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Tennis ATP Cincinnati Le programme de jeudi
Julien Benneteau est le seul rescapé du clan tricolore. Il aura fort à faire ce jeudi face au Britannique Andy Murray. A suivre également Djokovic et Nadal.
Julien Benneteau affronte Andy Murray. (L'Equipe)









Center Court

(A partir de 17h00, HF)
Magdalena Rybarikova (SVQ) - Victoria Azarenka (BLR/n°2) : 0-1
(Pas avant 19h00, HF)
Novak Djokovic (SER/n°1) - David Goffin (BEL/Q) : 1-0
Roger Federer (SUI/n°5) - Tommy Haas (ALL/n°11) : 11-3
(Pas avant 01h00 HF)
Grigor Dimitrov (BUL) - Rafael Nadal (ESP/n°4) : 0-2
(Pas avant 03h00 HF)
Serena Williams (USA/n°1) - Mona Bartel (ALL) : 0-0

Grandstand

(A partir de 17h00, HF)
Feliciano Lopez (ESP) - Juan Martin Del Potro (ARG/n°7) : 2-3
Jelena Jankovic (SER/n°14) - Sloane Stephens (USA) : 0-0
Julien Benneteau (FRA) - Andy Murray (GBR/n°2) : 0-3
Petra Kvitova (RTC/n°7) - Caroline Wozniacki (DAN/n°10) : 4-3
(Pas avant 01h00, HF)
Samantha Stosur (AUS/n°11) - Simona Halep (ROU) : 3-0

Court 3




(A partir de 18h00, HF)
David Ferrer (ESP/n°3) - Dmitry Tursunov (RUS) : 0-1
Milos Raonic (CAN/n°12) - John Isner (USA) : 0-1
(Pas avant 20h30, HF)
Agnieszka Radwanska (POL/n°4) - Elena Vesnina (RUS) : 3-1
(Pas avant 01h00)
Tomas Berdych (RTC/n°6) - Tommy Robredo (ESP) : 4-4

Court 9

(Pas avant 19h00)
Sara Errani (ITA/n°6) - Roberta Vinci (ITA/n°12) : 5-3
(Pas avant 21h00)
Angelique Kerber (ALL/n°9) - Na Li (CHN/n°5) : 1-6

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Athlé Championnats du Monde (Hommes) Tamgho : «Des retrouvailles»
Absent des derniers Mondiaux et Jeux Olympiques à cause d'une blessure, Teddy Tamgho revient dans un grand championnat, à Moscou. Le triple sauteur français est heureux mais reste mesuré sur ses ambitions.
Teddy Tamgho heureux de retrouver le haut niveau. (L'Equipe)








Teddy Tamgho est arrivé assez tard à Moscou, mardi dernier exactement, soit trois jours avant son entrée en lice. Le triple sauteur français ne voulait pas trop cogiter en attendant d’entrer sur la piste. «J’ai regardé samedi le début des Mondiaux à la télévision, a-t-il raconté. Cela m’a fait bizarre de me dire que j’allais les rejoindre.» Et qu’il allait participer à des Championnats du monde. La dernière fois qu’on a vu Tamgho dans une grande compétition internationale, l’été, c’étaient aux «Europe» de Barcelone en 2010. Ensuite il y a eu cette fracture à la cheville droite. «Deux ans que j’étais à l’écart, rappelle-t-il. Ici, ce sont des retrouvailles avec le haut niveau.»

Tamgho est étonné qu'on parle de lui pour l'or : «Je suis à vingt-deux centimètres du premier. Ça paraît proche mais c'est beaucoup» En revenant dans le grand bain, Teddy Tamgho a noté certains changements, notamment au niveau de la hiérarchie. «Il y a eu l’éclosion de Christian Taylor (champion olympique et champion du monde), explique-t-il. On ne s’est rencontré qu’en juniors. Will Claye (vice-champion olympique), lui, je vais l’affronter pour la première fois.» Champion du monde et d’Europe en salle, avec un record personnel à 17,92m, Tamgho représente un espoir de médaille pour l’équipe de France, peut-être même en or. Ce qui surprend l’intéressé. «Je n’ai pas gagné une Ligue de Diamant, je n’ai fait que 17,47m cette année. Je suis à vingt-deux centimètres du premier. Ça paraît proche mais c’est beaucoup.»

En effet, cette saison, Claye a aussi bondi à 17,47m. Yoann Rapinier, l’autre Français en lice en Russie, a réussi 17,45m. Enfin l’Haïtien Samyr Laine vaut, lui, 17,36m. Devant, le Cubain Pedro Pichardo est à 17,69m, suivi de Taylor (17,66m). Teddy Tamgho préfère, du reste, se considérer comme un outsider. «Être favori demande de la confiance, outsider, de la vigilance. Aujourd’hui, j’ai plus besoin de vigilance que de confiance.» Pour lui, la compétition débute vendredi (8h00, h.f.) avec les qualifications. 17,05m sont demandés. Tamgho s’en méfie, malgré ses 17,47m : «Regardez Brittney Reese…» A la longueur, l’Américaine, championne olympique, était passée, mais à la dernière place. Ceci dit, après, elle a décroché l’or...
Olivier PAQUEREAU, à Moscou

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Walcott recalé au javelot...

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Rugby Top 14 SF Savare : «Objectif barrages !»
Le Stade Français se rend à Grenoble, samedi (18h30). Qualification pour la phase finale, installation dans le nouveau stade Jean-Bouin : le président, Thomas Savare, précise les objectifs de la saison qui s'ouvre.
Pour le président parisien, Thomas Savare, la saison qui s'ouvre marque un nouveau départ pour le Stade Français. (L'Equipe)









Membre de la commission internationale au sein de la LNR, ainsi que du comité de pilotage sur les droits télé, Thomas Savare, 45 ans, ancien Centralien, a succédé à Max Guazzini à la présidence du Stade Français, en 2011.

«Thomas Savare, on a l’impression que cette saison va être la plus importante de votre présidence ?
Oui, c’est un point de départ depuis que j’ai repris le Stade Français. Nous avons un effectif complétement choisi, et puis il y a le retour à Jean-Bouin, notre nouveau stade. Une nouvelle histoire démarre, effectivement.

Je vous ai trouvé très mesuré, la saison passée, malgré les mauvais résultats. Vous prendrez autant de recul, cette saison, en cas d’échec ?
Je ne pense pas que je vais changer. Je vais essayer de rester lucide dans la gestion du club. Je ne suis pas persuadé que les coups de gueule font avancer les choses. La concurrence est vive, la saison sera dure, il y a des nouveaux repères à prendre dans le stade… Mais ça ne veut pas dire que je ne suis ni exigeant, ni ambitieux pour cette saison.

Une ambition sportive très mesurée, pour l'instant

«Le nouveau stade Jean-Bouin met un peu plus de pression sur nos épaules.» Cinq présidents (Afflelou, Boudjellal, Marti, Altrad, Lorenzetti) souhaitent la revalorisation des droits télé pour la saison prochaine. Vous pourriez être le sixième ?
Je suis légaliste. J’attends la décision de la LNR. Une commission est en place, elle travaille et fera des propositions au comité directeur. C’est lui qui décidera début septembre.

Le Stade Français va jouer dans le nouveau Jean-Bouin face à Biarritz. Vous êtes impatient d’être au 30 aout ?
Ce stade est magnifique. Il a été pensé pour le rugby et donne envie d’y voir des matches, c’est certain (sourire). Il n’y a pas beaucoup de stades modernes dans le rugby professionnel, en France. Il est conçu pour l’accueil des partenaires et du public. C’est un chaudron. Les tribunes sont proches du terrain. 20 000 spectateurs, c’est la capacité idéale pour le rugby.

Vous avez mobilisés les joueurs, pour leur faire comprendre l’enjeu de cette saison ?
Il n’y a pas besoin d’une réunion. Ils savent que la victoire est importante. Ils ont vu le chantier avancer, ils vont bientôt le voir terminé. Ce qui est certain, c’est que le nouveau Jean-Bouin met un peu plus de pression sur nos épaules, joueurs, staff et dirigeants.

Vous vous êtes fixé un objectif sportif ?
Oui. Les barrages ! Notre ambition, c’est d’être dans les six premiers.»

Transferts

Ils ont quitté le club : Nicolas Bézy, Felipe Contepomi, Paul Sackey, Paul Warwick, Gavin Williams.Ils arrivent : Meyer Bosman, Digby Ioane, Davit Kubriashvili, Morné Steyn, Heinke Van der Merwe.

Propos recueillis par Richard ESCOT

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Le retour des quotas...

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Foot BRE Scolari n'en fait pas tout un plat
Le sélectionneur du Brésil ne s'est pas montré catastrophé par la défaite de son équipe mercredi soir à Bâle face à la Suisse (0-1). Tout en sachant qu'il a encore pas mal de choses à régler avant la Coupe du Monde que son pays accueillera l'année prochaine.
Felipe Scolari et le Brésil restaient sur une série de 11 matches sans défaite. (Reuters)














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Une prestation inégale

Une période (la première) globalement bien gérée, et une autre beaucoup plus laborieuse, symbolisée par le but inscrit contre son camp par Daniel Alves (48e). A cette époque de l’année, ce genre de constat n’a rien de bouleversant, et Luiz Felipe Scolari n’a pas oublié de le rappeler. «Il y a des joueurs qui sont encore en phase de préparation, d’autres dont les Championnats viennent à peine de reprendre. Au niveau physique, les Suisses étaient dans de meilleures dispositions», a-t-il expliqué, en concédant que la baisse de régime et les nombreux changements effectués ensuite n’étaient pas étrangers à cette seconde mi-temps guère emballante. Et "Filipao" a promis qu’il ferait appel à de nouveaux joueurs à l’occasion des deux matches de septembre contre l’Australie (le 7) et le Portugal (le 10).

La question du gardien

Jefferson, qui a fêté mercredi soir sa huitième sélection, n’a rien à se reprocher sur le but de Daniel Alves. Mais le gardien de Botafogo n’a pas vraiment rassuré en plusieurs occasions, et notamment sur un tir de Xhaka (26e) et une passe en profondeur de Shaqiri sur laquelle la doublure de Julio Cesar s’est emmêlée les pinceaux, sans que cela profite à Seferovic (50e). Interrogé sur la titularisation de Jefferson, Scolari a justifié son choix en rappelant la situation de son habituel numéro 1. «Pour l’instant, il ne joue pas avec Queens Park Rangers. Il me semblait logique de titulariser Jefferson, qui est en plein Championnat.» Le cas de Julio Cesar, pas très chaud à l’idée de rester un an de plus à QPR (D2 anglaise), va probablement monopoliser une partie de l’attention de Scolari jusqu’à la fin du mercato estival...

Neymar pas encore au point




La nouvelle recrue du FC Barcelone a d’abord régalé le public Bâlois par la pureté de ses gestes techniques, avant de l’agacer par ses plongeons un peu trop voyants et sa nervosité. Averti après s’être embrouillé avec Behrami (22e), Neymar n’est pas encore au top de sa forme après une saison 2012-2013 longue et usante. «Dans son jeu, il provoque, il tombe régulièrement, mais je ne vais pas lui demander de jouer autrement, a prévenu Scolari. A Barcelone, je pense aussi qu’il va apprendre d’autres choses, et que cela sera bénéfique pour lui. Il va encore s’améliorer...»
Alexis BILLEBAULT, à Bâle Suisse

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Mourinho ferme pour David Luiz...

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Bondarenko s'envole à 2m41 pour l'or

15.08.2013 19:30 mise à jour à 20:44
Bondarenko a maîtrisé son sujet. [Kai Pfaffenbach - Reuters]


Bohdan Bondarenko remporte le concours de saut en hauteur aux Mondiaux de Moscou. L'Ukrainien s'impose avec un bond réussi à 2m41 au 2e essai. Bondarenko, qui a demandé une barre à 2m46 pour tenter de battre le record du monde, a eu besoin de seulement quatre essais pour décrocher l'or.
Aux deux premiers essais à 2m46, l'Ukrainien, bientôt 24 ans, a été près d'effacer la marque planétaire du Cubain Javier Sotomayor (2m45), vieille de 20 ans. Avec 2m41, le vainqueur a néanmoins égalé sa meilleure performance mondiale (MPM) qu'il avait établie le 4 juillet à Lausanne.
Le record du monde n'est plus qu'une question de temps pour l'Ukrainien. [Martin Meissner - Keystone] "Mon rêve est de franchir 2m50"

Ce fils de décathlonien est bien l'homme qui peut battre, dans un proche avenir, le record mythique de Sotomayor, longtemps tenu comme inapprochable. "Mon rêve est de franchir 2m50", a déclaré le sauteur slave, qui ne parle pas anglais, un frein pour l'instant à sa notoriété.
Bondarenko ne tombe pas de nulle part. Il fut champion du monde juniors en 2008. Sa progression a ensuite été freinée par des blessures, à un pied notamment, qui l'ont contraint à porter des chaussures orthopédiques. Depuis son retour au top cette saison, le discret Ukrainien a amélioré son record de 10 cm (2m41).
Le hat-trick de Kemboi

Le Kényan Ezekiel Kemboi a raflé son troisième titre mondial d'affilée sur 3000 m steeple. Il est le deuxième homme dans l'histoire à signer le hat-trick dans la discipline, après son compatriote Moses Kiptanui. Il a gagné en 8'06''01, devant son compatriote et junior Conseslus Kipruto, qui avait mené quasiment toute la course (8'06''37), et le Français Mahiedine Mekhissi-Benabbad (8'07''86).
L'or en piquant du nez

Le 400 m haies a connu un dénouement "dramatique". Le Trinidadien Jehue Gordon a grignoté centimètre par centimètre sur la dernière ligne droite pour se jeter sur le fil, de tout son long. Il a fini le nez sur le tartan... et la médaille d'or autour du cou: pour un centième, il soufflait (en 47''69) le titre à l'Américain Michael Tinsley (47''70).
si/scho

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La franchise NHL des New Jersey Devils a été rachetée par un groupe d'investisseurs emmenés par Joshua Harris

15.08.2013 20:18 mise à jour à 20:20

Les New Jersey Devils ont été vendus à un groupe d'investisseurs emmené par l'homme d'affaires Joshua Harris, qui possède déjà les Philadelphia 76ers en NBA. Le montant de la transaction s'élèverait à plus de 320 millions de dollars. Les nouveaux propriétaires ont assuré que la franchise lourdement endettée resterait dans le New Jersey.

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Un virus décime les rangs du Lausanne-Sport

Football

—
Une gastro-entérite a déjà mis sur le flanc deux joueurs du club vaudois. Des mesures sanitaires ont été prises afin de freiner l’épidémie.
Par Nicolas Jacquier. Mis à jour à 16h47 3 Commentaires

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Laurent Roussey est confronté à un nouveau problème de taille.
Image: Freschfocus
Super League

5e Journée

10.08.Grasshoppers - Sion0 : 010.08.Aarau - Young Boys0 : 411.08.FC Thoune - FC Lucerne1 : 111.08.FC St.Gall - Lausanne2 : 011.08.FC Bâle - FC Zurich1 : 2État: 11.08.2013 17:53
Classement

NomJVNDButsP1.Young Boys550015:4152.FC Lucerne53119:7103.Grasshoppers52307:394.FC Bâle52218:585.FC St.Gall52126:676.FC Zurich52128:977.FC Thoune512210:1158.Aarau51139:1549.Sion50230:4210.L ausanne50141:91État: 11.08.2013 18:04
6e Journée

24.08.FC Lucerne - FC Bâle- : -24.08.Lausanne - Aarau- : -25.08.Young Boys - Grasshoppers- : -25.08.Sion - FC Thoune- : -25.08.FC Zurich - FC St.Gall- : -


Quelle équipe Laurent Roussey alignera-t-il dimanche dans le Jura pour y affronter le FC Cornol? «La meilleure possible, en tenant compte de ceux qui sont aptes à jouer dans la mesure où une gastro-entérite s’est invitée dans le groupe», répond le coach de la Pontaise.
Le Slovène Mevlja en a été la première victime, suivi depuis ce jeudi par Sukaj. «Afin de freiner la propagation du virus, on s’est prémuni, en faisant encore davantage au niveau des bouteilles d’eau par exemple. Chacun a sa gourde.»
Mercredi soir, Lausanne a aussi perdu Ekeng sur blessure au cours du match amical qu’il a disputé contre Al-Jazira (défaite 0-1, suite à un penalty concédé par le jeune gardien Castella, expulsé sur l’action).

Fait chier...
Reste que le LS, même diminué, devrait passer l’obstacle ajoulot sans trop sourciller. «Si l’on devait être éliminé dès le premier tour, qui plus est face à une 2e ligue, ce serait une faute professionnelle...», conclut son coach. Pour le coup, le LS serait vraiment dans la... mouise. (Le Matin)

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Goffin éliminé par Djokovic à Cincinnati

© afp.
David Goffin a été éliminé par le Serbe Novak Djokovic en 8e de finale du tournoi de tennis sur surface dure de Cincinnati. Le Liégeois, 80e mondial et issu des qualifications, s'est incliné 6-2, 6-0 en 50 minutes face au numéro un mondial, jeudi aux Etats-Unis.
© epa.
C'était le second face-à-face entre Goffin et Djokovic. Le Belge avait déjà croisé la route de "Nole" cette année à Roland Garros, où Djokovic avait battu Goffin 7-6 (7/5), 6-4, 7-5 au 1er tour du deuxième tournoi du Grand Chelem de l'année.

David Goffin était présent pour la première fois de sa carrière dans le tableau final du tournoi de Cincinnati, Masters 1000 de l'ATP doté de 3.079.555 dollars.

Djokovic affrontera en quarts le vainqueur du match entre l'Américain John Isner (ATP 22) et le Canadien Milos Raonic (ATP 10/N.12).

C'est pas une surprise.....

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Marion Bartoli annonce sa fin de carrière



vidéo © getty. © afp. © epa. © getty.
La numéro un française Marion Bartoli a créé de nouveau la surprise mercredi, six semaines après avoir remporté le tournoi de Wimbledon, en annonçant qu'elle mettait fin à sa carrière, après sa défaite face à la Roumaine Simona Halep (3-6, 6-4, 6-1) au deuxième tour du tournoi WTA de Cincinnati (Etats-Unis).

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1751/Wimb...carriere.dhtml





"Il est temps pour moi de mettre un terme à ma carrière", a déclaré Marion Bartoli, 28 ans, lors d'une conférence de presse. "Mon corps n'arrive plus à tout supporter". L'annonce intervient deux semaines avant l'US Open (26 août), dernier tournoi du Grand Chelem de la saison. Bartoli a déclaré que Wimbledon l'avait aidée à atteindre son meilleur niveau mais lui avait aussi fait payer physiquement et mentalement. "J'ai subi beaucoup de blessures depuis le début de l'année. Je suis sur le circuit depuis si longtemps, et j'ai vraiment forcé et tout donné pendant ce Wimbledon."

Abandon
"J'ai senti que j'avais épuisé toute l'énergie restante dans mon corps. J'ai réalisé mon rêve et ça restera avec moi pour toujours, mais maintenant mon corps n'arrive plus à tout supporter." Bartoli a disputé trois matches seulement depuis sa victoire à Wimbledon, la 8e de sa carrière sur le circuit WTA. Elle avait remporté la première à Auckland en 2006. Les deux dernières avant Wimbledon remontaient à 2011, à Eastbourne en Angleterre et Osaka au Japon. Pour son retour à la compétition lors du tournoi de Toronto (Canada) la semaine dernière, elle avait battu l'Américaine Lauren Davis mais avait dû abandonner le lendemain face à la Slovaque Magdalena Rybaricova, 33e joueuse mondiale.

Les organisateurs avaient alors indiqué qu'elle souffrait d'une "tension au niveau de la ceinture abdominale", sans plus de précisions. "J'ai mal partout après 45 minutes ou une heure de jeu", a-t-elle précisé à l'issue de son dernier match à Cincinnati. "Je fais ça depuis si longtemps. Et, oui, c'est juste que physiquement parlant je n'y arrive plus." "Après un set, tout mon corps me faisait mal. Tout le monde se souviendra de mon titre à Wimbledon - personne ne se souviendra de mon match joué ici", a ajouté Marion Bartoli avant de quitter la salle de conférence.

"Plus de sacrifices que les autres"
Handicapée par un physique qu'elle qualifie elle-même de commun, obligée de faire "plus de sacrifices que les autres" pour afficher le niveau de forme exigé, elle n'est à la base "pas faite pour le haut niveau", a toujours dit son père Walter, un médecin, qui l'a initiée au tennis à l'âge de six ans. Couvée par ce dernier en dehors de toute structure fédérale, elle met du temps à percer au plus haut niveau, une lenteur qu'elle attribue à la priorité accordée aux études jusqu'à la sortie de l'adolescence. Au prix de plusieurs soubresauts et va-et-vient, elle s'affranchit de la tutelle de son père, par consentement mutuel, insiste-t-elle, au cours d'un printemps maussade sur les courts mais déterminant dans sa vie. Revenue en équipe de France, elle se trouve d'autres relais comme Amélie Mauresmo.


Désormais entourée par une vraie garde prétorienne, elle rayonne, libérée, pour vivre le plus grand moment de sa carrière sur le Central de Wimbledon, sous les yeux émus de Walter, rendu à sa simple condition de "papa". Marion Bartoli surprend alors tous les observateurs en enlevant le titre le plus prestigieux du tennis mondial, devenant la troisième Française depuis le début de l'ère Open en 1968 à gagner l'un des quatre tournois du Grand Chelem. L'annonce de sa fin de carrière est tout aussi surprenante, la joueuse ayant affiché une nouvelle envie de jouer après son titre à Wimbledon. Elle avait vite retrouvé le chemin des courts pour préparer son retour lors de la tournée américaine sur dur, avec l'US Open fin août en ligne de mire. "Il était temps de remettre les bouchées doubles à l'entraînement, car je veux continuer à gagner. J'aime travailler dur", avait-elle expliqué la semaine dernière lors d'une conférence de presse à Toronto.

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Maradona nommé coach de luxe d'un club de 5e division

© epa.
Diego Maradona, l'ancienne star du football argentin, sera le prochain entraîneur de luxe du modeste club de 5e division argentine Deportivo Riestra, a annoncé jeudi la presse locale.
Maradona, 52 ans, sélectionneur de l'Argentine lors du Mondial-2010, "ne prendra ni de décisions techniques ni tactiques, sa principale fonction sera de donner une âme", a indiqué le supplément sportif du quotidien argentin La Nacion, citant une source du club.

Le champion du monde 1986 exercera ses fonctions quand il aura mis un terme à ses obligations d'ambassadeur du sport aux Emirats arabes unis, où il réside actuellement.

Le lien entre cette modeste équipe, qui n'a jamais joué au-delà de la 4e division, et Maradona s'est tissé par l'intermédiaire de l'avocat du "Pibe de Oro", Victor Stinfale, qui sponsorise le club.

Jusqu'à présent, la carrière d'entraîneur de Maradona est beaucoup moins faste que celle du joueur, marquée notamment par une humiliante défaite 4-0 contre l'Allemagne, en quart de finale du Mondial 2010.

Joueur ok un grand. Entraineur zero..........