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Sports
RSS Zidane: "Revenir dans le foot me botterait bien"

PEOPLE | 17h50 Zinédine Zidane indique dans un entretien à paraître samedi dans l'Equipe Magazine que "revenir dans le foot" le "botterait bien", ajoutant qu'il ne savait pas "de quelle manière".




PARIS (AFP) |

"Forcément, quand tu arrêtes... Il y a ce break qui fait plaisir, mais à un moment donné, tu ressens un manque. (...) Revenir dans le foot me botterait bien. Après, vous dire comment, de quelle manière... je ne sais pas", explique l'ancien meneur des Bleus.
"Zizou" évoque un projet "avec mes frères et des amis" à Marseille qui "consisterait à créer un vrai complexe sportif pour du foot urbain".
"ZZ" commente aussi des déclarations de Johnny Hallyday selon lesquelles le chanteur se ferait "changer le sang" dans une clinique de Merano, en Italie, sur les conseils de l'ex-footballeur.
"A aucun moment, je ne me suis rendu dans une clinique avec Johnny, assure-t-il. Jamais de ma vie! Le seul truc que je fais depuis douze ans maintenant, c'est de me rendre à Merano (pour) une cure de soins qui permet d'éliminer les toxines du corps."
Enfin, au sujet du fameux coup de tête sur le torse de Marco Materazzi en finale du Mondial-2006, l'ancien Ballon d'Or commente: "J'aurais voulu partir d'une autre manière... C'est fait. C'est comme ça. Je vais traîner ça toute ma vie".

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FOOTBALL - GENÈVE INDOORS
Christian Karembeu: «Je suis toujours resté proche de Genève»

Keystone
Christian Karembeu lors du tournoi en salle de Genève en janvier 2006

Christian Karembeu sera de la partie mardi soir lors du tournoi en salle des Vernets. Le champion du monde et d'Europe fera partie de l'équipe de France qui rencontrera la Suisse. Il parle du rôle du football dans la réunion des peuples et des pays... et du fameux tirage au sort de Lucerne, qui l'a vu attribuer l'Italie, les Pays-Bas et la Roumanie à «sa» France

Renaud Tschoumy
Le Matin Dimanche

Pour rien au monde il n'aurait manqué les Genève Indoors de mardi. Christian Karembeu (37 ans depuis le 3 décembre dernier) a en effet inscrit la date du 15 janvier en lettres d'or dans son agenda. L'ancien international français, qui fut champion du monde et d'Europe avec les Bleus, retrouvera donc la patinoire des Vernets pour un Suisse - France qui promet déjà d'être un des gros temps forts du tournoi genevois.
Karembeu n'a pas oublié Genève. Ni la ville ni... son club, même s'il aurait évidemment souhaité que son aventure en grenat - il était arrivé à l'été 2004 - se termine autrement (faillite du club en février 2005). Retraité du gazon, il continue à apprécier de jouer en salle. Parce qu'il aime son sport avant tout. Et qu'on ne quitte pas un milieu comme celui du football comme ça, du jour au lendemain.
Christian, quels souvenirs évoque pour vous la ville de Genève?
Je suis toujours resté proche de Genève. J'ai adoré... et j'adore d'ailleurs toujours cette ville.
Difficile de parler de Genève sans évoquer Servette...
Je garde forcément un souvenir de Servette, comme de tous les clubs dans lesquels je suis passé. Ce qui est arrivé à ce club, cela m'a beaucoup touché. J'aurais voulu participer à sa vie... et à sa survie. Mais c'est malgré tout une fierté pour moi de revenir à Genève et de pouvoir y rejouer, même si c'est en salle. Et puis j'y retrouverai tellement d'amis... Oui, vraiment, il me tarde d'être à mardi.
L'an passé, votre équipe faisait partie de la «compétition» du tournoi indoor. Cette année, vous ne disputerez qu'un match de gala. Les jeunes n'auraient-ils plus aucun respect?
(Il rit.) On peut voir les choses sous cet angle. Vous savez, on se doit avant tout de respecter son corps. Même si l'envie et la volonté sont toujours là, il ne peut pas répondre comme à la belle époque, celle où tout footballeur est parfaitement affûté. L'an passé, nous avions joué contre des joueurs de 20 ou 25 ans qui avaient faim de victoires, ce qui est humain. A leur âge, j'étais pareil. Alors, oui, peut-être qu'il vaut mieux qu'on ne dispute que ce match de gala.
Et quel match, puisque ce sera un Suisse - France de derrière les fagots...
Dans le fond, on fera les préliminaires de l'élite! (Il rit encore.) Ce sera ma grande nuit de l'Euro, en espérant qu'elle prédestinera la finale de la compétition.
Vous pensez ce cas de figure possible?
Et pourquoi pas? La Suisse, avec Djourou, Senderos et tous ces jeunes de haut niveau, c'est du sérieux. Ils ont acquis de l'expérience en 2004 et en 2006, et en plus ils auront l'avantage de jouer à domicile.
Et la France? Par votre «faute» et votre main, le 2 décembre dernier à Lucerne, elle est tombée dans le groupe de la mort, avec l'Italie, les Pays-Bas et la Roumanie...
Qu'est-ce qu'un bon tirage, qu'est-ce qu'un mauvais tirage? Après la finale du Mondial 2006, on parle évidemment de revanche contre l'Italie. Mais, heureusement, on parle avant tout de football. C'est cela qu'il faut retenir. Le foot permet d'adresser des messages de paix, de partage et de solidarité. Ce sport nous rend humbles et humains, et je veux croire qu'il ne peut donner que de la joie.

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PATINAGE ARTISTIQUE - BRIAN JOUBERT
Brian Joubert: «Si ma technique est bonne, on ne m'arrête plus»

J. W.
Brian Joubert aime sa ville, se promener dans le quartier de l'Hôtel de Ville, où une petite patinoire a été installée pour les Fêtes

Le Poitevin, 23 ans, champion d'Europe et du monde sortant, a développé son sens artistique. Il prend des cours de danse. Il se réjouit de retrouver en compétition Stéphane Lambiel pour des confrontations haut de gamme

Jacques Wullschleger
Le Matin Dimanche

Il reste sur dix succès majeurs d'affilée. Une belle et saine communion entre le corps et l'esprit, la tête et les jambes. Le Français, 23 ans, est champion d'Europe et du monde sortant. A Varsovie puis à Tokyo, il a dominé son monde. Et, depuis 2002, il loue une marche sur le podium continental. «J'ai six médailles. Deux de chaque métal», rappelle Brian Joubert, le Poitevin, en découpant une tranche d'une Flammenküche alsacienne (tarte flambée). A Zagreb (21-27 janvier), une autre breloque lui est, comme la terre, promise. «J'ai le coup de foudre avec cette compétition. Pourvu que ça dure. Je touche du bois.» Il cherche. Il n'en trouve pas alors il se tapote le front.
Quand il était gamin, à 4 ans, il a hésité, mais pas longtemps. Hockey sur glace ou patinage? Dieu merci et preuves à l'appui, il a choisi la bonne discipline. Mais il a dû faire fi des plaisanteries moqueuses de ses petits camarades qui lui disaient que le patinage était un sport de fille, avec tutu et tout et tout. Très rapidement, un athlète, un mec, allait se construire. «Etant donné que j'ai tout de suite obtenu des résultats, les railleries ont cessé.»
Si, techniquement, vous êtes d'une fiabilité extrême - 90% de réussite au niveau des quadruples, par exemple -, vous devez encore vous améliorer au plan artistique. Mais, depuis quelques mois, vous prenez des cours de danse.
Oui, le tango, le hip-hop, notamment, figurent à mon programme, s'en réjouit le Français. Mais pas de danse classique. Je loue une salle à Poitiers.
Kurt Browning - Canadien,41 ans, quadruple champion du monde - est votre chorégraphe. Or ce n'en est pas vraiment un dans la mesure où il n'appartient pas au monde de la danse...
Son épouse est danseuse étoile. Il côtoie donc ce milieu. Kurt? Il m'a ouvert l'esprit. Pour moi, le patinage, c'était les sauts, la performance technique. Maintenant, je danse. Je m'intéresse à l'artistique. J'ai besoin de m'améliorer dans ce domaine, qui m'intéresse de plus en plus, de m'y sentir à l'aise pour pouvoir m'appuyer dessus en cas de défaillance technique. Avec Kurt, on ne travaille pas, on s'amuse.
Votre autre chorégraphe, c'est Dominique Molina...
... qui a été danseuse sur glace. Dominique a participé aux JO de Nagano en 1998. Son travail? Quand j'effectue un mouvement, elle m'explique pourquoi je le fais. Je me sens concerné. Il y a une émotion à faire passer, une histoire à raconter (le programme court du Français «All for You», composé spécialement pour lui par Sébastien Damiani, est magnifique). Je m'aperçois qu'on peut exécuter de beaux mouvements sans que ce soit efféminé. Je ne crains pas (ou plus) d'effectuer des gestes qui peuvent faire penser ou appartiennent au ballet.
Stéphane Lambiel, qui sera votre plus dangereux adversaire, tant aux Européens à Zagreb qu'aux Mondiaux à Göteborg(17 au 23 mars), est intouchable au niveau artistique. Dès lors, êtes-vous condamné à réussir tous vos sauts?
(Il sourit, réfléchit.) Je ne sais pas. Avec Jean-Christophe Simond, mon entraîneur, on a calculé que c'est dans les pirouettes que Stéphane accumule beaucoup plus de points que moi. Sinon, c'est serré au niveau des transitions, des pas, de la glisse, etc. Et puis Stéphane, dans les sauts, n'est pas toujours régulier.
D'après lui, la différence se fera sur le programme long (flamenco pour Lambiel, Metallica pour Joubert). Etes-vous d'accord?
Moi, je me base surtout sur le programme court. On est différent sur ce point. On n'est pas sûr de gagner après un bon programme court, mais on peut tout perdre, en cas de malheur. Si, à ce moment de la compétition, on est tous les deux dans un mouchoir de poche, je mettrai alors le paquet techniquement dans le long (ndlr.: trois quads (?), comme lors de la Coupe de Russie la saison passée, exploit historique) parce que dans le domaine artistique j'accuse un déficit par rapport à lui. Si ma technique est bonne, on ne m'arrête plus (il sourit).
Combien d'heures passez-vous quotidiennement sur la glace?
Entre trois et cinq heures par jour (deux séances). A chaque entraînement, j'effectue une cinquantaine de sauts. Pour éviter un surplus de fatigue, il faut être le plus précis possible. Un quad bien réalisé ne pompe pas plus d'énergie qu'un triple. Stéphane et moi, on a deux styles différents. Qui plaisent. L'un comme l'autre, on oeuvre pour le patinage.

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Boom s'impose lors de la Coupe du monde à Liévin


Le Néerlandais Lars Boom (Rabobank), grand espoir de la discipline, a remporté la 7e et avant-dernière manche de la Coupe du monde de cyclo-cross dimanche à Liévin (nord de la France) où il a devancé Bart Wellens et le Français Francis Mourey, grand animateur de la course.

Le champion du monde Erwin Vervecken a pris la 4e place devant le Français John Gadret, 5e. Le champion de Belgique Sven Nys, leader du classement mondial, n'a terminé que 8e.

Chute
Longtemps Francis Mourey est apparu comme l'homme à battre tant le coureur de la Française des Jeux paraissait avoir les meilleures jambes. Malheureusement pour lui, le Français chutait dans le dernier tour et laissait Boom et Wellens s'échapper.

"Vraiment dommage cette chute car je me sentais super bien malgré le stage très fatigant de ces derniers jours avec La Française des Jeux. J'y ai roulé six heures chaque jour sans me ménager. Cela aurait pu me fatiguer mais je suis en forme", expliquait Mourey.

"Ma course de ce dimanche me rassure pleinement en vue des Championnats du monde. J'irai à Trévise avec l'ambition de réussir un podium. Au minimum, car je me sais capable de décrocher l'or", poursuivait-il.

Impressionnant
Mourey, 27 ans, recevait d'ailleurs les éloges du vainqueur du jour, Lars Boom, "épaté" par la prestation du Français. "Ce Mourey-là était impressionnant, mais il a chuté dans le dernier tour...", reconnaissait le champion des Pays-Bas (23 ans) qui sera l'un des favoris des Mondiaux fin janvier en Italie.

"L'un des favoris, oui, au même titre que Mourey ou Wellens. Je viserai une place parmi le top-5. Le grand favori, ce sera Sven Nys", assurait celui qui est aussi champion du monde Espoirs de contre-le-montre individuel.

Nys, déjà vainqueur de quatre manche de la Coupe du monde cette saison, n'était guère surpris de sa contre-performance du jour (8e). "Après mon titre de champion de Belgique décroché il y a huit jours, j'ai disputé deux courses tout en devant répondre à diverses sollicitations. Du coup, je n'avais pas les jambes pour jouer la gagne à Liévin. J'étais incapable d'accélérer. Cela peut arriver", constatait Sven Nys.

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Ski: Bode Miller de retour dans l'élite de la descente mondiale
dim. janv. 13, 2008









par Patrick Lang
WENGEN, Suisse (Reuters) - Bode Miller a confirmé de manière fracassante son retour en grande forme dimanche en s'imposant sur le mythique Lauberhorn dans la descente de Coupe du monde de Wengen.
L'Américain, déjà vainqueur à Bormio, a devancé sur la descente la plus exigeante du circuit le Suisse Didier Cuche de 65 centièmes de seconde.
Cuche s'empare de la tête du classement de la Coupe du monde de descente avec 284 points et ne devance que d'une longueur le vainqueur du jour.
Déjà vainqueur l'année dernière, Miller rejoint dans l'histoire du Lauberhorn Franz Klammer, Kristian Ghedina, Marc Girardelli et Stephan Eberharter, qui comme lui se sont imposés à deux reprises à Wengen.
Le Canadien Manuel Osborne-Paradis a pris la troisième place à 1"33 de Miller et l'Autrichien Michael Walchhofer, qui menait au classement de la discipline, a terminé quatrième à 1"37.
Le week-end prochain, la bataille s'annonce rude à Kitzbühel, où Miller, qui n'a jamais gagné sur la Streif, se mesurera à Cuche, vainqueur en 1998 et Walchhofer, victorieux en 2006.
"Je savais que Cuche disputait la course de sa vie donc je n'avais d'autre choix que de maîtriser la piste au mieux. J'ai bien skié, c'était propre, particulièrement dans la section intermédiaire et cela a payé", a déclaré Miller.
"C'est toujours un grand bonheur de gagner quand vous avez tout donné."
Les premiers Français, Pierre-Emmanuel Dalcin et Yannick Bertrand, se sont partagés la 20e place à plus de trois secondes de Miller.
Résultats de la descente de Coupe du monde de Wengen, dimanche:
1. Bode Miller (E-U) 2 minutes 30"40 secondes
2. Didier Cuche (Sui) 2'31"05
3. Manuel Osborne-Paradis (Can) 2'31"73
4. Michael Walchhofer (Aut) 2'31"77
5. Andreas Buder (Aut) 2'32"16
6. Andrej Jerman (Slo) 2'32"26
7. Marco Sullivan (E-U) 2'32"34
8. Kurt Sulzenbacher (Ita) 2'32"44
9. Hermann Maier (Aut) 2'32"57
10. Georg Streitberger (Aut) 2'32"75
11. Steven Nyman (E-U) 2'32"80
12. Ambrosi Hoffmann (Sui) 2'32"82
13. Patrick Staudacher (Ita) 2'32"97
14. Marco Büchel (Liechtenstein) 2'32"98
15. Werner Heel (Ita) 2'33"00
16. Klaus Kröll (Aut) 2'33"07
17. Didier Defago (Sui) 2'33"09
18. Christoph Gruber (Aut) 2'33"38
19. John Kucera (Can) 2'33"48
20. Yannick Bertrand (Fra) 2'33"51
20=. Pierre-Emmanuel Dalcin (Fra) 2'33"51
22. Peter Fill (Ita) 2'33"52
23. Rok Perko (Slo) 2'33"63
24. Hans Olsson (Suè) 2'33"65
25. Johan Clarey (Fra) 2'33"71
25=. Scott Macartney (E-U) 2'33"71
27. Daniel Albrecht (Sui) 2'33"74
28. Roland Fischnaller (Ita) 2'33"78
29. Stephan Keppler (All) 2'33"80
30. Christof Innerhofer (Ita) 2'33"82

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BOBSLEIGH - IVO RÜEGG ET SON ÉQUIPAGE
Ils ont eu leur podium!

Keystone
Ivo Rüegg, Roman Handschin (derrière), Cédric Grand et Michael Lukas (de g. à dr.) ont gagné deux rangs dans la seconde manche

Derrière Lueders et Zubkov, le pilote suisse et son équipage - Handschin, le Genevois Grand et Lukas - ont décroché un 3e rang en Coupe du monde: une première cette saison

- 13/01/2008
Le Matin & agences

Pour la première fois de la saison, Ivo Rüegg et son équipage ont réussi à se hisser sur le podium en Coupe du monde. A Cortina d'Ampezzo (It), le champion du monde a décroché la 3e place du bob à 4 derrière le Canadien Pierre Lueders et le Russe Alexander Zubkov.
Rüegg ne pointait qu'au 5e rang après la première moitié de la compétition. Le pilote de Tuggen a ensuite réussi à grignoter deux rangs en réalisant le deuxième meilleur temps dans la manche suivante. A noter que le Genevois Cédric Grand fait partie de l'équipage d'Ivo Rüegg.
Avec un 9e rang, le champion suisse en titre Martin Galliker a également inscrit son nom dans les dix. Daniel Schmid a dû se contenter du 16e rang.


RÉSULTATS
Cortina d'Ampezzo (It).
Coupe du monde de bob à quatre
1. Lueders/Kotyk/Bissett/Kripps (Can 1) 107''95. 2. Zubkov/Yegorov/Seliverstov/Petchenkin (Rus 1) à 0''22. 3. Rüegg/Lukas/Handschin/Grand (S 1) à 0''27. 4. Höpfner/Listner/Nohka/Pöge (All 3) à 0''47. 5. Lange/Hoppe/Metzger/Rödiger (All 1) et Florschütz/Kühn/Pätzold/Schelter (All 2) à 0''55. 7. Minins/Dreiskens/Melbardis/Dambis (Let 1) à 0''67. 8. Holcomb/Jovanovic/Mesler/ Kreitzburg (EU 1) à 0''77. 9. Martin Galliker/Jürg Egger/Alexander Strelzow/Patrick Blöchliger (S 2) à 0''78. 10. Danilevic/Stoklaska/Kobian/ Gomola (Tch) à 0''97. Puis: 16. Schmid/Fuchs/ Dincer/Lüthi (S 3) à 1''52. 23 équipes de 12 nations au départ, 21 classées. Disqualifiés: Popov (Rus 2) pour surpoids.
1re manche: 1. Lueders 53''99 (départ 4''86). 2. Zubkow 54''06 (4''92). 3. Minins 54''09 (4''90). 4. Höpfner 54''12 (4''98). 5. Rüegg 54''24 (4''93) und Lange 54''24 (4''90). Puis: 10. Galliker 54''44 (4''95). 18. Schmid 54''65 (5''01). 2e manche: 1. Lueders 53''96 (4''87). 2. Rüegg 53''98 (4''89). 3. Zubkov 54''11 (4''88). 4. Holcomb 54''16 (4''88). 5. Florschütz 54''18 (4''91). 6. Lange 54''26 (4''89). 7. Galliker 54''29 (4''92). Puis: 16. Schmid 54''65 (5''03).
Coupe du monde de bob à quatre (4/8): 1. Lueders 825. 2. Holcomb 820. 3. Lange 788. 4. Zubkow 779. 5. Rüegg 704. 6. Minins 696. Puis: 9. Galliker 512. 15. Schmid 328.
La compétition de bob à deux a été interrompue samedi à cause des chutes de neige. Elle sera disputée ce vendredi à Cesena.

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FUN - AQUATIQUE
Londres, futur paradis du surf

Sont-ils fous, ces Anglais? Les bords de la Tamise, en plein coeur de la capitale, pourraient bientôt devenir le rendez-vous des surfeurs du monde entier

C. M. - 13/01/2008
Le Matin Bleu

Un bassin artificiel d'eau pure de 7000 m³, capable de créer sur une longueur de 100 mètres des vagues artificielles de 2 mètres de haut.
Dès 2011, c'est avec ce projet que la société X-Treme Venture compte attirer 100 000 surfeurs par an à Londres et transformer ainsi un bout des docks, déjà dévolus aux aménagements les plus fous, en paradis de la planche.
Les puristes ont déjà émis quelques critiques, avançant que les vagues artificielles n'égalent jamais celles de l'océan. Mais qu'importe si Londres n'est pas Hawaii.
Côté projections financières, les concepteurs tablent moins sur les visites de Californiens curieux que sur celles des Britanniques. Selon la British Surfing Association, 250 000 d'entre eux ont pratiqué le surf sur les côtes sud de l'Angleterre l'an dernier. En outre, rien ne manquera dans ce paysage en trompe-l'oeil: une plage de sable blanc de 100 mètres de large compte aussi séduire les adeptes de la baignade.

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Justine Henin aisément qualifiée pour le 2e tour de l'Open d'Australie


Justine Henin s'est aisément qualifiée pour le deuxième tour de l'Open d'Australie, première épreuve du Grand Chelem de l'année, en battant en deux sets - 6-2, 6-2 - la Japonaise Aiko Nakamura, 73e mondiale, en 1 heure et 28 minutes de jeu.

Forfait l'an dernier pour des raisons d'ordre privées, Justine Henin a retrouvé Melbourne avec le sourire pour s'adjuger sa 29e victoire d'affilée au sortir de son succès dans le tournoi de Sydney (Aus), le premier de l'année et le 40e titre de sa carrière.

Trop de vent
Convertissant sa 2e balle de match, il lui a fallu 1h28 pour battre Nakamura qu'elle avait déjà battue, 6-0, 6-0 lors de leur seule confrontation sur le circuit WTA. "Le premier tour n'est jamais facile. Elle a joué un bon tennis, agressif. Ce n'était pas facile non plus car il y avait beaucoup de vent. Et face aux balles assez plates de Nakamura, ce n'était pas évident de mettre du rythme dans la rencontre", avouait Justine Henin auteur de 7 aces (pour 6 doubles fautes).

"C'était dur au début car il y avait du vent. Après ça, ça a été beaucoup mieux, je suis allé plus au filet. Le premier tour n'est pas mon préféré donc je suis contente que ça soit passé. Le nouveau court est bien équilibré, ni trop rapide ni trop lent. Je sais que beaucoup de joueurs se plaignent mais pour moi il n'y a pas beaucoup de différence avec l'ancienne surface. J'aime la couleur, le bleu, mais j'aimais aussi celle d'avant. Je ne fais pas une fixation sur la surface. J'ai gagné beaucoup de tournois sur dur en général. Le jeu offensif va payer ici. En défense sur cette surface on est plus en difficulté. Je retrouve mes points de repère (après son absence l'année dernière). Beaucoup de gens m'ont manifesté leur sympathie. Ca fait chaud au coeur. C'est un tournoi que j'aime beaucoup, l'atmosphère est plus détendue ici qu'ailleurs et maintenant je peux dire que ça m'a manqué."

Justine affrontera la Russe Olga Poutchkova, 20 ans, 97e mondiale, lors du deuxième tour. Poutchkova a battu au premier tour l'Australienne Monique Adamczak, 149e au classement WTA, en deux manches 6-4 et 6-0.

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Pistorius pas autorisé à courir avec les valides


Le double amputé sud-africain Oscar Pistorius, qui court avec deux prothèses en carbone, n'est pas autorisé à participer à des compétitions organisées sous les règlements de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF), notamment les jeux Olympiques, a annoncé ce lundi l'IAAF.

"Cheetahs"
"Après l'étude attentive du rapport, le Conseil de l'IAAF a décidé que les prothèses connues sous le nom de "cheetahs" doivent être considérées comme une aide technique et, de ce fait, sont clairement en désaccord avec la règle 144.2 de l'IAAF, précise la Fédération internationale dans un communiqué. En conclusion, Oscar Pistorius ne sera pas autorisé à participer aux compétitions régies par les règles de l'IAAF."

"Avantage évident"
Pistorius, 21 ans, avait demandé à pouvoir s'aligner contre les valides, avec l'espoir en particulier de prendre part aux JO de Pékin (8-24 août), s'il était qualifié sur 400 m. La décision, vraisemblablement prise à l'unanimité des 27 membres du conseil de l'IAAF, qui se sont exprimés individuellement par courriel, se fonde sur les conclusions des tests effectués par l'athlète de Pretoria à l'Université du sport à Cologne (Allemagne), les 12 et 13 novembre 2007. Ces études démontrent que Pistorius bénéficie, avec ses prothèses, "d'un avantage mécanique évident (plus de 30%) comparé à quelqu'un qui n'en utilise pas", souligne la Fédération internationale dans son communiqué.

Le président de l'IAAF, Lamine Diack, devait prendre la décision le 10 janvier. Mais, devant l'ampleur de l'affaire, il a préféré un avis collégial.

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BMW Sauber espère sa 1re victoire pour 2008

"Les Grand Prix ne se limiteront pas à un duel Ferrari-McLaren", a assuré Mario Theissen, le directeur des activités sport chez BMW.
"J'espère que nous allons atteindre notre objectif de remporter en 2008 notre première victoire", a déclaré le pilote allemand Nick Heidfeld.

L'écurie BMW Sauber s'est fixée pour objectif ce lundi à Munich, lors de la présentation officielle de sa monoplace pour le Championnat du monde 2008, de remporter son premier Grand Prix cette année, sa troisième saison en Formule 1.

"J'espère que nous allons atteindre notre objectif de remporter en 2008 notre première victoire", a insisté l'Allemand Nick Heidfeld qui fera équipe, comme en 2007, avec le Polonais Robert Kubica. "Pour cela, il faudra progresser dans tous les secteurs, notamment en matière de fiabilité de la voiture", a poursuivi l'Allemand, 5e au classement des pilotes avec 61 points et notamment deux podiums au Canada (2e) et en Hongrie (3e).

"Nos objectifs sont ambitieux, mais les deux dernières saisons ont instillé beaucoup de confiance dans l'équipe", a assuré Mario Theissen, le directeur des activités sport chez BMW. "Les Grand Prix ne se limiteront pas à un duel Ferrari-McLaren".

Si BMW Sauber, deuxième au classement des constructeurs après la disqualification de McLaren-Mercedes, a renouvelé sa confiance à ses deux pilotes, l'écurie allemande a profondément modifié l'architecture extérieure de sa monoplace. La BWM Sauber F1.08 présente en effet un aileron-avant "complètement nouveau, en trois parties et très reconnaissable" et un "nez" affiné tandis que l'arrière de la monoplace a également subi une cure d'amaigrissement. "La philosophie était d'atteindre une meilleure efficacité aérodynamique couplé à une stabilité accrue", a résumé Willy Rampf, le directeur technique de l'écurie.

Les premiers essais sont prévus ce mardi à Jerez, en Espagne. "Je suis très impatient", a avoué Heidfeld. A noter que le successeur du 3e pilote Timo Glock, cédé à Toyota, doit encore être désigné.