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Les Suissesses toujours invaincues

24.11.2013 19:57 mise à jour à 23:05 Réagir
Mirjam Ott s'est montrée très solide face à la Lettonie. [Andrew Vaughan - Keystone]


L'équipe de Suisse dames poursuit sur sa lancée aux championnats d'Europe de Stavanger. Dimanche, les filles du CC Davos ont dominé la Norvège (7-2) puis la Lettonie (9-7) et comptent donc trois succès en autant de matches.
Mirjam Ott & Cie, qui ont aisément vaincu la Norvège le matin, ont démontré toute leur force de caractère dans l'après-midi. Menées 6-7 par la Lettonie après avoir concédé trois points dans le 9e end, elles ont réussi un coup de trois dans la dernière manche.
Dimanche faste pour les hommes

L'équipe de Suisse masculine a également brillé dans ces deux premières journées de compétition. Les outsiders d'Adelboden présentent un bilan positif (3 victoires, 1 défaites) et peuvent désormais légitimement viser une place en play-off.
Ils ont d'ailleurs conclu leur week-end en s'offrant le scalp des favoris écossais (8-6) grâce à un coup de trois réalisé dans l'avant-dernier end. Plus tôt dans la journée, ils avaient dominé la République tchèque (5-3).

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Rugby Tests Les All Blacks restent invincibles
Les All Blacks terminent l'année invaincus au terme d'un match ahurissant d'intensité face à l'Irlande (22-24) qui était tout proche de l'exploit.
Les All Blacks ont frôlé la défaite en Irlande. (Reuters)









Que l’histoire est cruelle pour l’Irlande. Pendant quatre-vingt minutes d’un match de haute volée le XV du Trèfle a joué son meilleur rugby et a été à quelques secondes d’écrire son histoire en battant pour la première fois les All Blacks. Les portes du paradis étaient grandes ouvertes et les places étaient réservées au banquet. Mais ce diable de Crotty a choisi ce moment précis pour inscrire son premier essai sous le maillot à la fougère argentée et anéantir les rêves de toute une nation. Car l’improbable scénario s’est bel et bien réalisé. Alors qu’ils avaient été menés et bousculés durant toute la rencontre, jamais en mesure de mettre en place leur jeu flamboyant, les All Blacks ont remporté ce match incroyable (22-24).

Oui, tout aura été incroyable dans ce match qui restera comme un des plus beaux de l’année, avec le dernier du Four Nations (déjà remporté par les Blacks). Incroyable l’engagement des Irlandais, présents sur tous les ballons, remportant les rucks, avançant à l’impact, menant 19-0 après seulement 18 minutes et se permettant d’inscrire un troisième essai aux champions du monde après un sprint de 80 mètres en solitaire de Kearney. Murray (5e) et Best (11e) s’étant chargés de montrer le chemin auparavant. Incroyables ces All Blacks soudain bien pâles qui n’arrivaient pas à s’organiser et qui subissaient de plein fouet une pression irlandaise qui n’avait pas le goût de celle qu’ils pouvaient espérer.

Un finish incroyable

Incroyable la réaction des champions du monde dès que les Irlandais ont un peu faibli physiquement. Car dès que l’étreinte s’est relâchée, imperceptiblement, les All Blacks ont présenté un autre visage. Sans parvenir à renverser totalement la tournure des évènements, ils ont commencé à faire mal à la défense irlandaise où la paire de centres D’Arcy-O’Driscoll a prouvé qu’elle avait de beaux restes. Et incroyable ce finish où les Irlandais offrait à Cruden la possibilité de tenter une nouvelle fois la transformation de la gagne après s’être élancé avant sa prise d’élan sur celle qu’il venait de manquer.

Presque gênés d’avoir remporté ce match face à de tels guerriers et après un tel scénario, les All Blacks restaient humbles au moment de célébrer une victoire qui leur permettait de finir l’année invaincus. La blessure dans le cœur des Irlandais, elle, mettra du temps à cicatriser.
Bertrand LAGACHERIE

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IRLANDE




NOUVELLE-ZELANDE







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Foot Angleterre 12e j. City assomme Lloris
Le gardien français de Tottenham a passé une sale après-midi face à Manchester City (0-6). Hugo Lloris a notamment concédé deux buts sur de mauvaises relances au pied.


Hugo Lloris relance Manchester City en manquant les siennes. Tel pourrait être le résumé du match à sens unique - et cauchemardesque pour le gardien français de Tottenham, dimanche après-midi à l'Etihad Stadium (6-0). Les Citizens, qui restaient sur une troisième défaite (0-1 à Sunderland), doublent leurs adversaires et se replacent au pied du podium, avant la visite de Manchester United à Cardiff (coup d'envoi à 17h00, en commenté). Les Spurs (9es) concédent la plus lourde défaite de l'ère Villas-Boas, la plus importante du club depuis... 17 ans (1-7 contre Newcastle en 1996).

Intraitables à domicile (6e victoire en autant de matches), l'équipe de Pellegrini a bénéficié d'entrée d'une boulette du dernier rempart de l'équipe de France. Sa première relance au pied, directement sur "Kun" Agüero, a profité à Jesus Navas, à la retombée de la parade du Français sur la frappe de l'Argentin et subtil buteur sans angle. Le 2e but le plus rapide de la saison, après 14 secondes, une de plus que le dégagement gagnant du gardien de Stoke contre Southampton le 2 novembre.

Une barre pour Nasri

A un degré moindre, la responsabilité du Frenchy est également engagée sur le 2e but puisque Negredo marque (but attribué à un c.s.c de Sandro), après une nouvelle relance au pied interceptée dans sa moitié de terrain (34e). Accabler le seul Lloris serait toutefois injuste tant ses coéquipiers ont déjoué. Quasiment aucune opportunité (deux frappes non cadrées de Lamela et Soldado en tout et pour tout) et une défense trop laxiste, à l'image de Lamela laissant Jesus Navas s'échapper pour centrer pour le 3e but (Agüero, 40e). Pour sa première titularisation, Younès Kaboul n'a pas été très inspiré non plus, c'est un euphémisme. A l'inverse, Samir Nasri a été très bon dans l'animation et aurait pu marquer (barre à la 52e). A ce moment du match, il y avait déjà 4-0 (doublé d'Agüero sur une montée impressionnante de Yaya Touré, 50e). Negredo a (vraiment) marqué peu après (55e) et Jesus Navas a bouclé la boucle en gagnant le dernier duel face à Lloris (6-0, 90e+3). - Rédaction


Tottenham ne sera resté que 24 heures la meilleure défense de Premier League (6 buts concédés avant sa visite à Manchester). Battu à Arsenal (2-0), samedi, Southampton (7) redevient l'équipe la plus hermétique, devant Chelsea, Arsenal (10) et... les Spurs (12).

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Guardiola: "La taupe ne rejouera plus jamais pour moi"



Un membre du Bayern Munich a balancé la tactique de Pep Guardiola dans le journal "Bild". L'entraîneur catalan n'aime pas ça.
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Trente-huit: c'est le nombre de matches consécutifs sans la moindre défaite en Bundesliga pour le Bayern Munich. Samedi passé, les hommes de Pep Guardiola ont frappé un grand coup en s'imposant avec la manière au Borussia Dortmund (0-3).

Aujourd'hui, les Bavarois possèdent quatre longueurs d'avance sur le Bayer Leverkusen et sept sur le Borussia Dortmund. Pourtant, ce n'est pas la folle ambiance dans le vestiaire du Bayern Munich.

Pep: "Je vais le trouver"
La raison? Sa tactique a été publiée dans le journal "Bild". Il existe donc une "taupe" parmi ses hommes. L'ancien coach à succès du Barça est furieux.

"Peu importe qui c'est, je vais le trouver. Et je peux vous assurer qu'il ne rejouera plus jamais pour moi", a déjà prévenu "Pep" Guardiola.

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Messi ne voit pas la Belgique parmi les favoris du Mondial

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Joachim Löw a récemment déclaré qu'il voyait la Belgique comme son "favori secret" pour le Mondial 2014. Par contre, Lionel Messi ne partage pas vraiment l'avis du sélectionneur allemand.

Selon lui, les Diables ne font pas partie de son top 5. "Le Brésil, l'Allemagne, l'Espagne, l'Argentine et la France", a répondu "La Pulga" dans une interview radio. La star du Barça a également précisé qu'il "tenait plus que quiconque à gagner la Coupe du Monde".

Troisième Soulier d'Or européen
Entre-temps, Messi revalide toujours d'une déchirure à la cuisse, encourue il y a deux semaines contre le Betis Séville. L'Argentin ne jouera sans doute plus cette année.

"Mais je vais revenir à 100%", a-t-il fait savoir. Samedi, "Leo" a reçu son Soulier d'Or européen avant le coup d'envoi contre Grenade. C'est la troisième fois qu'il remporte cette récompense, un record.

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Mourinho s'explique sur la polémique Courtois

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Nous vous en parlions vendredi, José Mourinho aurait menacé de reléguer Thibaut Courtois sur le banc s'il ne prolongeait pas son contrat à Chelsea.

Mourinho, un intermédiaire parmi d'autres
Désigné comme principal responsable de cette situation par le journal espagnol Marca, Mourinho n'est en réalité qu'un intermédiaire parmi d'autres dans ce dossier. Les négociateurs mandatés par Chelsea sont le président Bruce Buck, le CEO Ron Gourlay et Mariana Granovskaïa, l'assistante personnelle de Roman Abramovich.

Dans l'entourage de Thibaut Courtois, on refuse de commenter l'affaire. Mourinho, quant à lui, a démenti catégoriquement toute forme de chantage.

Mourinho: "Nous sommes dans un fauteuil"
"Regardez, nous sommes dans un fauteuil. Je le répète. Avec Petr Cech, nous détenons le meilleur gardien au monde. Courtois est sans aucun doute le meilleur gardien au monde de sa génération. Il lui reste deux ans de contrat. Nous avons tout sous contrôle. C'est une situation délicate pour les équipes qui veulent l'acheter ou le louer, mais pas pour nous. Il connait nos souhaits, sa famille et son manager aussi les connaissent", a-t-il commenté dans Het Laatste Nieuws.

Pour rappel, le Barça fait les yeux doux à notre gardien belge, qui rêverait de défendre les perches du club catalan. S'il désire l'acquérir, le champion d'Espagne devra payer le prix fort, on parle de 35 millions minimum. Une offre jugée excessive par les Blaugranas, qui cherchent un successeur pour Victor Valdès. On évoque aussi les noms de ter Stegen et de Reina.

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Mitrovic principale cible des critiques à Anderlecht

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Anderlecht a livré un non-match à Charleroi. Dans tous les secteurs de jeu, les hommes de John Van den Brom sont passés à côté de leur sujet. Sur le plan offensif, Aleksandar Mitrovic était surtout visé. "Mitrogoal" s'est davantage fait remarquer par sa nouvelle coupe de cheveux que par ses actions sur le terrain.
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"Aleksandar n'a pas bien joué", a reconnu John Van den Brom. "Il n'a pas reçu beaucoup de soutien, mais il n'a rien fait pour non plus. Cela ne vaut d'ailleurs pas uniquement pour lui. Mais c'est vrai qu'il a fait un piètre match. Il n'était jamais disponible et se faisait facilement déposséder du ballon. Tout ce qui le rend fort d'habitude, je ne l'ai pas vu aujourd'hui. Contrairement à ses autres matchs, il n'a pas mis beaucoup de coeur à l'ouvrage. C'était pour tout comme ça. Je vais lui en parler", a réagi l'entraîneur anderlechtois, visiblement très déçu par la prestation de son avant-centre.

Apathique et pas vraiment concerné par l'enjeu, le jeune attaquant serbe a agacé aussi pas mal de coéquipiers. Même si personne n'a osé citer son nom, Deschacht, Vanden Borre et Gillet en ont apparemment plein le dos de l'attitude de la nouvelle recrue de 5 millions d'euros, lit-on dans Nieuwsblad.

Problème de fatigue?
Certes, l'international serbe a un potentiel énorme et des qualités indéniables, il l'a déjà montré. Cependant, il reste très inconstant dans ses prestations et alterne le bon, le moins bon et le très mauvais. Quand il n'est pas dans un bon jour, il est tout à fait capable de passer complètement à travers d'un match.

Certains parlent d'un problème de fatigue. Pour rappel, l'attaquant serbe n'a pas bénéficié d'un break en été puisqu'il était actif avec la Serbie à l'EURO -19. Cette accumulation de matchs depuis plusieurs mois est peut-être l'une des explications. Cela dit, mettre tout sur le dos d'un seul joueur serait un peu réducteur pour justifier le malaise du Sporting.

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C'est la crise à tous les étages à l'AC Milan

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L'AC Milan est secoué par le putsch de Barbara Berlusconi, fille du propriétaire, au moment où ses résultats sont catastrophiques et son entraîneur, Massimiliano Allegri, plus contesté que jamais, avant de jouer contre le Celtic son avenir en Ligue des champions.
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Avant de se rendre à Glasgow mardi, le Milan va mal. La prise de pouvoir à la hussarde de "Lady B.", 28 ans, au conseil d'administration du club depuis 2011, est sur le point d'écarter l'administrateur délégué historique, Adriano Galliani, le "Cristiano Ronaldo du mercato", selon Carlo Ancelotti, ex-entraîneur "rossonero" à succès (deux C1).

Depuis qu'elle a publiquement désavoué Galliani en évoquant la nécessité d'un "changement de direction dans la philosophie de l'entreprise", l'arrivée aux commandes de Lady B ne fait plus de doute. Elle prendra les rênes du club que son père Silvio avait racheté en 1986 pour le porter sur le toit du monde.

"Barbara" a également critiqué le marché estival et l'absence de renforts en défense, le secteur le plus en crise du jeu milaniste. Mais les transferts avaient tous l'accord de la famille Berlusconi, soulignent les "gallianistes". Un repas au sommet entre Silvio Berlusconi et son complice de 30 ans Galliani, dans la villa d'Arcore (celle du "bunga-bunga") a ratifié l'armistice.

En ne désavouant pas sa fille, "il Cavaliere" a de fait écarté l'administrateur délégué. Une reconversion dans le parti du président, Forza Italia, et un avenir de sénateur, lui ont été proposés pour services rendus.

En avril, le CA du club devrait officialiser la nouvelle donne. Exit Galliani, l'homme qui avait fait venir les "Hollandais", Ruud Gullit, Marco van Basten, Frank Rijkaard. Manque d'expérience Génie du marché, Galliani avait déniché Kaka puis Thiago Silva pour une bouchée de pain et fait venir Zlatan Ibrahimovic en ne le payant... qu'un an après! Barbara n'a encore aucune expérience du mercato, elle n'a à son débit que le veto au transfert de Pato, qui était alors son petit ami.

Le Paris SG offrait pourtant 42 millions d'euros en janvier 2012, et l'attaquant brésilien a été cédé pour trois fois moins aux Corinthians un an plus tard...

Pour former son équipe, elle pense à Paolo Maldini, à l'aura indiscutable après une vie de joueur "rossonero", mais sans expérience de dirigeant. Demetrio Albertini, autre grand ex, étoffé lui par son rôle de vice-président de la Fédération, pourrait également faire partie du projet.

Sur le banc, l'héritière Berlusconi rêve de Clarence Seedorf, dix années au club, dont les derniers feux brillent au Botafogo de Rio de Janeiro. Le Milan rechigne à exonérer Allegri de ses fonctions, à la fois par tradition et pour éviter de lui verser des indemnités, le changement technique pourrait attendre l'été 2014.

Incapable de gagner le moindre match depuis le 19 octobre (trois défaites et quatre nuls toutes compétitions confondues), le Milan s'enfonce et Allegri semble à court de solution. Sur le terrain, Mario Balotelli n'a plus marqué en club depuis deux mois, et a encore raté un penalty samedi contre le Genoa (1-1), lui qui était infaillible dans l'exercice avant cette saison.

En C1, les Rossoneri ont encore un peu de marge sur le Celtic et l'Ajax, dans un groupe H dominé par le FC Barcelone. Mais s'ils perdaient à Glasgow, ils seraient sous la menace. Et la révolution de Lady B. pourrait se déclencher plus tôt...

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Flipkens et Wickmayer entameront leur saison 2014 à Auckland

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La saison 2014 de Kirsten Flipkens et Yanina Wickmayer débutera en Nouvelle-Zélande et plus précisément à l'ASB Classic d'Auckland, où la seconde nommée a écrit quelques lignes de son palmarès. Le tournoi débutera le 30 décembre, pour se terminer le 4 janvier. Il se dispute sur surface dure et est doté de 235.000 dollars.
Wickmayer est la lauréate de l'édition'2010, et la finaliste des éditions 2011 (contre Greta Arn) et 2013 (contre Agnieszka Radwanska après avoir éliminé Flipkens en quarts).

Kirsten Flipkens (WTA 20) et Yanina Wickmayer (WTA 51) cotoieront notamment Roberta Vinci (WTA 14), Ana Ivanovic (WTA 16), Sorana Cirstea (WTA 22) et Venus Williams (WTA 47) dans le tableau final.

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Nadal et Djokovic tapent la balle... au pied d'un glacier



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Après avoir participé à une série d'exhibitions au Chili (avec David Nalbandian et Nicolas Massu), Nadal et Djokovic ont fait escale à Buenos Aires, en Argentine.

Les deux stars du tennis mondial ont échange quelques balles... au pied du glacier "Perito Moreno", situé dans le parc national Los Glaciares de la province de Santa Cruz, en Patagonie argentine.

Visite à Boca Juniors
Dans un match exhibition disputé devant 12.000 spectateurs à Buenos Aires cette fois-ci, "Rafa" a pris sa revanche sur Djoko (6-4 7-5), qui l'avait battu au Chili la semaine passée.

Après leur rencontre, les deux joueurs ont fait le spectacle à La Bombonera, le stade de Boca Juniors, où ils se sont livrés à une séance de tirs aux buts, remportée (pour l'anecdote) par le Majorquin (3-1).

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