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Handball D1 (9e journée) Fernandez :"Qu'ai-je fait de mal ?"
vendredi 15 novembre 2013
L'Équipe

S'il a porté Toulouse cette saison au quatrième rang de la Ligue après huit journées, Jérôme Fernandez dit aussi porter d'autres projets d'avenir dans l'intérêt de son club. (Photo Philippe Caron/L'Équipe)












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JÉRÔME FERNANDEZ, le capitaine de l'équipe de France, assume pleinement son intérim au Qatar.
P rêté au club libanais d'Al-Sadd jusqu'au 21 novembre, le capitaine de l'équipe de France participe au 15e Championnat d'Asie des clubs à Doha, au Qatar, alors même que Toulouse dispute deux matches de Championnat dans l'intervalle, ce soir à Aix-en-Provence, puis le 21 face à Nantes. Un...

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Judo FRA Riner reprendra lundi
Teddy Riner, qui a subi une arthroscopie à l'épaule gauche le 17 septembre, reprendra l'entraînement lundi, soit deux mois et demi après avoir glané son sixième titre mondial.
Teddy Riner rencontrera ses kinés lundi. (L'Equipe)












«Je reviens lundi à l'entraînement pour retrouver la forme déjà, et surtout pour commencer le gros programme de rééducation qui s'achèvera peut-être en janvier» a expliqué Teddy Riner, de retour à Paris jeudi, où il a lancé les illuminations de Noël de la rue du Faubourg Saint-Honoré dans le cadre de la fondation Imagine, dont il est le parrain. Le sextuple champion du monde avait passé trois semaines en Martinique et en Guadeloupe, son île.

Lundi, il rencontrera les kinés pour faire le point sur son épaule gauche, arthroscopiée le 17 septembre. «Ce n'est pas guéri. La douleur est moins intense mais je ne peux pas encore lever le bras normalement. Je suis pressé d'entendre mes kinés me dire que c'est normal... J'ai hâte de les voir» a-t-il ajouté. Riner est engagé au Tournoi de Paris, les 8 et 9 février. Cette année, les Championnats d'Europe auront lieu en France, à Montpellier (24 au 27 avril).
Avec AFP

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Le Portugal en position favorable, la France mal barrée

15.11.2013 22:43 mise à jour le 16.11.2013 à 08:59
Ronaldo et ses coéquipiers ont pris une option sur la qualification. [Francisco Seco - Keystone]

Portugal
1 - 0
Suède



Le Portugal a remporté à Lisbonne (1-0) le choc de ces barrages face à la Suède. Un résultat qui n'assure de loin pas la qualification aux Lusitaniens. La France a, elle, vécu un cauchemar en Ukraine, en perdant le match (2-0), ses nerfs, et Koscielny (expulsé).
Au Stade de la Luz, les Portugais ont d'emblée tenté d'emballer le match, mettant beaucoup de pression sur le flanc droit grâce aux montées du latéral Joao Pereira. Moutinho trouvait le petit filet après un service de Meireles. Bien disposés tactiquement, les Suédois allaient rapidement éloigner la menace. Et ce sont eux qui se créaient les occasions les plus nettes, par Elmander, Larsson et Kallström.
Après un cafouillage, Lustig sauvait sur sa ligne et Ronaldo ne trouvait pas le cadre sur le renvoi du défenseur suédois. Mais malgré une certaine domination territoriale, les Portugais ne parvenaient pas à trouver l'ouverture, jusqu'à la tête plongeante de Ronaldo à la 82e.
Ribéry n'a pas pesé sur la rencontre comme il l'aurait souhaité. [Keystone] Les Bleus en grand danger

Malgré l'option offensive choisie par Didier Deschamps, les Français ont peiné à créer le danger à Kiev. Alors que le 0-0 semblait écrit, les Ukrainiens fabriquaient un but à l'heure de jeu. Edmar servait Zozulya, qui battait Lloris de près.
La France bénéficiait peu après d'une balle d'égalisation par Nasri, mais Pyatov s'interposait avec brio. Le portier ukrainien récidivait sur une nouvelle frappe du joueur de Manchester City, puis sur un effort de Ribéry. Une faute de Koscielny permettait ensuite à Yarmolenko de doubler la mise sur penalty.
Mitroglu place la Grèce en position idéale

La Grèce a pris une option en s'imposant 3-1 contre la Roumanie. Les trois premiers buts ont été marqués en moins de dix minutes. Mitroglu a ouvert le score pour les Grecs à la 14, avant l'égalisation de Stancu trois minutes plus tard. Salpingidis n'a mis que deux minutes pour redonner l'avantage à son équipe. Mitroglu y allait de son deuxième but à la 69e.
Pas de but entre l'Islande et la Croatie

A Reykjavik, l'Islande et la Croatie en sont restées à un score nul et vierge. Cette rencontre a été le plus souvent fermée. Les meilleures occasions ont été pour les visiteurs, mais le portier Halldorsson s'est montré impeccable dans son but.

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Lausanne et Genève ne gèrent pas leur avance

15.11.2013 22:25 mise à jour le 16.11.2013 à 08:36
Gobbi malmène le Zurichois Kenins. [Sandro Campardo - Keystone]


Lausanne (3-0 à la mi-match contre les ZSC Lions) a eu besoin des tirs au but pour s'imposer à Malley (4-3 tab). Même constat à Genève (2-0 contre Zoug après 20') qui n'a pas été non plus en mesure d'engranger les trois points (3-2 tab).
Malgré une victoire aux tirs au but 4-3 devant Zurich, Lausanne peut pour une fois exprimer quelque ressentiment à l'égard du corps arbitral. Les Lausannois n'ont-ils pas inscrit le 4-0 avant de se le voir refuser par le quatuor zébré? Au lieu de ces quatre unités d'avance, les Vaudois ont encaissé un but de Luca Cunti.
Et les Zurichois ont réussi à revenir à hauteur des Lausannois. Avant cela, le meilleur jeu de puissance de la ligue n'avait eu besoin que de 22 secondes pour tromper Tim Wolf. Sur un service impeccable de Setzinger, Colby Genoway n'a laissé aucune chance au portier des ZSC. Mieux, 119 secondes plus tard, Etienne Froidevaux a profité d'un excellent travail de Caryl Neuenschwander pour doubler la mise, cette fois-ci à 4 contre 5! Les Lausannois ont triplé la mise par Genoway.
Romy, qui déborde Schnyder, semble retrouver peu à peu confiance. [Keystone] Genève perd son acquis en moins de 2'

Denis Hollenstein, auteur de son premier but mardi face à Ambri-Piotta, a récidivé. Le fils de Felix a tout d'abord servi Kevin Romy pour l'ouverture du score genevoise à la 7e avant d'inscrire le 2-0 en profitant d'une incompréhension entre Santeri Alatalo et Eero Kilpelainen. Les Servettiens ont tenu le résultat durant la première moitié de la rencontre, puis en 96 secondes les Zougois ont égalisé grâce à Corsin Casutt et Alessandro Chiesa sur un bon service de Robbie Earl.
Kloten gagne à Lugano

Dans la dernière partie de la soirée, Kloten est allé récupérer trois points à Lugano en gagnant 1-2 sur la glace de la Resega. Un doublé de Peter Mueller a suffi aux Aviateurs. Les Luganais ont réduit le score à la 53e par Dario Simion, mais cela s'est révélé insuffisant.
A lire aussi sur ce sujet: Fribourg fait chuter le leader et le dépasse

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Vettel devant les autres, évidemment

15.11.2013 21:38 mise à jour à 21:40
Déjà champion du monde, Vettel ne veut pas se relâcher pour autant. [Eric Gay - Keystone]


Sebastian Vettel devant Mark Webber, la hiérarchie des essais libres du Grand Prix des Etats-Unis à Austin ne surprendra personne. Derrière les Red Bull-Renault, la chasse est menée par les Mercedes de Nico Rosberg et Lewis Hamilton.
La surprise du jour est à mettre au crédit de Heikki Kovalainen. Le Finlandais, qui remplace son compatriote Kimi Raikkonen sur la Lotus-Renault, a tout de suite été dans le rythme, obtenant le 5e temps. Il a précédé les Sauber-Ferrari d'Esteban Gutierrez et Nico Hülkenberg, qui se sont montrées assez à l'aise sur le spectaculaire circuit texan.
La première séance perturbée

La première séance, notablement plus lente, a pour sa part été perturbée, d'abord par le brouillard, puis par l'absence de l'hélicoptère médical. Dès lors, les pilotes n'ont tourné qu'une petite heure au lieu des 90 minutes habituelles. La hiérarchie matinale était étonnante, avec le meilleur temps pour Fernando Alonso (Ferrari) devant Jenson Button (McLaren-Mercedes) et Valtteri Bottas (Williams-Renault). Vettel s'était contenté du 18e chrono, à plus de deux secondes.
si/bond

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Djokovic et Berdych intraitables

15.11.2013 18:20 mise à jour à 21:02
Vainqueur, Novak Djokovic brandit le poing des gradins en délire. [Darko Vojinovic - Keystone]

Novak Djokovic

Radek Stepanek



7 5
6 1
64
- -
- -




En dominant Radek Stepanek 7-5 6-1 6-4, Novak Djokovic a apporté un premier point à la Serbie face à la République tchèque dans cette finale 2013 de la Coupe Davis. Tomas Berdych a égalisé un peu plus tard en battant facilement Lajovic 6-3 6-4 6-3.
Le double de samedi sera donc capital. La République tchèque alignera sans doute la paire Berdych/Stepanek, qui a remporté 13 des 14 matches qu'elle a disputés en Coupe Davis. Les deux compères partiront favoris face à un duo qui devrait être formé du spécialiste Nenad Zimonjic et d'Ilija Bozoljac. A moins que le capitaine serbe Bogdan Obradovic ne lance Novak Djokovic aux côtés du no 14 du classement mondial de double.
Un 23e succès d'affilée

Comme attendu, Tomas Berdych s'est imposé facilement contre Lajovic. [Marko Drobnjakovic - Keystone] Novak Djokovic a mis 2h10' pour fêter face à Radek Stepanek son 23e succès d'affilée sur le circuit. Il a fait preuve d'une efficacité redoutable, convertissant 5 de ses 6 opportunités à la relance et écartant 7 des 8 balles de break auxquelles il devait faire face.
Lajovic impuissant

Tomas Berdych s'est imposé plus aisément encore face à Dusan Lajovic, qui n'inscrivait que 16 points à la relance et ne se procurait pas la moindre balle de break.
Vainqueur de 11 de ses 12 derniers simples en Coupe Davis, Tomas Berdych n'a cette fois-ci jamais relâché son étreinte. Il s'emparait ainsi de la mise en jeu adverse dès l'entame de la troisième manche, et concluait cette partie en signant son quatrième break de la journée.
si/bond

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Foot Coupe du Monde 2014 Le Brésil s'éloigne pour les Bleus
L'équipe de France s'est inclinée face à l'Ukraine (2-0), vendredi à Kiev, en barrage aller de la Coupe du monde 2014. Elle a terminé à dix suite à l'expulsion de Koscielny, qui a perdu ses nerfs et ratera le match retour, mardi, au Stade de France. Les Bleus sont sous pression. Ils pourraient manquer leur premier grand tournoi depuis 1994.
Matuidi, Abidal, et Koscielny prennent un coup au moral : l'Ukraine vient d'ouvrir le score, vendredi, à Kiev. Et la soirée a empiré... (L'Equipe)










Les Bleus ont livré en Ukraine un match qu’ils n’ont jamais été en mesure de gagner et qu’ils se sont débrouillés pour perdre par deux buts d’écart (2-0). Parce qu’il reste encore un match retour, l’espoir est toujours permis. Mais au regard de la prestation livrée vendredi soir, inverser la tendance tiendrait presque du miracle. Dans une enceinte surchauffée, dont le public français ferait bien de s’inspirer dans quatre jours, les Bleus n’ont jamais réussi à peser sur l’issue de la rencontre. Seule une tentative de Nasri aurait vraiment pu déboucher sur un but tricolore (65e), mais le milieu de Manchester City a tiré droit dans Pyatov. La France était déjà menée 1-0…

La défense française est apparue fébrile

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Deschamps : «Il faut y croire»








Le pire dans l’histoire ? Jusqu’à l’ouverture du score de Zozuliya (61e), l’Ukraine n’a pas été foncièrement meilleure que la sélection dirigée par Didier Deschamps. Défensivement, elle s’est appuyée sur la force collective et la solidité qui lui avaient notamment permis de tenir l’Angleterre deux fois en échec lors de la phase de groupes. Offensivement, elle a bénéficié de la fébrilité dégagée par la défense française. A la conclusion d’une action initiée par Stepanenko et relayée par Edmar, Zozulya en a profité pour tromper Lloris une première fois (61e). A la lutte avec Laurent Koscielny, l’attaquant du Dniepr Dniepropetrovsk a ensuite obtenu un penalty transformé par Yarmolenko (83e), ce qui obligera les Bleus à marquer trois fois sans prendre de but mardi au Stade de France. Sans un retour de Debuchy (90e) ou une intervention de Lloris (90e+1), l’affaire aurait pu être pliée dès ce barrage aller.

L'influence de Ribéry, souvent pris à deux, a été réduite à néant Il reste désormais un peu moins de quatre jours à Didier Deschamps pour trouver la formule qui permettra à la France de retrouver le chemin du Brésil. Alors qu’il avait semblé hésiter à renouer avec un système en 4-3-3, le 4-2-3-1 aligné n’a pas permis aux Bleus d’avoir le même rendement que lors de leurs dernières sorties. Plus inquiétant encore : non seulement l’influence de Ribéry, souvent pris à deux, a été réduite à néant, mais ses équipiers n’ont pas profité du marquage serré auquel il a été confronté tout le match. La faute en revient à la difficulté de bousculer le bloc ukrainien, mais faute de mouvement, les Bleus ne se sont pas non plus donnés les moyens de le faire. Pour ne rien arranger, et alors que Varane souffre toujours du genou, ils seront privés au retour de Koscielny, expulsé pour avoir frappé Kucher au visage (90e+1). Une vraie soirée noire à oublier, mais qui restera gravée dans les mémoires en cas de non qualification pour le Mondial.
Emery TAISNE, à Kiev

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Nantes n'a pas tremblé...

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Basket NBA Miami et Indiana déroulent
Miami a stoppé Dallas grâce à LeBron James et Dwyane Wade, vendredi soir (110-104). Neuvième victoire pour Indiana, toujours invaincu, face à Milwaukee (104-77). San Antonio a dominé Utah (91-82) avec 22 points de Tony Parker et 17 de Boris Diaw.
LeBron James n'a pas manqué beaucoup de tirs face à Dallas : 14/18 et 10/11 aux lancers francs pour 39 points. (USA Today/Reuters)










Il semblerait que l'heure soit au vert à Miami. Si LeBron James n'est pas du genre à arroser, il a d'autant plus limité le gaspillage vendredi soir face à Dallas. King James a compilé 39 points en seulement 18 shoots, soit 77% de réussite, auquel il faut ajouter les 91% aux lancers francs (10/11). En recyclant 8 ballons pendant la partie sans un seul turnover, son compère Dwyane Wade s'est lui aussi montré bon gestionnaire, sans perdre son impact offensif (17 points, 8 passes décisives). Le Heat, qui a mené de 13 points dans la deuxième mi-temps, a résisté à un retour des Mavs (98-97 à 4' de la fin), de Dirk Nowitzki (28 pts), mais LeBron James et Chris Bosh, principalement grâce à des lancers francs, ont permis à Miami de garder les commandes (110-104).

Indiana reste invaincu

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Les résultats de la nuit








Neuf victoires en neuf matches, ce n'est pas seulement le meilleur départ d'Indiana ou le meilleur de la ligue depuis les 14 succès de Dallas en 2002, c'est aussi la plus longue série de victoires de l'histoire de la franchise en NBA. Leur victime du soir, Milwaukee (104-77), n'a pas pu faire grand-chose face à Roy Hibbert, notamment. «Big Man» a frôlé le triple double (24 pts, 10 rebonds, 8 contres). «Notre probabilité de gagner un match doit être de 100% quand Roy joue à ce niveau», a estimé Paul George, qui a inscrit 17 de ses 22 points dans la deuxième mi-temps.

TP remet les Spurs à flot, les Bulls assurent sans Rose




San Antonio aussi est sur une bonne lancée avec 7 succès de rang après avoir battu Utah, derniers de la Ligue (91-82). Le Jazz a pourtant dominé les trois-quarts du match, avant que Tony Parker et consorts ne se réveillent. Boris Diaw, sorti du banc pendant 29 minutes, s'est montré très présent pendant que les Spurs sommeillaient (17 points, 5 rebonds). Et puis TP a inscrit 14 de ses 22 points dans le dernier quart-temps et permis aux Texans de l'emporter. Sans Derrick Rose, touché aux ischio-jambiers lundi face à Cleveland, Chicago a assuré l'essentiel face à Toronto (96-80). Mais le retour de la star des Bulls serait souhaitable avant le choc contre Indiana, samedi.

A noter également, les 18 points, 5 rebonds et 6 passes de Nicolas Batum lors de la victoire de Portland face à Boston (109-96), la première dans le Massachussetts depuis 2004. Enfin, les Lakers se sont inclinés face au Memphis de Zach Randolph (89-86). L'arrière a donné la victoire aux Grizzlies en réalisant 14 de ses 28 points dans le dernier quart.
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Stenson implacable...

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Foot Barrages La Croatie n'en a pas profité
A onze contre dix pendant quarante minutes, suite à l'expulsion logique d'Olafur Skulason, la Croatie n'est pas parvenue à faire la différence en Islande (0-0), et devra se méfier, mardi lors du barrage retour, d'une sélection nordique généreuse.
Le Croate Luka Modric, ici à la lutte avec l'Islandais Aron Gunnarsson, n'a pas permis à son équipe de s'imposer lors du barrage aller à Reykjavik. (Reuters)










Pour l’Islande, l’exploit de se qualifier pour la première Coupe du monde de son histoire est toujours possible. Voilà cette nation de 320 000 âmes à quatre-vingt dix minutes du Mondial brésilien. Ce serait une première pour un pays de moins d'un million d'habitants. Certes, la marche reste haute, et le plus dur reste à faire, à savoir ramener un résultat, mardi, de Croatie. Certes, la sélection guidée par le Suédois Lars Lagerbäck n’a pas marqué, ce vendredi soir dans le froid polaire (quatre degrés) de Reykjavik face à une bien pâle Croatie (0-0). Mais en résistant à dix contre onze, pendant plus de quarante minutes, aux assauts adverses, elle a su préserver ses chances avant le barrage retour, mardi. En soi, cela constitue déjà une sacrée performance.

L'Islande a une belle carte à jouer

Organisés en 4-4-2, avec leur vedette Eidur Gudjohnsen sur le banc au coup d'envoi, les Islandais ont naturellement souffert après l'expulsion de leur latéral droit Olafur Skulason (50e), pour avoir anéanti une occasion nette de but en retenant du bras Perisic, préféré sur l'aile gauche à Olic côté croate. Mais ni Mandzukic (54e), ni Perisic (83e) n'ont su mettre à profit cet avantage numérique, et permettre à la Croatie d'aborder plus sereinement la réception des Nordiques, mardi. Ceux-ci auraient même pu réussir le coup parfait, si Simunic n'avait pas sauvé sur sa ligne un coup franc bien travaillé de Sidgurdsson (79e).

Nommé il y a un mois, en remplacement d'Igor Stimac, Niko Kovac n'a clairement pas réussi à insuffler une nouvelle dynamique à la sélection croate, qui n'a désormais plus gagné depuis cinq matches. Organisée en 4-2-3-1, avec l'ancien Gunner Eduardo en position de meneur de jeu derrière le Bavarois Mandzukic, la Croatie a eu beau monopoliser le ballon, elle s'est constamment heurtée au bloc équipe islandais, bien regroupé dans sa moitié de terrain. Au milieu, l'habituel feu follet du Real Madrid, Luka Modric, a signé une prestation bien en deça de ses standards. Lui comme ses coéquipiers devront élever leur niveau, mardi, pour valider leur participation au Mondial. A la lumière du match de ce vendredi, c'est loin d'être acquis.
F.M.

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Turquie - Irlande du Nord : 1-0...

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Ski alpin Coupe du Monde Slalom Femmes Aubert risque sa carrière
samedi 16 novembre 2013
Jean-Denis Coquard

Sandrine Aubert va jouer très gros en Finlande pour ce qui concerne la suite de sa carrière. (Photo Jérôme Prevost/L'Equipe)








Exclue des Bleues au printemps, la Française joue gros en Finlande : sa place en Coupe du monde et, sans doute, son avenir sur les skis.
L'HIVER EST TOMBÉ sur Sandrine Aubert en avril. Drôle de mois pour prendre un gros coup de froid. L'Iséroise apprend alors qu'elle n'appartient plus à l'équipe de France. Benjamin Melquiond, le nouveau boss des Bleues, est chargé de l'annonce. « Pour une raison uniquement sportive :...