Toutes New sportives autres que la moto

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Bâle à Tel Aviv sans Bobadilla

05.08.2013 14:03 mise à jour à 15:21 Réagir
Bobadilla n'a pour l'instant pas encore convaincu sous le maillot bâlois. [Georgios Kefalas - Keystone]



Le FC Bâle s'est envolé sans Raul Bobadilla à Tel Aviv, où il doit affronter mardi le Maccabi pour le 3e tour qualificatif retour de la Ligue des champions. Sur le site de la Basler Zeitung, l'entraîneur bâlois Murat Yakin a justifié l'absence de son attaquant: "Ses deux dernières entrées en jeu ont montré qu'il ne pouvait actuellement pas aider l'équipe. Son excès de vitesse (réd: Bobadilla s'est fait pincer à 111 km/h dans une zone à 50) a laissé des traces et il n'a pas totalement la tête au football", a-t-il expliqué.
si/lper

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Le Weltklasse affiche déjà complet

05.08.2013 17:04 mise à jour à 18:52 Réagir
Bolt assurera le show à Zurich. [Vegard Grott - Keystone]



Le Weltklasse Zurich, qui se tiendra le jeudi 29 août, se déroulera comme de coutume dans un stade du Letzigrund plein à craquer. La demande en billets a été particulièrement élevée, l'engouement se justifiant par la participation d'Usain Bolt sur 100 m.
25'000 spectateurs ont acquis un sésame pour la treizième épreuve de la Ligue de diamant de l'année. Toutes les places assises ont également trouvé preneur pour l'épreuve du lancer du poids qui se tiendra mercredi soir à la gare de Zurich.

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Le gardien marque d'un but à l'autre

FOOTBALL

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Au football, on dit toujours qu'il faut jouer simple. Hannes Leo, dernier rempart du USK Piesendorf, a bien retenu le message, profitant de la montée aux avant-postes de son homologue pour... marquer.

http://www.lematin.ch/sports/footbal...story/12832932

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Comment assommer une juge de ligne

FOOTBALL

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Les arbitres, bien souvent, les supporters ne les aiment pas trop. Mais si, en plus, les joueurs se mettent à leur tirer dessus...

http://www.lematin.ch/sports/footbal...story/21217008

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Maurice Greene: "Les Borlée sont des outsiders pour le bronze sur 400m"

© belga.
Devenu présentateur sur Eurosport où il anime quotidiennement les magazines Mixed Zone Live et Green Light Daily, l'Américain Maurice Greene, ex-détenteur du record du monde du 100m, estime que les frères Borlée, Kevin et Jonathan sont des outsiders pour le bronze sur le 400m des Mondiaux d'athlétisme à Moscou du 10 au 18 août prochain.
"Les espoirs de médaille reposent même plus sur les épaules de Kevin", a estimé le champion olympique de 2000 et triple champion du monde du 100m (1997, 1999 et 2001). "Avec son 44.73 cette saison, il a le potentiel, mais il en aura bien besoin à Moscou. L'or et l'argent sont inaccessibles pour les frères Borlée. Et encore heureux qu'Usain Bolt ne court pas le 400m, je pense qu'il est en-dessous des 44 secondes".

"Le relais belge doit faire sa course sur 4x400m", a encore ajouté Maurice Greene dans une interview accordée à l'Agence BELGA lundi. "Il sera intéressant de voir si les Belges peuvent faire mieux que leur 6e place aux JO de Londres. Chaque grand championnat est un nouveau défi. Je ne sais pas si le troisième frère en sera, mais ce serait unique".

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Rugby Top 14 FCG Landreau : «Un regard nouveau»
Le manager du FC Grenoble, Fabrice Landreau, se félicite de l'apport d'une demi-douzaine de recrues, derrière, en regrettant que son club ne fasse pas partie des outsiders du Top 14 qui s'ouvre vendredi 16 août.
Effectif renforcé derrière, préparation lancée très en amont : Fabrice Landreau souhaite marquer d'entrée le territoire du FCG, cette saison. (L'Equipe)









«Fabrice Landreau, qu’avez-vous concocté de croustillant, en terme de préparation, cet été ?
Je crois bien que nous avons été le premier club à démarrer, le 7 juin. Par une petite olympiade ludique en forêt, où nous avons alterné canoë, course à pied et vélo, avant d’attaquer quatre semaines de préparation physique, avec de la technique individuelle et des ateliers à effectif réduit. Nous sommes partis ensuite en stage à Soustons pour chercher la cohésion de groupe et les automatismes de jeu avant de disputer un match amical contre Biarritz (défaite 15-12). Puis, pour favoriser l’intégration des nouveaux et marquer convenablement la fin du stage, nous avons passé quelques heures aux fêtes de Bayonne…

Maintenant, que se passe-t-il, à dix jours du coup d’envoi du premier match de la saison ?
On commence à entrer dans le dégressif. Nous sommes dans notre septième semaine de travail, nous avons joué samedi soir contre Montpellier (victoire 20-18) dans le cadre du challenge Vaquerin, à Saint-Affrique (Aveyron), et nous préparons notre dernier match amical, jeudi, contre Oyonnax, en nous mettant en configuration championnat.

Avec Lorée (Agen), Bézy (Paris), Messina (Toulon), Thiery (Montpellier), Barkley (Racing-Métro) et Caminati (Brive), vous voilà avec une nouvelle ligne de trois-quarts, cette saison…
Sans compter Radini, en provenance des Fidji…

Qu’est-ce que ça change, dans votre jeu ?
Il nous faut du temps pour familiariser tout le monde avec les lancements de jeu et la circulation des joueurs. Ces changements nous obligent à écouter, à regarder, à répondre aux questions et à questionner les nouveaux, nous aussi. Ils arrivent d’Agen, de Brive, du Racing-Métro, de Montpellier, et ils apportent un regard nouveau. C’est très enrichissant. Cela nous permet d’ajuster quelques petites choses.

Confirmer la bonne saison passée

«On va bientôt lire que Grenoble est condamné avant d'avoir joué. C'est normal.» Avez-vous, personnellement, l’impression d’avoir coupé entre la saison passée et celle qui s’ouvre ?
Pas vraiment (sourire). J’ai réussi à avoir une semaine au mois de mai, une semaine en juin et là, j’ai pris une dernière semaine début aout. J’ai vite été rattrapé par le début du Championnat…

Est-ce que ça vous énerve d’entendre que Grenoble va, une fois de plus, lutter pour le maintien ?
Comme toujours, on se sert de ça comme moteur et comme essence. Vu notre budget et notre effectif, on va bientôt lire que Grenoble est condamné avant d’avoir joué. C’est normal. Et c’est un levier de motivation. Mais tant que le Championnat n’est pas terminé, il ne faut pas enterrer une équipe.

Où situez-vous Grenoble, cette saison ?
J’ai vu que dix équipes s’étaient sérieusement renforcées. Mais nous avons une carte à jouer. Nous devons confirmer notre bonne saison dernière (Grenoble avait terminé 11e), conserver notre identité de jeu et surtout ne pas faire de complexes face à des équipes qui, sur le papier, sont bien meilleures que nous.»
Propos recueillis par Richard ESCOT

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Foot Ligue des Champions OL Garde : «Toujours de la pression»
Alors que Lyon joue son avenir européen mardi soir (21h en direct sur L'Equipe 21) en Ligue des champions sur la pelouse des Grasshopper Zurich (1-0 pour l'OL à l'aller), l'entraîneur rhodanien Rémi Garde estime que la pression doit motiver ses joueurs à décrocher la qualification.
Rémi Garde trouve son équipe en progrès. (L'Equipe)









«Rémi Garde, la pression est-elle énorme sur ce match ?
Il y a toujours de la pression, et d’ailleurs elle existe aussi chez l’adversaire. Les enjeux financiers, si c’est ça dont vous voulez parler, eh bien ils me fatiguent… (sourire) Nous, les joueurs et le staff, on est surtout focalisés sur l’envie d’être en Ligue des champions. C’est une opportunité extraordinaire. De nos jours, c’est difficile d’y accéder. On veut jouer les meilleures compétitions et la Ligue des champions est la meilleure des compétitions.

Attendez-vous plus de vos attaquants, qui n’ont que très peu marqué pendant la préparation ?
J’attends surtout qu’on se qualifie. Au match aller, on a joué contre une équipe difficile à bouger et on s’est quand même créé des occasions assez dangereuses. On a aussi montré lors des matches de préparation qu’on était en progrès. Demain (mardi), il y aura sans doute peu d’opportunités, mais il faudra être efficace.

Avez-vous fait votre choix en défense centrale (Dabo étant blessé, Umtiti devrait jouer à gauche) ?
Je ne l’ai pas encore annoncé aux joueurs, mais dans ma tête oui, mon choix est fait.»
D. Mi.

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Escrime Championnats du Monde Les Bleus bien partis
Les sabreurs français ont fait un sans-faute lundi pour leur entrée en lice dans les Championnats du monde de Budapest. Anita Blaze est également passée au fleuret. A l'épée, deux Françaises sur quatre se sont qualifiées.
Boladé Apithy est qualifié pour le tableau final des Mondiaux. (L'Equipe)









Après Vincent Anstett, qui a battu le Vénézuélien Jansen Brito (15-7), Nicolas Rousset, tombeur du Hongrois Nikolasz Iliasz (15-12), et Julien Pillet, victorieux du Porto-Ricain Jose Gonzalez Dalmasy (15-8), c'est Boladé Apithy, le quatrième sabreur français, qui s'est qualifié pour le tableau final des Championnats du monde d'escrime, lundi à Budapest. Le sabreur français, qui a démarré par un 7-0, a dominé l'Egyptien Aly Adel (15-8). Au prochain tour, il sera opposé au Canadien Philippe Beaudry. Julien Pillet affrontera l'Allemand Max Hartung alors que Nicolas Rousset fera face au Russe Veniamin Resehtnikov. Enfin, Vincent Anstett devra sortir l'Ukrainien Dmytro Boyko.

Mallo et Candassamy sorties à l'épée

Dans l'après-midi, Anita Blaze s'est, elle aussi, qualifiée pour le tableau final du fleuret. Elle a ainsi rejoint Astrid Guyart, Corinne Maîtrejean et Ysaora Thibus, protégées par leur classement mondial et exemptées de qualifications. A l'épée, Lauren Rembi et Joséphine Jacques-André-Coquin ont intégré le tableau final dès la fin de la phase des poules. En revanche, Marie-Florence Candassamy et Auriane Mallo ont été battues lors du tableau préliminaire, respectivement par l'Estonienne Kristina Kuusk (15-7) et la Chilienne Caterin Bravo Aranguiz (15-13).

Passés également par ces qualifications, la fleurettiste italienne Valentina Vezzali, triple championne olympique individuelle, et son compatriote, le sabreur Aldo Montano ont, eux aussi, intégré leur tableau final. Mardi auront lieu les qualifications du sabre femmes (Cécilia Berder, Charlotte Lembach, Saoussen Boudiaf, Béline Boulay), de l'épée hommes (Daniel Jérent, Alexandre Blaszyck, Ivan Trevejo, Ulrich Robeiri sont déjà qualifiés pour le tableau final) et du fleuret hommes (Erwann Le Péchoux, Julien Mertine, Jérémy Cadot, Marcel Marcilloux).

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Cyclisme Vuelta Basso vise le podium
A trois semaines du départ de la Vuelta, Ivan Basso est rassuré sur sa forme après sa huitième place sur le Tour de Pologne. Il visera le podium en Espagne.
Ivan Basso à trois semaines du départ de la Vuelta. (L'Equipe)









Forfait de dernière minute pour le Giro et absent sur le Tour de France, Ivan Basso va s'aligner sur la Vuelta cette saison. La semaine dernière, l'Italien s'est rassuré sur le Tour de Pologne. Huitième du général, à 1'38 du vainqueur Pieter Weening, le coureur de Cannondale a été régulier dans ses performances et visera le podium en Espagne. «Je sais que je ne suis pas fini. Ce n'est pas encore l'heure de la retraite. Il est dommage que je n'ai pas eu la possibilité de gagner une étape, mais c'était quand même bon, a expliqué Basso dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport lundi. Le plus important, c'est que je me suis bien senti et je suis très content de la manière dont j'ai roulé. J'ai une bonne base maintenant et j'ai confiance pour être à mon meilleur niveau sur la Vuelta. Je suis là où je voulais en être.»

«Nibali sera fort sur la Vuelta» Rentré auprès des siens en Italie, Basso va poursuivre sa préparation à partir de mercredi sur le Tour de Burgos, en Espagne, avant de se rendre dès le 12 août dans les Dolomites pour un camp d'entraînement au Passo San Pellegrino, dans les Alpes italiennes. Il quittera ce stage le 21 août, soit trois jours avant le départ de la Vuelta à Vilanova de Arousa, en Galice.

Interrogé sur la forme de son compatriote Vincenzo Nibali (Astana), seulement 53e du Tour de Pologne, Basso a répondu qu'il n'était pas inquiet pour son ancien coéquipier chez Liquigas : «Je le connais très bien et nous sommes revenus ensemble de Pologne. Il ne s'inquiète pas de sa forme, il n'avait pas besoin du Tour de Pologne pour se jauger. Je suis sûr qu'il sera fort sur la Vuelta. Ce sera beau à voir.» Basso prédit aussi que la Vuelta fera la part belle à un troisième Italien : Eros Capecchi. «Il a beaucoup progressé, surtout dans sa manière de courir dans les moments difficiles, explique Basso. Il est plus mature et je suis certain qu'il va être présent sur la Vuelta.» On saura le 15 septembre si Basso, 35 ans, pourra se reconvertir en bookmaker après sa carrière.
A.M.

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Athlé Championnats du Monde (Femmes) Lesueur a «gagné en confiance»
Après son titre européen au saut en longueur l'année dernière et une médaille d'argent aux «Europe» en salle cet hiver, Eloyse Lesueur est ambitieuse aux Mondiaux de Moscou (10-18 août). Elle vise une place sur le podium.
Eloyse Lesueur s'était classée huitième aux JO de Londres l'année dernière. La Française veut retrouver la finale du saut en longueur et y jouer un grand rôle. (L'Equipe)









Saint-Malo, dernier arrêt avant Moscou. Eloyse Lesueur a bouclé sa préparation dans la cité bretonne, y effectuant des soins marins pour gagner en souplesse et bien récupérer. A moins d’une semaine du début des Mondiaux, la jeune femme se sent bien. Cette saison, elle a sauté 6,78m, en juin à Rome, ce qui lui a permis de se qualifier pour les Championnats dès le début de la saison estivale. Eloyse Lesueur a également franchi 6,75m à Lausanne et 6,70m à Montreuil. «Cette année, je suis régulière, dit-elle. J’ai sauté davantage. Avant, je faisais deux, trois meetings, puis je préparais les Championnats. Là, j’ai pu rencontrer une bonne partie de mes adversaires. Je les connais mieux. Je n’appréhenderai pas, je ne serai pas surprise. J’ai gagné en confiance.»

«La médaille, je travaille pour mais je n'y songe pas pour l'instant. J'y penserai en finale, au moment des trois derniers essais» Il y a un an, la Française décrochait l’or aux Championnats d’Europe à Helsinki. Cet hiver, elle a ramené de l’argent des «Europe» en salle de Göteborg. Ça a changé un peu la donne. «Quand on a gagné un titre européen, on est tout de suite plus reconnu, raconte-t-elle. J’étais beaucoup attendu cet hiver. Ça a forcément été différent. Il a fallu montrer que ça n’était pas un coup de chance.» A Moscou, Eloyse Lesueur vise le podium. Sans se mettre de pression. «Je travaille pour mais je n’y songe pas pour l’instant, confie-t-elle. J’y penserai en finale, au moment des trois derniers essais. La médaille ne se jouera pas lors des trois premiers ni en qualifications.» La concurrence sera cependant rude, avec Brittney Reese (7,25m), Blessing Okagbaré (7,00m), Janay Deloach (6,99m), Shara Proctor (6,92m), Elena Sokolova (6,91m) ou encore Darya Klishina (6,90m). Eloyse Lesueur, elle, est treizième au bilan mondial. «Mais tout va être remis à zéro, déclare-t-elle. A Daegu (aux Mondiaux 2011, ndlr), le concours s’est gagné à 6,82m, alors que les filles avaient sauté plus loin dans la saison.»

En Russie, la sauteuse française va prendre part à ses troisièmes Mondiaux. Les deux premiers ne s’étaient pas très bien passés (éliminée en qualifs). «A Berlin, j’étais très jeune et pas suffisamment préparé. A Daegu, je n’avais pas beaucoup d’expérience.» Depuis, il y a eu les Jeux de Londres où elle s’est classée huitième. «Mais j’avais en tête l’échec de Daegu. J’ai eu beaucoup d’appréhension en qualifs. Je suis arrivé un peu diminuée. Maintenant je suis prête mentalement, comme si j’avais passé un cap. Il n’y a plus qu’à !...»
Olivier PAQUEREAU