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Lorik Cana: "Mon parcours est lié à la Suisse"

10.10.2013 10:03 mise à jour à 10:23 Réagir
Lorik Cana porte les couleurs de la Lazio depuis 2011. [Hakan Burak Altunoz - AFP]


S'il en est un pour qui cet Albanie-Suisse aura (également) un goût particulier, c'est Lorik Cana. Le solide et rugueux no27 de la Lazio a fait ses premiers pas de footballeur à Cheseaux et au Lausanne-Sport et porte depuis 2003 la maillot de la sélection albanaise.
Deux "Suisses" à la Lazio: Cana est entraîné par Vladimir Petkovic (ex-Bellinzone, Sion et YB) [Hakan Burak Altunoz - Keystone] Partie en 1989 avant la guerre des Balkans, la famille Cana a rejoint le canton de Vaud. Lorik y a vécu de 6 à 16 ans, avant de porter les couleurs du PSG, de l'OM, de Sunderland, de Galatasaray et de la Lazio, depuis 2011.
"Je sais d'où je viens", a expliqué Cana, joint par téléphone. "Mon parcours en tant que personne et joueur est lié à la Suisse. Je n’oublierai jamais Lausanne! J’y vais 2 fois par année".
"Du bon travail au niveau de la formation"

RTSsport.ch: Petit, rêviez-vous d'une telle carrière?
LORIK CANA: C'était un rêve puis un objectif. J’ai eu la chance de disposer de bonnes structures. C'est la Suisse qui m’a offert les conditions pour devenir un bon joueur. Puis je suis parti à Paris pour compléter ma formation.
RTSsport.ch: La Suisse vous a donc servi de rampe de lancement?
LORIK CANA: Tout à fait. La Suisse fait du bon travail. Il y a des talents extraordinaires en Suisse. Des Suisses mais aussi une génération d'émigrés.
RTSsport.ch: Comme des Behrami, Xhaka, Shaqiri...
LORIK CANA: Les garçons que vous citez mais aussi Xhaka ou Dzemaili ont eu une belle opportunité. Et ils l'ont saisie! Pour être très honnête, je suis convaincu qu’il y a des Behrami, Mehmedi, Shaqiri, Xhaka en Albanie... Malheureusement, ils ne bénéficient pas des structures nécessaires pour progresser. C’est dommage. J’ai eu la chance d’avoir grandi en Suisse.
Cana, ici opposé à Rooney, a disputé 35 matches en Premier League avec Sunderland, en 2009-2010. [Andrew Yates - AFP] "On est très envieux"

RTSsport.ch: Plusieurs joueurs albanophones ont choisi de porter le maillot de l'équipe de Suisse. Ils feraient beaucoup de bien dans votre sélection!
LORIK CANA: C'est incontestable. Mais je ne souhaite pas faire de polémique à propos des joueurs qui ont choisi le maillot de l’équipe de Suisse. Je connais Xhaka depuis très longtemps. C’est quelqu’un de très bien. Behrami et Dzemaili, je les fréquente dans le championnat italien. On est très envieux car ce sont tous de très bons joueurs qui ont atteint un niveau international.
RTSsport.ch: Même si l'espoir est très mince, l'Albanie croit-elle en une place de barragiste?
LORIK CANA: On va jouer notre carte au maximum. Cette campagne de qualification nous servait au départ de phase de transition, avec l’arrivée d’un nouvel entraîneur et l’intégration de plusieurs joueurs. Les bons résultats (10 points à 3 longueurs de la 2e place) nous ont ouvert l’appétit. On va essayer de battre le record de la génération précédente entraînée par Briegel, qui avait obtenu 13 points.
Pour l’heure nous avons accompli quelque chose de très bien. Avec les 2 derniers matches qui nous restent on va essayer d’accomplir quelque chose de fantastique pour faire progresser l’Albanie dans le classement FIFA (actuellement: 45e).
Cana, avec le brassard de capitaine, joue pour la sélection albanaise depuis le 11 juin 2003. [Arben Celi - Reuters] "On va jouer pour gagner"

RTSsport.ch: A vous entendre, vous allez vendre chèrement votre peau vendredi. Ce sera très chaud pour l'équipe de Suisse.
LORIK CANA: On va jouer pour gagner. Nous avons mis toutes les équipes du groupe en difficultés. Notre équipe va tout donner. Quant au public il nous a toujours soutenus. Ce sera le dernier match à domicile de cette campagne donc on fera le maximum pour régaler nos supporters.
RTSsport.ch: Avez-vous un message à faire passer à l'équipe de Suisse?
LORIK CANA: Non rien à l’équipe. Par contre au peuple suisse, j’ai simplement envie de lui dire que ce sera surtout une fête entre deux pays qui sont amis. Pendant le match, il y aura beaucoup de rivalité, mais c’est normal. La Suisse est la meilleure équipe du groupe. Nous sommes des compétiteurs et nous avons envie de gagner.
Je pense que tout se passera très correctement. Nous l’avons vu lors du match aller à Lucerne (succès 2-0 de la Suisse). L’état d’esprit était extraordinaire. Les gens étaient mélangés. Vous savez, nous sommes des personnes très terre à terre. Nous savons ce que notre pays doit à la Suisse. La Suisse a permis à bon nombre de nos compatriotes de pouvoir travailler.
RTSsport.ch: D'un point de vue plus personnel. Peut-on imaginer vous voir finir votre carrière au Lausanne Sport?
LORIK CANA:(Rires) Et pourquoi pas? C’est mon premier club et ce serait un sacré clin d’oeil du destin. On n'oublie jamais son premier club. J’ai encore beaucoup d’amis à Lausanne. Je m'y rends deux fois par année.
A lire aussi: Première balle de Brésil pour les Helvètes

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Bärtschi débloque son compteur

10.10.2013 09:18 mise à jour à 10:22 Réagir
Bärtschi (à gauche) et Monahan (de dos) ont brillé au Québec. [Derek Leung - AFP]


Sven Bärtschi a inscrit son premier but de la saison lors de la victoire 3-2 de Calgary devant Montréal. Les Flames ont cueilli leur deuxième succès en quatre rencontres. L'attaquant bernois a inscrit le 2-0 à la 19e pour son septième but en NHL.
Il a été aligné durant 14'27'' pour un bilan de + 2. Dans les rangs du Canadien, le défenseur zougois Raphael Diaz a bénéficié d'un temps de jeu de 19'46'' pour un bilan neutre.
Auteur de 33 arrêts, Joey MacDonald a été récompensé par la première étoile. Déjà brillant lors de ses deux matches précédents contre Columbus et Vancouver, cet Américain de 33 ans est en passe de s'imposer comme le portier no1 des Flames devant le Finlandais Karri Rämö et Reto Berra. Calgary n'a encore jamais été battu dans le temps réglementaire cette saison.
si/tai

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Mondial 2022

Des syndicalistes empêchés de visiter un chantier au Qatar

Mis à jour le 09.10.2013

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Une délégation syndicale internationale a été interdite d'accès à un chantier près de Doha, dans le cadre d'une enquête au Qatar sur les conditions de travail des immigrés dans ce pays.

1/16 Empêchés d'effectuer «une visite inopinée» d'un chantier, les syndicalistes (photo) ont renoncé à une autre visite, prévue à leur programme (9 octobre 2013).
Image: AFP





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«Je ne peux pas vous autoriser à visiter ce site sans coordination préalable», a déclaré un responsable du chantier à la délégation qui voulait y effectuer «une visite inopinée». Le chantier relève d'une coentreprise des groupes de construction français Vinci et qatari Diyar.
En réaction, les syndicalistes ont renoncé à une visite, prévue à leur programme, de l'immense chantier de Lusail, à 70 km au nord de Doha, qui doit abriter le principal stade de la Coupe du monde 2022. Ces visites programmées ne servent qu'à «montrer ce qu'il y a de mieux» au Qatar, a déclaré un membre de la délégation, Ampet Yuson.
Les syndicalistes se sont ensuite rendus au siège du Comité organisateur du Mondial à Doha où, faute de rendez-vous préalable en bonne et due forme, ils n'ont pu obtenir d'audience avec un responsable du comité. Ils ont protesté devant les locaux en chantant: «FIFA, carton rouge».
Décidée avant les révélations le mois dernier du quotidien britannique The Guardian, faisant état de la mort de 44 ouvriers népalais sur les chantiers du Qatar, la mission doit quitter le pays jeudi, puis rendre un rapport.

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Ottmar Hitzfeld est à Tirana pour gagner

FOOTBALL

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Le sélectionneur suisse le promet: son équipe ne se cachera pas vendredi. Il a choisi qui, de Djourou et Schär, jouerait en défense centrale. Mais ne l'a pas encore communiqué aux joueurs...
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Du toti de son hôtel, le sélectionneur suisse Ottmar Hitzfeld plonge sur le stade Qemal Stafa de Tirana.
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• Mondial 2014 au Brésil

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«Nous voulons plier l’affaire vendredi!» Ottmar Hitzfeld l’a répété une dernière fois. Il exige une victoire en Albanie.
«Notre philosophie est toujours la même: aborder une rencontre avec l’objectif de la gagner, poursuit le sélectionneur national. Même si un nul peut suffire vendredi pour s’ouvrir les portes de la Coupe du monde 2014 au Brésil, je vous assure que nous ne spéculerons pas. Nous voulons gagner ce match!»
Un match qui, il se sait fort bien, ne sera pas un match comme les autres avec la présence dans les rangs de l’équipe de Suisse de six joueurs d’origine albanaise. «Mais cela reste un match de football. Un match qui verra le public albanais soutenir son équipe et siffler la nôtre, explique-t-il. Mais ces sifflets peuvent donner à mes joueurs un surcroît de motivation. L’expérience du match aller à Lucerne peut également nous servir. La clé sera de témoigner d’une très grande solidarité sur le terrain.»
Défense: le choix est fait
Ottmar Hitzfeld affirme avoir tranché entre Fabian Schär et Johan Djourou pour la place en défense centrale aux côtés de Steve Von Bergen. «Mais je n’ai pas communiqué ma décision aux joueurs, lâche-t-il. Ce fut un choix difficile, très difficile. Les deux méritent de jouer. Djourou a été excellent tout au long de cette campagne. Quant à Fabian, il reste sur deux performances de choix contre l’Islande et la Norvège.»
Invaincue depuis onze rencontres - sa dernière défaite remonte au 1-0 concédé le 30 mai 2012 à Lucerne face à la Roumanie -, la Suisse s’apprête à affronter une formation qu’Ottmar Hitzfeld juge «imprévisible».
«C’est une équipe qui ne se cache pas, souligne le sélectionneur. Elle est très joueuse. Elle est capable d’évoluer dans plusieurs registres. Vendredi, elle devra prendre tous les risques. Elle doit gagner pour espérer encore une place de barragiste. Mais de notre côté, l’enjeu est également très grand. Une victoire et notre rêve d’aller au Brésil se réalisera!»

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«Vous aimez l'Albanie, votre pays? Ne jouez pas vendredi!»

FOOTBALL

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Xherdan Shaqiri, qui souffle ses 22 bougies ce jeudi, et les cinq autres Albanais du contingent helvétique se sont fait «conseiller» de ne pas évoluer à Tirana, selon Albinfo.
Par Renaud Tschoumy. Mis à jour à 07h21

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Xherdan Shaqiri à son arrivée à l'aéroport de Tirana.
Image: Keystone
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Xherdan Shaqiri devrait être un homme heureux. Il fête ce jeudi son 22e anniversaire. Et demain, il pourrait être qualifié pour la phase finale du Mondial 2014 au Brésil avec cette nouvelle Suisse qui gagne.
«XS» risque cependant de vivre une drôle de journée d'anniversaire, et d'être partagé entre plusieurs pensées qui lui traverseront l'esprit, forcément.
On savait que lui et les cinq autres Albanais d'origine du contingent suisse (Behrami, Dzemaili, Xhaka, Mehmedi et Kasami) n'allaient pas être bien accueillis à Tirana, vendredi soir au stade - au contraire de l'arrivée tout en douceur qu'a vécue la délégation suisse peu après 18h30, mercredi.
«Ne jouez pas!»
Mais le club de supporters «Tifozat Kuq et Zi» (lisez «Tifosi rouge et noir»), un club aux idées fortement nationalistes, a tout simplement demandé aux six joueurs suisses d'origine albanaise de ne pas jouer vendredi, selon le site Albinfo.ch!
«Puisque vous avez des origines albanaises et que vous ne vous sentez pas à l'aise à l'idée de jouer contre vos racines, comme vous l'avez dit dans les médias, nous vous demandons de ne pas jouer le match contre l'Albanie à Tirana», ont notamment fait savoir les responsables de ce groupe de supporters.
Et ils en ont remis une couche: «Si vous ne faites pas un bon match, vous passerez pour des traîtres en Suisse. Et si vous marquez, nous, vos compatriotes, utiliseront le même terme à votre égard.»
Les Albanais de Suisse résisteront-ils à la pression? Ottmar Hitzfeld se couchera-t-il devant ces menaces? On en doute. Le sélectionneur allemand, n'a-t-il pas déclaré que, même si la Suisse avait déjà son billet pour le Brésil, il aurait sélectionné Shaqiri et Cie pour ce match de Tirana?
Reste que le gâteau d'anniversaire de Shaqiri, ce jeudi, dans le pays qui l'a vu naître il y a 22 ans tout juste, pourrait avoir un drôle de gout.

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Même les journalistes étrangers suivent les Diables Rouges

© photo news.
vidéo Même à l'étranger, les Diables Rouges jouissent d'une cote de popularité importante. Depuis le début de la semaine, de nombreux journalistes européens ont suivi quotidiennement l'équipe de Marc Wilmots. Un signe qui ne trompe pas.
© photo news. © photo news. © belga. © belga.
Het Laatste Nieuws a interrogé les médias étrangers présents en nombre depuis le début de la semaine. Pourquoi sont-ils là? Leur public s'intéresse-t-il à nos joueurs? Comment les Diables sont-ils considérés à l'étranger?

Sky Sports (Angleterre): "Des joueurs abordables"
"Ici, c'est beaucoup plus facile d'aborder un joueur", avoue Gary Cotterill. "En Angleterre, nous n'avons presque rien à nous mettre sous la dent car ils sont très protégés par leur club. Cela fait partie de notre culture. L'attitude est tout à fait différente ici. Ils sont tous des gars intelligents et sympathiques, qui ne vont pas voir la presse parce qu'ils n'ont pas envie. (...) Je suis persuadé que les gens s'intéressent plus aux internationaux de leur club qu'à notre propre équipe nationale, qui est terne! (rires)"

ZDF (Allemagne): "Wilmots apprécié chez nous"
"Personne ne s'attendait à ce que ce soit aussi simple dans cette poule difficile", selon Hermann Valkyser de la ZDF. "On veut surtout savoir pourquoi tout va si bien dans votre équipe, certainement après dix années beaucoup moins bonnes. On veut aussi faire partager l'enthousiasme autour de cette équipe. C'est pour cette raison que nous allons suivre la rencontre de vendredi sur l'un des grands écrans installés un peu partout en Belgique. Wilmots connaît aussi l'Allemagne et il est encore apprécié au pays. Concernant les joueurs, ce sont surtout ceux qui jouent ou ont joué en Bundesliga, comme Van Buyten ou De Bruyne, qui suscitent de l'intérêt."

TF1 (France): "La Belgique, un outsider"
"La Belgique est un pays voisin et la langue crée une sorte de connexion avec la France", dit Julien Maynard de Téléfoot. "Vous disposez de joueurs intéressants, avec surtout Eden Hazard, qui a fait les beaux jours de Lille chez nous. Il n'y a pas seulement la presse qui participe au renouveau de l'équipe, mais aussi les supporters qui sont tout le temps présents. On voit que les fans sont derrière l'équipe et qu'ils aiment les joueurs. En comparaison avec l'équipe de France, vous êtes quand même dans une bien meilleure spirale. La Coupe du Monde? La Belgique est un outsider. Si vous passez les poules, tout peut arriver."

NOS (Pays-Bas): "Symbole d'unité"
"On ne peut pas échapper aux résultats de l'équipe, mais ce qui m'intéresse, c'est qu'elle est le symbole de l'unité du pays", confie Martijn Bink, journaliste d'investigation à NOS. "Quand on parle des Diables Rouges, on ne parle pas des Wallons ou Flamands mais des Belges. C'est plus que du football. En Hollande, nous sommes passionnés des Oranje mais nous n'avons pas cette ferveur. Elle n'intervient qu'au début du tournoi."

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"Sheryl Crow témoin des transfusions sanguines d'Armstrong"

© epa.
Lors de sa relation avec Lance Armstrong, Sheryl Crow était au courant des pratiques de dopage du coureur texan. Deux journalistes, Reed Albergotti et Vanessa O'Connell, publient un nouveau livre autour de cette affaire.
© getty.
A en croire le livre écrit par Reed Albergotti et Vanessa O'Connell au sujet des pratiques de dopage de Lance Armstrong ("Wheelmen: Lance Armstrong, the Tour de France, and the Greatest Sports Conspiracy Ever), Sheryl Crow a assisté personnellement aux transfusions sanguines du coureur américain. Ce fut notamment le cas en 2004 dans le jet privé du natif d'Austin. Pour rappel, le couple a filé le parfait amour entre 2003 et 2006.

"Totale confiance en Sheryl Crow"
"Armstrong a essayé de lui cacher ses transfusions sanguines. Finalement, il lui a raconté que ces pratiques faisaient partie du sport. Et que tous les autres coureurs faisaient la même chose. Il avait une totale confiance en Sheryl Crow. Il savait qu'elle n'allait pas raconter tout ça à la presse ou à d'autres personnes", peut-on lire dans "Wheelmen: Lance Armstrong, the Tour de France, and the Greatest Sports Conspiracy Ever", officiellement sorti depuis mardi.

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Cristiano Ronaldo confiant dans une qualification directe du Portugal

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L'attaquant vedette de la sélection portugaise Cristiano Ronaldo s'est dit convaincu mercredi que le Portugal, actuellement second du groupe F, pourra encore se classer premier et décrocher un billet direct pour le Mondial 2014.
"Je reste convaincu que nous pouvons repasser premiers, bien que cela ne dépende pas seulement de nous", a déclaré Ronaldo à Obidos (centre), où la sélection se trouve actuellement en stage avant les prochains matches de qualification pour la coupe du monde.

Pour reprendre la tête de leur groupe, les hommes de l'entraîneur Paulo Bento doivent espérer un faux pas des Russes, qui ont repris la tête du groupe F le 10 septembre dernier après leur victoire contre Israël.

La selecçao, qui compte 17 points derrière la Russie, 18 points, reçoit Israël vendredi à Lisbonne, puis le Luxembourg mardi prochain à Coimbra, dans le centre du pays.

Pour ces matches, l'équipe lusitanienne sera privée de plusieurs joueurs habitués aux convocations et aux titularisations.

Les défenseurs Joao Pereira, Bruno Alves et le milieu de terrain Raul Meireles sont forfaits pour blessure, tandis qu'en attaque Helder Postiga et Vieirinha seront également absents. Le technicien portugais a déjà convoqué Henrique Sereno pour remplacer Alves et Custodio à la place de Meireles.

Ces absences "n'affecteront pas les joueurs qui souhaitent jouer et donner le meilleur d'eux-mêmes", a observé Ronaldo.

Auteur d'un triplé en Irlande du Nord (4-2) le mois dernier, l'attaquant du Real Madrid âgé de 28 ans s'est imposé comme le deuxième meilleur buteur de l'histoire de la sélection portugaise, avec 43 buts en 106 sélections, seulement devancé par Pauleta qui en compte 47.

"Je ne me mets pas de pression. Les choses vont se faire normalement. Si je marque c'est très bien, mais le plus important est que la sélection gagne", a-t-il affirmé.

Dix ans après sa première sélection, le 20 août 2003 contre le Kazakhstan, le capitaine de l'équipe du Portugal confie que "le bonheur de représenter son pays est resté le même".

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Nadal facilement en huitièmes à Shangai

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masters Le N.1 mondial Rafael Nadal s'est facilement qualifié pour les 8e de finale du tournoi ATP de Shanghai en battant mercredi l'Ukrainien Oleksandr Dolgopolov Jr 6-3, 6-2.
L'Espagnol affrontera l'Argentin Carlos Berlocq, tombeur de l'Américain John Isner 6-4, 7-6 (7/4), pour une place en quarts de finale.

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Collaboration entre Anderlecht et un hôpital alostois

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Le RSC Anderlecht va collaborer avec l'hôpital Onze-Lieve-Vrouw d'Alost, où tous les joueurs du Sporting âgés d'au moins 14 ans passeront un screening cardiaque tous les deux ans.
© belga. © belga.
"Nous voulons prendre nos responsabilités par rapport à tous les joueurs et leurs familles", déclare Herman Van Holsbeeck, le manager d'Anderlecht. "En tant que club du top, nous pensons que c'est notre devoir de fixer la norme pour ce type de prévention".

Outre les joueurs des équipes de jeunes, les joueurs de l'équipe A, les U21 et les "Purple Talents" passeront régulièrement des examens cardiologiques à Alost.

A partir de 14 ans, tous les joueurs mauves passeront un screeing cardiaque. "Je sais que nous avons un ou deux jeunes joueurs ayant des problèmes cardiaques, mais ils sont bien suivis et leur problème est sous contrôle", selon Van Holsbeeck.

Le Sporting va également se doter de défibrillateurs cardiaques. "Tous ceux qui sont impliqués dans les équipes de jeunes vont recevoir une formation pour apprendre à utiliser cet appareil". Les défibrillateurs seront placés au stade Vanden Stock et au complexe de Neerpede.

"Ces appareils sont très simples à utiliser et sont fournis avec un manuel. C'est en tous cas un honneur de collaborrer avec Anderlecht. C'est pour l'instant unique en Belgique", dit Peter Peytchev, cardiologue à l'hôpital Onze-Lieve-Vrouw d'Alost.