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Handball Championnats du Monde (F) Lacrabère, une nouvelle vie
De retour de Russie après une année décevante, Alexandra Lacrabère est intenable dans le Championnat de France. Elle est un des meilleurs atouts des Bleues dans le Mondial, qui se déroule actuellement en Serbie.
Alexandra Lacrabère (ici contre les Pays-Bas mardi) connaît un très bon début de saison. A confirmer au Mondial. (L'Equipe)









Ça aurait dû être une belle expérience. Ça s’est très mal passé. Alexandra Lacrabère aurait pu avoir du mal à s’en remettre. Elle cartonne actuellement dans le Championnat de France. L’arrière droite des Bleues a joué la saison dernière en Russie, à Zvenigorod. Un cauchemar. «L’entraîneur était comme une télécommande Playstation et nous guidait, a-t-elle raconté. Or, moi, je ne fonctionne pas comme ça. J’étais perdue. Je crois que ça se voyait quand je revenais en équipe de France. J’avais hâte de revenir en France, de retrouver mon niveau, de me faire plaisir.» Alexandra Lacrabère s’est finalement engagée avec l’Union Mios-Biganos - Bègles, née de la fusion des deux clubs girondins l’été dernier. C’est comme un retour aux sources pour elle. Native du Sud-Ouest, elle avait déjà joué deux saisons à Bègles entre 2006 et 2008.

«On ne parle pas de médaille. Mais il faut faire quelque chose» Après Issy-Paris ou Fleury-les-Aubrais, l’Union est une nouvelle équipe ambitieuse dans le paysage français. «Ça a été le choix de la confiance, a glissé Lacrabère. Il y a un projet à long terme. On veut construire une grosse équipe pour être champion de France.» Pour l’heure, Mios-Bègles pointe seulement à la septième place du classement. «Les débuts ont été difficiles, individuellement et collectivement, note l’internationale française. L’objectif cette année, c’est de faire les play-offs (pour les six premières équipes). Pour l’instant, on est dans les clous.» Alexandra Lacrabère, elle, est impressionnante sur les parquets de D1. Quatre fois, elle a marqué au moins dix buts dans un match, avec, en point d’orgue, un monstrueux 15/24 face à Fleury-les-Aubrais, il y a un mois.

De telles statistiques, c’est forcément encourageant quand le Mondial arrive. Avec les Bleues, Alexandra Lacrabère a gagné ses quatre premières rencontres. Mercredi face au redoutable Monténégro (17-16), elle a frappé à trois reprises. Dans ce tournoi, la France a un rôle de finaliste à défendre. Lacrabère était de l’aventure brésilienne il y a deux ans. «On pourrait comparer. Mais ça serait une grosse erreur, dit-elle. Nous avons changé d’entraîneur, de joueuses. C’est aussi un atout. Les joueuses ne sont pas connues au niveau international. Nous n’allons pas au Championnat du monde la fleur au fusil. On ne parle pas de médaille. Mais il faut faire quelque chose.» Pour commencer, l’arrière tricolore et ses partenaires tâcheront de battre la Corée du Sud vendredi (18h30) pour terminer le premier tour invaincu.
Olivier PAQUEREAU

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Biathlon CM (F) Un coup de moins bien pour les relayeuses de l'équipe de France
L'équipe de France composée a terminé à la 5e place du relais 4x6 km de la Coupe du monde, qui a démarré jeudi au Grand-Bornand. Une déception pour les Bleues, troisièmes à Hochfilzen la semaine passée et qui ont accusé un sacré coup de fatigue. La course a été remportée par l'Allemagne.
Marie-Laure Brunet n'a pas réussi à conserver la 4e place du relais. Les Bleues ont terminé cinquièmes. (L'Equipe)









Marie-Laure Brunet et ses camarades de l’équipe de France n’ont pas pu renouveler au Grand-Bornand l’exploit qu’elles avaient réalisé en montant sur le podium du relais (3e) la semaine dernière à Hochfilzen. Devant leur public (3 300 spectateurs), Anaïs Bescond, Sophie Boilley, Anaïs Chevalier et Marie-Laure Brunet ont pris la cinquième place d’une course remportée par l’Allemagne devant l’Ukraine et la Norvège. Une petite déception car avec trois pioches seulement, les Françaises pouvaient prétendre à un meilleur classement.

Mais, physiquement, elles sont toutes passées à côté de leur course. «On n’était pas très bien, on commence à accuser le coup de la fatigue», explique Marie-Laure Brunet. «On avait des glisses correctes, je pense qu’on paie l’accumulation de courses», estime de son côté Sophie Boilley. Ce coup de moins bien à la mi-décembre est assez courant dans le mode de préparation tricolore. Dommage que cela tombe au Grand-Bornand.

Mais les Françaises ne jouent pas battues d’avance pour le sprint et la poursuite du week-end : «On avait peut-être besoin de cette course pour retrouver des sensations», espère Anaïs Bescond. Avant cela, vendredi, place au relais masculin avec Martin Fourcade à la conclusion. Dimanche dernier, il se disait un peu moins bien sur les skis. Mais ça ne l’avait pas empêché de s’imposer à Hochfilzen...
M.V., au Grand-Bornand

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Le nom bientôt changé...

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Golf Tour Européen Poulter aime Dubuisson
Plutôt avare en compliments quand il s'agit de parler de ses concurrents, Ian Poulter a cette fois déclaré sa flamme à Victor Dubuisson...
Après une fin de saison canon, poncutée par sa victoire en Turquie et sa 3e place à la finale de la Race to Dubaï, Victor Dubuisson termine cette année 2013 au 32e rang mondial. (Reuters)









On a rencontré Ian Poulter la semaine passée en Californie, à l’occasion du World Challenge organisé par la Tiger Woods Foundation. On a commencé par évoquer les 20 putts qu’il avait pris sur les neuf derniers trous du Turkish Airlines Open, mi-novembre, alors qu’il chassait Victor Dubuisson pour la gagne. « Merci de me le rappeler », a-t-il alors lancé avec le plus noir de ses regards.
Une fausse mauvaise humeur en fait, un comportement habituel chez celui qui n’aime rien tant que jouer un rôle avec les médias. C’est donc de bonne grâce qu’il nous a ensuite livré ces quelques mots à propos de Victor Dubuisson. « Ce dimanche-là, j’ai essayé de lui mettre la pression, mais il a vraiment bien joué et surtout, il a tapé les bons coups au bon moment. J’ai vraiment été impressionné par la façon dont il a joué. Quel âge il a au fait ? Ah, 23 ans ? C’est un bébé alors… (rires) Pour le golf français, c’est idéal, parce que tout le monde chez vous le voit jouer exceptionnellement bien sous pression dans les grands tournois. Parfois, c’est difficile pour un jeune de bien jouer après une victoire, et il l’a fait à Dubai dès la semaine suivante. »

Ryder on the storm

« Si Victor nous rejoint à la Ryder Cup cette année, il sera un vrai plus » Au moment de l’interview, Poults et Dubush étaient d’ailleurs numéros 1 et 2 du classement européen de Ryder Cup (Thomas Björn est depuis passé à la deuxième place, grâce à sa victoire au Nedbank Challenge). Alors Ian, bonne recrue pour l’équipe le Dub ou bien ? « Il est deuxième sur la liste je crois, donc il a une très bonne chance, mais il doit faire attention. Car il existe un piège pour un joueur aussi jeune : c’est de parler sans arrêt de la Ryder Cup. Parce que ça va lui mettre encore plus et encore plus et encore plus de pression ! Sa qualification est acquise aux trois quarts, il est pratiquement dans l’équipe de 2014. Donc tout ce qu’il a à faire maintenant, c’est de se détendre, et de continuer à bien jouer. Parce que s’il nous rejoint, je crois bien qu’il apportera un vrai plus en tant que rookie. »
Philippe Chassepot

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Lopy reviendra en 2014...

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Foot Eco L'Europe adore les p'tits Suisses
Rivale numéro un des Bleus (sur le papier) au 1er tour du Mondial (20 juin 2014), la sélection suisse est la pointe avancée d'un football en pleine forme, grâce notamment à des efforts de formation qui font de la Confédération l'un des plus gros exportateurs de joueurs au monde...
Le Bayern a payé 12ME au FC Bâle en 2012 pour attirer Xherdan Shaqiri. (L'Equipe)









L'Europe du foot, la grande, est à leurs pieds. Un record de 41 joueurs suisses évoluent cette saison dans les cinq Championnats majeurs. Ils étaient 36 en 2012-2013, moitié moins il y a dix ans. Les trois-quarts jouent en Italie et en Allemagne, quelques-uns en Angleterre et en Espagne, trois seulement en France (1). «La Suisse s'est hissée au 5e rang des pays exportateurs de joueurs, et même à la 2e place, derrière l'Uruguay, si l'on tient compte de la taille du pays (8 millions d'habitants), relève Raffaele Poli, de l’Observatoire du football du Centre international d’Etude du Sport, à Neuchâtel (2). Non seulement les expatriés jouent dans des clubs de haut niveau (seuls les Belges gagnent sensiblement plus de points avec les leurs), mais leur temps de jeu approche celui des Brésiliens et dépasse celui des Portugais.» Drmic (Nuremberg) et Kasami (Fulham) ont gonflé l'été dernier le contingent des jeunes internationaux de l'étranger, emmené par Shaqiri (Bayern) et Xhaka (M'gladbach), tous des "segundos" (enfants d'immigrés), à l'image d'une sélection multiculturelle où se lisent en creux les soubressauts balkaniques des années 90.

«La Suisse n'a pas d'autre choix que cette forme de dépendance à la vente» Pour Simon Kuper, chroniqueur sport au Financial Times (3), «lorsqu'un club achète un joueur suisse, il sait qu'il ne sera pas forcément un dribbleur génial, mais un gars bien formé, affûté, discipliné et tactiquement dans le coup. Les Suisses s'intègrent aussi plus aisément parce qu'ils sont polyglottes». Facilité par des salaires assez faibles en Super League et indispensable à son équilibre financier (sans les transferts, la D1 suisse affiche un déficit d'exploitation de près 20%), le succès à l'exportation est le fruit d'une vigoureuse politique de formation, inspirée, au milieu des années 90, par le modèle français. Avec une part de risque, prévient Wulfran Devauchelle, expert sport chez Kurt Salmon : «Ces revenus peuvent chuter en cas de creux générationnel et le financement de la formation dépend en partie de la présence de la sélection dans les grands tournois. Mais la Suisse n'a pas d'autre choix que cette forme de dépendance à la vente : le pays a beau être riche, il est trop petit pour les gros mécènes.»

Hitzfeld sauve son salaire


Pour l'instant, tout va bien. Les jeunes flambent (champions du monde U17 2009, vice-champions d'Europe U21 2011), les A se sont qualifiés pour leur 4e Coupe du monde en 20 ans sans perdre un match, et les clubs, dans le sillage du FC Bâle, éliminé de justesse mercredi de la Ligue des champions, n'ont jamais été aussi bien classés à l'indice UEFA (13e). Grâce à une fréquentation inédite (12 000 spectateurs de moyenne l'an dernier contre 20 000 en France, huit fois plus peuplée), et un panier moyen à la hausse dans leurs stades en partie modernisés pour l'Euro 2008, les dix clubs de l'élite tirent 40% de leurs revenus des recettes "match day" (moins de 20% en France). Les droits TV sont, en revanche, sous-évalués : 24ME par an pour la D1 et la D2, une aumône comparée aux 607ME français (25 fois plus !). Bonne nouvelle ? Le foot suisse vient d'échapper au plafonnement des hautes rémunérations : l'"initiative 1-12" (pas de salaire supérieur à douze fois le salaire de branche le plus faible) a été retoquée le mois dernier par votation (référendum). Ottmar Hitzfeld peut respirer. Le sélectionneur allemand de la Nati gardera son salaire annuel d'un million d'euros, augmenté des belles primes promises pour son parcours de feu.

(1) Le défenseur François Moubandje (23 ans) à Toulouse, le gardien Jérémy Frick (20 ans) et le milieu de terrain Kevin Tsimba (19 ans) à Lyon, tous issus du Servette Genève.

(2) Coordinateur des études "Swiss Football Study" (décembre 2012) et "Challenge League Study" (sur la D2 suisse, novembre 2013)

(3) "Les attaquants les plus chers ne sont pas ceux qui marquent le plus", avec Stefan Szymanski (Ed. De Boeck, juin 2012).

Jean LE BAIL

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Hourcade confirmé jusqu'en 2015...

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Rugby Coupe d'Europe Castres ne pense qu'à ça ?
Le CO s'apprête à disputer un match capital en Coupe d'Europe face aux Ospreys, vendredi (21h) à Swansea. Est-il concentré sur son sujet, alors que quelques-uns de ses meilleurs joueurs sont annoncés ailleurs ?
Castres va tenter de défendre ses chances européennes à Swansea, vendredi soir. (L'Equipe)









Le discours officiel ne laisse pas planer l’ombre d’un doute. Pénible vainqueur des Ospreys (15-9), vendredi dernier, le club tarnais se rendra au Pays de Galles pour y chercher, face au même adversaire, cette fameuse victoire à l’extérieur sans laquelle aucun avenir européen n’est possible.

C’est fichu par la première place, promise au Leinster. En revanche, les coéquipiers de Rémi Tales savent qu’un parcours sans faute lors de la phase retour pourrait les qualifier, comme meilleur deuxième de groupe, au pire les reverser en quart de finale du Challenge Européen.

Castres va donc se dépouiller pour gagner à Swansea. Parce qu’il y a bien longtemps qu’il n’a pas entrevu l’espoir de sortir d’une poule européenne ; parce qu’il est champion de France, et qu’un tel statut, ça ne se galvaude pas ; et parce qu’il dispose aujourd’hui d’un effectif capable de jouer sur les deux tableaux.

Le précédent Travers-Labit

«Depuis la saison dernière, le groupe est blindé contre les mouvements d'effectif,» note Mathias Rolland. Mais des questions subsistent. Dans quel état d’esprit se trouve le CO ? Comment le vestiaire vit-il les rebondissements qui alimentent la rubrique transfert ? Comment perçoit-il la versatilité du demi de mêlée sud-africain Rory Kockott, qui ne sait plus s’il doit partir ou rester?? Comment les ailiers du club vivent-ils l’arrivée programmée d’un concurrent aussi talentueux que le Clermontois Sitiveni Sivivatu?? Brice Dulin et Antonie Claassen, qui joueront la saison prochaine au Racing-Métro, sont-ils aussi impliqués qu’hier ?

«Tout ça nous fait rire, assure le talonneur Brice Mach. Dans le vestiaire, on se connaît tous parfaitement. On sait très bien que tous les joueurs concernés par ces bruits de transferts resteront pros jusqu’au bout. Rory, on sait comment il fonctionne. Son avenir, c’est son jardin secret. Mais une fois sur le terrain, il est irréprochable.» Même discours du manager, Matthias Rolland : «Depuis la saison dernière, le groupe est blindé contre les mouvements d’effectif. Que je sache, le départ au Racing très tôt annoncé par les précédents entraîneurs (Laurent Travers et Laurent Labit) ne nous avait pas empêchés de soulever le bouclier de Brennus quelques mois plus tard ! »

Vrai. Même si les entraîneurs ne sont pas forcément logés à la même enseigne que les joueurs. Sivivatu se monnaye cher (45 000 € mensuels), et ça fait forcément parler dans le vestiaire. «Sivivatu ne sera pas non plus rémunéré au niveau des standards des grands joueurs internationaux, précise Mathias Rolland. On fera un effort, mais pas démesuré.» Reste évidemment à savoir où le CO place la démesure.
Laurent CAMPISTRON

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Déjà des tickets en vente au marché noir pour 1.160 euros

© photo news.
Mondial 2014 Alors que beaucoup de supporters des Diables Rouges ne disposent pas encore de ticket pour suivre leur équipe favorite lors de la prochaine Coupe du monde au Brésil, plusieurs propositions de vente de billets commencent à apparaître sur le marché noir.
© photo news. © belga. © belga.
Les matchs des Belges ne sont pas épargnés puisqu'il suffit de taper "Belgium-Russia ticket" et des dizaines d'offres illégales apparaissent, selon les journaux Het Nieuwsblad et Standaard. Ainsi pour ce match on peut trouver des tickets en vente à 1.599,99 dollars (1.160 euros) pour une place qui s'achète normalement 175 euros sur le marché officiel.

"Le marche noir existe mais il n'a son intérêt que si la demande est supérieure à l'offre", a réagi le directeur marketing de l'Union Belge de football Filip Van Doorslaer.

"Si l'on prend l'exemple du match des Diables contre la Russie au Maracana, il y aura de la place en suffisance pour les supporters belges. Acheter ses tickets au noir comporte en revanche énormément de risques: celui de ne pas être sûr de les recevoir, celui de réceptionner des faux billets, ainsi que celui d'être refusé à l'entrée du stade par le contrôle d'identité puisque le nom de l'acheteur n'est pas le même."

Outre ce circuit illégal de vente, des organismes de voyage et entreprises proposent des packages à prix 'gonflés'. La fédération internationale a prévenu les fédérations nationales que nombre de ces opérateurs ne disposent pas de la licence FIFA obligatoire. "A partir de la semaine prochaine l'Union Belge proposera via son club de supporters 1895 différentes formules de voyage", a ajouté Van Doorslaer. "Un pont aérien entre la Belgique et les villes accueillant les matchs des Belges sera aussi mis en place."

Le prix 'plancher' pour un voyage de douze jours avec séjour au camping (demi-pension) devrait coûter entre 3.000 et 4.000 euros (tickets pour les matches non compris).

*Infos: brazil.belgianreddevils.be

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Vers la fin de la triple peine pour les fautes dans la surface?

Gianni Infantino © afp.
L'UEFA s'est prononcée jeudi en faveur de l'abolition de la règle de la "triple peine" en cas de faute du dernier défenseur dans la surface de réparation (pénalty, carton rouge et suspension) et va demander que seul un carton jaune soit appliqué.
Le secrétaire général de l'Union européenne de football Gianni Infantino a précisé qu'une nouvelle requête en ce sens allait être transmise au Board (Ifab), organe garant des lois du jeu, pour qu'il se prononce lors de sa réunion annuelle qui aura lieu du 28 février au 2 mars 2014 à Zurich (Suisse).

"Le Comité exécutif demande à l'Ifab de se pencher sur ce sujet lors de sa réunion l'an prochain et de clarifier la situation pour qu'il n'y ait pas de cartons rouges dans la surface", a dit Infantino à l'issue de la réunion de l'instance dirigeante de l'UEFA à Bilbao, au Pays Basque espagnol.

"Il faut finalement résoudre cette question de la "triple peine". Tout le monde en parle et pense que c'est une injustice."

Véritable serpent de mer, la question de la triple sanction avait déjà été mise à l'ordre du jour du Board en 2012.

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David Goffin s'offre Gasquet à Caen

© http://www.open-de-caen.com.
David Goffin a remporté la finale de l'Open de Caen, un tournoi exhibition regroupant notamment quelques uns des meilleurs joueurs français, mercredi soir. Le Liégeois, retombé à la 110e place mondiale après une fracture au poignet, s'est imposé en finale face au N.1 français Richard Gasquet, 9e mondial, en deux sets: 7-6 (7/5) et 6-3.
Après ce tournoi de Caen, Goffin a confirmé qu'il disputera la phase finale du championnat de France interclubs avec le TC Lille, le week-end du 14-15 décembre, avant de rejoindre lundi un groupe de joueurs belges en stage à Ténérife.

Théoriquement, le protégé de Réginald Willems entamera sa saison au Challenger de Nouméa (75.000 dollars), à partir du 30 décembre en Nouvelle-Calédonie, avant de disputer à Melbourne les qualifications de l'Open d'Australie, du 8 au 12 janvier.

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Le 68e Tour de Romandie partira du Tessin

13.12.2013 11:36 mise à jour à 13:40
Directeur de "TdR", Richard Chassot a présenté le parcours de l'édition 2014. [Jean-Christophe Bott - Keystone]


Le Tour de Romandie 2014 prendra son envol du Tessin. Le prologue sera organisé à Ascona le mardi 29 avril. Après des passages en Valais, dans le Chablais et à Fribourg, l'épreuve World Tour se terminera à Neuchâtel au Stade de la Maladière par un contre-la-montre.
Pour la huitième année, la boucle romande sera organisée par Richard Chassot et son équipe. Le budget de la manifestation s'élève à 4,6 millions. Les charges sont largement couvertes par les recettes. L'épreuve est encore inscrite au World Tour jusqu'en 2016 ce qui lui assure la participation des meilleures équipes professionnelles. La formation suisse IAM Cycling a déjà reçu une invitation pour le printemps prochain.
Le tracé 2014 a été dévoilé lors d'une conférence de presse à Fribourg. Pour la première fois depuis l'année 2000, le Tour de Romandie fera escale au Tessin. La commune d'Ascona a été choisie comme lieu de départ avec un prologue de 5,5 km au bord du Lac Majeur. La caravane prendra ensuite le chemin du Valais avec la longue traversée des Centovalli, le franchissement du col du Simplon et la montée de Lens avant une arrivée jugée à Sion après plus de 200 km.
Etape-reine entre Le Bouveret et Aigle

Après une étape réservée aux sprinters entre Sion et Montreux via Châtel-St-Denis et Oron, l'étape-reine aura lieu le vendredi 2 mai entre Le Bouveret et Aigle. Si ces deux bourgades ne sont éloignées que d'une vingtaine de kilomètres, les coureurs passeront au sommet de quatre difficultés avant de boucler leur pensum. Le col des Planches, les montées sur les Giettes et Villars sont au programme pour une journée à plus de 3500 m de dénivelé. "Les équipes nous demandent de mettre des difficultés afin de préparer au mieux les grands tours", se réjouit Richard Chassot.
Le lendemain, la ville de Fribourg sera à l'honneur avec une étape en circuit fermé. Elle se disputera sous la forme d'une boucle de 30 km à parcourir à six reprises dans la campagne fribourgeoise avec le franchissement du nouveau Pont de la Poya.
L'épreuve se terminera lors d'un contre-la-montre exigeant avec départ et arrivée au Stade de la Maladière. Une rampe spécialement installée pour l'occasion - prix: 100'000 francs - permettra aux coureurs de pénétrer dans le stade au milieu de la pelouse où sera installée la ligne d'arrivée.
si/adav

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Le tandem Hefti/Baumann se glisse encore sur le podium

13.12.2013 17:45 mise à jour à 18:50
Beat Hefti (à droite) représente une bonne chance de médaille pour les JO de Sotchi. [Mike Groll - Keystone]


Beat Hefti et Alex Baumann ont regoûté aux joies du podium. Deuxièmes derrière l'équipage de Steven Holcomb en ouverture de la saison de Coupe du monde à Calgary le 30 novembre, le pilote appenzellois et son partenaire ont encore une fois été devancés par l'Américain à Lake Placid.
"Seulement" 5e en bob à deux le week-end dernier à Park City (USA), Beat Hefti a donc parfaitement rectifié le tir dans l'Etat de New York. Il a tout de même concédé 0''63 à un Steven Holcomb impérial: l'Américain est toujours invaincu cet hiver en cinq courses disputées!
Beat Hefti est, comme prévu, le seul Suisse en mesure de tirer son épingle du jeu cette saison. Le second équipage helvétique, Gregor Baumann/Thomas Amrhein, n'a pu faire mieux que 14e.
si/baru