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08/06/2008, 07h05
Hamilton en pole position au GP du Canada
Le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) occupera dimanche la pole position du Grand Prix du Canada de Formule 1, à l'issue des qualifications courues samedi à Montréal.
Grille de départ
1re ligne:
1. Lewis Hamilton (G-B/McLaren-Mercedes)
2. Robert Kubica (Pol/BMW-Sauber)
2e ligne:
3. Kimi Räikkönen (Fin/Ferrari)
4. Fernando Alonso (Esp/Renault)
3e ligne:
5. Nico Rosberg (All/Williams-Toyota)
6. Felipe Massa (Bré/Ferrari)
4e ligne:
7. Heikki Kovalainen (Fin/McLaren-Mercedes)
8. Nick Heidfeld (All/BMW-Sauber)
5e ligne:
9. Rubens Barrichello (Bré/Honda)
10. Mark Webber (Aus/Red Bull-Renault)
6e ligne:
11. Timo Glock (All/Toyota)
12. Kazuki Nakajima (Jap/Williams-Toyota)
7e ligne:
13. David Coulthard (G-B/Red Bull-Renault)
14. Jarno Trulli (Ita/Toyota)
8e ligne:
15. Nelson Piquet Jr (Bré/Renault)
16. Sébastien Bourdais (Fra/Toro Rosso-Ferrari)
9e ligne:
17. Adrian Sutil (All/Force India-Ferrari)
18. Giancarlo Fisichella (Ita/Force India-Ferrari)
10e ligne:
19. Jenson Button (G-B/Honda)
20. Sebastian Vettel (All/Toro Rosso-Ferrari).
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09/06/2008, 07h27
L'Allemagne remporte son premier match à l'Euro depuis 1996
Lukas Podolski est allé saluer les supporters polonais après le match et signer des autographes. Lukas Podolski est né polonais.
La Pologne n'a pas été ridicule et aurait même mérité au moins un but.
Joachim Löw et Leo Beenhakker.
Smolarek aurait dû voir son but validé.
L'Allemagne a remporté sa première victoire à un Euro depuis 1996 en s'imposant deux buts à zéro (mi-temps 1-0) contre la Pologne, grâce à un doublé de Lukas Podolski. Sans trop forcer leur talent, les Allemands s'imposent face à des Polonais courageux.
Dès le début de la partie, les Allemands portent le danger devant les filets de Boruc. Après quatre minutes de jeu, Klose évite le piège du hors jeu et part vers le but, effaçant le gardien en glissant le ballon à Gomez, seul devant le but, mais un peu trop court, il manque le cadre de quelques centimètres.
Podolski, acte un: hors-jeu non-sifflé
Jusqu'au quart d'heure, l'Allemagne domine la partie mais les Polonais se signalent à la quinzième minute lorsque Zurawski s'échappe vers le but, mais Lehmann se met en confiance en effectuant une bonne sortie pour sa première intervention. Les hommes de Joachim Löw insistent et à la vingième minute, Klose, hors-jeu d'une cheville, part vers le but de Boruc et glisse le ballon à Podolski qui ouvre le score. Le juge de touche ne bronche pas.
Les hommes de Beenhakker se réveillent alors et tentent de revenir au score. Lobodzinski place une frappe à ras du sol mais son tir n'est ni assez puissant ni assez bien placé pour tromper la vigilance de Lehmann (27'). Dix minutes plus tard, c'est Zurawski qui tente sa chance sur une superbe passe en retrait, mais son envoi ne trouve pas le cadre. Les 22 acteurs retournent au vestiaire sur le score de un but à zéro en faveur de l'Allemagne.
Beenhakker mise sur Guerreiro
Les Polonais remontent sur le terrain bien décidés à ratrapper leur retard. Zurawski a cédé sa place à Guerreiro, un Brésilien nationalisé polonais peu avant l'Euro. Et dès la 48', celui-ci se met en évidence lorsque son centre tir passe dangereusement devant le but de Lehmann, sans toutefois trouver un partenaire ou le chemin des filets. La Pologne insiste mais les Allemands sont bien organisés en défense, à l'instar de Frings qui "tient la boutique", discrètement mais efficacement.
Le tournant du match survient à la 62e minute, lorsque Smolarek, à la limite du hors-jeu, s'échappe vers Lehmann, qu'il trompe en deux temps, son premier envoi lui étant renvoyé par le montant. Lehmann
est battu et Smolarek pousse le ballon au fonds du but mais le juge de ligne avait signalé une position de hors-jeu discutable qui prive la Pologne de l'égalisation.
Podolski, acte deux: le coup de grâce
Ce fait de match réveille les Allemands, qui font tout pour se mettre à l'abri. Schweinsteiger, monté au jeu après dix minutes en seconde période, tente sa chance de loin sans vraiment inquiéter Boruc. Quelques minutes plus tard, Ballack reprend en pleine course un centre en retrait et allume le portier polonais (70'). Mais celui-ci sort un arrêt de grande classe et dévie le ballon en croner du bout des doigts.
Mais Boruc ne fait que repousser l'échéance, puisque deux minutes plus tard, profitant d'un cafouillage de la défense polonaise et d'un assist involontaire de Klose, Podolski propulse le ballon au fonds des filets de Boruc d'une frappe qui ne laisse aucune chance au portier slave. Un peu assomés par ce but, la Pologne jouera malgré tout le coup jusqu'au bout.
À la 84e minute, Guerreiro adresse un centre superbe à Saganowski,
dont le coup de tête n'est repoussé que grâce à un arrêt-réflexe de Lehmann, impérial. Le match finit sur le score de deux buts à zéro, mais les Polonais étaient loin d'être ridicules, et auraient même pu prétendre arracher un nul (voire plus?) à la Mannschaft sans ces hors-jeu, plus rarement sifflés contre les "grandes" nations que contre leurs adversaires, convenons-en (il en va de même pour les fautes dans le rectangle etc.).
L'Allemagne prend la tête de son groupe devant la Croatie (3 points), l'Autriche et la Pologne (0 points).
Thomas Halter
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09/06/2008, 07h30
Nadal impitoyable remporte son 4e Roland Garros d'affilée
Rafael Nadal a remporté son quatrième Roland Garros d'affilée en infligeant à Roger Federer la pire défaite de sa carrière en trois sets 6-1, 6-3, 6-0 dimanche en finale. Le match n'a duré que 1h 48 min et il s'en est fallu d'un seul jeu pour que ne soit égalé le record de la finale la plus expéditive de l'histoire, oeuvre de Guillermo Vilas en 1977 (trois jeux perdus).
Borg, qui a remis la Coupe des Mousquetaires à Nadal, reste le détenteur du record de titres à Paris avec six victoires, mais vu la démonstration de puissance réussie dimanche par son héritier, ce n'est qu'une question de temps. En réussissant les quatre à la suite, l'Espagnol, âgé de 22 ans, a bel et bien rejoint dans la légende du tennis le Suédois, le seul à l'avoir fait jusqu'à présent (1978-1981).
"Gagner quatre fois ici, c'est quelque chose d'impensable. J'ai joué un match presque parfait", a dit Nadal. En gagnant le tournoi sans céder un seul set, l'Espagnol a réussi une performance dont Bjorn Borg était également le dernier auteur en 1980.
Infaillible
Les premiers mots de l'Espagnol avaient été pour son adversaire, surclassé comme jamais il ne l'avait été sur un court de tennis. "Je regrette pour Roger, il a un comportement exemplaire. Je le félicite pour son attitude dans la défaite, comme dans la victoire et pour le bien qu'il fait au tennis. Tous les joueurs doivent lui être reconnaissants."
Avec ses grands lifts de coup droit, mais aussi de plus en plus souvent de revers, l'Espagnol, presque infaillible (7 erreurs seulement dans tout le match), a dressé un mur sur lequel le Suisse s'est fracassé dès le début de la rencontre. On n'avait même jamais vu un joueur dominer aussi outrageusement l'homme aux douze titres du Grand Chelem. Paraissant perdu sur le court, Federer a commis un nombre colossal de fautes (35). A part pendant quelques jeux au milieu de la deuxième manche, le N.1 mondial a donné une impression de totale impuissance.
Même si la rapidité avec laquelle il a laminé Federer est forcément surprenante, on l'avait vu venir tant la domination de Nadal avait été éclatante depuis le début du tournoi, et même de la saison sur terre battue. En demi-finale, il avait administré une correction à peine moins sévère au N.3 mondial, le Serbe Novak Djokovic, en trois sets, et au tour précédent, il avait gagné le quart de finale le plus expéditif de l'histoire en ne cédant que trois jeux à Nicolas Almagro.
Roger si loin
Le Majorquin termine la saison sur terre avec une seule défaite, à Rome, due avant tout à des ampoules. Il a gagné 115 de ses 117 matches sur l'ocre et en est à 9 victoires à 1 sur cette surface contre Federer. C'est la troisième fois consécutivement que Federer perd en finale de Roland Garros, record égalé. Mais il n'a jamais paru plus loin de réaliser son rêve: remporter enfin le dernier tournoi du Grand Chelem qui manque à son palmarès.
Il semble même que tant que Nadal se dressera sur sa route, ce projet restera une utopie. "J'espérais faire un peu mieux que quatre jeux mais Rafa est très fort, il a dominé ce tournoi comme presque jamais personne ne l'avait fait avant, peut-être comme Bjorn. Perdre en finale ce n'est jamais trop drôle, mais je vais réessayer l'année prochaine", a-t-il dit.
Trop fort................. Bravo Nadal..............
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09/06/2008, 07h32
Premier succès de Robert Kubica au GP du Canada
Le Polonais Robert Kubica (BMW Sauber) a remporté sa première victoire en Formule 1 au Grand Prix du Canada, septième des 18 épreuves du Championnat du monde 2008, dimanche sur le circuit Gilles-Villeneuve à Montréal.
Kubica, qui s'empare de la tête du Championnat du monde des pilotes, a devancé son coéquipier allemand Nick Heidfeld pour un fantastique doublé BMW Sauber, la aussi une première. Heidfeld avait déjà pris la deuxième place au Québec l'an dernier. Le revenant David Coulthard a placé sa Red Bull-Renault sur la troisième marche du podium. Ce sont ses premiers points cette saison.
La course s'est disputée sous un beau soleil et la piste, même en mauvais état, a tenu jusqu'au terme de l'épreuve. Celle-ci a été animée, comme souvent au Canada, et les favoris se sont auto-éliminés dans un accrochage étonnant à la sortie des stands où le poleman Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) a tamponné Kimi Raikkonen (Ferrari).
Timo Glock (Toyota) a terminé quatrième, inscrivant lui aussi ses premiers points de la saison. Felipe Massa, perturbé par un problème à son premier ravitaillement, a sauvé l'honneur pour Ferrari avec la cinquième place devant Jarno Trulli (Toyota), Rubens Barrichello (Honda) et Sebastian Vettel (Toro Rosso).
Feu rouge
Ces deux derniers accèdent aux points pour la deuxième fois consécutive tandis que McLaren-Mercedes a fait chou blanc.
Il s'agit d'une magnifique revanche pour le très populaire Robert Kubica, qui avait terminé à l'hôpital le Grand Prix du Canada 2007 après un terrible accident.
Pour une fois le premier tour était vierge de tout incident. Les trois premiers conservaient leurs places mais Alonso se faisait dépasser par Rosberg pour la quatrième position. Hamilton prenait ensuite rapidement le large et le "petit train" s'étirait peu à peu jusqu'au 14e tour, quand Adrian Sutil rangeait sa Force India en bord de piste en raison d'un souci mécanique.
Sa monoplace était très mal placée mais il fallait deux tours pour que la voiture de sécurité entre en piste. Dès que la voie des stands était ouverte tout le monde s'y précipitait pour ravitailler durant la neutralisation et perdre le moins de temps possible. Les sept premiers s'arrêtaient simultanément et là intervenait le tournant de ce Grand Prix: Kubica et Raikkonen repartaient les premiers mais ils s'arrêtaient à la sortie de la voie des stands où un feu rouge clignotait.
Tête à queue d'Alonso
Derrière, Hamilton et Rosberg se précipitaient pour repartir mais ne pouvaient freiner à temps pour éviter l'obstacle formé devant eux par la Ferrari et la BMW Sauber immobilisées. Hamilton tamponnait Raikkonen et les deux hommes abandonnaient. Rosberg touchait aussi, mais Kubica repartait indemne dans la seconde suivante lorsque le feu passait enfin au vert.
Après cet épisode inédit de carambolage dans les stands sous régime de voiture de sécurité, Heidfeld occupait la tête au 'restart' devant Rubens Barrichello (Honda) et Kazuki Nakajima (Williams-Toyota), qui eux n'avaient pas ravitaillé. Massa s'arrêtait quant à lui deux fois en deux tours, probablement en raison d'un problème avec la machine à ravitailler. Il repartait dernier.
A l'issue de la première salve de ravitaillements, les deux BMW Sauber de Kubica et Heidfeld étaient en tête devant Fernando Alonso (Renault), Coulthard et Barrichello. Malheureusement, Alonso, qui piaffait derrière Heidfeld depuis plusieurs tours, abandonnait au 44e tour après un tête à queue et un contact avec le mur.
Son coéquipier Nelsinho Piquet s'était déjà arrêté un peu plus tôt en raison d'un problème mécanique. Nakajima cassait ensuite son aileron avant et tapait un mur en voulant rejoindre son stand. Puis Giancarlo Fisichella (Force India) partait en tête à queue et abandonnait à son tour.
Kubica quant à lui se dirigeait tranquillement vers son premier succès qui lui permet avec 42 points de devancer désormais Hamilton et Massa, 38 points, au championnat du monde.
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09/06/2008, 07h35
GROUPE B - AUTRICHE - CROATIE 0-1
Un penalty pour la Croatie, rien d'autre!
Image © Keystone
Sur penalty, Modric ne rate pas l'occasion de marquer le seul but du match. A la fin, tandis que le buteur semble remercier le ciel, les Autrichiens sont profondément déçus La Croatie peine contre l'Autriche mais s'en tire finalement à bon compte. Alors que la troupe de Slaven Bilic partait largement favorite, elle a souffert. «Nous avons été mis sous pression», reconnaît Mladen Petric
Thomas Dayer - le 08 juin 2008, 22h50
Le Matin
«Dans les tournois majeurs, tous les premiers matches sont difficiles parce qu'ils sont marqués par la nervosité. Celui-là l'était, c'est évident.» Le double national Croate et Suisse Mladen Petric l'avoue sans se cacher: hier, les siens ont été curieusement gênés par l'Autriche. Une Autriche qui présente un football souvent approximatif, parfois vraiment téléphoné. Un football qui se développe sans génie, ni talent. L'équipe de Josef Hickersberger - elle le sait - entre sur un terrain avec de maigres qualités à faire valoir. N'empêche: à la 93e minute hier, elle aurait bien pu s'offrir une petite surprise en arrachant un point. Et si la tête de Kienast avait fait mouche, le dénouement n'aurait pas fait tache dans le scénario. Plus tôt, un tir de Harnik, une tête de Vastic et une frappe de mule de Korkmaz - obligeant Pletikosa à une parade spectaculaire - avaient déjà fait trembler les Croates. «Nous avons trop reculé, je ne sais pas pour quelle raison, reconnaît Dario Simic (AC Milan). Et finalement, oui, nous avons vécu un match difficile.»
Pourtant, la troupe de Slaven Bilic avait tout, tout pour bien faire. Et avec facilité. Favorite avant même de pénétrer sur le gazon, elle semblait avoir d'entrée donné le ton. C'était certain, elle allait assurer. Le penalty justifiable transformé par Modric après moins de cinq minutes de jeu le prouvait. Il resterait pourtant... le seul tir cadré croate! L'autre ex-Bâlois Ivan Rakitic condamné au banc, Mladen Petric tentait bien de tirer les siens hors du pétrin. Mais à deux reprises, ses essais ne troubleraient pas la tranquillité de Jürgen Macho. Et puis l'Autriche, ainsi, s'est pris à y croire. «Ils nous ont mis sous pression», reconnaît l'attaquant qui ne contredit cependant pas son entraîneur Slaven Bilic lorsqu'il prétend que la Croatie peut remporter le tournoi: «Le potentiel, nous l'avons! Et comme je le disais, ce n'était que le premier match.» Au moins, elle a mieux entamé sa compétition que la Suisse: «Je n'ai pu regarder le match que vingt minutes samedi parce que nous nous entraînions. Mais je suis déçu, ce résultat est vraiment dommage!» Les trois points engrangés hier l'auront consolé.
AUTRICHE - CROATIE 0-1 (0-1)
Stade Ernst Happel. 51 428 spectateurs. Arbitre: M. Vink (Hol).
But: 4e Modric (penalty) 0-1.
Autriche: Macho; Prödl, Stranzl, Pogatetz; Standfest, Aufhauser, Säumel (61e Vastic), Gercaliu (68e Korkmaz); Ivanschitz; Harnik, Linz (73e Kienast). Entraîneur: Hickersberger.
Croatie: Pletikosa; Coriuka, R. Kovac, Simunic, Pranjic; Srna, N. Kovac, Modric, Kranjcar (61e Knezevic); Olic (82e Vukojevic), Petric (72e Budan). Entraîneur: Bilic.
Note: Les deux équipes au complet.
Avertissements: 3e Pogatetz (réclamations), 21e Säumel (faute sur N. Kovac), 51e R. Kovac (faute sur Linz), 68e Prödl (faute sur Olic).
Coups de coin: 4-7 (2-3)
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10/06/2008, 06h45
La France déçoit face à la Roumanie
Tamas a livré une grosse prestation dans l'axe de la défense roumaine (ici en duel avec Malouda).
Avec les Pays-Bas et l'Italie, un menu copieux attend la France.
Très accrocheur, Makelele n'a offert aucun cadeau aux Roumains et en particulier à D.Niculae.
7S7 mise à jour En panne d'inspiration, la France n'est jamais parvenue à trouver la faille dans la défense roumaine. C'est la première vraie surprise de cet Euro. La tâche se complique pour les Bleus car le menu est copieux avec les Pays-Bas et l'Italie au programme. Pour les Roumains, il s'agit quasiment d'une victoire et ils viennent de prouver que le groupe C est bel et bien celui de la "mort".
Sans Vieira et Henry
Comme prévu, la France s'aligna sans Patrick Vieira (touché à la cuisse) et Thierry Henry (pas à 100%). Pour pallier à leurs absences, Raymond Domenech opta pour Toulalan dans le milieu et Anelka pour accompagner Benzema en attaque. Du côté roumain, c'est l'équipe annoncée depuis quelques jours qui débuta la rencontre.
45 minutes prudentes
Sans se procurer de véritables occasions dignes de ce nom, la France prit le commandement des opérations. Le seul tir cadré de cette première période fut signé par Benzema dont l'essai ne trompa pas la vigilance de Lobont (42e). Juste avant, une tête et un centre-tir d'Anelka et ne furent meme pas cadrés. (32e et 36e). La Roumanie, pour sa part, se contenta de bien defendre et d'essayer de surprendre les Français sur l'un ou l'autre contre. Cette rencontre, fermée et tactique, se termina sur un nul vierge à la pause.
En panne d'inspiration
Si Malouda donna la première alerte dans cette deuxième mi-temps, les Français ne trouvèrent pas la faille dans la défense roumaine. Quelques signes de tension furent même remarqués chez les vice-champions du monde (jaune pour Sagnol, mésentente entre Abidal et Makelele). Maître dans la possession de balle (58% à l'heure de jeu), la France pêcha cependant dans le dernier geste.
Une fin de partie décevante
Dans les trente dernières minutes, la France pataugea son football et ne parvint même plus à porter le danger devant le but défendu par Lobont. Plus le temps passa, plus la Roumanie gagna en confiance. Même si les hommes de Piturca n'auront rien fait pour remporter les trios points, ce partage reste un excellent résultat et leur permet de rester dans la course pour une qualification vers le second tour.
Pour les Bleus, l'équation est simple : pour accéder aux quarts de finale, il faudra battre les Pays-Bas et ensuite l'Italie. C'est plus facile à dire qu' à faire !
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10/06/2008, 06h48
L'Italie en berne
Sneijder s'est faufilé avec aisance dans la défense italienne.
Le but de Ruud Van Nistelrooy fera couler beaucoup d'encre.
Stefan Wittberg, l'assistant arbitre, a décidé de ne pas signaler Van Nistelrooy hors-jeu. Etrange.
Wesley Sneijder et Dirk Kuyt célèbrent le deuxième but des Bataves.
Edwin van ders Sar était dans un état de grâce ce lundi soir.
Alessandro Del Piero se prend la tête. Le buteur transalpin, à l'instar de ses équipiers, s'est heurté à un super van der Sar.
Dirk Kuyt a abattu un boulot dantesque sur son aile.
Giovanni Van Bronckhorst exulte. Le discret défenseur vient d'inscrire le troisième but des siens.
Les Pays-Bas sont sortis vainqueurs du premier choc de cet Euro 2008 en infligeant une sévère défaite (3-0) à l'Italie, championne du monde en titre. Les hommes de Van Basten ont impressionné en évoluant à un niveau extraordinaire, à l'image de van der Sar, qui a sans cesse repoussé les essais transalpins. Les attaquants bataves eurent plus de réussite que leur adversaire. D'abord sur un premier but de Van Nistelrooy, pourtant en position de hors-jeu, et ensuite sur deux contre-attaques rapidement menées. Les Pays-Bas prennent la tête du groupe C et affronteront la France, auteur d'un piètre nul (0-0) face à la Roumanie, vendredi soir. L'Italie, dernière du groupe, devra se relever face aux hommes de Piturca.
Il y a trente ans
L'Italie a subi une véritable dégelée ce soir au stade de Suisse de Berne, où elle s'est heurtée au réalisme batave et aux gants d'Edwin van der Sar, le vétéran alerte de l'arrière-garde Oranje. Après une rencontre haletante, les Pays-Bas ont effacé trente ans de disette en compétition officielle, où leur dernière victoire face à la Squadra Azzura remontait au 21 juin 1978 lors de la Coupe du monde en Argentine. On ne sait encore à l'heure actuelle si l'équipe de Van Basten imitera ses illustres prédécesseurs et atteindra la finale de la compétition, mais à voir le jeu chatoyant développé nonante minutes durant, peu parviendront à stopper la fougue de cette équipe talentueuse.
Coup de pouce
Avec Van der Vaart et Sneijder à la baguette, Kuyt au four et au moulin sur l'aile droite, les Pays-Bas ont dominé la partie, en bénéficiant d'un petit coup de pouce de l'arbitre Peter Fröjdfeldt
à l'heure de prendre l'avance lorsque, en renard des surfaces, Van Nistelrooy -pourtant hors jeu- trainait au petit rectangle pour reprendre une frappe de Sneijder (25e). Avant cela, le buteur hollandais, revenu en grâce aux yeux du sélectionneur, avait manqué son face à face avec Buffon. Le gardien transalpin sortira encore vainqueur de leur duel en fin de mi-temps. Entre-temps, Sneijder avait doublé la marque suite à une contre-attaque imprimée par Van Bronckhorst, qui venait de sauver sur la ligne un corner de Pirlo. (31e)
Noeud du problème
Cette phase résumait parfaitement le noeud du problème italien : un manque de réalisme (ou de réussite) à l'attaque, et un certain laxisme en défense (Materazzi eut du mal à masquer son manque de rythme face à Kuyt), orpheline de Cannavaro, forfait pour toute la durée du tournoi. Les changements imprimés par Donadoni (en plaçant Zambrotta à droite, Panucci dans l'axe et Grosso à la place de Materazzi) permettaient néanmoins aux Transalpins de presser un peu plus. Sans un super van der Sar, notamment sur les essais de Del Piero -dangereux dès sa montée au jeu à la place de Di Natale- et Grosso, les Azzuri auraient réduit le score.
C'est d'ailleurs sur une nouvelle parade du portier de Manchester United, déjà héros de la finale de la Ligue des Champions, que les Pays-Bas enfonçaient définitivement le clou, au prix d'un contre de l'inusable Van Bronckhrost, buteur sur service de Kuyt.
Au pied du mur
Jamais l'Italie n'avait subi défaite aussi lourde. Elle devra relever la tête vendredi (18h) face à la Roumanie si elle veut éviter une nouvelle désillusion dans une compétition qu'elle n'a remportée qu'à une seule reprise (en 1964) et qu'elle a souvent quittée la tête basse, hormis la finale homérique perdue en 2000 face à la France. Des Tricolores qui seront les prochains adversaires des Pays-Bas et qui, au vu de ce qu'ils ont démontré en début de soirée face à la Roumanie, devront déployer le grand jeu pour venir à bout de l'épouvantail orange.
Loïc Struys
L'homme du match:
37% d'entre vous ont décidé de sacrer Wesley Sneijder "L'Homme du match". Le numéro dix de la sélection a dynamisé le jeu de son équipe et a sublimé sa prestation par une passe décisive et un but. Et ce, le jour de ses 24 ans. Bon anniversaire !
La rédaction a longtemps hésité et a finalement décidé d'élire Giovanni Van Bronckhorst "L'Homme du match". Le défenseur de 33 ans, longtemps joueur de Barcelone et aujourd'hui à Feyenoord Rotterdam, a contribué pleinement à la victoire de son équipe en amenant, avec énergie et précision, le deuxième but après avoir sauvé sur la ligne un corner de Pirlo. Son but en fin de partie a couronné une prestation cinq étoiles.
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
10/06/2008, 19h25
Si la Hollande a gagné c'est parce qu'elle s'entraîne au stade olympique de la pontaise à Lausanne, à 5min de chez moi Et dire que les autorités veulent détruire ce stade En tout cas vivement demain pour le match Suisse-Turquie
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
11/06/2008, 06h54
Citation:
Envoyé par Naàlya
Si la Hollande a gagné c'est parce qu'elle s'entraîne au stade olympique de la pontaise à Lausanne, à 5min de chez moi Et dire que les autorités veulent détruire ce stade En tout cas vivement demain pour le match Suisse-Turquie
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J'ai signé une pétition pour que l'on ne change pas le stade
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Re : Toutes New sportives autres que la moto -
11/06/2008, 06h54
L'Espagne gagne sans forcer
Casillas n'a pas eu grand chose à faire et n'a pas grand chose à se reprocher sur le but de Zyryanov.
Fernando Torres et David Villa se sont promenés pendant tout le match.
Aragones réussit une belle entrée en matière.
Guus Hiddink a quant à lui du souci à se faire.
L'Espagne s'est imposée sans forcer ce soir sur le score fleuve de quatre buts à un (mi-temps 2-0) face à des Russes bien peu inspirés. David Villa a inscrit trois buts (1-0, 2-0 et 3-0), Fabregas (4-1) et Zyryanov (3-1) s'étant chargés des deux autres. Bien qu'ayant vu cinq buts, les spectateurs neutres n'auront pas vu un très beau match de football.
Les deux équipes commencent le match sur un mode mineur. L'Espagne se crée les occasions les plus dangereuses via Villa et Torres. Le premier avertissement pour Akinfeev survient à la quinzième minute sur un tir lointain de Villa, mais sa frappe ne surprend pas le portier russe. La Russie presse dans sa moitié de terrain et procède par contre.
À la 17e minute, la première action véritablement construite par les Russes arrive dans le rectangle, mais Semshov ne parvient pas à cadrer son envoi. L'Espagne est avertie, les Russes vendront chèrement leur peau, ou du moins c'est ce que laisse paraître le début du match.
Villa et Torres pour faire la différence
Les Espagnols restent calme et continuent de construire, ce qui leur réussit à la 20e minute lorsque Torres parvient dans le rectangle et efface Akinfeev sorti sur lui, en glissant la balle à Villa qui pousse celle-ci au fonds des filets. Les Russes tentent de se reprendre et trois minutes plus tard, Zyryanov hérite d'un centre en retrait dans le rectangle mais son envoi trouve le poteau. Sur la contre-attaque, Torres manque d'alourdir le score mais ne trouve pas le cadre.
Les hommes d'Aragones ne doivent pas s'endormir s'ils ne veulent pas se faire remonter. Torres et Villa vont donc continuer à tenter leur chance de loin, sans inquiéter vraiment Akinfeev. L'équipe espagnole gère tranquillement son avance et les Russes ne montrent pas grand-chose, peu inspirés et probablement coincés dans un dispositif tactique très défensif.
Sans forcer
Torres et Villa se font de plus en plus pressants, jusqu'à la 45e, lorsque Iniesta lance Villa, qui, parti à la limite du hors-jeu remporte son duel avec le gardien russe en plaçant le ballon entre ses jambes, assommant la Russie juste avant la pause. L'Espagne n'a pas eu à forcer son talent pour mener à la mi-temps.
Le match reprend sans changement tactique important. Bystrov a remplacé Sychev et l'Espagne aligne la même équipe qu'en première période. La Russie tente de revenir dans le match, à l'instar de Bystrov, qui reprend un centre de la tête que Casillas capte sans difficultés. D'autres timides tentatives russes suivront, essentiellement des tirs à distance.
Des Russes trop timides
À l'heure de jeu, l'envoi de Bilyaletdinov passe tout près du montant de Casillas. Mais dès que l'Espagne accélère, elle crée le danger, et sans les interventions idoines de Zhirkov et de son gardien Akinfeev, le score serait déjà plus lourd à vingt minutes du terme. Un quart d'heure avant la fin du temps réglementaire, Villa inscrit son troisième but de la soirée, mettant les défenseurs russes dans sa poche avant de tromper Akinfeev, impuissant.
Les Russes semblent alors résignés et continuent de tenter leur chance de loin, sans succès. À quelques minutes du terme, Zyryanov réduit l'écart de la tête sur corner, dans l'indifférence quasi générale. On pense alors que le match se finira ainsi, mais c'est sans compter sur Fabregas qui profite d'une énorme bourde dans la défense russe pour mettre un but à son tour, donnant au marquoir son score définitif, quatre buts à un.
Sans forcer, l'Espagne a gagné son premier match et prend provisoirement la tête de son groupe au terme d'une rencontre qui, malgré un nombre élevé de buts, était loin d'être passionante, tant elle manquait d'engagement, de rythme et de compétition. Les hommes de Guus Hiddink ne se remettront pas facilement de cette claque reçue d'entrée de jeu, et l'Espagne doit quant à elle éviter de se reposer sur ses lauriers sans réaliser que la suite sera en principe bien plus difficile.
Thomas Halter
L'homme du match
Sans surprises, le choix de la rédaction et des lecteurs de 7sur7 est le même et se porte sur le leader du classement des buteurs, David Villa, auteur d'un triplé aujourd'hui.
mange un castor tu sauves un arbre
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