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Forcé au forfait pour ne pas devoir affronter un Israélien

© photo news.
Tennis Officiellement blessé au genou, le tennisman tunisien Malek Jaziri a en fait été contraint au forfait par sa Fédération, vendredi à Tachkent, pour ne pas avoir à affronter un Israélien, ont assuré son frère en Tunisie et son club en France. Ironie du sort, pour ce quart de finale du tournoi challenger de Tachkent, Malek Jaziri, 29 ans et 169e joueur mondial, devait affronter Amir Weintraub (196e), un de ses partenaires de club de 1re division de Sarcelles, en Seine-Saint-Denis.
"Malek a reçu un mail de la FTT (Fédération tunisienne de tennis ndlr) lui demandant de ne pas jouer contre le joueur israélien. J'espère que cette décision n'aura pas d'incidences graves sur le futur sportif de Malek ", a déclaré vendredi Amir Jaziri à la radio privée tunisienne Shems FM, démentant donc la version officielle du forfait indiquée sur le site de l'ATP.

Le gouvernement tunisien se dédouane de toute implication
Depuis cette accusation, aucune réaction de la FTT, injoignable. Quant au gouvernement tunisien, il a nié toute implication dans ce dossier: "Il n'y a aucune position officielle du gouvernement concernant cette affaire. Les autorités n'imposent rien à la Fédération ni au joueur", a affirmé samedi Ahmed Gaaloul, conseiller chargé de la jeunesse et des sports du Premier ministre tunisien. "Le ministère de la Jeunesse et des sports et son ministre Tarek Dhiab n'ont pas interdit à Malek de jouer", a-t-il insisté.

"Le forfait est bien lié à ça", a pourtant confirmé à l'AFP samedi le président de l'AAS Sarcelles, Jonathan Chaouat, selon qui "Malek est pris en otage". "La seule certitude, c'est que ce n'est pas Malek qui a décidé de ne pas jouer" a-t-il souligné. Entré en contact avec Malek Jaziri jeudi soir, après avoir eu vent d'un forfait à venir du joueur via son compte Facebook, M. Chaouat avait alors trouvé un homme profondément "embarrassé".

Deux amis
"Il m'a expliqué qu'il ne pouvait pas jouer vendredi, et quand je lui ai demandé d'où venaient les pressions, il a seulement répondu 'mon pays'". "Un quart d'heure plus tard, il m'a envoyé un SMS me disant 'C'est bon, je pourrai jouer demain'. Il était 22h56. Puis le lendemain matin (vendredi) j'ai appris qu'il était forfait. Et depuis, aucune nouvelle, je n'ai pas réussi à le joindre sur son téléphone", a précisé le président du club.

"C'est triste", a-t-il insisté: "Malek et Amir, ce sont deux copains, ils sont très amis, Amir avait invité Malek à son mariage, en février prochain, en Israël, et c'est Malek, présent au club depuis sept ans, qui m'avait demandé de recruter Amir", après que les deux joueurs se sont rencontrés sur le circuit international, lors d'un tournoi Future, en Espagne, en 2010.

L'ATP au courant
Interrogée par l'AFP samedi dans le cadre du tournoi de Shanghai, l'Association des joueurs de tennis professionnels (ATP) a seulement précisé, via un porte-parole, "être au courant" de cette histoire et être entrée en relation avec la Fédération internationale de tennis (ITF).

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Rugby Coupe d'Europe Toulon en veut un autre
Le RCT débute dimanche (16h) la défense de son titre européen. Et doit se méfier de Glasgow, leader de la Ligue Celte et en plein progrès.
Andrew Sheridan, Ali Williams et Virgile Bruni prêts à défendre le titre européen du RCT. (L'Equipe)







Toulon a été mis en garde dès la semaine dernière par un informateur de choix : Vern Cotter. Après la défaite de ses Clermontois à Nice (19-25), le futur entraîneur de l’Ecosse, à partir de 2014, a prévenu Bernard Laporte : «Il m’a dit qu’il allait suivre ce match avec beaucoup d’attention parce que 80% de son équipe est à Glasgow ! A moi de faire comprendre aux joueurs que c’est une grosse équipe, pas facile à manœuvrer, qui va débarquer.»

L’entraîneur des champions d’Europe a noté que les Varois commencent la défense de leur titre par la réception du leader de la Ligue Celte, invaincu cette saison après cinq journées, et avec quelques performances de référence en Ulster (13-12) et contre le Leinster (12-6). Une équipe en pleine progression et ambitieuse. «On veut être une équipe difficile à affronter, annonce Alastair Kellock, le capitaine. On n’abandonnera rien facilement. Notre équipe est meilleure que jamais.»

Michalak sur le banc, Bastareaud en sort

«On n'a pas trouvé notre meilleur jeu, on n'est pas étincelant, mais on est là !» glisse Bernard Laporte. Entraînée par l’ancien ouvreur international Greg Townsend, elle devra se passer de plusieurs joueurs clés, dont l’excellent arrière Stuart Hogg (21 ans, 15 sélections) mais sait qu’elle se frotte à des Varois encore en quête de constance. «On ne peut pas dire qu’on ait fait de gros matches, convient Laporte. On n’a pas trouvé notre meilleur jeu, on n’est pas étincelant, mais on est là ! »

Le coach du RCT a décidé de titulariser le troisième-ligne aile Juan Fernandez Lobbe, tout juste de retour du Four Nations et de plus de deux mois passés en équipe d’Argentine. Autre revenant, sur le banc cette fois : Frédéric Michalak, écarté des terrains depuis presque quatre mois et sa blessure à l’épaule en Nouvelle-Zélande avec l’équipe de France. Seul contretemps pour les Varois, le forfait, samedi, du centre Mathieu Bastareaud (entorse du genou), qui était prévu sur le banc.

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Foot Bleus DD : «Doublement pénalisé»
Didier Deschamps a regretté, samedi, que la France ait dû jouer sa place au Mondial dans un groupe de 5, ce qui lui a rapporté moins de points FIFA que ses concurrents dans les autres poules.
Didier Deschamps pense déjà aux barrages. (L'Equipe)







Les Bleus ont encore un mois pour y penser, mais Didier Deschamps a déjà une idée des qualités requises pour aborder les barrages dans les meilleures conditions. «Il faudra avoir de l’expérience pour gérer ce stress et que ça ne nuise pas aux qualités individuelles». Un critère qui aura forcément des répercussions sur les choix de joueurs qu’il effectuera à ce moment-là. «Il faudra aussi du caractère», a-t-il ajouté. Et un peu de chance au tirage en évitant par exemple le Portugal ?

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Malgré sa victoire face à l’Australie (6-0), vendredi soir, et même si elle s’impose face à la Finlande, mardi, l’équipe de France n’a quasiment plus aucune chance d’être tête de série. Son destin est entre les mains de la Suède et de l’Ukraine qui affronteront respectivement l’Allemagne et Saint-Marin lors de leur dernier match de poule. «Dans cette histoire, on est doublement pénalisé, a déploré le sélectionneur. Déjà, dans un groupe à 5, c’est compliqué. Mais en plus, dans les groupes de six, chaque équipe a deux matches de plus qui leur apporte des points au classement FIFA. Ce n’est pas notre cas».




Le technicien a, par ailleurs, formulé un autre regret. Il ne lui a pas échappé que pendant que les Bleus s’imposaient facilement face aux Socceroos, leur prochain adversaire, la Finlande, elle, n’avait pas joué de match amical. «Ça va également nous rapporter moins de points puisqu’elle va descendre au classement...» Dans tous les cas, et quel que soit son adversaire, l’équipe de France «devra passer», a-t-il insisté. «En fonction du tirage, ça peut être plus ou moins compliqué, mais je ne pense pas que l’équipe qui tirera l’équipe de France aura le sourire.»
E. T., à Clairefontaine

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Foot Bleus Un recours contre le classement FIFA ?




La FFF étudie la possibilité de déposer un recours auprès de la FIFA pour faire modifier les modalités d'attribution du statut de tête de série pour les barrages, épreuve à laquelle les Bleus ne devraient pas échapper, sauf miracle (15 et 19 novembre). Selon l'instance, en effet, le classement FIFA qui fait foi aujourd'hui, ne serait pas établi sur des bases égalitaires. Exemple, mentionné samedi par Didier Deschamps en conférence de presse : les Bleus, versés dans le seul groupe à cinq, auront disputé deux matches de qualification de moins que leurs rivaux, alors qu'ils "rapportent" davantage de points que les amicaux. Ce recours, s'il est effectivement déposé, aurait très peu de chances d'aboutir.

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Rugby Coupe d'Europe RM-ASM Racing-Clermont, parfum d'en France
Le choc de la poule 4 entre le Racing-Métro et Clermont, vice-champion d'Europe, n'a rien d'européen. Et l'enjeu n'est pas le même pour les deux équipes. Pour les Franciliens, il s'agit d'abord de trouver une âme. Clermont, lui, lance sa campagne de H Cup avec un seul objectif : ramener cette fois le seul trophée qui lui manque.

Le moins qu’on puisse écrire, c’est que les deux clubs, adversaires en Top 14, apprécient moyennement de se retrouver en H Cup. Lors de la présentation de cette 19e Coupe d’Europe dans les salons de France Télévisions, les deux joueurs présents, Henry Chavancy et Aurélien Rougerie, regrettaient d’avoir à s’affronter. D’abord parce qu’un match de poule entre deux Français, sans mystère, sans exotisme et sans surprise, n'a pas le parfum d'une Coupe d’Europe. Ensuite parce que ces deux-là se sont déjà affrontés en 2010/2011, et que chacun l’avait emporté chez lui, ne laissant aucune trace dans les chroniques de la H Cup.

Déçus, et c’est un euphémisme, par la défaite à domicile enregistrée face à Grenoble en Championnat la semaine dernière, les deux Laurent du Racing-Métro, Travers et Labit, avaient annoncé des changements. Il y en a sept parmi les titulaires. Exit donc Planté, Chavancy, Dumoulin, Le Roux, Metz, Ghezal et Ben Arous, remplacés par Imhoff, Estebanez, Hernandez, Lauret, Van der Merwe et Khinchagishvili. Le retour des Argentins, le Four Nations terminé, peut apporter un supplément de vitesse et d’inspiration. Mais le RM92 va surtout devoir modifier son approche un peu mollassonne des matches, au rythme diesel.

Pas d'effet de surprise

Les coéquipiers de Swarzewski voudront montrer qu'ils valent mieux, en tant d'équipe, qu'une somme d'individualités. En face, l’ASM, vice-championne d'Europe, aligne la grosse équipe. C’est dire l’enjeu de cette rencontre, pour les Clermontois. D’autant que le Racing-Métro ne leur a pas souvent réussi, à Colombes, que ce soit en H Cup ou en Top 14. Cinq matches dans la banlieue parisienne et une seule victoire, en septembre 2011. Ce sera un test pour l’ASM, qui n’est parvenue à s’imposer qu'une fois loin de ses volcans, cette saison, sa pire série depuis 2011, justement. Dimanche, Clermont ne pourra pas jouer sur l’effet de surprise, qui est un des piments de la H Cup, et c’est bien ce qui l’inquiète.

Côté francilien, l’heure est à la remise en question. La Coupe d’Europe n’est pas une priorité d’un RM92 qui rame en Top 14, n’est craint par personne, tarde à trouver les bons réglages, et n’a toujours pas d’équipe-type ni de leaders capables de gérer le jeu, de donner le tempo et d’assurer un score. Du coup, ce match, qui s’annonce spectaculaire sur le papier, ne présente pas d'autre enjeu pour les coéquipiers de Swarzewski que de montrer qu’ils valent mieux, en tant d’équipe, qu’une somme d’individualités, fussent-elles brillantes.
Richard ESCOT

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La France battue deux fois...

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Foot Coupe du Monde 2014 CAM Tiens, revoilà Eto'o...
Samuel Eto'o avait annoncé sa retraite internationale il y a un mois. Mais l'attaquant camerounais sera bien avec les Lions Indomptables pour affronter la Tunisie ce dimanche (19h00), en barrage qualificatif pour la Coupe du Monde 2014...
Samuel Eto'o va aider les Lions Indomptables à battre la Tunisie. (L'Equipe)







En Afrique, tout finit par s’arranger. Samuel Eto’o a retrouvé la tanière camerounaise mercredi matin à Lisses (Essonne), où Volker Finke avait rassemblé son groupe pour préparer le match en Tunisie, sans avoir vraiment donné l’impression d’en être parti. Il y a quatre grosses semaines, l’attaquant de Chelsea avait pourtant annoncé sa retraite internationale. « Je pense qu’il était sincère sur le moment, assure Romarin Billong, l’ancien défenseur des Lions. Peut-être aussi se laissait-il la possibilité de revenir. Ce qui est évident, c’est que sa présence pour affronter la Tunisie dimanche est une très bonne chose, car le Cameroun a besoin de ses meilleurs joueurs. » Et Eto’o, même en petite forme, incarne toujours une réelle menace pour ses adversaires. « Il fait peur, car il est toujours capable d’être décisif. »

Mboma n'y a jamais vraiment cru

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Mais le sentiment de Billong n’est pas partagé par tout le monde. Le détour d’Eto’o par Yaoundé, où la star a rencontré en début de semaine le secrétaire général de la présidence de la République, a conforté Patrick Mboma dans son raisonnement. « Moi, je n’ai jamais pensé que sa retraite était définitive, après le match contre la Libye en septembre. Soyons logique : quel footballeur normalement constitué renoncerait à la possibilité de disputer une Coupe du Monde ?, s’interroge l’ancien buteur des Lions Indomptables. Si Samuel a fait le voyage jusqu’à Yaoundé pour rencontrer les plus hautes autorités de l’Etat, c’est qu’il savait qu’il allait répondre à la convocation de Volker Finke. S’il avait vraiment décidé de tout arrêter, il en aurait informé Paul Biya, le président de la République... »

Lavagne : « Je ne serais pas surpris qu'il cherche à faire virer Finke ! »




Le vrai-faux départ d’Eto’o ne surprend pas Denis Lavagne, l’ancien coach des Lions indomptables. « Il est habitué à faire le coup. Il a tenté d’imposer Kameni et Webo contre la Libye, Finke n’a pas cédé, et Eto’o a d’abord boudé avant d’annoncer sa retraite. » Volontiers ironique, le technicien français n’épargne pas l’attaquant des Blues, coupable à ses yeux de faire la pluie et le beau temps en sélection. « Il veut être joueur, capitaine, entraîneur, président de la fédé, ministre... Il est très puissant, même s’il a des ennemis, lesquels sont obligés de s’adapter. Je ne serais pas surpris qu’il cherche à faire virer Finke ! » Mais selon certaines sources camerounaises, le plus menacé serait aujourd’hui Rigobert Song, l’ancien capitaine des Lions et aujourd’hui team manager, dont les relations avec Eto’o n’ont jamais été simples…

Alexis BILLEBAULT

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Au sommet de l'impopularité (sondage)...

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Bouhanni encore
Déjà vainqueur samedi, Nacer Bouhanni a encore gagné dimanche au Tour de Pékin. C'est sa onzième victoire de la saison.




Nacer Bouhanni finit la saison en pleine forme : le sprinteur de FDJ.fr n'a pas été effrayé par les sept côtes au programme de la 3e étape du Tour de Pékin dimanche. Après avoir passé sans encombre le relief, le Vosgien a remporté son deuxième sprint massif en deux jours. Cette fois-ci, il n'avait plus d'équipier pour le placer et le lancer dans le dernier kilomètres car la formation FDJ.fr s'était mobilisée pour contrôler une échappée de six hommes en début de journée. Alors qu'Omega Pharma - Quick a travaillé pour placer Alessandro Petacchi en orbite, l'Italien a rétrogradé au moment de l'emballage. En sixième position à 200 m de la ligne, Bouhanni a alors jailli pour décrocher la victoire, la onzième de sa saison.

Sur la ligne à Qianjiadian, le sprinteur de 23 ans a devancé l'Australien Michael Matthews (Orica) et le Russe Alexei Tsatevich (Katusha). «Mes équipiers ont travaillé dur toute la journée. Si j'ai pu suivre le rythme, c'est à eux que je le dois. Les côtes de trois ou quatre kilomètres ne me font pas peur et j'avais de très bonnes jambes, a raconté le vainqueur du jour. Me débrouiller seul ne me dérange pas. Aux 200 mètres, je me suis retrouvé coincé derrière Viviani qui m'a obligé à ralentir. Puis j'ai vu une ouverture sur la gauche et j'ai foncé.» Bouhanni garde le maillot de leader au classement général mais il l'abandonnera lundi au terme de la 4e étape, dont l'arrivée sera jugée au terme d'une ascension de 12 km. L'étape-reine de l'épreuve.
Avec AFP

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Osl retrouve le sommet...

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La Suisse veut conclure en beauté

13.10.2013 15:47 mise à jour à 21:03 Réagir
La Suisse visera un quatorzième match sans défaite mardi. [Peter Klaunzer - Keystone]


Quatre jours après avoir, pour la première fois de son histoire, assuré sa qualification pour une Coupe du monde avant de livrer son dernier match, la Suisse se doit de conclure en beauté. Ce mardi à Berne, elle a deux excellentes raisons de battre la Slovénie.
La première, on le sait désormais, est cette possibilité offerte à la Suisse d'être classée tête de série pour cette Coupe du monde 2014 au Brésil si elle cueille une septième victoire dans ce tour préliminaire.
"Le fait d'être tête de série change-t-il vraiment la donne, s'interroge Valon Behrami. Je ne pense pas. La dernière Coupe du monde m'a appris que toutes les rencontres, que ce soit face à l'Espagne, le Chili et le Honduras, sont difficiles...".
Une fausse note

La seconde est de gagner définitivement le coeur d'un public qui ne brûle pas encore d'une passion totale envers cette équipe de Suisse. "C'est la seule fausse note, regrette le délégué aux équipes nationales Peter Stadelmann. L'an dernier contre l'Allemagne et cette année contre le Brésil, nous n'avons pas joué à guichets fermés. Ce fut à la fois étonnant et désolant".
L'affluence au Stade de Suisse sera, ainsi, scrupuleusement observée par l'ASF qui admet que cette forme de désamour est également provoquée Hitzfeld et l'équipe de Suisse espèrent que le public sera nombreux à Berne. [Steffen Schmidt - Keystone] par une politique des prix contestable. "Nous avons reçu le message, promet Peter Stadelmann. Nous allons multiplier les actions promotionnelles".
"Tout le monde tire à la même corde"

Cette rencontre contre la Slovénie sera, espère-t-on, celle de la communion entre une équipe de Suisse, sans l'une des plus fortes si ce n'est la plus forte de l'histoire, et de son public.
Même sans Xherdan Shaqiri son joyau, sans Steve Von Bergen suspendu et peut-être sans Fabian Schär et Valon Behrami, ménagés pour services rendus, la Suisse a largement les moyens de séduire ses fans.
"Cette équipe est une équipe qui ne lâche plus rien, lance Gelson Fernandes. Son esprit de corps est remarquable. Il n'y a plus un seul "con" dans cette équipe. Tout le monde tire vraiment à la même corde. L'une de ses autres forces est sa richesse. Vendredi à Tirana sur le banc, il y avait des joueurs de Naples, du SV Hambourg et de Fulham. Sans compter que les capitaines de l'Eintracht Francfort et du Hertha Berlin sont restés à la maison..."
Le buteur de Durban, qui est l'une des âmes de cette équipe, trouve les mots justes pour expliquer pourquoi cette équipe de Suisse 2013 mérite un soutien sans faille.
A lire aussi: Shaqiri bel et bien forfait contre la Slovénie

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Un test important pour les "Rougets"

13.10.2013 17:57 mise à jour à 18:06
Tami se méfie à juste titre des Croates. [Karl Mathis - Keystone]


L'équipe de Suisse M21 passe un test important lundi à Lugano (18h30). Elle y affronte la Croatie dans le cadre des éliminatoires à l'Euro 2015. Les deux équipes sont pour l'instant invaincues dans cette nouvelle campagne.
Les Suisses ont battu la Lettonie et le Liechtenstein, tandis que les Croates comptent déjà trois victoires. Autant dire que cette rencontre constitue le choc du Groupe 5, avant le match retour du 14 novembre en Croatie.
"Nous allons affronter un adversaire redoutable, qui avait notamment atteint cet été les 8es de finale du Mondial M20", a commenté le sélectionneur helvétique Pierluigi Tami. "Nous devrons nous montrer solidaires si nous voulons avoir une chance", a ajouté le Tessinois.
Kasami pas à disposition

A l'inverse des Croates, les Suisses ont connu des derniers mois difficiles avec cinq défaites lors de matches de préparation. "Mais le début des éliminatoires nous a permis d'emmagasiner de la confiance", a relevé Pierluigi Tami, qui peut s'appuyer sur des joueurs expérimentés chez les M21, à l'image de Nassim Ben Khalifa, Oliver Buff et Silvan Widmer. Pajtim Kasami, retenu avec la première équipe, n'est lui pas à disposition.
Le vainqueur de chacun des dix groupes ainsi que les quatre meilleurs deuxièmes sont qualifiés pour les barrages (octobre 2014). Le tour final se déroulera en juin 2015 en République tchèque.
si/tai

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Djokovic reste maître à Shanghai

13.10.2013 13:55 mise à jour à 20:57 Réagir
Novak Djokovic soulève le 5e trophée de sa saison. [Ng Han Guan - Keystone]

Novak Djokovic

Juan Martin Del Potro



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Le Serbe Novak Djokovic a remporté le Masters 1000 de Shanghai pour la deuxième année consécutive en battant en finale l'Argentin Juan Martin Del Potro 6-1, 3-6, 7-6 (7/3) au terme de 2h30'.
Le numéro 2 mondial s'adjuge ainsi le quinzième titre en Masters 1000 de sa carrière, le deuxième en 2013, après Monte-Carlo. En 2012, il en avait remporté trois.
Rafael Nadal reste le plus fort en la matière avec 26 titres de ce type remportés, suivi de Roger Federer (21).
Novak Djokovic (26 ans) a néanmoins réussi un deuxième doublé chinois d'affilée après avoir également conservé son titre à Pékin (ATP 500), le week-end dernier contre Nadal en finale.
En gardant ces deux trophées, le natif de Belgrade montre à son rival espagnol qu'il faudra encore compter avec lui en cette fin de saison.
Il devra toutefois rendre une copie parfaite au Masters 1000 de Paris-Bercy, fin octobre, puis au Masters de Londres, début novembre, et compter sur un faux-pas du Majorquin pour espérer retrouver le rang de numéro 1.
Del Potro ira à Londres

Dimanche, Djokovic a battu Del Potro pour la dixième fois en treize confrontations, au terme d'une féroce bataille. Il a fallu un tie-break pour décider de cette finale, tant les niveaux étaient équilibrés.
Malgré cette défaite, l'Argentin devient le cinquième joueur qualifié pour le Masters de Londres.
si/jbla