Barzagli en a eu une. Le Juventino a bêtement perdu le ballon puis a fait faute sur Dos Santos dans la surface. Le Mexique, bien emprunté jusque-là, a pu égaliser contre le cours du jeu sur un penalty transformé par le Mancunien Javier "Chicharito" Hernandez (34e).
A l'image de Mario Balotelli, d'abord incisif puis moins en vue, les vice-champions d'Europe ont perdu de leur superbe après la pause, sans pour autant céder l'initiative aux Mexicains. Souvent trop brouillon, Giaccherini a L'Espagne a longtemps déroulé face à une pâle équipe d'Uruguay. [Felipe Trueba - Keystone] cependant su trouver d'une subtile déviation un "Super Mario" dont la puissance a fait merveille au coeur de l'arrière-garde adverse. L'avant-centre de l'AC Milan ne s'est alors pas fait prier pour offrir la victoire aux siens à la 78e.
L'Espagne éclipse la Celeste

L'Espagne n'a eu besoin que d'une demi-heure pour dominer l'Uruguay (2-1) lors son entrée en lice dans la Coupe des Confédérations. La Roja a affiché une totale maîtrise et une gestion de ses efforts dans la chaleur tropicale de Recife, dans le Nordeste brésilien.
L'Espagne, huée par le public sud-américain, s'est vite détachée au score, d'une demi-volée de Pedro déviée par Lugano (20e) puis d'un second but, signé Soldado, alerté par Fabregas et oublié par la lourde charnière centrale Lugano-Godin (32e). Tout suspense s'était définitivement assoupi... jusqu'à la réduction du score sur coup franc direct par Suarez (88e), qui ne s'était jusqu'alors procuré aucune occasion, tout comme Forlan, entré pour les vingt dernières minutes.

[Norton]

L'Espagne a fêté une entrée victorieuse dans la Coupe des Confédérations en dominant l'Uruguay 2-1

17.06.2013 02:07 mise à jour à 02:10
L'Espagne a longtemps déroulé dans ce match. [Key]



L'Espagne n'a eu besoin que d'une demi-heure pour dominer l'Uruguay 2-1, lors de son entrée dans la Coupe des Confédérations dimanche, affichant une totale maîtrise et une gestion de ses efforts dans la chaleur tropicale de Recife, dans le Nordeste brésilien.Impressionnante de maîtrise mais sifflée par le public sud-américain, la "Roja" s'est vite détachée: une demi-volée de Pedro déviée par Lugano (20e) puis un second but, signé Soldado ont suffi à faire son bonheur.Tout suspense s'était définitivement assoupi... jusqu'à la réussite sur coup franc direct par Suarez (88e).

[Norton]

Basket - Euro (Femmes) : Les Bleues montent en puissance

L'équipe de France a encore remporté brillamment son deuxième match de l'Euro, dimanche face à la Serbie (76-32) et obtenu par la même occasion sa qualification pour le deuxième tour.
Céline Dumerc s'est encore illustrée face à la Serbie. (L'Equipe)







Le match

Bien décidées à continuer sur le même rythme, après une première opposition pleine de maîtrise face à la Lettonie (62-39), les Braqueuses ont embrayé avec un deuxième succès net, dimanche contre la Serbie (76-32). Une victoire qui leur assure d’ores et déjà une qualification pour le deuxième tour. Reste à savoir en quelle position elles basculeront pour la suite de la compétition. En attendant d’être fixées, les vice-championnes olympiques ont encore fait preuve d’une supériorité indéniable face à un adversaire très jeune. Malgré cinq premières minutes hésitantes (6-4), la machine s’est ensuite mise en route (20-8 à la 10e, 38-15 à la mi-temps et 55-25 à la 30e) sous l’impulsion des habituelles remplaçantes notamment. Céline Dumerc (10 points, 2 passes) a aussi participé à la fête tandis que la nouvelle chouchoute du public, Isabelle Yacoubou (10 pts, 8 rebonds), a encore fait le show dans une Arena Loire qui en redemande.

Le fait marquant

Avec cinq nouvelles joueuses (moins expérimentées) dans le groupe depuis la dernière aventure aux JO, il était légitime de se poser la question suivante : derrière les cadres, les "vraies" Braqueuses, ces novices à un tel niveau de compétition allaient-elles s’intégrer suffisamment rapidement pour apporter dans le jeu ? Elles ont livré une réponse cinglante contre la Serbie. Car à l’image de Gaëlle Skrela (14 pts, meilleure marqueuse tricolore), très appliquée et récompensée dans ses prises de décision, c’est tout le banc (avec 52 pts) qui a largement contribué à cette nouvelle victoire, mettant déjà un point final au débat.

La stat : 60


Le zéro pointé aux tirs à trois points contre la Lettonie avait fait désordre, samedi. Même si Pierre Vincent ne s’en était pas inquiété, le sectionneur français préférait voir son équipe plus adroite dans cet exercice. Son vœu a été exaucé car contre les Serbes, les Bleues ont inscrit six paniers longue distance (6/10, soit 60%). Même si le chiffre n’est pas non plus extraordinaire, il a au moins le mérite de souligner les progrès offensifs d’une formation, qui manque cruellement de réussite dans ce domaine depuis le début de sa préparation.

La suite

Après deux démonstrations pour commencer, l’équipe de France sera opposée lundi (21h00) à un adversaire autrement plus coriace pour son troisième match. Face à la Grande-Bretagne, qui lui avait posé de gros problèmes aux derniers Jeux de Londres, la sélection tricolore pourra véritablement ressentir la pression pour la première fois du tournoi. Car les Britanniques totalisent déjà deux victoires elles aussi. C’est donc la première place du groupe C qui sera en jeu.
Hugues SIONIS, à Trélazé

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[Norton]

Tennis - ATP - Queen's : Murray, retour gagnant

Andy Murray s'impose pour la troisième fois de sa carrière au Queen's. Le Britannique a pris le meilleur sur Marin Cilic en trois sets (5-7, 7-5, 6-3).
Andy Murray remporte le Queen's pour la troisième fois de sa carrière. (Reuters)







Andy Murray a réussi son retour à la compétition en s'imposant en finale du tournoi du Queen's face à Marin Cilic (5-7, 7-5, 6-3). Privé de Roland-Garros à cause d'une blessure au dos, Murray retrouvait donc la compétition à l'occasion de l'ouverture de la courte saison sur gazon qui connaîtra son apothéose lors du tournoi de Wimbledon. Un retour gagnant qui a vu le n°2 mondial monter en régime tout au long de la semaine. En finale, comme en demie face à Tsonga, le Britannique a attendu avant de montrer le meilleur de lui-même.

Face à un Cilic régulier dans son niveau de jeu mais connaissant un trop faible pourcentage de premières balles, Murray a longtemps alterné le très bon et le juste passable. Capable de disputer des rallyes dignes de la terre battue en trouvant une exceptionnelle longueur de balle, mais capable également de vilains coups droits dans le bas du filet. Ce qui explique notamment la perte du premier set alors qu'il menait pourtant 4-1. Mais Cilic, tenant du titre, est un de ces joueurs qui domptent aisément le gazon et ses spécificités. Face à un Murray inconstant, c'était suffisant pour s'adjuger la première manche.

Plus consistant dans son jeu, Murray serrait le jeu dans le deuxième set. Aucun des deux hommes ne lâchait son service et on pouvait penser qu'un tie break allait décider du sort du set, et peut-être de la rencontre. Sauf que Murray en avait décidé autrement et réalisait le break au meilleur moment pour s'adjuger le set et revenir à égalité. Cilic avait laissé passer sa chance. Le Croate baissait physiquement alors que son adversaire montrait un niveau digne de son rang pour conclure un troisième set qui n'était devenu qu'une formalité. Murray s'est rassuré avec cette troisième victoire au Queen's et prouve également qu'il faudra compter sur lui à Wimbledon.

Andy Murray : «J'ai travaillé très dur pendant la période où je n'ai pas pu jouer pour essayer de revenir dans ma meilleure forme. Mon équipe m'a beaucoup aidé, elle a été patiente avec moi et c'est ce qui m'a permis de jouer les deux derniers matches au maximum. Cilic est un des meilleurs joueurs du monde sur gazon. Nous jouons l'un contre l'autre depuis les juniors. Nous avons disputé beaucoup de matches serrés et j'ai eu de la chance de m'en sortir car il jouait très bien.» (AFP)
B.L.

[Norton]

Natation - Canet : Stravius imite Manaudou

Jérémy Stravius a été presque aussi rapide que Florent Manaudou pour remporter dimanche le 100m au Canet-en-Roussillon en 48''53, contre 48''41 la veille pour le champion olympique du 50m.
Jérémy Stravius espère participer au relais 4x100m aux Championnats du monde. (L'Equipe)







Samedi à Rome, Florent Manaudou avait frappé fort en devenant le meilleur Français de l’année sur 100m (48’’41). Dimanche à Canet-en-Roussillon, Jérémy Stravius a fait presque aussi bien, s’imposant sur l’épreuve reine en 48’’53, son nouveau record personnel (le précédent, 48’’82, datait de 2011), soit le deuxième chrono français de l’année à égalité avec le champion de France à Rennes en avril William Meynard.

«L'objectif c'était ça, de faire un bon 100m, c'est pour ça que je n'avais que cette épreuve aujourd'hui. Comme j'aime ce relais, j'ai envie d'y participer et le chrono est vraiment bon.» Le champion du monde du 100m dos 2011, qui devait réaliser un chrono pour prétendre intégrer le 4x100m a plus que rempli le contrat. «L’objectif c’était ça, de faire un bon 100m, c’est pour ça que je n’avais que cette épreuve aujourd’hui. Comme j’aime ce relais, j’ai envie d’y participer et le chrono est vraiment bon», réagissait l’Amiénois. La composition du relais risque d’être compliquée, avec Manaudou et Stravius qui n’avaient pas nagé le 100m à Rennes, Meynard, Agnel qualifié sur 100m mais qui a indiqué depuis son départ de Nice qu’il ne nagerait que le 4x100m et le 4x200m, et Fabien Gilot et Amaury Leveaux, troisième et quatrième aux Championnats de France et champion olympiques sur l’épreuve en 2012.

MPM pour Ottesen


Dans les autres courses, les papillonneurs ont brillé. Sur 50m papillon, la Danoise Ottesen s’est imposée avec la meilleure performance mondiale (25’’56) devant la médaillée de bronze mondiale Mélanie Hénique (26’’16, son meilleur chrono depuis 2011). Et Chad Le Clos, le champion olympique du 200m papillon, a signé son meilleur temps de l’année sur la distance (1’55’’40).
Cl.B., à Canet-en-Roussillon

[Norton]

Cyclisme - R. du Sud : Voeckler a tenu bon

Thomas Voeckler (Europcar) a remporté la Route du Sud avec quatre secondes d'avance, dimanche. La quatrième et dernière étape est revenue à l'Italien Frapporti (Androni), vainqueur au sprint.
Thomas Voeckler remporte la Route du Sud pour la deuxième fois de sa carrière. (L'Equipe)







Sept ans après sa première victoire, en 2006, Thomas Voeckler (Europcar) est de nouveau sorti vainqueur de la Route du Sud, dimanche au terme d'une quatrième et dernière étape longue de 149,2 km entre Saint-Gaudens et L'Isle-Jourdain (sud-ouest). L'Italien Marco Frapporti (Androni Giocattoli Venezuela) a devancé au sprint son compatriote Danilo Napolitano et le Français Benjamin Giraud pour la victoire de l'étape.

Plusieurs coureurs ont tenté de sortir leur épingle du jeu dans cette étape courte et rapide, seulement émaillée de deux difficultés, la côte d'Aurignac et la côte d'Alan, toutes deux de 3e catégorie. Mais les mieux classés au général n'ont pas laissé faire. Après une dernière heure marquée par de vaines échappées, c'est Frapporti, actif tout au long de l'étape, qui s'est imposé au sprint. Voeckler, leader depuis la veille, a réussi à rester devant l'Italien Franco Pellizotti pour quatre secondes,et devant un autre Français, John Gadret, pour six secondes. Il confirme ainsi son retour en forme constaté la semaine dernière sur le Dauphiné (une victoire d'étape).