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Soboleva bat le record du monde du 1.500m

La Russe Yelena Soboleva a battu dimanche le record du monde en salle du 1.500 mètres.


Photo: Keystone


C'est la deuxième fois de l'hiver que Soboleva améliore son record. Elle a couvert la distance en 3 minutes, 57.71 secondes, soit 34 centièmes de mieux que son ancien record.


Il s'agit du premier record du monde battu lors des Mondiaux de Valence.

La Russe Yulia Fomenko a été médaillée d'argent en 3:59.41 devant l'Ethiopienne Gelete Burka, qui a battu le record d'Afrique en 3:59.75.

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Le pilote Larry Cols entre la vie et la mort


Le champion de Belgique des rallyes Larry Cols a eu un grave accident de voiture lundi lors de test privés de Volkswagen à Saint-Vith. Le copilote de Cols, l'ingénieur de l'équipe Hans Goudezeune, est décédé sur place. Larry Cols, inconscient, a été transporté à l'hôpital.

La voiture de Cols a heurté un arbre après avoir quitté la piste. Hans Goudezeune est mort sur le coup. Cols effectuait des tests dans l'optique de l'East Belgian Rally, la manche d'ouverture du championnat de Belgique, qui aura lieu le week-end prochain.

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Steegmans remporte la première étape de Paris-Nice


Le Belge Gert Steegmans (Quick.Step) a remporté la première étape de Paris-Nice. La course fut considérablement raccourcie en raison des conditions climatiques défavorables. Jérôme Pineau a franchi en deuxième lieu la ligne d'arrivée à Nevers. Le Norvégien Thor Hushovd (Crédit Agricole) s'est classé troisième de l'étape, Philippe Gilbert (Française des Jeux) quatrième. Hushovd conserve le maillot de leader.

Victoire au sprint
Steegmans a devancé de 2 secondes, dans un sprint jugé en montée, un premier groupe comprenant la plupart des favoris de l'épreuve.
Le Français Jérôme Pineau a pris la deuxième place devant Hushovd et Philippe Gilbert. L'Australien Cadel Evans, deuxième du Tour de France 2007, a terminé au sein d'un autre groupe, à près de deux minutes.
La mauvaise météo, de violentes rafales de vent compromettant la sécurité des coureurs, a contraint les responsables de la course à différer le départ d'Amilly au petit village de La Chapelotte.

93 km au lieu de 184
De 184,5 kilomètres, la distance a été ramenée à 93 kilomètres. Mais ni la pluie ni le vent n'ont empêché les coureurs de se livrer au cours d'une étape animée. Trois coureurs, le Slovaque Peter Velits, champion du monde espoirs en titre, son coéquipier néerlandais Niki Terpstra et l'Autrichien Bernhard Eisel ont compté jusqu'à 4 min 10 sec d'avance avant d'être rejoints à une dizaine de kilomètres de l'arrivée.

Deuxième victoire de la saison
Sous l'effet du vent, le peloton s'est morcelé en plusieurs parties. L'Italien Davide Rebellin et l'Ecossais David Millar, un temps distancés au sein d'un petit groupe comprenant également Gilbert, ont pu reprendre place à l'avant de la course. Steegmans (27 ans) a gagné notamment l'année passée l'étape du Tour de France arrivant à Gand et cette saison il s'est imposé au Trophée Calvia.

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Nicolas Cage est un imposteur


Un événement pour le moins cocasse s'est déroulé mardi dernier lors du match de Ligue des Champions opposant le Real Madrid à l'AS Rome.

Toute la direction du mythique club espagnol du Real pensait avoir invité l'acteur Nicolas Cage dans sa tribune d'honneur. Nous disons bien "pensait"! Car en réalité, le prétendu Nicolas Cage était une star de la télévision italienne, Paolo Calabresi, sosie de l'acteur américain. L'imposteur a trompé toute la direction du Real et a été reçu comme une véritable vedette.

A l'issue de la rencontre, il est descendu dans le vestiaire des joueurs madrilènes. En guise de récompense, Calabresi a même reçu des mains du président Calderon un maillot des "Galactiques" floqué à son nom ...

Top drôle..............................

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Sports
RSS Formule 1: Bourdais dans la cour des grands

SPORT | Quatre fois titré dans la série nord-américaine de ChampCar, Sébastien Bourdais effectue enfin le grand saut en Formule 1 cette année. Le Français débutera dans le plus prestigieux des championnats automobiles sous les couleurs de Toro Rosso lors du Grand Prix d'Australie qui se déroulera ce week-end. Il sera ainsi l'unique représentant hexagonal en F1.
archives edipresse




ATS | 10 Mars 2008

Plongé dans le monde des circuits dès son plus jeune âge, Bourdais a plusieurs choix de carrière qui s'offrent alors à lui en 2003. C'est finalement la série américaine qui le convainc. Après un essai réussi sur le circuit de Sebring, il s'engage avec la prestigieuse écurie Newman/Haas, codirigée par le célèbre acteur Paul Newman. Il ne tardera pas à y laisser éclater son talent. Pour ses tous premiers tours de roues, il s'octroye la pole-position et se ainsi permet le luxe de rejoindre dans l'histoire un certain Nigel Mansell. Il bouclera l'exercice au quatrième rang du classement général, avec trois succès à son palmarès et le titre de "rookie" de l'année. La suite est limpide, en quatre ans, il rafle tous les titres avec une maîtrise qui ne laisse planer aucun suspense.
Sébastien Bourdais peut remercier son manager Nicolas Todt. Le fils de l'ex-patron de Ferrari a, en effet, pris une part prépondérante dans la chance offerte au Français de rejoindre la F1 cette saison. Toutefois, habitué à une monoplace dominatrice Outre-Atlantique, le nouveau pilote Toro Rosso devra démontrer ses aptitudes à se battre avec un bolide qui risque de se retrouver englué au milieu du peloton.

Bravo et bonne chance.............

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«Nelsinho» sur les traces de son père

A 22 ans, le fils de Nelson Piquet (triple champion du monde dans les années 1980), fera ses grands débuts en F1 ce dimanche lors du GP d’Australiede Formule 1.




Nelson Piquet Junior, ou «Nelsinho» Piquet, aura le redoutable honneur de partager le paddock de l’écurie Renault avec Fernando Alonso. L’Espagnol est en effet de retour cette saison au sein de l’écurie française. Après des débuts en karting à l’âge de 8 ans, «Nelsinho» a poursuivi sa progression en F3, en GP2-Series ainsi qu’en A1GP. Recruté en tant que pilote essayeur du Renault F1 Team pour la saison 2007, comme le Franco-Suisse Sébastien Grosjean cette année, le Brésilien est donc titularisé pour l’exercice à venir.

Ben, il y a de la relève..............

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Le miracle n'a pas eu lieu pour l'Inter

"El Nino" a fait parler toute sa vivacité et son sens du but. Torres a inscrit son 26e but de la saison, toute compétition confondue. Son 4e en Ligue des Champions.
Cruz et Zlatan ne se sont pas montrés assez concrets devant le but anglais.
Reina a sauvé les siens à plusieurs reprises. Liverpool lui doit une fière chandelle.
Benitez, contesté par la direction du club, est pourtant un maître tacticien et surtout un entraîneur qui gagne.
Un duel engagé, mais sportif

Liverpool s'est qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions aux dépens de l'Inter de Milan. Déjà vainqueurs 2-0 au match aller, les Reds l'ont emporté 0-1 au stade Giuseppe Meazza. Fernando Torres a scellé le sort de cette confrontation à l'heure de jeu d'une superbe frappe à ras de terre. Les clubs anglais réalisent un sans-faute dans cette compétition prestigieuse. Liverpool rejoint donc Chelsea, Manchester United et Arsenal en quarts de finale.

Un nouveau miracle?
Condamnés à l'exploit après leur défaite concédée dans les derniers instants à Anfield Road, les Nerazzurris rêvaient de réitérer l'exploit de 1965. Battus 3-1 au match aller, les Italiens avaient remporté le match retour 3-0. Le miracle de 1965 allait-il être répété par les hommes de Mancini?

Rideau de fer
Dès la 8e minute, Cruz fut très près d'ouvrir le score pour les Italiens. Reina se détendait magnifiquement pour détourner le ballon. On sentait la volonté de L'Inter d'emballer la rencontre d'emblée. L'Inter dominait son adversaire, mais le rideau de fer tricoté par Benitez tenait bon. Les Reds se contentaient de controler le match et procédaient par contre en misant sur la rapidité de son attaquant vedette Fernando Torres.

Ca patine
Ce dernier profita d'une énième glissade d'un joueur interriste pour s'inflitrer dans la défense italienne. Julio Cesar était à la parade. Les Nerazzurri continuaient de patiner sur la pelouse de Giuseppe Meazza. Sans doute avaient-ils enfilé les mauvais crampons. Au terme d'une première mi-temps rythmée et agréable, les deux équipes regagnèrent le vestiaire sur un score vierge.

Expulsion, encore
Cinq minutes après la reprise, intervint probablement le tournant du match. L'arbitre norvégien adresse un second carton jaune à Burdisso pour un tackle trop appuyé sur Leiva. L'Inter, décidément pas verni par l'arbitrage lors de cette double confrontation, est réduit à 10. A l'heure de jeu, "El Nino" anéantit les derniers espoirs italiens. Torres décoche un tir à ras de sol et trompe le gardien interriste (0-1). La messe est dite.

Carré d'as "British"
L'Inter a galvaudé trop d'occasions en deuxième mi-temps et aurait dû mener au score. Tantôt maladroits, tantôt trop égoistes, Zlatan et Cruz ont pêché à la finition. Livepool complète donc le carré d'as anglais en quarts de finale de cette compétition. Une première!

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2e étape pour Steegmans


Gert Steegmans (Quick Step) a remporté la deuxième étape de Paris-Nice, mardi à Belleville, devant le Norvégien Thor Hushovd (Crédit Agricole) qui a conservé le maillot jaune de leader. Steegmans, déjà vainqueur de la première étape à Nevers, a réglé au sprint ses trois compagnons, dans l'ordre Thor Hushovd, le Français Sylvain Chavanel et le Suisse Michael Albasini.

Le premier peloton, réglé par Philippe Gilbert, a franchi la ligne avec quelques mètres de retard. Le quatuor s'est dégagé à 6 kilomètres de l'arrivée après une offensive de Hushovd qui s'est isolé dans la descente du dernier col.

Le porteur du maillot jaune a fini par se relever pour attendre les premiers poursuivants dans cette étape de 201 kilomètres courue sous la pluie de bout en bout.

Le néo-pro français Thierry Hupond (23 ans), membre de l'équipe néerlandaise Skil, a mené une longue échappée solitaire à partir du 30e kilomètre. Hupond a compté jusqu'à 15 minutes d'avance (Km 105) avant d'être rejoint juste avant le sommet de la dernière difficulté, à 19,5 kilomètres de l'arrivée.

Suite à une chute massive, à une soixantaine de kilomètres de Belleville, l'un des favoris de la course, le Luxembourgeois Frank Schleck, a perdu au total près de trois minutes. Au départ de Nevers, l'Espagnol Oscar Pereiro, qui souffre d'une bronchite, a préféré renoncer.

Au classement général officieux, Hushovd précède Steegmans de 3 secondes avant la troisième étape, sur un terrain accidenté, de Fleurie à Saint-Etienne (165,5 km).

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L'état de Larry Cols stable mais préoccupant

Victime d'un grave accident lundi alors qu'il procédait à des tests en vue prochain East Belgian Rallye, le champion de Belgique Larry Cols est toujours dans un état jugé "préoccupant" par les médecins du CHU de Liège qui précisent que la situation médicale du pilote est "stabilisée".

Larry Cols souffre de plusieurs fractures (bassin, vertèbre cervicale et coude), d'un oedème à un poumon et d'un oedème au cerveau, ce qui a incité le corps médical à le plonger dans un coma artificiel.

Au volant de la VW Polo Super 2000 dont il voulait peaufiner les réglages de différentiel, Cols a été victime d'une violente sortie de route qui s'est terminée contre un arbre, lundi dans la région de Saint-Vith. Hans Goudezeune, l'ingénieur de l'équipe de René Georges qui avait pris place dans le baquet de droite de la voiture, a été tué sur le coup.

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Federer se fait plaisir contre Sampras


Le Suisse Roger Federer qui reste sur deux défaites consécutives sur le circuit ATP et s'apprête à disputer le premier Masters Series de l'année à Indian Wells (Californie), a fait une pause festive en battant l'Américain Pete Sampras 6-3, 6-7 (4/7), 7-6 (8/6) lors d'un match exhibition lundi à New York.

Le N.1 mondial qui n'a pas eu trop le loisir de sourire ces derniers temps, a apprécié sa soirée au madison Square Garden. "C'est comme réaliser un rêve. Jouer contre LE joueur de mon adolescence au Madison c'est génial. Je me suis vraiment amusé", a souligné Federer, 26 ans, à l'issue de cette difficile victoire contre son aîné de dix ans.

Services sourire aux lèvres, fair-play absolu sur chaque décision litigieuse, offrande de balles aux jeunes spectateurs entre les points et multitude de coups d'éclat, cette exhibition a ravi les 19.000 spectateurs et le Suisse, qui a oublié l'espace de 2h20 ses deux défaites consécutives, en janvier à l'Open d'Australie et la semaine dernière à Dubaï.

Oublié aussi tout le "foin", selon ses propres termes, fait autour de l'annonce de la mononucléose qui lui aurait coûté beaucoup de force en janvier. L'esprit était indéniablement décontracté pour cette quatrième rencontre amicale entre les deux hommes, qui ont joué trois matches en novembre en Asie et qui se seraient partagés 1 million de dollars pour ce match.

Pourtant, Federer et Sampras, considérés comme deux des meilleurs joueurs de l'histoire de ce sport, se sont progressivement pris au jeu sous les yeux du golfeur Tiger Woods, ami de Federer. Et le Suisse n'en menait pas large, lorsqu'il s'est retrouvé mené 5 jeux à 2 dans l'ultime manche. "Je savais que ce match allait être compliqué. Nous avions quand même beaucoup de pression", a reconnu après coup Federer, qui a claqué 19 aces, contre 13 à son adversaire, encore vaillant à 36 ans.

Et Sampras, qui pourrait bientôt être rejoint par Federer comme détenteur du record de victoires en Grand Chelems (14), a aussi partagé le plaisir. "J'aimerais vraiment que nous rejouions. Mais je suis retraité et lui joue encore. C'est donc à Roger de décider s'il veut", a glissé Sampras, qui a quand même évoqué un cinquième match à Londres, la ville de leur seul affrontement sur le circuit ATP, avec une victoire du Suisse en 2001 à Wimbledon.

En attendant de penser à une autre exhibition, le Suisse doit maintenant filer à Indian Wells, dans le désert californien, où l'attend le premier Masters Series de l'année qui débute jeudi pour les messieurs. Et là ce n'est pas pour rire.