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13/08/2013, 14h18
Rugby Top 14 RCT Wilkinson : «Plus de constance»
A trois jours du coup d'envoi du Top 14, contre Montpellier (vendredi, 20h45), l'ouvreur anglais du RC Toulon, Jonny Wilkinson (34 ans), parle de ses nouveaux coéquipiers, de ses objectifs personnels et de ceux du club varois, du travail collectif qui reste à effectuer. Il évoque aussi son avenir. Entraîneur, pourquoi pas...
Buteur, ouvreur, capitaine, Jonny Wilkinson sera encore l'un des joueurs-clés du RCT, cette saison. Mais il se voit bien un jour prochain dans la peau d'un coach... (L'Equipe)
«Jonny Wilkinson, Toulon a recruté gros, encore, cette saison. Que pensez-vous de vos nouveaux coéquipiers ?
C’est toujours intéressant de compter sur de nouveaux joueurs. Bryan Habana, Drew Mitchell, Ali Williams et d’autres qui sont moins médiatisés, tous vont ajouter quelque chose de spécial. Durant la saison, Toulon aura besoin de chacun. Lors des matches amicaux, j’ai pu constater que toutes les équipes étaient déjà au point. Le Top 14, c’est le Championnat le plus exigeant. Physiquement, c’est très dur. Il faut être à cent pour cent à chaque match, sinon c’est la défaite au bout.
Toulon sera plus fort que la saison dernière ?
Sur le papier, il n’y a pas de vérité. Moi, je vois les joueurs dans le vestiaire et sur le terrain. Une équipe se construit avec des hommes qui inspirent le respect par leur comportement. Bryan Habana, trois jours après son arrivée, il disputait déjà son premier match : il est prêt à tout donner. Cela dit, Toulon n’est pas la seule équipe dans cette disposition d’esprit, nous ne sommes pas les seuls avec un gros effectif.
Le doublé européen est envisageable ?
Clermont sera présent en Coupe d’Europe, Toulouse aussi… Deux clubs qui tiennent la route toute la saison, qui ont l’effectif pour cela.
Quel est votre favori pour le Bouclier de Brennus ?
Impossible à dire. J’ai trop de respect pour toutes les équipes. On peut gagner un match et perdre le week-end suivant. Toulon manque un peu de constance, et c’est ce que nous allons chercher à améliorer, cette saison. Pour moi, Toulouse et Clermont sont favoris. Cela fait cinq ou six saisons qu’ils sont au sommet.
«On ne choisit pas ses matches»
«Je commence à me voir dans la peau d'un entraîneur. J'aime bien aider les autres dans leur progression.» Vous avez senti le groupe motivé pour repartir à l’assaut d’un titre ?
Etre motivé, c’est une façon de vivre. Nous n’acceptons pas la défaite. Un sportif de haut niveau se fixe un niveau plancher et un niveau plafond. Il vise le plafond en refusant de descendre sous son niveau plancher. Et ça sur toute une saison. Joe Van Nierkerk, Bakkies Botha, Matt Giteau et Mathieu Bastareaud sont comme ça. Chaque week-end, chaque joueur doit avoir envie de se situer à 8 sur 10 plutôt que de se satisfaire d’un 7 sur 10. C’est de la fierté. Mais c’est surtout du respect pour l’équipe, pour le club. Nous avons tous de l’ambition. La saison dernière était une très bonne saison, avec un titre européen et une finale de Top 14. Mais ça ne peut pas suffire.
Après avoir remporté le titre européen, vous rêvez de gagner le Bouclier de Brennus. Ce sera votre obsession, cette saison ?
On ne choisit pas ses matches. Moi, je joue chaque match comme si c’était le dernier de la carrière. Je ne peux pas vivre avec des regrets. Même pour un match amical, je me donne à fond. Dans le vestiaire, avant, j’ai la boule à l’estomac, je sens la pression mentale dans la semaine. Ca n’a rien à voir avec l’enjeu d’un match. A la fin de ma carrière, je veux pouvoir me dire que j’ai tout donné à chaque seconde.
«Donner du temps de jeu à tout le monde»
Vous allez disputer votre dernière saison ?
Je n’en suis pas certain. L’année dernière, j’étais catégorique mais là, je ne sais pas… Je commence le Championnat avec une grosse envie, avec l’idée que je peux encore progresser. J’essaye de voir comment je peux apporter un plus à l’équipe. En tant que capitaine, il va falloir aussi que je réfléchisse à la façon d’aider mes coéquipiers. Cela dit, il faut donner du temps de jeu à tout le monde et je commence à me voir dans la peau d’un entraîneur. Certains sont aussi capables que moi de jouer et mon temps sur le terrain commence à se terminer. J’aime bien aider les autres dans leur progression : c’est un vrai plaisir.»
Le programme de la 1ère journée
Vendredi 16 août (20h45) : Montpellier - Toulon Samedi 17 août (15h00) : Biarritz - Clermont ; (18h30) Bayonne - Oyonnax, Bordeaux - Toulouse, Grenoble - Stade Français, Racing Métro - Brive (à La Rochelle) ; (20h35) Perpignan - Castres.
Propos recueillis par Ricard ESCOT
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Sans Carter face à l'Australie...
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13/08/2013, 14h20
Athlé Championnats du Monde (Hommes) Yohann au pays de la marche
Yohann Diniz prendra mercredi le départ du 50 km marche aux Championnats du monde de Moscou. Il savoure de concourir dans un pays où sa discipline cartonne.
Yohann Diniz espère briller à Moscou, capitale d'une nation passionnée de marche. (L'Equipe)
On avait laissé Yohann Diniz à Londres, disqualifié aux Jeux Olympiques pour avoir effectué un ravitaillement hors zone. Une faute dont «je ne me souviens pas», confie l’intéressé. Mais le Français n’est pas revanchard. « Ça m’a fait mal, reconnaît-il. Mais je n’ai pas de colère. Et ça n’a pas été des JO pourris. J’ai quand même marché en 3h39 ce jour-là. En matière de chrono, c’était bien.» Cette année, Diniz a effectué deux 50 kilomètres, le premier en 3h49, le second en 3h41 lors de la Coupe d’Europe. « Cela montre que je ne suis pas trop cuit», sourit-il. A trente-cinq ans, le marcheur français arrive à Moscou avec l’envie « de m’éclater, de faire une course appliquée en grand championnat. Des belles courses, j’en ai fait mais pas en grande compétition ces derniers temps. La dernière, c’était à Barcelone (aux «Europe 2010 où il s’était imposé, ndlr).»
«C'est la terre de la marche. Ça a un goût particulier d'être là» Le cadre s’y prêtera. En Russie, la marche est une discipline très populaire. « C’est la terre de la marche, clame même Yohann Diniz. Ça a un goût particulier d’être là.» Le double champion d’Europe se souvient que c’est en Russie qu’il avait connu sa première sélection en équipe de France « devant 40 000 spectateurs». Là-bas, il existe un centre d’entraînement dédié à la marche, à Saransk, en république de Mordovie, à 650 km de Moscou. Depuis le début des Mondiaux, les Russes se sont illustrés dans la discipline. Alexandr Ivanov a gagné le 20 km marche lundi et Elena Lashmanova l’a imité ce mardi. Pour se donner une idée du réservoir russe, les deux vainqueurs ont respectivement vingt et vingt-et-un ans. Yohann Diniz, à propos de la victoire d’Ivanov, glisse : « C’était beau à voir. Il a calmé tout le monde».
Pour s’illustrer à Moscou, le Français a modifié ses méthodes d’entraînement. Il a délaissé les épreuves courtes. « Tant mieux. Je n’aime pas ça, dit-il. Il y a de la souffrance mais elle est différente de celle du 50 km. Et je préfère celle-ci.» Diniz a aussi repris la sophrologie, abandonnée il y a deux ans. « J’ai eu deux échecs depuis», déclare-t-il. L’année dernière, pour les Jeux Olympiques, il n’avait pas effectué de préparation en altitude. Il a corrigé le tir cette saison. Yohann Diniz sera au départ jeudi à 6h30 (heure française) sur la piste du Loujniki. Il devrait y revenir environ trois heures et quarante-cinq minutes plus tard. A quelle place ? « Si je fais une belle course, il y aura forcément un résultat», se contente-t-il de dire.
Olivier PAQUEREAU, à Moscou
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Le dossier d'accusation bouclé...
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13/08/2013, 14h22
Décès de Jean Vincent
L'ancien entraîneur du FC Nantes Jean Vincent est décédé à l'âge de 82 ans. C'est une figure du football français qui disparaît.
Jean Vincent (à gauche) à l'entraînement en 1979 avec Jean-Claude Suaudeau. (L'Equipe)
Ancien entraîneur du FC Nantes de 1976 à 1982, Jean Vincent est décédé dans la nuit de lundi à mardi a annoncé le site du club. Il était âgé de 82 ans.
Comme ailier gauche, Jean Vincent a d'abord connu l'âge d'or de Lille (champion de France 1954, Coupes de France 1953 et 1955), puis du "grand" stade de Reims, remportant trois nouveaux titres de champion de France (1958, 1960, 1962) et disputant deux finales de la Coupe des clubs champions contre le Real Madrid (1956, 1959). Il est aussi sélectionné en équipe de France (22 buts en 46 matches), avec laquelle il termine 3e du Mondial-1958 aux côtés de Raymond Kopa ou Just Fontaine.
Sur le banc des Canaris, il devient le successeur du "Maître" José Arribas, cerveau du fameux "jeu à la nantaise". Il remporte deux titres de champion de France (1977 et 1980) ainsi qu'une coupe de France (1979), la première du club. Son bilan est, en outre, largement positif avec 132 victoires pour 47 nuls et 44 défaites. Sur la scène européenne, il emmènera les Canaris jusqu'en demi-finale de la Coupe d'Europe des vainqueurs de Coupe, en 1980. Par la suite, Jean Vincent avait entraîné le Cameroun ou encore la Tunisie avant de prendre sa retraite en 1987.
« C'est véritablement une légende du football nantais et français qui disparaît», écrit le club, à propos de cet entraîneur professionnel, né en 1930.
avec AFP
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Downing à West Ham (off.)...
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13/08/2013, 14h24
Golf Majeurs Qui est le grand vainqueur ?
La saison des Grand Chelem vient de se terminer, il faudra désormais attendre huit mois et le printemps 2014 pour remettre ça. Winners, losers, ceux qui ont et ceux qui auraient pu : voici notre bilan avec, entre parenthèses, les résultats dans l'ordre chronologique (Masters, US Open, British et USPGA).
Grande saison 2013 pour Adam Scott, 33 ans: première victoire en Majeur (Masters), et une constance inégalée. (Reuters) (Reuters)
Les winners
Adam Scott (V, 45e, 3e, 5e) : son explosion finale lors du British 2012 avait laissé entrevoir quelques doutes sur la solidité de ses nerfs. Mais une conversation avec Tom Watson en décembre dernier a tout changé, la légende américaine lui ayant expliqué que parfois, il fallait en vouloir plus que de raison pour aller chercher les titres. Leçon retenue dès le Masters, où l'Australien a disputé les trois derniers trous (le 18 en régulation, les deux de play-off) avec une rage très démonstrative. Preuve de sa très grande constance : il est le seul à avoir mené dans les quatre Majeurs cette année.
Justin Rose (25e, V, cut, 33e) : l'US Open semblait promis à Phil Mickelson, son tournoi de cœur qu'il allait enfin remporter après cinq deuxièmes places. Sauf si un « méchant » venait casser la belle histoire. En guise de bad guy, nous avons eu le plus délicieux de tous les Anglais : Justin Rose, en mode guerrier ce jour-là, et d'une solidité stupéfiante sur les derniers trous. Un premier Majeur à 32 ans qui en appelle d'autres.
Phil Mickelson (54e, 2e, V, 72e) : il a porté la barre de la catégorie « ceux qui remportent un Majeur à l'époque de Tiger Woods » à cinq, grâce à un dimanche irréel à Muirfield. Une victoire qui est non seulement venue le consoler (un peu) de sa tristesse à l'US Open, mais qui en plus va le rebooster pour plusieurs années.
Jason Dufner (20e, 4e, 26e, V) : la machine à attraper fairways et greens montre qu'il est clairement un homme des grand rendez-vous. Avec sa victoire à l'USPGA, il s'est déjà construit un beau palmarès et à l'avenir, il puttera probablement bien plus relâché sous pression (son pêché mignon jusqu'ici).
Et aussi
Henrik Stenson (18e, 21e, 2e, 3e) : une nouvelle fois revenu d'un passage à vide assez impressionnant (2010-2011), le Suédois de 37 ans a confirmé que son talent pouvait également s'exprimer lors des épreuves les plus sélectives. Solide à Augusta et Merion, il a dû laisser le British à la fougue de Mickelson, alors qu'il a été le seul membre du top 10 (avec l'Américain) à jouer sous le par ce jour-là. Très déçu par sa troisième place à l'USPGA, il sait cependant qu'il peut lui remporter ces épreuves-là.
Jason Day (3e, 2e, 32e, 8e) : on rappellera juste que le bonhomme n'a que 25 ans. Et montrer une telle constance dans les Majeurs à son âge (il était déjà 2e du Masters et de l'US Open en 2011) ne peut que l'assurer d'une chose : son tour viendra. A signaler qu'avec son compatriote Adam Scott, Jason Day est celui qui a ramené le meilleur score cumulé sur l'ensemble des quatre Majeurs en 2013 (+2 en 16 tours).
Les losers
Tiger Woods (4e, 32e, 6e, 40e) : un Masters gâché par un mauvais drop le vendredi, un US Open où il est passé au travers, un British qui lui tendait les bras mais qu'il a perdu sur les greens, et enfin un USPGA où sa nervosité en Majeurs est apparue au grand jour. Celui qui vise depuis toujours les 18 titres du Grand Chelem de Jack Nicklaus est bien obligé de constater qu'en 2013, il a connu la grande réussite en saison régulière (déjà cinq victoires depuis mars) et le fiasco dans les quatre tournois qui comptent le plus à ses yeux.
Rory McIlroy (25e, 41e, cut, 8e) : un Masters où il a connu une journée catastrophe pour la troisième année consécutive (79 le samedi), un US Open plus que quelconque, une explosion mentale au British où il avoue sa perdition au monde entier, et enfin un USPGA où il semble avoir rassemblé quelques pièces du puzzle : ça fait peu, très peu pour celui qui avait fini l'année 2012 numéro un mondial.
Lee Westwood (8, 15, 3, 33e) : il raconte à qui veut bien le croire que désormais, il s'en fiche, des Majeurs. Qu'il prend les trous de golf les uns après les autres, et qu'il arrivera bien ce qui arrivera. Ça marche la plupart du temps, sauf que son inconscient reprend le contrôle au moment où ça compte vraiment, et que sa nervosité le trahit une nouvelle fois. Ça a été flagrant le dimanche du British Open, qu'il avait abordé en tête, et les vendredi et dimanche de l'USPGA, où une enfilade de petits putts complètement vérolés lui a massacré sa carte.
Nico Colsaerts (cut, 10e, cut, cut) : on attendait davantage de notre Belge préféré après son année 2012 (en tête de l'US Open le samedi après-midi, 7e du British), surtout avec l'expérience accumulée en Ryder Cup. Mais en dehors d'un us open très solide malgré une sortie de route au 18 le samedi (triple), ce ne furent que cuts manqués
Luke Donald (25e, 8e, cut, cut) : encore une année blanche pour l'ex numéro un mondial, qui a clairement eu sa chance à l'US Open, avant d'exploser de façon inhabituelle le dimanche (+5 du 3 au 6). Un échec dur à encaisser, au point de louper les deux cuts suivants.
Graeme McDowell (cut, cut, 58e, 12e) : mini syndrome Woods pour le Nord-Irlandais, impérial sur les circuits américain et européen (une victoire aux US, deux en Europe, dont l'open de France), mais hors du coup sur tous les Grand Chelem cette année, après une année 2012 pourtant brillante en la matière.
Philippe Chassepot
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/08/2013, 14h25
Hippisme Quinté+ Rose Vista méritait son Quinté+
Malgré un numéro dans les stalles peu favorable, Rose Vista (2) a su se jouer de l'opposition dans ce Grand Prix de Châteaubriant. Après avoir débordé l'animateur à l'entrée de la ligne droite, elle résiste à Hail Holy Queen (3), qui a mis du temps à trouver le passage. Talk About (4), pas très heureux, conserve une bonne troisième place, résistant toutefois d'assez peu face au bon finisseur Magic Zen (11). Tostaky Blue (6) termine cinquième. La favorite Utopia Jem (1) n'a pu revenir de l'arrière-garde.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/08/2013, 17h03
"J'aimerais que le pape me souhaite bon anniversaire"
© Twitter.
Mario Balotelli a eu 23 ans lundi. Pour fêter cela, le fantasque attaquant italien jouera contre l'Argentine avec l'Italie mardi au Stadio Olimpico de Rome. Mais avant, "Super Mario", la Squadra Azzurra et l'équipe nationale d'Argentine ont rendez-vous avec le pape au Vatican.
© afp. © getty.
Balotelli se réjouit de rencontrer le pape. "Je suis très heureux d'être reçu par François. Ce que je pense de lui et ce que je lui dirai, je le garde pour moi. Mais je lui dirai quelque chose d'important sur la religion, a confié l'Italo-ghanéen au Corriere dello Sport.
"J'espère que le pape me souhaitera bon anniversaire. Si ce serait le plus beau cadeau d'anniversaire? Non, ça ce sont mes parents qui peuvent me le faire".
devrait demander à Hollande un cadeau fiscal si il s'installe en france
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/08/2013, 17h17
Le pape reçoit Messi et Balotelli
Football
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Le pape François a reçu les délégations des équipes de football d’Italie et d’Argentine qui s’affronteront mercredi en match amical à Rome, et rappelé les joueurs à leurs «responsabilités sociales».
1 Commentaire
1/5 Image: Keystone
«Vous, chers joueurs, êtes très populaires, les gens vous suivent, même hors du terrain, c’est une responsabilité sociale», a dit le Saint-Père aux internationaux, assis au premier rang lors d’une audience privée dans la salle Clémentine du Palais apostolique.
Deux cents personnes, des joueurs des deux formations et des dirigeants sportifs des deux pays, se sont entretenues avec le Saint-Père. «Ce sera vraiment difficile pour moi de faire le supporter, mais heureusement c’est un match amical, j’espère que cela le sera vraiment», a dit le pape, dont les propos étaient retransmis en direct dans la salle de presse du Vatican.
«Sur le terrain, il y a la beauté, la camaraderie et l’altruisme, sinon il manque quelque chose au match, même si vous gagnez. Il n’y a pas de place pour l’individualisme, tout est coordination, pour l’équipe», a ajouté le pape. Les délégations ont offert des présents au pape, un maillot de chaque équipe nationale floqué à son nom, ainsi qu’un vase en argent de la part des Argentins et un olivier des Italiens.
Après l’audience devait être organisée une conférence de presse commune, avec notamment le chancelier de l’Académie pontificale des sciences, Monseigneur Marcelo Sanchez Sorondo, les capitaines des deux équipes, Lionel Messi (Argentine) et Gianluigi Buffon (Italie), et les deux sélectionneurs, Alejandro Sabella (Argentine) et Cesare Prandelli.
Prandelli a émis le souhait lundi de voir le pape argentin Jorge Mario Bergoglio assister à la rencontre organisée en son honneur. Mais le Vatican a déjà fait savoir qu’il ne s’y rendrait pas.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
13/08/2013, 18h26
Match amical
Face au Brésil, Ottmar Hitzfeld prend des risques
Le coach national titularisera mercredi 14 août à Bâle face au Brésil deux défenseurs centraux qui n'ont aucun vécu en commun.
Ottmar Hitzfeld va aligner Philippe Senderos aux côtés de Timm Klose
Image: Keystone
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En l'absence de Johan Djourou qui relève de blessure, Ottmar Hitzfeld alignera Philippe Senderos aux côtés de Timm Klose.
Il aurait été sans doute plus sage de titulariser l'un de ces deux hommes aux côtés de Steve von Bergen, l'autre pilier de la défense.
«Mais qui peut m'assurer que Djourou sera avec nous le 6 septembre contre l'Islande? Comme le doute est de mise, je dois savoir quelles sont les alternatives dont je dispose, explique le sélectionneur. Senderos et Klose débuteront. Fabian Schär jouera également une mi-temps.»
Une hiérarchie claire
La qualité de l'opposition lui permettra d'établir une hiérarchie claire entre ces trois hommes derrière le duo Djourou-von Bergen.
Très longtemps considéré comme le grand patron de la défense suisse, Philippe Senderos n'aborde pas ce «match à trois» avec les meilleures cartes en main. A Fulham, sa place de titulaire est remise en question depuis le transfert de l'international vénézuélien Fernando Amorebieta qui a été formé et qui a brillé à l'Athletic Bilbao.
S'il devait se retrouver sur le banc en Premier League, son avenir en équipe nationale s'inscrira en pointillé. D'où l'importance cruciale pour lui de ce match contre le Brésil.
«Je connais la règle du jeu»
«Je connais la règle du jeu. Personne ne peut avoir l'assurance d'une place à vie dans cette équipe, souligne le Genevois dont la dernière titularisation en sélection remonte au match amical perdu 1-0 à Lucerne contre la Roumanie le 30 mai 2012. Je sais aussi que Djourou et von Bergen ont été irréprochables depuis le début de la campagne pour la Coupe du monde 2014. Mais je sais surtout qu'une campagne dure une saison et demie et que le sélectionneur a besoin de plus que onze joueurs pour la mener. Mon but mercredi est de lui démontrer que je peux être prêt pour les matches de septembre contre l'Islande et la Norvège.»
Ottmar Hitzfeld a, par ailleurs, confirmé que Blerim Dzemaili jouera à la place de Gökhan Inler, qui sera suspendu le 6 septembre, aux côtés de Valon Behrami. «J'ai hésité entre Dzemaili et Xhaka», confie-t-il. Le fait que Dzemaili joue dans le même club que Behrami a sans doute fait pencher la balance. Granit Xhaka figurera toutefois dans le onze de départ. Le joueur du Borussia Mönchengladbach retrouve sa place de no 10 qu'il avait abandonnée contre Chypre.
«Granit est à nouveau titulaire dans son club. Et je n'oublie pas que l'équipe a gagné l'automne dernier avec lui à la baguette», précise Ottmar Hitzfeld.
Seferovic ou Gavranovic?
L'unique inconnue réside dans le nom de l'attaquant. Haris Seferovic et Mario Gavranovic sont en balance. «Seferovic a un profil qui lui permet de jouer aussi sur les côtés. Il peut également imposer sa taille dans le jeu aérien, explique le sélectionneur.
Quant à Gavranovic, c'est avant tout un joueur de surface. Il possède l'instinct du buteur. Je suis convaincu que Haris et Mario sont appelés à réussir une grande carrière.» Marquer contre le Brésil peut la lancer parfaitement... (si/Newsnet)
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14/08/2013, 07h21
«Je stoppe pour avoir un enfant et je reviens»
ATHLÉTISME
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Yelena Isinbayeva a envie de devenir maman, mais a aussi dans l'idée d'être présente aux JO de Rio en 2016.
Mis à jour le 13.08.2013
Le concours s’est-il déroulé comme vous le pensiez?
«Oui, très exactement. Je n’ai pas fait attention à mes adversaires. Mais j’avais dit avant la compétition que ça se jouerait autour de 4,89m, 4,90m ou un peu plus. Je ne suis pas arrivé avec la meilleure performance mondiale, je n’ai pas eu de grande victoire cette saison au contraire des autres filles qui avaient eu de grands résultats cette année. Mais en venant ici au stade Luzhniki, je savais que la foule serait derrière et que ça m’aiderait. La foule ce soir est la meilleure que j’ai jamais vue. C’est ma maison, c’est comme si j’étais chez moi. Si nous avions eu les JO l’an dernier à Moscou, les résultats auraient été différents (ndlr. elle n’a pu décrocher que la médaille de bronze). J’ai reçu toute cette énergie, toutes ces émotions et je les absorbées. Je suis si contente.»
Pouvez-vous nous dire clairement si vous prenez votre retraite?
Je ne me retire pas pour le moment. Je stoppe pour avoir un enfant l’année prochaine et j’essaierai de revenir pour les jeux de Rio, si tout va bien. Mais si ça se passe mal, je prendrai ma retraite. Combien de temps vais-je couper ? Je crois qu’il y a déjà neuf mois qui seront consacrés à la grossesse (sourires) et ensuite au moins neuf autre mois pour s’occuper du bébé. Donc ça veut dire une année et neuf mois, et donc mon retour juste pour Rio. Cette année, j’ai encore deux compétitions à mon programme avec Stockholm (22 août) et Zürich (29 août) mais je vais voir si je vais être capable de les faire, sinon j’aurais fini ma saison.
A quoi pensiez-vous au moment de vos tentatives de record du monde à 5,07m?
«J’ai réalisé que les choses se répétaient comme à Pékin, puisque toutes les autres compétitions étaient finies. Tout le monde me regardait et c’est un sentiment incroyable, je voulais rendre heureux tout ceux qui m’ont soutenue, mais je suis contente de la victoire. J’ai fait 28 records du monde, 3 titre mondiaux, je ne sais pas combien de titres en salle, je ne suis pas sûr que beaucoup de femmes aient un tel palmarès. Et puis, j’ai eu tellement de blessures dans ma préparation, je me suis dit souvent que c’était peut-être le moment de s’arrêter, car vous savez, quand le corps ne répond plus... Mais en retournant travailler avec mon entraîneur de toujours Trofimov nous avons reconquis le titre en salle, et puis celui en plein air. Je suis vraiment fier d’avoir montré que Yelena Isinbayeva est de retour, et que ce n’est pas fini. Nous allons faire une grande fête, mais il y a tellement de gens qui demandent à me rencontrer que je ne sais pas quand je vais pouvoir aller en boîte de nuit!»
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14/08/2013, 07h22
La Suisse reçue cinq sur cinq
BASKETBALL
—
Les basketteurs suisses ont remporté leur cinquième victoire consécutive dans le cadre des qualifications pour l'Eurobasket 2015. Le match décisif aura lieu vendredi en Autriche.
Mis à jour le 13.08.2013
Il y aura bel et bien une «finale» dans le groupe C de qualifications pour l’EuroBasket 2015. Après sa victoire acquise sans la manière face au Luxembourg mardi à Genève (77-59), la Suisse ira défier l’Autriche sur ses terres vendredi pour une place en demi-finale.
Cinq matches, cinq victoires: la troupe de Petar Aleksic n’en finit pas de gagner. Malgré une moyenne d’âge inférieure à 24 ans, la relève helvétique est parvenue à garder son sang-froid face à l’équipe la plus faible du groupe. Dans le même temps, l’Autriche a disposé du Danemark à domicile (86-66) alors qu’elle était encore menée à la pause.
Largement en tête à la pause (44-22), les joueurs suisses ont toutefois joué à se faire peur après la mi-temps. En encaissant un sec 0-10, ils ont vu la star luxembourgeoise Samy Picard (20 points) et ses coéquipiers revenir au score pour les obliger à serrer le jeu à l’entame du dernier quart-temps. Le score à quatre minutes du terme était ainsi de 61-53.
Le fait qu’Aleksic ait largement fait tourner son effectif explique en partie les quelques temps faibles connus par son équipe. Le sélectionneur helvète a davantage accordé de temps de jeu au meneur des Lions de Genève Jérémy Jaunin, qui n’avait eu droit qu’à des bribes de match jusque-là et qui a su enflammer le public genevois. De son côté, le leader de l’équipe Dusan Mladjan a été ménagé en vue du choc contre l’Autriche.
Ces légers changements tactiques ont d’abord perturbé les Suisses, auteurs d’un départ en demi-teinte. Mais menés 5-9, ils enchaînaient avec un invraisemblable partiel de 24-2 (!), bien aidés il est vrai par la maladresse crasse de leurs adversaires (6/21 à trois points). Le duo Jonathan Kazadi - Clint Capela se chargeait ensuite d’assommer les Luxembourgeois dès la première mi-temps avec 24 points à leur actif (12 chacun). Capela assurait même le spectacle en enchaînant deux «dunks» et deux «alley-oop» au cours des vingt minutes initiales. Le ticket pour les demi-finales va donc être mis en jeu vendredi à Vienne au terme d’un match qui devrait se disputer dans une ambiance tendue (coup d’envoi à 15h00). Si la Suisse peut se permettre une défaite par moins de six points - soit le maigre écart creusé à Fribourg lors du match aller -, le sélectionneur national ne souhaite pas jouer avec le feu et assure que son équipe ira en Autriche «pour gagner».
Si elle y parvient en signant ainsi une sixième victoire en autant de matches, son adversaire en demi-finale devrait être la Bulgarie, actuel leader du groupe A et qui fait partie des favoris de la compétition. Disputée en format aller-retour, cette confrontation serait alors suivie, en cas de qualification, par une finale dont le vainqueur pourra se rendre à l’EuroBasket 2015 en Ukraine.
mange un castor tu sauves un arbre
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