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L'US Open aura aussi son toit

14.08.2013 Réagir
Une image qui devrait bientôt appartenir au passé à New York... [Kathy Willens - Keystone]



L'US Open aura lui aussi son toit rétractable ces prochaines années. Même si les cinq dernières finales du simple messieurs avaient dû être disputées le lundi en raison des intempéries sur New York, les organisateurs avaient encore rejeté l'année dernière l'idée de construire un toit, pour des raisons logistiques. Ils avaient en revanche décidé de fixer la finale messieurs le 3e lundi pour 2013 et 2014.
En outre, 2 nouveaux stades seront aussi construits dans l'enceinte new-yorkaise.
si/dbu

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L'Argentine gagne à Rome sans Messi

14.08.2013 23:09 mise à jour le 15.08.2013 à 01:00
L'Argentine de Di Maria a franchi l'obstacle représenté ici par l'Italien Florenzi. [Andrew Medichini - Keystone]

Italie
1 - 2
Argentine



Même sans Messi, l'Argentine est allée remporter un succès de prestige à Rome contre l'Italie (2-1). Des réussites d'Higuain (20e) et de Banega (49e) ont permis aux Sud-Américains de prendre la mesure des Transalpins, qui ont réduit le score sur une superbe frappe enroulée d'Insigne (76e).
Même sans Messi et Balotelli, blessés, le classique entre Argentins et Italiens a tenu ses promesses, sous l'oeil averti du pape François invité pour l'occasion et grand amateur de football. L'Albiceleste a pu s'appuyer sur Di Maria, excellent, pour offrir un beau spectacle, rapidement concrétisé par l'ouverture du score du néo-Napolitain Higuain.
Opposée au Paraguay, l'Allemagne a laissé entrevoir une étonnante fragilité défensive à Kaiserslautern (3-Les occasions ont été nombreuses à Bruxelles. Witsel défend le ballon devant Ribéry. [Julien Warnand - Keystone] 3). Menée 0-2 après treize minutes, la Mannschaft a dû cravacher jusqu'à la 75e et l'égalisation de Lars Bender.
Pluie de buts à Wembley

A Wembley, le derby entre l'Angleterre et l'Ecosse a été très disputé (3-2). Les visiteurs ont pris deux fois l'avantage, mais les hommes de Hodgson ont égalisé . Rooney a joué durant 67 minutes sans pouvoir s'illustrer, au contraire de son remplaçant Lambert. L'attaquant de Southampton marquait de la tête (70e) pour sa première sélection, à 31 ans.
A Bruxelles, la Belgique et la France n'ont pas enflammé les spectateurs. Les deux équipes en sont restées à 0-0. C'est le premier nul des Français en 2013 après 3 défaites de suite.

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«Behrami a été extraordinaire»

FOOTBALL

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Ottmar Hitzfeld était heureux de la victoire face au Brésil et se plaisait à relever l'excellent match du joueur de Naples.
Mis à jour le 14.08.2013

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Image: Keystone

«Ce match va nous servir. Nous permettre de grandir même s’il n’avait qu’un caractère amical». Battre le Brésil change la vie, admet Ottmar Hitzfeld.
Le sélectionneur reconnaît que ses joueurs ont bénéficié d’une part de chance pour rafler la mise. «Les Brésiliens étaient supérieurs sur le plan technique. Nous n’avons pas pu gommer ce déficit, explique le sélectionneur. Je suis heureux de la réaction de mon équipe après une entame difficile. Nous sommes parvenus à trouver des espaces, à réussir vraiment de belles choses en attaque».
Comme les 31’000 spectateurs du Parc Saint-Jacques, Ottmar Hitzfeld a été bluffé par la performance de Valon Behrami. «Il était déjà très fort lors des matches de qualification, remarque-t-il. Ce soir, il a fait preuve d’un état de forme vraiment étonnante pour un joueur qui n’a pas encore repris son championnat. Il s’est donné corps et âme au service de l’équipe. Sur le plan défensif, il fut extraordinaire.» (SI/Le Matin)

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Partage de frères entre la Belgique et la France

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Au terme d'un match animé et spectatulaire, la Belgique et la France se sont quittés sur un nul blanc mercredi au Stade Roi Baudouin (0-0). Aucune des deux équipes ne méritaient de l'emporter tant les Diables comme les Bleus se sont créés des opportunités dangereuses. Les deux hommes du match sont les deux gardiens, Courtois et Lloris, qui ont gardé leurs filets inviolés au prix d'arrêts extraordinaires.
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"Giga Courtois"
Avec un gardien de la taille (1m99) et de la trempe de Thibaut Courtois, les Diables Rouges ont assurés leurs arrières pour dix ans et plus. Le portier de l'Atlético Madrid (21 ans) a une nouvelle fois prouvé, et face à un adversaire de grande qualité, que la Belgique peut compter sur lui pour garder le zéro derrière. Le géant limbourgeois a évité la défaite des Belges face aux Benzema, Ribéry&co en fin de match. Mais de l'autre côté, il faut bien écrire que Lloris n'a pas été en reste tout au long de la partie devant les Hazard, De Bruyne et compagnie.

Benteke a manqué aux Diables
Lukaku titularisé, Dembélé laissé sur le banc au même titre que Mirallas, Marc Wilmots a fait des choix offensifs inhabituels contre les Bleus, mais on s'y attendait. Au final, on retiendra que Lukaku n'a pas convaincu et que l'efficacité de Benteke a manqué aux Belges. Les Diables ont eu suffisamment d'occasions pour battre les Bleus, beaucoup plus que contre la Serbie. Sur son flanc gauche, Pocognoli a fait son job mais il ne devrait pas y avoir photo avec Vertonghen quand ce dernier sera de retour de blessure.

Et maintenant, l'Écosse
Marc Wilmots l'a répété avant et après le match: face aux Français, le plus important était de préparer la rencontre du 6 septembre en Écosse. On peut dire que c'est mission accomplie pour les Diables qui ont livré un gros travail de préparation contre un adversaire du calibre des Bleus. "On peut dire ce qu'on veut, on a joué contre une équipe du top 10 mondial, a dit le sélectionneur national au micro de Club RTL après le match. Notons que de son côté, l'Écosse a fait trembler l'Angleterre en menant par deux fois au score (0-1 puis 1-2) avant de s'incliner 3-2. Les Belges sont prévenus.

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Le triplé d'Ibrahimovic lors de Suède-Norvège

15/08/13 - 01h08 Source: Belga

vidéo L'attaquant suédois du Paris SG Zlatan Ibrahimovic s'est fendu d'un triplé en sélection nationale contre la Norvège (4-2), neuf mois après un quadruplé réussi contre l'Angleterre (4-2) ponctué d'un somptueux retourné acrobatique.
© epa.
"Ibracadabra" a encore été magique dans l'enceinte de la Friends Arena de Solna, dont les spectateurs peuvent s'estimer gâtés avec pas moins de sept buts marqués en deux matches amicaux par leur attaquant star.

Contre la Norvège, Ibrahimovic a rapidement ouvert le score (2e) en remportant un face à face avec le gardien, avant de le doubler d'une balle piquée (29e), puis de réaliser le hat-trick parfait sur coup franc (58e).

La performance du Suédois rappelle ses quatre buts inscrits contre l'Angleterre le 14 novembre 2012, lors de l'inauguration du stade de Solna, dont le retourné lobbé hors de la surface de réparation est un chef d'oeuvre.

Déjà auteur d'un autre quadruplé avec la Suède contre Malte en 2004 lors des qualifications pour le Mondial 2006, "Ibra" compte désormais 44 buts en 91 sélections.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/9098/Foot...-Norvege.dhtml

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L'Angleterre inquiétée par l'Ecosse, prochain adversaire des Diables

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L'Angleterre, menée à deux reprises par une vaillante équipe d'Ecosse, a finalement arraché la victoire 3 à 2 grâce à un but de la tête de Rickie Lambert après l'heure de jeu, mercredi soir au stade de Wembley. L'Ecosse recevra la Belgique le 6 septembre en qualifications du Mondial 2014.
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"Je rêvais (de marquer) toute ma vie. Cela est tellement important pour moi. J'ai essayé de rester cool toute la semaine, mais au fond de moi-même, je voulais hurler (de joie). C'était vraiment merveilleux", a réagi Lambert, qui effectuait ses débuts avec la sélection aux Trois Lions.

Les Anglais, qui ont aligné d'entrée leur buteur Wayne Rooney pourtant privé de compétition d'avant saison à Manchester United, ont été cueillis à froid par un but de James Morrison dès la 11e minute, au grand bonheur des quelque 20.000 supporteurs de la +Tartan Army+.

Et les hommes de Roy Hodgson ont dû attendre près de la demi-heure de jeu pour égaliser par Theo Walcott, sans pour autant calmer l'ardeur offensive des Ecossais.

Ainsi, Kenny Miller a redonné l'avantage aux siens peu après la reprise pour mettre en doute l'armada anglaise et gâcher la fête du 150e anniversaire de la création de la Fédération anglaise de football.

Cette fois, Danny Welbeck n'a laissé que quatre minutes aux Ecossais pour rêver d'exploit grâce à une tête piquante (53e). Et c'est aussi de la tête que Lambert, 31 ans et qui ne jouait même pas en D2 jusqu'en 2011, a donné la victoire aux Anglais (70e).

Les deux nations ne s'étaient plus affrontées depuis 14 ans.

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Tennis WTA Bartoli arrête tout !
Incroyable mais pour l'instant vrai, Marion Bartoli a décidé de mettre un terme à sa carrière. L'annonce, faite à Cincinnati après sa défaite, pose énormément de questions.
Marion Bartoli a décidé de tourner la page. Clap de fin. (Reuters)









Une onde de choc a traversé le tournoi de Cincinnati, puis les réseaux sociaux se sont chargés de répandre l'information : Marion Bartoli a annoncé qu'elle prenait sa retraite. Battue par Simona Halep (3-6, 6-4, 6-1), elle a décidé de mettre un terme à sa carrière. La championne de Wimbledon dit ne plus pouvoir tenir physiquement et semble émotionnellement vidée. Une décision qui surprend alors que depuis Wimbledon la Française parlait de nouveaux objectifs, de son amour du jeu, de ne plus sentir aucune pression. Elle ne rejouera donc pas un autre Majeur après celui qui a vu son couronnement. Une décision définitive ? Pour l'instant Bartoli a décidé que oui.

«C'était en fait le dernier match de ma carrière. Désolée. Il est temps pour moi de me retirer, de mettre un terme à ma carrière. Je sens qu'il est temps que je parte», voilà comment la n°1 française a annoncé la nouvelle à la presse et déclenché la tempête. Si on enlève Wimbledon, Bartoli a vécu une saison très difficile sur et hors du court. Mais depuis son titre, elle était rayonnante, parlait de ses prochains objectifs sportifs et quelques jours plus tôt seulement elle affirmait que sa place était plus que jamais sur le courts de tennis. Insaisissable Marion Bartoli, qui laisse les autres joueuses multiplier leurs questions incrédules sur lest réseaux sociaux.

«Mon esprit n'y est plus, mon coeur n'y est plus et je ne peux plus mentir comme ça» La première raison invoquée par la 7e joueuse mondiale est physique : «Mon corps (tendons d'Achille, dos, épaule, hanches) ne peut tout simplement plus. J'ai déjà eu énormément de blessures depuis le début de la saison. Cela fait tellement longtemps que je suis sur le circuit et j'ai tout donné lors de ce dernier Wimbledon, j'y ai laissé le reste d'énergie que j'avais encore. J'ai réalisé mon rêve, ça restera à jamais gravé, mais mon corps ne tient plus. Aujourd'hui j'avais déjà mal partout après 45 minutes.» Sa décision de tout arrêter a été prise après la rencontre : «C'est ce que j'ai ressenti après le match, que je ne pouvais plus faire ça. Tout le monde se souviendra de mon titre à Wimbledon, personne ne se souviendra de ce match ici. Cela a été une décision très dure, mais j'ai poussé à mes limites pour gagner Wimbledon et là je ne peux plus. Mon esprit n'y est plus, mon coeur n'y est plus et je ne peux plus mentir comme ça.»

S'agirait-il d'un ''burn out'' ? L'ex n°1 mondiale Lindsay Davenport a déjà dit espérer revoir Bartoli sur les courts après une longue période de repos, d'autres ont confié qu'elles avaient peur que la Française ne regrette vite sa décision. Bartoli, elle, veut avancer : «Il y a plein d'autres choses à faire à part jouer au tennis. J'ai juste besoin d'un peu de temps... J'ai le droit de passer à autre chose. Mon père n'a pas été surpris, il savait que j'étais épuisée.» Pour son après, Bartoli parle d'une vie de femme, d'épouse et de mère et de tous les projets qu'elle a en tête. Elle n'a jamais rien fait comme tout le monde sur le circuit et sa retraite-surprise n'en est qu'un épisode de plus. Le dernier apparemment. Alors encore bravo et merci Marion.
Carole BOUCHARD

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Tennis US Open Tsonga renonce
Jo-Wilfried Tsonga ne disputera pas l'US Open. Le numéro 8 mondial confie ce jeudi dans notre journal qu'il préfère prendre le temps de soigner son genou et revenir «à 100%». Son retour est prévu à Metz, mi-septembre.
Jo-Wilfried Tsonga explique son choix de ne pas disputer l'US Open dans nos colonnes, ce jeudi. (L'Equipe)











Jo-wilfried Tsonga a bel et bien tiré leçon de ses erreurs passées. Insuffisamment remis de sa blessure au genou, le 8e mondial a choisi de faire l'impasse sur l'US Open. «Inspiré» par le choix d'Andy Murray de zapper Roland-Garros, le Manceau préfère prendre le temps de se soigner. Il veut «être certain qu'[il peut] jouer à 100%». «Ce serait trop bête d'aller là-bas en sachant très bien que je n'ai aucune chance parce que je ne suis pas assez préparé, explique-t-il dans notre journal, ce jeudi. Aller là-bas pour gagner un, deux, voire trois matches si tout se passe bien, ça ne m'intéresse pas vraiment.»

Cette fois, pas d'inflitration pour aller plus vite, comme en 2010, où il souffrait déjà d'une fissure du tendon rotulien. Tsonga vit cette blessure avec philosophie : «Je ne stresse pas du tout. Je sais exactement ce que j'ai. Je sais exactement combien de temps ça va mettre avant que je sois au top.» Son retour sur le circuit est prévu pour Metz (16-22 septembre).

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Foot Amical La Suisse fait tomber le Brésil
Un mois et demi après avoir brillamment remporté la Coupe des Confédérations, le Brésil s'est incliné en Suisse (1-0), mercredi en match amical. Avec Daniel Alves en buteur malheureux...
Les Brésiliens de Neymar ont perdu en Suisse mercredi. (Reuters)














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Il paraît que Daniel Alves est défenseur, même si cela ne saute pas forcément aux yeux. Le Barcelonais n’est pas du genre à trop s’aventurer près de son but. Cela lui est pourtant arrivé mercredi soir à Bâle, et son coup de tête parfait sur un centre de Seferovic (48e), alors qu’il voulait mettre le ballon en corner, a mis un terme à la série de onze matches sans défaite des Auriverde (sept victoires, quatre nuls), après l’échec inaugural de Scolari lors de son retour aux affaires le 6 février en Angleterre (1-2).

Neymar, inconstant et nerveux

La Seleçao a été bougée comme rarement par une Suisse complètement décomplexée, et dont la dimension technique, sans doute favorisée par la nature profonde de l’adversaire, a épaté les supporters helvètes les plus blasés. Le Brésil, avec un Neymar pas vraiment inspiré et parfois nerveux, et Thiago Silva comme seul Parisien titulaire (Maxwell et Lucas sont entrés en seconde mi-temps), s’est certes procuré pas mal d’occasions – Hulk (3e, 16e,61e), Paulinho (38e), Oscar (44e) –, mais il en a aussi concédé un certain nombre.

Shaqiri s'est bien amusé




Et la défense sud-américaine, usée par un Xherdan Shaqiri intenable - lequel s’est offert une sortie de pop-star à cinq minutes de la fin - n’a pas toujours été rassurée par Jefferson, l’habituelle doublure de Julio Cesar, resté sur le banc. Mais les Brésiliens sont habitués : chez eux, la question du niveau des gardiens de but se pose régulièrement…
Alexis BILLEBAULT, à Bâle

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Une nouvelle défaite évitée...

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Foot Amical L'Espagne retrouve le succès
Un mois et demi après sa défaite en finale de la Coupe des confédérations, l'Espagne s'est imposée en Equateur (2-0) mercredi. Negredo et Cazorla sont les buteurs.
Alvaro Negredo a ouvert le score d'une Madjer. (AFP)









On l'avait quittée largement battue (0-3) en finale de la Coupe des confédérations fin juin par le Brésil. Mercredi soir, toujours en Amérique du Sud, l’Espagne a renoué avec le succès (2-0). Dans un stade comble et hostile, la Roja est restée calme et a logiquement ouvert le score peu avant la demi-heure. C’est Alvaro Negredo, le nouveau joueur de Manchester City, qui a trouvé la solution au milieu de la compacte défense équatorienne. Servi par Santi Cazorla sur un deuxième ballon, il a trompé Banguera d’une superbe Madjer (25e). Le deuxième but est venu juste après l’heure de jeu. Servi par une talonnade de Tello, le Gunner a croisé sa frappe hors de portée du gardien (62e).

Del Bosque a fait tourner

L’Espagne, qui a tour à tour fait sortir Casillas, Sergio Ramos, David Silva, Andres Iniesta, Santi Cazorla et Alvaro Negredo - pour Valdes, Javi Martinez, Koke, Thiago Alcantara, Jesus Navas et Fernando Llorente -, s’est ensuite contentée de gérer son avantage sans grande difficulté, même si elle a été sauvée une fois par le poteau dans les vingt dernières minutes. Dans moins d’un mois, l’Espagne se déplacera à nouveau. Mais cette fois pas aussi loin, puisqu’elle se rendra en Finlande et tentera de défendre sa place de leader du groupe I, celui de la France.
A.M.

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