Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Foot Transferts Digne officiellement au PSG
Au lendemain de la présentation d'Edinson Cavani, le Paris-SG a officialisé l'arrivée d'un deuxième joueur : Lucas Digne, qui s'est engagé pour cinq saisons.
OFFICIEL Champion du monde des moins de 20 ans, Lucas Digne portera le maillot du PSG la saison prochaine. (L'Equipe)







Le Paris-SG a officialisé ce mercredi l'arrivée de Lucas Digne. Le latéral gauche de Lille, ardemment courtisé par l'AS Monaco cet été, s'est engagé pour cinq saisons. «Jouer au Paris Saint-Germain avec des joueurs exceptionnels est un rêve d'enfant et une joie immense. Après le titre de Champion du monde, je vis un été fantastique», a assuré Digne, sacré champion du monde des moins de 20 ans avec les Bleuets la semaine dernière en Turquie. «Il y a de très grandes stars dans l’équipe, j’ai hâte d’apprendre aux côtés de joueurs comme Thiago Silva, Zlatan Ibrahimovic, Blaise Matuidi, Edinson Cavani. Au contact de ces grands joueurs, on apprend forcément beaucoup plus vite.» Après Edinson Cavani, présenté mardi, le PSG tient donc sa deuxième recrue estivale.

«Personnellement, je vais essayer de grappiller le plus de temps de jeu possible. On verra au fur et à mesure comment les choses évolueront.» Le montant de la transaction n'a pas été précisé par le club champion de France mais devrait s'élever à 15 millions d'euros. Le joueur, qui se retrouvera en concurrence directe avec Maxwell, portera le n°21. «Personnellement, je vais essayer de grappiller le plus de temps de jeu possible. On verra au fur et à mesure comment les choses évolueront», a-t-il expliqué. Nasser al-Khelaïfi s'est réjoui de cette arrivée. «Lucas Digne, immense espoir du football français, récent vainqueur de la Coupe du Monde des moins de 20 ans, courtisé par les plus grands clubs, choisit le Paris Saint-Germain pour s’affirmer sur les terrains européens. Nous sommes particulièrement heureux de l'accueillir», a souligné le président du PSG.

[Norton]

Tour de France Froome : «Il reste trois étapes difficiles»
Chris Froome ne veut pas encore croire qu'il a course gagnée. (L'Equipe)














63 a+ a- imprimer RSS



Chris Froome s'attendait à «perdre entre trente secondes et une minute» mercredi. Résultat : il a en encore accentué son avance sur ses concurrents directs en s'imposant dans le contre-la-montre du lac de Serre-Ponçon. De là à dire qu'il a course gagnée... «Il reste trois étapes difficiles qui nous attendent, ils vont continuer à m'atttaquer de toute part, a rétorqué le Maillot Jaune. Ce n'est pas parce qu'ils ont quatre minutes de retard qu'ils vont courir en attendant Paris.»

Mais pourquoi donc le Maillot Jaune, dont le profil de rouleur-grimpeur était parfaitement adapté à ce chrono montagnard, s'attendait-il à voir son avance décroître ? «Je ne voulais pas me donner à fond et garder de la réserve pour les prochaines étapes. Ce qui a fait la différence pour moi, ça a été mon changement de vélo. Ca m'a permis de compenser ça.» Contrairement aux coureurs de Saxo-Tinkoff, Alberto Contador et Roman Kreuziger, désormais deuxième et troisième du général, Froome est passé à un vrai vélo de chrono au deuxième intermédiaire.«Ca m'a permis de pousser un développement plus lourd et donc d'aller plus vite. Peut-être que leur braquet leur permettait d'être bien dans tous les secteurs. Mais moi, ça m'a permis de remporter l'étape.»
X. C. à Chorges

Article suivant
Contador : «De mieux en mieux»...

[Norton]

Foot Euro (Femmes) Thiney : «J'ai perdu un ballon, j'étais en panique...»
Gaëtane Thiney, la milieu de terrain des Bleues, évoque le bon début d'Euro des Françaises et refuse de se relâcher face à l'Angleterre jeudi soir (20h30).
Gaëtane Thiney souhaite que les Bleues restent sur leur dynamique. (L'Equipe)







Sur la terrasse de la Villa Fridhem, avec son imprenable vue sur le lac, Gaëtane Thiney s’est assise face au soleil, cheveux lâchées sur les épaules, souriante et toujours aussi calme. Cadre de l’équipe de France, du haut de ses 88 sélections, la milieu de terrain des Bleues s’est posée près d’une demi-heure pour aborder un début de compétition sans fausse note et le rendez-vous face à l’Angleterre, jeudi soir (20h30), dans le petit stade de Linköping (7 300 places), à une petite quarantaine de kilomètres. Une rencontre sans enjeu, mais qu’il est interdit de perdre.

A lire aussi

Bini : «Savoir "bien mal jouer"»




Coup double pour les Bleues








«Gaëtane Thiney, vous affrontez des Anglaises en étant vous-mêmes déjà qualifiées. Existe-t-il un risque de décompression de la part de l’équipe de France ?
Certes nous sommes qualifiées et sûres d’être premières, mais ce troisième match compte autant que les autres parce qu’on ne peut pas se permettre de s’effondrer. Il faut rester sur la dynamique, continuer à jouer. L’objectif de l’équipe de France était de remporter ses trois premiers matches. Ça doit le rester.

«Les Anglaises sont aussi dans la même configuration que nous en termes de progression et médiatisation. Ca va être un match difficile.» Comment expliquez-vous que les Anglaises soient si laborieuses ?
Elles ne s’attendaient sans doute pas à faire ce résultat contre l’Espagne au premier match (2-3). Et puis mentalement, c’est devenu difficile. Contre la Russie, elles ont eu de la chance d’égaliser en fin de match (1-1), sinon c’était complètement fini. Tout le monde pensait qu’il s’agirait de la finale de ce groupe C et cela n’a pas été cas.

Que faut-il redouter de cette équipe ?
C’est un groupe qui est à maturité même si leur jeu est parfois un peu brouillon. Par rapport à la Coupe du monde (2011), il n’y a pas beaucoup de joueuses qui ont changé. Elles sont aussi dans la même configuration que nous en termes de progression et médiatisation. Mais ça va être un match difficile parce que c’est une équipe athlétique. Et puis elles ont l’obligation de gagner pour passer. Elles vont être plus qu’à bloc !

Face aux Espagnoles, vous avez semblé plus à l’aise quand vous avez glissé depuis l’aile gauche dans l’axe, le jeu de l’équipe de France s’est fluidifié. Quel a été votre sentiment sur le terrain ?
C’était d’abord une question d’adversité. L’Espagne est une bonne équipe. Elles sont bien tactiquement et efficaces dans leurs déplacements. Elles ont vraiment la philosophie de jeu espagnole et elles vont progresser rapidement. Au début du match, elles étaient plus sur des profils comme Louisa (Necib), Camille (Abily), Elise (Bussaglia), moins dans la percussion et plus dans la conservation. Et peut-être que quand Bruno m’a demandé de passer en dix, ça les a déstabilisées parce que dès mes premiers ballons, j’ai été vers l’avant.

«La finale est dans 12 jours, mais il faut faire encore quatre matches. Mais cela peut être pour nous toutes une aventure exceptionnelle.» Mais préférez-vous évoluer dans l’axe ?
Tout le monde me parle de ce positionnement. Nous sommes plusieurs joueuses avec des profils différents, donc nous offrons des solutions multiples. Moi, je m’éclate sur le terrain. Point. Après le but c’est que l’on gagne le match. En club ça m’est arrivé de jouer partout. En équipe de France j’ai évolué en pointe pendant un an, puis je suis redescendu en dix. Aujourd’hui je joue à gauche. On dit toujours qu’à haut niveau la polyvalence a des limites, mais je crois aussi que cela offre à l’équipe d'autres options et ce n’est pas plus mal.

Après 8 jours de compétition et deux victoires, avez-vous un pressentiment quant à la suite des événements ?
Il y a pleins de signes… (Elle marque une pause). L’endroit où nous sommes est merveilleux pour nous. L’ambiance est bonne entre nous. Le staff a toujours le sourire. En fait, je ne vois pas de zones d’ombre. Alors c’est justement dans ces moments-là qu’il faut faire attention, mais je nous sens sereines. Les résultats font aussi que nous le sommes encore plus. Contre l’Espagne, on aurait pu prendre un but à la dernière minute, mais sur le terrain, j’avais le sentiment que c’était impossible, parce que Wendie (Renard), Laura (Georges) auraient rattrapé l’erreur. Ou Sarah (Bouhaddi) aurait fait la parade. Bon j’avoue à cinq minutes de la fin, j’ai perdu un ballon, j’étais en panique, mais j’ai eu confiance (rire). Et j’ai bien fait. Ça passe très vite. La finale est dans 12 jours, mais il faut faire encore quatre matches. Mais cela peut être pour nous toutes une aventure exceptionnelle.
Propos recueillis par Renaud BOUREL à Norrköping

Article précédent
Singha All-Stars - Chelsea : 0-1... Article suivant
Puel content pour la L1...

[Norton]

Rugby/Foot Amical Ils se sont bien amusés
Le RC Toulon et l'OM ont disputé un match de gala en deux temps, mercredi à Mayol : une première période consacrée au foot puis une seconde au rugby. Résultat : 31-31 ! Avec des buts, des essais et beaucoup de spectacle...
Mathieu Valbuena est entré en première période avec un casque de rugbyman sur la tête. (L'Equipe)







L'opposition était quelque peu inhabituelle, mais les deux équipes n'en ont pas tenu compte pour profiter au mieux de l'événement*. Résultat, entre Toulon, champion d'Europe de rugby, et Marseille, deuxième de la Ligue 1 de footbal la saison passée, le spectacle a été au rendez-vous. Le score (3-1-31) est là pour en témoigner. Engagé depuis déjà plusieurs semaines dans une longue préparation d'avant-saison, l'OM était cette fois opposé à un adversaire qui reprenait tout juste l'entraînement. Le rapport de forces n'était du coup pas très équilibré en début de rencontre. Pourtant rapidement, devant un public du Stade Mayol conquis, il s'est stabilisé. Et la fête n'en a été que plus belle...

Mandanda buteur, Armitage adroit au pied

Sans Valbuena, Mandanda et Payet au coup d'envoi mais avec Fanni, Diawara Cheyrou et Gignac, les Phocéens ne croyaient pas rencontrer autant d'adversité lors de 45 premières minutes consacrées à leur spécialité. Après avoir mené 2-0, l'OM a vu le RCT, sans Wilkinson mais avec (Delon) Armitage adroit au pied et souvent à 15, lui passer devant (3-2) avant de finalement basculer avec un but d'avance à la pause (5-4), grâce notamment à un doublé de Mandanda, reconverti en joueur de champ. Puis dans son antre, le rugby a repris ses droits en seconde période, avec des équipes mélangées, l'ancien sélectionneur Marc Lièvremont en arbitre et Eric Cantona sur le terrain. André-Pierre Gignac s'est rapidement signalé en inscrivant deux essais... pour Toulon, tandis que Mathieu Valbuena, casqué, alignait les transformations. «Ce qu'il faut retenir, c'est cette fraternité et les valeurs sportives, a résumé Elie Baup après la rencontre sur beIN Sport. Ce soir, il y avait vraiment des sportifs qui avaient envie de faire de belles choses». Belles ? Pas forcément tout le temps. Mais atypiques et amusantes, c'est une certitude.

* Le match de gala était organisé au bénéfice de l'association de Pascal Olmeta "Un sourire, un espoir pour la vie", qui lutte pour aider les enfants handicapés et/ou hospitalisés.

[Norton]

F1 Red Bull Vergne hors-course
Christian Horner, le patron de Red Bull, a confirmé mercredi à Silverstone que Jean-Eric Vergne n'était plus en lice pour remplacer Mark Webber la saison prochaine. Le volant se jouera entre Kimi Räikkönen et Daniel Ricciardo, présent en Angleterre.
Jean-Eric Vergne ne pilotera pas pour Red Bull en 2014. (L'Equipe)







Son absence aux essais jeunes pilotes de Silverstone n'était pas de bon augure. Les déclarations de Christian Horner mercredi sur le circuit anglais l'ont confirmé : Jean-Eric Vergne n'est plus dans la course pour le baquet laissé libre par Mark Webber la saison prochaine chez Red Bull. Le patron de l'écurie a en effet laissé entendre que la place de l'Australien allait se jouer entre Kimi Räikkönen et Daniel Ricciardo.

«Les performances en piste de Kimi parlent pour lui, et il est toujours en lice pour le titre à l'heure actuelle, a déclaré l'Anglais à Sky Sports. Nous sommes chanceux car nous avons la possibilité d'attirer des grands pilotes comme lui ou des pilotes que nous avons formés, comme Daniel (Ricciardo). Nous voulons avoir les meilleurs pilotes possibles. Et nous prendrons notre temps pour choisir celui qui aura la lourde tâche de remplacer Mark (Webber). Nous voulons être sûrs que ce sera le bon choix pour l'équipe.»

«Nous sommes ravis de pouvoir tester Daniel en vue de la saison prochaine, a-t-il ajouté. Le baquet laissé vacant par Mark intéresse beaucoup de monde, mais ce sera une bonne opportunité pour nous, et pour lui de faire quelques essais de pneus dans la Red Bull.» L'Australien pilotera la RB9 jeudi. Quant à Vergne, il doit maintenant sécuriser son volant chez Toro Rosso.

[Norton]

Tour: demandez la carte!

CYCLISME

—
Le Tour de France vivra sa centième édition dès ce samedi, et jusqu'au 21 juillet. «LeMatin.ch» vous propose la carte détaillée à télécharger.
Par LeMatin.ch. Mis à jour le 27.06.2013

• Imprimer

Télécharger


Liens

• Télécharger le fichier PDF

Mots-clés

• Tour de France

[Norton]

Roger Federer pile à l'heure face à Hajek

18.07.2013 17:35 mise à jour à 18:03 Réagir
Federer se met tranquillement dans le bain à Hambourg. [Axel Heimken - Keystone]

Roger Federer

Jan Hajek



6 4
63
- -
- -
- -




Roger Federer (ATP 5) n'a pas eu à forcer outre-mesure son talent en 8e de finale du tournoi de Hambourg. Le Bâlois s'est imposé 6-4 6-3 face au qualifié tchèque Jan Hajek (ATP 140).
En quête d'un cinquième titre dans la cité hanséatique, Roger Federer a parfaitement su serrer sa garde après un début de partie compliqué. Il effaçait ainsi deux balles de break cruciales à 3-3 15/40, alors qu'il venait de perdre deux jeux consécutifs. Un service gagnant puis un magnifique contre de revers lui permettaient alors de s'en sortir. Il n'allait par la suite plus laisser la moindre ouverture à son adversaire à la relance.
Deuxième set plus facile

Dos au mur à 4-5 sur son engagement, Jan Hajek craquait dans le "money time". Roger Federer forçait la décision plus aisément dans le deuxième set, signant le break dans le sixième jeu tout en ne perdant que 6 points sur son service. Jan Hajek ne lâchait rien, écartant cinq balles de match à 6-4 5-2 sur son service. Le Tchèque de 29 ans ne pouvait cependant rien faire sur la sixième, Roger Federer concluant la partie sur un ace après 72' de jeu.
Roger Federer affrontera vendredi un joueur face auquel il n'a jamais connu la défaite. Le Bâlois de 31 ans se mesurera au gaucher espagnol Feliciano Lopez (ATP 31), qu'il a battu à dix reprises en dix duels, ou l'Allemand Florian Mayer (ATP 45), qu'il a dominé quatre fois en quatre face-à-face.

[Norton]

Christophe Riblon fait chanter la France

18.07.2013 17:24 mise à jour à 18:21 Réagir
Christophe Riblon avait remporté une étape du Tour de France en 2010 à Ax-3 Domaines. [GUILLAUME HORCAJUELO - Keystone]


Extraordinaire lors de la seconde montée sur l'Alpe d'Huez, Christophe Riblon offre à la France sa première étape sur la Grande Boucle 2013. Le Français de la AG2R La Mondiale a laissé sur place l'Américain Tejay Van Garderen (BMC) à deux kilomètres du sommet. Cette 18e étape a aussi été le théâtre du premier coup de fringale de Chris Froome. Paradoxalement, le Britannique a consolidé son maillot jaune de leader.
Riblon (32 ans) a apporté à la France son premier succès d'étape dans cette 100e édition. C'est son deuxième succès sur la Grande Boucle après une victoire à Ax-3 Domaines en 2010. Il s'est imposé au sommet de l'Alpe d'Huez, escaladée deux fois, avec 59'' d'avance sur l'Américain Tejay Van Garderen. Ce dernier, aussi membre de l'échappée initale, a longtemps fait figure de vainqueur avant de craquer dans les derniers kilomètres de la montée. Il a été rejoint puis immédiatement distancé par Riblon à 2 km du but.
Le coup de fringale de Froome

Chris Froome a vécu sa première défaillance sur ce Tour de France. [Joel Saget - Keystone] Au général, Froome, moins souverain que les jours précédents, a néanmoins encore renforcé sa position, car Alberto Contador a craqué dans la seconde ascension de l'Alpe d'Huez, perdant presque une minute supplémentaire sur le Britannique. Ce dernier compte désormais 5'11 d'avance sur l'Espagnol, alors que le Colombien Nairo Quintana occupe la troisième place du général à 5'32.
Froome, victime apparemment d'une fringale, a été secouru à quelque 5 kilomètres de l'arrivée par son coéquipier australien Richie Porte, lequel était allé chercher du ravitaillement à sa voiture, un fait qui pourrait donner lieu à une sanction. Le Britannique a été distancé par Quintana et par l'Espagnol Joaquim Rodriguez.
Dans cette étape de 172,5 kilomètres, une échappée de neuf coureurs (Riblon, Chavanel, Jeannesson, Voigt, Danielson, Van Garderen, Boom, Amador, Moser), formée dès le 15e kilomètre, s'est présentée au pied de la première ascension de l'Alpe d'Huez avec plus de sept minutes d'avance sur deux équipiers de Contador (Paulinho, Roche) en avant-garde du peloton.
Van Garderen longtemps en tête

Dans l'ascension, Van Garderen, longtemps seul en tête, a été repris à l'approche du sommet par l'Italien Moreno Moser, le premier à basculer, et Riblon. Moser, légèrement décroché dans le col de Sarenne, a pris les devants dans la descente suite à un ennui mécanique pour Van Garderen et un tout-droit sans conséquence de Riblon.
Dans cette descente longue et technique, Froome n'a pas cherché à suivre ses suivants au classement (Contador, Kreuziger) qui lui ont pris une vingtaine de secondes avant de se relever. A l'avant, Van Garderen a repris Moser et Riblon et le trio a abordé l'ultime ascension avec une avance réduite à 5 minutes sur le peloton à cause de l'accélération des coéquipiers de Quintana.
Van Garderen s'est dégagé dans la montée finale mais Riblon, qui a compté jusqu'à 42'' de retard, est revenu sur lui. "Aux 5 kilomètres, je n'y croyais plus trop, je pensais à la deuxième place", a déclaré le coureur picard, déjà deuxième mardi à Gap.

superbe étape mais pour l'instant je gagne toujours mes 200 balles

[Norton]

Tony Parker: "Un grand respect pour la carrière de Thabo"

18.07.2013 14:02 mise à jour à 14:46 Réagir
Tony Parker. La classe sur le parquet...et devant le micro. [JEAN-CHRISTOPHE BOTT - Keystone]


A l'invitation de son ami Thabo Sefolosha, Tony Parker a disputé un match de gala mercredi soir à Clarens. L'occasion de faire le point avec la star des Spurs de San Antonio sur sa relation avec le Vaudois, les matches estivaux et la déception de la dernière finale NBA. Interview.
Sportinformation: Pourquoi acceptez-vous de disputer plusieurs matches de gala durant l'été, alors que la saison NBA est éprouvante?
TONY PARKER: D'abord, cela fait sept ans que je suis parrain de Make-A-Wish France. Chaque année, je fais gagner un voyage pour des jeunes à San Antonio. Et ces matches permettent de réaliser des voeux grâce aux fonds récoltés. Ce que je fais ici, Thabo vient aussi le faire en France. C'est donc tout naturellement que j'ai accepté son invitation pour promouvoir le basket en Suisse. De même, comme les rencontres de NBA ont généralement lieu à 3h du matin en Europe, cela permet aux fans qui ne peuvent pas nécessairement me suivre durant l'année de venir voir de bons matches de basket.
"Une bonne opportunité de se voir"

Les deux amis n'ont pas souvent l'opportunité de se croiser outre-Atlantique. [Keystone] On vous sent très proche l'un de l'autre. Peut-on en savoir plus sur votre amitié avec Thabo?
TONY PARKER: Quand il vient jouer chez les Spurs, il passe régulièrement manger chez moi. De même, lorsque je vais jouer à Oklahoma, sa femme me fait une salade de chèvre (rires). Je l'ai connu dès ses débuts en NBA. J'ai vraiment un grand respect pour la carrière de Thabo, et cela vient déjà du terrain. Malheureusement, on ne peut pas se voir souvent, donc ce genre de match est une bonne opportunité pour se voir. Ce que je peux dire, c'est que la Suisse possède un grand ambassadeur en Amérique du Nord.
Comment avez-vous vécu la désillusion de la dernière finale NBA alors que le titre vous tendait les bras?
TONY PARKER: Le souvenir du match 6 va me hanter jusqu'à la fin de ma carrière et même la fin de ma vie. Mais c'est la faculté à rebondir après de tels échecs qui caractérise les champions. La vie est faite de hauts et de bas et j'espère qu'on aura l'occasion de se rattraper très vite. Ce n'est pas une défaite qui va me faire arrêter, car je suis avant tout un passionné de basket.
si/kg

[Norton]

Sepp Blatter favorable à un Mondial qatari en hiver

18.07.2013 10:36 mise à jour à 11:55 3 réactions
Une Coupe du monde en hiver en 2022: Blatter a changé de point de vue. [ABIR SULTAN - Keystone]


Le président de la FIFA Sepp Blatter a fait part mercredi pour la première fois de son désir de voir la Coupe du monde 2022 au Qatar se disputer en hiver, plutôt qu'en juin.
"Il est clair qu'on ne peut pas jouer par cette chaleur en plein été, il faut prendre en compte la santé des joueurs", a déclaré M. Blatter lors d'une conférence sur le sport baptisée "Camp Beckenbauer" en Autriche.
"C'est possible de refroidir un stade mais pas un pays tout entier. C'est pourquoi le comité exécutif doit se montrer courageux et faire prendre conscience aux fédérations qu'il faut changer quelque chose", a-t-il poursuivi.
Blatter rejoint Platini

"On n'a pas sous-estimé cette question, on l'a peut-être mal appréhendée", a reconnu sur la chaîne de télévision allemande Sky Sport News le président de la FIFA qui entend saisir le comité exécutif de cette question en octobre.
Il s'agit de la première fois que M. Blatter s'exprime publiquement pour une telle solution prônée par le président de l'UEFA, le Français Michel Platini.
Il était jusque-là partisan d'un déroulement normal de la Coupe du monde qui a traditionnellement lieu entre juin et juillet où les températures peuvent atteindre 50°C au Qatar.
si/kg