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Baup : «Bienvenue à tous»
La reprise de l'OM a eu lieu ce lundi matin au centre d'entraînement Robert-Louis-Dreyfus pour 23 joueurs dont une dizaine de jeunes. Sans les internationaux, ni Mendes attendu dans l'après-midi.
Elie Baup a retrouvé ses joueurs au centre Robert-Louis-Dreyfus lundi matin. (L'Equipe)







Un groupe de 25 joueurs était invité à la reprise de l'OM ce lundi matin au centre d’entraînement Robert-Louis-Dreyfus pour une séance de deux heures essentiellement physique, sous un soleil très généreux. Au final 23 joueurs seulement, dont une bonne dizaine de jeunes, étaient présents, Osei étant à l’essai à Madère et Lucas Mendes, rentré dans l'après-midi de ses vacances brésiliennes. Il s’est entraîné en compagnie de Christophe Manouvrier, le préparateur physique. Les internationaux ne reprendront qu'à la mi-juillet.

Séance physique et tests médicaux au programme


Cette séance menée par Christophe Manouvrier, le préparateur physique, a été suivie par une centaine de supporters, qui ont réservé une véritable ovation à Elie Baup et Franck Passi. Et à André Pierre Gignac qui a souvent mené le train lors du footing. Souleymane Diawara et André Ayew fermaient la marche comme souvent pour cet exercice. Après les courses à vitesse constante sur 20 minutes, les joueurs ont rejoint divers ateliers de préparation musculaire. Ils devraient subir des tests réalisés par la cellule médicale, dans les prochains jours.

Départ pour Crans Montana jeudi




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Elie Baup a également programmé 30 minutes d'exercice avec ballon, passes courtes et longues, deux par deux. Il a souhaité d'un large signe de la main «la bienvenue à tous, journalistes et supporters». Le sourire est de rigueur dans cette période de préparation. Le départ pour le stage de Crans Montana du 4 au 14 juillet est prévu jeudi matin.

Les joueurs présents à la reprise :

Bracigliano, Fabri, Samba. Abdallah, Abergel, Aloé, Andonian, Diawara, Fanni, Mango, M'bow, Morel, Abdullah, Amalfitano, Azouni, Bangoura, Cheyrou, N'doumbou, Anani, A. Ayew, J. Ayew, Gignac, Omrani.
Hélène FOXONET à Marseille

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«C'est un rythme à prendre»
Pendant le Tour de France, vous pourrez lire les chroniques de Romain Bardet, d'Andy Flickinger et de l'Ecossais David Millar sur lequipe.fr. Voici aujourd'hui la première de Bardet, qui vient de vivre ses deux premières journées sur la Grande Boucle.
Romain Bardet dispute son premier Tour de France. (L'Equipe)







«Le Tour est une tension permanente. Le danger vient des autres coureurs et du public, qui peut déborder à chaque instant. Par rapport aux autres courses, tout est démultiplié. Par exemple, le briefing du matin ressemble à ce qui se passe d'habitude avec une présentation sur Google Maps. Ils préfèrent ne pas trop nous abreuver d'informations à ce moment-là. En revanche, on a des infos pendant la course avec un DS (directeur sportif) qui passe sur le trajet de la course une heure avant nous. Il nous dit s'il y a du vent, si la route est sinueuse ou tout ce qui peut être important.

«Cette course est tellement importante que les mecs préfèrent tomber que de mettre le coup de frein qui leur enlèverait une chance de gagner» Pour l'instant ça se passe bien mais il faut être très attentif pour ne pas prendre de cartouche à des endroits dangereux. Samedi, je ne passe pas loin de la chute, sur la droite. Je dois faire partie des premiers coureurs qui l'ont évitée... mais je ne sais pas comment. Ca se gauffre tous les ans parce que tout le monde veut être devant, c'est la grosse guerre. L'histoire de l'avancée de la ligne a sûrement rajouté de la nervosité mais si ça ne s'était pas passé là, ça aurait eu lieu ailleurs. Cette course est tellement importante que les mecs préfèrent tomber que de mettre le coup de frein qui leur enlèverait une chance de gagner. Pour les sprinteurs, c'est une course d'un jour.

Dimanche, Blel (Kadri) a fait une super étape, ce qui ne nous a pas surpris, mais notre leader, Jean-Christophe Péraud, a eu des petits soucis, des crevaisons. Même si on était loin de l'arrivée, c'était un peu stressant. Ce serait vraiment trop bête qu'il lui arrive quelque chose alors qu'il a une chance au général. La première fois, j'étais bien placé dans le peloton et il y avait déjà des coureurs pour l'aider. En revanche, je suis descendu pour la seconde. C'était un petit coup d'adrénaline parce que ça roulait costaud devant, avec Cannondale qui donnait du rythme. Comme en plus le groupe Greipel revenait derrière, on a eu peur d'un barrages de commissaires. Mais c'est passé.

«C'est toujours mieux que les jours qui ont précédé le départ, que j'ai trouvé pesants» En fait, le Tour c'est un rythme à prendre. Ce n'est que mes deux premiers jours mais je m'astreint à récupérer le plus possible, à rester le plus possible assis ou allongé et à couper du vélo avant et après l'étape. Mais c'est toujours mieux que les jours qui ont précédé le départ, que j'ai trouvé pesants. Ca ne m'a pas plu, on annonçait des choses à la presse sans savoir comment on était physiquement. Bien sûr, on avait des lignes directrices, mais je restais dans l'expectative avant d'avoir couru. Je préfère la course, là au moins je sais si je suis en forme ou pas. Il me tardait que ça se lance.»
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Sagan : « Pas au top »...



R.Bardet, A.Flickinger, D.Millar

Le Français Romain Bardet, rookie ambitieux chez Ag2R, l'Ecossais David Millar, vieux grognard de Garmin-Sharp revenu de tout, et Andy Flickinger, directeur sportif de Thomas Voeckler et Pierre Rolland chez Europcar, seront nos chroniqueurs sur ce Tour de France 2013. Ils nous livreront régulièrement et tour à tour leur regard sur la course et ses à-côtés.


« S'en sortir vivant» «On voulait un choix cornélien» Test bandeau




Infos

Romain BARDET
Equipe: AG2R-LA MONDIALE

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F1 GP de GBR Pirelli dans le flou
Quatre pilotes ont vu leur pneu exploser durant la course dimanche. Pirelli va enquêter mais pour l'instant admet que c'est un nouveau problème, jamais rencontré auparavant.
Felipe Massa rentre aux stands avec son pneu arrière gauche explosé. (Reuters)







Les pneus Pirelli ont encore une fois fait parler d'eux, dimanche à Silverstone. Non pas à cause d'une trop forte dégradation, mais en raison de leur explosion inopinée. Quatre pilotes en ont été victime sur le même pneu, l'arrière gauche : Lewis Hamilton (Mercedes), Felipe Massa (Ferrari), Jean-Eric Vergne (Toro Rosso) et Sergio Perez (McLaren). Face à ce problème, il y a plus de questions que de réponses, mais le manufacturier italien compte bien faire toute la lumière sur ces incidents.

«Ce que nous avons vu aujourd'hui, on ne l'avait jamais vu auparavant, a déclaré Paul Hembery, le patron de Pirelli Motorsport, juste après la course. C'est nouveau, un type de problème différent. Nous allons analyser tout ça, nous devons comprendre ce qui s'est passé. Il faut aller au coeur du problème. Nous prenons ces incidents très au sérieux et quand nous aurons des réponses, nous les communiquerons. Toutefois, on peut exclure la responsabilité du nouveau procédé d’assemblage, introduit sur cette course, pour les défaillances vues aujourd’hui. Il pourrait s’agir de certains aspects de ce circuit touchant spécifiquement la dernière version de nos pneus ayant les spécifications 2013, mais à ce stade, nous ne souhaitons pas spéculer, et nous allons réunir les preuves pour découvrir ce qu’il s’est produit et prendre les mesures nécessaires, si tant est qu’elles soient requises».

Lewis Hamilton, qui était leader quand son pneu a explosé, n'a lui pas maché ses mots envers le manufacturier italien : «La sécurité doit être une priorité, ce qui est arrivé est inacceptable. Nous avons effectué des essais avec les pneus pour empêcher ce genre de problèmes et ils n'ont rien changé. Quelqu'un aurait pu avoir un grave accident.» «Nous risquons nos vies et ce n'est pas normal d'attendre de voir à qui ça arrive en prochain, a rajouté Sergio Perez. Cela arrive à 250km/h, Pirelli doit faire quelque chose. Ils ont vu ce qui s'était passé, ils doivent réagir.»


Réunion avec la FIA mercredi. Jean Todt, invité de l'émission Formula One sur Canal+ dimanche soir, a annoncé qu'une réunion allait être organisée mercredi prochain. «J'ai une réunion mercredi prochain avec des responsables de Pirelli qui vont évidemment étudier tous les incidents qui se sont passés ces derniers jours et qui vont venir avec des propositions urgentes, a déclaré le président de la FIA. Cela va faire partie de la priorité de l'ordre du jour. A partir du moment où il y a effectivement des problèmes de sécurité, il nous appartient de prendre les décisions justes. Il ne faut pas répondre de manière émotionnelle. Il faut bien analyser les choses, laisser les experts se réunir, se rencontrer et à la suite de cela, cela nous permettra de prendre une décision finale.»

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Foot C. conf. Ramos: «Pas des machines»
«Ils ont été meilleurs que nous tout simplement», a reconnu Sergio Ramos, après la défaite de l'Espagne contre le Brésil en finale de la Coupe des confédérations (3-0).
Sergio Ramos a raté un penalty lors de la finale de la Coupe des confédérations contre le Brésil. (Reuters)







Sergio Ramos (Espagne) : «Il y a des jours où rien ne marche. Mais nous ne sommes pas des machines. Ils ont eu un jour supplémentaire de récupération après leur demi-finale, mais il ne faut pas se chercher d'excuse. Ils ont été meilleurs que nous tout simplement. Ce premier but marqué dès la 2e minute nous a fait beaucoup de mal, il ne faut pas se le cacher. C'est toujours dur de perdre une finale parce que c'est un match précédé de tant d'espoirs. Mais il faut féliciter le Brésil. Ils ont toujours pressé haut, ils nous ont souvent bloqués dans notre moitié de terrain. En plus, ils ont des attaquants très rapides, qui peuvent faire la différence dans la profondeur.

«On repart d'ici avec la conscience tranquille, parce qu'on a tout donné jusqu'à la dernière minute.» Mon penalty manqué ? Je me sentais vraiment en confiance avant de le tirer. J'ai voulu le placer le plus près possible du poteau mais, malheureusement, mon tir n'était pas cadré... Le football a une autre face, celle qui peut engendrer des déceptions. Mais on repart d'ici avec la conscience tranquille, parce qu'on a tout donné jusqu'à la dernière minute. On va maintenant tenter de se qualifier pour la Coupe du monde. L'Espagne a conquis des titres et des records que personne ne peut lui enlever. Mais le football ne vit pas dans le passé. Il faut toujours regarder devant.»
J.T., à Rio de Janeiro

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ESPAGNE







Voir le film du match





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Gabart et Desjoyeaux sur Macif
François Gabart a invité Michel Desjoyeaux à disputer avec lui la Transat Jacques Vabre à bord de son monocoque Macif, en novembre prochain.
Michel Desjoyeaux et François Gabart disputeront la Transat Jacques Vabre en tandem sur Macif l'automne prochain. (D.R)







Trois ans après leur première association sur la Barcelona World Race, François Gabart et Michel Desjoyeaux se retrouveront sur Macif pour la Transat Jacques Vabre, qui partira le 3 novembre du Havre. Une fois encore, c'est le plus jeune des deux navigateurs qui a sollicité le second. «Il nous reste une histoire à écrire ensemble en course», a expliqué Gabart, faisant référence au démâtage du monocoque Foncia survenu lors de la Barcelona World Race, au large de l’Afrique du Sud en 2010.

Les skippers se réjouissent de cette nouvelle collaboration. «Le fait de partir avec Michel est un vrai plus : outre le plaisir de naviguer ensemble, je sais qu’on va former un duo immédiatement performant et efficace, estime Gabart. Nous n’allons pas nous nous disperser, ni repartir de zéro.» «Le mode d’emploi de MACIF, François le possède. Et nous aurons tout l’été pour nous entraîner», a ajouté Desjoyeaux. Le duo disputera d'ailleurs la Fastnet Race mi-août afin de se préparer pour le départ. Desjoyeaux de conclure : «Et puis, deux anciens vainqueurs du Vendée Globe sur le même bateau pour une Transat, c’est un clin d’œil sympa, non ?»

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«De très beaux projets»
C'est reparti pour quatre ans. Armel Le Cléac'h sera au départ du Vendée Globe 2016. Auparavant, le skipper Banque Populaire se sera lancé d'autres beaux défis en multi. Des aventures qu'il va continuer à partager ici-même.
C'est un emploi du temps de ministre qui attend Armel Le Cléac'h ces quatre prochaines années avec notamment la Route du Rhum 2014 en multi. (Yann Zedda, BPCE) (D.R)







« Nous venons de terminer une superbe aventure, un super projet et je vais prendre un mois de vacances bien mérité avant de me tourner vers de nouveaux challenges. J’ai de quoi faire les prochaines années entre la Route du Rhum, les records en multi puis le Vendée Globe 2016. Voilà un planning bien rempli ! Ce sont de très beaux projets validés assez tôt, ce qui est juste parfait pour l’équipe. Cela va nous permettre de travailler de manière optimale. Nous allons aussi pouvoir tirer les enseignements de nos dernières expériences. Et cette fois, nous allons construire un bateau pour le départ en 2016.

«Mon premier objectif est de préparer la Route du Rhum qui aura lieu en 2014, avec un bateau au top» Pour le moment, je prends les choses comme elles viennent. Je viens de terminer le Figaro, un gros morceau, très sportif. Maintenant, mon premier objectif est de préparer la Route du Rhum qui aura lieu en 2014, avec un bateau au top. J’ai vraiment hâte de naviguer dessus. Les équipes l’ont fait durant un mois et demi et vont pourvoir me donner beaucoup de renseignements. Je vais attaquer la préparation dès le mois d’août. Je n’ai pas encore navigué en solitaire. Ce sera donc mon programme avec quelques sorties en Méditerranée. Je vais ensuite tenter la traversée en solitaire entre Marseille et Tunis, mon premier grand challenge. Suivront ensuite d’autres tentatives, toujours en solo, pour pouvoir être capable de bien mener le bateau : traversée est-ouest de l’Atlantique vers février et en mai-juin le record de l’Atlantique Nord que vient juste de battre Francis Joyon. Et pour finir, la Route du Rhum.




En parallèle, entre les courses, je vais également avoir pas mal de boulot à terre puisque je vais aussi m’atteler à la construction du nouveau monocoque. On a déjà pris contact avec quelques architectes pour connaître les tendances, les devis. Dans les mois qui viennent, les choses vont se finaliser. Le but est de commencer la construction début 2014 pour une mise à l’eau début 2015. Cela va me permettre d’avoir presque deux ans de navigation avant le départ du Vendée Globe. Le planning, pour le moment, est idéal.

Sur mon premier Vendée Globe avec Brit Air, j’avais déjà suivi la conception de mon monocoque. Nous étions dans une philosophie un peu différente, c’était ma première expérience sur cette course mythique, mon objectif était surtout de boucler mon tour du monde. Cette fois, je pars pour le gagner : deux fois deuxième, c’est bon ! Nous allons construire un bateau performant, capable, évidemment, de terminer. C’est forcément passionnant. Nous souhaitons travailler avec une entreprise locale, c’est un souhait de Banque Populaire. Nous avons le savoir-faire, même s’il faut garder un œil sur ce qui se fait à l’extérieur. En termes de logistique, ce sera aussi beaucoup plus pratique que de devoir déménager une équipe à l’autre bout du monde.

Tout ça ne m’empêche pas de continuer à suivre les grands événements sportifs. J’ai évidemment été déçu de voir Roger Federer perdre si tôt à Wimbledon, d’autant que Nadal n’était déjà plus là et cela lui ouvrait le tableau. C’est triste car c’est un tournoi fait pour lui. Mais je sais que ce sera désormais de plus en plus difficile pour lui. C’est la dure loi du sport. »
Armel LE CLEAC'H

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Il risque sa vie pour Cipollini

CYCLISME

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Pour bénéficier de la plus belle vue, un caméraman norvégien a filmé Mario Cipollini, en balade sur les routes du Tour, depuis... les rails de chemin de fer!
Par Julien Caloz. Mis à jour à 15h03 3 Commentaires

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Dimanche, entre Bastia et Ajaccio, Mario Cipollini s'est rappelé aux bons souvenirs de son ancienne profession en bouclant la deuxième étape avant le peloton du Tour de France.
Un caméraman norvégien, soucieux de bénéficier de la plus belle vue, a grimpé jusque sur la voie de chemin de fer au passage de l'ancien pro italien. Et il s'est positionné juste après un virage! «C'est une ligne désaffectée, non?» a-t-il demandé aux autres spectateurs, sans obtenir de réponse.
Ce n'est qu'après le passage de «Cipo» que le téméraire a quitté son poste d'observation sans la moindre égratignure. Un peu plus loin, pourtant, un train sifflait...

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Djourou sous les ordres de Fink

01.07.2013 17:35 mise à jour à 19:05 Réagir
Johan Djourou ne portera plus le maillot d'Hanovre, mais celui d'Hambourg. [Lars Kaletta - EQ]


Johan Djourou va changer d'air. Le club du SV Hambourg annonce en effet l'arrivée du Genevois dans ses rangs sous forme d'un prêt d'une saison.
Sous contrat depuis 2004 avec Arsenal et jusqu'en 2015 mais quasiment jamais aligné en Premier League depuis 2 saisons, Johan Djourou (26 ans) évoluera en Bundesliga la saison prochaine, mais pas à Hanovre, où les Gunners l'avaient prêté en ce début d'année.
Cette fois, le défenseur genevois a été prêté une saison à Hambourg - pour 750'000 euros, selon les médias allemands -, qui disposerait en outre d'une option d'achat de 2,5 mio d'euros.
Le club hanséatique, qui a déjà engagé Jacques Zoua (FC Bâle) est entraîné par Thorsten Fink, l'ex-coach du club rhénan.

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Marion Bartoli qualifiée pour les quarts de finale

© afp.
La N.1 française Marion Bartoli s'est qualifiée lundi pour les quarts de finale de Wimbledon en battant l'Italienne Karin Knapp en deux sets 6-2, 6-3. Dernière représentante du tennis français en lice à Londres, la finaliste 2007 rencontrera l'Américaine Sloane Stephens mardi.

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Terminé pour Mannarino
La belle aventure londonienne d'Adrian Mannarino est terminée. Le Français a été battu lundi par Lukaz Kubot (4-6, 6-3, 3-6, 6-3, 6-4) en huitième à Wimbledon. Le Polonais retrouvera en quarts son compatriote Jerzy Janowicz.
Adrian Mannarino n'est pas passé loin du quart de finale. (Reuters)







La Pologne va écrire une page de l'histoire de son tennis masculin. Lukasz Kubot, vainqueur d'Adrian Mannarino en cinq manches (4-6, 6-3, 3-6, 6-3, 6-4) va défier son compatriote Jerzy Janowicz en quarts et pour la première fois de l'histoire il y aura un Polonais en demies d'un tournoi du Grand Chelem. Agnieszka Radwanska n'est donc plus la seule à passionner les foules dans son pays. Kubot, retombé à la 130e place mondiale mais qui disputait son troisième huitième de Majeur en carrière, a mérité sa victoire car il est allé la chercher.

Dans un match parfois décousu entre deux joueurs ayant conscience de l'enjeu, c'est le Polonais et son jeu offensif qui ont fini par avoir le dernier mot. Mannarino a pourtant semblé au-dessus en début de rencontre, se montrant plus solide et plus précis. Mais une fois Kubot lancé dans ce jeu flamboyant au filet, une fois la machine de l'agression sur la moindre balle courte à l'échange, tout s'est compliqué pour le 111e joueur mondial. Entre l'attaquant et le contreur, la bataille a été rude et les occasions nombreuses des deux côtés même si lors des deux derniers sets on a bien senti qu'elles étaient de plus en plus polonaises. Mannarino a payé un peu d'attentisme mais aussi de gros soucis au retour ainsi qu'un coup de pompe dans le quatrième set.

Mannarino neutralisé

Le Français s'est battu sur chaque balle mais cela n'a pa suffi pour éteindre l'envie adverse. Les cinq balles de double break à 2-0, les trois balles de match manquées à 5-3 : rien n'a pu mettre à mal les nerfs de Kubot. Il n'y a qu'une fois la balle de match remportée que le Polonais a craqué : à genoux sur le court, en larmes. Il allait encore pleurer un bon moment dans les bras de ses proches après avoir serré la main de Mannarino. Il y avait une occasion en or dans ce huitième de finale et Mannarino n'a pas trouvé le petit plus pour la saisir. Le Tricolore manque encore d'expérience à ce niveau et a réalisé le meilleur parcours de sa carrière en Grand Chelem. Il n'est peut-être pas parvenu à se libérer totalement mais il en a aussi été empêché par son adversaire. Constamment mis sous pression, il n'a pas eu le temps de s'organiser. Il n'en reste pas moins qu'il a commencé à voir à Wimbledon la fin du tunnel : remis de sa blessure à la main gauche, de nouveau en confiance, il devra se servir de ce Wimbledon 2013 pour reprendre sa marche en avant. Kubot, lui, voit son rêve se poursuivre.
Carole BOUCHARD, à Wimbledon

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