Toutes New sportives autres que la moto

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Valentino Rossi au Rallye de Nlle Zélande


Par Patrick Garcia -
C'est officiel, "il dottore" Valentino Rossi prendra le départ du Rallye de Nouvelle Zélande le mois prochain. Si l'engagement est annoncé sur une Subaru privée, l'auto sortira directement des ateliers de Prodrive. La Subaru sera donc un modèle 2006 qu'Atkinson conduisait lors du rallye d'Allemagne.
Une chose est cependant certaine, l'auto ne sera pas aux couleurs du SWRT officiel.



cet engagement suit sa période F1 de l'hiver dernier où il testa longuement la Ferrari avant de renoncer à faire le grand saut pour continuer à se consacrer à la moto.
Une fois son championnat 2006 terminé il aura alors la tête et les mains libres pour tenter à nouveau l'expérience Rallye. On se rappellera son premier essai lors du RAC Rallye en 2002 au volant d'une 206 WRC qu'il mit au trou dès les premières spéciales. En tout cas son intérêt pour la "chose à 4 roues" s'avère être bien plus qu'un caprice de star de la moto.

Connaissant le niveau de compétitivité des Subaru actuellement, il faut souhaiter vraiment bonne chance à Valentino Rossi. L'épreuve aura lieu du 17 au 19 Novembre 2006.

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Dindo Capello remporte le rallye de Monza devant Valentino Rossi

Par Patrick Garcia - l
En échauffement pour le RAC Rally qu'il disputera au volant de la même Ford Focus, Valentino Rossi s'est à nouveau engagé dans l'épreuve du Monza Rally Show dont il était le vainqueur en titre. Face à lui quelques pointures du rallye dont Piero Longhi (Subaru WRC) et un invité de marque, Rinaldo Capello ayant délaissé sa R10 Audi contre une Focus WRC identique au sponsor près à celle de Rossi.



Si la première spéciale du vendredi établissait une hiérarchie attendue (Longhi devant Rossi, Cantamessa et Capello), l'icone du Moto GP prenait la tête dès la deuxième spéciale avant de commettre une bourde dans la 3eme pour perdre plus de 27 secondes et tomber à la 6eme place. En fin de journée (après ES6), Rossi était remonté 4eme dans les échappements d'Alex Caffi (Peugeot 307 WRC) et de Piero Longhi. Dindo Capello avait pris la tête dans l'intervalle.

Dans la courte avant-dernière spéciale disputée le dimanche, les positions restaient inchangées mais Rossi fournissaient son effort sur l'ultime chrono de 26 km pour échouer sur la deuxième marche du podium à 20 s de Rinaldo Capello, vainqueur.

photos MotoGP.com

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L'Angleterre mate l'Allemagne, Maradona réussit ses débuts


L'Angleterre, en pleine forme depuis quelques mois, s'est imposée en Allemagne 2-1 avec une équipe largement remaniée, pendant que Diego Maradona gagnait en Ecosse 1-0 pour sa première à la tête de la sélection argentine, lors des nombreux matches amicaux joués mercredi.

L'Angleterre n'a pas tout perdu. Elle qui aime détester que l'Argentine gagne depuis le fameux quart de finale du Mondial-1986 et les deux buts de Maradona, celui de la main et celui du génie, se consolera de la victoire de l'Albicelste à Glasgow.

Avec une équipe privée de Gerrard, Lampard, Rooney et Ferdinand, elle a gagné un match toujours plus tendu qu'amical. Les Anglais, qui ont marqué les premiers grâce au défenseur central de West Ham, Upson (24), se sont fait rejoindre sur un but gag de Helmes (63), après une mésentente Terry-Carson qui va passer en boucle sur les sites de partage de vidéos et qui ne va pas arranger la réputation des gardiens anglais.

Le capitaine Terry a sauvé la sienne, de réputation, effaçant sa grotesque erreur en marquant le but vainqueur (84). Et l'Angleterre a remporté son cinquième succès consécutif.

Kaka contre Ronaldo
L'Allemagne n'a pas pris sa revanche de l'humiliante défaite 5-1 à domicile en 2001 lors des qualifications du Mondial asiatique. Pire, elle n'a pas fait oublier par une victoire de prestige la petite tempête soulevée par les coups de sang de Ballack et Frings contre le sélectionneur Joachim Löw.

Le match Ecosse-Argentine ne sera inoubliable que parce qu'il fut le premier du Pibe de oro en tant que sélectionneur. Un but tôt marqué par Maxi Rodriguez (8) a suffi.

Si la France n'a pas réussi à tromper la défense de l'Urugay (0-0), la Serbie a étrillé la Bulgarie (6-1), les Pays-Bas ont maté la Suède (3-1) grâce à un doublé de van Persie et la Turquie, demi-finaliste à l'Euro-2008, s'est imposée en Autriche (4-2) dans le stade de Vienne, théâtre de son quart de finale historique contre la Croatie (1-1, 3 t.a.b. à 1) cet été.

La Grèce et l'Italie se sont séparées sur un match nul (1-1) dont les buts ont été marqués en cinq minutes, par Gekas (50) pour les Hellènes et Toni (54) pour les Italiens. Enfin dans la nuit, le Brésil de Kaka, Ballon d'Or 2007, recevait le Portugal de Cristiano Ronaldo, le favori du trophée pour 2008.

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Trois premières pour la suisse

Image © Keystone

Suisse - Finlande 1-0(0-0). Après une première demi-heure intéressante, la Suisse a baissé de rythme. Elle a cependant réussi à faire la décision en toute fin de match grâce à une frappe de Reto Ziegler

Renaud Tschoumy - le 19 novembre 2008,
Le Matin



Soirée de premières, hier à Saint-Gall. Une première pour Reto Ziegler, buteur décisif en toute fin de match, et qui a fêté son retour en équipe A de la plus belle des manières. Une première pour Marco Wölfli, gardien parfois décrié en championnat de Super League, mais qui a fait preuve d'une sacrée assurance sur sa ligne. Et enfin, une première pour Ottmar Hitzfeld, dont l'équipe a, pour la première fois depuis son arrivée, réussi un blanchissage.
La Suisse a donc conclu l'année 2008, celle de son Euro, par une victoire. Laborieuse, certes, mais qui permet néanmoins à tout le monde de passer l'hiver au chaud avant la venue de la Bulgarie en février à Genève, et, surtout, le double affrontement contre la Moldavie fin mars et début avril.
il manque toujours un patron
Hitzfeld aura assurément apprécié la performance de ses néophytes. On veut parler de Marco Wölfli, impeccable tout au long de la partie et décisif en deux circonstances (devant Tarvajärvi à la 23e et sur une frappe de Eremenko à la 86e). Mais aussi, évidemment, de Reto Ziegler, qui a montré pour sa cinquième sélection qu'il représentait plus qu'une alternative sur le flanc gauche. Du coup, Ludovic Magnin a perdu des points précieux...
Hitzfeld aura aussi vu que Barnetta revenait en forme, et que le tandem Dzemaili-Inler était très complémentaire en milieu de terrain. Mais il aura aussi, et très certainement, noté qu'il lui manque toujours un véritable patron. Après une première demi-heure prometteuse, la Suisse a en effet baissé de rythme. Et dès ce moment-là, il ne s'est trouvé personne pour assumer la responsabilité de prendre l'initiative du jeu à son compte.
Reste le principal: le succès. Certes arraché et décroché suite à une balle arrêtée, mais qui est bel et bien là. En six matches, le bilan de Hitzfeld est plus que satisfaisant: quatre victoires, un nul et une défaite. C'est bien cette dernière, face au Luxembourg, qui fait tache. Mais la Suisse s'est redonné les moyens de l'effacer.

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Nul pour la france

Image © Keystone

Toulalan (à dr.) retient Rodriguez

0-0 contre l'Uruguay

- le 19 novembre 2008,
Le Matin Online



La France a achevé son année par un nul (0-0) contre l'Uruguay, au terme d'une rencontre à l'image de ses 12 mois. Les Bleus ont navigué entre une première période terne et une deuxième imparfaite mais plus enthousiaste.
Après une Marseillaise assourdissante qui aurait probablement couvert d'éventuels sifflets, un mois après la polémique du match contre la Tunisie, l'ambiance est vite retombée dans l'apathie habituelle du Stade de France.

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Sébastien Buemi conclut ses essais sur le podium

par Alberto Tikulin, Barcelone
Le Vaudois s’est classé à la 3e place lors du dernier jour d’essais sur le circuit de Barcelone, avec un temps de 1’20’’154.


Le pilote suisse est de plus en plus optimiste. (Photo: getty)


«Je n’ai pas cherché la performance aujourd’hui (mercredi). J’ai simplement effectué des tests de pneus en vue de la saison prochaine.» Sébastien Buemi, devancé par Bourdais (1’19’’839) et Vettel, premier mercredi (1’19’295), a donc conclu ses essais sur le podium.
Au terme de ses trois jours de chrono, l’Aiglon croit toujours plus en ses chances d’être engagé l’année prochaine chez Toro Rosso. «Le fait que l’équipe m’ait permis de rouler pendant trois jours est un bon signe», a-t-il fait savoir.
Pour l’heure l’écurie trans-alpine n’a encore rien décidé, mais le côté financier pourrait être déterminant. Si Takuma Sato a les moyens de financer son engagement, ce n’est pas le cas de Sébastien Bourdais. Quant à Buemi, l’équipe ne lui a tout simplement pas demandé d’argent. «De toute manière je fais partie du Red Bull Junior Team et je n’en ai pas à leur proposer», a fait savoir le jeune pilote.
La décision ne dépendra donc pas du seul talent des pilotes. «Ce sera moitié-moitié entre leurs performances et le budget qu’ils pourront apporter à l’équipe», a admis Franz Tost, le team manager de Toro Rosso. Les noms des prochains pilotes devraient être connus après les tests de Jerez, en décembre

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VENDEE GLOBE
Dépêches


Le jeudi 20 novembre 2008 à 19:35Unai Basurko à l’est

« Tout va bien. Tout baigne. Je me sens enfin heureux. Pendant les trois ou quatre premières journées, je n'étais pas satisfait de mes choix tactiques, mais après quelques jours, on commence à régater vraiment et je suis content avec le bateau. J'étudie la météo et le timing pour y passer en espérant que la porte s'ouvre au Pot au Noir pour nous, situés plus à l'est que les autres bateaux de la flotte. J'espère tenter un petit coup en faisant quelque chose de différent.»


Le jeudi 20 novembre 2008 à 19:33Brian Thompson répare son gennaker

"C'est une énorme déchirure sur la largeur maximum de la voile. Je ne dirais pas que je suis en train de finir, mais la moitié du rafistolage est fait. Après il reste pas mal de petits trucs à voir. J'utilise du cuben, du sikaflex, une colle atomiseur et des bandes de Kevlar essentiellement, mais je suis un peu inquiet, car je suis en train de vider ma trousse de réparation et j'espère qu'il me restera assez pour la suite ! "


Le jeudi 20 novembre 2008 à 19:26Le résumé en images

Le résumé en images de cette 11e jour de course est disponible dans notre rubrique Médiathèque/Vidéos ou directement en cliquant sur le lien suivant www.vendeeglobe.org/fr/mediatheque/videos/

Le jeudi 20 novembre 2008 à 19:15Yann Eliès en caleçon

« J’ai un vent d’est un peu mou et il fait une chaleur intense. Nous sommes proches de l’équateur et cela se caractérise aussi par une moiteur extrême à l’intérieur et à l’extérieur du bateau. Pour tout vous avouer, je suis en caleçon, j’ai un chapeau et j’ai mis une bonne couche de crème solaire. Heureusement, nous avons quitté le monde des dépressions automnales il y a dix jours : le corps a le temps de s’habituer à ce type de changement climatique assez radical ! »


Le jeudi 20 novembre 2008 à 19:00Stamm : attention à ne pas fanfaronner !

« Voilà quelques jours que Cheminées Poujoulat glisse sous spi en direction de l'équateur et vers le pot au noir. Vu les vitesses aux derniers pointages, certains concurrents donnent même l'impression de vouloir s'y amarrer au "poteau noir". Attention tout de même à ne pas trop fanfaronner, mon tour viendra et rapidement. J'en ai déjà eu les prémices ce matin, une zone de molle complètement imprévue qui n'a rien à voire avec la zone de convergence mais qui nous dit que les fichiers météo sont des données à interpréter et à prendre au conditionnel. Autrement depuis le départ, je n'ai vu qu'une fois des dauphins, puis plus rien. D'ailleurs j'en profite pour lancer un avis de recherche concernant les poissons volants. Il me semble que je commençais déjà à en voir vers les Canaries. En tous cas, jusqu’à maintenant, je n'en ai pas vu la queue d'un seul. A bord la vie s'organise, elle est rythmée par la prise de données météo et les repas que j'essaie de faire dans les mêmes créneaux horaires qu'à terre. Ensuite, tout le reste du temps est consacré à faire avancer le bateau du mieux possible et au portant, il y a du travail.Autant le bateau avance facilement vite tout seul, autant pour le faire avancer de façon optimale, il faut régler constamment, travailler l'assiette, changer de voile et barrer. Et dans tout ça, il faut penser à se reposer pour ne pas mettre son corps dans la zone rouge. Ce n'est souvent pas très facile à faire. Et encore pour moi, c'est un peu plus simple, la pression vient plutôt de l'horloge qui tourne et pas d'une dizaine de concurrents dans mon entourage direct. »

Trop belle cette course.......................

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Valentino Rossi impressionne au volant d'une Ferrari




Le champion de moto italien Valentino Rossi a montré jeudi qu'il était presque aussi rapide sur quatre roues que sur deux, lors de tests au volant d'une Formule 1 de Ferrari.

Huit fois champion du monde de moto toutes catégories confondues, Valentino Rossi a longtemps alimenté les rumeurs parmi ses supporters qui souhaitaient le voir passer au pilotage d'une F1, de préférence dans l'écurie italienne.

Jeudi, Rossi a fait 30 tours sur le circuit Mugello (nord de l'Italie), réalisant le temps de 1 min 23 sec 930, soit trois secondes de plus que le pilote d'essai officiel de Ferrari, Luca Badoer, et 5 secondes de plus que le record du circuit, établi en 2004 par le Brésilien Rubens Barrichello sur Ferrari.

Le champion de moto avait expliqué avant les essais qu'il les faisait pour le plaisir, pas pour changer de discipline, mais qu'il espérait bien pouvoir courir à moins d'une seconde du record du circuit. Il lui reste encore un peu plus d'une journée pour y parvenir.

Rossi avait déjà piloté une F1 à deux reprises, sur la piste d'essais de Ferrari à Fiorano (nord Italie) et lors d'essais F1 officiels à Valence (Espagne). Lors de ce dernier événement en février 2006, la star du MotoGP avait tourné une demi-seconde moins vite que Michael Schumacher.

Le champion a aussi participé la semaine dernière au rallye automobile de Monza, où il s'est classé 2e derrière le triple vainqueur des 24 Heures du Mans, Rinaldo Capello.

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Coupe Davis: une occasion en or pour l'Argentine





A l'heure d'affronter l'Espagne en finale, l'Argentine compte sur l'effet maison et l'absence de Rafael Nadal pour remporter sa première Coupe Davis, ce week-end à Mar Del Plata (est).

Nalbandian-Del Potro
Deux grands joueurs de simples, David Nalbandian et Juan Martin Del Potro. Un adversaire décapité par le forfait du N.1 mondial. Et l'appui d'un public bouillant, devant lequel elle est invaincue depuis dix ans et treize rencontres.

Sur le papier, tous les ingrédients sont réunis pour que l'Argentine, seule grande nation du tennis à n'avoir jamais soulevé le Saladier d'argent, arrive enfin à ses fins, après deux finales perdues à l'extérieur, en 1981 aux Etats-Unis et il y a deux ans en Russie.

"On a une opportunité unique et historique. Pour le tennis argentin, ce week-end peut marquer un tournant. Mais il faut rester vigilant et ne pas se relâcher", souligne Nalbandian, qui se méfie d'un scénario écrit sur mesure.

L'absence de Nadal
"Je ne vais pas mentir et dire que l'absence de Nadal n'a aucune importance. Mais l'Espagne reste une grande équipe", complète son compère Del Potro, multipliant lui aussi les déclarations de prudence pour tenter de décoller cette encombrante étiquette de favori récoltée depuis le forfait de Nadal.

Il n'empêche. Sans Nadal, qui a écrasé Andy Roddick lors de la demi-finale victorieuse face aux tenants du titre américains, l'Espagne n'est plus la même.

Son leader de substitution, David Ferrer, est décevant depuis des mois. Et son N.2, un gaucher à choisir entre Fernando Verdasco et Feliciano Lopez, offre du solide mais aucune garantie de victoire.

Le poids du public
En face, l'Argentine possède, avec Del Potro (9e mondial) et Nalbandian (11e), deux joueurs labellisés Top 10 et plutôt en forme. La seule réserve concerne l'état de fraîcheur de Del Potro, après une saison à rallonge achevée il y a une semaine au Masters de Shanghai, à l'autre bout de la planète. En double aussi, la paire probable Nalbandian/Acasuso semble plus forte que le duo espagnol, qui pourrait voir les débuts de Marcel Granollers.

Déjà intrinsèquement supérieure, l'Argentine jouera en plus devant son public. Un avantage en toutes circonstances - sur 95 finales, l'équipe hôte l'a emporté à 62 reprises - mais encore exacerbé dans le contexte argentin, où l'ambiance peut participer au sort des rencontres.

8.000 euros au marché noir
Elle devrait être incandescente pour cette finale 100% latine qui passionne le pays. Les 9800 places sont partis en un temps record. Au marché noir, il faut rassembler jusqu'à 10.000 dollars (environ 8000 euros) pour avoir le droit d'y assister.

Alors que l'Argentine reçoit le plus souvent à Buenos Aires et toujours sur terre battue, elle a cette fois opté, sur fond de polémique et de soupçons de favoritisme, pour la ville côtière de Mar del Plata et une surface plus rapide, de la moquette en salle.

Un choix motivé d'abord par la monstrueuse efficacité de Nadal sur terre battue. Mais qui se justifie aussi par les qualités de Nalbandian et Del Potro, deux joueurs multi-surfaces très à l'aise en "indoor".

L'Espagne outsider
Alors que tout parle en faveur de l'Argentine, les Espagnols se raccrochent à ce qu'ils peuvent. "L'absence de Nadal met la pression sur l'Argentine, qui est pratiquement dans l'obligation de gagner", souligne notamment le capitaine Emilio Sanchez.

Quant aux superstitieux, ils rappellent que les deux fois où l'Espagne a gagné la Coupe Davis, en 2000 et 2004, c'était déjà lors d'une année olympique.

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Le comportement de Cristiano Ronaldo pourrait-il lui coûter le Ballon d'Or?




Cristiano Ronaldo s'est distingué mercredi soir lors de la déroute portugaise contre le Brésil (6-2), non pas pour ses talents de footballeur mais pour son comportement méconnaissable.

Le jeune prodige a tout d'abord taclé Thiago Silva d'une façon plus que limite. "Si je n'avais pas sauté sur un tacle, il m'aurait cassé la jambe", a déclaré le défenseur brésilien, fou de rage. "Il a eu le culot de dire qu'il ne m'avait pas touché, mais c'est seulement parce que j'ai sauté. Ensuite, il a réalisé qu'il avait tort et s'est excusé, mais j'ai refusé", a expliqué Silva.

Cristiano Ronaldo a ensuite saisi Marcelo à la gorge, suite à une altercation entre les deux joueurs. "C'est juste une grande gueule", a lâché Marcelo, peu rancunier, à l'issue de la rencontre.

Le jeune homme de 23 ans avait pourtant fait beaucoup d'efforts quant à son comportement sur le terrain. S'il ne veut pas que le Ballon d'Or lui échappe au dernier moment, le Portugais ferait bien de garder en tête que "fair-play et exemplarité du joueur" constituent des critères d'attributions de la prestigieuse récompense.

Il pourrait alors subir le même sort que Zinédine Zidane qui aurait sans doute remporté un second trophée, en 2000, s'il ne s'était pas rendu coupable d'un coup de boule sur un défenseur d'Hambourg à l'heure des votes.