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Foot Bleus Ils ne sont pas tous en forme...
Alors que Didier Deschamps a fait de la forme du moment une condition sine qua non pour les joueurs retenus contre l'Ukraine, force est de constater que les Bleus ne sont pas tous arrivés au sommet en ce moment. Le baromètre à deux jours du barrage aller à Kiev.
Les dernières prestations d'Abidal n'inquiètent pas Deschamps. (L'Equipe)









ILS INQUIETENT

Eric Abidal
Parti pour être titulaire dans l’axe avec Koscielny, Eric Abidal inquiète. En L1, les dernières prestations du défenseur monégasque n’ont pas été très convaincantes, à l’image de l’ASM, quelque peu à la peine après un début de saison tonitruant. Deschamps vole malgré tout à son secours. «Son équipe est en ce moment plus en difficulté sur le plan défensif, relativise le sélectionneur. Il peut avoir des périodes plus difficiles… Et puis, il y a l’enchainement des matches... Mais sinon il va bien, il n’y a pas de souci particulier.»


Mathieu Valbuena
Indispensable à l’OM, Mathieu Valbuena a joué quasiment tous les matches depuis début août et a fini par plonger comme son club, auteur d’un mois d’octobre affreux (5 matches, 5 défaites). Physiquement atteint, le meneur de jeu reste pourtant un joueur important voire presque intouchable dans l’animation offensive des Bleus. Alors que Samir Nasri est en pleine forme, le Marseillais pourrait perdre sa place dans l’axe en soutien de l’attaquant, alors qu’il a rarement déçu sous le maillot tricolore. A Deschamps de faire un choix. Le sélectionneur a prévenu qu’il s’appuierait (beaucoup) sur la forme du moment.




Olivier Giroud
Seul véritable attaquant valide d’Arsenal, Olivier Giroud a une grosse pression sur les épaules. Si son début de saison s’est avéré excellent tant avec son club qu’avec les Bleus, où il a piqué la place en pointe à Karim Benzema, l’ancien Montpelliérain n’est aujourd’hui plus aussi décisif (4 matches sans marquer toutes compétitions confondues). «Il marque moins de buts, mais il pèse beaucoup sur les défenses adverses, défend Laurent Koscielny. Son jeu dos au but et ses duels gagnés de la tête sont précieux. Il fait un travail énorme devant, et il fait des passes décisives comme à Dortmund.» Il s’est peu reposé et l’enchainement des matches doit commencer à lui peser. «Mais je le connais, il est costaud et il sera là pour répondre présent», rassure son coéquipier.

ILS SONT AU TOP

Franck Ribéry
Il fait actuellement l’unanimité. Auteur d’une grande année avec le Bayern Munich, avec lequel il a tout gagné, le Bavarois est aussi redevenu un très grand joueur sous le maillot bleu. Il est également le joueur le plus décisif avec quatre buts lors des trois derniers matches. Et il est légitimement devenu un favori pour le Ballon d’Or. «Il est dans les deux trois meilleurs du monde, confirme Rio Mavuba. Il le montre à chaque match, il est décisif tout le temps. Avec nous, il a pris les choses en main. C’est le Franck qu’on attendait, il tire l’équipe vers le haut.»


Loïc Rémy
Blessé au mollet en début de saison, Loïc Rémy n’a joué que neuf rencontres de Premier League. Mais il a déjà marqué sept buts, dont deux importants récemment contre Chelsea (2-0) et Tottenham (1-0), lors des sept dernières journées de Championnat. En équipe de France, ses autres atouts sont d’être polyvalent et d’avoir une concurrence assez faible au poste de milieu droit. «Loïc est en très grande confiance, confirme Koscielny. Il montre à Newcastle qu’il fait partie des grands buteurs. Il va très vite, il prend bien la profondeur, c’est un danger permanent pour les défenseurs.»

Laurent Koscielny
A Arsenal, ils sont trois pour deux places : Mertesacker, Vermaelen et Koscielny. Depuis le début de saison, le Français est incontournable et forme avec l’international allemand une charnière centrale très solide. Il ne fait donc guère de doute que Didier Deschamps va s’appuyer sur le Gunner pour les deux matches contre l’Ukraine. Reste à savoir avec qui à ses côtés. Le sélectionneur a le choix entre l’expérimenté Eric Abidal et le jeune prodige Raphaël Varane. Le Monégasque, malgré un coup de moins bien (lire plus haut), semble avoir une longueur d’avance.
D. Mi., à Clairefontaine

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Henry et sa funeste main
mercredi 13 novembre 2013
Vincent Duluc

103e minute : à la suite d'un coup franc vite joué, Thierry Henry contrôle le ballon de la main gauche devant Paul McShane (n° 13) avant de servir William Gallas (n° 5), qui va égaliser de la tête (1-1 a.p.) et qualifier les Bleus pour la Coupe du monde e








Il y a quatre ans, lors du barrage retour contre l'Eire (1-1 a.p.), Thierry Henry contrôlait le ballon de la main avant d'offrir à William Gallas le but de la qualification pour la Coupe du monde. La polémique qui suivit fut pour lui davantage qu'une blessure, une cassure. Et sa dernière saison européenne s'acheva à Knysna... Depuis, le meilleur buteur de l'histoire des Bleus s'épanouit aux États-Unis.
À NEW YORK, Thierry Henry coule des jours tranquilles qui étirent l'exil médiatique et sportif d'un personnage central du football français. Il n'y a qu'un seul proverbe qui vaille : loin des yeux, loin des yeux. Le coeur, dans tout cela, est plus incertain. Des deux côtés de l'océan...

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Rugby XV de France Bastareaud : «Je ne me prends plus la tête»
Mathieu Bastareaud a été retenu dans le groupe de 23 pour affronter les Tonga (samedi, 18h00). Face à ces joueurs très puissants, le trois-quarts centre toulonnais aura des arguments à faire valoir.
Mathieu Bastareaud semble de plus en plus apaisé. (L'Equipe)









Autant il peut être dévastateur sur un terrain, autant Mathieu Bastareaud respire la quiétude en dehors. Détendu, souriant, arborant une moustache que n’aurait pas renié le regretté Charles Bronson, le toulonnais sait qu’il aura un rôle à jouer face aux puissants Tongiens. Même s’il est encore loin de ressentir la moindre pression. «Ce n’est pas un match que j’attends plus qu’un autre, même si c’est vrai que j’aime le contact. On sait qu’ils seront présents dans ce domaine, mais pour moi l’important est d’être dans le groupe.»

Confirmé par Philippe Saint-André dans la liste des 23, Mathieu Bastareaud savoure le fait de passer un peu plus de temps avec l’équipe de France. «Il y a beaucoup de concurrence à mon poste, mais c’est bien pour l’équipe de France. Et moi, ça me force à travailler plus. Ça me convient si on doit se tirer la bourre à l’entraînement pour gagner sa place. De toute façon, j’essaie de prendre les choses à la cool. J’ai passé trop de temps à me poser des questions et maintenant je ne me prends plus la tête.» Et il ne cache pas qu’avec le travail fourni il espère toujours «que les coaches se casseront la tête au moment de composer l’équipe».

«En équipe de France, on nous demande plus d'être dans l'initiative personnelle» Bastareaud nous explique alors que ce qui lui est demandé en équipe de France est bien différent de ce qu’il doit faire au RCT. «A Toulon, je suis essentiellement utilisé sur un premier temps de jeu, pour monopoliser les défenseurs. Parfois, j’interviens sur un troisième temps de jeu, mais tout est très travaillé, prévu à l’avance. Avec les Bleus, je dois plus participer au jeu. On nous demande d’être plus dans l’initiative personnelle. Le jeu est moins formaté, mais c’est probablement lié au manque de temps pour travailler ça, justement.»

Sur ses prochains adversaires, en tout cas, le trois-quarts centre ne se pose pas de questions. «Les Tonga ont su faire évoluer leur jeu. Ce n’est plus quatre-vingt minutes de combat. Même si en défense il faudra rentrer les têtes (rires). Mais avant de penser à notre jeu, il faudra penser à mettre de l’agressivité. Surtout qu’ils ont perdu en Roumanie (19-18) et que ça doit les énerver.»
Bertrand LAGACHERIE, à Linas-Marcoussis

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6 après le cut...

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Foot Coupe du Monde 2014 L'Uruguay quasiment au Brésil
Spécialiste des barrages à la Coupe du monde, l'Uruguay s'est imposé en Jordanie lors de l'aller (5-0). Le match retour du 20 novembre ne sera qu'une formalité pour la Celeste.
Le Parisien Cavani devrait disputer le Mondial l'été prochain. (AFP)









Cinquième de sa zone de qualifications pour le Mondial 2014, l’Uruguay ne s’est jamais vraiment inquiété de devoir disputer un match de barrage. Spécialiste de ces duels tendus depuis plus de dix ans, la Celeste s’est facilement imposée lors de l’aller en Jordanie (5-0). Un score logique vu la différence existant entre les deux équipes…

Les Uruguayens, organisés dans un 4-1-3-2 très offensif avec le seul Arévalo Rios devant la défense, ont maîtrisé toute la rencontre. Pari d’Oscar Tabarez, Carlos Stuani a été à l’origine de l’ouverture du score signée Maxi Pereira (22e). L’attaquant de l’Espanyol a ensuite doublé la marque suite à une passe de Lodeiro par-dessus la défense. Ancien prodige de l’Ajax Amsterdam, le meneur de jeu évoluant à Botafogo (24 ans) a marqué le troisième but des siens.

Cavani dans tous les bons coups




Cette troisième réalisation a mis l’Uruguay encore un peu plus à l’abri face aux tombeurs de l'Ouzbékistan en barrage asiatique. Sur le coup, Cavani a bien remis le ballon en retrait. Dans tous les bons coups, le Parisien avait aussi eu un rôle dans les deux premières réalisations des siens : sa tête avait été mal repoussée par le gardien adverse sur l’ouverture du score puis il avait perturbé la défense jordanienne d’une feinte de corps sur le deuxième but. Il a même marqué sur un coup franc magnifiquement enroulé du droit en fin de match !

Cristian Rodriguez, passé par le PSG, avait également trouvé le chemin des filets pour une équipe qui s’est rassurée en défense à un peu plus de six mois d’un Mondial qu’elle disputera assurément. Pas un luxe pour une arrière-garde pilotée par Lugano qui avait encaissé 25 buts en seize matches lors de la phase de groupes.

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Basket Euroligue (F) Bourges n'est pas passé loin
Favorites à leur propre succession en Euroligue, les Russes d'Ekaterinbourg ont eu toutes les peines du monde à se défaire de Bourges (57-52), qui a mené une bonne partie du match. Céline Dumerc et ses coéquipières sont passées tout près de l'exploit.
Céline Dumerc et les Berruyères ont fait trembler l'ogre russe (L'Equipe)






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Sans l'Australienne Marianna Tolo, MVP étrangère de la dernière saison LFB absente en raison d'un problème de visa, Bourges a bien failli se relancer de la plus belle des manières. Défaites pour leur entrée dans la compétition face aux Italiennes de Schio (55-61), mercredi dernier, les joueuses de Valérie Garnier devaient reprendre leurs esprits ce mercredi contre la meilleure équipe d'Europe. A Ekaterinbourg, sur le parquet des quintuples championnes de Russie en titre (lesquelles ont remporté leur premier match de 58 points!), les championnes de France se sont prouvées qu'elles avaient bien une carte à jouer cette saison en Euroligue.

La stat : 2/18 longue distance Après un démarrage chaotique, les Berruyères ont vite tenu la dragée haute aux Russes. Dominatrices au rebond, elles se sont offert de nombreuses secondes chances pour virer en tête à la fin du premier quart-temps (18-15). Et si la profondeur de banc et le talent offensif de l'Américaine Candace Parker (16 points, 20 rebonds) ont tout de même permis aux locales de réaliser quelques grosses séquences, l'application des joueuses de Bourges les a gardé dans le coup pendant toute la rencontre. En milieu de troisième quart-temps, les Tangos ont même pris 8 points d'avance (43-35), sous l'impulsion notamment d'Endy Miyem (15 points, 9 rebonds).




Gêné par une défense assez exceptionnelle des visiteuses, Ekaterinbourg a fait preuve d'une étonnante maladresse, notamment sur la ligne des lancers-francs (7/18). Il a fallu tout le talent de l'autre joueuse US de l'effectif, Diana Taurasi (15 points), et de la tricolore Sandrine Gruda (7 points) dans la raquette pour faire la différence dans le money time. Bourges peut s'en vouloir de n'avoir pas rentré ses shoots longue distance (2/18), et d'être passé à côté de tirs faciles dans les dernières minutes après avoir dominé les débats pendant une bonne partie de la rencontre. Malgré le bilan comptable négatif après deux rencontres sur la scène européenne (0-2), les Tangos ont montré qu'il ne leur manquait qu'un peu de réussite offensive pour être au niveau des plus grands.

G.S.

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«Je ne me prends plus la tête»...

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F1 GP des Etats-Unis Lotus pense à Kovalainen
Kovalainen devrait dépanner Lotus à Austin. (Reuters)









Pour pallier au forfait de Kimi Räikkönen, qui a mis un terme à sa saison afin de se faire opérer du dos, Lotus envisagerait d'aligner un autre Finlandais, Heikki Kovalainen, ce week-end au Grand Prix des Etats-Unis. C'est ce qu'annonce ce mercredi le site britannique Autosport, qui précise que la candidature du pilote de réserve Davide Valsecchi a été écartée en raison de son manque d'expérience. Lotus, qui joue encore la troisième place au classement des constructeurs, aurait donc opté pour Kovalainen, ex-pilote McLaren, Renault F1 et Caterham, pour qui il a déjà roulé cette saison en essais libres. La décision devrait être officialisée jeudi.
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Gaultier s'arrête en quarts...

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Foot Ligue 1 Nice Puel :«Trois défaites, c'est nouveau»
L'entraîneur niçois Claude Puel est revenu ce mercredi sur la période délicate que traverse son équipe, qui vient de vivre pour la première fois sous sa direction trois revers consécutifs.
Claude Puel doit remobiliser ses troupes avant la prochaine journée de Championnat. (L'Equipe)










« Claude Puel, Mathieu Bodmer qui se blesse à Paris une semaine après David Ospina contre Bordeaux, Bauthéac qui rechute… De nombreuses blessures vous affectent depuis le début de saison, avez-vous déjà été confronté à une telle hécatombe ?
Malheureusement oui, à Lille et à Lyon également. On avait déjà eu une période avec pas mal de blessés en janvier-février dernier, alors qu’on n’avait rien eu les six mois précédents. Ça fait partie des choses inhérentes à un club, à une saison, mais c’est vrai qu’il y a comme une loi des séries. Là, on est sur des aspects « genou », en plus à chaque fois il s’agit d’un traumatisme. Ce sont des coups, des duels, c’est difficile à appréhender, à anticiper.

Êtes-vous revenu de Paris, samedi, avec quelques regrets ?
Le troisième but de Paris arrive assez vite, alors qu’il y a eu la possibilité de venir égaliser. Il y avait matière à mieux faire, mais il faut le match parfait, ce qui n’a pas été le cas. Mais on a montré des choses intéressantes. Beaucoup d’équipes, je pense, n’en ont pas montré autant.

«Il faut avoir la remise en cause et le coup de collier nécessaires» Vous avez terminé les deux derniers matches en 3-5-2. Jouer avec deux attaquants, est-ce que ça peut devenir une idée de départ pour éviter à Cvitanich d’être trop isolé ?
Il n’y a pas d’isolement de Dario, il y a le fait de garder ou pas des ballons hauts. On a été performants à une pointe. Après, à deux pointes, on joue un peu un va-tout sur un aspect offensif. Là, ç’a permis de faire un peu bouger les lignes avec un nouvel allant, avec des joueurs qui prennent un peu plus d’espace pour inquiéter la défense adverse.

Nice joue-t-il clairement moins bien que la saison passée ?
On est moins réguliers, donc automatiquement, on joue moins bien. Il y a eu des matches de qualité dans la logique de la saison passée, et des couacs, comme la saison passée. Là, on enchaîne avec trois défaites et c’est nouveau pour ce groupe-là. Il ne doit pas l’accepter. Il faut avoir la remise en cause et le coup de collier nécessaires.

Que faut-il penser de la situation de Jérémy Pied, qui s’est retrouvé en tribune lors des deux derniers matches ?
C’est un choix. C’est à lui de montrer des choses par rapport aux qualités intrinsèques qu’on lui a décelées. Je veux qu’il fasse plus. Mais c’est valable pour d’autres. Il faut une prise de conscience pour s’exprimer pleinement et faire le nécessaire pour se lâcher. »
J.Ri., à Nice

-

3
1

Paris-SG
39eZ.Ibrahimovic
57eZ.Ibrahimovic
75eZ.Ibrahimovic




Nice
70eN.Pejcinovic







Voir le film du match





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Le Clos n'est pas rassasié...

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Voile Jacques-Vabre PRB reprend son bien
Vincent Riou et Jean Le Cam (PRB) ont de nouveau pris les commandes de la course en Imoca. Les trimarans vont attaquer le piège du Pot-au-Noir.
Vincent Riou et Jean Le Cam sont de nouveau leaders des Imoca. (D.R)









Dépassés par Bernard Stamm et Philippe Legros (Cheminées-Poujoulat) au pointage de 6h30, Vincent Riou et Jean Le Cam étaient en tête de la catégorie Imoca ce mercredi à 16h00. Le duo Gabart/Desjoyeaux est toujours troisième. Loin devant le reste de la flotte de cette Transat Jacques-Vabre, les trimarans MOD 70, dont celui de Sébastien Josse et Charles Caudrelier (Edmond de Rothschild), leaders, vont aborder le piège météo du Pot-au-Noir.

Cette zone de convergence intertropicale devrait jouer avec les nerfs des navigateurs qui auront le droit à de nombreuses variations de vent. Chez les Class40, Sébastien Rogues et Fabien Delahaye (GDF Suez) mènent le bal alors que certains concurrents ont abandonné ou sont en escale technique à Cascais (Portugal). Enfin en Multi50, Arkema patiente toujours en attendant son remorquage, retardé à jeudi. Erwan Le Roux et Yann Eliès (FenêtréA Cardinal) sont toujours devant.

Les classements (positions à 16h00 GMT) :




Imoca (monocoques de 18,28 m, 10 bateaux) :
1. Vincent Riou/Jean Le Cam (FRA/FRA - PRB) à 3.566,9 milles de l'arrivée
2. Bernard Stamm/Philippe Legros (SUI/FRA - Cheminées Poujoulat) à 6,5 milles du premier
3. François Gabart/Michel Desjoyeaux (FRA/FRA - Macif) à 21,9 milles
...

Class40 (monocoques de 12,18 m, 24 bateaux) :
1. Sébastien Rogues/Fabien Delahaye (FRA/FRA - GDF Suez) à 4.401,1 milles de l'arrivée
2. Jörg Riechers/Pierre Brasseur (GER/FRA - Mare) à 28,6 milles du premier
3. Damien Seguin/Yoann Richomme (FRA/FRA - ERDF - Des pieds et des mains) à 119,3 milles
...

MOD70 (trimarans de 21,20 m, 2 bateaux) :
1. Sébastien Josse/Charles Caudrelier (FRA/FRA - Edmond de Rothschild) à 2.451,6 milles de l'arrivée
2. Sidney Gavignet/Damian Foxall (FRA/IRL - Oman Air Musandam) à 78,3 milles du premier

Multi50 (trimarans de 15,24 m, 4 bateaux) :
1. Erwan Le Roux/Yann Eliès (FRA/FRA - FenêtréA Cardinal) à 3.424,4 milles de l'arrivée
2. Yves Le Blevec/Kito de Pavant (FRA/FRA - Actual) à 52,8 milles du premier
3. Gilles Lamiré/Andrea Mura (FRA/ITA - Rennes Métropole/Saint-Malo Agglomération) à 513,3 milles
...
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L'Italie va être candidate...

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Les Rougets prennent leur revanche en Croatie

14.11.2013 20:52 mise à jour à 21:12
Michael Frey explose de joie après avoir ouvert le score. [Antonio Bat - Keystone]


La Suisse M21 a réalisé une belle opération dans le cadre des qualifications pour l'Euro 2015. La sélection dirigée par Pierluigi Tami s'est imposée 2-0 jeudi en Croatie. Les réussites suisses ont été signées Michael Frey (19e) et Darko Jevtic (47e).
La défaite 2-0 concédée à domicile contre les Croates il y a un mois est en partie réparée. A la faveur de ce succès, les Suisses reviennent à trois longueurs de leur victime du jour en ayant disputé un match de moins dans le groupe E. Pour rappel, les dix vainqueurs de groupe et les quatre meilleurs deuxièmes disputeront des play-off, les sept vainqueurs étant qualifiés pour la phase finale en République tchèque en 2015.
Sur le terrain de Pula, les Helvètes ont montré qu'ils pouvaient se passer de leurs "stars" Ricardo Rodriguez, Granit Xhaka, Josip Drmic, Pajtim Kasami et Haris Seferovic, tous convoqués avec l'équipe nationale pour le match amical en Corée du Sud ce vendredi.
Les Croates, qui ont dû changer de gardien en première mi-temps en raison de la blessure de leur portier Delac, ont été aussi mal payés que la Suisse lors du match aller. Alors que les joueurs de Tami s'étaient inclinés après avoir dominé la rencontre à Lugano, ce sont les hôtes qui se sont montrés les plus actifs devant la cage adverse, mais ont notamment raté un penalty par Brozovic (80e), double buteur au Tessin.
si/adav

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Un choc Portugal-Suède qui va faire des dégâts

14.11.2013
Ronaldo face à Ibrahimovic: l'un des deux restera sur le carreau. [Jonas Ekstromer - Keystone]


Les matches aller des barrages qualificatifs pour le Mondial 2014 dans la zone Europe se tiennent vendredi, avec notamment Portugal-Suède et Ukraine-France. Deux affiches qui, de Ronaldo, Ibrahimovic ou Ribéry, laisseront au moins une star mondiale loin du Brésil.
Le choc de ces barrages est bien sûr la confrontation entre la Suède et le Portugal, qui verra s'affronter Zlatan Ibrahimovic et Cristiano Ronaldo, deux des tout meilleurs joueurs du monde, dont l'un restera donc à la maison l'été prochain.
Les deux joueurs présentent des statistiques presque insensées en ce début de saison: en 21 matches toutes compétitions confondues (club et sélection), "Ibra" a marqué 20 buts; en 20 matches, Ronaldo en a lui inscrit 28.
"C'est la Suède contre le Portugal (...) C'est le collectif qui est important", a pourtant assuré Ibrahimovic mercredi. Mais l'attaquant du Paris SG, qui estime n'avoir "jamais aussi bien joué", sait aussi que sans une grande performance de sa part dès le match aller vendredi à Lisbonne, les chances de son pays sont minces.
Avec, en plus de "CR7", des joueurs du calibre de Pepe, Coentrao, Moutinho ou Nani, la Seleçcao portugaise semble en effet supérieure à son adversaire, efficace offensivement mais très friable derrière (14 buts encaissés en éliminatoires).
Ribéry sera l'atout no 1 des Bleus à Kiev. [Michel Euler - Keystone] Danger pour la France en Ukraine

Autre candidat crédible au Ballon d'Or, Franck Ribéry sera vendredi à Kiev où la France affronte l'Ukraine. Une rencontre largement à la portée des Bleus.
Sélection sans grande vedette, l'Ukraine peut compter sur une défense solide avec seulement quatre buts encaissés en 10 matches dans son groupe de qualifications.
Mais même si les Bleus sont rarement à l'aise face aux équipes regroupées, ils ont retrouvé un vrai allant offensif depuis quelques matches et ont les moyens de menacer une équipe contre laquelle ils n'ont jamais perdu (quatre victoires et trois nuls).