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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/07/2013, 18h17
Marion Bartoli s'entraîne avec les joueurs de l'OM
http://www.7sur7.be/7s7/fr/9099/Hors...-de-l-OM.dhtml
Depuis sa victoire à Wimbledon, Marion Bartoli est présente partout et tout le temps. Après ses révélations politiques, la tenniswoman s'est entraînée avec l'OM ce samedi matin.
Arrivée ce samedi un peu avant 11h au terrain d'entraînement de l'OM, la lauréate de Wimbledon est venue saluer les troupes d'Elie Baup. Après un petit discours dans le vestiaire, elle a enfilé une tenue pour venir s'exercer avec les footballeurs, dans la bonne humeur.
"C'est mon club de coeur depuis que je suis toute petite, vous ne pouvez pas vous imaginer!", a-t-elle confié, enthousiaste. Après quelques exercices d'échauffement ("Ca tire, ça fait une semaine que je n'ai plus fait de sport!", plaisantait-elle), elle a participé à des exercices avec ballon et s'est même révélée plutôt adroite.
Si jamais son après-carrière ne se fait pas en politique, elle aura peut-être une solution de rechange...
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/07/2013, 18h20
Pogba : «Ça restera à vie»
Paul Pogba, le capitaine de l'équipe de France des moins de 20 ans, qui dispute samedi soir à Istanbul (20h00) la finale de la Coupe du monde contre l'Uruguay, estime que l'aventure vécue avec sa génération 1993 le marquera à jamais.
Paul Pogba se sait attendu samedi en finale. (L'Equipe)
«Paul Pogba, à quelques heures de cette finale de la Coupe du monde, dans quel état d’esprit est le groupe ?
Heureux et fier de nous. Il reste une marche pour réussir à ramener ce trophée en France. On sait ce qu’on doit faire. On va tout donner pour y parvenir. On est impatients, déterminés, concentrés. C’est l’un des matches les plus importants pour nous. Soit tu es heureux, soit tu regrettes. Nous, on ne veut pas de regrets.
Avez-vous conscience que votre génération peut entrer dans l’histoire du foot français en devenant la première à gagner ce Mondial U 20 ?
Non, on ne se rend pas compte. On pense à nous, à gagner cette Coupe du monde. On n’a pas pensé à l’histoire. Si on gagne, on va commencer à s’en rendre compte. Une victoire en Coupe du monde, c’est quelque chose que tu ne peux pas définir, t’es heureux, content, fier de toi.
«On se fait tous confiance, il n'y a pas un joueur qui se prend pour un autre. C'est ça qui fait la différence» Quatre générations françaises (en 1977, 1997, 2001, 2011) ont participé à ce Mondial, aucune n’est parvenue à se qualifier en finale…
On sait qu’on a beaucoup de joueurs de talent dans l’équipe. Beaucoup qui évoluent dans de grands clubs, à l’étranger ou en L1. Eux, ils avaient de grands joueurs, Willy Sagnol, Thierry Henry, qui jouaient aussi. Nous, on a eu cette chance d’être en finale. Ce n’est pas pour autant qu’on peut dire qu’on est meilleurs qu’eux. On espère remporter ce trophée et entrer dans l’histoire du foot français.
Votre sélectionneur Pierre Mankowski évoque très régulièrement l’état d’esprit, «les ressources mentales» de votre groupe. C’est ça le secret de cette génération ?
Nous, on se sent bien ensemble. Même dans les moments difficiles, comme contre le Ghana (en demi-finale, mercredi, 2-1). Parfois, on peut se chamailler mais c’est toujours pour une bonne cause. On revient toujours plus fort. On a toujours eu les mêmes joueurs, la même équipe. On se fait tous confiance, il n’y a pas un joueur qui se prend pour un autre. C’est ça qui fait la différence.
Avez-vous douté de la capacité de cette équipe, à l’issue d’un premier tour difficile, à se qualifier pour la finale ?
Non, je n’ai pas douté, j’étais juste pressé qu’on retrouve notre jeu. Mais en fait, ça vient tout seul, il ne faut pas forcer. J’ai toujours cru en notre équipe. Quand on voit les matches amicaux que l’on fait, les qualités que l’on a, j’ai toujours eu confiance
Vous, on vous a senti frustré…
J’étais tendu, un peu frustré, je n’aimais pas ce football, ce n’était pas notre jeu, au fur et à mesure, je me suis calmé, on s’est regardé : on s’est dit, faut pas forcer, ça va venir tout seul.
«Petit à petit, je me suis remis dedans. Je me suis libéré» Vous vouliez trop bien faire, trop en faire ?
Comme je suis attendu, comme je suis monté en A (2 sélections), j’ai envie de faire de très bonnes performances. Je pensais trop à mes performances individuelles. Petit à petit, je me suis remis dedans. Je me suis libéré. Après le match de l’Espagne (1-2) surtout.
Les grands joueurs sont attendus dans les grands matches comme une finale…
Faire une grosse performance, c’est l’objectif de tous les joueurs. Mais l’objectif premier, c’est la victoire. Tout donner pour le groupe, tout donner pour ses coéquipiers. Tout ce que je sais, c’est que je suis déterminé, et qu’on est tous déterminés. Un titre de champion du monde, ça restera à vie dans nos têtes, dans nos carrières.»
H. De, à Istanbul
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/07/2013, 18h21
Foot- Angleterre- Chelsea Mourinho «meilleur qu'avant»
Mourinho est sûr de lui, alors qu'il a retrouvé le banc de Chelsea. (Reuters)
De retour à Chelsea, six ans après son licenciement, José Mourinho est toujours aussi sûr de lui. Actuellement en tournée en Asie avec son équipe, le technicien portugais a affirmé qu'il était bien meilleur qu'avant. « J'ai quelques cheveux blancs et je pense que dans mon cas, c'est un bon signe, cela signifie que je suis maintenant meilleur qu'avant, a expliqué Mourinho. Je pense que je n'ai jamais été aussi bon, parce que dans ce métier, l'expérience est très importante.»
Mourinho trébuche sur une marche
Après Chelsea, Mourinho a connu le succès à l'Inter Milan en remportant la Ligue des champions 2010 avant de vivre trois années délicates au Real Madrid, ponctuées par une dernière saison sans aucun trophée. « C'est d'autant plus vrai que dans mon cas, après mon premier passage à Chelsea, j'ai voyagé en Europe, deux ans en Italie et trois en Espagne, j'ai donc accru ma culture footballistique», a poursuivi the Happy One. Avant de s'exprimer, Mourinho a trébuché sur une marche le menant à l'estrade. Un petit incident qui ne l'a donc pas empêché de livrer quelques déclarations croustillantes et de considérer Petr Cech comme « le meilleur gardien du monde» et la recrue Marco van Ginkel comme « l'un des plus grands espoirs du football européen».
Beau gonflé le trou du cul...........
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/07/2013, 18h23
Voile America Lettre aux sceptiques
La parole des internautes, twittos et autres facebookers ne saurait être négligée. Tout au contraire. Elle reflète, si ce n'est la vérité, en tout cas une tendance. Et que dit la toile à propos de la Coupe de l'America ? Des choses peu amènes, en général, basées surtout sur un énorme malentendu. Il convient de revisiter quelques clichés trop vite considérés comme des vérités premières.
Franck Cammas a fait de la Coupe de l'America son prochain défi. Sur cette photo d'archive datant de 2008, il se trouve aux côtés de John Kostecki, le tacticien d'Oracle, au palmarès impressionnant. (L'Equipe)
1. La Coupe est une compétition injuste
Absolument. C’est son intérêt et son originalité. Victorieuse, l’équipe consacrée est non seulement directement qualifiée pour la ''finale'' suivante, mais elle peut aussi influer (et plus encore) sur le choix du plan d’eau (en général celui du yacht club couronné, exception faite des Suisses d’Alinghi obligés de s’installer à l’étranger – en Espagne, en l’occurrence – faute de débouché maritime), celui du type de bateau, le format des compétitions, etc. Ces prérogatives imposent quelques échanges et discussions, mais, dans l’ensemble, c’est le defender qui est ouvertement maître du jeu. Vouloir faire de la Coupe une compétition comme les autres (où tous les compteurs seraient remis à zéro lors de l’édition suivante) n’a pas de sens. Ce serait contredire son histoire, dévitaliser son essence, ce serait surtout diminuer les mérites de prétendants d’autant plus admirables qu’ils partent à la conquête du Graal les fonds lestés par toute une série de handicaps préalables. Or, cinq des neuf dernières Coupes, notons le, ont été remportées par un syndicat autre que le tenant du Trophée. Preuve de l’intérêt du challenge !
2. La Coupe se joue plus sur tapis vert que sur l'eau
Cela fait, incontestablement, partie du jeu. Et ce depuis les origines. C’est dans les ''coins'' de jauge souvent les plus extrêmes, donc aux limites de la légalité, que se situe, la plupart du temps, la solution. Des crises, la Coupe en a connu beaucoup. De nombreux internautes regrettent le temps des années 80 (la victoire des Australiens en 1983, les magnifiques régates à Perth en 1987). Certes, mais c’est oublier que la fameuse quille à ailettes d’Australia II a elle-même agité le Landerneau des avocats pendant une longue période et que le retour sur la plus haute marche du podium de Dennis Conner, quatre ans plus tard, a abouti au ''mistmatch de 1988'' qui, durant plus d’un an, s’est résumé à une bataille réglementaire. Sans doute, le déroulement, et surtout les prémices, de la 33e Coupe (victoire de BMW Oracle face à Alinghi), a dépassé la dose tolérée par la moyenne des aficionados. Mais s’il a fallu sept jours avant que le premier duel de l’édition qui nous occupe ne débute, il en avait fallu cinq avant que celle de Valence en 2007 fasse de même.
3. La Coupe est un gouffre financier
Par rapport à quoi ? La Coupe est effectivement chère si l’on veut bien considérer que l’investissement consenti se fait en ''aveugle'' pendant près de trois ans et qu’il ne peut engranger de retombées que le temps d’un été seulement. Plus que le coût d’une campagne, c’est la très mauvaise tenue des marchés économiques dans leur ensemble qui pèse actuellement sur la Coupe. Le manque de lisibilité de l’événement n’incite guère à la générosité non plus, mais les 65 millions d’euros de budget revendiqués par Prada ou les 85 millions d’euros rassemblés par Team New Zealand ne sont pas pure folie au regard de certaines dépenses dans les domaines de l’automobile ou du football. Quant à l’argument des richissimes propriétaires seuls capables d’investir dans ce type de jeu, il n’est pas sans fondement, sauf qu’il peut être aussi dupliqué sur d’autres fronts. Les actuels clubs de football de Paris ou de Monaco ne sont pas, que l’on sache, gérés par de pure philanthropies, encore moins par une association de donateurs désintéressés.
4. La Coupe est une compétition élitiste
Bien sûr. Elle n’est même que cela. Elle réunit de toute évidence les meilleurs marins de la planète si l’on veut bien abandonner quelques secondes un point de vue purement franco-français. Oui, John Kostecki, tacticien d’Oracle, pour ne prendre que son exemple, champion olympique, lauréat de la Volvo et vainqueur de la Coupe (excusez du peu !) mérite sûrement autant d’attention que bien des spécialistes de nos côtes bretonnes ou méditerranéennes. Et ce n’est pas Franck Cammas qui contredira cette évidence lui qui, depuis quelque temps, ne jure que par la Coupe, son prochain objectif programmé et avoué. Techniquement parlant, la question ne se pose pas : la Coupe est un sommet qui, autre exemple, a davantage fait progresser la navigation en multicoque ces trois dernières années que toutes les autres courses hauturières réunies au cours des vingt précédentes. On peut ne pas apprécier l’esthétisme des nouveaux engins en usage mais on ne peut être que pantois face à leurs performances (25 nœuds au près, 40-45 au portant !)
5. La Coupe est mal dirigée
Sans doute. Et c’est sur ce point bien précis que les plus grands changements sont souhaitables. A l’heure des médias instantanés et des sponsors obligés, la Coupe ne peut plus se permettre de ratés. Il est impérieux qu’elle cadre mieux son mode de fonctionnement et peut-être qu’elle confie à un conseil indépendant la gestion de son déroulement. L’idée est dans l’air. Russel Coutts, l’actuel ordonnateur de l’événement, n’est pas contre. Au contraire, il appelle de tous ses vœux cette évolution.
Benoît HEIMERMANN
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/07/2013, 18h26
Rugby NZL McCaw a retrouvé les terrains
Richie McCaw a disputé 116 matches sous le maillot des Blacks. (EQ)
Après s'être accordé une pause de sept mois destinée à recharger ses batteries en vue de la Coupe du monde 2015, Richie McCaw a rejoué samedi matin. Le capitaine des All Blacks a disputé l'intégralité de la rencontre remportée par Christchurch, face à Lincoln University (22-5). Cette rencontre comptant pour le championnat amateur local a attiré plusieurs milliers de spectateurs. « Cela serait bien de jouer avec les Crusaders, mais il faut que j'en discute (avec les dirigeants), a expliqué McCaw. Si cela devait se faire dès la semaine prochaine, cela ne serait pas un problème pour moi, je suis sûr que cela sera ok pour moi.» (Avec AFP)
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Les Rebels lâchent Beale...
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
14/07/2013, 07h38
YB et Bâle au rendez-vous
13.07.2013 21:49 mise à jour à 22:38 Réagir
Nuzzolo (en jaune) prend le dessus sur le Sédunois Ruefli. [Peter Schneider - Keystone]
Las pour le FC Sion, le premier buteur de la saison 2013/14 de Super League se nomme Alexander Gerndt. Le Suédois a ouvert aux Young Boys d'Uli Forte la voie du succès contre des Valaisans clairement dominés (2-0). Bâle a aussi commencé par un succès.
Le paradoxe du Stade de Suisse reste entier pour le FC Sion. Le club valaisan n'arrive décidément pas à mettre un pied devant l'autre en championnat dans une enceinte qui l'a pourtant vu tant de fois triompher en Coupe de Suisse. Le bilan des Sédunois dans la capitale est éloquent: trois matches nuls et, désormais, quinze défaites lors de leurs dix-huit dernières venues.
Alexander Gerndt a ouvert les hostilités en trompant Vanins à la 10e, quelques secondes seulement après avoir envoyé de la tête le ballon sur le poteau du portier letton. Coupable d'une affreuse perte de balle sur cette action, Léo a encore manqué l'égalisation à la 25e, contré par un Steve Von Bergen déjà décisif.
Le 2-0 a été rocambolesque puisque les images télévisées ne permettent pas d'affirmer que le cuir, après une tête de Frey (déjà passeur sur le 1-0), a bien franchi la ligne entièrement. Il s'en ensuite est fallu de peu pour que Gerndt ne double la mise, mystifiant un Vanins heureux de voir le ballon terminer sur sa transversale à la 47e.
Aarau se heurte à un roc
Vol plané pour Bobadilla devant l'Argovien Jaeckle. [Georgios Kefalas - Keystone] Le FC Bâle n'a pas laissé celui que l'on présente comme son principal contradicteur tenir seul le haut de l'affiche en cette 1re journée. Le quadruple tenant du titre a sans trop forcer pris la mesure du néo-promu Aarau au Parc St-Jacques (3-1).
Pour son retour dans l'élite, Aarau s'est d'emblée heurté à un roc. Volontaires, les Argoviens n'avaient pas les armes pour prendre à défaut un FCB concentré et appliqué. L'ouverture du score a été signée par Mohamed Salah, à la réception d'un centre en retrait parfait de Stocker.
A voir le "serial passeur" rhénan s'arracher pour remettre en jeu un ballon à première vue perdu (et qui était en fait sorti...), on se dit que le Lucernois a très bien digéré ses envies déçues de départ à l'étranger.
Raul Bobadilla, décevant au premier semestre 2013, a d'ailleurs été servi par ce même Stocker avant d'inscrire le 2-0 à la 64e, neuf minutes avant le 3-0 de Streller. Comme un symbole de la volonté de conquête d'un Bâle qui veut devenir le premier club de l'histoire à remporter cinq fois de suite le titre national. Aarau a réduit l'écart par Garat à la 79e.
Delgado de retour à Bâle
Delgado est de retour au bercail. [Georgios Kefalas - Keystone] Par ailleurs, Matias Delgado (30 ans) est bel et bien de retour au FC Bâle, avec qui il a signé un contrat de quatre ans. Le meneur de jeu argentin évoluait à Al-Jazira, un club des Emirats Arabes Unis.
Delgado avait fait étalage de tout son talent au Parc St-Jacques entre 2004 et 2006. Il avait été transféré pour une coquette somme de 8 millions de francs au Besiktas Istanbul, qu'il avait rejoint avec deux titres de champion de Suisse dans ses valises.
si/tai
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
14/07/2013, 07h43
Le Ventoux, un mythe à part
CYCLISME
—
Le Ventoux est un sommet à part, un des «géants» les moins escaladés du Tour de France mais sa chaleur, son vent et son paysage lunaire en ont fait un mythe.
Mis à jour le 13.07.2013
Le Mont Ventoux et son paysage lunaire reste un mythe du Tour de France (en photo, son ascension en 2009).
Image: Nicolas Bouvy/Keystone
Il à la hauteur des Tourmalet, Galibier et Alpe d’Huez qui décuplera les ambitions des grimpeurs dimanche lors de la 15e étape.
«C’est les Champs-Elysées des grimpeurs. L’Alpe d’Huez c’est un show, mais le Ventoux, c’est wouaw. Quand on passe là-haut, qu’on gagne ou pas, on a le sentiment d’avoir accompli quelque chose», raconte Richard Virenque, le dernier Français à s’être imposé au sommet en 2002 dans une ascension aux airs de rédemption, un an après la fin de sa suspension pour dopage.
Depuis sa première ascension en 1951, le Ventoux n’a été monté que 14 fois par la Grande Boucle, dont 8 arrivées au sommet. Ce n’est ni les Alpes, ni les Pyrénées, ce n’est même pas un col, mais «le Géant de Provence» ou «Mont Chauve» fait partie de la légende.
«Même quand on passe en voiture à proximité, on voit cette chose bizarre, avec du vert et puis un sommet. Et la montée est hallucinante: une première partie, normale comme un col avec de la forêt, difficile au pied, et puis on arrive au Chalet Reynard et on se retrouve dans les cailloux. A un moment, il n’y a plus de végétation, plus que des pierres et tu vois l’antenne très loin», raconte Jean-François Bernard, vainqueur au sommet en 1987 dans un contre-la-montre mémorable.
«C’est un paysage lunaire mais on ne le voit pas trop sur le Tour tellement il y a de monde. La seule chose que tu vois, c’est cette antenne qui ne se rapproche pas et on sait que l’arrivée est juste au pied de l’antenne. Donc la meilleure solution, c’est de ne pas trop lever la tête», ajoute-t-il.
Sur ces 20 kilomètres d’ascension se sont joués les épisodes les plus dramatiques de l’histoire du Tour, à commencer par la mort de l’Anglais Tom Simpson en 1967 où la chaleur provençale, combinée aux amphétamines retrouvées sur le cycliste, lui ont été fatales.
D’autres y ont connu des défaillances, comme Jean Malléjac, victime d’une insolation en 1955. Certaines scènes sont restées gravées dans les mémoires, comme en 2000 lorsque Lance Armstrong choisit de laisser la victoire à Marco Pantani au terme d’un impressionnant mano a mano entre les deux derniers vainqueurs du Tour.
«Il y fait souvent très, très chaud et il y a une réverbération qui monte depuis le goudron. On y respire un air qui vous étouffe, il n’y a rien qui vous rafraîchit», raconte Bernard Thévenet, qui s’y est imposé en 1972.
Dimanche, en attaquant ces vingt derniers kilomètres à 7,5% de pente moyenne (atteignant 10,6% par endroits) après en avoir avalé 222, les grimpeurs du peloton n’auront qu’une idée: inscrire leur nom dans l’histoire de cette ascension hors normes.
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14/07/2013, 07h47
Servette sue mais gagne
FOOTBALL
—
Servette n’a pas manqué sa rentrée en s’imposant 2-1 à Wohlen, lors de la 1re journée de Challenge League. Les Grenat, menés au score, ont toutefois pu mesurer la difficulté à laquelle ils se heurteront tout au long de la saison.
Mis à jour le 13.07.2013 3 Commentaires
- La Challenge League, ses destinations éloignées, ses stades pittoresques, ses pelouses compliquées et étroites, ses équipes accrocheuses. Servette a d’emblée eu un aperçu plutôt fidèle de l’ensemble de leur exercice dans le Niedermatten argovien.Grand favori de ce championnat, le SFC a été pris de court dès la 24e et une faute de Mfuyi dans la surface. Stupeur dans les rangs genevois: Paiva, sur penalty, a ouvert le score! Mais la formation de Sébastien Fournier a de la ressource et, même privée de ses renforts serbes Marinkovic et Markovic (pas encore qualifiés), a su renverser la tendance.
Elle l’a fait notamment grâce à la fougue de deux jeunes promus cet été dans le groupe professionnel, les demis de couloirs Hugo Fargues et Kevin Bua. Le premier a servi Tréand dans la surface pour l’égalisation à la 59e tandis que le second a alerté d’une frappe le portier adverse Tahiraj, lequel a accordé un rebond dont a pu profiter le nouvel avant-centre grenat Igor Tadic à la 65e. Mais le SFC a eu chaud, Paiva ayant notamment galvaudé une énorme occasion à dix minutes de la fin de la rencontre.
Dans l’autre match de la soirée, Lugano s’est défait 2-1 du coriace FC Wil grâce à des réalisations d’Urbano et Bottani. Imprimer
A l'image de Christopher M'Fuy (à gauche), Servette a été accroché sur la pelouse du FC Wohlen.
Image: Ennio Leanza/Keystone
WOHLEN - SERVETTE 1-2 (1-0)
Niedermatten, 1800 spectateurs.
Arbitre: M. Schnyder.
Buts: 24e Paiva (penalty) 1-0, 59e Tréand 1-1, 65e Tadic 1-2.
Wohlen: Tahiraj; Stadelmann, Buehler, Pnishi, Wellington; Rapp, Milani (87e Grabovica), Bastida (70e Muscia), Giampa, Kakoko; Paiva.
Servette: Barocca; Sauthier, M'Fuy, Dams, Moubandje; Fargues, Crettenand, Pasche, Bua; Tadic, Tréand.
Notes: Wohlen sans Winsauer, Agro, Cardiello, Guto, Bielic (blessés) ni Nikic (pas qualifié). Servette privé de Pont, Routis (blessés), Marinkovic et Markovic (pas qualifiés).
Avertissements: 65e Pnishi (réclamations), 67e Stadelmann (jeu dur), 74e Giampa (jeu dur) et 91e Treand (antijeu).
Corners: 1 - 6 (0-1)
Challenge League
1e Journée
13.07. Lugano - Wil2 : 113.07.Wohlen - Servette1 : 214.07.Locarno - FC Bienne- : -14.07.FC Vaduz - Chiasso- : -15.07.Schaffhouse - Winterthur- : -État: 13.07.2013 19:37
Classement
NomJVNDButsP1.Lugano11002:131.Servette11002:133.Sc haffhouse00000:003.Locarno00000:003.FC Bienne00000:003.Winterthur00000:003.Chiasso00000:0 03.FC Vaduz00000:009.Wil10011:209.Wohlen10011:20État: 13.07.2013 19:38
2e Journée
20.07.FC Bienne - Winterthur- : -20.07.Locarno - Wohlen- : -21.07.Chiasso - Wil- : -21.07.Schaffhouse - Lugano- : -22.07.Servette - FC Vaduz- : - Mots-clés
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14/07/2013, 07h50
Travis Tygart: «L’UCI ne tient pas ses promesses»
Dopage
—
Dans un entretien exclusif au «Matin Dimanche», le tombeur de Lance Armstrong affirme que l’Union cycliste internationale «ne fait rien»
Pour le grand public, il est l’homme qui a confondu, puis fait choir Lance Armstrong. Mais pour Travis Tygart, chantre d’un sport authentique et propre, sa mission quotidienne à la tête de l’agence antidopage américaine dépasse son seul contentieux avec l’ancien maître du Tour de France. Comme il l’explique dans un entretien au «Matin Dimanche», le seul moyen de combattre durablement la tricherie est «d’éradiquer la culture de la gagne à tout prix qui s’est installée depuis trente, quarante ans».
Il a aussi fait tomber Marion Jones
Son inquiétude vis-à-vis du cyclisme ne s’apaise pas. «On demande à l’UCI de tenir ses promesses et de prendre des mesures pour nettoyer la culture du dopage dans le cyclisme C’est une honte que ces dirigeants n’aient encore rien fait. »
Après avoir fait tomber Marion Jones, Floyd Landis ou encore Justin Gatlin, Travis Tygart avoue recevoir des menaces de mort et engager des gardes du corps. «Ceux qui sont entrés dans le monde professionnel pour avant tout gagner de l’argent sont prêts à tout pour contourner les lois et menacer ceux qui se mettent en travers de leur chemin, quitte à utiliser des tactiques auxquelles le sport n’est pas habitué, comme la menace de mort.»
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14/07/2013, 07h53
Team New Zealand bat aisément Luna Rossa
VOILE
—
Le catamaran néo-zélandais Emirates Team New Zealand (ETNZ) a remporté samedi la première vraie régate des régates éliminatoires de la Coupe de l’America.
Mis à jour le 13.07.2013
Le catamaran d'Emirates Team New Zeanland en action dans la baie de San Francisco. En toile de fond, le Golden Gate Bridge.
Image: John G. Mabanglo/Keystone
Les Kiwis, barrés par Dean Barker, ont aisément pris la mesure des Italiens de Luna Rossa de Chris Draper, dans la baie de San Francisco, à l’issue d’une course d’environ 45 minutes disputée sur un parcours de 16 milles (29,6 km). ETNZ est le favori pour gagner le droit d’affronter le détenteur de la Coupe de l’America, Oracle Team USA, du 7 au 21 septembre sur le même plan d’eau.
Trois vraies-fausses régates avaient eu lieu auparavant. Le 7 juillet, les Kiwis avaient remporté la première en solo, leur adversaire suédois Artemis n’étant pas encore mis à l’eau. Ils avaient récidivé deux jours plus tard, Luna Rossa ayant décidé de boycotter la course en raison d’un litige avec les organisateurs sur un point du règlement. Les Italiens avaient pour leur part gagné jeudi lors de leur régate virtuelle contre le «fantôme» d’Artemis. Chaque challenger doit rencontrer chacun de ses deux adversaires à cinq reprises.
La course de samedi, courue sous le soleil et avec des vents de 18 à 20 noeuds, était donc le premier duel de cette 34e Coupe de l’America, le plus vieux trophée sportif au monde (1851). Les Kiwis ont pris le meilleur départ et ont ensuite largement dominé la course, augmentant leur avance sur les Italiens à chaque bouée.
Emirates Team New Zealand (coques noir et rouge) et Luna Rossa (coques argentées) se connaissent bien car les deux équipes se sont entraînées plusieurs mois ensemble en Nouvelle-Zélande (jusqu’à la fin 2012) et les Italiens ont en outre acheté les plans du premier bateau néo-zélandais.
Les Kiwis en ont, depuis, sorti un deuxième - celui a qui a couru samedi - tandis que les Italiens faisaient évoluer le leur. Les deux catamarans AC72 (22 m de long) sont désormais assez différents, celui des Néo-Zélandais étant plus abouti sur le plan aérodynamique.
Les Italiens améliorent eux aussi leur bateau. Ils disposent déjà d’une nouvelle aile rigide, de nouveaux foils (dérives courbes) et safrans. Ils effectuent d’autres améliorations destinées à améliorer l’aérodynamisme (carénage d’épontille, plate-forme rigide de plus grande surface sous le mât-aile) qui seront terminées la semaine prochaine.
mange un castor tu sauves un arbre
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