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Rugby Top 14 Toulouse est «en retard»
Battus à Bordeaux, samedi dernier, les Toulousains, par la voix de leur coach William Servat, avouent démarrer la saison sans être au même niveau de préparation que leurs adversaires.
Attentif au moindre détail, William Servat, coach des avants toulousains, prépare son équipe pour la venue du leader, Bayonne. (L'Equipe)








La défaite à Bordeaux n’a pas laissé autant de traces que cela au moral des Toulousains. Juste quelques blessures d’amour-propre. Le huis clos a néanmoins été décrété, et Guy Novès, le manager du club, s’est fendu d’un petit coup de fil à M. Cardona, l’arbitre de Bordeaux-Toulouse, qu’il avait longuement et durement critiqué.

Jeudi, c’est William Servat qui s’est rendu devant la presse pour la traditionnelle conférence du jeudi. Histoire de présenter quelques explications à la défaite, 31-25, encaissée à Bordeaux. «Depuis la semaine dernière», où il a travaillé ballon en mains «le groupe a peut-être un peu de retard par rapport à d'autres équipes, mais c'était dans notre volonté de laisser les joueurs récupérer et de leur donner une bonne base de préparation physique. On a donc repris un peu plus tard», reconnait William Servat, l’entraîneur des avants toulousains.

«Bayonne a envie de créer du mouvement»

Samedi, à 18h30, Toulouse, avant-dernier du Championnat, va recevoir le leader. Battu en match amical par ces mêmes Bayonnais, les Toulousains se méfient de leur adversaire. «Ce dont on se souvient du match contre Bayonne, c'est que nous avions en face de nous une équipe qui produit beaucoup de jeu, qui a envie de créer du mouvement. Il a été difficile de tirer des enseignements de ce match parce qu'on a rapidement joué en infériorité numérique (expulsion du centre Yann David). Et puis on a changé quasiment toute l'équipe en deuxième période.»

Reste que l’Aviron Bayonnais a obtenu une victoire bonifiée, samedi dernier et ça ne laisse pas William Servat indifférent : «Contre Oyonnax, Bayonne a eu une ambition de jeu élevée et a fait souffrir son adversaire par cette volonté de produire du jeu. L’Aviron va mettre à mal pas mal d'équipes, cette saison». Le Stade Toulousain pourrait bien être la prochaine victime des Basques sur la liste.
R.E., avec l'AFP

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Ça vaut dix sur dix...

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F1 GP de Belgique Ce qu'il faut savoir...
Le 11e Grand Prix de la saison se déroule ce week-end à Spa, où la pluie est attendue. Sur un circuit spectaculaire qu'ils apprécient, les pilotes vont tenter de démarrer pied au plancher la seconde partie de saison. Les infos essentielles avant de filer en Belgique...
Les "montagnes russes" de Spa plaisent aux pilotes. (L'Equipe)









Ils l'adorent

Une «expérience vraiment fantastique» pour Alonso, «le plus grand circuit de course au monde» selon Räikkönen... Le Grand Prix de Belgique disputé sur le "toboggan des Ardennes" ne laisse pas indifférent les pilotes, qui le citent régulièrement comme leur rendez-vous préféré de la saison. Le tracé vallonné et rapide, sur lequel a été introduite une seconde zone de DRS, facilite les dépassements malgré vingt virages répartis sur les 7,004 km de piste. «Un tour de Spa c'est comme vingt sur une autre piste, vu l'excitation et l'adrénaline qu'il génère», résume Alonso.

La valse des pilotes bientôt lancée ?

La trêve estivale d'un mois a permis aux écuries de se reposer, de travailler à certaines améliorations mais également de préparer la saison 2014. De nombreuses rumeurs de mouvements de pilotes ont logiquement animé cette période. Red Bull a dans un premier temps laissé entendre que le successeur de Mark Webber pourrait être annoncé ce week-end à Spa, avant de démentir. Favori initial, aux côtés de Daniel Ricciardo, pour épauler Sebastian Vettel l'an prochain, Kimi Räikkönen ne devrait finalement pas signer pour l'équipe autrichienne et attend de voir si Lotus a les moyens de le prolonger. Ferrari, avec qui il avait été sacré champion du monde en 2007, reste en embuscade...

Trouver la bonne tactique

«Il existe une très grande variété de stratégies possibles à Spa» Traditionnellement, il faut savoir s'adapter aux variations de météo pour s'imposer sur le circuit de Spa-Francorchamps, qui peut avoir des secteurs secs et d'autres humides. L'édition 2013 pourrait néanmoins déroger à la règle, la pluie étant attendue tout le week-end. «Il existe une très grande variété de stratégies possibles à Spa», a souligné Paul Hembery, le patron de Pirelli Motorsport, qui craint les «forces qui agissent dans des directions différentes au même moment». L'an dernier, le vainqueur Jenson Button n'était passé par les stands qu'à une seule reprise.

Alonso, rattraper le temps perdu


Sur un circuit où il ne s'est jamais imposé mais où Ferrari a brillé par le passé, Fernando Alonso espère lancer sa seconde partie de saison de la meilleure des manières. «Ce serait formidable de ramasser tous ces points perdus, a annoncé l'Espagnol. Jusqu'à présent, je n'ai jamais eu une réelle chance de me battre pour la victoire à Spa et j'ai souvent dû abandonner, pour des raisons de simple malchance, de problèmes techniques ou à cause de mes propres erreurs». Juste avant la pause, le pilote Ferrari avait cédé sa deuxième place du Championnat à Kimi Räikkönen.

Hamilton encore en pole ?

En première place de la grille de départ à sept reprises depuis le début de la saison, les Mercedes seront une nouvelle fois attendues lors des qualifications, samedi après-midi. En particulier celle de Lewis Hamilton, partie en pole position des trois derniers Grand Prix. Une régularité qui pourrait pousser le Britannique à regarder vers le haut. «L’année dernière, nous étions 44 points derrière Alonso lors de la trêve estivale et au final nous avons été champions du monde, a rappelé Helmut Marko, conseiller de Red Bull. C’est ainsi que les choses peuvent vite changer. Désormais ils ont leur chance, et ils vont tout mettre sur Hamilton», qui pointe à 48 points de Vettel avant cette onzième manche.
L.V.

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Rallye WRC Allemagne Ogier démarre fort
Sébastien Ogier est très bien parti en Allemagne. Le Français a remporté la première spéciale, devant Latvala et Neuville.






ES 1: Blankenheim

Sébastien Ogier n'a pas mis longtemps à s'adapter au bitume allemand. Au volant de sa Volkswagen, il a signé le scratch de la première spéciale longue de plus de 23 kilomètres. Le Français, qui peut être sacré champion du monde dès ce week-end selon les circonstances de course, a déjà 4''6 d'avance sur son coéquipier Jari-Matti Latvala et 9''2 sur Thierry Neuville (Ford). Les Citroën de Sordo et Hirvonen sont provisoirement quatrième (+15''4) et cinquième (+19''7). A noter qu'Evgeny Novikov (Ford) est sorti de la route après 1,5 km de spéciale. Sa voiture n'est pas endommagée mais il n'a pas pu reprendre la route. Le départ de l'ES 2 est prévu à 19h58.
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Ogier teste le bitume...

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Basket- NBA Allen Iverson à la retraite (presse)
Allen Iverson, l'ex-meneur emblématique des Sixers et n°1 de la Draft 1996, devrait officiellement annoncer sa retraite. Le meneur de jeu, qui s'était exilé en Turquie en 2010, n'a plus foulé les parquets depuis début 2011.
Allen Iverson devrait annoncer officiellement sa retraite dans les prochains jours. (L'Equipe)









Allen Iverson va prendre sa retraite et l'annoncer dans les prochains jours, selon SLAM, qui s'appuie sur les confidences d'un proche du joueur. L'ancien meneur de Philadelphia, 39 ans en janvier prochain, est sans club depuis plus de deux ans. Un an avant le dernier lock-out NBA, il avait tenté l'exil en Turquie, fin 2010, pour rejoindre le Besiktas. Un coup de com' pour le club stambouliote, qui n'a pas vraiment pu compter sur lui sur le terrain, à cause d'une blessure à la hanche. Cette blessure incita Iverson à rentrer aux Etats-Unis début 2011 afin de se faire opérer puis d'envisager un retour en NBA.

MVP de la saison régulière NBA en 2001

Si l'histoire se termine un peu en eau de boudin, elle ne fait pas oublier la carrière et surtout l'impact d'Iverson sur le basket nord-américain depuis la fin des 90's. Surnommé "The Answer" (la réponse), notamment pour sa faculté à percer les défenses, Iverson s'était autant fait remarquer par son talent que par son style et son tempérament, sur et en-dehors des parquets. Drafté en première position par les Sixers en 1996, il y a effectué l'essentiel de sa carrière. C'est aussi à Philadelphia qu'il tenta de se relancer en NBA, en 2009, après être passé par Denver, Detroit, puis Memphis.

Iverson faisait partie de l'équipe des USA médaillée de bronze lors des Jeux Olympiques d'Athènes. Il a été désigné MVP de la saison régulière NBA en 2001 et a été All-Star à onze reprises. Elu pour figurer dans le cinq majeur du All-Star Game 2010, Iverson avait fait l'impasse pour raisons familiales.
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Cholet ne garde pas Coville...

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Athlé Ligue de diamant Stockholm Les champions du monde sont là
Quatre jours après les Mondiaux de Moscou, la Ligue de Diamant reprend ses droits ce jeudi à Stockholm, où douze champions du monde doivent s'aligner.
L'Ethiopienne Meseret Defar s'est offert l'or mondial sur 5000m lors des Mondiaux de Moscou. (Reuters)









Certes, Usain Bolt, Shelly-Ann Fraser-Pryce, Mo Farah ou encore Elena Isinbayeva, les superstars des Mondiaux de Moscou, ne seront pas de la partie. Mais douze autres champions du monde sont annoncés jeudi à Stockholm, pour la douzième étape de la Ligue de Diamant. Derniers inscrits, la Tchèque Zuzana Hejnova, invaincue cette années sur 400m haies, et le Russe Aleksandr Menkov, le meilleur cette année à la longueur.

Defar et Merritt, les têtes d'affiche

La principale tête d'affiche chez les femmes sera l'Ethiopienne Meseret Defar, la reine du 5 000m, sacrée pour la deuxième fois au niveau mondial sur cette distance (2007, 2013) en plus de ses deux titres olympiques (2004, 2012). Elle disputera ce jeudi le 3 000m. Chez les hommes, l'Américain LaShawn Merritt recueille les suffrages. Les deux médailles d'or (400 et relais 4x400m) glanées à Moscou font de lui un désormais septuple champion du monde, entre individuel et relais.

Oliver, Adams et Kiprop sont attendus




La Suédoise Abeba Aregawi (sacrée sur 1 500 m mais alignée sur 800m), la Kényane Eunice Sum (800m), l'Américain David Oliver (110m haies), la Néo-Zélandaise Valerie Adams (poids), le Kényan Asbel Kiprop (1 500m), l'Allemande Christina Obergföll (javelot), la Russe Svetlana Shkolina (hauteur) et la Colombienne Caterine Ibargüen (triple saut), sont les autres champions du monde de Moscou qui participeront au rendez-vous.

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Federer et Wawrinka sous pression

23.08.2013 11:07 mise à jour à 11:08 Réagir
Federer et Wawrinka seront-ils en mesure de briller à New York? [Paul Buck - Keystone]


Qui aurait osé y croire après son élimination subie au 1er tour à Wimbledon ? Sacré à Montréal et à Cincinnati, Rafael Nadal est pourtant bien le favori de l'US Open qui commence lundi. Roger Federer et Stanislas Wawrinka se retrouvent eux sous pression.
Toujours invaincu cette année sur dur en 15 matches disputés, Rafael Nadal récupérera la 1re place du classement ATP s'il triomphe pour la deuxième fois à New York ! Son hallucinant bilan 2013 (53 victoires pour 3 défaites) lui insuffle une confiance inébranlable.
Une première pour Murray

Rafael Nadal vise un 2e titre à l'US Open après 2010. [Mark Lyons - Keystone] Novak Djokovic et Andy Murray sont les principaux rivaux de l'Espagnol dans cette ultime levée du Grand Chelem. Privé de titre depuis Monte-Carlo en avril, le Serbe a soif de revanche.
Andy Murray aura lui tout loisir de monter en puissance au long d'une quinzaine où il défend pour la première fois un grand titre.
De déception en déception

Tous deux freinés par un dos récalcitrant cet été, Roger Federer et Stanislas Wawrinka n'abordent pas ce tournoi dans des dispositions idéales. Le Bâlois a cependant retrouvé une certaine confiance en Ohio, où il a tenu la dragée haute à Rafael Nadal en quart de finale.
Stanislas Wawrinka joue gros dans l'optique d'une qualification pour le Masters. Le Vaudois n'a gagné que 2 des 6 rencontres jouées depuis son accession en finale à Bois-le-Duc. Ill devra serrer sa garde dès le 1er tour face à Radek Stepanek (ATP 58).

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La Juve probablement, l'austérité sûrement

23.08.2013 Réagir
La Juventus de Lichtsteiner (à droite) grande favorite à sa succession. [Alessandro Di Marco - Keystone]


Les trois coups de la Serie A 2013/14 seront donnés ce week-end, entre crise économique, perte d'attractivité ainsi que mise en conformité avec le fair-play financier. Et une Juventus se présentant une nouvelle fois comme l'épouvantail.
La Vieille Dame a survolé les débats l'an dernier, menant la course de bout en bout. Or, cet été, la formation d'Antonio Conte a encore étoffé son contingent en donnant à son compartiment offensif - le point faible des Turinois - des renforts de haut niveau: Carlos Tevez (Manchester City) et Fernando Llorente (Athletic Bilbao).
L'exception Juventus

Valon Behrami (à droite) l'un des 3 Suisses du Napoli. [Ciro Fusco - Keystone] Difficile alors de ne pas considérer le double tenant du titre comme le grandissime favori à sa propre succession. Si l'équipe de Stephan Lichtsteiner, encore appelé à jouer un rôle prépondérant dans son couloir droit, a pu se permettre une telle politique de transferts cet été, elle le doit en bonne partie à son stade, dont elle est propriétaire. Une exception en Italie.
Les autres clubs, eux, ont surtout dû se livrer à une cure d'austérité, victimes de la crise économique et de la perte d'attractivité du Calcio. Les mesures d'économie ont par exemple touché l'AC Milan, très discret durant le mercato, qui a notamment fait passer sa masse salariale de 220 à 100 mio d'euros.
si/alt

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Une défaite qui condamne quasiment GC

22.08.2013 22:54 mise à jour le 23.08.2013 à 07:59 Réagir
La nouvelle recrue de la Fiorentina Mario Gomez a causé mille tourments à la défense zurichoise. [Walter Bieri - Keystone]

Grasshopper
1 - 2
Fiorentina



Avec une défaite 2-1 concédée sur son terrain face à la Fiorentina, GC devra réaliser l'exploit de s'imposer en Italie avec deux buts d'écart, ou marquer au moins trois fois pour se qualifier pour la phase de poules de l'Europa League. Compliqué, mais pas impossible.
Dominés dans tous les compartiments du jeu, les hommes de Michael Skibbe ont pu mesurer la distance qui les sépare d'une bonne équipe européenne. Cuadrado (13e) et Grichting (46e), sous la pression de Gomez, ont marqué pour les visiteurs, pour qui le retour dans une semaine devrait logiquement s'apparenter à une formalité, même si la réduction du score signée Ngakumol à la 64e a redonné un souffle d'espoir aux Zurichois.
Les Italiens bien dans le rythme

Malgré leur manque de repères en compétition - la Serie A reprendra ce week-end seulement -, les Italiens ont d'emblée été dans le rythme au Letzigrund. Leur maîtrise technique individuelle, mais aussi collective avec un 3-5-2 qui leur a assuré la domination de l'entrejeu, leur a permis de prendre l'ascendant et de réduire à néant ou presque la force de frappe offensive de GC.
Il n'a fallu que treize minutes à la Viola pour inscrire le fameux but à l'extérieur que recherche toute équipe italienne digne de ce nom. Sur une longue transversale de Rodriguez, Pavlovic se faisait surprendre sur son flanc gauche, ce qui permettait au Colombien Cuadrado d'aller tromper Bürki d'une frappe puissante malgré un angle relativement fermé.
La Fiorentina frôlait ensuite le numéro deux en plusieurs circonstances, d'abord par Aquilani (22e) puis à deux reprises par Gomez (31e/38e). Par contre, GC ne se montrait guère dangereux. Incapable de s'approcher de la surface italienne, GC s'en remettait aux frappes de loin d'Hajrovic (35e/40e), en vain.
Le 0-2 de Mario Gomez, survenu très tôt en seconde période, ne fut pas du goût de Skibbe. [Keystone] 20" en seconde mi-temps pour doubler la mise

La Fiorentina doublait la mise alors que la seconde période n'était pas vieille d'une vingtaine de secondes. Rossi décalait Gomez, et l'ancien attaquant du Bayern Munich semblait sur le point de marquer quand il se faisait devancer par le malheureux Grichting. Le résultat était le même, 2-0 pour les Italiens.
Skibbe décidait alors de renforcer son potentiel offensif en faisant entrer un deuxième attaquant (Ben Khalifa) à la place d'un demi (Gashi). Cette mesure portait ses fruits peu après, avec le but de Ngakumol de la tête après un bon centre de Lang. Cette réussite relançait GC, qui terminait mieux le match mais sans parvenir à égaliser.
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Raul ovationné à Madrid

FOOTBALL

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L'espace d'une soirée d'hommage, le mythique numéro 7 du Real a retrouvé son ancien club, son maillot blanc et son temple de Bernabeu.
Mis à jour à 09h11 2 Commentaires

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1/14 Raul fêté
L'ancienne star du Real Madrid a été ovationnée jeudi soir à Santiago Bernabeu.
Image: Keystone





du Real Madrid, Raul a retrouvé le temps d’une mi-temps le maillot blanc avec lequel il a brillé pendant 16 ans, jeudi à l’occasion d’une soirée d’hommage au stade Santiago Bernabeu.



Aligné en première période avec les «Merengue», puis en deuxième avec son équipe actuelle d’Al-Sadd (Qatar), l’attaquant de 36 ans a montré qu’il n’avait rien perdu de son flair en inscrivant un joli but sous ses anciennes couleurs (23e minute).
Les Madrilènes se sont imposés 5-0 dans ce «Trophée Bernabeu», avec quatre autres buts signés Isco (58e), Karim Benzema (78e sur penalty) et Jesé (81e, 87e), sous les yeux du roi d’Espagne Juan Carlos présent en tribune.
Raul avait établi le record du nombre de matches joués (741) et de buts marqués (323) avec les Merengues avant son départ pour le club allemand de Schalke 04 en 2010. Il a rejoint Al-Sadd en 2012.
En 16 années au Real Madrid, le mythique numéro 7 a notamment remporté six championnats d’Espagne et trois Ligues des champions (1998, 2000 et 2002).

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Le Real Madrid payera 99 millions d'euros pour Bale


23/08/13 - 09h54 Source: Belga Selon le site du journal espagnol AS, le transfert sera annoncé officiellement par les clubs vendredi ou samedi. © belga.
Real Madrid est sur le point de battre le record de la somme dépensée pour un transfert d'un joueur de football, révèle le quotidien espagnol Marca.
Le club espagnol et le club anglais de Tottenham seraient tombés d'accord sur le transfert de l'international gallois Gareth Bale, 24 ans, à Madrid. Le Real déboursera 99 millions d'euros.

Le record de CR7 pulvérisé
Il avait dépensé 94 millions en 2009 afin d'obtenir le Portugais Cristiano Ronaldo qui jouait jusque-là à Manchester United. Il s'agissait du plus gros transfert à ce jour.

Dans les prochaines heures
Selon le site du journal espagnol AS, le transfert sera annoncé officiellement par les clubs vendredi ou samedi.

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