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JO: finale de rêve entre Espagnols et Américains en basket
ven. août 22, 2008 5:40 CEST






PEKIN (Reuters) - Les Etats-Unis ont rejoint l'Espagne en finale du tournoi masculin de basket-ball aux Jeux olympiques de Pékin en battant l'Argentine, tenante du titre, 101-81.
Les Américains n'ont laissé aucun espoir aux Argentins, diminués par la blessure de Manu Ginobili, en prenant un départ tonitruant.
Ils menaient déjà 30-11 à l'issue du premier quart temps et, malgré un retour à huit points des champions olympiques avant la pause, ils ont parfaitement géré la fin de la rencontre.
Le meilleur marqueur du match côté américain a été Carmelo Anthony, auteur de 21 points.
Sept joueurs ont fini à dix points ou plus, preuve de l'état d'esprit collectif de cette équipe, qui n'a plus rien à voir avec les sélections américaines arrogantes des précédents Jeux.
En finale, le dernier obstacle des Américains sur la voie d'un titre qui leur semble promis sera l'Espagne.
Les champions du monde en titre ont battu la Lituanie 91-86, vendredi.
Longtemps dominés au score, les Espagnols ont fait la différence dans le dernier quart-temps. Le pivot Pau Gasol a une nouvelle fois joué un rôle prépondérant en inscrivant 19 points.
Américains et Espagnols se sont déjà rencontrés en poule lors du tournoi olympique.
Les Etats-Unis s'étaient imposés 119-82 au terme d'une rencontre qui n'aura plus grande signification à l'heure de la finale.
Le match est programmé dimanche à 14h30 heure locale (08h30 heure de Paris), juste après le match pour la médaille de bronze entre Argentins et Lituaniens.

SUPERBE.......................

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Felipe Massa en pole position du GP d'Europe



Le Brésilien Felipe Massa (Ferrari) occupera dimanche la pole position du Grand Prix d'Europe de Formule 1, douzième épreuve de la saison, après avoir réussi le meilleur temps des qualifications samedi sur le nouveau circuit urbain de Valence (Esp).

Avec un temps de 1 min 38 sec 989/1000, Massa a devancé le Britannique Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) et le Polonais Robert Kubica (BMW Sauber).

La seconde Ferrari de Kimi Raikkonen occupera la quatrième place sur la grille, devant la McLaren-Mercedes de Heikki Kovalainen et le surprenant Sebastian Vettel (Toro Rosso), sixième, qui a réussi sa meilleure qualification de la saison.

Alonso seulement 12e
En revanche, le public espagnol n'aura pas pu s'enflammer pour Fernando Alonso (Renault), seulement 12e, sa pire place au départ cette année.

Quelques gouttes sont tombées à la fin de la Q1, qui n'ont apparemment pas gêné les pilotes puisque les temps ont continué à tomber ensuite. Le ciel est toutefois resté menaçant jusqu'au bout.

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Médaille d'or pour Tia Hellebaut!


Tia Hellebaut, 30 ans, est devenu la première femme belge championne olympique en athlétisme en remportant la médaille
d'or du saut en hauteur dames aux jeux Olympiques de Pékin, samedi soir. Notre compatriote a devancée la grandissime favorite, la Croate Blanka Vlasic, et la Russe Anna Chicherova.

Hellebaut, championne d'Europe en plein air en 2006 et en salle en
2007, s'est imposée en franchissant 2,05 m à son premier essai. Elle
améliore ainsi de 2 cm son ancien record de Belgique en plein air, qu'elle avait réussi en devenant championne d'Europe à Göteborg (Suè), le 11 août 2006.

Vlasic a dû attendre le 2e essai pour franchir cette barre. La Croate,
âgée de 24 ans, restait sur une série de 34 victoires consécutives. Elle n'avait plus perdu depuis le 15 juin 2007 à Oslo. Dans l'intervalle, elle avait remporté deux titres mondiaux en plein air et en salle.

Chicherova a pris la 3e place avec un bond à 2,03 m. La championne
olympique sortante Yelena Slesarenko a pris la 4e place (2,01 m). Jamais quatre jeunes femmes n'avaient franchi 2 m dans une finale
olympique.

La 139e médaille belge
Notre pays n'avait plus remporté de titre olympique dans cette
discipline depuis 1964, avec Gaston Roelants sur le 3000m steeple. Avant Hellebaut et Roelants, seul Gaston Reiff sur 5000m à Londres (1948) avait décroché le titre olympique dans la discipline reine des JO.

Il s'agit également de la 37e médaille d'or de l'histoire du Sport
belge aux Jeux Olympiques, la 139e au total et la 12e de l'athlétisme
belge en général.

La Belgique compte donc actuellement à son bilan 37 médailles d'or, 51 d'argent et 51 de bronze.

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Jeux Olympiques
VTT: Une médaille de bronze pour la Suisse

Image © Keystone
Nino Schurter, médaille de bronze en VTT

La "dream team" du VTT masculin suisse a vécu une après-midi difficile aux JO de Pékin. Alors qu´elle pouvait rêver d´un triplé, elle doit se contenter de la médaille de bronze du Grison Nino Schurter. La France a signé le doublé, Julien Absalon conservant le titre conquis à Athènes en devançant Jean-Christophe Péraud de 1´07´´.

- le 23 août 2008,
Le Matin Online & les agences



Champion du monde en titre, Christop Sauser doit se contenter de la 4e place. Le Bernois de 32 ans s´est retrouvé à la lutte avec Schurter pour l´accession au podium dans les derniers kilomètres, mais ne résistait pas à la fougue de son cadet de 10 ans. Médaillé d´or des derniers Mondiaux chez les M23, Nino Schurter offre ainsi à la Suisse sa sixième médaille dans ces joutes, la quatrième en cyclisme. Il concédait 1´53´´ à Absalon et devançait Sauser de 2´´.
Les espoirs de triplé suisse s´étaient très rapidement envolés dans la moiteur du site de Laoshan. Irrésistible, Julien Absalon se détachait dès le 2e des 8e tours de 4,45 km et comptait déjà 33´´ d´avance sur Péraud et 51´´ de marge sur le duo Sauser/Schurter après trois boucles. Troisième Suisse en lice, l´Argovien Florian Vogel était largué après quarante minutes d´effort et finissait par abandonner dans le cinquième tour.
Hors du coup aux récents Mondiaux du Val di Sole où la Suisse avait réalisé un triplé historique (Sauser devant Vogel et Ralph Näf), Julien Absalson a remis les pendules à l´heure sur le très technique parcours pékinois. Le Français de 28 ans s´adjuge son sixième titre majeur depuis 2004, après ses lauriers athéniens et ses quatre sacres mondiaux consécutifs (2004-2007).
Quatre fois champion du monde de la discipline, Absalon, qui a eu 28 ans le 16 août et s’était déjà imposé à Athènes en 2004, a devancé Péraud d’une minute et 7 secondes.

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JO 2008
Un Cubain exclu à vie en taekwondo

Image © Keystone

Le Cubain Angel Valodia Matos a frappé l'arbitre

Le Cubain Angel Valodia Matos et son entraîneur ont été exclus à vie de toute compétition internationale. Une décision tombée après les violents incidents qui ont marqué le combat pour la médaille de bronze du tournoi des plus de 80 kg de taekwondo aux JO de Pékin.

- le 23 août 2008,
Le Matin Online & les agences

Matos, champion olympique en 2000, avait violemment bousculé l'arbitre de sa rencontre contre le Kazakh Arman Chilmanov après que celui-ci l'eut disqualifié pour avoir dépassé le temps accordé pour recevoir des soins. Le Cubain a également donné un coup de pied au visage de l'arbitre, puis bousculé un arbitre assistant, avant de quitter le tatami en criant sa colère, accompagné de son entraîneur.
La Fédération internationale a aussitôt réuni un conseil de discipline extraordinaire qui a décidé que Matos et son entraîneur sont exclus à vie des compétitions organisées par la fédération internationale "pour violation de l'esprit du taekwondo".
«En considération de la gravité des incidents et pour maintenir l'espit du mouvement olympique et du taekwondo, le comité exécutif a décidé de disqualifier l'athlète et de lui retirer sa cinquième place dans le tournoi», a précisé la WTF dans un communiqué.

Le secrétaire général de la fédération internationale, Yang Jin- suk, a précisé qu'il s'agissait pour l'heure de «recommandations» et que «le Comité international olympique devait se prononcer sur ces sanctions». Yang a par ailleurs indiqué que sa fédération envisageait de lancer une procédure judiciaire contre Matos et son entraîneur.

Yang a précisé que l'arbitre blessé par Matos, le Suédois Chakir Chelbat, avait dû recevoir des points de suture au niveau de lèvre inférieure, démentant les rumeurs selon lesquelles il aurait perdu plusieurs dents.

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JO: les Américaines conservent leur titre olympique en basket
sam. août 23, 2008





PEKIN (Reuters) - Les Américaines ont remporté la médaille d'or du tournoi féminin de basket-ball aux Jeux olympiques de Pékin.
Les Etats-Unis, qui remportent leur quatrième titre olympique consécutif, ont battu en finale l'Australie, médaillée d'argent, 92-65.
Il s'agit de la troisième défaite de rang des Australiennes en finale des Jeux après Sydney en 2000 et Athènes en 2004.
Les Russes, victorieuses de la Chine 94-81 en petite finale, ont pris la médaille de bronze.
Clément Dossin

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dimanche 24 août 2008

Handball : Les Bleus ont l'or au bout des doigts


Les handballeurs français espèrent avoir le bonheur de décrocher le titre olympique, aujourd'hui. : AFP


Handball. Finale : France-Islande (aujourd'hui, à 9 h 45). C'est le jour ou jamais. Celui du rendez-vous avec la gloire qu'espérait le hand français. Défendu de le rater, interdit de se louper.

PÉKIN (de l'un de nos envoyés spéciaux). Tellement de joueurs depuis tellement de temps attendent cette occasion-là. Les descendants des « Barjots » et des « Costauds » doivent absolument nous prouver qu'ils méritent leur surnom d'« Experts ». Décryptage de cette finale.
L'adversaire. Cette année, les Bleus ont déjà battu les Islandais en janvier à l'Euro (30-21) et en juillet en amical (31-28). Totalement euphoriques dans ces JO, ces derniers pratiquent un handball de combat très rentre-dedans. Car autour de la star Olafur Stefansson (35 ans), il y a davantage de bûcherons que d'esthètes, à l'image du pivot Sigfus Sigurdsson (1,98 m, 114 kg). La plupart jouent en Allemagne et au Danemark, seuls trois en Islande. Un petit pays de 300 000 âmes, soit deux cents fois moins que la France, qui n'a pour l'instant gagné que trois médailles aux Jeux d'été de toute son histoire. Et jamais ses handballeurs ne sont montés sur le moindre podium. Leur parcours actuel suscite donc un engouement exceptionnel dans l'île qui poussera toute entière derrière ses malabars. Convaincus d'avoir déjà écrit la plus belle page de l'histoire sportive de leur pays, ils devraient jouer sans trop de pression. À moins que l'ampleur de l'événement ne les dépasse.
La France favorite. Pleine de talents bruts (Omeyer, Dinart, Bertrand Gille, Narcisse, Karabatic, Abalo), elle est potentiellement supérieure. « Oui, reste qu'un match comme celui-là ne se gagne pas sur la réputation. Mais avec la forme, l'enthousiasme du moment, nuance Claude Onesta, son entraîneur. Or, tous les adversaires des Islandais qui les ont abordés en se disant qu'ils leur étaient supérieurs ont mordu la poussière. »
Le scénario à éviter. Les Islandais aiment mettre le feu aux matches. « Ils nous en avaient passé dix en un quart d'heure au Mondial 2007, se souvient Onesta. On est prévenu et on sait qu'il nous faudra être très forts sur nos bases défensives, et de manière durable pour les user, pour leur faire perdre la confiance en eux qu'ils ont emmagasinée. Ils marquent plus de 30 buts par rencontre. Si l'on arrive à être en dessous de 25 buts, c'est qu'on se sera mis dans un rapport de force favorable. Moi, mon boulot, c'est d'imaginer tous les scénarios possibles et d'avoir une réponse toute prête ».
La médaille. « À Pékin, 12 000 athlètes se sont défoncés pour avoir un petit bout de fer accroché autour du cou. Nous, on sait qu'on ne repartira pas sans. Il en a résulté une sensation de bien-être que je me suis employé à déranger pour que mes joueurs redeviennent conquérants, raconte Onesta. On aura toute la vie pour regarder cette médaille. Le danger serait qu'elle les détourne du titre, une opportunité exceptionnelle qui ne se présentera peut-être plus jamais. »
La soif de reconnaissance. Les joueurs ont publiquement déploré un « manque de valorisation de leur image et de leur statut ». La Fédération a répondu avec une campagne de communication, notamment sur Internet, et le doublement de la prime en cas de titre (100 000 euros chacun). Un titre olympique donnerait-il le coup de pouce faisant véritablement décoller le hand en France ? Jérôme Fernandez y croit dur. « Pour pouvoir hisser notre sport au niveau du rugby ou du basket, pour que les meilleurs joueurs soient retenus en France et que nous puissions attirer les meilleurs étrangers, nous voulons obtenir le Graal. Il n'y a pas de raisons que cela ne marche pas ! »

Jean-Luc PELLIZZA.

[Tigroon46]

Hop c'est fait, victoire de la France 28 à 23 contre "Iseland" Et une médaille en or en plus ! Yes !!

[Norton]

Envoyé par Tigroon46

Hop c'est fait, victoire de la France 28 à 23 contre "Iseland" Et une médaille en or en plus ! Yes !!

A la une

dimanche 24 août 2008

Champions olympiques !


: AFP


L’équipe de France de handball est devenue championne olympique ce matin, en dominant l’Islande.

Ils l’ont fait ! Ce matin, les handballeurs français sont devenus champions olympiques en battant l’Islande, 28-23.



Le tout début de la partie fut plutôt serré mais, par la suite, les Bleus ont parfaitement développé leur jeu.



Dès lors, jamais les Islandais n’ont pu venir inquiéter le gardien français Omeyer, parfaitement irréprochable au cours de ce match.


« C’est magnifique ! »


Il s'agit de la 7e médaille d'or pour la France qui termine les Jeux avec un total de 40 médailles.

« C’est magnifique, a lâché l’entraîneur français Claude Onesta au micro de France 3. Ça fait trois mois qu’on y est tous les jours, qu’on essaye de tout mettre en œuvre, tout organiser. Quand on arrive au bout, on a la sensation se quelque chose d’exceptionnel. (...) Le match qu’on pouvait espérer s’est réalisé ».

Et Bravo..............

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Premier titre depuis huit ans pour les basketteurs Américains



Les basketteurs américains ont remporté leur premier titre depuis huit ans, dimanche aux jeux Olympiques de Pékin, en battant l'Espagne 118-107 lors d'une finale extraordinaire.

Sixièmes au Mondial 2002, troisièmes aux Jeux 2004 et au Championnat du monde en 2006, ils ont retrouvé le toit du monde au terme d'un tournoi qu'ils ont dominé de la tête et des épaules. Dotés d'une puissance athlétique sans égal, ils ont démantelé tous leurs adversaires. Que ce soit la Grèce, vice-championne du monde.

L'Argentine, championne olympique en titre et médaillée de bronze dimanche. Et donc l'Espagne, championne du monde, battue à deux reprises, une fois en poules (119-82) et dimanche lors d'une finale aux allures de fantasia. A la mi-temps (69-61), les deux équipes avaient déjà inscrit autant de points que de nombreux matches sur leur totalité. Une cavalcade extraordinaire pour la promotion du basket mais pas forcément pour l'Espagne qui est peut-être trop entrée dans le jeu des Américains.

Une seule finale des JO était jusqu'à alors allée au-delà des 100 points, celle avec la Dream Team en 1992 (117-85 contre la Croatie). Mais le champion du monde espagnol a surpris tout le monde en offrant, dans ce contexte très offensif, une superbe résistance à l'équipe américain. Grâce d'abord à une remarquable adresse à trois points mais aussi à des joueurs en ébullition à l'image de Rudy Fernandez (22 points).

La partie a été serrée jusqu'au bout, l'Espagne pointant seulement à quatre longueurs à deux minutes de la fin (108-104). Elle a basculé sur la capacité des USA à garder la tête froide, un paramètre qui restait à vérifier puisqu'ils n'avaient encore jamais rencontré une telle résistance dans le tournoi (écart moyen de 30,2 points jusque-là).

Festival de Wade
Côté US, c'est Dwayne Wade qui a été l'homme du match. Option prioritaire en attaque à cause des fautes rapides de Kobe Bryant et LeBron James, il a réussi un véritable festival de paniers et d'interceptions (27 points). C'est aussi lui qui a rentré un panier primé crucial à deux minutes de la fin au moment où l'Espagne, toujours menée depuis la cinquième minute, tentait son énième rapproché.

Vu la rage et le sérieux qu'ont mis les Etats-Unis à reconquérir le monde, la médaille d'argent des Espagnols - la deuxième après celle de Los Angeles en 1984 - sonne comme une victoire. Surtout après une telle finale, même s'ils ne rejoignent pas les USA, la Yougoslavie et la Russie au palmarès des nations à avoir réussi le doublé Mondial-JO. Pour les Américains, ce titre tombe à pic après huit ans de désillusions où ils ont eu de plus en plus de mal à expliquer à leur public pourquoi les supposés meilleurs basketteurs de la planète n'y arrivaient plus.

A Pékin, ils ont connu l'aboutissement d'un projet de trois ans, commencé en 2005, qui consistait à s'appuyer sur un groupe élargi mais constant de 24 joueurs, à l'image de LeBron James, Dwayne Wade et Carmelo Anthony. Ils ont reçu cet été le renfort de Kobe Bryant et ont surtout mis à profit ces trois dernières années pour s'adapter à une concurrence de plus en plus forte en travaillant la défense en priorité.

Vu leur passé décomposé, la première marche du podium était un minimum à Pékin. Mission accomplie. Avec leur victoire, ils complètent un week-end plein pour les sports collectifs en salle US qui ont également remporté les tournois de basket féminin et de volley messieurs.