Toutes New sportives autres que la moto

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Un coup de Mazzu pour les Mauves

© photo news.
Décalé de trente minutes à cause des embouteillages, le match entre Charleroi et Anderlecht s'est surtout joué en seconde période après 45 premières minutes insipides (2-1, mi-temps: 0-0). En dix minutes de temps, David Pollet (48e) et Neskens Kebano (58e) débloquaient la situation pour les Zèbres. La superbe volée transformée par Guillaume Gillet (74e) n'aura finalement à servi à rien. Il s'agit déjà du cinquième (!) revers de la saison en championnat pour les ouailles de John van den Brom. Ces derniers restaient pourtant sur une bonne lancée avant la mini-trêve internationale (13 sur 15).
© belga. Pollet décisif sur le 1-0. © photo news. © belga. © belga. © afp.
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1 Le plan de Mazzu
"J'ai titularisé Satli pour donner de la préférence au physique plutôt qu'à la technicité dans ce secteur du jeu." Felice Mazzu, le coach du Sporting Charleroi avait une idée derrière la tête. Et en bon tacticien, il a pris son temps pour analyser et trouver la bonne formule pour contrer le jeu du RSCA. On peut parler de mission réussie pour l'ancien coach du White Star approché par le Standard la saison dernière. Avec un quatuor offensif en feu (Kaya-Milicevic-Kebano-Pollet), les Zèbres ont mis fin à une série de cinq matches sans victoire.

2 Anderlecht est-il descendu du bus?
A cause des embouteillages, le bus du Sporting Anderlecht a mis plus de temps que prévu pour arriver au stade de Charleroi. Du coup, la rencontre entre Carolos et Bruxellois a été décalée de trente minutes. En voyant le non-match du RSCA ce soir, une question se pose: les hommes de John van den Brom sont-ils réellement descendus du bus? La prestation collective anderlechtoise était insipide, incolore et inodore en première période. De plus, Charleroi a été contraint à jouer en rose parce que le RSCA avait oublié un jeu de maillot au parc Astrid. Comme un parfum d'amateurisme au RSCA ?

3 Retour perdant pour Proto
Après plus de sept semaines d'absence (déchirure à la cheville), Silvio Proto is back. N'en déplaise à son concurrent numéro 1 Thomas Kaminski qui revendiquait le poste chez les Mauves. "Il n'y a aucune raison que je perde ma place", avait déclaré l'ancien gardien du Beerschot. Une maladresse déjà pardonnée par Silvio Proto. "Il a le droit de penser et dire ce qu'il veut. Il est jeune et il a peut-être commis une erreur." S'il n'a rien à se reprocher sur les deux buts, on peut parler de mauvaise soirée pour le natif de Charleroi. Il a d'ailleurs été chambré par une partie du public carolo.

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Rugby Test Parra : «Je m'en veux !»
Contré en début de match, malheureux sur un but manqué d'entrée, le demi de mêlée du quinze de France, Morgan Parra, revient avec franchise sur son entame de match ratée. Et le bilan des tests de novembre.
Morgan Parra et les Tricolores n'ont pas trouvé de solutions offensives face aux Springboks, samedi soir. (L'Equipe)









«Morgan Parra, il nous a semblé que l’équipe de France n’avait pas de solutions offensives face aux Springboks, samedi soir…
Non, nous n’étions pas impuissants face à cette équipe d’Afrique du sud, très dense, très agressive. En revanche, nous sommes frustrés car nous avons mal démarré le match. Ce handicap de sept points d’entrée, ça nous a fait mal (essai de Pietersen, qui contre Parra). Ca a été dur de remettre tout de suite de l’intensité. Chacun y est allé de sa connerie. Nous avions un peu la tête à l’envers. Et quand nous avons remis nos têtes à l’endroit, nous avons pu marquer un essai, en fin de première période, pour revenir au score. Ca nous a fait du bien.

Quelle est votre plus grosse frustration à l’issue de ce match ?
C’est d’avoir perdu alors qu’on pensait pouvoir gagner. Mais il ne faut pas tirer que du négatif de ce mois de novembre car nous avons joué les deux meilleures équipes du monde, à savoir la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du sud. Bien sûr que nous ne sommes pas heureux de perdre mais on essaye de sortir les points positifs. Parce que demain est déjà là, avec une grosse entame pour le Tournoi des Six Nations.

Comment avez-vous fait pour rester concentré après votre entame ratée ?
C’est sûr que lorsque tu démarres avec un contre et ensuite que tu glisses sur un but de pénalité, c’est compliqué… Mais tout le monde avait envie de repartir de l’avant. Et puis j’ai été encouragé par mes partenaires. Ca, c’est important. C’est ce qui fait la force de ce groupe. Personne ne lâche quand c’est compliqué ; on s’aide. Hier, c’était les gros sur une mêlée (allusion à la dernière mêlée face à la Nouvelle-Zélande, il y a trois semaines), là c’était moi sur un contre… Je m’en veux pour l’équipe, parce qu’on était proche de la victoire.

«Ca nous a fait du bien»

«On a pu mettre du jeu et du mouvement », apprécie Parra. Racontez-nous l’essai de Yoann Huget…
Il y a une pression sur le ruck sud-africain, le ballon est cafouillé, on le récupère. Pascal (Papé) démarre, je l’appelle, il me donne le ballon et je vois que Yoann (Huget) est bien lancé. Je lui donne et il marque ; Ca nous fait du bien. Ca nous permis de bien revenir dans le match.

Qu’est-ce qui traverse votre esprit sur la transformation du bord de touche.
Je sais qu’elle est importante mais ce n’est pas le seul fait de jeu important. Ce qui m’importe ce n’est pas la transformation du bord de touche mais le fait qu’on a pu mettre du jeu et du mouvement…

Vous dites que l’équipe de France n’est pas loin de la victoire. Qu’est-ce que signifie «pas loin» ?
Pas loin, c’est prendre un peu plus d’assurance. Il faut aussi qu’on bonifie notre expérience collective, qu’on se focalise davantage sur les détails importants. Je dis qu’on est pas loin parce qu’on a mis du jeu face aux All Blacks et aux Springboks, sans complexe, alors qu’on n’avait pas su ou pas pu le faire dans le dernier Tournoi.

Vous attendez-vous à être critiqué ?
C’est le jeu, c’est normal. Nous n’avons pas gagné, c’est donc normal qu’on soit critiqués. C’est pareil pour nos performances individuelles. En revanche, à l’intérieur du groupe, on sait où on en est, on sait où on veut aller, et c’est pour nous le plus important.»
Propos recueillis par Richard ESCOT, à Saint-Denis.

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Basket NBA Une histoire de séries
Les Spurs ont décroché samedi soir leur 10e victoire consécutive en dominant Cleveland (126-96). Portland a fait de même sur le parquet des Warriors (113-101). Le Heat en est lui à six victoires de suite après avoir battu le Magic (101-99).
LeBron James a eu le dernier mot pour Miami face à Orlando. (Steve Mitchell-USA TODAY Sports) (Reuters)









LeBron James a inscrit le panier de la victoire à 15" de la fin du match et permis à Miami de décrocher sa sixième victoire consécutive, aux dépens du Magic (101-99), qu'ils ont battu pour la deuxième fois en quatre jours. Orlando a ainsi subi son 5e échec de suite à l'extérieur, cette saison, et reste parmi les deux équipes qui n'ont toujours pas gagné sur parquet adverse avec le Jazz (0-8). James a tenu la maison pour le Heat samedi soir avec 22 points, 9 rebonds et 7 passes décisives, alors que Dwyane Wade blessé les deux derniers matches a effectué un retour en force en inscrivant 27 points. Miami avait 16 points de retard en deuxième période mais a réussi un finish impressionnant. Arron Afflalo et Victor Oladipo ont manqué les dernières occasions d'aller en prolongation pour Orlando.

Les Spurs eux sont sur des bases historiques pour la franchise. Samedi, San Antonio a ainsi décroché une 10e victoire consécutive en dominant Cleveland (126-96), sa 12e en 13 rencontres. Danny Green (17pts, 4rbds) et Patty Mills (15pts, 3rbds) ont été les meilleurs marqueurs du soir, alors que Tony Parker a fini avec 12 points et 7 passes décisives au compteur. C'est bien le collectif des Spurs qui a étouffé les Cavaliers avec 5 joueurs à 10 points ou plus. Mais le coach Gregg Popovich tenait à garder la tête froide : «Ils ne sont pas aussi mauvais que ce que cette soirée a pu laissé paraître. Et nous ne sommes pas aussi bons que ces apparences. On a juste vécu une de ces soirées où tout va dans la bonne direction alors qu'eux en ont passé une dans l'autre sens.» A noter les 8 points et 4 passes décisives de Nando De Colo.

Portland enchaîne toujours

Portland ne baisse pas non plus le pied puisque les Trail Blazers ont conquis leur 10e succès de rang sur le parquet des Warriors (113-101), au cours d'une rencontre ou LaMarcus Aldridge a pris feu (30pts, 21rbds). Portland s'en est ainsi sorti malgré un troisième quart-temps très compliqué où trois joueurs ont été expulsés dont Wesley Matthews (en plus de Green et williams), qui était à ce moment-là le meilleur marqueur des Trail Blazers (23 pts). En retard de 10 points après ces altercations, Portland a su se reprendre pour infliger un 42-20 à ses adversaires dans le dernier quart d'heure (dont 17 points d'Aldridge). Les 15 points et 12 rebonds de David Lee n'ont pas suffi pour Golden State. Nicolas Batum, lui, a encore sorti un très bon match avec un bilan de 14 points, 3 rebonds et 4 passes décisives.

Dallas, en revanche, a vu sa série de 4 victoires d'affilée être brisée par les Nuggets (102-100). Le panier à trois points de Randy Foye a donné les commandes à Denver (101-100) à 1'11'' de la fin alors que Kenneth Faried a fait le show (18pts, 14rbds) et que Ty Lawson a inscrit 20 pts. En face, Dirk Nowitzki (27pts, 9rbds) et Monta Ellis (25pts, 6rbds) ont tout tenté mais ont raté leurs deux derniers tirs dans la dernière minute, ce qui a sonné la fin de leur série de 4 victoires. En revanche, en battant les Hawks (94-87), Boston a de son côté mis fin à un tunnel de six défaites, grâce notamment à Jordan Crawford, qui a inscrit 10 de ses 12 points dans le dernier quart-temps.
Rédaction

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San Lorenzo revient de loin...

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F1 GP du Brésil Vettel : «Surpris par les écarts»
Même s'il a reconnu avoir réalisé deux bons tours en Q3, Sebastian Vettel (Red Bull) ne pensait pas finir les qualifications avec autant d'avance sur ses rivaux.
Sebastian Vettel finit la saison avec 9 poles en 19 séances. (L'Equipe)









«Sebastian Vettel, que vous inspire cette nouvelle pole position ?
C'est une grosse surprise. Il pleuvait déjà beaucoup à la fin de la Q2, alors il a fallu attendre. Quand il y a trop d'eau sur la piste, le risque d'aquaplaning est trop grand. Mais quand je suis ressorti des stands, j'ai été surpris par l'état de la piste, beaucoup d'eau avait disparu. J'ai tout de suite mis les intermédiaires et j'ai pu faire un très bon tour, puis un autre pour essayer de battre ce chrono, et j'étais très content de mes deux tours, et surpris par les écarts, car on n'avait pas beaucoup pu rouler aux essais (à cause de la météo). Quand on m'a dit que j'avais fait la pole position, j'étais très heureux, et je disais olé, olé, alors que c'est de l'espagnol, pas du portugais. Alors peut-être que j'aurai une deuxième chance demain...

«Tout est possible ici. L'an dernier, on a bien vu ici comme les choses changent vite.» Quelles conditions de piste souhaitez-vous dimanche pour la course ?
Nous n'avons pas fait tellement de tours sur le mouillé, pour être honnête, car nous avons tous essayé de garder des pneus (pour dimanche), autant que possible, surtout hier et ce matin. Demain, comme l'a déjà dit Nico (Rosberg), ça pourrait être du 50/50, mais en fait on ne sait pas, car tout est possible ici. L'an dernier, on a bien vu ici comme les choses changent vite. J'ai hâte de prendre le départ, surtout en pole position, et j'espère qu'on va pouvoir continuer dans cette voie en course, quelles que soient les conditions.

Si la piste est sèche demain, quel sera l'impact de ces deux jours d'essais la plupart du temps sur piste mouillée ?
Bon, d'abord nous aurons tous des pneus neufs, donc ça va aider, mais le problème c'est que la piste n'est pas très adhérente, car nous n'avons pas beaucoup roulé sur le sec ce week-end (donc il n'y a pas beaucoup de gomme déposée sur la trajectoire idéale et l'adhérence est limitée, ndlr), ça va rendre les choses délicates. Et puis je pense que l'avantage sera pour celui qui aura le mieux deviné les meilleurs réglages, pour que sa voiture soit bonne tout le temps, pas seulement pendant un tour sur piste mouillée, et pour qu'il soit en mesure de bien préserver ses pneus. Ce sera une course longue, 70 tours, et on a déjà vu que ce n'est pas facile de faire durer les pneus, selon la stratégie qu'on a choisie. Mais ce sera pareil pour tout le monde.» (AFP)
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Alessandrini touché...

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Foot Espagne Real Ronaldo rassurant après sa sortie du terrain à Almeria
Après Messi et Ribéry, l'autre favori pour le Ballon d'Or, Cristiano Ronaldo, s'est blessé. Samedi soir, le Portugais a dû quitter le Real à Almeria... après avoir ouvert le score. «C'était par précaution. Ce n'est rien de spécial», a rassuré CR7.
Un problème musculaire pour Cristiano Ronaldo ? (AFP)









Cristiano Ronaldo, auteur de l'ouverture du score du Real Madrid sur la pelouse d'Almeria, a été contraint de sortir sur blessure au bout de 54 minutes, samedi soir. Le candidat au Ballon d'Or, grimaçant, a quitté le terrain en marchant, remplacé par le jeune Jesé. Ronaldo avait inscrit dès la 3e minute de jeu son 10e but du mois de novembre (six en Liga, quatre en sélection).

L'international de 28 ans s'est blessé en centrant depuis son côté gauche. Il a immédiatement prévenu son banc que quelque chose n'allait pas. Il a regagné le vestiaire, accompagné d'un kiné du club. «C'était par précaution. Ce n'est rien de spécial. On m'a donné un coup de pied en première période et je sentais que mon muscle était un peu dur», a expliqué le Portugais sur le site du Real.

Le Portugais ne souffre «pas d'un problème important», a dit pour sa part Carlo Ancelotti en zone mixte. «Il a eu un problème aux ischios, je ne crois pas que ce soit un problème important parce qu'il n'a pas de douleur», a-t-il dit. CR7 passera tout de même des examens dimanche.

Messi s'était aussi blessé à Almeria

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Le film du match








C'est sur cette même pelouse d'Almeria que son grand rival du FC Barcelone Lionel Messi s'était blessé à une cuisse fin septembre, après avoir lui aussi marqué pour permettre au Barça de s'imposer 2-0. A quelques jours de la fin du vote pour le Ballon d'Or, le 29 novembre, les trois favoris sont donc plus ou moins blessés. Outre Messi (cuisse) et Cristiano Ronaldo, Franck Ribéry (côte fracurée) est également out. Il était forfait avec le Bayern contre Dortmund ce samedi (3-0).

Le Real a dû patienter jusqu'à l'heure de jeu pour faire le break grâce à un joli but de Karim Benzema (enchaînement contrôle-volée, 61e). Le signal d'une fin de match à sens unique : Bale (sur une action d'Isco, 72e), Isco (suite à un déboulé de Jesé, 76e) et Morata, entré à la place de Benzema (81e), ont fait grimper l'addition. Le Real revient provisoirement à hauteur de l'Atletico qui débutait son match à 22h00 contre Getafe.

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0
5

Almeria




Real Madrid
3eCristiano Ronaldo
61eK.Benzema
72eG.Bale
75eIsco
81eA.Morata







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Foot Italie 13e j. Coup d'arrêt pour Naples
Battu (1-0) pour la première fois cette saison à domicile par Parme, Naples, qui restait sur une rouste face à la Juve (0-3), laisse le champ libre à la Roma et aux Turinois, et peut se faire rejoindre par l'Inter. Le Milan ne gagne toujours pas (1-1 à San Siro contre le Genoa).
Gonzalo Higuain n'a pas réussi à percer la défense de Parme. (AFP)









Deux défaites de suite... Balayé par la Juventus avant la trêve (3-0), Naples devait se relancer en Championnat, samedi contre Parme, et reprendre confiance avant de jouer sa qualif en Ligue des champions à Dortmund, mardi. La mine défaite de Rafael Benitez à la fin du match disait combien ce double objectif est manqué. Le Napoli a concédé sa première défaite de la saison à San Paolo (1-0). Le candidat au podium a été méconnaissable contre une équipe de Parme rapide en contre qui a trouvé la faille en fin de partie par Antonio Cassano, le 100e but en Serie A (en 335 matches) de l'ancien attaquant du Real, du Milan et de l'Inter (frappe croisée, 81e). L'Inter, justement, qui joue dimanche à Bologne, reviendra à hauteur en cas de succès. La défaite des Napolitains sert aussi les intérêts de la Juve (2e), en visite à Livourne, et de l'AS Rome, le leader qui fermera la journée lundi contre Cagliari. Anthony Réveillère, la dernière recrue de Naples, est resté sur le banc.

Le Milan n'y arrive toujours pas

Même à 11 contre 10 pendant les 3/5e du match, l'AC Milan s'est encore fourvoyé à San Siro contre le Genoa (1-1). L'équipe de Massimo Allegri a étendu sa disette de victoires à sept matches, toutes compétitions confondues. Dépassé par Parme (11e) et menacés de rétrograder encore après les matches de dimanche, les Rossoneri n'ont plus gagné depuis le 19 octobre. Symbole de la crise milanaise, Mario Balotelli a manqué le penalty de la relance à 1-1. Muet depuis le 22 septembre, l'international italien a fait expulser Manfredini mais sa suffisance a aidé Perin à le mettre en échec (36e). Le gardien gênois a d'ailleurs été le grand bonhomme du match, décisif sur les nombreuses occasions que le Milan s'est créé en seconde période (Matri 59e, Kaka 60e, Balotelli 61e, Birsa 81e).

Sans Philippe Mexès, blessé à l'échauffement à San Siro, l'AC Milan avait démarré sur les chapeaux de roues grâce à Kaka, buteur sur la première occasion du match (5e). Mais Emanuelson a aussitôt après accroché Vrsaljko dans la surface et Gilardino n'a pas manqué, lui, son penalty contre son ancien club, le 20e but concédé cette saison par la défense passoire du Milan (9e). Le Genoa (7e) bonifie ses trois victoires consécutives et se rapproche du Hellas Vérone, battu (1-0) par le Chievo dans le derby plus tôt samedi en ouverture de la journée. - Rédaction

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0
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Naples




Parme
81eA.Cassano







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Foot Angleterre Tottenham Chiriches en étonne plus d'un
Ayant encaissé seulement six buts en onze rencontres, Tottenham présente une solidité à toute épreuve. Elle la doit notamment à sa recrue estivale, l'inconnu roumain Vlad Chiriches. Découverte avant le choc face à Manchester City (14h30).
Aux côtés de Dawson, Chiriches s'est très vite adapté à la Premier League. (AFP)









Du fin fond de sa prison où il croupit pour des affaires de corruption, le truculent Gigi Becali a hurlé sa rage lors d’un coup de téléphone à son directeur sportif : «Mais c’est qui Tottenham ? Ne le transférez pas ! Je suis Gigi, je ne suis l’esclave de personne.» Le Steaua Bucarest, le club dont il est président, a finalement vendu Vlad Chiriches (prononcez "Kirikesse") à Tottenham cet été. Chelsea, l’Inter et le Dynamo Moscou figuraient au premier rang des déçus. «C'est vrai qu'il y a eu quelques problèmes avec le président pendant mon transfert mais c'est du passé. Pour moi, c’est un rêve de rejoindre les Spurs. J’adore le jeu de cette équipe», expliquait celui qui a coûté dix millions d’euros.

«Il faut que j'améliore mon physique mais le foot anglais a changé aussi. Il fait aussi la part belle aux passes et aux dribbles, non ?» Un investissement aujourd’hui déjà rentabilisé. Deuxième meilleur défense de la Premier League avec seulement six buts encaissés en onze matches, les Spurs l’ont vu s’adapter très rapidement au football anglais, apprenant aux côtés de Michael Dawson. Titulaire lors des quatre derniers matches de Premier League, il a été impressionnant sur le terrain d’Aston Villa (2-2) mais surtout sur celui d’Everton (0-0). Malgré sa fracture du nez et son masque, Chiriches devra de nouveau se montrer solide lors du déplacement à Manchester City. «Il faut que j’améliore mon physique mais le foot anglais a changé aussi, avançait le fin défenseur début novembre. Il fait aussi la part belle aux passes et aux dribbles, non ?»




Capitaine de l’équipe nationale (22 capes), le joueur de 24 ans passé anonymement par Benfica monte en puissance. Champion de Roumanie la saison dernière, il espère faire remonter Tottenham (7e) sur le podium. Chelsea, lui, n’a pas abdiqué. «S’il fait une ou deux bonnes saisons, ils paieront très cher pour l’avoir, a déjà annoncé son agent. Mourinho l’adorait déjà quand il était à Madrid.» Des paroles qui ont rendu furieux André Villas-Boas : «Ce sont des commentaires totalement hors de propos. Irréels. Nous sommes un grand club, nous ne sommes pas un simple tremplin.» Gareth Bale pourrait bien dire le contraire…

Cyril OLIVÈS-BERTHET


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Surprenant Enyeama...

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Foot Allemagne Bayern Sammer: «Heureux et fier»
Après la victoire du Bayern sur la pelouse de Dortmund (3-0), le directeur sportif munichois Matthias Sammer a souligné «le grand match de son équipe».
Les Munichois ont remporté une victoire précieuse à Dortmund. (Reuters)









Matthias Sammer (directeur sportif du Bayern Munich): «On est très heureux et fier. Mais il faut être réaliste: Dortmund a fait un grand match et il nous a fallu tout donner. On a aussi eu la petite part de chance nécessaire. On est content du retour de Thiago et on espère que d'autres comme Franck (Ribéry) seront aussi disponibles bientôt.»

Arjen Robben (milieu offensif du Bayern Munich): «Il ne faut pas surestimer cette victoire. On était à 1-0 jusqu'à la 85e minute. Au final, on a l'impression que c'est une nette victoire mais Dortmund a eu aussi de belles occasions. On a eu les espaces en fin de match et la victoire est probablement méritée. Gamin, on rêve de jouer dans de tels stades. J'ai vraiment pris du plaisir.»

«Actuellement on n'arrive pas à marquer les buts décisifs.» (Roman Weidenfeller) Roman Weidenfeller (gardien et capitaine de Dortmund): «Les matches se gagnent avec des buts et actuellement on n'arrive pas à marquer les buts décisifs. L'ampleur de la défaite importe peu. C'est juste amer d'avoir très bien joué durant près de 80 minutes sans en avoir été récompensé.»
Avec AFP

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Götze n'a pas raté son retour








Infos

Borussia Dortmund (ALL)
Bayern Munich (ALL)



23/11 : Borussia Dortmu. 0-3 Bayern Munich 26/11 : Borussia Dortmu. - Naples 30/11 : FSV Mayence 05 - Borussia Dortmu. 23/11 : Borussia Dortmu. 0-3 Bayern Munich 27/11 : CSKA Moscou - Bayern Munich 30/11 : Bayern Munich - Eintracht Bruns. Voir le calendrier Voir le classement

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Foot Angleterre 12e j. Arsenal évite le piège
Contre la surprise Southampton (3e), Arsenal s'est imposé sans briller (2-0, doublé de Giroud) et profite du nul de Liverpool à Everton (3-3) pour se détacher en tête (4 points d'avance sur les Reds). Le gardien des Saints, Artur Boruc, lui a fait un joli cadeau...
Artur Boruc s'emmêle dans son dribble et Olivier Giroud profite de sa bévue... (Reuters)









Quatre points d'avance sur Liverpool (3-3 à Everton plus tôt samedi) et six sur son adversaire du jour, Southampton, battu sans briller mais sans trembler non plus (2-0). Avant d'accueillir Marseille mardi en Ligue des champions (5e journée), Arsenal a fait le job à l'Emirates pour prendre ses aises en tête de la Premier League. Pas immérité du tout. Le leader a touché deux fois le poteau droit d'Artur Boruc par Wilshere (lob sans angle, 10e) et Ramsey (géniale Madjer du point de penalty, 18e), avant que le gardien polonais ne commette une incroyable boulette en tentant de dribbler Olivier Giroud. L'attaquant français n'en demandait pas tant pour lui chipper le ballon et relancer son compteur buts en Premier League après un mois de disette (22e).

Fin de série pour les Saints

Boruc concède un 2e but gag en quelques semaines après celui que lui a marqué son vis-à-vis de Stoke Asmir Begovic (1-1, le 2 novembre). «L'un des buts les plus ridicules qu'il vous sera jamais donné de voir en Premier League» grince la BBC... Invaincus depuis huit matches, Southampton a été inoffensif devant. Les néo-internationaux anglais Adam Lallana (32e, 52e) et Jay Rodriguez (38e) ont fait passer les rares frissons sur le but de Szczesny. Arsenal s'est mis à l'abri en fin de rencontre sur un penalty converti par Giroud après une faute sur Per Mertesacker, l'unique buteur d'Angleterre-Allemagne, mardi dernier en amical (1-0). Les Saints ne possèdent plus la meilleure défense de Premier League (7 buts concédés contre 6 à Tottenham, un match en moins).

Les Frenchies de Newcastle frappent encore




Le défenseur gallois de Newcastle Paul Dummett doit se sentir un peu seul. Il est l'unique non-Français à avoir marqué cette saison en Premier League pour les Magpies (contre Liverpool, 2-2 le 19 octobre). Samedi, contre Norwich, Loïc Rémy et Yoan Gouffran, deux des cinq Français titulaires au coup d'envoi, ont inscrit les 15e et 16e buts "frenchies" sur les dix-sept de Newcastle en 12 journées (2-1). Le premier a profité d'un corner de Yohan Cabaye pour placer une tête gagnante, son 8e but personnel en Championnat (2e). Gouffran est désormais le deuxième meilleur buteur du club avec sa troisième réalisation de la saison : l'ancien Bordelais a bien suivi un duel perdu par Shola Ameobi pour ajuster le gardien des Canaris (38e). Leroy Fer a réduit la marque en fin de rencontre (tête sur corner, 80e). "Neufchâteau" confirme ses victoires de prestige avant la trêve contre Chelsea (2-0) et à Tottenham (1-0) et gagne une place au classement (8e). - Rédaction

N'Zonzi à la fête

Passeur sur le premier but de Charlie Adam (30e) et buteur sur une offrande de Peter Crouch (81e), Steven N'Zonzi a été le principal artisan de la victoire (2-0) de Stoke City contre Sunderland, samedi. L'ancien Amiénois (24 ans) inscrit le 7e but de sa carrière anglaise (il évolue à Stoke depuis 2012 après trois saisons à Blackburn).

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2
0

Arsenal
22eO.Giroud
86eO.Giroud




Southampton







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Arsenal évite le piège...

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Artur Boruc s'emmêle dans son dribble et Olivier Giroud profite de sa bévue... (Reuters)









Quatre points d'avance sur Liverpool (3-3 à Everton plus tôt samedi) et six sur son adversaire du jour, Southampton, battu sans briller mais sans trembler non plus (2-0). Avant d'accueillir Marseille mardi en Ligue des champions (5e journée), Arsenal a fait le job à l'Emirates pour prendre ses aises en tête de la Premier League. Pas immérité du tout. Le leader a touché deux fois le poteau droit d'Artur Boruc par Wilshere (lob sans angle, 10e) et Ramsey (géniale Madjer du point de penalty, 18e), avant que le gardien polonais ne commette une incroyable boulette en tentant de dribbler Olivier Giroud. L'attaquant français n'en demandait pas tant pour lui chipper le ballon et relancer son compteur buts en Premier League après un mois de disette (22e).

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Le défenseur gallois de Newcastle Paul Dummett doit se sentir un peu seul. Il est l'unique non-Français à avoir marqué cette saison en Premier League pour les Magpies (contre Liverpool, 2-2 le 19 octobre). Samedi, contre Norwich, Loïc Rémy et Yoan Gouffran, deux des cinq Français titulaires au coup d'envoi, ont inscrit les 15e et 16e buts "frenchies" sur les dix-sept de Newcastle en 12 journées (2-1). Le premier a profité d'un corner de Yohan Cabaye pour placer une tête gagnante, son 8e but personnel en Championnat (2e). Gouffran est désormais le deuxième meilleur buteur du club avec sa troisième réalisation de la saison : l'ancien Bordelais a bien suivi un duel perdu par Shola Ameobi pour ajuster le gardien des Canaris (38e). Leroy Fer a réduit la marque en fin de rencontre (tête sur corner, 80e). "Neufchâteau" confirme ses victoires de prestige avant la trêve contre Chelsea (2-0) et à Tottenham (1-0) et gagne une place au classement (8e). - Rédaction

N'Zonzi à la fête

Passeur sur le premier but de Charlie Adam (30e) et buteur sur une offrande de Peter Crouch (81e), Steven N'Zonzi a été le principal artisan de la victoire (2-0) de Stoke City contre Sunderland, samedi. L'ancien Amiénois (24 ans) inscrit le 7e but de sa carrière anglaise (il évolue à Stoke depuis 2012 après trois saisons à Blackburn).

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Arsenal
22eO.Giroud
86eO.Giroud




Southampton







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