Toutes New sportives autres que la moto

[Norton]

Foot Ligue 1 1re j. Un LOSC nouveau modèle
Lille, qui reçoit Lorient ce samedi (21h00), n'a pas seulement changé d'entraîneur et d'effectif. Il a aussi troqué son 4-3-3 pour un 4-4-2 en losange qui relance Marvin Martin.
Marvin Martin est replacé au centre du jeu à Lille. (L'Equipe)









Samedi dernier, le LOSC a bouclé sa cinquième victoire en autant de matches de préparation. Face aux Portugais de Paços de Ferreira (2-0), les Dogues ont poursuivi leur apprentissage du 4-4-2 avec milieu en losange. Un dispositif adopté par le nouvel entraîneur René Girard, qui a troqué l’ancien 4-3-3 à la mi-temps du premier match à Dijon (3-2, le 14 juillet). « Avec le jeune (Soualiho) Meïté, Rio (Mavuba), Marvin (Martin), Idrissa (Gueye), Florian (Thauvin), nous disposons d’un potentiel au milieu assez exceptionnel, explique-t-il. Je me suis demandé comment organiser ces joueurs autrement. La solution était le losange au milieu avec deux attaquants de pointe, ce qui donne plus de possibilités offensives. L’équipe est équilibrée. Le petit Meïté s’est bien adapté. Simon (Kjaer) fait des prestations de mieux en mieux. Sur les côtés, on connaît le potentiel de (Pape) Souaré et (Franck) Béria. »

Martin : « J'aime cette liberté. J'ai envie de faire quelque chose cette saison. » Ce système met en valeur les qualités de vitesse et de percussion des attaquants mais aussi leur complémentarité. « Avec Kalou, on arrive à combiner et à se trouver », admet Divock Origi. « C’est une formule qui nous va bien, renchérit Ryan Mendes, car elle permet de prendre des risques offensifs et les espaces. » Mais cette organisation a surtout pour ambition de relancer Marvin Martin. « J’ai déjà joué derrière les deux attaquants avec Francis Gillot à Sochaux, rappelle le meneur de jeu. J’aime cette liberté. J’ai envie de faire quelque chose cette saison. »

Bien sûr, ce schéma, qui dégarni les couloirs, serait fragilisé si le volume de Meïté et Gueye n’accompagnait pas la récupération du ballon, si Rio Mavuba ne permettait pas au bloc de rester compact, si les arrières n’apportaient pas le surnombre offensif. « Paradoxalement, on a toujours été des latéraux positionnés très haut, se souvient le défenseur Franck Béria. Simplement, le meneur de jeu était moins défini. C’est LA nouveauté. »
Joël DOMENIGHETTI, à Villeneuve-D'acsq

[Norton]

Natation CM (pb) Retour au calme en séries
Yannick Agnel s'est qualifié pour la finale du 100 m de la Coupe du monde en petit bassin de Berlin, samedi. Le protégé de Bow Bowman s'est également fait plaisir sur le 200 m papillon (15e temps) et 100 m 4 nages (14e).
Yannick Agnel se fait plaisir à Berlin. (L'Equipe)









Alors qu'un record du monde avait été battu à chaque session matinale de la première étape de la Coupe du monde, mercredi et jeudi à Eindhoven (le 200m 4 nages et le 100m 4 nages, amélioré les deux fois par Katinka Hosszu), les choses sont été plus calmes samedi matin à Berlin, qui accueille la deuxième étape de cette Coupe du monde, pour la première fois programmée dans la foulée des Mondiaux. En Allemagne, Yannick Agnel, qui en était resté au stade des séries à Eindhoven sur 100m, s'est cette fois qualifié pour la finale (à partir de 15h30) avec le 8e temps (47''75). Ce sera sa seule finale du jour.

Parce qu'il est d'abord ici pour s'amuser, l'élève de Bob Bowman a nagé ce matin le premier 200m papillon de sa carrière. Verdit du chrono: 2'4''27, et un quinzième chrono des séries, logiquement très loin du plus rapide, le Japonais Daiya Seto (1'53''55). Le champion du monde du 200m et du 4x100m a ensuite continué sa découverte sur 100m 4 nages. Placé ligne 1 de la première série, faute de temps de référence, le Français malgré un beau finish en crawl termine avec le 14e temps total (55''32). Sur 100m dos, Benjamin Stasiulis a signé le 9e temps (53''39), manquant la finale pour trois centièmes.
Cl.B., à Berlin

[Norton]

Voile Championnats du Monde 470 Leboucher-Le Berre en argent
Pierre Leboucher et Nicolas Le Berre décrochent une médaille d'argent aux Mondiaux de 470 à La Rochelle derrière l'intouchable tandem australien mené par Mat Belcher. Pas de podium pour Camille Lecointre et Mathilde Géron.
Fin de semaine idéale pour Pierre Leboucher et Nicolas Le Berre qui sont vice-champions du monde de 470. (D.R)








Ils ont connu des hauts et des bas cette semaine sur le plan d'eau de La Rochelle, notamment un vendredi compliqué qui les a fait tomber du podium. Mais s'il y avait une journée à ne pas rater, c'est bien celle de samedi et Pierre Leboucher et Nicolas Le Berre, quatrièmes avant de se lancer dans la Medal Race (les dix premiers de chaque série alignés sur une régate très courte qui compte double, ndlr), ne s'y sont pas trompés.

Les duettistes ont remporté cette ultime régate pour réussir à se hisser de nouveau sur le podium et accrocher à leur cou une très belle médaille d'argent, bien aidés également par les contre-performances de leurs principaux rivaux grecs (Panaglotis Mantis et Pavlos Kagialis) et argentins (Lucas Calabrese et Juan de la Fuente) qui ont, eux, échoué aux dernière et avant-dernière places. Des mésaventures que n'ont pas connues les intouchables australiens avec, à la barre, Mat Belcher, qui s'offre un quatrième mondial titre consécutif.

Camille Lecointre et Mathilde Géron à un point du podium

Quelques minutes plus tard, Camille Lecointre et Mathilde Géron entraient à leur tour en lice avec également comme objectif une médaille d'argent, l'or étant déjà hors de portée. Mais les Françaises n'ont pas réussi à conserver leur deuxième place après une Medal Race terminée en huitième position. Au final, Lecointre et Géron connaissent le même destin qu'aux JO de Londres en achevant leur parcours à un point du podium. De quoi faire grise mine après une semaine passée aux avant-postes, loin des sourires justifiés des championnes olympiques Néo-zélandaises, Jo Aleh et Polly Powrie, sacrées, sans surprise, championnes du monde.
I.T.S.

[Norton]

Tennis WTA Toronto S. Williams file en demies
Serena Williams n'a pas fait de détail face à Magdalena Rybarikova. (Reuters)








Serena Williams est restée fidèle à elle-même en expédiant la Slovaque Magdalena Rybarikova en une heure, vendredi à Toronto (6-1, 6-1). La numéro 1 mondiale américaine, en quête d'un 8e titre cette année, se qualifie donc aisément pour les demies, où elle retrouvera samedi la Polonaise Agnieszka Radwanska.

[Norton]

Rugby NZL Benji fait déjà le buzz
Champion du monde treiziste en 2008, Benji Marshall a signé ce samedi pour les Auckland Blues. A quinze. Dans l'espoir de devenir All Black et de disputer les J.O. en 2016. Portrait d'une star.
Benji Marshall, la nouvelle attraction du rugby néo-zélandais, ici sous le maillot des Kiwis. (L'Equipe)









Champions du monde de rugby à 7, en juin dernier à Moscou, les All Blacks affichent clairement leur objectif : décrocher la médaille d’or aux Jeux Olympiques de Rio de Janeiro, en 2016. Pour cela, ils vont pouvoir compter sur le capitaine de l’équipe nationale kiwi de rugby à XIII, Benji Marshall (28 ans, 1,82m, 93kg), qui vient de signer samedi un contrat de deux ans avec les Auckland Blues pour disputer le prochain Super 15.

Marshall veut réaliser deux rêves : porter le maillot des All Blacks à quinze et disputer les J.O. de Rio avec l’équipe nationale à 7. En attendant, il rejoindra le 7 septembre l’équipe entraînée par John Kirwan, ancien ailier champion du monde en 1987, et ex-coach de l’Italie et du Japon. Un bon tremplin pour ce joueur hors-normes, dont certains comparent son talent à celui du fantasque footballeur Cristiano Ronaldo.

Quinze, treize et sept, soit le tour complet

«C'est un joueur de classe mondiale. Savoir que quelqu'un de son acabit veut devenir All Black, c'est une bonne nouvelle,» dixit Steve Hansen, coach de la Nouvelle-Zélande. Benji Marshall est un phénomène. «Un génie», surenchérit la presse néo-zélandaise. Un génie qui, à 28 ans, commençait néanmoins à perdre un peu de son éclat en NRL, le Championnat de rugby à XIII de l’hémisphère sud, si l’on en croit des critiques venues d’Australie. Reste que son crochet intérieur, ses feintes de passes et de corps, ont enflammé depuis 2005 le rugby à XIII au point de faire de 'Bagz', son surnom, l’attraction numéro un.

Né en Nouvelle-Zélande, formé à XV, passé à XIII en Australie et lancé dans le grand bain à 18 ans, champion NRL en 2005 avec les West Tigers de Sydney, champion du monde en 2008 avec les Kiwis dont il fut la capitaine, sacré meilleur joueur de la planète treiziste en 2010, demi de mêlée ou demi d’ouverture, buteur (1039 pts en club), Benji Marshall a été international cadets à quinze en Nouvelle-Zélande, international juniors à treize en Australie, tout en disputant des tournois de rugby à 7. Avec une telle carte de visite, pas étonnant qu'il fasse déjà le buzz avant même d’avoir rejoint son nouveau club.
Richard ESCOT

[Norton]

Fabienne Schlumpf disqualifiée

10.08.2013 16:57 mise à jour à 17:12 Réagir
Fabienne Schlumpf ne gardera pas un bon souvenir de sa course. [JEAN-CHRISTOPHE BOTT - Keystone]


Fabienne Schlumpf a été disqualifiée en séries du 3000 m steeple aux Mondiaux de Moscou. La Zurichoise a quitté le stade en pleurs, mais son temps ne lui aurait de toute façon pas permis d'entrer en finale.
Schlumpf a été disqualifiée pour être sortie du couloir attribué, dans un virage, avant l'attaque de la fosse. Elle a franchi l'arrivée en 12e position en 9'48''49, tout près de son record de Suisse (9'46''98). Un bon chrono pour elle, qui ne pourra bien sûr pas être homologué. La 5e et dernière place directement qualificative dans la série était de toute façon hors de portée pour cette néophyte.
Schlumpf a quitté la zone mixte effondrée, sans mot dire. La série a été gagnée par l'Ethiopienne Etenesh Diro en 9'24''04.

[Norton]

Rufener remet les lattes

10.08.2013 17:32 mise à jour à 18:04 Réagir
Martin Rufener va coacher les Canadiens. [ALESSANDRO DELLA BELLA - Keystone]


Martin Rufener retourne au front. L'ancien coach à succès de l'équipe de Suisse masculine s'occupera des Canadiens la saison prochaine.
Depuis mars dernier, le Bernois de 54 ans travaillait comme directeur alpin à la Fédération canadienne. Mais à la suite du départ de Peter Bosinger, il a accepté d'entraîner de manière intérimaire l'équipe masculine, dont le leader est Erik Guay, champion du monde de descente en 2011.
Rufener avait occupé cette fonction à Swiss-Ski entre 2004 et 2011, glanant de nombreux succès avec les Cuche, Défago et autres Janka. Il avait quitté la Fédération helvétique à l'issue de l'hiver 2010/2011 en raison de désaccords avec sa hiérarchie. L'Oberlandais avait ensuite travaillé pour la société Swiss-Jet, avant de revenir dans le monde du ski alpin début 2013.

[Norton]

Mondiaux-2013/100 m - Bolt facile en demies


MOSCOU, 10 août 2013 (AFP) - Le sextuple champion olympique Usain Bolt s'est aisément hissé en demi-finales du 100 m des Mondiaux d'athlétisme, vainqueur de sa série en 10 sec 07/100e (vent: -0,4 m/s), samedi à Moscou. Comme un exorcisme, deux ans après son incroyable faux départ de la finale de Daegu, Bolt a pris la mesure de ses adversaires après que son voisin de couloir Keymar Hyman, des îles Caïmans, eut été éliminé pour avoir anticipé le starter.
Bolt a dégagé une impression studieuse, sur et en-dehors de la piste, ne cherchant pas la performance.
"Je suis content de ma course. Je voulais surtout veiller à mon temps de réaction et au départ. Le faux départ ne m'a pas perturbé. J'avais commis cette faute à Daegu et j'étais très concentré sur ce point", a expliqué la légende du sprint.
L'Américain Mike Rodgers a été le plus rapide des séries (9.98), juste devant son compatriote Justin Gatlin (9.99), principal adversaire désigné de Bolt.
"Je me suis surtout appliqué sur la technique. Disons que j'ai couru à 50 %", a déclaré Gatlin, champion olympique en 2004, et encore sur le podium (bronze) en 2012 après avoir purgé une suspension de quatre ans pour dopage.
Dans une discipline dépeuplée par les blessures (Yohan Blake, champion du monde en titre) et les affaires de dopage (Tyson Gay, Asafa Powell), les outsiders ont montré leur biceps.
Les Français Christophe Lemaitre et Jimmy Vicaut ont répondu présents, qualifiés respectivement en 10 sec 12/100e et 10 sec 06/100e, pour des demi-finales qui seront autrement plus relevées.
Les demi-finales sont programmées dimanche à 17h05 françaises, avant la finale à 19h50 (21h50 locales).
fbr-asc/jde

[Pasky]

Envoyé par Norton

«Comme je ne l'achetais pas sur internet en me cachant mais dans un magasin qui a pignon sur rue, conseillée par un vendeur, pas une minute je n'ai imaginé ce qui pourrait m'arriver.» (L'Equipe)

Athlète de haut niveau qui va dans un "magasin" et se fait conseiller par un "vendeur" ??!! J'imaginais que les athlètes de haut niveau étaient suivis par des médecins et des préparateurs physique, et n'allaient pas chercher des produits (même des simples vitamines) dans un "magasin"

Envoyé par Norton

Vous preniez déjà des compléments alimentaires ?
Je prenais des vitamines pour combler certaines carences.

Mais vous aviez fait un bilan médical pour connaître ses carences ?
Non, il s’agissait juste de vitamines comme tout à chacun peut en prendre

Donc, il es logique de prendre des vitamines en disant que l'on a des carences, sans savoir si on a des carences, puisque que l'on a pas fait de bilan médical...

[Norton]

Gareth Bale n’a pas de prix

Football

—
Le Real Madrid est prêt à payer le buteur de Tottenham deux fois sa valeur. Que cachent ces chiffres mirobolants?
Par Le Matin Dimanche. Mis à jour le 10.08.2013

• Imprimer

Le Real Madrid est disposé à faire des folies pour attirer le buteur gallois de Tottenham à Madrid. Ira-t-il jusqu’à payer 123 millions de francs suisses?
Image: Kerim Okten/EPA/Keystone
Jeudi, le président du Real Madrid a finalement reconnu que la somme de 100 millions d’euros (123 millions de francs) exigée par Tottenham pour libérer Gareth Bale était excessive. Mais, en réalité, cette somme n’effraie absolument pas le premier club sportif au monde à dépasser la barre des 500 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel. Mieux: le Real Madrid pèse aujourd’hui près de 3 milliards de francs, devenant du même coup le club le plus valorisé au monde.
Enjeu des transferts
Reste que les chiffres évoqués pour l’acquisition de Gareth Bale ne correspondent pas à la valeur marchande théorique du joueur, chiffrée entre 43 et 50 millions d’euros par le Centre international d’étude du sport (CIES) de Neuchâtel. Les enjeux, en réalité, sont autres. Ils sont d’abord politiques puisque le Real, propriété de ses 80 000 sociétaires, doit répondre au recrutement de la star brésilienne Neymar par son rival historique, le FC Barcelone. Dans un deuxième temps, l’investissement serait amorti en un tour de mains. Le transfert d’un joueur comme Gareth Bale, en termes de marketing, ouvre de nouveaux marchés et fait parler de la marque dans le monde entier. La preuve…