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Tour de France Français : la dernière chance ?
Cantonnés au rôle de baroudeurs, les Français n'ont pas encore levé les bras dans le Tour 2013. La 16e étape mardi vers Gap pourrait être leur dernière occasion de briller.
Pierre Rolland n'a pas encore réussi à s'imposer en montagne. (L'Equipe)







Avec un parcours trop vallonné pour les sprinteurs et pas assez dur pour les leaders du classement général, la 16e étape a déjà été cochée par tous les baroudeurs que compte le peloton, autrement dit par un paquet de coureurs français. Avant les six derniers jours de course, la pression monte sur les formations du cru (FDJ.fr, AG2R, Europcar, Cofidis, Sojasun) qui n’ont toujours pas gagné d’étape. Un zéro pointé sera même dur à éviter, tant la dernière semaine compile des étapes pour les gros bras du peloton (1 contre-la-montre, 2 arrivées au sommet) avant le sprint annoncé sur les Champs-Elysées. En 2003, Jean-Patrick Nazon avait sauvé le contingent français lors de l'étape parisienne mais il ne devrait pas avoir de successeur cette année.



Voeckler : «On a trois sprinteurs français de niveau mondial : Démare, Bouhanni et Coquard. On n'en avait qu'un au départ (Bouhanni) et il est tombé rapidement malade », Quadruple vainqueur d’étapes sur le Tour (dont 2 en 2012), Thomas Voeckler n’a toujours pas réussi à trouver l’ouverture depuis le départ de Corse : « Les coureurs français, à commencer par moi, on est plus dans la spécialité puncheurs, a-t-il expliqué lundi en conférence de presse. En 2010, on avait six victoires françaises. Cette année, on n’a pas gagné. Cela ne s’explique pas. Peut-être que le parcours est moins favorable. » Depuis le départ de Corse, seule une échappée partie dans la première partie de l’étape a vu la ligne d’arrivée, à Lyon, et quatre Français (Vichot, Kadri, Simon et Gautier) s’étaient mêlés au coup gagnant. « Sinon, on a trois sprinteurs français de niveau mondial : Démare, Bouhanni et Coquard. On n’en avait qu’un au départ (Bouhanni) et il est tombé rapidement malade », souligne Voeckler.

Le maillot à pois pour Rolland ?

Ces deux dernières années, Pierre Rolland avait gagné deux étapes de haute montagne, à l’Alpe d’Huez (2011) et à la Toussuire, mais à chaque fois en anticipant la bagarre des favoris. Cette année, il a loupé l’échappée du Mont Ventoux et a été victime de la journée de folie des Movistar vers Bagnères-de-Bigorre. Très loin du top 10 où il s’était installé depuis deux ans, le grimpeur d’Europcar pourrait reporter ses ambitions sur le maillot à pois (il est quatrième du classement de la montagne, ndlr) : « J’en ai envie. Il me fait rêver ce Maillot. Vu le barème de points dans les arrivées au sommet, ce sera compliqué mais je ne partirai pas sans m’être battu. » Sa chance – et celle des baroudeurs-grimpeurs – est que Chris Froome ne fera pas tout pour gagner de nouvelles étapes : « La priorité est défendre le Maillot Jaune, pas de gagner à l’Alpe d’Huez », a-t-il expliqué lundi matin. Cela laisse de grosses miettes...

16e étape du Tour de France : Vaison-la-Romaine - Gap (D.R)


A. T.-C., à Vaison-la-Romaine

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Tour de France Capitaine, le rôle de l'ombre
Ils sont les gardes du corps des hommes forts, le berger de chaque équipe et la vigie des directeurs sportifs. Leur rôle est de lire la course et d'anticiper pour les autres. Gros plan sur les capitaines de route, éléments aussi discrets qu'historiques et indispensables.
Stuart O'Grady, le capitaine de route de l'équipe Orica-GreenEdge. (L'Equipe)







Ils s'appellent Laurent Didier, Koen de Kort, Jean-Marc Marino ou Manuele Mori. Ceux qui leur quémandent des autographes leur demandent aussi leur nom car leurs succès dans la Côte Picarde ou le Tour du Luxembourg ne les ont pas rendus célèbres. Il n'est jamais inscrit sur leur fiche qu'ils sont capitaines de route alors qu'on y décèle souvent une spécialité (rouleur, puncheur...) qui est un peu moins la leur. Ces coureurs appartiendraient à «une race en voie d'extinction» et c'est toujours quand on en arrive là qu'on se souvient que «leur rôle est capital». «Une équipe peut survivre sur une course sans capitaine de route mais elle ne va pas gagner grand chose, raconte le vétéran Stuart O'Grady. C'est déjà assez difficile de gagner une étape avec huit équipiers alors essayer de le faire sans quelqu'un qui dit la tactique, c'est très difficile.»

Un capitaine «n'est pas forcément un leader mais plutôt un porte-parole. Il ne réfléchit pas de manière individuelle et a du pouvoir sur les autres.» L'Australien, 39 ans et 17 Tours au compteur, fait toujours bien son travail de capitaine, une tâche qui ne le laisse «jamais tranquille» avec le devoir de «toujours regarder les autres coureurs comme un grand jeu d'échecs». L'étape a priori la plus piégeuse de l'édition 2013, entre Bastia et Calvi, est revenue à sa formation par l'entremise de Simon Gerrans et Orica-GreenEdge a porté le Maillot Jaune pendant 96 heures.O'Grady confie que «lire la course est quelque chose que je fais bien. C'est une de mes caractéristiques depuis que je suis jeune». De la même manière, si Alberto Contador a repris plus d'une minute à Chris Froome à Saint-Amand-Montrond en utilisant toutes les subtilités des effets du vent sur le peloton, le mérite en revient grandement à Michael Rogers, 33 ans, qui était l'an dernier le capitaine de route de Bradley Wiggins. Une prise de choix pour Saxo-Tinkoff, d'autant que son successeur chez Sky, Geraint Thomas, 27 ans, n'affiche ni les mêmes états de service, ni la même réussite pour le moment.

Evidemment le patron Dave Brailsford assure que le Gallois «assume très bien ce rôle». Mais pourquoi Thomas, plus jeune que cinq de ses huit équipiers sur le Tour, a-t-il été choisi très officiellement comme capitaine de l'équipe la plus puissante ? «Sa grande expérience sur les classiques» a été la clé assure Brailsford. Cependant, le capitaine, ce garçon qui «n'est pas forcément un leader mais plutôt un porte-parole, qui adhère à la stratégie de l'équipe avec conviction et ne réfléchit pas de manière individuelle», doit avoir, plus encore que de la pratique, «du pouvoir sur les autres» résume le manager de Sojasun Stéphane Heulot. Chez RadioShack, Jens Voigt, 41 ans, Andreas Klöden, 38 ans, et Haimar Zubeldia, 36 ans, sont placés sous l'autorité discrète de Laurent Didier, 29 ans. Qui est-il ? «Un mec intelligent» pour le directeur sportif Alain Gallopin.

LA SECONDE PARTIE
X.C.

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«Isoler Froome plus vite»...

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Athlé ChM Une première équipe de France
L'équipe de France pour les Mondiaux de Moscou comporte déjà quarante noms. Les autres athlètes ont encore quinze jours pour faire les minima.
Renaud Lavillenie, qui a égalé sa meilleure performance mondiale de l'année, dimanche aux Championnats de France, sera l'un des leaders de la délégation française aux Mondiaux. (EQ)







Au lendemain des Championnats de France, quarante athlètes ont été sélectionnés pour les Mondiaux (à Moscou du 10 au 18 août). Cette première liste sera complétée après le 29 juillet, date butoir pour réaliser les minima. Les têtes d'affiche de l'équipe de France sont là : Jimmy Vicaut, Christophe Lemaitre, Pascal Martinot-Lagarde, Mahiedine Mekhissi, Renaud Lavillenie, Teddy Tamgho, Yohann Diniz, Eloyse Lesueur ou encore Antoinette Nana Djimou.

On retrouve aussi Cindy Billaud, qui a couru en 12''75 puis en 12''59 sur 100m haies, samedi lors des «France», ainsi que Alice Decaux, Reina-Flor Okori, Yoann Rapinier et Mickaël Hanany, qui ont également réalisé les minima ce week-end au stade Charléty à Paris. Dans cette liste figurent enfin certains athlètes, qui n'ont pas encore réussi les minima, tels que Myriam Soumaré, Johanna Danois, Marie Gayot et Sophie Duarte.

L'équipe de France

HOMMES
100m : Christophe Lemaitre, Jimmy Vicaut.
200m : Christophe Lemaitre, Jimmy Vicaut.
800m : Pierre-Ambroise Bosse.
1 500m : Florian Carvalho, Simon Denissel, Bouabdellah Tahri.
Marathon : Benjamin Malaty.
110m haies : Pascal Martinot-Lagarde, Thomas Martinot-Lagarde.
3 000m steeple : Yoann Kowal, Mahiedine Mekhissi, Nouredine Smail.
Hauteur : Mickaël Hanany.
Perche : Renaud Lavillenie, Valentin Lavillenie.
Triple saut : Teddy Tamgho, Yoann Rapinier.
Décathlon : Kevin Mayer.
20km marche : Kevin Campion, Bertrand Moulinet.
50km marche : Yohann Diniz.
4x100m : Christophe Lemaitre, Jimmy Vicaut, Emmanuel Biron, Arnaud Rémy.

FEMMES
200m : Myriam Soumaré, Johanna Danois.
400m : Marie Gayot.
5 000m : Sophie Duarte.
10 000m : Christelle Daunay.
Marathon : Carmen Oliveras.
100m haies : Cindy Billaud, Alice Decaux, Reina-Flor Okori.
Longueur : Eloyse Lesueur.
Perche : Marion Lotout.
Disque : Melina Robert-Michon.
Heptathlon : Antoinette Nana Djimou
4x400m : Phara Anacharsis, Marie Gayot, Floria Guei, Lenora Guion-Firmin, Muriel Hurtis.
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Perquisition en Italie...

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Les plus gros transferts de L1

L'arrivée retentissante de Cavani au PSG a presque fait oublier celles de Falcao et James Rodriguez à Monaco. S'il n'est plus seul à faire signer les stars, le PSG aime dépenser... Retour sur les plus gros transferts du Championnat de France.

EDINSON CAVANI, 64 millions d'Euros

Le meilleur buteur de la Serie A italienne l'an passé (29 buts) est enfin arrivé dans la capitale. En échange d'un chèque de 64 millions d'Euros et d'un salaire estimé à 10 millions par an, l'attaquant uruguayen de 26 ans a donc quitté Naples pour le PSG. Ce transfert fait de Cavani le joueur le plus cher de l'histoire de la L1...
(Photo Richard Martin/L'Équipe)


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• Le meilleur buteur de la Serie A italienne l'an passé (29 buts) est enfin arrivé dans la capitale. En échange d'un chèque de 64 millions d'Euros et d'un salaire estimé à 10 millions par an, l'attaquant uruguayen de 26 ans a donc quitté Naples pour le PSG. Ce transfert fait de Cavani le joueur le plus cher de l'histoire de la L1...
  (Photo Richard Martin/L'Équipe)
• De l'Atlético Madrid à l'AS Monaco en 2013
  L'attaquant colombien est le symbole de la toute nouvelle puissance monégasque. Alors que l'ASM n'est pas qualifié pour la Ligue des champions et vient de valider son retour dans l'élite, ses propriétaires russes parviennent à convaincre la superstar de l'Atlético de rejoindre le club monégasque. À ce jour, il devient le joueur le plus cher de l'histoire de la Ligue 1.
  (Photo Didier Fèvre, août 2012)
• De l'AC Milan au Paris-SG en 2012
  Considéré comme l'un des meilleurs défenseurs au monde, l'ancien joueur de l'AC Milan rejoint le PSG pour la somme record de 42 millions d'euros (plus 7 millions d'euros de bonus).
  (Photo Pascal Rondeau, Barcelone - AC Milan, saison 2011-2012)
• De Porto à l'AS Monaco en 2013
  Arrivé dans une transaction commune avec son partenaire de Porto, Joao Moutinho, le Colombien de 21 ans est un surdoué. Après avoir débuté chez les pros à l'âge de 14 ans avec Envigado (2006), il débarque dans le Championnat portugais en 2010 et rafle tout sur son passage. Le moment venu, l'ASM ne laisse pas passer l'occasion de l'acheter pour l'associer à Falcao en attaque.
  (Photo Carlos palma/Pics United/Presse Sports, mai 2011)
• De Sao Paulo au Paris-SG en 2013
  À la recherche du ''nouveau Messi'' depuis leur arrivée, les propriétaires qatariens du PSG réalisent un nouveau gros coup durant l'été 2012 en annonçant la prochaine signature du Brésilien, au nez et à la barbe de Manchester United. Le joueur, déjà international à seulement 20 ans, arrive finalement à Paris en janvier 2013 après six derniers mois passés à Sao Paulo.
  (Photo Stéphane Mantey, PSG-Marseille, février 2013)
• De Palerme au Paris-SG en 2011
  L'Argentin est la première recrue phare des nouveaux propriétaires qatariens du PSG durant l'été 2011. Considéré comme l'un meilleurs jeunes de sa génération, l'international albiceleste débarque dans la capitale, en provenance de Palerme, avec une pression énorme.
  (Photo Stéphane Mantey, PSG-Lille, décembre 2011)
• Du Real Madrid au Paris-SG en 2000
  Des difficultés d'adaptation et des relations tendues avec son entraîneur Vicente Del Bosque précipitent sa décision de quitter le Real. Trois ans et cinq mois après son départ du PSG en 1997, Laurent Perpère, président du PSG, fait revenir Anelka dans le club de son coeur.
  (Photo Bernard Papon)
• De Naples au Paris-SG en 2012
  Après avoir inscrit 38 buts en 156 matches de Serie A, Lavezzi quitte l'Italie pour le club de la capitale.
  (Photo L'Équipe)
• Du FC Porto à Monaco en juin 2013
  À 26 ans, il compte déjà près de 60 sélections avec le Portugal. Formé au Sporting, Joao Moutinho s'est imposé comme meneur de jeu du FC Porto (ici face à Manchester City en février 2012) et de la sélection portugaise. Une bonne pioche pour Monaco.
  (Photo Stéphane Mantey, PSG-FC Porto, décembre 2012)
• Du FC Porto à Lyon en 2009
  Après avoir cédé ses deux meilleurs joueurs, Juninho et Karim Benzema, l'OL s'offre à l'été 2009, le meilleur buteur du championnat portugais 2007-2008 (24 buts) et réalise du même coup le plus gros transfert de son histoire.
  (Photo Alain Mounic, Lyon - Montpellier, saison 2010-2011)
• De Bordeaux à Lyon en 2010
  Bordeaux n'étant pas qualifié pour la Ligue des champions, le milieu de terrain exprime sa volonté de quitter le club pour rejoindre l'OL. Le montant de son transfert constitue alors un record entre deux clubs français.
  (Photo L'Équipe, Lyon - Lens, saison 2010-2011)
• De l'Atletico Paranense (Brésil) au Stade Rennais en 2000
  Brillant avec son club de Paranense, 49 réalisations en 72 matches, le Brésilien rejoint Rennes qui souffle le joueur à l'Olympique de Marseille.
  (Photo Alain De Martignac, Marseille - Rennes, saison 2000-2001)
• De l'AC Milan au Paris-SG en 2012
  Paris s'offre les services d'une pointure de classe mondiale en la personne du géant suédois, Zlatan Ibrahimovic, meilleur buteur de Serie A la saison dernière avec 28 réalisations.
  (Photo Alain Mounic, AC Milan - Barcelone, saison 2011-2012)
• Du Stade Rennais à l'AS Monaco en 2000
  Tout juste sacré champion de France 2000, le club de la Principauté s'attache les services de l'attaquant congolais aux 31 buts en deux saisons avec Rennes.
  (Photo Alain Landrain, Monaco - Nantes, saison 2000-2001)
• Du FC Porto à l'OM en 2009
  Après quatre années passées à Porto (45 buts en 155 matches) où il évolue avec son compatriote Lisandro Lopez, ''El Comandante'' rejoint Marseille et Didier Deschamps. C'est le plus gros transfert de l'histoire du club.
  (Photo Stéphane Mantey, Marseille - Sochaux, saison 2010-2011)
• De Lille à Lyon en 2009
  Lors de sa troisième et dernière année avec le club lillois, il est sacré meilleur passeur du championnat avec 9 passes décisives. Sa signature à l'OL lui ouvre les portes de la sélection brésilienne en octobre 2009.
  (Photo Richard Martin, Anderlecht - Lyon, saison 2009-2010)
• De Toulouse à Marseille en 2010
  En 2009, l'attaquant entre dans l'histoire du TFC en devenant le premier joueur toulousain à inscrire 24 buts en une saison. Ces performances ne laissent pas indifférent l'Olympique de Marseille qui décide de le recruter à l'été 2010.
  (Pascal Rondeau, Toulouse - Marseille, saison 2010-2011)
• De Lille à Lyon en 2007
  Le fait que Lille ne réussisse pas une saison aussi bonne que les précédentes (10ème en 2006-2007) facilite la venue de l'Ivoirien à l'OL. Profil plutôt rare en Ligue 1 grâce à sa vitesse et ses percées balle au pied, Alain Perrin (à gauche) en a fait une de ses priorités de recrutement.
  (Photo Pierre Lahalle, Rennes - Lyon, saison 2007-2008)
• De Barcelone à Lyon en 1999
  Meilleur buteur de Ligue 1 en 1996 et meilleur joueur de la saison en 1997, le Brésilien est irrésistible lors de son passage à Monaco. Il tente ensuite l'aventure en Espagne, avec le Barça de Louis van Gaal, mais se morfond sur le banc. Jean-Michel Aulas décide alors de le relancer à Lyon.
  (Photo Jérôme Prevost, Lyon - Maribor, saison 1999-2000)
• De Cruzeiro à Lyon en 2005
  40 buts en 43 matches lors de la saison 2004-2005, un ratio impressionnant qui fait de Fred le recordman du nombre de buts marqués en une saison au Brésil. Encore une fois, le champion de France lyonnais est sur le coup et engage cette machine à marquer.
  (Photo Pierre Lahalle, Lyon - PSG, saison 2005-2006)
• De Fenerbahçe au PSG en 1998
  Étincelant avec ses dribbles venus d'ailleurs, Jay-Jay termine dès sa première saison avec Fenerbahçe, meilleur buteur du club avec 16 réalisations. Figure marquante du Mondial 1998 avec son équipe du Nigéria, dont l'aventure s'arrête en huitièmes de finale, il tape dans l'oeil de Charles Biétry, président délégué du PSG, qui décide de le faire venir à Paris.
  (Photo Jean-Claude Pichon, PSG - Rennes, saison 1999-2000)
• De Nice à Marseille en 2010
  Le joueur formé à Lyon se révèle lors de la saison 2009-2010 et participe grandement au maintien de Nice en Ligue 1. Dans le même temps, l'attaquant découvre l'équipe de France. Sa montée en puissance est remarquée et attire l'attention de l'Olympique de Marseille.
  (Photo Alain Mounic, Lille - Marseille, saison 2010-2011)
• Du FC Porto à Lyon en 2009
  En janvier 2009, le Français rejoint le FC Porto et effectue ses premiers pas en Ligue des champions. Suivi par de nombreux clubs de renommée internationale, le défenseur se met d'accord en juillet avec Lyon et rejoint du même coup son ancien coéquipier, Lisandro Lopez.
  (Photo Stéphane Mantey, PSG - Lyon, saison 2009-2010)
• De Milan à Bordeaux en 2009
  Prêté par le Milan AC à Bordeaux pour la saison 2008-2009, le meneur de jeu réalise une excellente saison (12 buts, 10 passes en L1). À tel point que Milan lui fait les yeux doux en fin de saison, de peur que Bordeaux ne lève l'option d'achat de 15 millions assortie au prêt. Les Girondins choisissent de payer pour garder le néo-international.
  (Photo Nicolas Luttiau, Bordeaux - Nice, saison 2009-2010)
• De Lille à Lyon en 2008
  Joueur incontournable du onze lillois sous la houlette de Claude Puel, cet excellent récupérateur est aussi très endurant. Le milieu défensif suit son entraîneur à Lyon après six saisons au LOSC.
  (Photo Stéphane Mantey, Caen - Lyon, saison 2008-2009)
• De Nice à Lyon en 2008
  À Nice, le Brésilien se spécialise dans la livraison de caviars et inscrit une quinzaine de buts en deux saisons. Très à l'aise lorsqu'il s'agit de perforer les défenses adverses, cet excellent technicien est rapidement suivi par les meilleurs clubs européens. Il reste fidèle à la Ligue 1 et rejoint Lyon en 2008.
  (Photo L'Équipe, Monaco - Lyon, saison 2008-2009)

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Réactions (78)

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  kevolrafa49 16 juil. à 1:22
  Ederson , Makoun , Kader Keita , Bastos , Cissokho ... Que de joueurs lyonnais qui seront repartis bien loin de leur prix de depart , on se demande ce que fait Aulas ! Allez l'OL !
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• 
  Ingoma 15 juil. à 23:53
  Lille s'est quand même fait pas mal de blé sur le dos d'Aulas, quand même !
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• 
  GenieGP 15 juil. à 21:40
  On remarquera que Gourcuff figure deux fois dans cette liste. En tout cas il y aura eu quelques mauvais transferts parmi ses joueurs-là.
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• 
  GenieGP 15 juil. à 21:28
  A chaque nouveau gros transfert en Ligue 1, le journal Lequipe va nous sortir ce tableau ? On n'est pas sorti de l'auberge alors ! Car c'est déjà la deuxième fois que je vois ce tableau en l'espace de quelques mois seulement...
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• 
  arbela 15 juil. à 20:00
  Quand Sony est arrivé à l'OL c' était la première fois qu'un président français craquait un billet de 100 000 000 francs pour un joueur . On a demandé à Aulas quelle impression ça faisait . Réponse : " pas grand ' chose puisque pour mon entreprise ( informatique ) ça m'arrive assez souvent de la faire " . Mais Aulas est chef d'entreprise , justement . Il sait d'où vient l'argent de ses transactions : le sien , de sa poche . La différence est là .
  

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Du rififi autour de «Schälli»

FOOTBALL

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La rumeur canadienne a fait état du futur remplacement de Marco Schällibaum à la tête de l'Impact de Montréal. Le président du club a rectifié.
Par Renaud Tschoumy. Mis à jour à 08h54 1 Commentaire

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La place de Marco Schällibaum a la tête de l'Impact de Montréal, pour lequel le Suisse s'est engagé un an au début du présent exercice de Major League Soccer (MLS), est-elle en danger?
Alors que l'équipe canadienne traverse une période difficile, et après une troisième suspension de son coach, une radio colombienne, Antena 2, a diffusé une information relayée par le site officiel de la MLS, rumeur selon laquelle Schällibaum serait remplacé par Juan Carlos Osorio, ex-directeur technique du Fire de Chicago (2007) et des Red Bulls de New York (2007-2009).
Le président de l'Impact Joey Saputo a réagi via Twitter: «Vous blaguez? Très content avec Schällibaum. Aucune raison d'aller chercher un autre entraîneur.»
On prend donc acte. Mais on sait aussi que, lorsqu'un président croit bon d'intervenir pour tordre le cou à une rumeur, la rumeur en question a toutes les chances d'être vérifiée dans les jours qui suivent... (Le Matin)

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Sharapova: d'abord un shooting, puis un forfait

Tennis

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La numéro 2 mondiale a déclaré forfait pour le tournoi WTA de Stanford (22-28 juillet) en raison de la persistance d’une blessure à la hanche gauche.

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1/19 Maria Sharapova à Manhattan Beach, jeudi 11 juillet
Image: AFP




La semaine dernière, la belle russe a tenu à honorer ses engagements avec un de ses sponsors, la marque de voitures allemandes Porsche avec laquelle elle a noué un partenariat de trois ans en avril dernier. Côté court, sa blessure à la hanche gauche continue de contrarier sa préparation pour l'US Open.
«Nous comprenons que la santé d’une joueuse doit passer avant tout», a convenu Kim Hall, la directrice du tournoi qui a également annoncé un autre forfait, celui de la Belge Kirsten Flipkens, 15e mondiale.
Malgré l’absence de Sharapova, Stanford peut compter sur un plateau intéressant avec notamment Marion Bartoli, dont ce sera la réapparition sur le circuit après son sacre à Wimbledon, mais également la Polonaise Agnieszka Radwanska (4e mondiale), l’Australienne Samantha Stosur, vainqueur de l’US Open en 2011, et la lauréate de Roland-Garros en 2010, l’Italienne Francesca Schiavone. (si/Le Matin)

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L'agent d'Asafa Powell accuse le préparateur physique

© epa.
Paul Doyle, l'agent du sprinter jamaïcain Asafa Powell, a accusé le préparateur physique canadien Christopher Xuereb d'être le responsable du contrôle positif de l'ancien recordman du monde du 100 m, mardi dans le New York Times.
Selon Doyle, la combinaison de 20 compléments alimentaires et les injections fournies par Xuereb seraient responsables du contrôle positif.

Parmi les substances figuraient des vitamines C et D et l'antidouleur Aleve mais aussi des produits comme de l'Actovegin, produit utilisé par Lance Armstrong et son équipe à base de sang de veau et censé améliorer l'endurance.

"Nous essayons de savoir ce qui s'est passé, et il nous est apparu clairement vers où nous devons chercher", a précisé Doyle au quotidien new yorkais. "Il leur a donné beaucoup de choses différentes, et nous ne savons pas laquelle a provoqué le contrôle positif."

L'Oxilofrine, détecté et responsable du cas positif, n'est pas mentionné par Xuereb qui a fourni la liste des produit fournis à Powell et aussi à Sherone Simpson, également contrôlée positive.

Les accusations de Doyle font suite à la descente de la police italienne lundi dans l'hôtel de Lignano Sabbiadoro où logeaient Xuereb et les sprinters jamaïcains.

La police a saisi les produits qui seront analysés afin de savoir si ces produits sont autorisés ou non. Les autorités locales ont ouvert une enquête.

[Norton]

Golubic réussit ses débuts sur le Circuit

16.07.2013 11:58 mise à jour à 12:56 Réagir
Golubic a fini le match sur un ace. [Melanie Duchene - EQ]

Viktorija Golubic

Kiki Bertens



6 2
62
- -
- -
- -




Viktorija Golubic (WTA 259) a frappé un grand coup pour sa première apparition dans le tableau principal d'un tournoi WTA. La Zurichoise de 20 ans a dominé 6-2 6-2 Kiki Bertens (66) au 1er tour sur la terre battue de Bad Gastein.
Après d'excellentes qualifications, Golubic (WTA 259) a joué en confiance face à la 66e joueuse mondiale. A 2-1 dans la première manche, la Zurichoise est parvenue pour la première fois à ravir le service de la Néerlandaise.
Au total, Kiki Bertens a été breakée à quatre reprises. De son côté, la Suissesse n'a concédé qu'une seule balle de break -pas convertie par son adversaire- en 70 minutes. Elle a même eu la chance de terminer la rencontre sur un ace.
Premier match contre une membre du top-100 et premier succès donc. Au deuxième tour, la Zurichoise affrontera la Tchèque Andrea Hlavackova (WTA 108).

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Le cycliste thurgovien Michael Albasini prolonge de deux ans son contrat avec la formation Orica-GreenEdge

16.07.2013 11:57 mise à jour à 13:12

Michael Albasini reste chez Orica-GreenEdge. Le Thurgovien de 32 ans a prolongé de deux ans avec l'équipe australienne. Il a ainsi décliné l'offre de la formation IAM, au sein de laquelle son père Marcello occupe la fonction de directeur sportif.

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Cavani rejoint le PSG pour 5 ans

16.07.2013 18:32 mise à jour à 19:02 Réagir
Avec Cavani en pointe, le PSG a frappé un grand coup. [Jacques Demarthon - AFP]


L'attaquant international uruguayen Edinson Cavani (ex-Naples) a été officiellement recruté mardi pour cinq ans par le Paris SG, avec un transfert record en Ligue 1 estimé à près de 64 millions d'euros.
Âgé de 26 ans, Cavani s'est donc engagé pour cinq saisons et un salaire annuel avoisinant les 10 millions d'euros. Le meilleur buteur du dernier championnat de Serie A (29 réalisations) a été présenté à la presse au Parc des Princes aux côtés du président du club, Nasser Al-Khelaïfi.
Le précédent record en la matière en Ligue 1 remontait à ce printemps, avec le recrutement par Monaco, l'autre nouvelle puissance financière du championnat français, de l'attaquant international colombien Radamel Falcao (ex-Atletico Madrid) pour un montant estimé à près de 60 millions d'euros.
Départ précipité de Leonardo

Par ailleurs, Leonardo a finalement terminé sa mission ce mardi. Le directeur sportif du club parisien, qui avait démissionné mercredi dernier, devait quitter ses fonctions le 2 septembre, a annoncé son président Nasser Al-Khelaïfi.
"Non, il ne reste pas jusqu'au 2 septembre (fin du mercato en France), a expliqué le dirigeant qatari du PSG. Leonardo a quitté le club aujourd'hui, c'était son dernier jour. Je veux le remercier pour son travail."
agences/alt

Classement des transferts les plus élevés de l'histoire

1. Cristiano Ronaldo (Manchester United au Real Madrid, 2009) 94 Mio.
2. Zinedine Zidane (Juventus Turinau Real Madrid, 2001) 71,5 Mio.
3. Zlatan Ibrahimovic (Inter Milan au FC Barcelone, 2009) 69 Mio.
4. Kaka (AC Milan au Real Madrid, 2009) 65 Mio.
5. Edinson Cavani (Naples au Paris Saint-Germain, 2013) 64 Mio.
6. Luis Figo (FC Barcelone au Real Madrid, 2000) 61,5 Mio.
7. Radamel Falcao (Atletico Madrid à l'AS Monaco, 2013) 60 Mio.

Cavani: "C'est un beau projet"

"Je remercie ceux qui ont fait en sorte que ce transfert soit possible, a déclaré "Le Matador", son surnom. C'est un beau projet. Je remercie aussi les gens de Naples qui ont mis du leur pour que ce soit possible. Je viens avec beaucoup de joie, de confiance, d'envie et de motivation pour que l'on gagne des choses importantes".

La conférence de presse prévue pour officialiser mardi le recrutement d'Edinson Cavani au Paris SG, a eu plus de deux heures de retard, car le club parisien a dû attendre "le feu vert de Naples", son club d'origine.
Edinson Cavani en bref

Nom complet: Edinson Roberto Cavani Gomez
Date de naissance: 14 février 1987
Lieu de naissance: Salto (Uruguay)
Nationalité: uruguayenne
Poste: attaquant

Clubs successifs: Danubio (URU/2006-07), Palerme (ITA/2007-10), Naples (ITA/2010-13), Paris SG (2013-...)
Palmarès en club: Champion d'Uruguay (2007 avec Danubio), vainqueur de la Coupe d'Italie (2012 avec Naples)
Distinction en club: meilleur buteur du championnat italien, 29 buts (saison 2012-13 avec Naples)

Sélections: 54
Buts en sélection: 17
Premier match en sélection: Uruguay - Colombie, 2-2, le 6 février 2008
Palmarès en sélection: Copa America (2011)