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13/09/2013, 07h37
Hand D1 (Hommes) 1e j. Paris débute par un nul
Grosse surprise en ouverture du Championnat de France jeudi, le Paris-SG a été accroché par Toulouse a dû se contenter d'un match nul (29-29). Quelques jours après sa contre-performance au Trophée des champions, le tenant du titre ne s'est pas rassuré.
Jérôme Fernandez a parfaitement joué son rôle de leader face au Paris-SG. (L'Equipe)
Le "traumatisme" n'est pas totalement évacué. Battu en demi-finale du Trophée des champions par Chambéry samedi (28-28, 5 t.a.b. 3), le Paris-SG, qui entamait la défense de son titre à Toulouse jeudi, a dû se contenter du point du match nul (29-29). Sans une parade du bout du pied de Patrice Annonay sur un pénalty de Jérôme Fernandez à vingt secondes du buzzer, il aurait même pu repartir les valises vides. Et cela n'aurait pas vraiment été immérité, tant le Fénix, qui a fait la course en tête pendant toute la seconde période, s'est montré à la hauteur du défi proposé.
On pensait pourtant le match de Paris lancé à la 12e minute, quand Luc Abalo a réceptionné un kung-fu lancé par Daniel Narcisse. Une superbe action collective qui a placé les champions de France devant à la marque (6-7). Mais voilà, Toulouse aussi a ses stars. Ou plutôt sa star, Jérôme Fernandez. Déjà mis en échec par Sierra sur sa première tentative de pénalty, le capitaine de l'équipe de France a ensuite porté les siens à bout de bras. Auteur de huit buts à la pause (9 au total), il a montré la voie à suivre à des Toulousains décomplexés et réalistes devant le but. La succession de Didier Dinart n'étant pas facile à assumer, la défense parisienne, axée autour du Croate Jakov Gojun, a été loin de son rendement de la saison dernière (16-16 à la pause). Et pour ne rien arranger aux affaires de Philippe Gardent, Igor Vori a rejoint les tribunes à 20 minutes du terme de la rencontre, à la suite de sa troisième exclusion temporaire.
Porte et Abalo replacés arrières
Toulouse a alors compté jusqu'à trois longueurs d'avance (23-20, 11e), écart maintenu jusque dans les dix dernières minutes (26-23, 22e). Replacé arrière, comme Luc Abalo dans le camp d'en face, Valentin Porte (4 buts) a été énorme en attaque comme en défense, devant Mikkel Hansen. Les Parisiens sont alors revenus à un jeu plus simple et ont misé sur la réussite de Samuel Honrubia sur son aile gauche (7 buts) pour arracher un nul heureux. Au micro de Canal+ Sport, le capitaine Daniel Narcisse préférait « retenir le positif» alors que Jérôme Fernandez, lui, s'en voulait d'avoir manqué la balle de match mais se réjouissait de ce « début d'une belle aventure».
L.V.
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13/09/2013, 07h38
Foot Eco L'OM et Reims, chouchous des stats
Ils avaient anticipé avant tout le monde le titre de Lille en 2011 : les chercheurs du CIES-Obervatoire du football de Neuchâtel pronostiquent que Marseille s'intercalera sur le podium entre le PSG et Monaco, et "voient" Reims dans le Top 10 en mai prochain.
Stabilité et recrues ciblées : les statistiques plaident pour l'OM et Reims, selon le CIES. (L'Equipe)
L'économie du football, ça vous connait ! Lorsque nous vous avons sondé sur l'identité du futur champion, vous avez tablé sur le PSG à 71%, placé à égalité Monaco et l'OM (9%) et accordé un accessit à Lyon (6%). Sans surprise, vos réponses épousaient le classement des quatre premiers budgets de la L1, respectivement 400, 130, 125 et 121 millions d'euros. Votre podium faisait aussi logiquement écho au Top 3 des clubs les plus dépensiers du mercato. Monaco, Paris et Marseille n'ont-ils pas cumulé plus de 85% des sommes investies cet été en France dans l'achat de joueurs ? Tout l'intérêt des pronostics du CIES est d'affiner cette corrélation, maintes fois démontrée, entre puissance économique et résultats sportifs. Le phénomène se vérifie aussi bien en France, où, selon la DNCG, il s'accentue même au fil des saisons, que chez nos voisins, comme l'a souligné (et regretté) la Commission européenne au début de l'année. Les gros gagneront donc. Mais lesquels ?
Marseille devance Monaco «en raison de l'expérience de la Ligue 1 de ses joueurs clé et d'un onze de référence jouant depuis plus longtemps ensemble» Les chercheurs suisses ont quelque crédit pour apporter une réponse. N'avaient-ils pas anticipé le titre du LOSC en 2011 et choisi Montpellier comme « coup de coeur» en 2012 ? Leurs prévisions s'appuient sur la combinaison de trois critères pour chaque effectif : l'« expérience» (nombre de matches joués et résultats), la « prolificité» (nombre de buts selon la difficulté du Championnat) et la « stabilité» (nombre de saisons au club et années restantes de contrat). Sur le podium virtuel ainsi obtenu, l'OM s'intercale entre le PSG et Monaco. « Cavani, 78 buts lors des trois dernières saisons à Naples, renforce à Paris une qualité générale sans égal en France», analyse Raffaele Poli, le responsable de l'Observatoire. Marseille devance Monaco, malgré Falcao, « en raison de l'expérience de la Ligue 1 de ses joueurs clé - Valbuena, André Ayew, Payet - et d'un onze de référence jouant depuis plus longtemps ensemble (Ndlr : l'OM est 2e sur le critère de la stabilité, Monaco 11e)».
Real et Dortmund plutôt que Barça et Bayern
Inattendu : Reims se voit promettre une 8e place, certes en deçà de son 6e rang après quatre journées, mais bien meilleur que le 14e de l'an passé pour son retour dans l'élite. « Ce pronostic est lié, là encore, à la stabilité du noyau de l'équipe, et à des recrues à fort temps de jeu et efficaces comme Atar et Albaek.» En Europe, le CIES voit Manchester United et la Juve garder leur titre, mais pronostique le Real et Dortmund plutôt que les champions sortants, Barça et Bayern. « Avec le renfort de Mkhitaryan, les 11 meilleurs de Dortmund, selon nos critères, devancent - de peu - les 11 meilleurs du Bayern... mais gare aux blessures car le banc munichois, lui, est plus fort.» En Espagne, le calcul sous-évalue Neymar qui arrive au FC Barcelone en provenance d'un Championnat - le Brésil - moins coté, tandis que « le Real dispose dans son effectif de davantage d'options que son rival».
Jean LE BAIL
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13/09/2013, 07h40
Voile America «Les Néo-Zélandais ont gagné»
Engagé sur la Coupe de l'America depuis 1983, finaliste en 1992 (" Il Moro ") et 1995 (" Young America "), Paul Cayard est une figure essentielle de l'épreuve. A la tête du syndicat suédois Artemis, il a connu bien des difficultés au cours de la présente campagne et livre son point de vue et son analyse.
Paul Cayard (à droite) au côté de Russell Coutts, boss du défi Oracle. (AFP)
«Paul Cayard, les Américains peuvent-ils encore gagner la Coupe (après avoir perdu six des sept premières régates) ?
Non, sauf accident ou chavirage, les Néo-Zélandais ont remporté la 34è Coupe de l'America.
Etes vous surpris par cette finale ?
Je ne suis pas surpris par le déséquilibre. Lorsque l'on inaugure une jauge (les AC72 en l'occurrence), on tâtonne forcément. Le jeu consiste à essayer des solutions souvent contradictoires. Cela tiendrait du miracle si deux équipes d'architectes distinctes, installées de part et d'autre de la planète trouvaient, comme par enchantement, deux solutions similaires ou en tout cas très proches l'une de l'autre. Après dix ou douze ans de recherches parallèles sans doute, mais pas après deux années de cogitation seulement. Cela dit, je l'avoue, je voyais plutôt les Américains aux commandes en matière de vitesse et, c'est là, pour moi, que réside la surprise.
«John Kostecki (tacticien d'Orace) a commis certaines erreurs.Sa décision à la première porte, mardi, a tout simplement été horrible. » Il y a la vitesse intrinsèque du bateau, mais il n'y a pas que cela ?
Je ne veux pas accabler John Kostecki et ses choix tactiques lors des 3e ou 5e régates. C'est un ami. Comme moi, il est de San Francisco, comme moi, il connaît parfaitement le plan d'eau. Incontestablement, il a commis certaines erreurs. Sa décision à la première porte, mardi, a tout simplement été horrible. Mais était-il vraiment en confiance ? Ce jour là, Oracle disposait-il des bons foils ? Kostecki n'a-t-il pas craint un incident mécanique ? Une chose est certaine, il était fébrile et dans un état pareil, tôt ou tard, on commet une erreur. On ne le répétera jamais assez : la Coupe est un tout. Si les Néo-Zélandais sont plus rapides au près c'est que leurs appendices sont bons, que leur aile est différente, que leur manoeuvres sont excellentes, que leur cohésion est impeccable. S'ils sont en tête, c'est tout simplement parce que leur campagne a été bien menée. Pas d'incident important, pas de chavirage, pas de perte de temps...
«C'est la plus grosse contre performance de ma carrière» Le contraire de ce qui vous est arrivé… Avez-vous digéré votre échec ?
Ce n'est pas simple. C'est la plus grosse contre performance de ma carrière. Je n'ai rien pu faire pour redresser la barre. Lorsque j'ai remporté la course autour du monde (la Volvo) avec " EF " (en 1997-1998), je m'étais juré de ne pas revenir. Huit ans plus tard, j'ai pourtant remis ça avec " Pirates des Caraïbes ". L'affaire était très mal engagée. Nous avons pris un retard énorme, beaucoup de choses ne collaient pas, mais nous avons pourtant fini en deuxième position. Là, j'ai tout essayé, mais rien ne marchait.
Vous faites-vous des reproches ?
Bien sûr. Et j'assume les responsabilités de cette défaite. Même si les problèmes techniques ne relèvent pas spécifiquement de ma partie, c'est moi qui ai pris les décisions essentielles. On ne peut pas revenir là-dessus.
Vous êtes-vous trompé sur certains hommes ?
Avec le recul, oui.
La mort d'Andrew Simpson le 9 mai dernier a-t-il porté un coup fatal à votre projet ?
Ça n'a pas aidé ! Mais d'un autre côté, cet accident terrible, a, accessoirement, révélé les problèmes structurels de notre bateau. Du coup, nous avons eu deux énigmes à résoudre en même temps : faire réellement voler notre AC72 et assurer sa solidité. Pendant quatre mois nous avons tout revu de A à Z . C'était devenu une course quasi désespérée.
Quel est l'avenir d'Artemis ?
Torbjörn Törnqvist, notre patron, ne veut conserver que les bons côtés de cette campagne. Il veut revenir, mais à certaines conditions. Entre autre, la réduction de moitié du budget qu'il a dépensé cette fois ci (on parle de 120 millions d'euros). Il est aussi très inquiet de l'évolution probable de la règle des nationalités. Personnellement, j'ai changé d'avis sur ce sujet : comme Grant Dalton, je pense qu'il est préférable qu'au moins 50 % des membres d'une équipe appartiennent à la nationalité du club qui, précisément, soutient ce défi.
Comment voyer vous la suite de la Coupe ?
Cela va être très difficile de convaincre rapidement des sponsors de revenir dans le jeu. Cette édition - le faible nombre de participants, les éliminatoires très décevants - n'a rien fait pour les rassurer.
Peut-on abandonner les multicoques ?
Je ne crois pas. Ce serait une erreur. Il faut maintenir le circuit des AC45 pendant deux ans, lancer la recherche d'un bateau un peu plus grand (60 pieds) au terme de ces deux années et pour les douze mois suivants et organiser la Coupe à ce moment là avec ce nouveau bateau. Les coût diminueraient d'autant : moins de design, des équipes plus réduites, une plate-forme plus modeste avec une aile one design par exemple, etc.
On vous reverra sur la Coupe ?
Il ne faut jamais dire jamais. Mais cela fait 30 ans que cela dure. Je me pose la question : est-ce que la Coupe est ma vie ? J'ai des doutes. Maintenant que mes enfants ont fini leurs études est-ce que je ne devrais pas me lancer dans autre chose ? Je n'ai fait que cela, je n'ai vécu que pour cela. Je m'interroge.»
Benoît HEIMERMAN
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Oracle sombre...
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13/09/2013, 07h42
Triathlon Championnats du Monde Deux Bleus en or !
Sur le parcours des Jeux olympiques de Londres, à Hyde Park, Pierre Le Corre en U23 (moins de 23 ans) et Dorian Coninx chez les juniors, sont devenus champions du monde. Historique.
Favori avant la course, Pierre Le Corre a assumé et a décroché le titre mondial U23. (Photo ITU) (D.R)
Pour sa dernière année dans la catégorie, Pierre Le Corre (Les Sables Vendée Triathlon) a parfaitement assumé son rôle de favori dans la catégorie U23 (moins de 23 ans) en devenant le premier Tricolore sacré en U23, au terme d'un incroyable sprint. Il devance l’Espagnol Alarza et l’Australien Wilson. Neuvième à Stockholm lors de la dernière étape des World Triathlon Series (WTS), le triathlète des Sables Vendée, également étudiant en école de commerce à l’ESC Montpellier a su répondre présent dans une course où il s’affichait comme l’homme à battre. « Je n’étais vraiment pas super aujourd’hui alors gagner dans ces conditions me rend encore plus heureux, confie le champion d’Europe U23, en 2012, déjà sixième des Championnats d’Europe Elite en juin dernier. J’ai fait beaucoup le yoyo mais je me suis accroché car je savais que si j’arrivais au sprint avec ces gars-là, ça le ferait. Je me suis battu, battu, battu et j’ai lâché les chevaux à la fin. Ce titre est une étape importante, un petit pas dans la cour des grands. Tous les meilleurs actuels ont eu cette médaille d’or. Même s’il me reste encore beaucoup de travail, c’était une étape importante et elle est validée » Grosse satisfaction évidemment pour l’entraîneur Pierre Houseaux : « Il nous a fait peur, mais il l’a fait. Pierre n’était pourtant pas dans un grand jour. Il ne se sentait pas très bien mais a su le cacher. Il a montré qu’il pouvait gagner même dans un mauvais jour. C’est très fort. Il a été super intelligent, sans jamais s’affoler. C’est la preuve que c’est un grand. »
Dans la course féminine, Emmie Charayron (EC Sartrouville) était la seule Tricolore au départ. Auteur d’une bonne natation (5e), la Française, aux avant-postes après le vélo et encore dans le top 5 jusqu'à mi-course à pied, a ensuite cédé du terrain au fil des kilomètres. Elle termine neuvième à 1’01’’ d’une course remportée par l’Australienne Charlotte McShane.
Le doublé Europe-Monde pour Coninx
Chez les Juniors, déjà sacré champion d’Europe en juin à Alanya, Dorian Coninx (Valence Triathlon), 19 ans, a confirmé son énorme potentiel. Sorti le premier de l’eau, puis constamment aux avant-postes sur le vélo, le Valentinois a ensuite réalisé une course à pied parfaite. Il se pare d’or comme le firent avant lui Frédéric Belaubre (2000), Aurélien Raphaël (2007, devant Alistair Brownlee et Vincent Luis), Vincent Luis (2008) et chez les filles, Marion Lorblanchet (2002), Juliette Benedicto (2004) et Emmie Charayron (2009). « C'est fou !, lâche le nouveau champion du monde, étudiant en Staps à Grenoble. C'est un rêve qui se réalise. C’est dans mes habitudes de mener tout le temps car je n’aime pas trop subir la course. Aujourd’hui, j’ai nagé fort pour essayer de faire le trou mais ça n’a pas marché. J’ai ensuite roulé fort pour faire la différence mais ça n’a pas marché non plus. Alors il ne restait plus qu’à courir vite. Maintenant, il va falloir bosser dur pour passer sur la course supérieure puisque je serai l’an prochain U23. » Vice-champion d’Europe, Raphaël Montoya (EC Sartrouville) a lui aussi réussi une belle course et prend la quatrième place à 22 secondes de son coéquipier.
Un peu moins de réussite dans la course fille. Cassandre Beaugrand (Saint-Raphaël Triathlon) est sixième et Léonie Periault (Issy Triathlon), vice-championne du monde l’an dernier, douxième après une belle remontée à pied (6e temps).
Suite des compétitions vendredi avec les Championnats du monde de paratriathlon où la France peut aussi espérer ramener plusieurs médailles. – P.G.-B.
Résultats
HOMMES
U23
1. Le Corre (FRA), 1h42’47’’
2. Fernando Alarza (ESP), à 4’’
3. Declan Wilson (AUS), à 8’’
Juniors
1. Dorian Coninx (FRA), 51’57’’
2. Marc Austin (GBR), à 3’’
3. Grant Sheldon (GBR), à 4’’
4. Raphaël Montoya (FRA), à 22’’
FEMMES
U23
1. Charlotte McShane (AUS), 1h55’38’’
2. Ellen Pennock (CAN), à 1’’
3. Amelie Kretz (CAN), à 3’’
9. Emmie Charayron (FRA), à 1’01’’
Juniors
1. Tamara Gorman (USA), 57’08’’
2. Georgia Taylor-Brown (GBR), à 23’’
3. Laura Lindemann (ALL), à 22’’
6. Cassandre Beaugrand (FRA), à 54’’
12. Leonie Periault (FRA), à 2’01’’
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14/09/2013, 13h43
Servette-Lausanne, un derby qui court après son passé
13.09.2013 09:07 mise à jour à 10:00
Oscar Londono et Massimo Lombardo travaillent tous deux au sein de la relève du Servette FC. [Axel David - RTS]
Le football romand aura les yeux rivés sur la Praille samedi pour un énième affrontement entre Servette et le Lausanne-Sport en 16e de finale de la Coupe de Suisse. Massimo Lombardo et Oscar Londono, qui ont tous deux porté le maillot des deux clubs, se sont penchés sur le derby lémanique, autrefois incontournable mais qui a aujourd'hui perdu de sa saveur.
Servette-Lausanne ou Lausanne-Servette, c'est une rengaine qu'Oscar Londono et Massimo Lombardo connaissent sur le bout des doigts. L'un et l'autre ont défendu les couleurs des deux "frères ennemis" et ont pris part à de nombreux derbies, comme adversaires, mais également comme coéquipiers.
Une fois leur carrière de joueur terminée, le destin a voulu que leurs routes se croisent à nouveau au sein du Servette FC. Tous deux préparent l'avenir des Grenat en dispensant leur enseignement et en partageant leur expérience avec la relève. Le premier est en charge des M21 du SFC, le second entraîne les M18.
C'est d'ailleurs au stade de Balexert, là où s'entraîne le SFC, qu'ils ont accepté de se confier à RTSsport.ch avant le derby de samedi (19h30).
"Une rivalité surtout hors du terrain"
RTSsport.ch: Servette et Lausanne, qui se retrouvent samedi en Coupe, restent sur des dynamiques opposées. Avantage SFC?
MASSIMO LOMBARDO: C'est toujours plus facile de préparer un tel match si on reste sur une série positive, ce qui est le cas de Servette. Mais le LS a connu des changements ces dernières semaines, un effort financier a été fait et sa dynamique peut changer. Mais à mon sens, Lausanne aura plus de pression.
OSCAR LONDONO: Lausanne sort d'une saison difficile et est reparti sur les mêmes bases. On a vite vu que ça allait être compliqué. Il faudra voir ce que vont apporter les derniers renforts en date. Comme l'a dit Massimo, la pression est sur le club de Super League. Servette a tout à gagner, l'équipe reste sur deux victoires et traverse une bonne passe.
Londono (ici contre le Servettien Vurens) a raté de peu le titre en 1999. [Fabrice Coffrini - Keystone] RTSsport.ch: Servette - Lausanne-Sport... Qu'est ce que cela évoque pour vous?
MASSIMO LOMBARDO: C'est un match particulier... Je me rappelle que le premier match que j'avais joué sous le maillot de Lausanne était contre Servette. J'arrivais de Lugano, j'avais longtemps été blessé et l'entraîneur m'avait demandé si j'étais apte à jouer. Je n'étais pas convaincu mais je lui avais dit oui. On avait gagné 4-0, d'ailleurs Oscar jouait en face (sourire). Mais d'un point de vue général, tu sens que l'atmosphère pour ce derby est différente, c'est un match à part. Mais, en tant que joueur, je l'ai toujours abordé comme un match normal.
OSCAR LONDONO: Un derby est toujours spécial. Mais je dirais qu'ici, la rivalité existe surtout entre les supporters et moins sur le terrain. Il y a de l'animosité entre supporters, c'est ça qui met l'ambiance. Mais il peut arriver, malheureusement, qu'il y ait des débordements. Mais au niveau de la ferveur, un Servette-Sion est plus chaud entre les supporters. D'un point de vue sportif, il se passe toujours quelque chose dans un Servette-LS. Ce sont souvent des rencontres capitales, avec des enjeux et des rebondissements.
RTSsport.ch: Vous avez disputé de nombreux derbies lémaniques. Y en a-t-il un qui vous a particulièrement marqué?
MASSIMO LOMBARDO: Celui de 1999 avec le titre de champion comme enjeu était très particulier. Je jouais à Lugano à l'époque, mais je m'en rappelle très bien. Il y avait deux belles équipes. Servette était arrivé à ce match avec plus d'énergie. C'est le genre de match extraordinaire à vivre pour un joueur. Mais ça doit être un mauvais souvenir pour toi Oscar (rires)!
OSCAR LONDONO: Oh oui, ce match restera à jamais gravé dans ma mémoire! Perdre un titre sur le dernier match, c'est terrible! Notre grosse erreur avait été de croire qu'on était champion avant le match, lorsque nous avions gagné à Zurich. Servette avait mieux géré le match et avait pu compter sur Vurens et Petrov qui avaient eu un maximum de réussite. L'autre souvenir qui me revient avait eu lieu en Challenge League, en août 2006. On recevait Lausanne à la Praille et on s'était retrouvés menés 3-0 à la pause et ils auraient très bien pu nous en mettre cinq. On s'était finalement imposés 4-3.
"Les faillites ont déçu beaucoup de monde"
Lombardo a porté le maillot servettien à 66 reprises avant la faillite du club. [Walter Bieri - Keystone] RTSsport: Est-il vrai, selon vous, de dire que les duels entre Servette et Lausanne suscitent moins d'engouement aujourd'hui?
MASSIMO LOMBARDO: Oui et cela s'explique par l'historique des deux clubs dans la dernière décennie durant laquelle les deux clubs ont connu une faillite. Pendant des années, Servette et Lausanne jouaient le haut du tableau. Par rapport aux années 80 et 90, l'enthousiasme a baissé. Après je pense que chez certains supporters, ce match garde la même importance quelle que soit la ligue dans laquelle évoluent les deux équipes.
OSCAR LONDONO: La situation a beaucoup évolué, mais dans le mauvais sens. Dans les années 80 et 90, le derby lémanique attirait beaucoup de monde au stade. Quand j'ai commencé à Lausanne, en 1990, il y avait 10'000 personnes par match à la Pontaise. Les gens venaient de partout, on avait une belle équipe, il y avait quelque chose qui se passait. Puis Waldemar Kita est arrivé, il voulait faire du business et l'équipe a gentiment éclaté. Même chose lorsque je suis passé à Servette: les Charmilles, l'ère Canal +, une belle équipe, etc. On jouait le haut du tableau puis ça s'est dégradé. Ce qui s'est ensuite passé dans les deux clubs, les faillites et tout ça, a déçu beaucoup de monde et les gens ont commencé à moins venir au stade.
MASSIMO LOMBARDO: Je pense qu'il ne faut pas non plus oublier un élément important: l'identité des clubs. Après l'arrêt Bosman, les gens se reconnaissaient moins dans leur équipe car il y avait plus d'étrangers et moins de "locaux". Je me souviens que lorsque je jouais à GC et qu'on affrontait Sion, on sentait une identité valaisanne en face. Tout cela a disparu.
"Lausanne et Servette ont besoin de continuité"
Londono a disputé quatre finales de Coupe avec trois succès à la clé. [Laurent Gillieron - Keystone] RTSsport.ch: Le foot romand en général, et lémanique en particulier, traverse une grave crise. Quelles en sont les causes?
MASSIMO LOMBARDO: Les cas de Lausanne et Servette sont un peu différents. Le LS fait très attention à sa situation économique depuis la faillite. Le club travaille dans la continuité, et évolue petit à petit. Au SFC, on n'a pas senti la même justesse dans la gestion avant l'arrivée d'Hugh Quennec. Mais il ne faut pas se mentir: c'est très difficile, voire impossible, de réussir sans un gros budget. Les derniers champions de Suisse, que ce soit Bâle ou Zurich, avaient des moyens importants. Des clubs comme Lausanne et Servette ont besoin de continuité dans la gestion et dans la formation. Quand on regarde l'agglomération genevoise, on constate qu'il y a énormément de jeunes talentueux.
OSCAR LONDONO: Avant, c'était plus facile car il y avait des gens qui soutenaient les deux clubs, des pôles d'investisseurs, les structures étaient meilleures. On pouvait faire venir de grands joueurs comme Giancarlo Antognoni, champion du monde avec l'Italie en 1982, qui est venu jouer au LS. Quand ces gens sont partis, on n'a pas su franchir le pas. Il n'y avait pas de bases solides et on a loupé le tournant.
RTSsport.ch: Quelles sont donc les solutions pour sortir le foot romand du marasme dans lequel il est plongé?
MASSIMO LOMBARDO: La continuité est primordiale. Vous savez, j'ai joué durant 5 ans à Grasshopper et je touchais un salaire dans la moyenne d'un travailleur suisse, comme la majorité de l'équipe. Seuls 2 ou 3 joueurs touchaient un salaire conséquent. Mais il y avait de la continuité, une dynamique au sein du club. GC a toujours été un club formateur et peut toujours compter sur ses jeunes.
OSCAR LONDONO: Lorsque je regarde le FC Bâle aujourd'hui, je suis frappé par une chose: il ose faire jouer ses jeunes et leur confie des responsabilités. En Suisse romande, on n'ose pas! On préfère griller les places qu'on pourrait donner à la relève en faisant venir des joueurs étrangers. Il faut leur faire confiance s'ils ont les qualités nécessaires et continuer dans cette voie même s'il peut leur arriver de faire un mauvais match. Il faut leur enlever cette pression qu'on leur met et voir sur le long terme en les encadrant avec 2-3 joueurs d'expérience.
"La pression est sur le LS"
Lombardo a été sélectionné à 15 reprises en équipe de Suisse. [Michele Limina - Keystone] RTSsport.ch: Le Servette FC évolue en Challenge League avec des moyens plus limités. Cela signifie-t-il qu'il compte plus sur sa relève?
MASSIMO LOMBARDO: Il ne faut pas penser comme ça. Ce n'est pas parce que le club est en Challenge League que les jeunes auront plus de chances de jouer. Si le joueur a de la valeur et qu'il adopte la bonne attitude, il doit jouer, point. Après tout dépend des objectifs fixés par le club, s'il veut jouer pour la promotion, ce qui est le cas du SFC.
RTSsport.ch: Si vous deviez miser une pièce sur le match de samedi, votre pronostic serait...?
OSCAR LONDONO: Je vois une victoire servetienne 3-2.
MASSIMO LOMBARDO: Ca sera un match serré, mais je vois Servette passer aux tirs aux buts.
Propos recueillis par Axel David
je jouait au Malley Massimo était haut commet on dit? 3 pommesBrava Massimo
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14/09/2013, 13h50
Fribourg s'impose sur le fil face à Lausanne, Genève battu
13.09.2013 22:03 mise à jour le 14.09.2013 à 11:37
Les Dragons se congratulent après le but de Schilt, synonyme de victoire. [PETER SCHNEIDER - Keystone]
Battu la veille par Zurich, Fribourg-Gottéron s'est imposé à l'arrachée 3-2 contre Lausanne, alors qu'il était encore mené à trois minutes de la fin. Genève-Servette a entamé le championnat par une défaite à domicile contre Ambri (1-2), alors que Bienne a battu Zurich aux tirs au but (1-0).
Peu d'observateurs donnaient du crédit au LHC. Les Lausannois ont pourtant pris à froid les Fribourgeois en ouvrant le score dès la 2e minute grâce à Caryl Neuenschwander, laissé seul par l'arrière-garde des Dragons.
Dominés 24 heures plus tôt par les Zurich Lions au Hallenstadion, les hommes de Hans Kossmann ne sont pas rentrés dans le match avec la hargne de l'équipe blessée dans son orgueil.
Il a fallu quelques minutes aux Fribourgeois pour montrer aux Vaudois qu'ils n'avaient pas l'intention de les voir quitter Saint-Léonard avec les trois points. La déception se lit sur les visages du capitaine Bezina et de ses coéquipiers. [LAURENT GILLIERON - Keystone] A la 16e, Benjamin Plüss y est allé de son solo dans la défense des Lions pour finalement buter sur Cristobal Huet.
Sur le cinquième jeu de puissance fribourgeois, Joel Kwiatkowski a expédié l'un de ses missiles favoris de la ligne bleue synonyme d'égalisation. Puis Larri Leeger à plongé Saint-Léonard dans la torpeur en inscrivant le 1-2 en infériorité numérique (55e).
Mais Gottéron a de la ressource et un peu de chance. A la 57e, c'est Plüss qui a égalisé. Puis à une minute de la troisième sirène, c'est Sebastian Schilt qui a donné la victoire à ses couleurs d'un tir flottant.
Genève commence mal
Les Genevois ont complètement raté leur entrée dans la compétition. Ambri-Piotta a ouvert la marque en supériorité numérique par Daniel Steiner (11e).
Les Genevois ont péniblement égalisé par Cody Almond bien servi par Simek (32e). Mais une grossière erreur de Vukovic à l'entrée du camp genevois profitait à Schlagenhauf qui trompait Stephan d'un tir puissant.
Les Seelandais doivent une fière chandelle à leur gardien Meili. [SALVATORE DI NOLFI - Keystone] Meili fait oublier Berra
Bienne défendra chèrement sa peau. Les Seelandais ont livré un match courageux contre les Lions. Ils ont pu s'appuyer sur leur nouveau gardien Lukas Meili qui s'est montré à la hauteur de la tâche difficile de faire oublier Reto Berra. Sur cette partie, le Zurichois y est parvenu.
Ce match qui opposait deux équipes bien en place défensivement s'est donc joué aux tirs au but. Sur le 15e (!) essai, Kamber donnait l'avantage 3-2 aux Biennois.
Shannon s'élançait le dernier mais son tir était dévié par Meili. Le puck faisait mine de franchir la ligne. Mais après avoir revu la scène sous deux angles, les arbitres n'accordaient pas le but.
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14/09/2013, 13h51
La Suisse fête un deuxième point grâce à Chiudinelli
13.09.2013 18:13 mise à jour à 20:42 Réagir
Chiudinelli [SALVATORE DI NOLFI - Keystone]
Marco Chiudinelli
Julio-Cesar Campozano
3 6
6 1
6 3
7967
- -
Après le succès de Stanislas Wawrinka contre Emilio Gomez, Marco Chiudinelli a apporté un deuxième point à la Suisse dans le barrage de Coupe Davis face à l'Equateur. Le Bâlois a battu Julio Cesar Campozano 3-6 6-1 6-3 7-6.
Le no 2 helvétique s'est toutefois fait très peur. Après avoir vaincu sa fébrilité en début de match, Chiudinelli a été rattrapé par la nervosité à 4-2 dans le quatrième set alors que la partie lui semblait promise.
Contraint de disputer un tie-break, très énervé par des décisions arbitrales et lâché par son service, le Bâlois était proche de se retrouver embarqué dans une cinquième manche de tous les dangers. Il devait même écarter deux balles de set à 5/6 et 6/7, sauvées grâce à deux cadeaux en revers de son adversaire.
Chiudinelli, lui, ne laissait pas filer sa première balle de match en profitant d'une nouvelle faute en revers d'un Campozano tout aussi nerveux que lui. Vainqueur après 2h40' de jeu, Chiudinelli pouvait laisser exploser sa joie devant le public ravi mais peu nombreux de la Patinoire du Littoral.
Il faut dire que la pression était importante sur les épaules du joueur de 32 ans, peu en réussite lors de ses dernières sorties en Coupe Davis. Il n'avait d'ailleurs plus remporté de match à enjeu pour la Suisse depuis 2007 et une victoire contre l'Espagnol Fernando Verdasco.
L'affaire pliée samedi?
Avec la victoire acquise plus tôt dans l'après-midi par Stanislas Wawrinka, vainqueur 6-4 6-3 6-3 d'Emilio Gomez, la Suisse mène 2-0 après cette journée initiale. Le plus dur est fait et le duo Wawrinka/Chiudinelli pourrait déjà plier l'affaire samedi en double.
Sauf changement de dernière minute, il affrontera Roberto Quiroz et Gonzalo Escobar, deux joueurs classés au-delà de la...700e place en simple à l'ATP et encore plus mal loti en double. Autant dire que, sauf grosse surprise, la Suisse gagnera samedi déjà son troisième point, synonyme de victoire dans ce barrage et de maintien dans le Groupe mondial.
A lire aussi: Stan inscrit un premier point "facile"
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14/09/2013, 13h52
Laaksonen exclu de l'équipe pour sa mauvaise attitude
13.09.2013 16:54 mise à jour à 20:44 Réagir
L'attitude de Laaksonen (à dr.) lors de l'entraînement de jeudi n'a pas plu à Wawrinka et Lüthi. [SALVATORE DI NOLFI - Keystone]
Henri Laaksonen a été exclu vendredi de l'équipe de Coupe Davis. Une décision prise par le capitaine Severin Lüthi pour sanctionner le comportement laxiste du Biennois à l'entraînement.
"Je n'ai pas envie d'entrer dans les détails. Mais Henri a eu un comportement inacceptable durant les entraînements, se montrant totalement irrespectueux", s'est justifié le capitaine Severin Lüthi. "Cela ne veut pas dire qu'il ne reviendra pas dans l'équipe. Il a toutefois besoin de comprendre qu'il doit changer d'attitude", a-t-il précisé.
Laaksonen s'est notamment attiré les foudres de Stanislas Wawrinka, jeudi lors d'une séance d'entraînement. "Cet épisode a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase", a expliqué Lüthi.
Wawrinka s'est, lui, montré très remonté vis-à-vis de son jeune coéquipier. "Il a quasiment 'balancé' son entraînement, avant de râler parce que le capitaine lui demandait de se bouger", a raconté le Vaudois.
"Il y a certaines choses qu'on ne peut pas accepter. Et d'autant plus quand on sait tout ce que fait Swiss Tennis pour lancer la carrière d'Henri, sur le plan financier ou en lui octroyant des invitations sur les tournois", a-t-il dit à propos de celui qui, à 21 ans, incarne la relève du tennis helvétique. "J'espère que Swiss Tennis va le punir et qu'il sera moins aidé à l'avenir", a continué Wawrinka.
"Certains estiment que tout est permis"
Classé 203e à l'ATP et originaire de Finlande, Laaksonen avait été sélectionné pour la première fois en septembre 2012 avec l'équipe de Suisse de Coupe Davis. Mais c'est en février dernier qu'il a disputé son premier match à Genève, où il avait perdu en quatre manches contre le Tchèque Tomas Berdych.
Pressenti pour être également aligné cette fin de semaine à Neuchâtel, il avait été finalement évincé au profit de Marco Chiudinelli en tant que no 2 de l'équipe derrière Wawrinka.
Dans le sillage du cas Laaksonen, Wawrinka a fustigé le manque d'engagement de plusieurs joueurs de la nouvelle génération quand il s'agit de jouer pour la Suisse. "Certains estiment que tout est permis, que tout leur est dû. Ils devraient plutôt s'inspirer des meilleurs joueurs du monde, qui prouvent qu'on ne peut arriver à rien sans humilité", a-t-il relevé.
A lire aussi: Stan inscrit un premier point "facile",
La Suisse fête un deuxième point grâce à Chiudinelli
si/jbla
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14/09/2013, 13h54
Horner, 42 ans, nouveau leader de la Vuelta
Chris Horner a terminé 5e de l'étape, à 14 secondes du vainqueur mais avec 6 secondes d'avance sur l'Italien Vincenzo Nibali (Astana). © photo news.
MISE À JOUR L'Américain Chris Horner (RadioShack) s'est emparé du maillot rouge de leader du Tour d'Espagne au terme de la 19e étape, remportée vendredi à l'Alto del Naranco (1re catégorie) par l'Espagnol Joaquin Rodriguez (Katusha).
Vincenzo Nibali. © photo news.
Le Catalan de 34 ans a attaqué à la flamme rouge pour s'imposer au terme des 181 km de course, grappillant 24 secondes - bonification incluse - sur Horner (Radioshack) et Alejandro Valverde (Movistar) et 30 secondes sur Nibali (Astana).
Ce dernier a perdu quelques mètres sur son rival américain dans le final, ce qui a conduit à intervertir leurs places au classement général et à rendre à Horner le maillot rouge qu'il avait perdu au profit de Nibali lors du contre-la-montre de la 11e étape.
Miroir de la situation de jeudi soir, c'est désormais l'Américain qui devance de trois secondes l'Italien au classement général, à la veille de l'ascension du terrible Alto de l'Angliru, classé hors catégorie, qui devrait décider du vainqueur final de la Vuelta.
"Si on n'avait pas gagné aujourd'hui, demain (samedi) aurait été très compliqué parce que Chris (Horner) a démontré qu'il était le plus frais, a commenté Joaquim Rodriguez au micro de la télévision espagnole. Aujourd'hui (vendredi), c'était notre dernière opportunité."
"Purito" Rodriguez a produit son attaque sous la flamme rouge, juste après que le peloton des favoris ait repris le dernier échappé de la journée, le Portugais Jose Joao Mendes (NetApp).
Ce dernier, qui comptait pourtant près d'une minute d'avance au pied de la dernière difficulté, a fait les frais de l'accélération de l'équipe Saxo, dont le leader irlandais Nicolas Roche visait la victoire d'étape.
Parmi les autres victimes de cette dernière montée, le Français Thibaut Pinot (FDJ.fr) a fini à 1 min 05 sec du vainqueur et perd sa septième place du classement général au profit du Tchèque Leopold König (NetApp).
Samedi, l'arrivée de la 20e et avant-dernière étape (142 km) sera jugée au sommet de l'Alto de l'Angliru, qui, avec ses pentes à plus de 20%, est considéré par certains comme le col le plus difficile jamais escaladé dans un "Grand Tour".
"C'est une belle arrivée. Pour tout grimpeur, laisser sa marque au sommet est très spécial et la victoire d'aujourd'hui (vendredi) est un coup de fouet incroyable pour le moral. J'espère être à la hauteur", a indiqué Joaquim Rodriguez, toujours quatrième au classement général à 1 min 57 sec de Horner.
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14/09/2013, 13h55
Le PSG se promène à Bordeaux
13/09/13 - 23h47 Source: AFP © afp.
Le Paris SG, impressionnant de maîtrise, a pris au moins provisoirement la tête de la Ligue 1 en allant s'imposer facilement sur le terrain de Bordeaux (2-0), vendredi soir en ouverture de la 5e journée.
A quatre jours de son déplacement à l'Olympiakos en Ligue des Champions, à neuf jours de retrouver Monaco, l'autre ténor annoncé, les hommes de Laurent Blanc s'affirment plus que jamais comme de sérieux prétendants à leur propre succession.
Dominateurs dans tous les secteurs, avec un Lucas rayonnant qui a donné le tournis au bloc aquitain et inscrit son premier but pour son club, les Parisiens n'ont laissé aucune miette aux Girondins, qui peuvent d'ores et déjà s'inquiéter pour la suite de leur saison, surtout avec l'éreintante Europa League au programme.
Organisés en 4-3-3, avec Thiago Motta, Verratti et Matuidi associés pour la première fois au milieu, les joueurs de la capitale, excellents sur les deuxièmes ballons, ont mis dix minutes pour prendre l'ascendant, le temps de laisser passer l'entame bordelaise, volontaire mais sans suite.
Ongenda, surprise du chef du onze initial de Laurent Blanc, s'est rappelé aux bons souvenirs des Girondins contre lesquels il avait inscrit son premier but officiel à Libreville début août dans le Trophée des Champions (2-1). Remuant et intéressant dans les intervalles, le Franco-Congolais de 18 ans, titularisé à la place de Cavani revenu tard d'Amérique latine et entré en fin de match, s'est mis au diapason d'un Lucas insaisissable pour déséquilibrer le bloc local.
Mais c'est Ibrahimovic, G.O. (géant organisateur) attitré du PSG cette saison, qui illumina ce premier acte d'une passe décisive croisée magique, sa troisième de la saison Trophée des Champions compris, à destination de Matuidi, oublié par Mariano, qui trompait en deux temps Carrasso (0-1, 30).
"Zlatan" avait envoyé un coup franc en tribune et écrasé une frappe du gauche - qui récompensait un bon quart d'heure visiteur, fait de justesse et d'aisance technique avec un Thiago Motta impérial. Et comme Alex muselait parfaitement Diabaté, que Rolan avait peine à exister, au même titre qu'Obraniak, seul frappeur à cadrer de loin (43), la soirée ressemblait à une promenade, en tout cas une répétition sans accroc avant le rendez-vous de mardi en Grèce. La maîtrise collective affichée demeurait après la pause mais elle aurait pu s'effriter si l'arbitre M. Gautier ou son assistant avaient vu la main dans la surface de Thiago Silva au duel avec Diabaté (52).
Le tournant ? A coup sûr, car après un essai violent d'Ibrahimovic repoussé par Carrasso (59), c'est Lucas, servi à la limite du hors-jeu par Verratti, qui s'en allait doubler le score en trompant Carrasso qui avait anticipé un centre en retrait vers le Suédois (0-2, 64). Vu les forces en présence, cela semblait cuit pour les hommes de Francis Gillot autant que ça semblait facile pour ceux de Blanc.
Face à des Bordelais sans idées, le moral pas plus haut que leurs chaussettes, avec un alignement défensif presque toujours coupable, les champions de France auraient pu tripler la mise, voir plus sans un Carrasso redevenu décisif devant +Ibra+ (71, 78), Digne (71) ou avec un peu plus de justesse, comme sur ce lob de Rabiot (79).
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