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Open d'Australie - Simples dames: les résultats

Résultats de la deuxième journée de l'Open d'Australie de tennis, premier tournoi du Grand Chelem de l'année, mardi à Melbourne:

. Simple dames (1er tour):

Anastassia Rodionova (Rus) bat Roberta Vinci (Ita) 6-3, 6-1
Ana Ivanovic (Ser/N.13) bat Vania King (USA) 6-2, 6-0
Sania Mirza (Ind) bat Olga Savchuk (Ukr) 6-3, 7-5
Laura Granville (USA) bat Yulia Beygelzimer (Ukr) 6-2, 6-3
Anna Chakvetadze (Rus/N.12) bat Sybille Bammer (Aut) 6-4, 7-5
Maria Sharapova (Rus/N.1) bat Camille Pin (Fra) 6-3, 4-6, 9-7
Kim Clijsters (BEL/N.4) bat Vasilisa Bardina (Rus) 6-0, 6-0
Martina Hingis (Sui/N.6) bat Nathalie Dechy (Fra) 6-0, 6-2....

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bien ouèj la petite Camille Pin qui a tenu tête à la N°1 mondiale Maria Sherapova en perdant en 3 set dont 9-7 au dernier!

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Snowboard: Philipp Schoch en argent à Arosa

Philippe Schoch a gagné l'argent à Arosa. (Keyst
Le double médaillé olympique suisse termine deuxième du géant parallèle aux Championnats du monde de snowboard d'Arosa. Heinz Inniger est 3e.
Chez les dames, Fränzi Kohl s'offre, elle aussi, le bronze.

«L'argent me va très bien!» Philippe Schoch a le sourire et se balade avec un drapeau suisse sur le dos. Content et soulagé, puisqu'il a couru sous infiltrations (piqûre), car il s'est blessé.

«Je suis très content, mon but est atteint!», déclare-t-il à swissinfo à l'arrivée de cette finale du géant parallèle d'Arosa.

Le titre masculin est revenu à Slovène Rok Flander, devant Schoch et Inniger. Alors que tout le monde attendait Simon Schoch, c'est son frère Philipp qui s'illustrait sur la piste grisonne.

Le double champion olympique, blessé et s'élançant sous infiltration, a dû serrer les dents pour passer les tours et se rapprocher de sa première médaille mondiale.

Malheureusement pour le Zurichois, Rok Flander - grand contradicteur de son frère Simon en Coupe du monde cette saison - était intouchable en finale. Schoch prétéritait ses chances dans la 1re manche, chutant à trois portes de l'arrivée.

La revanche d'Inniger


Heinz Inniger ne parvenait pas, pour sa part, «J'ai eu une saison difficile. Rien ne fonctionnait comme je voulais, confiait le Bernois. Le vent à tourné dans le barrage contre Urs Eiselin. Depuis, tout s'est parfaitement déroulé pour moi.»

La médaille d'Inniger est presque miraculeuse. Dernier sélectionné du cadre suisse, le rider de Frutigen aurait pu sortir dès les 8es de finale. Opposé au Français Bozzetto, avec qui il a fini à égalité parfaite, c'est grâce à son meilleur temps en deuxième manche qu'il a pu poursuivre son chemin à Arosa.

Une médaille doublement savoureuse, puisque Inniger prenait au passage sa revanche des Jeux olympiques sur Siegfried Grabner, qui l'avait battu en quart de finale et s'était classé troisième.

Simon Schoch malchanceux


Simon Schoch connaissait une cruelle mésaventure en qualifications. Celui qui est monté sur tous les podiums Coupe du monde cette saison a brisé sa fixation dès le départ de sa manche. «J'ai senti que quelque chose n'allait pas. Ca secouait beaucoup...», expliquait le Zurichois.

Il poursuivait tout de même son effort, avant que la casse matérielle ne le propulse hors de la piste sur un virage «backside» dans le mur final. «C'est dommage. Mais je pense déjà au slalom de mercredi», concluait-il.

Fränzi Kohli confirme


Fränzi Kohli confirmait que la succession des deux retraitées Daniela Meuli et Ursula Bruhin était en bonne voie. La Bernoise se montrait très à son avantage sur la piste d'Arosa, notamment dans un mur final qu'elle maîtrisait mieux que toutes ses adversaires.

«C'était ma force aujourd'hui reconnaissait-elle. J'ai toujours de la peine sur le plat. Je me réjouis maintenant du slalom, même si je préfère nettement le géant.» Lauréate à Sölden en octobre, la Bernoise se rapproche peu à peu des meilleures rideuses au monde.

Comme d'Ekaternina Tudigescheva qui, à moins de 20 ans - elle les aura en octobre - s'impose comme la valeur sûre du snowboard alpin. Elle efface surtout sa frustration d'il y a deux ans, quand elle avait pris le quatrième rang des championnats du monde de Whistler.

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Rallye Raid Dakar 2007

Etape 10 : déclarations

Voici ce qu'ont dit les principaux protagonistes à l'arrivée de l'étape 10 du Dakar 2007, mardi, à Néma.

Nasser Al Attiyah (BMW, vainqueur autos) : "On a vraiment réalisé une belle étape en gardant une bonne vitesse tout le temps. Je suis ravi de gagner ma première spéciale, c'est un grand moment dans ma carrière. C'était la dernière étape difficile en Mauritanie, et on voulait tenter quelque chose. Les gens savent en plus que nous n'avons pas une voiture au même niveau que celles des grosses écuries. Cela fait deux jours que je suis fiévreux. Après 250 km de la spéciale, je ne me sentais pas bien. A 20 km de l'arrivée, nous avons en plus connu des problèmes de transmission arrière, alors j'ai ralenti notre allure. Concernant le général et mon retard sur Schlesser pour la 3e place, ça va être difficile." - Source ASO
Stéphane Peterhansel (Mitsubishi, 4e) : "Nous avons repris Luc après about 150 km et nous sommes restés derrière, dans la poussière et le sable mou. Puis, sur une section hors-piste, nous l'avons passé à 10 km de la fin. Mais j'ai roulé plus de 200 km dans la poussière. Pas confortable."
Luc Alphand (Mitsubishi, 6e) : "Nous avions reçus l'ordre ce matin de préserver nos voitures. Lorsque nous avons double Schlesser, ce n'était pas facile d'être les premiers sur la piste, pas facile de trouver la bonne allure. Nous essaierons dans les prochaines étapes, sans prendre de risques. Stéphane sera devant lors de la prochaine étape, ce sera donc un peu plus facile."
Giniel de Villiers (Volkswagen, 15e) : "Nous avons pris le départ avec 22 minutes de retard, mais nous sommes très reconnaissants à l'équipe de pouvoir encore participer. Si on soustrait ce temps, il aurait encore été possible d'être parmi les trois premiers. Physiquement, la journée a été très dure, la navigation par contre était très simple. Malheureusement un autre participant nous a accroché sans raison. J'avais l'impression d'être sur un circuit."
Carlos Sainz (Volkswagen, 5e) : "Merci à l'équipe qui, la nuit, nous a à nouveau préparé une excellente voiture. Nous avons longtemps roulé dans la poussière et nous avons dû dépasser de nombreux adversaires. La piste était une sorte de chemin solide au milieu de fech-fech comme du pudding, des rangées d'arbres et des buissons."
Mark Miller (Volkswagen, 3e) : "J'ai vraiment tout donné et beaucoup demandé de la voiture. La 3e place est notre meilleur résultat jusqu'à présent, mais nous aurions pu faire encore mieux, si je ne m'étais pas trompé sur le réglage. En effet, la voiture a un peu trop sous-viré. Après 17 kilomètres, j'ai dépassé un Buggy, ensuite Jutta Kleinschmidt. Le parcours était très inhabituel : la plupart de temps, nous avons roulé sur du sable, mais le sol était très dur au milieu."
Kris Nissen (Volkswagen Motorsport, directeur) : "Après les déconvenues de la veille, la situation s'est stabilisée. L'équipe a très bien travaillé et a très bien préparé les voitures de Giniel et de Carlos. Il n'en a pas fallu de beaucoup pour que Mark Miller soit le vainqueur de l'étape d'aujourd'hui, cependant ce mérite revient à Nasser Al-Attiyah et à l'équipe de Sven Quandt - nous les en félicitons. Comme demain, il n'y a qu'une étape de liaison, c'est presque comme un jour de repos. L'équipe aura ainsi le temps de préparer les voitures dans le calme et de reprendre un peu de forces. C'est une équipe unie qui poursuit vers Dakar. Nous voulons encore obtenir de très bons résultats dans les classements d'étapes."
Marc Coma (KTM Repsol, 2e) : "Une spéciale un peu plus compliquée que prévu. Nous avons couru sur des pistes très sablonneuses, sympas et en même temps très exigeantes. J'ai commencé 3e et j'ai pu rattraper Cyril, mais il a fait un écart à cause de la poussière. A l'arrivée, la différence n'est pas énorme. Le plus important est que c'est un jour de plus derrière nous. Nous sortons de Mauritanie sans problème, en ayant rempli nos objectifs."

[medol]

Bon ça va pas changer la face du monde mais!
Alonso et Heidfeld changent de casques.Pour alonso il les change en raison du sponsor et pour"Quik Nick " ses couleurs deviennent grises et blanches

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WRC Rallye de Monte Carlo

Loeb : "De quoi être optimiste"

Absent lors des quatre rallyes, Sébastien Loeb revient à la compétition. Avec quelques inconnues, dont sa Citroën C4 et le parcours du Monte-Carlo.

Où en est votre blessure au bras ?
Sébastien Loeb : Je n'ai pas encore récupéré toute ma force et pour certains mouvements, je suis encore un peu pénalisé. Je manque de réactivité. Mais, à l'approche du Monte-Carlo, je ne suis pas inquiet car cela évolue dans le bon sens. Je ne ressens des douleurs que lorsque je fais des mouvements très rapides. J'ai pu aligner beaucoup de kilomètres durant les essais, sans que cela m'empêche d'aller vite. De toute façon, l'objectif est d'aborder le rallye comme si de rien n'était et de voir comment cela se passe.
Après les derniers tests effectués avec la C4 WRC pour préparer le Monte-Carlo, comment la jugez-vous ?
S.L. : Je n'ai pas la même expérience avec cette voiture que celle que je pouvais avoir avec la Xsara. Globalement, je me sens bien dedans. Le feeling est bon, l'équilibre de la C4 est excellent, elle répond bien à mes sollicitations. Nous avons fait suffisamment de tests à mon goût, il y a de quoi être optimiste, mais comme je le dis souvent : on est toujours les meilleurs en essais : le vrai verdict sera en course. Je sais que je vais encore apprendre de son comportement lors du rallye.
Que vous inspire le fait que le Monte -Carlo retrouve des spéciales qui ont fait sa légende ? Que vous en a dit Daniel Elena qui les a déjà parcourues ? C'est le bon endroit pour égaler le record de quatre victoires de Sandro Munari, Walter Röhrl ou Tommi Mäkinen non ?
S.L. : Découvrir la C4 sur un nouveau parcours complique un peu les choses. Cela fait beaucoup de nouveautés d'un coup. Je ne sais pas du tout à quoi ressemblent les spéciales. Nous n'en avons pas discuté avec Daniel. On revient peut-être sur des chronos connus du Monte-Carl' mais d'un autre côté, on a perdu la plus mythique : le Turini. L'un dans l'autre, à part le changement, cela n'apporte rien. Il y a peut-être plus de chance que la neige soit présente ce qui serait bien pour l'esprit du Monte-Carlo. En revanche, s'il n'y en a pas, les locaux, avec qui j'ai discuté, m'ont dit que le parcours serait vraiment très rapide. Enfin, je ne pense pas au record. La chose la plus importante est de savoir si la C4 est performante. L'objectif dans ce rallye, qui m'a toujours assez bien réussi, est de gagner. Que cela me permette d'égaler un record serait un plus...

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François Duval de retour dès le Rallye du Portugal

S'il ne sera pas au départ des trois premiers rendez-vous mondiaux (Monte-Carlo, Suède et Norvège), François Duval retrouvera le championnat mondial des rallyes dès le Portugal (30 mars-1er avril) et participera ensuite à toutes les manches européennes.

Le champion de Belgique disposera pour ce programme d'une Skoda Fabia WRC préparée et assistée par le team andennais First, celui-là même qui le suivait déjà en 2006. Le retour de Duval sur la scène mondiale a été rendu possible par l'implication de l'importateur Skoda pour la Belgique et l'arrivée d'un nouveau sponsor.

Des détails supplémentaires sur l'opération - qui pourrait concerner également le rallye du Condroz - seront fournis ce mercredi à l'occasion d'une conférence de presse donnée dans le cadre du Salon de l'Auto à Bruxelles.

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La BMW-Sauber 2007 dévoilée

BMW Sauber a dévoilé mardi à Valence sa nouvelle monoplace F1.07 grâce à laquelle l'écurie allemande compte poursuivre sa progression et multiplier les podiums cette saison en Formule 1 avec ses pilotes Nick Heidfeld et Robert Kubica.

Arrière résolument très étroit qui cache tout juste la boîte de vitesse "seemless", aérodynamique très travaillée, en particulier au niveau des pontons, entrées d'air élargies, nez plus court que la F1.06 de l'an passé et coque plus haute afin de modifier les flux d'air pour un meilleur appui: la nouvelle monoplace BMW Sauber, si elle a conservé sa robe blanche à parement bleus marines avec un liseret rouge, n'en demeure pas moins une machine complètement différente de sa devancière.

Dans l'après-midi, Nick Heidfeld a effectué les premiers roulages au volant de sa nouvelle machine sur le circuit de Valence: un premier tour, puis deux séries de deux tours avant de devoir s'arrêter pour faire "quelques ajustements" et régler un problème de température, selon le pilote. Ceci fait, l'Allemand a repris la piste. (belga)

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Nadal et Sharapova qualifiés, matches perturbés par la chaleur

Rafael Nadal, Maria Sharapova et Kim Clijsters se sont qualifiés mardi pour le deuxième tour de l'Open d'Australie de tennis, au cours d'une journée perturbée par la chaleur. Les parties de cinq Françaises, programmées mardi, ont été reportées à mercredi en raison du retard pris en raison de la chaleur. Il s'agit de Séverine Brémond, Alizé Cornet, Youlia Fedossova, ainsi que d'Aravane Rezaï et d'Emilie Loit, ces deux dernières devant se rencontrer. L'Espagnol Rafael Nadal a obtenu une victoire rassurante sur l'Américain Robert Kendrick 7-6 (8/6), 6-3, 6-2.

Touché derrière la cuisse droite la semaine dernière à Sydney, le Majorquin disputait son premier match à Melbourne depuis deux ans, après avoir dû déclarer forfait en 2006 à cause d'une blessure au pied. Le N.2 mondial a mis un set pour trouver ses marques avant de dérouler face à un adversaire qui l'avait poussé à un cinquième set lors du dernier Wimbledon. Depuis qu'il a atteint la finale du tournoi sur gazon londonien, Nadal, 20 ans, n'a plus jamais réussi à atteindre ce stade de la compétition. Son dernier titre, le 17e, remonte au dernier Roland-Garros. Cette année, il a été battu par le Belge Xavier Malisse en demi-finales de Madras et contraint à l'abandon au premier tour à Sydney.

Son meilleur résultat à Melbourne est un huitième de finale en 2005. Il rencontrera le Belge Kristof Vliegen ou l'Allemand Philipp Kohlschreiber au deuxième tour. Le Russe Nikolay Davydenko, tête de série N.3, s'est qualifié en battant l'Argentin Sergio Roitman, 6-2, 7-5, 6-2, mardi à Melbourne. Chez les dames, la Française Camille Pin a frôlé l'exploit face à la Russe Maria Sharapova, tête de série N.1 avant de céder en trois sets 6-3, 4-6, 9-7. Sous une chaleur écrasante (autour des 40°), la Niçoise, 62e mondiale, a fait vaciller une des grandes favorites du tournoi, en passant à deux points du match, à 7-6, 30-30 dans la troisième manche. Kim Clijsters a infligé une double roue de bicyclette (6-0, 6-0) à la Russe Vasilisa Bardina pour atteindre au pas de charge le deuxième tour.

La Belge, tête de série N.4, n'a mis que 44 minutes pour se qualifier. Si elle arrête à la fin de saison comme promis, elle dispute son dernier Open d'Australie. La Flamande, 5e mondiale, a toujours cultivé une relation particulière avec l'Australie depuis sa relation avec le héros local, Lleyton Hewitt. Elle a commencé l'année en fanfare avec une victoire au tournoi exhibition de Hong Kong et une deuxième à Sydney, où elle a remporté le 34e titre de sa carrière. La Suissesse Martina Hingis, tête de série N.6, s'est qualifiée pour le deuxième tour en battant la Française Nathalie Dechy en deux sets 6-0, 6-2...

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L’ANNONCE S. Deisler
Il met un terme à sa carrière
Sebastian Deisler (27 ans), milieu de terrain international allemand du Bayern Munich, a annoncé qu’il mettait un terme à sa carrière gâchée par cinq opérations au genou droit et plusieurs épisodes dépressifs. Joueur de grand talent, il compte 36 sélections et il a marqué trois buts en équipe nationale.
Deisler n’a jamais disputé de phase finale d’un grand tournoi international avec la Mannschaft. Il a notamment raté les deux dernières Coupes du monde en raison de blessures au genou. «Ces dernières années, ça a été un supplice pour moi», a déclaré Deisler ●