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Rugby Les Bleus mis sous pression bok
Un essai d'Huget en fin de première période n'a pas permis aux Tricolores de réaliser l'exploit, battus, 19-10, et pressés par des Springboks parfaitement organisés, samedi, au Stade de France.
Le centre Wesley Fofana a été un des meilleurs Tricolores, samedi soir, à Saint-Denis, face à l'Afrique du sud. Mais ça n'a pas été assez pour l'emporter. (Reuters)









Il y avait quelque chose d’inexorable dans ce succès springbok. On imaginait une équipe de France à la limite de l’agression, en tout cas déterminée à en découdre pied à pied et, mis à part une fin de match éruptive, on a vu des Sud-Africains faciles, absolument pas stressés, sûrs de leur rugby et de leur force, dérouler un jeu pragmatique, fait de pression offensive et défensive et de quelques fulgurances en bout de ligne. Le score est logique, si l’on considère les cadeaux faits en tout début de match.

En effet, rien ne pouvait commencer plus mal pour les Tricolores. Une minute et trente six secondes pour encaisser un essai sur un dégagement contré de Parra dans ses 22 m. Neuf minutes plus tard, le demi de mêlée français manquait un but facile, tandis que ses partenaires égrenaient un chapelet de passes manquées dans leur camp. Seul Fofana élevait son niveau de jeu, quand Chouly s’enfonçait dans l’approximation. Les Boks, eux, avançaient méthodiquement, au pied d’abord, puis en montant vite en défense.

Domingo et Louw voient jaune

Deux essais refusés aux Springboks par l'arbitre vidéo ont permis aux Bleus d'y croire jusqu'au bout. Dans le froid francilien, les Sud-Africains n’avaient pas prévu de se découvrir. L’ouvreur Morné Steyn ajoutait un but sur une mêlée bleue battue (27e) et les Boks menaient sans s’exposer, 10-0. Trois belles attaques bleues n’y changeaient rien : la défense veillait. les Sud-Africains revenaient dans le camp français, lançaient leur groupé-pénétrant derrière touche (37e) et héritaient d’une pénalité, convertie par Steyn (37e, 13-0). Trop sûrs d’eux sur le renvoi, ils encaissaient alors un essai casquette, côté fermé négocié par Papé et Parra pour Huget qui plongeait en coin (40e, 13-7) et relançait la partie.

En début de seconde période, deux essais springboks (43e, 52e) auraient pu changer définitivement le cours des choses mais l’arbitre vidéo, l’Ecossais M. Ramage, en décida autrement et les refusa. Les Boks continuaient de presser la France dans son camp et Steyn convertissait un nouveau but (60e) creusant davantage l’écart, 16-7, sans que l’on sente bien comment les Tricolores allaient s’employer, dans quel domaine ils pouvaient en imposer aux Boks, pour remonter leur handicap. Pour boire le calice jusqu’à la lie, le carton jaune récolté par Domingo (69e) pour un plaquage dangereux sur Habana plongeait la France, un court instant en infériorité numérique, jusqu'au carton jaune de Louw (73e). Pugnace en attaque et obstinée en défense derrière un Fred Michalak ovationné, elle allait revenir au score par Jean-Marc Doussain d'un but (74e). Un peu tard, néanmoins.
Richard ESCOT, à Saint-Denis.

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Gourcuff: «Il y avait une urgence»...

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Foot Ligue 1 14e j. Lyon coupé dans son élan
Les Lyonnais avaient l'occasion de remporter une troisième victoire d'affilée. Ils ont dû se contenter du nul devant Valenciennes (1-1).
L'OL de Yoann Gourcuff a été accroché par le VAFC de Tongo Doumbia samedi 23 novembre 2013. (L'Equipe)









Après Guingamp (2-0) et Saint-Étienne (2-1), l'OL n'a pas réussi à vaincre Valenciennes et doit se contenter du nul (1-1) samedi lors de la 14e journée de Ligue 1. L'équipe de Rémi Garde a pourtant parfaitement débuté la partie, en ouvrant la marque dès l'entame du second quart d'heure : sur un centre d'une précision diabolique de Henri Bedimo, Bafé Gomis n'a plus eu qu'à claquer sa tête pour inscrire son 92e but en L1, le quatrième cette saison. L'attaquant lyonnais aurait pu (dû) réaliser un sensible rapproché de son objectif des 100 unités, et en même temps accroître l'avantage de son équipe. Mais sur deux grosse situations devant Nicolas Penneteau (36e et 45e), il a manqué de promptitude et de technicité.

L'OL s'est exposé aux contres

Dans le même temps, l'OL, pourtant maître du jeu, s'est exposé assez inutilement à des contres. Dès la reprise, Thomas Dossevi, bien placé, a totalement dévissé son tir. Huit minutes plus tard, c'est Rémy Vercoutre, de retour après presque sept mois d'absence, qui a dû sortir le grand jeu en repoussant une frappe tendue de Rudy Mater. C'était le début d'une période laborieuse pour les Lyonnais. Car les Nordistes ont pris confiance et leur enhardissement s'est confirmé à la 67e minute. Une perte de balle de Malbranque a profité à Jean-Christophe Bahebeck, entré moins d'un quart d'heure plus tôt. L'attaquant prêté par le Paris-SG a décoché une splendide frappe croisée sur laquelle Vercoutre, cette fois, n'a rien pu faire (1-1).

Fofana n'était pas loin




Passé en 4-3-3 avec Alexandre Lacazette seul en pointe (et Gomis sur le banc), l'OL a cru voir en Gueïda Fofana un buteur providentiel : une première tentative a frôlé le poteau droit de Valenciennes (77e) avant de rater sa reprise, seul dans la surface (81e). Dans la minute suivante, Vercoutre a dû sauver les siens devant Anthony Le Tallec (82e). Même en faisant le siège du camp adverse, l'OL n'a pas inversé la donne, gâchant bêtement deux points et stoppant un élan prometteur.
S.L., à Lyon

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St-Nazaire - Ajaccio : 1-3...

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Foot Ligue 1 14e j. Rennes bute sur Bordeaux
En manque d'efficacité, Rennes n'est pas parvenu à se relancer contre une équipe au profil similaire, Bordeaux (1-1). Les deux équipes restent engluées en milieu de tableau. Et Alessandrini est sorti sur blessure.
Jean II Makoun n'a pas pris le dessus sur Henri Saivet. (AFP)









Après 14 journées de Championnat, Rennes cherche toujours à trouver son rythme de croisière en Ligue 1. Hormis quelques sursauts, comme leur victoire 5-0 à Toulouse il y a un mois, les Bretons n’ont pas encore réussi à enclencher une dynamique, eux qui n’ont jamais enchaîné deux succès consécutifs en Ligue 1 cette saison. Ce samedi ne marquera pas le début d’une série, leur match nul concédé à domicile contre Bordeaux (1-1) symbolisant davantage leurs carences actuelles que le renouveau espéré. Ainsi, après avoir tourné devant le but de Cédric Carrasso pendant plus d’une heure, de manière souvent stérile, les hommes de Philippe Montanier sont enfin parvenus à tromper le gardien des Girondins sur une tête de Kana-Biyik (61e).

Oliveira imprécis

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Le film du match




Alessandrini touché








Un avantage que les Bretons ont conservé moins d’une minute. Sur la remise en jeu, Cheick Diabaté, alerté par N'guemo dans la profondeur, a enchaîné contrôle-frappe dans la surface pour doucher l’enthousiasme local et remettre les équipes à égalité (1-1). «Quand on vient de marquer, il faudrait être plus vigilant, a regretté après la rencontre Foued Kadir au micro de BeIN Sport. C’est un moment de relâchement, ce n’est pas la première fois que ça nous arrive…» Face à une autre équipe de milieu de tableau, Rennes avait également eu l’occasion de faire la différence plus rapidement. Seul dans les six mètres, Oliveira a ainsi manqué le cadre dès la 2e minute.

Carrasso et Costil décisifs




Dans le dernier quart d’heure, c’est Carrasso qui a fait la différence face à Féret (75e) et Hunou (75e). Plus à l’aise en contre que dans la maîtrise du jeu, les Bordelais se sont eux aussi montrés dangereux. Mais Obraniak (24e), Sertic (35e) et Diabaté (52e) ont buté sur le gardien adverse, Benoît Costil. Au final, les deux formations se quittent sur un nul logique qui n’arrange personne. Ce qui constitue le dernier point commun de la soirée de Rennes et Bordeaux.

Alessandrini sorti sur blessure

Romain Alessandrini est sorti à l'heure de jeu contre Bordeaux. Le milieu offensif s'est blessé à une cheville. Il a été remplacé par Féret.

-

1
1

Rennes
63eJ.Kana-Biyik




Bordeaux
64eC.Diabaté







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Sète - Lyon : 3-1.

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Foot Espagne Real Ronaldo rassurant après sa sortie du terrain à Almeria
Après Messi et Ribéry, l'autre favori pour le Ballon d'Or, Cristiano Ronaldo, s'est blessé. Samedi soir, le Portugais a dû quitter le Real à Almeria... après avoir ouvert le score. «C'était par précaution. Ce n'est rien de spécial», a rassuré CR7.
Un problème musculaire pour Cristiano Ronaldo ? (AFP)









Cristiano Ronaldo, auteur de l'ouverture du score du Real Madrid sur la pelouse d'Almeria, a été contraint de sortir sur blessure au bout de 54 minutes, samedi soir. Le candidat au Ballon d'Or, grimaçant, a quitté le terrain en marchant, remplacé par le jeune Jesé. Ronaldo avait inscrit dès la 3e minute de jeu son 10e but du mois de novembre (six en Liga, quatre en sélection).

L'international de 28 ans s'est blessé en centrant depuis son côté gauche. Il a immédiatement prévenu son banc que quelque chose n'allait pas. Il a regagné le vestiaire, accompagné d'un kiné du club. «C'était par précaution. Ce n'est rien de spécial. On m'a donné un coup de pied en première période et je sentais que mon muscle était un peu dur», a expliqué le Portugais sur le site internet du Real. Le Portugais ne souffre «pas d'un problème important», a dit pour sa part Carlo Ancelotti en conférence d'après-match. «Il a eu un problème aux ischios, je ne crois pas que ce soit un problème important parce qu'il n'a pas de douleur», a-t-il dit. CR7 passera tout de même des examens complémentaires dimanche.

Messi s'était aussi blessé à Almeria

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Le film du match








C'est sur cette même pelouse d'Almeria que son grand rival du FC Barcelone Lionel Messi s'était blessé à une cuisse fin septembre, après avoir lui aussi marqué pour permettre au Barça de s'imposer 2-0. A quelques jours de la fin du vote pour le Ballon d'Or, le 29 novembre, les trois favoris sont donc plus ou moins blessés. Outre Messi (cuisse) et Cristiano Ronaldo, Franck Ribéry (côte fracurée) est également out. Il était forfait avec le Bayern contre Dortmund ce samedi (3-0).

Le Real a dû patienter jusqu'à l'heure de jeu pour faire le break grâce à un joli but de Karim Benzema (enchaînement contrôle-volée, 61e). Le signal d'une fin de match à sens unique : Bale (sur une action d'Isco, 72e), Isco (suite à un déboulé de Jesé, 76e) et Morata, entré à la place de Benzema (81e), ont fait grimper l'addition. Le Real revient provisoirement à hauteur de l'Atletico qui débutait son match à 22h00 contre Getafe.

-

0
5

Almeria




Real Madrid
3eCristiano Ronaldo
61eK.Benzema
72eG.Bale
75eIsco
81eA.Morata







Voir le film du match





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Vercoutre : «C'est très dommageable»...


Infos

Real Madrid (ESP)



Cristiano Ronaldo
Poste: Attaquant
Club: Real Madrid



23/11 : Almeria 0-5 Real Madrid 27/11 : Real Madrid - Galatasaray 30/11 : Real Madrid - Real Valladolid Voir le calendrier Voir le classement

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Foot Allemagne 13e j. Götze n'a pas raté son retour
Pour son retour à Dortmund, Mario Götze a joué un vilain tour à son ancienne équipe, puisqu'il a marqué samedi le premier but du Bayern Munich lors de la victoire (3-0) contre le Borussia.
Mario Götze n'a pas souhaité célébrer son but contre le Borussia Dortmund samedi 23 novembre 2013. (Reuters)









«J’ai conscience de ce qui m’attend. Mais c’est à moi de gérer cette situation», expliquait Mario Götze cette semaine en parlant de son retour à Dortmund, un club qu’il a quitté l’été dernier pour rejoindre le Bayern Munich. L’attaquant allemand a démontré ce samedi, lors du choc de la 13e journée, qu’il était suffisamment solide pour y arriver. Sur le banc en début de match, et malgré les chants hostiles à son encontre de la part de la Südtribüne du Signal Iduna Park - «Götze est un fils de p...» -, l’ancien enfant chéri du BvB a fait un bien fou au Bayern à son entrée en jeu, à la 55e minute sous une bronca terrible. Alors que son équipe peinait pour trouver la faille dans la défense expérimentale mise en place par Jürgen Klopp, il a débloqué la partie, ouvrant le score d’un pointu sur un service de Thomas Müller à la 66e minute. Un but qu’il n’a pas souhaité célébrer.

Robben, plus qu'un simple remplaçant

Aligné sur le côté gauche à la place de Franck Ribéry, forfait en raison d’une fracture à une côte, Arjen Robben a profité de l’occasion pour monter qu’il pouvait être plus qu’un simple remplaçant. Il a souvent pris le dessus sur Kevin Greusskreutz et a délivré plusieurs centres très dangereux (6e, 23e, 37e), mais aucun Bavarois n’a coupé leur trajectoire. Il a inscrit le deuxième but du Bayern (85e) et est également à l’origine du troisième, décalant Philipp Lahm, centreur décisif sur le côté droit à destination de Thomas Müller (87e). Un score cruel pour le Borussia Dortmund (3-0) qui avait concédé très peu d’occasions, si ce n’est une frappe lointaine de Kroos à côté (17e) ou une reprise de Mandzukic sortie en deux temps par Roman Weidenfeller (35e), et s’en était procuré de nombreuses.

Que d'occasions gâchées




Dès la troisième minute, Robert Lewandowski a reçu un ballon parfait de la part de Jakub Blaszczykowski, mais il a raté sa reprise. Il a toutefois été sifflé hors-jeu, à tort. Le Bayern s’est dégagé comme il a pu après une mésentente entre Boateng et Neuer sur un centre de Grosskreutz (21e). David Alaba a réussi deux retours monstrueux sur Kuba (22e et 24e), tandis que Manuel Neuer a sorti le grand jeu devant Marco Reus (29e et 73e). Il a également dévié en corner une frappe de Henrikh Mkhitaryan à bout portant, mais l’Arménien avait pris trop de temps pour se retourner, ce qui lui a permis de mettre son corps en opposition (71e). Le Bayern, lui, s’est montré plus réaliste. Il garde quatre points d’avance au classement sur le Bayer Leverkusen, qui a battu le Hertha Berlin dans l’après-midi, et en a désormais sept sur le Borussia Dortmund, toujours troisième.
Alexis DANJON

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Gourcuff: «Il y avait une urgence»... Article suivant
Grosjean : «Confiant pour la course».

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Foot Italie 13e j. Coup d'arrêt pour Naples
Battu (1-0) pour la première fois cette saison à domicile par Parme, Naples, qui restait sur une rouste face à la Juve (0-3) laisse le champ libre à la Roma et aux Turinois, et peut se faire rejoindre par l'Inter. Le Milan ne gagne toujours pas (1-1 à San Siro contre le Genoa).
Gonzalo Higuain n'a pas réussi à percer la défense de Parme. (AFP)









Deux défaites de suite... Balayé par la Juventus avant la trêve (3-0), Naples devait se relancer en Championnat, samedi contre Parme, et reprendre confiance avant de jouer sa qualif en Ligue des champions à Dortmund, mardi. La mine défaite de Rafael Bentitez à la fin du match disait combien ce double objectif est manqué. Le Napoli a concédé sa première défaite de la saison à San Paolo (1-0). Le candidat au podium a été méconnaissable contre une équipe de Parme rapide en contre qui a trouvé la faille en fin de partie par Antonio Cassano, le 100e but en Serie A (en 335 matches) de l'ancien attaquant du Real, du Milan et de l'Inter (frappe croisée, 81e). L'Inter, justement, qui joue dimanche à Bologne, reviendra à hauteur en cas de succès. La défaite des Napolitains sert aussi les intérêts de la Juve (2e), en visite à Livourne, et de l'AS Rome, le leader qui fermera la journée lundi contre Cagliari. Anthony Réveillère, la dernière recrue de Naples, est resté sur le banc.

Le Milan n'y arrive toujours pas

Même à 11 contre 10 pendant les 3/5e du match, l'AC Milan s'est encore fourvoyé à San Siro contre le Genoa (1-1). L'équipe de Massimo Allegri a étendu sa disette de victoires à sept matches, toutes compétitions confondues. Dépassé par Parme (11e) et menacés de rétrograder encore après les matches de dimanche, les Rossoneri n'ont plus gagné depuis le 19 octobre. Symbole de la crise milanaise, Mario Balotelli a manqué le penalty de la relance à 1-1. Muet depuis le 22 septembre, l'international italien a fait expulser Manfredini mais sa suffisance a aidé Perin à le mettre en échec (36e). Le gardien gênois a d'ailleurs été le grand bonhomme du match, décisif sur les nombreuses occasions que le Milan s'est créé en seconde période (Matri 59e, Kaka 60e, Balotelli 61e, Birsa 81e).

Sans Philippe Mexès, blessé à l'échauffement à San Siro, l'AC Milan avait démarré sur les champeaux de roues grâce à Kaka, buteur sur la première occasion du match (5e). Mais Emanuelson a aussitôt après accroché Vrsaljko dans la surface et Gilardino n'a pas manqué, lui, son penalty contre son ancien club, le 20e but concédé cette saison par la défense passoire du Milan (9e). Le Genoa (7e) bonfie ses trois victoires consécutives et se rapproche du Hellas Vérone, battu (1-0) par le Chievo dans le derby plus tôt samedi en ouverture de la journée. - Rédaction

-

0
1

Naples




Parme
81eA.Cassano







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Coup d'arrêt pour Naples.

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Rugby Les Bleus mis sous pression bok
Un essai d'Huget en fin de première période n'a pas permis aux Tricolores de réaliser l'exploit, battus, 19-10, et pressés par des Springboks parfaitement organisés, samedi, au Stade de France.
Le centre Wesley Fofana a été un des meilleurs Tricolores, samedi soir, à Saint-Denis, face à l'Afrique du sud. Mais ça n'a pas été assez pour l'emporter. (Reuters)









Il y avait quelque chose d’inexorable dans ce succès springbok. On imaginait une équipe de France à la limite de l’agression, en tout cas déterminée à en découdre pied à pied et, mis à part une fin de match éruptive, on a vu des Sud-Africains faciles, absolument pas stressés, sûrs de leur rugby et de leur force, dérouler un jeu pragmatique, fait de pression offensive et défensive et de quelques fulgurances en bout de ligne. Le score est logique, si l’on considère les cadeaux faits en tout début de match.

En effet, rien ne pouvait commencer plus mal pour les Tricolores. Une minute et trente six secondes pour encaisser un essai sur un dégagement contré de Parra dans ses 22 m. Neuf minutes plus tard, le demi de mêlée français manquait un but facile, tandis que ses partenaires égrenaient un chapelet de passes manquées dans leur camp. Seul Fofana élevait son niveau de jeu, quand Chouly s’enfonçait dans l’approximation. Les Boks, eux, avançaient méthodiquement, au pied d’abord, puis en montant vite en défense.

Domingo et Louw voient jaune

Deux essais refusés aux Springboks par l'arbitre vidéo ont permis aux Bleus d'y croire jusqu'au bout. Dans le froid francilien, les Sud-Africains n’avaient pas prévu de se découvrir. L’ouvreur Morné Steyn ajoutait un but sur une mêlée bleue battue (27e) et les Boks menaient sans s’exposer, 10-0. Trois belles attaques bleues n’y changeaient rien : la défense veillait. les Sud-Africains revenaient dans le camp français, lançaient leur groupé-pénétrant derrière touche (37e) et héritaient d’une pénalité, convertie par Steyn (37e, 13-0). Trop sûrs d’eux sur le renvoi, ils encaissaient alors un essai casquette, côté fermé négocié par Papé et Parra pour Huget qui plongeait en coin (40e, 13-7) et relançait la partie.

En début de seconde période, deux essais springboks (43e, 52e) auraient pu changer définitivement le cours des choses mais l’arbitre vidéo, l’Ecossais M. Ramage, en décida autrement et les refusa. Les Boks continuaient de presser la France dans son camp et Steyn convertissait un nouveau but (60e) creusant davantage l’écart, 16-7, sans que l’on sente bien comment les Tricolores allaient s’employer, dans quel domaine ils pouvaient en imposer aux Boks, pour remonter leur handicap. Pour boire le calice jusqu’à la lie, le carton jaune récolté par Domingo (69e) pour un plaquage dangereux sur Habana plongeait la France, un court instant en infériorité numérique, jusqu'au carton jaune de Louw (73e). Pugnace en attaque et obstinée en défense derrière un Fred Michalak ovationné, elle allait revenir au score par Jean-Marc Doussain d'un but (74e). Un peu tard, néanmoins.
Richard ESCOT, à Saint-Denis.

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Foot Angleterre 12e j. Arsenal évite le piège
Contre la surprise Southampton (3e), Arsenal s'est imposé sans briller (2-0, doublé de Giroud) et profite du nul de Liverpool à Everton (3-3) pour se détacher en tête (4 points d'avance sur les Reds). Le gardien des Saints, Artur Boruc, lui a fait un joli cadeau...
Artur Boruc s'emmêle dans son dribble et Olivier Giroud profite de sa bévue... (Reuters)









Quatre points d'avance sur Liverpool (3-3 à Everton plus tôt samedi) et six sur son adversaire du jour, Southampton, battu sans briller mais sans trembler non plus (2-0). Avant d'accueillir Marseille mardi en Ligue des champions (5e journée), Arsenal a fait le job à l'Emirates pour prendre ses aises en tête de la Premier League. Pas immérité du tout. Le leader a touché deux fois le poteau droit d'Artur Boruc par Wilshere (lob sans angle, 10e) et Ramsey (géniale Madjer du point de penalty, 18e), avant que le gardien polonais ne commette une incroyable boulette en tentant de dribbler Olivier Giroud. L'attaquant français n'en demandait pas tant pour lui chipper le ballon et relancer son compteur buts en Premier League après un mois de disette (22e).

Fin de série pour les Saints

Boruc concède un 2e but gag en quelques semaines après celui que lui a marqué son vis-à-vis de Stoke Asmir Begovic (1-1, le 2 novembre). «L'un des buts les plus ridicules qu'il vous sera jamais donné de voir en Premier League» grince la BBC... Invaincus depuis huit matches, Southampton a été inoffensif devant. Les néo-internationaux anglais Adam Lallana (32e, 52e) et Jay Rodriguez (38e) ont fait passer les rares frissons sur le but de Szczesny. Arsenal s'est mis à l'abri en fin de rencontre sur un penalty converti par Giroud après une faute sur Per Mertesacker, l'unique buteur d'Angleterre-Allemagne, mardi dernier en amical (1-0). Les Saints ne possèdent plus la meilleure défense de Premier League (7 buts concédés contre 6 à Tottenham, un match en moins).

Les Frenchies de Newcastle frappent encore




Le défenseur gallois de Newcastle Paul Dummett doit se sentir un peu seul. Il est l'unique non-Français à avoir marqué cette saison en Premier League pour les Magpies (contre Liverpool, 2-2 le 19 octobre). Samedi, contre Norwich, Loïc Rémy et Yoan Gouffran, deux des cinq Français titulaires au coup d'envoi, ont inscrit les 15e et 16e buts "frenchies" sur les dix-sept de Newcastle en 12 journées (2-1). Le premier a profité d'un corner de Yohan Cabaye pour placer une tête gagnante, son 8e but personnel en Championnat (2e). Gouffran est désormais le deuxième meilleur buteur du club avec sa troisième réalisation de la saison : l'ancien Bordelais a bien suivi un duel perdu par Shola Ameobi pour ajuster le gardien des Canaris (38e). Leroy Fer a réduit la marque en fin de rencontre (tête sur corner, 80e). "Neufchâteau" confirme ses victoires de prestige avant la trêve contre Chelsea (2-0) et à Tottenham (1-0) et gagne une place au classement (8e). - Rédaction

N'Zonzi à la fête

Passeur sur le premier but de Charlie Adam (30e) et buteur sur une offrande de Peter Crouch (81e), Steven N'Zonzi a été le principal artisan de la victoire (2-0) de Stoke City contre Sunderland, samedi. L'ancien Amiénois (24 ans) inscrit le 7e but de sa carrière anglaise (il évolue à Stoke depuis 2012 après trois saisons à Blackburn).

-

2
0

Arsenal
22eO.Giroud
86eO.Giroud




Southampton







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Handball Ligue des Champions(H) Le Paris-SG s'est promené
Le Paris-SG s'est facilement imposé face aux Suisses de Thoune (38-24), samedi à la Halle Carpentier, lors de la 6e journée de la phase de poules de la Ligue des champions.
Luc Abalo et Paris n'ont pas fait de détail face à Thoune. (L'Equipe)









Thoune a résisté au Paris-SG pendant à peu près dix minutes. Ensuite il n'y a plus eu qu'une seule équipe sur le terrain. Les joueurs entraînés par Philippe Gardent se sont envolés (10-6, 15-8, 19-10), solides en défense, impressionnants en attaque. Luc Abalo - fidèle à son habitude - Igor Vori et Marko Kopljar ont signé des buts spectaculaires. Et, à la pause, l'équipe parisienne comptait onze unités d'avance (22-11).

Gardent en a profité pour faire tourner son effectif, Fahrudin Melic, Gabor Csaszar et Jeffrey Mtima entrant en seconde période, et Antonio Garcia, ayant davantage de temps de jeu. L'Espagnol a été le meilleur marqueur du PSG avec six réalisations, à égalité avec Abalo, Vori et Melic. Pour l'honneur, Thoune a appuyé un peu sur l'accélérateur en fin de partie. Mais l'écart était fait depuis longtemps (38-24).

«Depuis longtemps, on gagnait mais il nous arrivait de nous déconcentrer, a confié Philippe Gardent, au micro de BeIN Sport. Là, il y a eu une belle réussite... même si tout n'a pas été à mon goût. Il y a encore eu trop de déchets au niveau du tir. Mais, bon, un entraîneur, ça n'est jamais content.» Fort de ce succès, le Paris-SG est provisoirement deuxième de son groupe, en attendant l'opposition entre les deux équipes de Skopje, dimanche, le Vardar et le Metalurg.
O.P.

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Rugby Top 14 Première pour le CO et le BO
Castres et Biarritz ont assuré un résultat précieux en remportant leur première victoire à l'extérieur, respectivement face à Montpellier (16-20) et Brive (9-14).
La joie des Castrais au coup de sifflet final à Montpellier. (L'Equipe)









Le champion de France aura attendu la douzième journée pour aller chercher sa première victoire à l’extérieur. Sur la pelouse de Montpellier, co-leader au début de la journée, les Castrais ont rapidement pris le match en main. Pas payés, ils ont pris un essai, un peu contre le cours du jeu, après une percée de Trinh-Duc qui transmettait parfaitement à hauteur pour Olivier (21e, 7-6). Dans un match très serré, le tournant est peut-être intervenu à l’heure de jeu quand Diarra a pris un carton jaune pour fautes répétées. Le CO a alors fait le dos rond et n’a pas encaissé le moindre point. Montpellier avait laissé passer sa chance. Ne pouvant compter sur sa recrue star Rene Ranger, visiblement en manque de repères tant avec son équipe qu’avec notre championnat, le MHR a été refroidi par un essai de Palis (71e, 16-17). L’arrière castrais, auteur de tous les points de son équipe, allait ensuite sceller le score d’une dernière pénalité. Belle affaire pour Castres qui revient du coup dans le groupe des barragistes.

Laurent Rodriguez salue le comportement de sauvages de ses joueurs. (L'Equipe)



Bol d'air pour le BO




« Les joueurs ont été de vrais sauvages et je les félicite. Il faut voir leur état après le match… ». Les mots sont de Laurent Rodriguez, au micro de Canal +. Et en termes d’engagements, l’entraîneur biarrot sait de quoi il parle. Mais il faut dire que la victoire de Biarritz sur la pelouse de Brive (9-14) est une belle preuve de courage et d’abnégation. Trop indisciplinés pour concrétiser leur nombreux temps forts, les Coujoux concèdent une première défaite à domicile au terme d’un match très tendu (bagarre entre Ledevedec et Harinordoquy) où les Basques ont su faire preuve d’un réalisme auquel ils ne nous avaient pas habitué cette saison. Le BO est toujours dernier du classement, mais peut nourrir des espoirs de survie après cette victoire.
B.L.

-

16
20

Montpellier




Castres







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Machida s'envole...