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Football - Foot - Barrages
Si loin du Brésil

Battue samedi soir en Ukraine en barrage aller (2-0) au terme d'une prestation médiocre en tous points, l'équipe de France s'est sérieusement compliquée la tâche pour rejoindre le Brésil l'été prochain. Retour en images sur une soirée à oublier.








Au bord du gouffre
Au coup de sifflet final, Eric Abidal se tient la tête. Battue par l'Ukraine (2-0) lors de cette session aller, l'équipe de France, incapable de se hisser à la hauteur du rendez-vous, prend conscience qu'il sera désormais très difficile de se qualifier pour le Mondial. (L'Equipe)

Au bord du gouffre Zozoulia passe par là Et Iarmolenko finit le travail Koscielny était maudit Nasri, on attendait plus Ribéry n'a pas vu le jour Et Benzema attendit ... Soirée difficile pour Abidal Deschamps, le coup dur Et maintenant ?



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Si loin du Brésil Les matches couperets Un rayon de bonnes affaires Le Bayern et Arsenal, fortes têtes Chocs en stock Clasico : Le Camp Nou s\'est régalé Ils ont mis un quadruplé

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F1 GP des Etats-Unis EL 3 Encore Vettel !
Sebastian Vettel (Red Bull) a largement dominé les débats lors des essais libres 3, samedi à Austin. L'Allemand, qui a devancé Mark Webber (Red Bull) et Lewis Hamilton (Mercedes), sera le favori des qualifications à 19h00.
Sebastian Vettel se balade sur la piste texane. (AFP)









La troisième séance d'essais libres, samedi à Austin, a ressemblé comme deux gouttes d'eau à la deuxième de vendredi, avec juste 30 minutes en moins. Les Red Bull de Sebastian Vettel et Mark Webber se sont montré les plus rapides, que ce soit avec des pneus durs ou des mediums. Dans le dernier quart d'heure, avec les gommes les plus rapides, alors que Nico Hülkenberg (Sauber) venait de prendre les commandes avec un temps de 1'32"272, le quadruple champion a encore une fois assommé ses rivaux en passant sous 1'37 (1'36"733), reléguant ainsi le pilote Sauber à 539 millièmes et Webber à 685 millièmes. Dans les derniers instants de la séance, l'Australien a amélioré pour revenir à 203 millièmes et Lewis Hamilton (Mercedes) s'est hissé au 3e rang à 331 millièmes. Mais la marge de Vettel est telle qu'on voit mal comment la pole, voire la victoire dimanche, pourrait lui échapper.

Romain Grosjean (Lotus) a repris le dessus sur son nouveau coéquipier, Heikki Kovalainen, avec le 5e temps (+0"612), alors que le Finlandais, moins en verve que vendredi, s'est contenté du 13e chrono (+1"146). Celui qui a encore déçu, c'est Fernando Alonso (Ferrari), seulement 11e, à 1"030. Sa première place lors des libres 1 n'aura été qu'un feu de paille. Son coéquipier Felipe Massa a fait encore pire, avec la 17e position, à 1"675 de Vettel. Son futur coéquipier en 2014, Valtteri Bottas (Williams), a lui signé un encourageant 9e chrono (+1"014). Du côté des Français, Jean-Eric Vergne (Toro Rosso) est seulement 18e (+1"903), Charles Pic (Caterham) est 19e (+2"845) et Jules Bianchi (Marussia) est 21e (+4"092).
Rédaction

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Ski alpin CM (F) Shiffrin si facile
La championne du monde Mikaela Shiffrin a survolé le premier slalom de l'hiver, à Levi, devant Maria Riesch et Tina Maze. Aucune Française ne figure dans le top 15.
Mikaela Shiffrin a dominé les deux manches pour remporter le slalom de Levi (AFP)









Le vent soufflait en rafales samedi matin à Levi (Finlande). Il a balayé les skieuses engagées dans le premier slalom de l'hiver et bouleversé la hiérarchie en première manche, portant les jeunes Wallner et Ager dans le top 5. Mais l'ouragan qui a tout emporté sur son passage s'appelait Mikaela. A 18 ans, Shiffrin a la mainmise sur sa discipline. Championne du monde et vainqueur du globe de la spécialité, elle a réalisé le meilleur chrono des deux manches pour s'offrir le premier slalom de l'hiver. Déjà son cinquième en deux saisons. Dans son sillage, ses rivales ont constaté les dégâts : l'Allemande Maria Riesch (2e) est à plus d'une seconde; la Slovène Tina Maze (3e) à 1''60.

Shiffrin prend la tête de la Coupe du monde

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La première manche




Le film de la course et le classement








Avec cinq victoires lors des huit derniers slaloms, Mikaela Shiffrin a déjà écarté toute concurrence et poussé vers la sortie les anciennes : devant son public, Tanja Poutiainen (33 ans) est sortie en deuxième manche; la championne du monde 2011 Marlies Schild n'a pas encore retrouvé son niveau après sa blessure de l'hiver dernier (31 ans) et a enfourché en première manche. Dans le camp autrichien, la relève pourrait venir de l'inattendue Christina Ager. A 18 ans et pour son premier slalom en Coupe du monde, elle ne s'est pas dégonflée après la surprise de la première manche pour finir au pied du podium (4e à 1''66). Après sa sixième place à Sölden, MIkaela Shiffrin prend la tête du classement général et peut déjà s'imaginer comme une concurrente au gros globe... alors que sa compatriote Lindsey Vonn doit retrouver la compétition lors de la tournée américaine.




Il faudra attendre pour voir la relève du slalom français : arrivée pour sauver sa place en Coupe du monde, Sandrine Aubert (31 ans) s'est embourbée en première manche (58e) et jouera sa survie au haut niveau le week-end prochain en Coupe d'Europe. Piégée par les conditions, Tessa Worley et Anne-Sophie Barthet n'ont pas vu la deuxième manche. Bien placée à mi-course (11e à 1''10), Nastasia Noens a souffert lors de son deuxième passage et a glissé à la 25e place, derrière Taïna Barioz (21e) et Anémone Marmottan (18e). Les Françaises ont assisté de loin à la cérémonie du podium où la vainqueur du jour Mikaela Shiffrin s'est vu offrir un ... renne.

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Rallye WRC GBR Ogier, leçon de contrôle
Sébastien Ogier a géré son avance toute la journée de samedi. Il abordera celle de dimanche avec un peu plus de vingt secondes d'avance sur Jari-Matti Latvala.
Sebastien Ogier a conservé la tête du rallye de Grande-Bretagne. (AFP)









E16 : Chirk Castle 2 (2,06 km)

Même boucle et même scénario, du moins pour Sébastien Ogier, lors de l'ES16. Il termine cette journée avec un peu plus de vingt secondes d'avance sur son coéquipier Jari-Matti Latvala au général. La dernière spéciale de cette troisième journée du rallye de Grande-Bretagne a été remportée par Thierry Neuville. Le Belge devance dans l'ordre Mikkelsen, Sordo et Otsberg. La conclusion du rallye et de la saison 2013 se fera dimanche.

ES15 : Chirk Castle 1 (2,06 km)

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Rallye - WRC - GBR Ogier assure








Vigilant toute la journée, Sébastien Ogier n'a pas pris de risque sur la courte spéciale de Chirk Castle (ES15). Le Français termine à un peu plus d'une seconde de Dani Sordo. L'Espagnol a brisé la belle série de Volkswagen, qui avait remporté toutes les spéciales samedi sur le rallye de Grande-Bretagne. Au général, pas de bouleversement sur une aussi courte distance.

ES14 : Dyfnant 1 (21,34 km)




Petit à petit, Jari-Matti Latvala revient sur Sébastien Ogier. Le Français continue de gérer son avance et du coup, il est beaucoup moins rapide que son coéquipier chez Volkswagen. Sur l'ES14, Ogier a perdu près de huit secondes (7''9) en signant le quatrième temps. Pour la première fois de la journée, Mads Ostberg se montre aux avant-postes. Le Norvégien finit à une seconde de Latvala sur cette 14e spéciale du rallye de Grande-Bretagne. En ce troisième jour de course, il ne reste que deux petites spéciales autour de Chirk Castle (2,06 km).

ES13 : Dyfi 2 (21,90 km)

Sébastien Ogier contrôle le rallye de Grande-Bretagne. Après l'ES13, le Français est toujours en tête du général et laisse les autres pilotes Volkswagen briller. Ce samedi, Andreas Mikkelsen a signé les deux premiers temps scratch et Jari-Matti Latvala vient de l'imiter. Le Finlandais a devancé Ogier d'un souffle dans l'ES13 (+0''6) et compte désormais vingt-cinq secondes de retard au général. Un écart qui semble suffisant pour Ogier. Derrière, la lutte pour la troisième place fait rage entre Thierry Neuville et Andreas Mikkelsen. Le Belge (3e, +1''6) a repris un peu de temps dans l'ES13 et il a lui aussi vingt-cinq secondes d'avance sur le Norvégien.

ES12 : Gartheiniog 2 (14,58 km)

Décidémment, ce samedi matin sourit aux Volkswagen. Après les deux temps scratch d'Andreas Mikkelsen dans l'ES10 et l'ES11, c'est Jari-Matti Latvala qui a signé le meilleur temps de l'ES12. Le Finlandais a devancé deux autres Polo : celles de Sébastien Ogier (+0''7) et Mikkelsen (+1''9). Le Français, solidement accroché à la tête du classement général, collectionne les deuxièmes places ce samedi en Grande-Bretagne. Même s'il a de nouveau perdu un peu de temps sur Mikkelsen, Thierry Neuville reste troisième au général. A la faute dans l'ES11, Kubica et Novikov ne sont pas repartis.

ES11 : Dyfi 1 (21,90 km)

Scénario quasi identique entre l'ES 10 et l'ES 11. Andreas Mikkelsen a signé le temps scratch de la deuxième spéciale de la journée du rallye de Grande-Bretagne samedi. Le Norvégien devance d'une courte tête (+0''2) son coéquipier chez Volkswagen Sébastien Ogier, toujours en tête du général. Thierry Neuville confirme sa présence sur le podium en faisant le troisième temps (+1''3). La spéciale a été plus délicate pour Robert Kubica et Evgeny Novikov. Le premier, parti à la faute vendredi, est de nouveau sorti de la piste et a effectué quelques tonneaux. Le Russe de chez Ford a lui aussi quitté la trajectoire pour terminer dans le décor.

ES10 : Gartheiniog 1 (14,58km)

Le trio de tête est resté inchangé après l'ES10, première spéciale de la journée samedi, avec Sébastien Ogier en tête, avec 23"2 d'avance du Jari-Matti Latvala et 1'05"1 d'avance sur Thierry Neuville. Cela a en revanche bougé derrière, Andreas Mikkelsen s'offrant la 4e place grâce à son scratch sur cette spéciale, 1"2 devant Ogier. Le Norvégien double donc Mads Ostberg et Evgeni Novikov pour quelques dixièmes de seconde (1'34"4 contre 1'34"5 pour Ostberg et 1'35"6 pour Novikov).

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Foot Coupe du Monde 2014 S�n�gal Giresse : «Nous avons nos chances»
Battu (3-1) à Abidjan le 12 octobre dernier, le Sénégal n'est pas en ballotage favorable avant d'accueillir ce samedi la Côte d'Ivoire sur le terrain neutre de Casablanca (Maroc). Mais pour Alain Giresse, le sélectionneur des Lions de la Teranga, son équipe a les moyens d'inverser la tendance.


«Alain Giresse, des critiques assez dures s’étaient abattues sur votre équipe, après la défaite concédée au match aller. Etaient-elles justifiées ?
J’ai lu et entendu que nous avions fait un match catastrophique. Ce n’est pas exact. Il est vrai que nous avons été catastrophiques à certains moments, et que nous l’avons payé cher, avec ces trois buts encaissés. Mais nous avons aussi connu des périodes très intéressantes, et le but que nous avons inscrit en fin de match le prouve.

Les Ivoiriens ont largement la faveur des pronostics. C’est un peu comme si le Sénégal était déjà éliminé...
On ne peut empêcher personne de penser cela. Et dire que la Côte d’Ivoire est la mieux placée n’a rien d’illogique, puisqu’elle a remporté le match aller. Mais nous avons préparé cette rencontre en partant du principe que nous avons toutes nos chances de nous qualifier. Nous voulons la victoire, et nous ferons tout pour y parvenir. Je n’ai pas passé mon temps ces derniers jours à parler de notre adversaire, de ses forces et de ses faiblesses. Les joueurs savent ce qu’ils doivent faire.

«Il faut se méfier de la surmotivation» Comment s’est déroulé le stage de préparation, à El Jadida puis à Casablanca ?
Mon rôle, c’est de trouver le juste milieu. Il ne sert à rien de parler tout le temps du match aux joueurs. Je n’ai pas besoin de les motiver, ils en connaissent parfaitement l’enjeu. Il faut toujours se méfier de la surmotivation, qui peut aboutir au contraire du résultat espéré. Là, nous avons passé plusieurs jours à El Jadida, à un peu plus de 80 kilomètres de Casablanca, dans un endroit tranquille. C’est exactement ce que je voulais, loin du bruit. Nous sommes arrivés à Casablanca jeudi, pour nos deux derniers entraînements.

Vous n’avez pas beaucoup modifié votre groupe. L’absence la plus remarquée est celle de Lamine Gassama, souvent en difficulté à Abidjan...
Oui. Il traverse une période difficile, il ne joue pas beaucoup à Lorient. Les deux autres absents, Modou Sougou (Evian-Thonon-Gaillard) et Ibrahima Baldé (Kuban Krasnodar, RUS) n’avaient pas joué à l’aller... Je n’avais pas de raison valable de changer trop de choses. J’ai suivi mes joueurs depuis le match aller, et en club, ils ont montré des choses. Comme Papy Djilobodji (FC Nantes), par exemple, mais il n’est pas le seul.

Avez-vous pensé à certains joueurs comme Diafra Sakho (FC Metz), ou Ousseynou Cissé (Dijon) ?
Bien sûr. Ce sont des joueurs que nous observons. Maintenant, convoquer des joueurs qui évoluent en Ligue 2 pour un match décisif pour la qualification pour une Coupe du Monde, face à la Côte d’Ivoire, il faut oser...

Demba Ba, qui joue peu à Chelsea, n’a plus été convoqué depuis le mois de mars et un match face à l’Angola (1-1)...
Comme d’autres joueurs, il continue à être suivi. La porte de la sélection reste ouverte...»
Recueilli par Alexis BILLEBAULT

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Miami et Indiana déroulent...

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Dubuisson, doublé possible
Après un 64 (-8) inégalé ce samedi, Victor Dubuisson a pris la deuxième place provisoire du Dubai World Championship. À seulement un coup d'Henrik Stenson, le Français est en course pour un doublé unique sur le Tour européen.
Déjà 24 birdies cette semaine pour Dubuisson ! (Reuters)









En début de semaine, personne ne voulait vraiment parier sur Victor Dubuisson à Dubaï, puisque épuisé physiquement et émotionnellement par son tout chaud exploit turc. Force est de reconnaître, une fois encore, que le Français ne fait rien comme tout le monde et que cela fonctionne de mieux en mieux. Parti 3e ce matin, le 39e mondial est ce soir presque au sommet du Dubai World Championship. Un coup seulement derrière un costaud Henrik Stenson, qui d’ailleurs lui donna une bonne tape sur l’épaule et un petit mot de félicitation. Normal, quand on vient de poster le meilleur score du 3e tour (64, -8), avec onze birdies, un double-bogey au 10 et un bogey inaugural, au 1.
Fatigué tout de même, l’Antibois, par la fournaise du désert mais aussi une pression qui ne le quitte plus de sa semaine victorieuse au Turkish Airlines Open. Réaction : « Cette fatigue, je l’a ressens. Du coup, je mets 120 % de mon énergie dans chacun de mes coups. Bien content d’avoir si bien fini la partie, surtout sur ces derniers si exigeants. » Quatre birdies sur les six derniers trous, histoire de décrocher les Canizares, Poulter et Jimenez, mais aussi un par d’une intelligence rare, méritant la narration tant son exécution baignait dans le génie naturel.

French Flair dans le désert

Trou 16, dangereux par 4. Dubuisson vient de poster trois birdies de rang et occupe alors seul la tête en -15, un coup devant Stenson. Son coup de fer termine sur la partie droite du green, derrière une cassure et à l’opposé du drapeau. Un putt tortueux de vingt mètres l’attend. Et plutôt que de l’a jouer classiquement courte, ce fantaisiste Monsieur Dub dépasse le trou de quatre bons mètres, laissant finalement la balle redescendre vers le trou, quasi donnée. « C’est ce que j’ai voulu faire, explique t-il, il n’y avait pas vraiment d’autres solutions. »
Raphaël Jacquelin, témoin de la scène et qui dû jouer le même putt quelques heures plus tôt : « Jamais je n’aurai pensé à le jouer comme ça ! » Avec autant de créativité, on a qu’une hâte, celle de voir ce Petit Prince du putting s’ébattre en avril prochain sur les bosses d’Augusta !

« Un tournant de ma carrière »




Un coup illustrant à merveille la personnalité « dubuissonienne » sur le pré. Une imagination issue des longues heures passée sur le terrain, au détriment des répétitions au practice qu’il a toujours badées. « Victor, il sent les coups mieux que quiconque, nous expliquait mercredi Chris Liley. Sur le Tour, c’est très rare, surtout à son âge, », conclue le caddie de Jacquelin, qui pour avoir bossé un temps avec Jean Van de Velde en connaît un rayon sur l’indécryptable génie des golfeurs tricolores.
Suivi à Dubai par une petite colonie de proches, Dubuisson a au fur et à mesure de ses 24 birdies de la semaine rameuté une bonne troupe de supporters. Des expatriés français, mais pas seulement, car le propre du jeu offensif, c’est que cela confère vite une belle petite popularité : « J’essaie de ne laisser aucune seconde d’inattention sur le parcours, souffle Dubuisson. Je suis à 1000 %, je ne vois même pas mes proches sur le parcours. Je les ai d’ailleurs bien prévenus de ne pas s’enflammer. Je suis dans le tournant de ma carrière et je ne peux pas me permettre de me disperser. J’ai gagné la semaine dernière, ok, mais ce n’est pas le moment de fanfaronner. »

Objectif minimaliste mais carotte maximale

Demain, il partagera la dernière partie de la saison, en compagnie d’un Henrik Stenson lancé vers le titre européen. Une semaine après avoir dompté Ian Poulter, son « idole » Tiger Woods et ce même Stenson à Antalya, Dubuisson a, selon Jacquelin, « a largement le niveau » pour gagner à nouveau. Tête froide malgré l’influx le quittant peu à peu, Dubuisson recentre : « Mon objectif principal est toujours le même : finir 2013 dans les 50 premiers mondiaux. » Une mission pratiquement en poche, alors qu’une victoire demain lui offrirait le deuxième rang de la Race to Dubai. Neuf ans après la cinquième place de Thomas Levet, un nouveau record attend Victor, à défaut de l’atteindre.
Benjamin Cadiou, à Dubai

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Encore Vettel !...

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JO 2014 Dopage Le labo de Moscou s'en sort bien
Info L'Equipe : Le laboratoire de Moscou, en charge des analyses durant les Jeux olympiques de Sotchi, ne sera pas suspendu pour son manque de rigueur, a annoncé samedi l'Agence mondiale antidopage (AMA).
INFO L'ÉQUIPE Le président de l'AMA, John Fahey, a confirmé le laboratoire de Moscou pour les JO. (AFP)









Le comité d’organisation des Jeux olympiques d’hiver de Sotchi peut respirer : l’AMA a décidé ce samedi de ne pas suspendre le laboratoire de Moscou, qui s’occupera sur place de l’analyse des 2500 échantillons prélevés durant les Jeux (7 février-23 février). C’est John Fahey lui-même, président de l’Agence mondiale antidopage (AMA), qui a communiqué cette décision aux autorités russes, après qu’un panel disciplinaire nommé par l’AMA a auditionné mercredi le directeur du laboratoire, Grigory Rodchenkov.

L’établissement moscovite s’était vu reproché par le comité des laboratoire de l’AMA son manque de rigueur dans la gestion des résultats, qui avait notamment pour conséquence de passer à côté de cas positifs. Une suspension du laboratoire, à l’instar de ce que l’AMA a déjà décidé concernant le labo de Rio, aurait été catastrophique pour la Russie, tant en termes d’image que de logistique, les organisateurs et le CIO ayant alors l’obligation de trouver un ou plusieurs établissement de remplacement. Le comité des laboratoires de l'AMA effectuera en avril un nouvel audit de l'établissement moscovite.
Damien RESSIOT

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Réactions tricolores...

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Voile Jacques-Vabre Macif ne faiblit pas
Macif (Gabart-Desjoyeaux) reste en tête à l'approche du Pot au Noir. Au pointage de samedi matin, il devançait toujours PRB (Riou-Le Cam) de 26 milles.
Le tandem François Gabart - Michel Desjoyeaux fonctionne à merveille en ce début de course. (JM. LIOT) (D.R)









Les Imoca s'apprêtent à entrer dans le Pot au Noir. Macif (Gabart-Desjoyeaux) a gardé le leadership pendant la nuit, devant PRB (Riou-Le Cam). Les Multi-50, eux, sont en train de traverser la zone de convergence inter tropicale (ZCIT) et ne semblent pas être trop ralentis. FenétréA Cardinal (Le Roux-Eliès) devrait en sortir dimanche avant midi avec au moins cinq heures d'avance sur son poursuivant, Actual (Le Blévec-de Pavant) qui a choisi une voie plus à l’Ouest. Les conditions s'améliorent pour les MOD70, qui continuent à filer le long des côtes brésiliennes et devraient passer Salvador de Bahia ce samedi midi.

En Class40, les deux bateaux de tête, GDF SUEZ (Rogues-Delahaye) et Mare (Riechers-Brasseur) se détachent de plus en plus du peloton, emmené par ERDF-Des pieds et des mains (Seguin-Richomme), qui pointe à plus de 120 milles et qui est désormais menacé par Campagne de France (Mabire-Merron) et de SNCF-Géodis (Amédéo-Tripon). GDF Suez a profité de la nuit pour accroître un peu plus l’écart avec Mare et devrait franchir le tropique du Cancer en fin de journée.

Les classements (pointage de 6h30) :

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Voile - Jacques-Vabre PRB grignote sur Macif




Voile - Jacques-Vabre Macif en a profité








MOD70 (trimarans de 21,20 m, 2 bateaux) :
1. Sébastien Josse/Charles Caudrelier (FRA/FRA - Edmond de Rothschild) à 1125,8 milles de l'arrivée
2. Sidney Gavignet/Damian Foxall (FRA/IRL - Oman Air Musandam) à 54,75 milles du premier

Multi50 (trimarans de 15,24 m, 4 bateaux)
1. Erwan Le Roux/Yann Eliès (FRA/FRA - FenêtréA Cardinal) à 2428,9 milles de l'arrivée
2. Yves Le Blevec/Kito de Pavant (FRA/FRA - Actual) à 61,33 milles du premier
3. Gilles Lamiré/Andrea Mura (FRA/ITA - Rennes Métropole/Saint-Malo Agglomération) à 611,66 milles

IMOCA (monocoques de 18,28 m, 10 bateaux):
1. François Gabart/Michel Desjoyeaux (FRA/FRA - Macif) à 2700,7 milles de l'arrivée
2. Vincent Riou/Jean Le Cam (FRA/FRA - PRB) à 26,04 milles du premier
3. Jérémie Beyou/Christopher Pratt (FRA/FRA - Maître CoQ) à 64,91 milles

Class40 (monocoques de 12,18 m, 24 bateaux):
1. Sébastien Rogues/Fabien Delahaye (FRA/FRA - GDF Suez) à 3 582 milles de l'arrivée
2. Jörg Riechers/Pierre Brasseur (ALL/FRA - Mare) à 44,86 milles du premier
3. Damien Seguin/Yoann Richomme (FRA/FRA - ERDF - Des pieds et des mains) à 123,97 milles
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Le Seyec s'en va...

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Les Tchèques doublent la Serbie

16.11.2013 18:32 mise à jour à 21:18
Berdych et Stepanek ont fait le job face à la paire serbe. [Marko Drobnjakovic - Keystone]

Llija Bozoljac

Tomas Berdych



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Sans trembler, la paire tchèque Berdych/Stepanek a remporté un précieux point en finale de la Coupe Davis contre la Serbie, en disposant du duo Bozoljac/Zimonjic 6-2 6-4 7-6 (7/4) en 2h12'. Tenante du titre, la République tchèque mène désormais 2-1 à Belgrade.
Tomas Berdych et Radek Stepanek ont réussi un match quasi parfait sur le court en dur de la Belgrade Arena. Invaincus depuis neuf matches en Coupe Davis, le duo tchèque affiche un superbe bilan de 14-1 dans cette compétition (unique défaite en finale de l'édition 2009, sur la terre battue de Barcelone face aux Espagnols Lopez/Verdasco).
Stepanek brille

Les deux Tchèques, dont la première association remonte à septembre 2007 lors d'un barrage remporté face à la Suisse (victoire en cinq manches face à Allegro/Federer), n'ont lâché que 19 points sur leur service dans une rencontre conclue en 2h12'. Ilija Bozoljac et Nenad Zimonjic se sont procuré une seule balle de break (6e jeu du 3e set), vite effacée sur une volée de coup droit amortie signée Radek Stepanek.
L'ancien fiancé de Martina Hingis a d'ailleurs été le grand homme de ce double. Précis à la relance et efficace au filet, il n'a pas tremblé au moment de porter l'estocade dans un jeu décisif où la paire serbe a pourtant mené 3-1. Stepanek (35 ans) claquait ainsi un service gagnant sur la première balle de match des Tchèques.
La pression est désormais encore plus forte sur les épaules de Novak Djokovic, qui reste sur 23 victoires de suite sur le circuit. Le no 2 mondial n'aura pas le droit à l'erreur dimanche face à Tomas Berdych (ATP 7) dans le troisième simple de ce week-end.
si/baru

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Vettel décroche sa 8e pole de l'année

16.11.2013 20:12 mise à jour à 23:58
Sebastian Vettel a brillé au Texas. [David J. Phillip - Keystone]


Sebastian Vettel (Red Bull), déjà assuré d'un 4e titre mondial consécutif, partira en pole position dimanche pour le Grand Prix des Etats-Unis, 18e et avant-dernière manche du Championnat du monde de Formule 1. Battu pour un dixième de seconde, son coéquipier Mark Webber sera à ses côtés sur la grille de départ.
C'est la 44e pole position de Vettel en F1 et la 8e cette saison, au terme d'une séance de qualifications où, une fois de plus, les deux Red Bull ont été au-dessus du lot. Comme souvent, l'Allemand de 26 ans a chipé la "pole" à Webber dans les dernières secondes de la dernière partie de séance (Q3).
Vettel (au centre) et Webber (à g.) semblent intouchables à Austin. [LARRY W. SMITH - Keystone] En brandissant un poing rageur après le passage de la ligne, il a démontré l'envie qui l'anime de se venger de son échec à Austin la saison passée (2e derrière Lewis Hamilton après avoir fait l'essentiel de la course) et d'engranger une huitième victoire consécutive en GP, chose qui n'a jamais été faite en Formule 1 lors d'une même saison.
"La course de l'an dernier, c'est du passé, je n'ai pas de regrets, a dit Vettel, déjà en pole en 2012. Les choses se présentent bien et on a fait du bon travail cette semaine mais il faut prendre les choses par étape."
Grosjean troisième sur la grille

Romain Grosjean (Lotus) a signé un excellent 3e chrono et partira sur la 2e ligne, à côté d'un autre Allemand, Nico Hülkenberg. Le pilote Sauber continue lui aussi à enchaîner les performances de premier ordre et reste favori pour rejoindre le Français l'an prochain chez Lotus.
Mercedes moins en verve

Du côté de chez Mercedes, ces qualifications ont été moins bonnes que d'habitude: le Britannique Lewis Hamilton, auteur du 5e chrono en Q3, partira sur la 3e ligne aux côtés de l'Espagnol Fernando Alonso (Ferrari), qui n'avait plus été aussi bien placé sur la grille depuis plusieurs courses. L'autre pilote Mercedes, Nico Rosberg, avait été éliminé prématurément en Q2, avec le 14e chrono, alors qu'il avait terminé 3e du dernier GP, il y a deux semaines à Abou Dhabi.
Gutierrez déclassé

Les pilotes Sauber se sont illustrés samedi. Nico Hülkenberg a signé un superbe quatrième chrono, alors qu'Esteban Gutierrez s'est classé 10e. Le Mexicain a cependant été pénalisé de dix places sur la grille pour avoir gêné Pastor Maldonado lors de la première partie des qualifications. Il s'élancera donc en 20e position.
agences/baru