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Rugby Top 14 Le Racing sur l'Atlantique
Premier match délocalisé, samedi, par le Racing-Métro, face à Brive (18h30). Ce sera à La Rochelle. Pour les débuts de Sexton et Lydiate dans le Top 14.
L'ouvreur international irlandais Jonathan Sexton sera l'une des attraction du Racing-Métro, à l'occasion de son match délocalisé à La Rochelle, samedi. (L'Equipe)








Racing-Métro face à Brive, première des 24 affiches délocalisées du Top 14, cette saison, ce sera à La Rochelle, samedi. «Nous avions demandé que nos deux premiers matches se déroulent à l’extérieur et notre souhait n’a pas été complétement exaucé par la LNR», glisse Arnaud Tourtoulou, directeur général du RM92. Du coup, les dirigeants franciliens ont lancé deux pistes pour délocaliser leur première rencontre : à Béziers et à La Rochelle. Les Rochelais ont été les plus prompts à répondre. «Et puis nous avons eu peur, aussi, de la concurrence avec la féria», reconnait Arnaud Tourtoulou. Du coup, le Racing-Métro se présentera au stade Marcel-Deflandre, ce samedi.

«Pour nous, reconnait Pierre Venayre, directeur exécutif du Stade Rochelais, c’est une opportunité intéressante qui nous permet d’offrir au public de la région Grand Ouest un spectacle de cette qualité (La Rochelle évolue en Pro D2, dont le Championnat ne débute que le 31 août) car j’imagine que nous aurons des spectateurs différents de notre public habituel.» C’est aussi l’occasion de rappeler aux collectivités locales à quel point l’extension du stade Marcel-Deflandre (de 12 500 à 15 000) est une urgence, l’organisation de grandes manifestations sportives s’inscrivant comme un atout supplémentaire dans le jeu rochelais.

Entre les Lions et les Bleus, du monde à voir

Le Racing-Métro s’est engagé à payer le déplacement de Paris à La Rochelle de ses partenaires et de ses abonnés. Pour dégager des bénéfices à l’issue de cette délocalisation, l’objectif avoué est de 9 000 spectateurs. «Ce sera l’occasion, pour un public élargi, d’assister aux débuts de l’ouvreur irlandais Jonathan Sexton (36 sél.), et des Gallois Dan Lydiate (27 sél.) et Jamie Roberts (53 sél.), qui se sont illustrés avec les Lions britanniques, cet été, en Australie. Il y aura aussi des internationaux français (Maxime Machenaud, Eddie Ben Arous, Dimitri Szarzewski, Luc Ducalcon, Fabrice Estebanez, Bernard Le Roux…) et puis aussi le local de l’étape, Benjamin Dambielle…», sourit Arnaud Tourtoulou, qui sait le public rochelais connaisseur.
Richard ESCOT

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France - Italie : 63 - 41...

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Voile Fastnet Victoire de Macif
Une victoire de plus pour Michel Desjoyeaux et François Gabart. (Christophe Launay) (D.R)









Macif a remporté ce mercredi au large de Plymouth la Rolex Fastnet Race. Associés dans cette course, François Gabart et Michel Desjoyeaux ont devancé Jérémie Beyou et Christopher Pratt (Maître CoQ) de moins d'une minute. Ils avaient pourtant cru faire la différence mardi soir, comptant alors près de cinq milles d’avance sur leur dauphin mais le petit temps a provoqué un regroupement en tête de la course ce mercredi.

Gabart et Desjoyeaux sont finalement parvenus à enlever la fin de course. Hugo Boss a terminé à la troisième place. «Ça faisait deux ans que je n’avais pas navigué sur ce type de bateau, ces deux courses m’ont permis de retrouver mes marques, a souligné Desjoyeaux. Avec François, c’est facile car on a des approches similaires.» Les deux hommes disputeront en novembre la Transat Jacques Vabre.

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Un futur match en Corée du Sud ?

15.08.2013 16:27 mise à jour à 16:31
Senderos (au centre) avait ouvert le score contre le Corée du Sud au Mondial en 2006. [EDDY RISCH - Keystone]


En novembre prochain, l'équipe de Suisse devrait renouer avec une vieille tradition: un grand voyage quand la saison bat son plein. Le dernier remonte à mars 2007, en Floride.
Quinzième au dernier classement de la FIFA, la Suisse possède désormais une certaine valeur. Elle est même devenue encore plus "bankable" après le succès de mercredi contre le Brésil. "Le temps est venu de gagner un peu d'argent, lâche le délégué aux équipes nationales Peter Stadelmann. Si nous nous qualifions directement pour la Coupe du monde, des opportunités vont s'offrir à nous en novembre".
"Pour réaliser une bonne affaire sur le plan financier, il faut partir loin, poursuit-il. Nous avons étudié des pistes pour un match aux Etats-Unis. Mais la plus sérieuse nous conduit vers la Corée du Sud". Les Coréens, qui ont déjà assuré leur qualification pour la Coupe du monde au Brésil, sont demandeurs pour une revanche du match de Hanovre de 2006 qu'ils avaient perdu 2-0 sur des réussites de Senderos et de Frei.
si/scho

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La Suisse joue son avenir vendredi

15.08.2013 15:49 mise à jour à 15:52 Réagir
L'entraîneur Petar Aleksic devra montrer la direction à suivre pour ses joueurs. [SALVATORE DI NOLFI - Keystone]


L'équipe de Suisse joue son avenir européen vendredi après-midi en Autriche (15h00). Les protégés de Petar Aleksic vont tenter de prolonger leur série de cinq victoires et valider ainsi leur ticket pour les demi-finales des qualifications de l'EuroBasket 2015.
Bien qu'elle ait dominé à deux reprises le Luxembourg et le Danemark, tout en y ajoutant un important succès à Fribourg face à l'Autriche (69-63), la jeune garde suisse peut encore tout perdre dans le groupe C. Une défaite de plus de 6 points serait en effet synonyme de fin de campagne et de retour à la maison.
"Le voyage s'est bien passé, tout le monde se sent bien et nous serons prêts vendredi", déclarait Jérémy Jaunin à la sortie de l'avion. "L'Autriche a quasiment le même niveau que nous, et l'on sait pertinemment la différence se fera sur le moindre ballon qui traîne au sol. Personnellement, je serai en tout cas prêt à rentrer pour cela." A l'image de tout un groupe, bien décidé à conclure en beauté son aventure dans le groupe C.
Une deuxième chance en cas de défaite

En cas de qualification, la Suisse affrontera la Bulgarie en demi-finale de ces éliminatoires (en matches aller-retour, les 22 et 25 août), et seul un succès en finale (matches les 29 août et 1er septembre) peut lui ouvrir les portes de l'Euro 2015. En cas d'échec, la Suisse bénéficiera d'une seconde chance l'été prochain. Mais sa tâche devrait alors être plus complexe.
si/scho

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Wawrinka sorti dès le 2e tour par Robredo

15.08.2013 07:03 mise à jour à 07:37 Réagir
Wawrinka va perdre passablement de points au prochain classement ATP. [Mark Lyon - Keystone]

Tommy Robredo

Stanislas Wawrinka



7 5
3 6
63
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C'est déjà fini pour Stanislas Wawrinka (ATP 9) au Masters 1000 de Cincinnati. Demi-finaliste l'année dernière, le Vaudois s'est incliné au 2e tour devant Tommy Robredo (ATP 31) 7-5 3-6 6-3.
La tournée américaine de Stanislas Wawrinka n'est pas pour l'instant une réussite: une victoire en trois matches ! Battu d'entrée de jeu la semaine dernière à Montréal par Benoît Paire, le no 9 mondial s'est incliné au 2e tour à Cincinnati, où il avait une place de demi-finaliste à défendre. Il a été battu 7-5 3-6 6-3 par Tommy Robredo (ATP 23).
Le jeu du Catalan ne convient décidément pas au Vaudois. Il s'incline pour la 6e fois en 7 rencontres contre cet adversaire. Ces deux défaites de Toronto et de Cincinnati rendent la course au Masters de Londres encore plus ardue pour Stanislas Wawrinka. Il se doit de réagir dans 10 jours à New York.
Hingis prend aussi la porte

Martrina Hingis a connu la même infortune que Stanislas Wawrinka. La Saint-Galloise et sa partenaire Daniela Hantuchova ont été éliminées au 2e tour. Elles se sont inclinées 6-4 6-4 contre les Italiennes Sara Errani et Roberta Vinci, têtes de série no 1 du tableau. En 3 tournois, Martina Hingis et Daniela Hantuchova n'ont pas encore été capables de gagner deux matches de suite.
si/bao

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Tottenham a engagé Etienne Capoue (25 ans), milieu de terrain international français de Toulouse

15.08.2013 13:33 mise à jour à 13:35

Tottenham a signé un accord pour Etienne Capoue (25 ans), milieu de terrain international français de Toulouse. Les Spurs ne donnent aucune précision sur le montant ou la durée du contrat mais,de source proche du dossier, on avait indiqué que la durée pourrait être de quatre ou cinq ans.

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Le football espagnol a perdu de sa superbe

Football

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Pour un football espagnol habitué à jouer les premiers rôles sur le terrain comme sur le marché des transferts, l’année 2013 n’a jusqu’ici pas été de tout repos.

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Image: Keystone
LIGA BBVA

38e Journée

01.06.Real Madrid - Osasuna4 : 201.06.FC Barcelone - Malaga4 : 101.06.Celta Vigo - Espanyol1 : 001.06.Grenade - Getafe2 : 001.06.Seville - Valence4 : 301.06.Depor. La Corogne - Real Sociedad0 : 101.06.Majorque - Valladolid4 : 201.06.Saragosse - Atletico Madrid1 : 301.06.Levante - Betis1 : 101.06.Rayo Vallecano - Athletic Bilbao2 : 2État: 01.06.2013 22:52
Classement

NomJVNDButsP1.FC Barcelone383242115:401002.Real Madrid382675103:42853.Atletico Madrid38237865:31764.Real Sociedad381812870:49665.Valence381981167:54656.Mal aga381691353:50577.Betis381681457:56568.Rayo Vallecano381651750:66539.Seville381481658:545010.G etafe381381743:574711.Levante3812101640:574612.Ath letic Bilbao381291744:654513.Espanyol3811111643:524414.V alladolid3811101749:584315.Grenade381191837:544216 .Osasuna381091933:503917.Celta Vigo381072137:523718.Majorque38992043:723619.Depor . La Corogne388111947:703520.Saragosse 38972237:6234

Difficultés financières, trous d’air sportifs et exode des talents ont esquissé un tableau inquiétant de "la meilleure Ligue de football au monde", tel que le Championnat d’Espagne aime à se définir en page d’accueil de son site internet.
Comme un symbole, le FC Barcelone est tombé de son piédestal au printemps: équipe référence des cinq dernières années en Europe, avec deux victoires en Ligue des champions (2009, 2011) et un presque sans-faute en Liga (quatre titres en cinq ans), le Barça a été humilié par le Bayern Munich en demi-finale de la plus prestigieuse des compétitions européennes.
Battus 7-0 sur l’ensemble des deux matches par le futur vainqueur du trophée, les Catalans en sont restés groggys. Leurs rivaux du Real Madrid, eux aussi, ont été sortis au même stade par un autre club allemand, le Borussia Dortmund (4-3 sur les deux matches).
Quant à la sélection espagnole, championne du monde et double championne d’Europe en titre, elle a trébuché en Coupe des Confédérations en juin: parvenue en finale, elle s’est inclinée 3-0 contre le Brésil, porté notamment par son flamboyant attaquant Neymar.
Ironie de l’histoire, c’est dans le Championnat d’Espagne que le Brésilien a choisi d’évoluer cette saison et de découvrir le football européen. Stars sur le départ
Mais son arrivée au FC Barcelone fait figure de cas isolé dans un championnat où les stars ont davantage occupé la case "départs" que la case "arrivées" dans les rubriques de transferts.
Parmi les principales figures de cet exode vers l’étranger: le buteur de l’Atletico Madrid Radamel Falcao, parti à Monaco, celui du Real Madrid Gonzalo Higuain, acheté par Naples, l’attaquant de Valence Roberto Soldado, vendu à Tottenham, les deux joueurs offensifs du FC Séville Alvaro Negredo et Jesus Navas, recrutés par Manchester City...
Ces mouvements ont rapporté des dizaines de millions d’euros aux clubs concernés. La Liga a néanmoins perdu à l’intersaison plusieurs de ses têtes d’affiches, même si la star argentine Lionel Messi et son grand rival, le Portugais Cristiano Ronaldo, sont toujours là.
Il y a d’un côté l’éclatante prospérité du Barça, capable de dépenser 57 millions d’euros pour Neymar, ainsi que celle du Real Madrid, qui a investi près de 70 millions cet été pour deux milieux prometteurs (Isco et Asier Illarramendi), et qui serait prêt, selon certains médias, à offrir 100 millions d’euros pour faire du Gallois de Tottenham Gareth Bale un nouveau "Galactique".
Et de l’autre, il y a nombre de clubs qui tirent la langue dans une Espagne en crise. En mars, le ministère du Budget a chiffré à 690,4 millions d’euros les sommes dues au fisc par les clubs de football professionnels.
Malaga, quart de finaliste de la dernière C1, a été une des victimes du projet de fair-play financier institué par l’UEFA, qui impose une obligation d’équilibre financier aux clubs qui veulent participer aux compétitions européennes.
Malaga a beau s’être qualifié pour l’Europa League grâce à sa sixième place en Liga, le club andalou a été suspendu une saison de toute compétition européenne pour n’avoir pas respecté les règles de bonne gestion budgétaire. Le Rayo Vallecano, huitième, aurait dû hériter de sa place, mais le club madrilène est lui aussi en délicatesse avec ses finances et ne dispose pas de la licence UEFA.
Ce sombre tableau a au moins fait un heureux: le FC Séville, neuvième de la Liga et qui s’est vu repêché in extremis pour une compétition qu’il a remportée à deux reprises dans les années 2000. (AFP/Le Matin)
Créé: 15.08.2013, 16h32

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Greipel vainqueur de la 4e étape à l'Eneco Tour

© belga.
L'Allemand André Greipel (Lotto-Belisol) a remporté la 4e étape de l'Eneco Tour (WorldTour), disputée jeudi sur la distance de 169,6 km entre Essen, en province d'Anvers, et Vlijmen, dans le sud des Pays-Bas. Il a devancé au sprint l'Italien Giacomo Nizzolo (RadioShack-Leopard) et le Néerlandais Lars Boom (Belkin). Celui-ci, natif de Vlijmen, s'empare du maillot blanc de leader.
© belga. © belga. © belga.
L'Italien Alessandro Petacchi a pris la 4e place de l'étape, le Russe Alexander Porsev complétant le top 5. Jens Keukeleire a terminé 7e et premier Belge.

Au classement général, Lars Boom, vainqueur de l'Eneco Tour 2012, compte 1 seconde d'avance sur Greipel et 3 secondes sur le Français Arnaud Démare, leader au départ de cette 4e étape. Philippe Gilbert est 5e à 7 secondes de Boom.

Vendredi, la 5e étape sera disputée sous la forme d'un contre-la-montre de 13,2 km dans les rues de Sittard, aux Pays-Bas. L'Eneco Tour se termine dimanche.

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Anne Zagré et Sara Aerts connaissent leurs adversaires du 100 m haies

Anne Zagré (photo) et Sara Aerts entameront leur série vendredi matin. © belga.
Anne Zagré et Sara Aerts connaissent leurs adversaires vendredi matin en séries du 100 m haies aux 14es championnats du monde d'athlétisme de Moscou.
L'athlète de l'Excelsior, détentrice du record de Belgique (12.79), courra à 9h53 dans la 2e série au couloir trois. Zagré dispose du 4e meilleur chrono de l'année parmi les huit concurrentes. Ses 12.84 se situent derrière les 12.59 de la Française Cindy Billaud, les 12.65 de l'Australienne Salle Pearson et les 12.82 de la Jamaïcaine Andrea Bliss.

Sara Aerts, si elle décide de courir (elle est blessée), s'alignera à 10h17 au couloir 6 de la 5e série. Avec ses 12.90, elle est, elle aussi, la 4e meilleure de sa course au niveau des performances de l'année. La grande favorite Brianna Rollins (USA/12.26), Vronica Borsi (Ita/12.76 et Lavonne Idlette (Dom/12.77) ont couru plus vite. Les quatre premières des cinq séries et les quatre meilleurs temps se qualifieront pour les demi-finales du samedi.

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Foot Bleus Abidal : «Une référence»
De retour en sélection après plus d'un an d'absence en raison d'une greffe du foie, Éric Abidal estime que les Bleus ont signé «un bon nul» (0-0) en Belgique, mercredi soir. «Il faut se servir de ce match-là» dans la perspective des rendez-vous de septembre, a-t-il souligné.
Éric Abidal a effectué son grand retour avec les Bleus mercredi soir. (L'Equipe)









«Eric Abidal, quelle analyse faites-vous de ce match nul (0-0) en Belgique ?
C’est un bon nul contre une belle équipe de Belgique, qui a énormément de qualités. Ils nous ont mis en danger en contre, ils ont été très adroits sur coups de pied arrêtés. Il y a eu du travail, mais ça nous a aussi permis de gérer les mauvais passages et on l’a plutôt bien fait. Le résultat aurait pu être différent, mais on est très content de notre prestation.

«Il ne faut pas se prendre la tête»

C’est une bonne préparation dans la perspective des deux prochains matches en Géorgie et en Biélorussie au mois de septembre ?
Oui, il faut aussi retenir les belles choses. On a eu des bonnes phases de jeu, on s’est créé des occasions. Malheureusement, on n’a pas été efficace. Malgré tout, il faut se servir de ce match-là. Ça reste une référence.

Que retenez-vous : la satisfaction de ne pas avoir encaissé de but ou la frustration de ne pas en avoir marqué ?
Les deux. Défensivement, si on ne prend pas de but, on a plus de chances de gagner. Et offensivement, l’important, c’est de se créer des occasions. Il ne faut pas se prendre la tête.

«C'est facile de jouer avec Laurent Koscielny. C'est un grand défenseur dans l'âme.» A titre personnel, comment vous êtes-vous senti aux côtés de Laurent Koscielny ?
On s’est beaucoup parlé. C’est facile de jouer avec lui. Il connaît les matches de haut niveau, c’est un grand défenseur dans l’âme. J’étais content d’évoluer avec lui, mais l’important, c’est le groupe. On a été solide tous ensemble.

On vous a vu vous recueillir avant le match.
Il faut toujours prier. Même s’il y a des moments difficiles de temps en temps, dans le négatif, il y a toujours du positif, des choses à prendre. Il faut croire en Dieu.

«Si je ne me sens pas bien, je serai le premier à le dire»

Aujourd’hui, est-ce un aboutissement ou le début d’une nouvelle histoire ?
Un aboutissement, non. Je suis content d’être revenu. J’espère que ça va durer. A moi de bien travailler. Le reste viendra naturellement.

Lundi, à Clairefontaine, vous aviez déclaré comprendre ceux qui jugeraient ce retour prématuré. Avez-vous le sentiment de leur avoir répondu ?
Non, je ne suis pas là pour répondre aux questions. De toute façon, il y en aura toujours. Comme l’a dit le sélectionneur, j’ai fait une bonne préparation, je me sens bien, j’ai dit la vérité. Après ce que j’ai vécu, je ne suis pas là pour tricher. Si je ne me sens pas bien, je serai le premier à le dire. Ce soir, je suis content de notre prestation et d’avoir tenu 90 minutes.»
Propos recueillis par Emery TAISNE, à Bruxelles


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