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Ottmar Hitzfeld: «C'est notre match le plus abouti»

Football

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Le sélectionneur suisse est satisfait de la performance de ses joueurs. Mais il veut que l'équipe reste concentrée sur le travail qu'il reste à effectuer.
Mis à jour le 10.09.2013 1 Commentaire

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Hitzfeld et Pont savourent la victoire contre la Norvège.
Image: Freshfocus
«Ce fut notre match le plus abouti de cette campagne!» Ottmar Hitzfeld savoure. Son équipe l’a séduit.
«Je tiens, en premier lieu, à complimenter tous mes joueurs. Chacun a livré une performance de choix, explique-t-il. Ils ont témoigné d’une concentration extrême pendant 90 minutes. Le 4-4 contre l’Islande a eu le mérite de rappeler une vérité: que tout peut se produire dans un match. Mes joueurs étaient donc avertis. Ils n’ont pas laissé les Norvégiens entrer dans le match. Ils ont su très bien défendre sur les balles arrêtées.»
Et marquer surtout avec le doublé de Fabian Schär. «Fabian est notre «match winner». Il est rare qu’un défenseur central signe un doublé dans un tel match. Encore plus rare qu’il le fasse lors de sa troisième sélection, remarque-t-il. Il doit, bien sûr, encore gagner en expérience. Son erreur de la 26e minute fait partie de son «apprentissage» en quelque sorte. Mais son potentiel est vraiment énorme.»
Ottmar Hitzfed avait déjà décidé samedi de l’aligner contre la Norvège. «Je lui ai parlé au lendemain du match contre l’Islande. J’ai également pris la température auprès de Steve Von Bergen, poursuit-il. Lui renouveler ma confiance me semblait la décision la plus sage à prendre. Il avait le rythme pour enchaîner deux matches en quatre jours. Ses qualités offensives sautent aux yeux. Il doit continuer ainsi... Et il convient aussi de préciser que les deux hommes qui pouvaient le remplacer, Klose et Senderos, manquent cruellement de temps de jeu.»
Malgré cette victoire que l’on peut qualifier de décisive, Ottmar Hitzfeld ne voulait pas encore évoquer cette qualification pour le Brésil qui tend les bras à son équipe. «A cette heure (mardi à 21 h 30), rien n’est encore acquis, lâche-t-il. Peut-être que dans deux heures, mon chef de presse m’apprendra une bonne nouvelle. Maintenant, je me concentre déjà vers le match en Albanie. Si nous évoluons dans le même registre que ce soir, la qualification viendra automatiquement. A Tirana, je demanderai à mes joueurs d’être plus précis dans l’ultime passe. Ce soir, Fernandes aurait pu marquer deux buts si le ballon lui avait été bien donné en fin de match...»

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Les Bleus reviennent de loin
Menée au score à deux reprises, l'équipe de France est finalement parvenue à l'emporter face à la Biélorussie (4-2), ce mardi. Elle se rapproche des barrages de la Coupe du monde 2014.
Les Bleus ont enfin retrouvé le chemin du but, et la joie qui va avec... (L'Equipe)









Le banc français a enfin pu laisser éclater sa joie. Le tableau d'affichage du stade Central de Gomel affichait la 73e minute et Paul Pogba venait d’inscrire le quatrième but de l’équipe de France. Celui qui mettrait définitivement les Bleus à l’abri d’une nouvelle contre-performance face à la Biélorussie (4-2), mardi soir. Quatre jours après s’être montrés incapables de s’imposer en Géorgie (0-0), on a longtemps cru que les Bleus allaient trouver le moyen de faire pire. Sous l’impulsion de Franck Ribéry, auteur d’un doublé (47e, s.p. et 64e), d’un discours remobilisateur d’Evra à la pause, mais aussi de Samir Nasri, buteur neuf minutes après son entrée en jeu (70e), ils sont finalement parvenus à se remettre à l’endroit, ce qui leur épargnera un dernier match couperet face à la Finlande le 15 octobre prochain au Stade de France. Ils sont quasiment assurés d’être barragistes. Mais que ce fut encore compliqué.

Une première période à l'envers, une réaction d'orgueil en seconde, un Lloris inhabituellement fébrile, avant la délivrance finale. Les Bleus ne se sont pas facilités la tâche, et malgré ce premier succès depuis le 22 mars et la venue de la Géorgie (3-1) à Saint-Denis, l’analyse sera forcément contrastée. Le positif d’abord : la force de caractère et le regain d’efficacité qui leur ont permis de revenir au score à deux reprises, puis de prendre l’avantage. S’ils ont effacé des tablettes un record qui datait de 1924-1925 (500 minutes sans marquer), Ribéry et ses équipiers ont marqué en un match la moitié des buts qu’ils avaient inscrits depuis le début des éliminatoires. Ils y sont parvenus sans Karim Benzema, dont les 1217 minutes de mutisme ont fini par user la patience de Didier Deschamps. Parti s’échauffer à la 37e minute lorsque la Maison Bleue se fissurait, l’attaquant du Real n’est finalement jamais entré en jeu.

Clichy et Lloris ont été décevants




Le négatif ensuite : le désert offensif en première période à l’exception d’une frappe de Koscielny (25e). Mais surtout la fébrilité défensive incarnée par Gaël Clichy et Hugo Lloris. Pour le poste d’arrière gauche, le défenseur de Manchester City et Patrice Evra se succèdent sans que cela ne change grand-chose. Et ce n’est pas une surprise. Concernant le capitaine de l’équipe de France, ça l’est davantage. Fautif sur l’ouverture du score de Filipenko (32e), le gardien de Tottenham a (re)distillé le doute en se trouant sur une frappe de Kalachev (57e) alors que les Bleus avaient entamé leur remontée grâce à un penalty obtenu et transformé par Ribéry. Pour son plus grand soulagement et celui de ses équipiers, cela ne leur a finalement pas porté préjudice.
Emery TAISNE, à Gomel


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Foot Coupe du Monde 2014 Gr. B L'Italie composte son billet
Menée par la République tchèque, l'Italie a su inverser la tendance ce mardi à Turin pour finalement s'imposer (2-1) et valider du coup son billet pour la Coupe du monde.
Grâce notamment à un penalty de Mario Balotelli, l'Italie a validé son billet pour la Coupe du monde. (AFP)








Au coup de sifflet final, les 40 000 spectateurs du Juventus Stadium ont exulté comme un seul homme. Il fallait une victoire à l'Italie pour qu’elle valide son billet pour la Coupe du monde. Face à la République tchèque ce mardi, la Nazionale a pris son temps, près de 50 minutes, mais elle y est finalement parvenue (2-1). Avec les Pays-Bas, elle devient donc la deuxième nation du continent européen à être officiellement qualifiée pour l'édition brésilienne en juin prochain. Une qualification obtenue à deux journées de la fin des éliminatoires, c’est la première fois de son histoire qu'elle y arrive.

Trois occasions franches pour Balotelli

Mais pour y parvenir l’Italie a quand même dû batailler. Bien que dominateurs pendant toute la rencontre, les Transalpins ont rapidement été menés au score. La faute à Libor Kozak sur une belle volée croisée (19e). Pour autant, pas de quoi déstabiliser des Italiens qui réagissent vite, mais de retour de suspension, Mario Balotelli fait, tout d'abord, craindre que lui et les siens ne sont pas dans un grand soir. Profitant du 3-5-2 de Prandelli, "Super Mario" bute par trois fois sur le gardien adverse (13e, 35e et 46e), Petr Cech, avant de trouver la barre transversale (24e).




Et puis en trois minutes, la Nazionale a inversé la tendance. Par Chiellini (51e) de la tête après trois corners successifs et (enfin !) Balotelli sur penalty (54e). Menant au score, l'Italie gère les dernières tentatives adverses et voit la qualification se rapprocher. Avec 20 points, elle est assurée de terminer première du groupe B. La fête est donc totale. Car en plus d'une qualification, les Italiens célébraient aussi la 136e sélection de Gianluigi Buffon, record égalé de Fabio Cannavaro. Finalement, cette victoire et ce billet pour la Coupe du monde prennent la forme d’une cerise sur un joli gâteau.
N. B.


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Foot Coupe du Monde 2014 Gr. D Van Persie qualifie les Pays-Bas
Auteur d'un doublé sur le terrain d'Andorre (2-0), l'attaquant de Manchester United a permis aux Oranje d'assurer leur présence au Brésil dans neuf mois.
Robin van Persie a inscrit un doublé en Andorre (2-0). (Reuters)









Finalistes malheureux en 2010 face à l'Espagne (0-1 a.p.), les Pays-Bas seront bien présents au Brésil l'été prochain. En allant s'imposer en Andorre ce mardi (2-0), les hommes de Louis van Gaal ont porté leur avance à huit points dans le groupe D, à deux journées de la fin des éliminatoires. Déjà décisif vendredi en Estonie en égalisant dans le temps additionnel (2-2), Robin van Persie a de nouveau enfilé le costume de sauveur en inscrivant un doublé qui porte son total à 38 réalisations avec son équipe nationale. Soit seulement deux de moins que le recordman, Patrick Kluivert.

Dans ce groupe, c'est désormais la course à la deuxième place qui bat son plein. Grâce à son carton face à l'Estonie (5-1), la Hongrie s'est emparée du fauteuil de barragiste après la défaite de la Roumanie à domicile face à la Turquie (2-0, avec un but du néo-Stéphanois Mevlut Erding). Ces trois équipes se tiennent dans un mouchoir de poche (14 points pour la Hongrie, 13 pour la Turquie et la Roumanie) mais ne s'affronteront pas lors des deux dernières journées le mois prochain.
Rédaction

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Volley Euro (Femmes) Les Bleues en quarts
Menée deux sets à zéro par la République tchèque en barrage de l'Euro, mardi à Zurich, l'équipe de France a su inverser la tendance pour décrocher une place en quarts de finale, son objectif avoué (3-2 ; 20-25, 9-25, 25-23, 25-23, 20-18).
La joie des Bleues, qualifiées en quarts de finale de l'Euro. (L'Equipe)









Elles sont allées chercher cette victoire avec les tripes. Menées deux sets à zéro par les Tchèques, les filles de Fabrice Vial, emmenées par une Christina Bauer des grands soirs, ont tout d'abord arraché la troisième manche (25-23). Puis la quatrième, exactement sur le même score. Incroyablement soudées, elles ont éteint des adversaires pourtant données favorites.

La force du collectif, assurément, qui leur permettra de sauver quatre balles de match (une à 13-14 par Bauer, une à 15-16, une à 16-17 et une dernière à 17-18). La force du collectif qui leur permettra aussi de ne plus penser à cette occasion manquée à 15-14, sur un service manqué. L'objectif annoncé avant le début de la compétition - un quart de finale - est atteint. Place maintenant aux quarts de finale face à la Belgique (mercredi à 20h00). Une nouvelle occasion pour la capitaine Anna Rybaczewski, qui mettra un terme à sa carrière internationale une fois la compétition terminée, de faire durer le plaisir ?

«C'est une émotion incroyable, a-t-elle déclaré. En réception, nous avons été énormes. Le match a tourné. C’est assez incroyable.» «On s’est dit : quitte à perdre, autant le faire avec les honneurs. On s’est réveillées. On ne voulait pas rentrer à la maison en ayant joué un tel volley, avec des têtes de déterrées» a ajouté Hélène Schleck.

La Croatie, vainqueur (3-2) des Pays-Bas, retrouvera l'Allemagne en quarts de finale. Les Italiennes, tombeuses (3-0) des Polonaises, affronteront la Serbie. Enfin, la Turquie, qui a dominé la Biélorussie (3-0), sera opposée à la Russie.

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Cancellara abandonne la Vuelta en vue des Mondiaux

© photo news.
Le Suisse Fabian Cancellara a quitté le Tour d'Espagne mercredi, au terme de la 17e étape. Le cycliste de 32 ans va désormais se préparer pour les Mondiaux de Florence, prévus à la fin du mois.
Cancellara avait ciblé la 17e étape de la Vuelta, qui arrivait mercredi à Burgos, mais a été devancé par le Néerlandais Bauke Mollema. Le coureur de la formation RadioShack-Leopard a franchi la ligne en cinquième position.

Cancellara a néanmoins eu le temps d'enlever une étape dans cette Vuelta: le contre-la-montre individuel de Tarazona, le 4 septembre (11e étape). Le vainqueur de Paris-Roubaix et du Tour des Flandres espère ajouter, le 25 septembre à Florence, un cinquième titre de champion du monde du contre-la-montre à son riche palmarès. 'Spartacus' a déjà revêtu le maillot arc-en-ciel de la spécialité en 2006, 2007, 2009 et 2010.

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Premier entraînement avec le Real pour Gareth Bale

Football

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Le Gallois, transféré à prix d’or de Tottenham au Real Madrid, s’est rendu mercredi au centre d’entraînement de la «Maison blanche» pour sa première séance de travail avec sa nouvelle équipe.
Mis à jour le 11.09.2013

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Gareth Bale (à g.) en compagnie de Cristiano Ronaldo à l'issue de l'entraînement.
Image: Realmadrid.com
«Il y a rencontré ses nouveaux partenaires et l’encadrement technique du Real Madrid», a précisé le club merengue dans un communiqué, publiant notamment la photo d’une poignée de main entre l’attaquant gallois et la star portugaise Cristiano Ronaldo. «Le premier à lui souhaiter la bienvenue a été Cristiano Ronaldo. Les deux hommes ont discuté avec entrain en marchant ensemble jusqu’aux vestiaires de l’équipe première», a ajouté le Real.
Bale, 24 ans, a été transféré de Tottenham au Real pour un montant de l’ordre de 100 millions d’euros, qui pourrait dépasser selon certains articles de presse celui versé par le Real à Manchester United en 2009 pour Ronaldo (94 millions d’euros).
Le Gallois, qui n’avait pas disputé de match depuis la mi-juillet en raison d’un problème à un pied, a rejoué une demi-heure mardi à Cardiff lors du match de qualification pour le Mondial 2014 perdu par sa sélection nationale contre la Serbie (0-3).
Si son état de forme est jugé satisfaisant, il pourrait être dans le groupe du Real Madrid qui se déplace samedi à Villarreal pour le choc de la 4e journée du Championnat d’Espagne, entre deux des équipes de Liga qui ont effectué un sans-faute depuis le début de la saison.

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Mollema surprend les sprinters

Cyclisme

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Le Néerlandais s'adjuge en costaud la 17e étape de la Vuelta. Nibali toujours en rouge.
Mis à jour le 11.09.2013

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Bauke Mollema s’est échappé sous la flamme rouge pour s’imposer avec quelques longueurs d’avance sur le peloton des favoris.
Image: AFP
Infobox

68e Tour d’Espagne. 17e étape, Calahorra - Burgos (189 km): 1. Bauke Mollema (PB/Belkin) 4h44’28. 2. Edvald Boasson Hagen (No). 3. Maximiliano Richeze (Arg). 4. Tyler Farrar (EU). 5. Fabian Cancellara (S). 6. Grega Bole (Slq). 7. Luca Paolini (It). 8. Paul Voss (All). 9. José Herrada (Esp). 10. Nicolas Roche (Irl). Puis: 14. Vincenzo Nibali (It). 15. Alejandro Valverde (Esp). 17. Chris Horner (EU). 19. Leopold König (Tch). 20. Samuel Sanchez (Esp). 26. Joaquim Rodriguez (Esp), tous même temps. 39. Domenico Pozzovivo (It) à 1’31. 52. Daniloy Wyss (S). 67. Grégory Rast (S). 88. Martin Kohler (S), tous même temps. 93. Oliver Zaugg à 1’44. 150 coureurs au départ et classés.
Classement général: 1. Nibali 68h50’29. 2. Horner à 28’’. 3. Valverde à 1’14. 4. Rodriguez à 2’29. 5. Roche à 3’43. 6. Pozzovivo à 5’09. 7. Pinot à 6’08. 8. König à 6’17. 9. Sanchez à 7’33. 10. Tanel Kangert (Est) à 10’52. Puis: 35. Zaugg à 1h06’08. 67. Cancellara à 1h56’38. 70. Wyss à 2h02’16. 73. Kohler à 2h04’27. 75. Rast à 2h05’56.

Le Néerlandais Bauke Mollema (Belkin) a remporté la 17e étape du Tour d’Espagne mercredi à Burgos (nord), où l’Italien Vincenzo Nibali (Astana) a conservé son maillot rouge de leader.
Au terme d’une étape de 189 km animée par le vent et les bordures, Mollema, 26 ans, s’est échappé sous la flamme rouge pour s’imposer avec quelques longueurs d’avance sur le peloton des favoris.
Le Bernois Fabian Cancellara, qui s’est retiré de l’épreuve après cette étape, a terminé au cinquième rang après avoir tenté sa chance plus tôt dans le final. «Je ne m’y attendais pas. C’était probablement ma dernière chance et ça m’a surpris de m’imposer», a déclaré Mollema, qui offre par la même occasion la première victoire d’étape à son équipe dans un grand tour cette saison.
Plus tôt dans l’étape, l’Espagnol Francisco Javier Aramendia et l’Australien Adam Hansen avaient pris le large jusqu’à s’offrir plus de huit minutes d’avance au 56e km. L’écart s’est ensuite réduit mais les deux fuyards ont maintenu leur avance jusqu’au 168e km, avant de finalement céder et de laisser la victoire à Mollema.
Victimes des bordures, l’Italien Federico Pozzovivo (6e du général) et le Français Thibaut Pinot (7e) ont concédé plus d’une minute à leurs rivaux du Top 10. Vincenzo Nibali a lui été solidement emmené par ses coéquipiers jusqu’à l’arrivée et se rapproche toujours plus d’un sacre dimanche à Madrid.
Jeudi, la 18e étape se disputera sur 186,5 km entre Burgos et Pena Cabarga.

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Le Stade de Genève mis hors-jeu par l'ASF et ses sponsors

FOOTBALL

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Plusieurs voix se sont élevées contre la vétusté de l'enceinte de la Praille lors du match Suisse - Chypre de juin dernier.
Mis à jour le 11.09.2013 25 Commentaires

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Le Stade de Genève: 10 ans à peine, et déjà si vieux...
Image: Laurent Guiraud/Tamedia Publications

Il paraît bien improbable que l’équipe de Suisse revienne à Genève dans un avenir proche. Les sponsors de la sélection ont manifesté un certain dépit après le match contre Chypre en juin dernier.
Les parraineurs ont critiqué l’insalubrité du stade et l’absence d’un réseau wi-fi digne de ce nom. «C’est vrai, le feedback des sponsors n’a pas été positif, relève le président de l'ASF Peter Gilliéron. Mais ce ne sont pas eux qui désignent les villes appelées à accueillir un match de l’équipe de Suisse.»
Le président souligne toutefois que Genève devra entreprendre des travaux de rénovation pour prétendre organiser à nouveau une rencontre de l’équipe de Suisse.
La question est de savoir si les responsables du Stade de Genève possèdent les moyens financiers d’entreprendre cette rénovation, déjà si nécessaire pour un stade qui n’a que 10 ans d’âge...

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Soupçons de corruption dans la guerre des chefs à l'UCI

Cyclisme

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Les accusations pleuvent contre Pat McQuaid, l'Irlandais candidat à sa propre succession à la tête de l'Union cycliste internationale. L'élection approche et un nouveau document est dévoilé...
Par Pascal Schmuck, Zurich. Mis à jour le 11.09.2013 1 Commentaire

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1/4 Le Centre Mondial du Cyclisme et l'Union Cycliste Internationale (UCI) sont basés à Aigle, dans le Canton de Vaud.
Image: Olivier Maire/Keystone





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L’Union cycliste internationale (UCI) se serait bien passé de cette nouvelle escalade dans la campagne acharnée pour désigner son président. Le site américain spécialisé VeloNews a diffusé le résumé d'un rapport sur la corruption au sein de l'UCI.
Le dossier de 54 pages a été remis à la mi-juin au comité directeur de l’UCI. Le président Pat McQuaid y est accusé notamment d'avoir voulu couvrir le contrôle positif au clenbuterol d’Alberto Contador lors du Tour de France 2010. Contre espèces sonnantes et trébuchantes, mais la révélation de l'affaire dans les médias aurait tout annulé.
McQuaid contre-attaque
Son prédécesseur Hein Verbruggen n'est pas épargné puisque d'après le résumé, les deux hommes ont demandé 250'000 euros à un propriétaire d’équipe. En échange, ils lui promettaient d’aider son équipe ainsi que le cyclisme en général dans son pays.
Le document indique également que le rapport qui innocentait Lance Armstrong après la révélation de son contrôle positif à l’EPO a été en partie révisé par les avocats de l’UCI et financé par Armstrong lui-même.
Pat McQuaid a tout de suite réagi, ne voulant pas que la situation s'envenime à deux semaines de la réunion de Florence. Il a tout démenti dans un communiqué publié lundi 9 septembre, affirmant que «les accusations contenues dans ce soi-disant dossier sont de pures inventions.» Il a même appelé son rival, le Britannique Brian Cookson, à condamner ce qu'il appelle «des pratiques de gangsters».
McQuaid s'est fait de puissants ennemis
Son adversaire en a surtout profité pour demander l'ouverture d'une enquête sur les soupçons de corruption au sein de l'UCI. Mike Plant, un ancien président de USA Cycling, est le membre du comité de direction qui a remis le rapport lors d'une réunion en Norvège. Il a confirmé à VeloNews que les points du résumé reprenaient les principaux éléments du dossier.
Ce rapport a été assemblé par Igor Makarov, président de la Fédération russe de cyclisme et propriétaire de l’équipe Katusha. Tout comme Mike Plant, il s'oppose à la réélection de Pat McQuaid à la tête de l’UCI et soutient Brian Cookson, actuel président de la Fédération britannique de cyclisme.
Des fédérations derrière Cookson
L'Irlandais Pat McQuaid brigue un troisième mandat à la tête de l'UCI mais il fait face à une opposition féroce. Déjà privé du soutien de Swiss Cycling et de sa propre fédération irlandaise de cyclisme, il a également vu Sebastian Coe, président du comité olympique britannique, appuyer son rival. Ce dernier a reçu entre autres le soutien des fédérations canadienne et néo-zélandaise.
Les deux hommes se livrent une lutte féroce, s'accusant tour à tour de ne rien proposer de neuf en matière de dopage ou encore de chercher à modifier les modalités des élections. (Newsnet)