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GP du Japon: titre en vue pour Vettel

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Sebastian Vettel, déjà vainqueur de huit Grands Prix en 2013, est arrivé à Suzuka avec 77 points d'avance sur Fernando Alonso (Ferrari), et l'Allemand peut rêver d'un 4e titre mondial dès dimanche, à condition de remporter le GP du Japon pour la 4e fois en cinq éditions.
S'il gagne encore, et si Alonso ne termine pas dans le Top 8, Vettel sera champion du monde pour la 4e fois d'affilée, ce qui le rapprocherait encore de son modèle, le "Baron Rouge", alias Michael Schumacher, l'homme aux 7 couronnes. Il égaliserait avec un autre seigneur, le "Professeur" Alain Prost, lui aussi titré quatre fois (1985, 1986, 1989, 1993), avec une dernière couronne à 38 ans.

Pour Alonso, "la 2e place du championnat constructeurs est un objectif plus réaliste" que reprendre du terrain à Vettel. Cette 2e place ne tient plus qu'à un fil car Mercedes-AMG s'est rapprochée à un point (283 à 284) avant Suzuka, une piste mythique où les Flèches d'Argent ont tout ce qu'il faut pour briller.

Lotus aussi vise le podium final, en cas d'effondrement de Ferrari ou Mercedes-AMG, et Kimi Räikkönen, 3e en 2012, vise encore celui des pilotes, très convoité par Lewis Hamilton (Mercedes).

Champion du monde 2009 et vainqueur à Suzuka en 2011, Jenson Button voudra lui aussi briller à Suzuka, histoire de redorer un peu le blason de McLaren, l'année du 50e anniversaire de la création de l'écurie de Woking.

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Olivier Rochus opéré à la hanche, Steve Darcis à l'épaule

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Olivier Rochus a été opéré mercredi pour enlever un bout de cartilage dans sa hanche et sera indisponible pour trois mois, a annoncé l'AFT, l'Association francophone de tennis sur son site magazine. Steve Darcis va devoir lui être traité à l'épaule.
Olivier Rochus, désormais 156e mondial, a été opéré, sous anesthésie générale, pour traiter le cas de son bout de cartilage baladeur à la hanche. "Cela lui faisait trop mal par moments, et il y avait même un risque pour sa santé future, arthrose, hanche artificielle... on ne joue pas avec ça", a expliqué le kiné de l'AFT Patrick Meur. "Il lui faudra trois mois avant de pouvoir revenir à son niveau, pas d'Australie donc".

De son côté, Steve Darcis, 165e au classement ATP, va devoir subir une arthroscopie à l'épaule dans les plus brefs délais. "De ce que l'on découvrira et de l'intervention qui sera éventuellement nécessaire dépendra évidemment la durée de son indisponibilité", a expliqué, pour ce qui concerne le Liégeois, le kiné de l'AFT.

Les indisponibilités d'Olivier Rochus et Steve Darcis s'ajoutent à la blessure au poignet de David Goffin, le numéro 1 belge, 93e mondial. "Il peut se réentraîner, il est bien physiquement et a repris le tennis de la main droite, coup droit, service, volée, il en profite pour travailler aussi son slice qui n'est pas son point fort, Seuls les mouvements avec son poignet gauche restent à proscrire, donc pas de revers à deux mains," a ajouté à son sujet Patrick Meur.

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Foot Ligue 1 Rennes Encore loin d'être ça
Philippe Montanier savait qu'il lui faudrait du temps pour bâtir une équipe compétitive. Plombé par deux défaites face à Nantes (1-3) et Guingamp (0-2), le premier quart de Championnat des Bretons a donné raison à l'entraîneur de Rennes.
Elu meilleur coach de la Liga 2012-2013 avec la Real Sociedad, Philippe Montanier a du mal à faire décoller Rennes. (L'Equipe)







« Pas de catastrophisme »

Deux défaites dans deux derbies contre des promus, cela fait tache. Encore plus après un nul décevant à Montpellier (0-0). Mais cette mauvaise série n’a pas altéré l’ambiance à la Piverdière. Elle est toujours studieuse et empreinte de cette bonne humeur voulue par un entraîneur qui avait découvert cet été un groupe marqué par une nouvelle dérive à la fin de l’hiver. «Il n’y a pas de catastrophisme, témoigne Romain Danzé, le capitaine rennais. On a bien commencé, peut-être un peu plus vite que prévu, et là, on marque le pas. Mais il y a eu tellement de changements cet été dans le club qu’on savait que tout ne serait pas aussi facile.»

Une attaque pas d'attaque

La griffe de Montanier tarde ainsi à s’imprimer sur une équipe encore en réglage dans son animation offensive. Et qui carbure à moins d’un but par match (8). «On a du mal à peser, à se projeter devant et à se procurer des occasions, reconnaît Danzé. Mais marquer, c’est ce qu’il y a de plus dur à faire.» En attendant le retour au premier plan de Romain Alessandrini, les arrivées tardives de Silvio Romero et Foued Kadir ou la méforme de Jonathan Pitroipa peuvent expliquer ces difficultés pour des Bretons qui ne disposent que de trois buteurs depuis le départ de Mevlut Erding : Nelson Oliveira (4 buts), Kadir (2) et Vincent Pajot (1).

Une défense pas si hermétique


On a cru que les Rennais avaient commencé par reconstruire en partant de derrière. Quatre matches sans le moindre but encaissé avait donné l’impression d’une certaine solidité. Mais les cinq buts inscrits par Nantes et Guingamp ont relativisé l’étanchéité d’une équipe qui avait pu compter sur un brin de réussite et les parades de Benoît Costil. «On n’avait pas pris de but mais on avait quand même concédé beaucoup d’occasions», relève Danzé. Preuve que Rennes est encore en chantier à tous les étages. L’expression y est à la mode depuis juillet. «Et elle le sera pour un bon moment encore ! annonce Danzé. Mais ça va venir.»
Sylvain Le DUIGOU, à Rennes

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Basket NBA Les Spurs de retour
Tony Parker, Boris Diaw et Nando de Colo ont fait à leur tour leur rentrée mercredi avec un match de présaison remporté à San Antonio face au CSKA Moscou (95-93 a. p.).
Tony Parker a entamé la rencontre avec le sourire. Le début d'une longue saison. (Reuters)







Gregg Popovich a les yeux de l'amour pour Tony Parker. La preuve, alors que le Français a lancé le tour de chauffe de ce qui sera sa treizième saison NBA, l'entraîneur des Spurs a affirmé que son meneur et leader «était encore jeune.» Armé de son éternelle fraicheur, "TP" a donc été titulaire dès le premier match de présaison des finalistes sortants, deux semaines et demie après la finale de l'Euro, et a joué une vingtaine de minutes à domicile face au CSKA Moscou, qui restait sur une victoire face aux Wolves à Minneapolis (108-106 a. p.). Le match s'est encore joué à presque rien et après prolongation. Les arbitres auraient même pu le rallonger encore un peu puisque sur la dernière action, le pivot australien Aron Baynes a semble-t-il volleyé le ballon au dessus de l'arceau - ce qui est interdit en NBA et vaut panier marqué, règle qui n'existe pas dans le jeu international - après un tir raté de l'ailier russe Viktor Khryapa, qui s'est rappelé au bon souvenir de la NBA (12 points, 7 rebonds, 7 passes) cinq ans après avoir quitté Chicago sur la pointe des pieds.


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Le panier de la victoire a été inscrit à trois points par un autre Australien, Patty Mills, le meneur n°2. Parker lui a laissé sa place à cinq minutes de la fin du troisième quart-temps, après avoir rendu une fiche de 6 points à 2/6 et 5 passes décisives, et n'est plus revenu en jeu, comme Tim Duncan. Juste après la sortie de TP, San Antonio a passé un 13-0, de 63-61 à 76-61. «Ils nous ont donné du véritable jeu NBA pendant quelques minutes puis quand Coach Popovich a vu ce qu'il avait voulu voir, il a décidé d'utiliser son banc», a lâché, pas dupe, le coach du CSKA, Ettore Messina.

Moscou en a profité pour repasser devant avec un 17-0 à l'attaque du quatrième quart-temps (78-80, 43e), une séquence marquée par deux balles perdues de Boris Diaw (8 points à 4/5, 4 rebonds, 3 balles perdues et 2 passes décisives en 20'12", le même temps de jeu que Parker à la seconde près) puis trois tirs ratés de Nando de Colo avant que le Nordiste n'inscrive son seul panier du match (2 points à 1/5, 2 rebonds, 1 passe en un quart d'heure), qui a permis de stopper la série moscovite. Mais que de Colo se rassure, il devrait avoir du temps de jeu en présaison puisque Parker, qui a logiquement défendu en mode "deuxième tour de l'Euro", sans forcer, devrait obtenir un peu de repos ce mois-ci. «On se battra pour cela quand le début de saison se rapprochera même si pour l'instant on va le faire jouer», a prévenu Popovich. Plus si jeune Parker alors ?
X.C.

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Foot Bleus Debuchy a un coup à jouer
Mathieu Debuchy a retrouvé ses sensations avec Newcastle après un début de saison compliqué. En l'absence de Sagna, le latéral droit a une belle carte à jouer.
Mathieu Debuchy devrait profiter de l'absence de Sagna. (L'Equipe)







Arrivé en janvier à Newcastle, Mathieu Debuchy n’a toujours pas eu le plaisir de vivre une période faste avec les Magpies. Après avoir lutté en fin de saison pour le maintien, son équipe a entamé le nouvel exercice en s’inclinant lourdement contre Manchester City (0-4) dès la première journée de Championnat. « On a mal débuté avec ce match. On a vraiment pris une claque. Depuis, ça va mieux mais je ne suis pas encore en mesure de dire si tout se passe bien et si tout est réglé. »

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L’ancien Lillois a en tout cas mis le doigt sur ce qu’il faut impérativement améliorer. « Nous ne sommes pas assez réguliers », a-t-il confié. Newcastle a connu un regain de forme et remporté son troisième succès en sept journées samedi sur la pelouse de Cardiff (2-1). « Il faut continuer sur cette lancée », affirme-t-il. D’un point de vue personnel, il estime que ses prestations sont à l’image de son équipe. « Le match à Manchester a été délicat pour moi aussi, a-t-il avoué. Sinon, mon début de saison est correct. Ça vient petit à petit, j’ai fait de bons derniers matches.»




Avec les Bleus, il sait qu’il a une carte à jouer. Car la hiérarchie pour le poste de latéral droit est très ouverte. Entre Sagna, Jallet, Fanni et lui, personne ne s’est vraiment installé dans le couloir. « Chacun se donne à fond pour prétendre à une place de titulaire, assure-t-il. Cette vive concurrence ne nuit visiblement pas à l’esprit de groupe. « Tout se passe bien entre nous, assure-t-il. On communique beaucoup et il n’y a aucun souci. Chacun donne le meilleur pour être sur le terrain. » Contre l’Australie et la Finlande, et en l’absence de Sagna, il devrait être titulaire. A lui d’en profiter pour marquer des points.
D.Mi., à Clairefontaine

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Rugby Challenge Place à l'autre coupe d'Europe
A l'ombre de la Coupe d'Europe, le Challenge Européen représente un défi d'intérêt très variable pour les sept clubs français en lice, dont certains ont fort à faire dans le Top 14.
Jules Plisson et le Stade Français repartent à l'assaut du Challenge Européen. (L'Equipe)







Au moins relever le challenge à défaut de matches de Challenge toujours relevés : la seconde coupe d'Europe de rugby est avant tout une affaire de motivation. Elle n'est pas toujours évidente à trouver ou à gonfler tant le Challenge Européen vit dans l'ombre de sa grande soeur, la Coupe d'Europe avec son grand "C". Et encore plus quand cette dernière cristalise l'attention par ses déchirements, avec la fronde franco-anglaise contre l'ERC. Quand Fabrice Landreau, l'entraîneur de Grenoble, dit qu'il est «compliqué de s'engager sur les deux tableaux» entre le Top 14 et le Challenge, il n'est pas difficile de comprendre lequel il privilégie, d'autant que «financièrement, on pourrait se passer du Challenge Européen», ajoute-t-il. «Dans le meilleur des cas, c'est une opération blanche», résume Philippe Ruggieri, le président du directoire de l'Aviron Bayonnais, dont l'équipe a d'autres chats à fouetter en ce moment avec sa treizième place en Championnat, celle du premier relégable.

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Mais que doit-on en dire alors à Biarritz, bon dernier du Top 14 ? Qu'il s'agit d'un «bol d'oxygène» dixit Landreau ? Tout dépend de l'approche : d'un côté, avec ses blessés et le besoin de repos de ses cadres, le BO aura du mal à se livrer totalement ; de l'autre, un bon résultat ce jeudi (20h45) dans la banlieue de Manchester, face à Sale, pourrait briser la spirale négative. Ce match entre deux anciens vainqueurs de l'épreuve (2002 et 2005 pour Sale, 2012 pour Biarritz) rappellera la saveur de la Coupe d'Europe aux Biarrots.

Au même moment, c'est l'inverse que va vivre le Stade Français avec la réception plus exotique des Lusitanos, une sélection d'amateurs portugais provenant de huit des dix clubs du championnat local (une équipe a découvrir en détail ce jeudi dans L'Equipe avec l'article "Bem vindo chez les Lusitanos"). Cette hétérogénéité de niveau est sous le feu de la critique et laisse planer un doute sur l'avenir du Challenge. Mais elle offre des espoirs à plusieurs clubs français et surtout au club parisien. Finaliste malheureux en 2011 et 2013, il fait encore partie des favoris cette saison avec les Anglais de Sale et de Bath, qui va débuter sa campagne européenne par un déplacement samedi pour affronter l'Union Bordeaux-Bègles, l'un des sept clubs français engagés.

Les clubs français engagés :




Stade Français (4e du Top 14, poule 5 du Challenge) ; Grenoble (7e, poule 4) ; Brive (8e, poule 3) ; UBB (10e, poule 2) ; Oyonnax (12e, poule 1) ; Bayonne (13e, poule 4) ; Biarritz (14e, poule 1)

La 1re journée :

JEUDI
20h45 : Sale (ANG) - Biarritz
20h45 [Eurosport] : Bayonne - Grenoble
20h45 : Stade Français - Lusitanos (POR)
SAMEDI
18h00 : Oyonnax - Worcester (ANG)
19h30 : Calvisano (ITA) - Brive
21h00 : Bordeaux-Bègles - Bath (ANG)

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Wawrinka se hisse en quarts de finale à Shanghai

10.10.2013 16:07 mise à jour à 16:15 Réagir
Stan a-t-il les armes pour battre Nadal? [Ahmad Yusni - Keystone]

Stanislas Wawrinka

Milos Raonic



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Stanislas Wawrinka (ATP 8) s'est hissé en quarts de finale à Shanghai. Le Vaudois s'est défait de Milos Raonic (ATP 11) 7-6 6-4. Il devrait logiquement avoir le redoutable honneur de défier le no1 mondial Rafael Nadal, si l'Espagnol domine Carlos Berlocq (ATP 44) comme prévu.
Développement suit
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Le groupe de Hitzfeld est à bout touchant

10.10.2013 16:23 mise à jour le 11.10.2013 à 08:39 Réagir
L'hôtel de la Suisse se trouve à 2 minutes pied du vétuste stade Qemal Stafa. [Toto Marti - Keystone]


La Suisse, invaincue depuis 17 mois, est à 90 minutes du Brésil! Et dispose encore d'un joker, qu'il pourrait faire valoir mardi au Stade de Suisse contre la Slovénie lors de la dernière rencontre comptant pour le Mondial 2014. Pour définitivement valider son ticket dès vendredi à Tirana, la troupe de Hitzfeld devra s'imposer en Albanie dans le stade Qemal-Stafa (19'700 places) que l'on annonce chauffé à blanc.
Difficile de s'imaginer que cette vétuste enceinte aux 3/4 non couverte construite dans les années 50 sera un chaudron hostile à l'équipe nationale. La capitale albanaise et son million d'habitant semblaient peu concernés mercredi et jeudi par ce match.
A Tirana "pour gagner"

Ottmar Hitzfeld souhaite que ses protégés concrétisent le rêve d'aller au Brésil dès vendredi: "L'Albanie est une équipe qui ne se cache pas et qui peut encore décrocher une place de barragiste. Elle jouera sa dernière chance".
La recette pour gagner? "Restons tranquilles, concentrés et faisons preuve d'une plus grande application dans le geste final... Ce sera une rencontre spéciale pour quelque-uns nos joueurs aux racines albanaises. Nous devrons tous nous montrer solidaires".
Quant à l'ambiance "électrique" annoncée vendredi le sélectionneur national la voit comme une source de motivation. "Il y aura des sifflets, de l'ambiance, c'est normal et je m'en réjouis!"
Fabian Schär, 4e depuis la gauche, devrait commencer la partie. [Armando Babani - Keystone] Deux "néophytes" sur le flanc droit

Hitzfeld a tranché, selon l'agence sportinformation: c'est Fabian Schär qui secondera Von Bergen dans l'axe de la défense. Les douleurs à un genou dont souffrait le Bâlois la semaine passée ne sont donc qu'un ancien souvenir.
Ce choix, qui se fait au détriment de Johan Djourou, peut surprendre dans la mesure où Schär, très solide dans le jeu aérien et dans le secteur technique, n'offre pas toutes les garanties au niveau défensif. En témoignent ses sautes de concentration contre l'Islande ou en Ligue des champions.
Le flanc droit de la défense se présentera donc avec 2 "néophyptes": Lang, titulaire pour la 1ère fois, et Schaer, triple buteur en 3 sélections. Moyenne d'âge de l'arrière-garde suisse:24 ans
A noter q'un match nul face à l'Albanie pourrait également être synonyme de "Brésil 2014", si l'Islande ne bat pas Chypre à Reykjavik.
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Tirana, Miguel Bao

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Sébastien Loeb au départ du rallye du Condroz

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Le Français Sébastien Loeb, qui a pris sa retraite de pilote WRC le week-end dernier au terme du rallye de France, participera au volant de sa Citroën DS3 au rallye du Condroz début novembre en Belgique, a annoncé vendredi le quotidien La Dernière Heure.
Loeb, qui se consacre désormais surtout à sa nouvelle carrière en championnat du monde de tourisme (WTCC), avait toutefois annoncé dimanche dernier vouloir continuer à rouler en rallye "de temps en temps et juste pour le plaisir".

Au Condroz, il aura pour copilote son épouse Séverine, passionnée de rallye. "Elle a été la première à dire oui", explique le nonuple champion du monde à La Dernière Heure, partenaire de l'événement.

Son copilote habituel, le Monégasque Daniel Elena, participera lui aussi au rallye mais assistera notre compatriote Yves Matton, patron de Citroën Sport, qui prendra le volant d'une Xsara WRC, un modèle plus ancien.

Le rallye du Condroz, finale du championnat de Belgique, fête son 40e anniversaire cet année. L'épreuve se déroule du vendredi 1er au dimanche 3 novembre.

Les organisateurs espèrent désormais convaincre Thierry Neuville, actuel 2e du championnat WRC, de participer lui aussi.

Sébastien Loeb, le pilote le plus titré de l'histoire, a mis fin à sa carrière en WRC le weekend dernier lors du rallye de France, chez lui en Alsace, où il a été contraint à l'abandon lors de la dernière journée. .

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Benzema s'agace face aux journalistes

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L'attaquant Karim Benzema, qui connaît une période difficile en équipe de France comme au Real Madrid, a fermement réfuté avoir un problème "d'attitude", estimant qu'il ne fallait pas confondre cela avec un problème lié au replacement défensif.
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"C'est quoi l'attitude?", a sèchement répondu Benzema à un journaliste qui l'interrogeait sur "son attitude" qui serait soumise à "reproches", notammment de la part de son entraîneur au Real Madrid Carlo Ancelotti à propos de "l'investissement, du replacement".

"Ancelotti n'a pas dit ça, il a dit que moi et (Angel) Di Maria on n'avait pas le même travail défensif", a ensuite rectifié l'attaquant des Bleus, qui n'a plus marqué en Bleu depuis le 5 juin 2012. "Après, je ne pense pas qu'il y ait une histoire d'attitude, a-t-il insisté. Je suis un attaquant. Bien sûr c'est à moi de faire le premier replacement défensif, c'est important pour soulager l'équipe. Mais un attaquant, on lui demande de mettre des buts, pas faire le boulot de l'arrière droit ou du N.6. Si je suis devant, je ne vais pas courir jusqu'à la cage de Hugo Lloris".

"Reproche injuste"
"C'est le premier replacement défensif, ce n'est pas un problème d'attitude", a-t-il encore répété alors qu'on lui rappelait les réactions parfois hostiles du public de Santiago Bernabeu ces dernières semaines. "Parce ce que si on dit ça d'un joueur, c'est qu'il n'a pas envie de jouer alors qu'il est sur le terrain. Il ne faut pas dire des choses comme ça, parce que quand je suis sur le terrain, j'ai envie de jouer au foot", a-t-il martelé.

"C'est un reproche injuste, a-t-il conclu avant de s'appuyer sur une statistique: je cours beaucoup sur le terrain. Il y a un papier qui dit que je cours quasiment dix kilomètres par match, c'est que je cours, quand même..."